To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
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To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Hello tout le monde !
Me voici enfin dans un endroit qui semble correspondre à ce que je recherchais ! Mes habituels furetages nocturnes sur Internet m'ont amené ici, et vu que l'ambiance a l'air sympa, me voici inscrit ! Je me présente succinctement : Julien, 23 ans, j'habite à Grenoble. Désolé si ce que j'écris est un peu long, mais je crois que j'ai besoin de vider un peu mon sac en ce moment et ça me semble le lieu idéal !
Je ne saurais dire avec exactitude si je suis un zèbre ou non, étant donné que je n'ai jamais passé le moindre test (et dans l'immédiat je n'ai pas vraiment les moyens d'en passer un, pour le fun j'ai passé le test en ligne sur le site de la Mensa à l'instant, j'ai eu 35/40 en 20 minutes avec des réponses données au hasard pour 3 de mes 5 erreurs, mais bon je ne sais pas trop ce que ça vaut et ne me suis jamais trop fié aux tests en ligne...) mais je me suis reconnu dans beaucoup de caractéristiques citées par ci par là sur le forum ou le wiki, qui semblent rejoindre les doutes que j'avais déjà depuis quelques temps ... Bon depuis toujours en fait, mais l'an dernier mon cursus universitaire m'a amené à suivre des cours de psycho, dont quelques uns portaient sur la précocité intellectuelle, les tests de QI etc... Et ça a été le choc, je me suis reconnu trait pour trait dans les descriptions de l'enseignant (d'ailleurs sans que je l'évoque à ce moment là, ma voisine de cours qui me connait plutôt bien m'a tout de suite dit "ça c'est tout toi !").
De plus en plus je me dis que beaucoup de choses, d'aspects, de problèmes dans ma vie qui semblaient sans aucun lien ont peut-être tous la même origine (bon ça reste très théorique) : tendance à se coucher tard (d'ailleurs il est actuellement 4h50 du matin...) voire à ne pas dormir du tout quand mes pensées fourmillent trop dans tous les sens (ce qui arrivent plutôt souvent, je réfléchis en permanence à des dizaines de sujets, je me fais des films), je suis un professionnel de la procrastination, je me disperse, je commence des choses sans les finir... je dirais également que je me retrouve dans tout qui est hypersensibilité/hyperempathie (je ne sais pas si c'est lié mais ce soir encore je me suis surpris à éprouver de la honte lorsqu'un personnage d'une série que je regardais s'est trouvé dans une posture plutôt ridicule, ce genre de choses m'arrive souvent...), je déteste l'injustice, j'aime bien rétablir la vérité, même si ça peut souvent avoir un côté agaçant pour les autres, j'ai un gros manque de confiance en moi.. Et puis une sensation permanente de vide, d'ennui ,de tristesse, de manque de quelque chose (de stimulation intellectuelle?)... Ce serait trop long de tout lister ! Et pourtant ma vie semble bien remplie !
