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Re: Présentation
Un viticulteur l'a fait, il a créé Le Mas Virginie dans le sud de la Drôme et roule désormais sur l'or. Plus grand complexe libertin de France, ils ont des clients qui font jusque 200km pour y venir.
Y'a un concept à creuser. Mais la piscine, dans le nord, suis pas sur.
Sinon faire tour opérateur libertin, ça fonctionne ça aussi. Ou un réseau social de chambres d'hôtes à thème, etc...
Y'a un concept à creuser. Mais la piscine, dans le nord, suis pas sur.
Sinon faire tour opérateur libertin, ça fonctionne ça aussi. Ou un réseau social de chambres d'hôtes à thème, etc...
Yul- Messages : 4076
Date d'inscription : 14/06/2014
Re: Présentation
Festival hard rock avec mes potes.
Ha ! Jouissance !
JOUISSANCE TOTALE !
Un peu bourré mais putain que c'est bon !
Ha ! Jouissance !
JOUISSANCE TOTALE !
Un peu bourré mais putain que c'est bon !
Invité- Invité
Re: Présentation
Potus rmgilnhicat pmtnsorggol hbcatlpitts rdgoluhcchtap.
Dtosurmgaliha ca tcpetlsirngillhehc.
Tipat snrigel hpcltapttscrhgoluh cntop tmsnrigel hgcrtoputsstrngol.
Hocut pmtosurzgilkhac tbpatlscrhgolïh cmtopttcshr gilehsctt pktastrogrlihïc tnpite svrcgilehgcdtap tpsarlgaljhucttepltnsirïg...
Dtosurmgaliha ca tcpetlsirngillhehc.
Tipat snrigel hpcltapttscrhgoluh cntop tmsnrigel hgcrtoputsstrngol.
Hocut pmtosurzgilkhac tbpatlscrhgolïh cmtopttcshr gilehsctt pktastrogrlihïc tnpite svrcgilehgcdtap tpsarlgaljhucttepltnsirïg...
Invité- Invité
Re: Présentation
jfljvndlkv lgkjhl dkhmlf mfvjLjgvbg !!!
dlkh dligvmkg mkjgrflih lkhm ?
kjfd mkug ùlhrjfkh fmkjgd rkh !! lkjmkh !!!
mflkhrerihjhdl fj ljrguf ? kg ? kyfflkjgq !!
LKJGMKIGSDMIFUGMIUDG MJGFRMMI !!!! LJHD LJKGVKGRF KG !!!!
LJV !!
dlkh dligvmkg mkjgrflih lkhm ?
kjfd mkug ùlhrjfkh fmkjgd rkh !! lkjmkh !!!
mflkhrerihjhdl fj ljrguf ? kg ? kyfflkjgq !!
LKJGMKIGSDMIFUGMIUDG MJGFRMMI !!!! LJHD LJKGVKGRF KG !!!!
LJV !!
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
C'est quoi cette mode de jouer au piano sur son clavier d'ordi ?
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Je m'essaye à un nouveau concept de musique contemporaine.
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
En ce moment sur France Culture, une série d'émissions consacrées à l'un de mes grands héros : Churchill.
Invité- Invité
Re: Présentation
avec le lien, c'est mieux
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Celle-là là ! Faut tout lui faire !
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Op. 8 Nr. 12, Patetico, de S. dont mon meilleur pote m'a parlé hier.
Beau à se tirer une balle.
Beau à se tirer une balle.
Invité- Invité
Re: Présentation
C'est pas le truc que tu avais mis à fond sur la sono pendant qu'on faisait l'amour sur ton cheval, Centaure ? Ou dont tu m'as parlé je ne sais plus quand ?
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Je pourrais me lancer là-dedans, mais le problème c'est que comme je ne joue déjà quasiment que des pièces de ce style-là, ça ne va pas beaucoup m'aider à m'en émanciper !...