J'ai pas mal d'amis (qui ont plutôt une haute opinion de moi, contrairement à moi-même...), je sors souvent (je n'aime pas trop la solitude donc j'essaye de sortir au maximum pour éviter de me retrouver seul avec mes pensées dans mon petit appartement, et paradoxalement parfois j'ai ce besoin d'être seul), je fais du sport très régulièrement (mon truc à moi c'est le rugby, j'en fait depuis tout petit ça me défoule pas mal et j'aime bien l'esprit et les valeurs que ce sport véhicule) Niveau passions en fait ça part un peu dans tous les sens, je m'intéresse à tout, j'ai toujours du mal à répondre quand on me demande quel genre de musique j'écoute ou quel genre de film je préfère, c'est très éclectique... Je peux passer des heures sur Internet à lire tout ce qui me passe sous la main sur tous les sujets possibles (j'utilise souvent le bouton "Un article au hasard de Wikipédia", juste histoire d'apprendre quelque chose de nouveau) Niveau professionnel je suis depuis cette année professeur des écoles pour une classe de CE1, et franchement je me plaît bien dans ce job, j'ai toujours adoré travailler avec les enfants. Ce qui me fait penser que je n'ai pas encore évoqué ma scolarité et mes études :
Tout s'est déroulé plutôt classiquement, disons que je n'ai jamais vraiment eu à forcer mon talent pour réussir... En primaire mon institutrice avait proposé le saut de classe mais mes parents avaient refusé. Mon école était située dans un petit village et ne comportait que 2 classes "triples-niveaux" (une de GS-CP-CE1, et une de CE2-CM1-CM2) et je me souviens que la plupart du temps je suivais les cours avec les plus grands (donc une voire 2 classes au dessus, parfois même je répondais à leur place) Je suppose que c'est ce qui m'a évité de vraiment m'ennuyer en classe. Par contre je n'étais pas vraiment en phase avec les autres enfants à la récré, moi je lisais des bouquins pendant qu'eux jouaient au foot, à cette époque je n'avais pas beaucoup de copains (ça s'est amélioré à partir du lycée). Par la suite j'ai suivi un cursus plutôt linéaire : collège, Bac S avec mention, licence de biologie et enfin master métiers de l'éducation, sans jamais forcer, sans jamais vraiment réviser, donc sans jamais vraiment exceller, me contentant du minimum pour avancer. Je me suis toujours dit que tôt ou tard ça ne passerait plus de me reposer sur mes lauriers comme ça, et pourtant même pour le concours de prof des écoles l'an dernier je me suis surpris à ne réviser que la veille, voire le matin même dans le tram pour certaines épreuves... au grand dam de certains camarades qui ont passé des mois entiers à réviser et qui ont terminé moins bien classés que moi, voire qui ont raté le concours...Et je me sentais vraiment mal par rapport à eux, comme un voleur qui aurait pris leur place, comme si je ne méritais pas ma réussite... Bon même si aujourd'hui mon métier me plaît, j'ai toujours dans la tête l'idée que j'aurais pu faire beaucoup mieux si je m'étais bougé les fesses...
Là où ça pêche par contre, c'est côté sentimental... Le désert total, le vide absolu... Il ne s'est jamais rien passé... Le pire c'est que je sais d'où vient le problème : quand une fille me plaît vraiment, j'ai souvent tendance à attendre, à vouloir mieux la connaître avant de tenter quoi que ce soit (bon et puis mon manque de confiance en moi ne m'aide pas non plus à être très entreprenant), et je me retrouve vite dans la case du bon pote, du confident... Et là c'est trop tard ! La phrase "je préfère qu'on reste amis" je l'ai entendue à plusieurs reprises. J'ai également tendance à idéaliser la personne en question, à la mettre sur un piédestal, ce qui ne donne jamais rien de bon... Je n'ai pas encore réussi à sortir de ce cercle vicieux... Bref du coup j'ai vraiment un gros manque du côté affectif, pourtant j'ai tant à donner... Bon je m'étalerais peut-être plus sur ce sujet plus tard, je pourrais y passer des heures (c'est souvent ce sujet qui occupe mes pensées quand je n'arrive vraiment pas à dormir...)
Voilà ça fait déjà beaucoup de choses, et je suis sûr que j'en aurais encore plein à dire mais la fatigue commence à se faire sentir à l'approche de 5h15 du matin... Merci à ceux qui m'ont lu jusqu'ici ! Et à bientôt sur ce forum !
Me voici enfin dans un endroit qui semble correspondre à ce que je recherchais ! Mes habituels furetages nocturnes sur Internet m'ont amené ici, et vu que l'ambiance a l'air sympa, me voici inscrit ! Je me présente succinctement : Julien, 23 ans, j'habite à Grenoble. Désolé si ce que j'écris est un peu long, mais je crois que j'ai besoin de vider un peu mon sac en ce moment et ça me semble le lieu idéal !