Invité- Invité
Re: Présentation
Groustpitchal a écrit:Op. 8 Nr. 12, Patetico, de S. dont mon meilleur pote m'a parlé hier.
Beau à se tirer une balle.
Tu trouves ? J'aime bien Scriabin, mais ce truc là pas du tout, trop hystericopatetico.
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Faut affronter la bête mon ami, la virtuosité est encore plus belle dans la lenteur, l'expression plus difficile. La rapidité est ta zone de confort, sort !
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
On sent l'influence de Chopin jusque dans le choix du numéro de l'étude !
Beau à hurler.
Beau à hurler.
Invité- Invité
Re: Présentation
Putain, ça a quand même l'air dur !!!
Je note pour le poème en Fa dièse majeur.
Je note pour le poème en Fa dièse majeur.
Invité- Invité
Re: Présentation
Groustpitchal a écrit: Putain, ça a quand même l'air dur !!!
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Je retire ce que j'ai dit sur l'influence de Chopin.
Y en a peut-être un peu mais…
Et puis ! Au diable la musicologie ! On a le droit de se tromper !
Y en a peut-être un peu mais…
Et puis ! Au diable la musicologie ! On a le droit de se tromper !
Invité- Invité
Re: Présentation
L'auteur est bien peu de chose à côté de ceux qui font vivre la partition, non ?
Dernière édition par Centaure Z'ailée le Mer 22 Juil 2015 - 12:00, édité 1 fois
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
[quote="Centaure Z'ailée"][quote="Groustpitchal"] Putain, ça a quand même l'air dur !!! [/quote]
[/quote]
Ça a l'air dur, mais je certain que je pourrais la monter en deux jours.
Problème c'est que je donne un cours ce pm que je dois composer deux gros trucs pour demain que je répète dimanche…
Mais…
Putain ! Je suis en train de tomber amoureux de Scriabine !! Je me reconnais dans cette esthétique de malade !
[youtube]t-ehSS3bhB0[/youtube]
[/quote]
Ça a l'air dur, mais je certain que je pourrais la monter en deux jours.
Problème c'est que je donne un cours ce pm que je dois composer deux gros trucs pour demain que je répète dimanche…
Mais…
Putain ! Je suis en train de tomber amoureux de Scriabine !! Je me reconnais dans cette esthétique de malade !
[youtube]t-ehSS3bhB0[/youtube]
Invité- Invité
Re: Présentation
[quote="Centaure Z'ailée"]L'auteur est bien peu de chose à côté de ceux qui le font vivre, non ?[/quote]
Provocation très grossière.
Je ne relève évidemment pas.
Provocation très grossière.
Je ne relève évidemment pas.
Invité- Invité
Re: Présentation
J'aimerais bien qu'oïoçç, Uccen, Virtual Virus ou je ne sais qui vienne poster une image horrible.
Ça m'éviterais d'avoir à le faire moi-même.
Sorug lmticntitas rbgallhictt pdtosurcghlahc tIpat sdrogulrhacktp testrog lshacvtspitesmr gmlhncotgptos rkgrlahscstipvtos rig lghrcdotupcttsnrog.
Horrible n'est pas le mot juste.
Ça m'éviterais d'avoir à le faire moi-même.
Sorug lmticntitas rbgallhictt pdtosurcghlahc tIpat sdrogulrhacktp testrog lshacvtspitesmr gmlhncotgptos rkgrlahscstipvtos rig lghrcdotupcttsnrog.
Horrible n'est pas le mot juste.
Invité- Invité
Re: Présentation
C'est parce qu'il souffle la vie à son œuvre en la jouant que le compositeur crée, non ?
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Waow ! Ça tape ici !
Tu as décidé de lui faire des noeuds au cerveau à ce pauvre Grou ?
Je vais vous livrer quelques unes de mes réflexions intimes pour vous aider à mener votre propre réflexion petits innocents !
La musique pour sa spécificité d’un art impalpable, invisible ; un art qui me semble le mieux manifester le sens du sacré – une dimension présente dans mes préoccupations de compositeurs. La création m’est apparue comme une réponse dans la nécessité de rechercher une image de plus en plus claire d’un monde au demeurant obscur, voire étrange.
Par l’acte de création, je suis amené à me poser les questions que tout créateur se pose : mise en œuvre, élaboration et plus encore les questions spécifiques à notre époque sur la création, ainsi que les mobiles profonds qui motivent mes choix. En ce sens mon enseignement de l’écriture s’enrichit sans cesse par mes propres préoccupations ; ainsi, puis-je, par exemple, apporter le regard d’un créateur de la fin du XXème siècle sur une symphonie de l’époque classique en mettant en évidence des paramètres tels que l’organisation temps/écriture, l’espace sonore, le choix des timbres et de leurs combinaisons généralement délaissés lorsque l’on aborde un créateur. D’une façon plus générale je pense que le regard d’un créateur est forcément différent de celui d’un analyste. Le premier est si l’on peut dire un « homme de terrain ». Cela donne une autre sensibilité dans l’approche mais peut-être aussi une gêne car il y a une certaine obsession à rechercher dans le patrimoine culturel ce qui constitue son propre « credo » , mettant en valeur certaines œuvres du passé, ou certains aspects dans ces œuvres, en délaissant d’autres non moins importants.
Bien plus que des lois il faut un état d’esprit. Écrire un opéra pour enfants, c’est décider de se pencher sur cette partie de notre vie, de ce monde qui sommeille en nous, où le merveilleux est au quotidien. En ce qui concerne la musique, j’ai cherché au delà des contraintes esthétiques qui m’étaient imposées par ailleurs, une certaine candeur, les enfants ayant l’esprit ouvert à tout. J’ai fait se côtoyer au sein de cette œuvre : musique tonale, modale, l’utilisation d’une série, les bruits de la nature, étant bien certain qu’ils n’en éprouveraient aucune gêne. La première audition m’a bel et bien permis de le vérifier. Par ailleurs, ce projet me tenait à cœur au delà de la commande qu’il a suscitée. Je pense que les adultes ont des devoirs envers les enfants, nous portons la responsabilité d’un monde que nous leur laisserons demain, la déresponsabilisation qui règne actuellement et l’univers factice des loisirs que nous créons continuellement sont un piètre cadeau à l’enfance. C’est pour cela qu’il m’a paru nécessaire de créer le texte de cet opéra – écriture sous forme de conte didactique – au lieu de puiser dans la monumentale littérature enfantine. C’est une façon de poser une situation actuelle et non archétypale, hors du temps, et ceci même si le schéma de mon histoire est imprégnée d’archétypes. Pour cela, oui, il y a des lois : celles qui permettent l’efficacité d’un conte.
Le développement d’un théâtre musical spécifique au public d’enfants est envisageable ; je m’en méfierais cependant. Vouloir à tout prix motiver les enfants vers la musique ou l’art d’une façon générale c’est, derrière une tentative qui se voudrait culturelle, masquer un problème de fond : pallier au dédain actuel du public devant la production artistique en général ou encore sa désertion dans les concerts. On peut toujours imposer aux enfants de l’école primaire l’écoute d’un opéra par semaine, verrons-nous la naissance de nouveaux Mozart ? j’en doute. Si la sensibilisation vers l’art est bien une question d’éducation, je crois plus volontiers en une éducation « initiatique » que de masse. Les institutions tuent la foi.
Très tôt j’ai recherché dans mes créations des timbres particuliers ; vous aurez remarqué une prédilection pour les sonorités suaves, les timbres au registres graves, sans doute en conséquence de ma formation de guitariste. Si j’hésite sur certains paramètres, j’ai rarement le doute sur l’emploi des timbres. Ils sont quelquefois même une motivation pour écrire. Je n’ai jamais eu à modifier un choix initial dans l’instrumentation ; les commandes me sont à ce titre quelquefois très pesantes pour moi qui aime à choisir mes timbres comme un peintre le ferait de sa palette. Le goût de l’expérience que vous mentionnez motive effectivement certaines associations ; à cela s’adjoint la volonté de créer une atmosphère particulière, voire de jouer sur des contrastes. A l’origine de certaines pièces une motivation extra musicale telle qu’une réflexion philosophique ou le choix d’un texte a pu engager mon choix quant à l’instrumentation.