Je ne saurais dire avec exactitude si je suis un zèbre ou non, étant donné que je n'ai jamais passé le moindre test (et dans l'immédiat je n'ai pas vraiment les moyens d'en passer un, pour le fun j'ai passé le test en ligne sur le site de la Mensa à l'instant, j'ai eu 35/40 en 20 minutes avec des réponses données au hasard pour 3 de mes 5 erreurs, mais bon je ne sais pas trop ce que ça vaut et ne me suis jamais trop fié aux tests en ligne...) mais je me suis reconnu dans beaucoup de caractéristiques citées par ci par là sur le forum ou le wiki, qui semblent rejoindre les doutes que j'avais déjà depuis quelques temps ... Bon depuis toujours en fait, mais l'an dernier mon cursus universitaire m'a amené à suivre des cours de psycho, dont quelques uns portaient sur la précocité intellectuelle, les tests de QI etc... Et ça a été le choc, je me suis reconnu trait pour trait dans les descriptions de l'enseignant (d'ailleurs sans que je l'évoque à ce moment là, ma voisine de cours qui me connait plutôt bien m'a tout de suite dit "ça c'est tout toi !").
De plus en plus je me dis que beaucoup de choses, d'aspects, de problèmes dans ma vie qui semblaient sans aucun lien ont peut-être tous la même origine (bon ça reste très théorique) : tendance à se coucher tard (d'ailleurs il est actuellement 4h50 du matin...) voire à ne pas dormir du tout quand mes pensées fourmillent trop dans tous les sens (ce qui arrivent plutôt souvent, je réfléchis en permanence à des dizaines de sujets, je me fais des films), je suis un professionnel de la procrastination, je me disperse, je commence des choses sans les finir... je dirais également que je me retrouve dans tout qui est hypersensibilité/hyperempathie (je ne sais pas si c'est lié mais ce soir encore je me suis surpris à éprouver de la honte lorsqu'un personnage d'une série que je regardais s'est trouvé dans une posture plutôt ridicule, ce genre de choses m'arrive souvent...), je déteste l'injustice, j'aime bien rétablir la vérité, même si ça peut souvent avoir un côté agaçant pour les autres, j'ai un gros manque de confiance en moi.. Et puis une sensation permanente de vide, d'ennui ,de tristesse, de manque de quelque chose (de stimulation intellectuelle?)... Ce serait trop long de tout lister ! Et pourtant ma vie semble bien remplie !
J'ai pas mal d'amis (qui ont plutôt une haute opinion de moi, contrairement à moi-même...), je sors souvent (je n'aime pas trop la solitude donc j'essaye de sortir au maximum pour éviter de me retrouver seul avec mes pensées dans mon petit appartement, et paradoxalement parfois j'ai ce besoin d'être seul), je fais du sport très régulièrement (mon truc à moi c'est le rugby, j'en fait depuis tout petit ça me défoule pas mal et j'aime bien l'esprit et les valeurs que ce sport véhicule) Niveau passions en fait ça part un peu dans tous les sens, je m'intéresse à tout, j'ai toujours du mal à répondre quand on me demande quel genre de musique j'écoute ou quel genre de film je préfère, c'est très éclectique... Je peux passer des heures sur Internet à lire tout ce qui me passe sous la main sur tous les sujets possibles (j'utilise souvent le bouton "Un article au hasard de Wikipédia", juste histoire d'apprendre quelque chose de nouveau) Niveau professionnel je suis depuis cette année professeur des écoles pour une classe de CE1, et franchement je me plaît bien dans ce job, j'ai toujours adoré travailler avec les enfants. Ce qui me fait penser que je n'ai pas encore évoqué ma scolarité et mes études :