Cette situation traduit une évidence : la France connaît une art « d’état » ; art officiel qui nous rappelle que notre époque n’est finalement pas si différente de celles des 17ème ou 18ème siècles français, et ce, malgré tous les mouvements de libérations qui ont existé depuis le 19ème siècle. En fait, chaque époque propose ses modèles à l’Histoire comme marque caractéristique de son temps. Faut-il les ignorer ou les prendre en absolu ? Pour ma part, j’éprouve toujours quelques réticences envers les monopoles, les références, refusant tout autant de me plier à une esthétique dominante qu’à celle d’un courant néo…
Je crois qu’il faut utiliser une référence comme stimulation à la création. L’existence d’un modèle me motive vers un questionnement en marge voire à l’encontre de celui-ci. En ce sens, l’art est une perpétuelle remise en cause des valeurs établies. Ceci m’entraîne vers votre question concernant question concernant l’immobilité de notre siècle : question fort difficile à régler en quelques mots. Je constate qu’après une première partie de siècle très riche en créations, nous vivons depuis plusieurs années une période tout à fait stérile ; on ne voit pus surgir de ces œuvres phares si nombreuse jusqu’en 1950. A considérer l’essoufflement actuel en matière de création, de pensée artistique (voire de pensée tout court) il y a immobilité mais celle-ci ne concerne pas le siècle en son entier. Quant au monopole de certains artistes, il atteste plus d’une permanence que d’une immobilité : permanence d’un modèle dans une tranche de l’Histoire que vous situez de 1946 à nos jours. Mais cela n’autorise pas à nier l’existence d’autres courants artistiques parallèles forts différents, ce qui contredit l’idée de l’immobilité. Il faut différencier d’ailleurs l’image représentative d’une culture et sa réalité artistique. Force nous est d’admettre que l’histoire de l’art vient de connaître une période de tendances sans égales mais que ces multiplicités ne donnent pas les résultats escomptés. L’immobilité existe mais ne me semble pas être liée à la cause du monopole que vous lui attribuez mais plutôt à une carence générale de la pensée.
Je pense en effet que le créateur a plus que à charge de témoigner, de prendre le flambeau de cette quête du sens et de la mise en question des formes qui font tellement défaut aujourd’hui aux penseurs. L’indigence voire l’absence totale de courant de pensée s’opposant aux idées, à l’art établi, engage l’artiste vers cette voie de témoin rebelle ; mais quel moyen aura-t-il pour se faire entendre ? Le problème de la diffusion est paradoxalement dans une époque de communication aussi développé toujours très difficile et que dire du problème de la réception !!! Peut-être plus difficile encore pour la musique.
Pour en revenir au statut de témoin rebelle, je ne pense pas que la musique ait une place particulière à occuper, tous les arts sont concernés et tous les artistes devraient l’être aussi.
La création indépendante dont vous me parlez présente l’avantage d’œuvrer sans chercher à plaire, sans s’enfermer dans la contrainte d’un système qui veut toujours cerner un créateur par rapport à un autre, l’emprisonner dans une mode. Mais en dehors de cela, la situation de l’art actuel, où tout et n’importe qui prend le statut de créateur quand se multiplient des systèmes aussi nombreux que stériles, ne permet plus de se faire une vision juste de l’art voire même une quelconque vision de l’art. Devant une telle situation, l’indépendance reste le meilleurs moyen de montrer son opposition. On confond art et argent, art et virtuosité…
La vie sans musiquer : oui, les autres arts m’apportent les mêmes possibilités créatrices. Mais sans créer ou sans création c’est tout à fait impossible pour moi d’envisager l’existence.
Un intense besoin de réfléchir sur le monde qui aboutit à une production artistique. Cette nécessité intérieure explique peut-être que ma production reste à l’écart des modes ou des systèmes. Ceci en axant mon travail sur deux points fondamentaux : la dimension verticale et les timbres ; deux préoccupations qui n’ont cessé d’être présentes jusqu’à ce jour à travers toute ma création. Outre la réflexion comme base de l’œuvre, les mobiles extra-musicaux restent fréquents. Bien sûr, j’ai conscience que l’écoute d’une pièce ne permet en aucune façon à l’auditeur de remonter à la source de sa motivation et c’est bien en ce sens que j’utilise cette spécificité de la musique : c’est une ouverture des significations ; ouverture que j’associe à la forme dans L’Épopée de Sable ; ceci pour pallier au sens plus immédiat que recèle le texte d’Hugo. Dans cette pièce, j’ai abordé le problème particulier de l’inachèvement de l’œuvre à l’appui du texte épique en offrant aux interprètes la possibilité de donner ou non l’intégralité des poèmes utilisés à partir des extraits mis en musique qui forment modèles.
Cette idée de l’inachèvement de l’œuvre d’art m’apparaît comme fondamentale : elle marque les limites de la puissance de l’homme à saisir le réel. Au niveau de la création, il ne s’agit pas tant pour moi d’écrire des œuvres « ouvertes » que de présenter une création achevée mais potentiellement infinie.
Il y a également la notion de l’œuvre comme espace sacré, espace-temps particulier que recèle potentiellement l’œuvre et qui n’est révélé qu’au moment de l’exécution. J’essaie de creuser la relation possible entre cet espace sacré de l’œuvre musicale et la durée qui s’écoule indépendamment.
Tu as décidé de lui faire des noeuds au cerveau à ce pauvre Grou ?
Je vais vous livrer quelques unes de mes réflexions intimes pour vous aider à mener votre propre réflexion petits innocents !
La musique pour sa spécificité d’un art impalpable, invisible ; un art qui me semble le mieux manifester le sens du sacré – une dimension présente dans mes préoccupations de compositeurs. La création m’est apparue comme une réponse dans la nécessité de rechercher une image de plus en plus claire d’un monde au demeurant obscur, voire étrange.
Par l’acte de création, je suis amené à me poser les questions que tout créateur se pose : mise en œuvre, élaboration et plus encore les questions spécifiques à notre époque sur la création, ainsi que les mobiles profonds qui motivent mes choix. En ce sens mon enseignement de l’écriture s’enrichit sans cesse par mes propres préoccupations ; ainsi, puis-je, par exemple, apporter le regard d’un créateur de la fin du XXème siècle sur une symphonie de l’époque classique en mettant en évidence des paramètres tels que l’organisation temps/écriture, l’espace sonore, le choix des timbres et de leurs combinaisons généralement délaissés lorsque l’on aborde un créateur. D’une façon plus générale je pense que le regard d’un créateur est forcément différent de celui d’un analyste. Le premier est si l’on peut dire un « homme de terrain ». Cela donne une autre sensibilité dans l’approche mais peut-être aussi une gêne car il y a une certaine obsession à rechercher dans le patrimoine culturel ce qui constitue son propre « credo » , mettant en valeur certaines œuvres du passé, ou certains aspects dans ces œuvres, en délaissant d’autres non moins importants.