Tout s'est déroulé plutôt classiquement, disons que je n'ai jamais vraiment eu à forcer mon talent pour réussir... En primaire mon institutrice avait proposé le saut de classe mais mes parents avaient refusé. Mon école était située dans un petit village et ne comportait que 2 classes "triples-niveaux" (une de GS-CP-CE1, et une de CE2-CM1-CM2) et je me souviens que la plupart du temps je suivais les cours avec les plus grands (donc une voire 2 classes au dessus, parfois même je répondais à leur place) Je suppose que c'est ce qui m'a évité de vraiment m'ennuyer en classe. Par contre je n'étais pas vraiment en phase avec les autres enfants à la récré, moi je lisais des bouquins pendant qu'eux jouaient au foot, à cette époque je n'avais pas beaucoup de copains (ça s'est amélioré à partir du lycée). Par la suite j'ai suivi un cursus plutôt linéaire : collège, Bac S avec mention, licence de biologie et enfin master métiers de l'éducation, sans jamais forcer, sans jamais vraiment réviser, donc sans jamais vraiment exceller, me contentant du minimum pour avancer. Je me suis toujours dit que tôt ou tard ça ne passerait plus de me reposer sur mes lauriers comme ça, et pourtant même pour le concours de prof des écoles l'an dernier je me suis surpris à ne réviser que la veille, voire le matin même dans le tram pour certaines épreuves... au grand dam de certains camarades qui ont passé des mois entiers à réviser et qui ont terminé moins bien classés que moi, voire qui ont raté le concours...Et je me sentais vraiment mal par rapport à eux, comme un voleur qui aurait pris leur place, comme si je ne méritais pas ma réussite... Bon même si aujourd'hui mon métier me plaît, j'ai toujours dans la tête l'idée que j'aurais pu faire beaucoup mieux si je m'étais bougé les fesses...
Là où ça pêche par contre, c'est côté sentimental... Le désert total, le vide absolu... Il ne s'est jamais rien passé... Le pire c'est que je sais d'où vient le problème : quand une fille me plaît vraiment, j'ai souvent tendance à attendre, à vouloir mieux la connaître avant de tenter quoi que ce soit (bon et puis mon manque de confiance en moi ne m'aide pas non plus à être très entreprenant), et je me retrouve vite dans la case du bon pote, du confident... Et là c'est trop tard ! La phrase "je préfère qu'on reste amis" je l'ai entendue à plusieurs reprises. J'ai également tendance à idéaliser la personne en question, à la mettre sur un piédestal, ce qui ne donne jamais rien de bon... Je n'ai pas encore réussi à sortir de ce cercle vicieux... Bref du coup j'ai vraiment un gros manque du côté affectif, pourtant j'ai tant à donner... Bon je m'étalerais peut-être plus sur ce sujet plus tard, je pourrais y passer des heures (c'est souvent ce sujet qui occupe mes pensées quand je n'arrive vraiment pas à dormir...)
Voilà ça fait déjà beaucoup de choses, et je suis sûr que j'en aurais encore plein à dire mais la fatigue commence à se faire sentir à l'approche de 5h15 du matin... Merci à ceux qui m'ont lu jusqu'ici ! Et à bientôt sur ce forum !
Dernière édition par Mysterion le Lun 5 Nov 2012 - 16:10, édité 1 fois
Mysterion- Messages : 8
Date d'inscription : 05/11/2012
Age : 35
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
sois le bienvenu!
j'aime beaucoup ta presentation et la sensibilité qui s'en degage
je te souhaite de trouver sur ce forum certaines des clefs permettant de mieux te connaitre,des personnes attentives pour echanger,donner,recevoir...vivre encore plus pleinement donc! et ainsi peut etre commencer à admettre que oui,tu es réellement quelqu'un de valeur avec justement tous ces petits "travers" qui pour beaucoup ici,n'en sont meme pas
j'aime beaucoup ta presentation et la sensibilité qui s'en degage
je te souhaite de trouver sur ce forum certaines des clefs permettant de mieux te connaitre,des personnes attentives pour echanger,donner,recevoir...vivre encore plus pleinement donc! et ainsi peut etre commencer à admettre que oui,tu es réellement quelqu'un de valeur avec justement tous ces petits "travers" qui pour beaucoup ici,n'en sont meme pas
Invité- Invité
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Bienvenue Julien
Une présentation plutôt complète et pleine de sincérité.