Bien plus que des lois il faut un état d’esprit. Écrire un opéra pour enfants, c’est décider de se pencher sur cette partie de notre vie, de ce monde qui sommeille en nous, où le merveilleux est au quotidien. En ce qui concerne la musique, j’ai cherché au delà des contraintes esthétiques qui m’étaient imposées par ailleurs, une certaine candeur, les enfants ayant l’esprit ouvert à tout. J’ai fait se côtoyer au sein de cette œuvre : musique tonale, modale, l’utilisation d’une série, les bruits de la nature, étant bien certain qu’ils n’en éprouveraient aucune gêne. La première audition m’a bel et bien permis de le vérifier. Par ailleurs, ce projet me tenait à cœur au delà de la commande qu’il a suscitée. Je pense que les adultes ont des devoirs envers les enfants, nous portons la responsabilité d’un monde que nous leur laisserons demain, la déresponsabilisation qui règne actuellement et l’univers factice des loisirs que nous créons continuellement sont un piètre cadeau à l’enfance. C’est pour cela qu’il m’a paru nécessaire de créer le texte de cet opéra – écriture sous forme de conte didactique – au lieu de puiser dans la monumentale littérature enfantine. C’est une façon de poser une situation actuelle et non archétypale, hors du temps, et ceci même si le schéma de mon histoire est imprégnée d’archétypes. Pour cela, oui, il y a des lois : celles qui permettent l’efficacité d’un conte.
Le développement d’un théâtre musical spécifique au public d’enfants est envisageable ; je m’en méfierais cependant. Vouloir à tout prix motiver les enfants vers la musique ou l’art d’une façon générale c’est, derrière une tentative qui se voudrait culturelle, masquer un problème de fond : pallier au dédain actuel du public devant la production artistique en général ou encore sa désertion dans les concerts. On peut toujours imposer aux enfants de l’école primaire l’écoute d’un opéra par semaine, verrons-nous la naissance de nouveaux Mozart ? j’en doute. Si la sensibilisation vers l’art est bien une question d’éducation, je crois plus volontiers en une éducation « initiatique » que de masse. Les institutions tuent la foi.
Très tôt j’ai recherché dans mes créations des timbres particuliers ; vous aurez remarqué une prédilection pour les sonorités suaves, les timbres au registres graves, sans doute en conséquence de ma formation de guitariste. Si j’hésite sur certains paramètres, j’ai rarement le doute sur l’emploi des timbres. Ils sont quelquefois même une motivation pour écrire. Je n’ai jamais eu à modifier un choix initial dans l’instrumentation ; les commandes me sont à ce titre quelquefois très pesantes pour moi qui aime à choisir mes timbres comme un peintre le ferait de sa palette. Le goût de l’expérience que vous mentionnez motive effectivement certaines associations ; à cela s’adjoint la volonté de créer une atmosphère particulière, voire de jouer sur des contrastes. A l’origine de certaines pièces une motivation extra musicale telle qu’une réflexion philosophique ou le choix d’un texte a pu engager mon choix quant à l’instrumentation.
Cette situation traduit une évidence : la France connaît une art « d’état » ; art officiel qui nous rappelle que notre époque n’est finalement pas si différente de celles des 17ème ou 18ème siècles français, et ce, malgré tous les mouvements de libérations qui ont existé depuis le 19ème siècle. En fait, chaque époque propose ses modèles à l’Histoire comme marque caractéristique de son temps. Faut-il les ignorer ou les prendre en absolu ? Pour ma part, j’éprouve toujours quelques réticences envers les monopoles, les références, refusant tout autant de me plier à une esthétique dominante qu’à celle d’un courant néo…
Je crois qu’il faut utiliser une référence comme stimulation à la création. L’existence d’un modèle me motive vers un questionnement en marge voire à l’encontre de celui-ci. En ce sens, l’art est une perpétuelle remise en cause des valeurs établies. Ceci m’entraîne vers votre question concernant question concernant l’immobilité de notre siècle : question fort difficile à régler en quelques mots. Je constate qu’après une première partie de siècle très riche en créations, nous vivons depuis plusieurs années une période tout à fait stérile ; on ne voit pus surgir de ces œuvres phares si nombreuse jusqu’en 1950. A considérer l’essoufflement actuel en matière de création, de pensée artistique (voire de pensée tout court) il y a immobilité mais celle-ci ne concerne pas le siècle en son entier. Quant au monopole de certains artistes, il atteste plus d’une permanence que d’une immobilité : permanence d’un modèle dans une tranche de l’Histoire que vous situez de 1946 à nos jours. Mais cela n’autorise pas à nier l’existence d’autres courants artistiques parallèles forts différents, ce qui contredit l’idée de l’immobilité. Il faut différencier d’ailleurs l’image représentative d’une culture et sa réalité artistique. Force nous est d’admettre que l’histoire de l’art vient de connaître une période de tendances sans égales mais que ces multiplicités ne donnent pas les résultats escomptés. L’immobilité existe mais ne me semble pas être liée à la cause du monopole que vous lui attribuez mais plutôt à une carence générale de la pensée.