Tu as des caractéristiques communes à beaucoup d'entre nous. Ce forum t'aidera sans doute à mieux comprendre ta personnalité et à trouver des réponses à tes questions sur toi-même.
Une présentation plutôt complète et pleine de sincérité.
Tu as des caractéristiques communes à beaucoup d'entre nous. Ce forum t'aidera sans doute à mieux comprendre ta personnalité et à trouver des réponses à tes questions sur toi-même.
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Merci beaucoup pour votre accueil
Mysterion- Messages : 8
Date d'inscription : 05/11/2012
Age : 35
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Bienvenue, Julien! Cette impression de ne pas mériter ce que j'ai réussi, parce que je n'ai "rien fait pour", je la connais bien (j'en discutais encore tout récemment), donc ce que tu écris me parle beaucoup.
Et je trouve que tu as choisi un beau métier, d'autant plus que peu d'hommes l'exercent. (C'est pourtant important!) D'ailleurs, côté femmes, pour te rassurer: mon frère, même âge que toi, a aussi longtemps eu du mal avec les filles, alors qu'il avait tout pour plaire. Depuis quelques mois, il a pourtant une copine avec laquelle ça se passe très bien, malgré son expatriation pour Grenoble (eh ben oui!) où il termine ses études. Donc ce n'est pas perdu et tu es encore jeune.
Au plaisir de te lire,
Fleur
Et je trouve que tu as choisi un beau métier, d'autant plus que peu d'hommes l'exercent. (C'est pourtant important!) D'ailleurs, côté femmes, pour te rassurer: mon frère, même âge que toi, a aussi longtemps eu du mal avec les filles, alors qu'il avait tout pour plaire. Depuis quelques mois, il a pourtant une copine avec laquelle ça se passe très bien, malgré son expatriation pour Grenoble (eh ben oui!) où il termine ses études. Donc ce n'est pas perdu et tu es encore jeune.
Au plaisir de te lire,
Fleur
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Bienvenue !
Je suis arrivée seulement quelques heures avant toi et ta présentation me parle. Je me reconnais dans tout ce que tu dis !
Pour ce qui est d'avoir le sentiment de ne pas mériter ce que tu obtiens, ça s'appelle le syndrome de l'imposteur.
Faire le minimum et se dire qu'on aurait pu mieux faire fait également partie de la condition de zèbre.
Enfin bref, beaucoup de réponses par ici, beaucoup de questions aussi, j'espère que ce fofo t'aidera quoi que tu y cherches !
Je suis arrivée seulement quelques heures avant toi et ta présentation me parle. Je me reconnais dans tout ce que tu dis !
Pour ce qui est d'avoir le sentiment de ne pas mériter ce que tu obtiens, ça s'appelle le syndrome de l'imposteur.
Faire le minimum et se dire qu'on aurait pu mieux faire fait également partie de la condition de zèbre.
Enfin bref, beaucoup de réponses par ici, beaucoup de questions aussi, j'espère que ce fofo t'aidera quoi que tu y cherches !
Re: To be zèbre or not to be zèbre, that is the question !
Merci Fleur et Claire
C'est plaisant de se rendre compte que je ne suis pas un "cas" isolé, et ça fait du bien de vider un peu son sac auprès de gens qui comprennent vraiment ce qu'on ressent.
J'ai commandé à l'instant le fameux livre "Trop intelligent pour être heureux" dont les quelques extraits que j'ai pu lire faisaient déjà écho à pas mal de choses en moi ! J'espère que sa lecture se révélera instructive.
C'est plaisant de se rendre compte que je ne suis pas un "cas" isolé, et ça fait du bien de vider un peu son sac auprès de gens qui comprennent vraiment ce qu'on ressent.
J'ai commandé à l'instant le fameux livre "Trop intelligent pour être heureux" dont les quelques extraits que j'ai pu lire faisaient déjà écho à pas mal de choses en moi ! J'espère que sa lecture se révélera instructive.
Mysterion- Messages : 8
Date d'inscription : 05/11/2012
Age : 35
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