Je pense en effet que le créateur a plus que à charge de témoigner, de prendre le flambeau de cette quête du sens et de la mise en question des formes qui font tellement défaut aujourd’hui aux penseurs. L’indigence voire l’absence totale de courant de pensée s’opposant aux idées, à l’art établi, engage l’artiste vers cette voie de témoin rebelle ; mais quel moyen aura-t-il pour se faire entendre ? Le problème de la diffusion est paradoxalement dans une époque de communication aussi développé toujours très difficile et que dire du problème de la réception !!! Peut-être plus difficile encore pour la musique.
Pour en revenir au statut de témoin rebelle, je ne pense pas que la musique ait une place particulière à occuper, tous les arts sont concernés et tous les artistes devraient l’être aussi.
La création indépendante dont vous me parlez présente l’avantage d’œuvrer sans chercher à plaire, sans s’enfermer dans la contrainte d’un système qui veut toujours cerner un créateur par rapport à un autre, l’emprisonner dans une mode. Mais en dehors de cela, la situation de l’art actuel, où tout et n’importe qui prend le statut de créateur quand se multiplient des systèmes aussi nombreux que stériles, ne permet plus de se faire une vision juste de l’art voire même une quelconque vision de l’art. Devant une telle situation, l’indépendance reste le meilleurs moyen de montrer son opposition. On confond art et argent, art et virtuosité…
La vie sans musiquer : oui, les autres arts m’apportent les mêmes possibilités créatrices. Mais sans créer ou sans création c’est tout à fait impossible pour moi d’envisager l’existence.
Un intense besoin de réfléchir sur le monde qui aboutit à une production artistique. Cette nécessité intérieure explique peut-être que ma production reste à l’écart des modes ou des systèmes. Ceci en axant mon travail sur deux points fondamentaux : la dimension verticale et les timbres ; deux préoccupations qui n’ont cessé d’être présentes jusqu’à ce jour à travers toute ma création. Outre la réflexion comme base de l’œuvre, les mobiles extra-musicaux restent fréquents. Bien sûr, j’ai conscience que l’écoute d’une pièce ne permet en aucune façon à l’auditeur de remonter à la source de sa motivation et c’est bien en ce sens que j’utilise cette spécificité de la musique : c’est une ouverture des significations ; ouverture que j’associe à la forme dans L’Épopée de Sable ; ceci pour pallier au sens plus immédiat que recèle le texte d’Hugo. Dans cette pièce, j’ai abordé le problème particulier de l’inachèvement de l’œuvre à l’appui du texte épique en offrant aux interprètes la possibilité de donner ou non l’intégralité des poèmes utilisés à partir des extraits mis en musique qui forment modèles.
Cette idée de l’inachèvement de l’œuvre d’art m’apparaît comme fondamentale : elle marque les limites de la puissance de l’homme à saisir le réel. Au niveau de la création, il ne s’agit pas tant pour moi d’écrire des œuvres « ouvertes » que de présenter une création achevée mais potentiellement infinie.
Il y a également la notion de l’œuvre comme espace sacré, espace-temps particulier que recèle potentiellement l’œuvre et qui n’est révélé qu’au moment de l’exécution. J’essaie de creuser la relation possible entre cet espace sacré de l’œuvre musicale et la durée qui s’écoule indépendamment.
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Putain, qu'est-ce que je suis intelligent ! C'est beau, non ?!
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
T'es le meilleur mon choubidoubidou ! Dis donc, je ne savais pas que tu t'appelais aussi Philippe !
'C.Z.- Messages : 2910
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Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
JCVD a écrit:Putain, qu'est-ce que je suis intelligent ! C'est beau, non ?!
Ben oui ! C'est beau l'amour !
'C.Z.- Messages : 2910
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Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Centaure Z'ailée a écrit:T'es le meilleur mon choubidoubidou ! Dis donc, je ne savais pas que tu t'appelais aussi Philippe !
Ah ! Merde ! J'ai du laisser passer un truc…
Hum ! Hum…
Oui, JCVD est mon pseudo, mais mon vrai prénom est Philippe. Tu ne t'en étais pas douté ?
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Comme tout est fou en ce bas monde…
Tipat snragdlihecitapitosursgsl hcchttpot sarngal hncet ptbsorugdlihecttrpatzsbrigtl hscetrpdttssreg.
Toujours ce putain de biais…
Tkpatks ragblohucittpcthsnrog...
Tipat snragdlihecitapitosursgsl hcchttpot sarngal hncet ptbsorugdlihecttrpatzsbrigtl hscetrpdttssreg.
Toujours ce putain de biais…
Tkpatks ragblohucittpcthsnrog...
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Re: Présentation
Groustpitchal a écrit:Comme tout est fou en ce bas monde…
Tipat snragdlihecitapitosursgsl hcchttpot sarngal hncet ptbsorugdlihecttrpatzsbrigtl hscetrpdttssreg.
Toujours ce putain de biais…
Tkpatks ragblohucittpcthsnrog...
Tipat, tipat… Tipatki ?
Paski moi, omipat pas comsa ! Hein !
Timipat, oui, midi panzani ! (j'ai toujours su que Grou devait venir d'Italie ou un truc comme ça)
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
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Re: Présentation
Bestagen Gretchen Keuj Beztakrupp (eins, zwei) !! (celle-là, je l'avais déjà sortie… p.20 !)
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Re: Présentation
Cher journal,
Je suis fatigué.
J'étais résolu à bosser, c'est raté, et bien raté - pour une raison indépendante de ma volonté.
La fatigue m'écrase.
Il ne me reste plus qu'à aller me coucher.
Bonne nuit.
Je suis fatigué.
J'étais résolu à bosser, c'est raté, et bien raté - pour une raison indépendante de ma volonté.
La fatigue m'écrase.
Il ne me reste plus qu'à aller me coucher.
Bonne nuit.
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Re: Présentation
Je suis un boute-en-train, j'amuse mes contemporains !
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Groustpitchal a écrit:J'aimerais bien qu'oïoçç, Uccen ou je ne sais quel avatar de Lui-même vienne poster une image horrible.
Ça m'éviterais d'avoir à le faire moi-même.
Horrible n'est pas le mot juste.
Désolé mes clones foutent que dalle,
je viens réparer quelques manquements.
Le terme juste était horripilant,
mot compte triple.
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Re: Présentation
Panne de whisky à 20h40 un lundi soir à la montagne. La putain de tuile !
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Re: Présentation
Pardi ! Pauvre 'Pitch ! Vous ne pûtes donc pas picoler un petit peu en paix !
Et dire, en sus, que si vous aviez eu sous la main quelque bouteille d'un whisky - même quelconque ! - vous eussiez pu la cuisiner là, votre putain de tuile !... (voire la déguster en bonne compagnie, pute vierge !)
La tuile au whisky (et sa mousse façon cappuccino, s'il vous plait !) :
- Faire chauffer 600 ml de lait frais entier dans une casserole. Y incorporer du café soluble à votre convenance ainsi que la cassonade.
- Faire tremper la gélatine (3 feuilles) dans de l'eau froide - incorporer au lait. Fouetter, passer au chinois et laisser refroidir à température ambiante.
- Monter en chantilly : 1 litre de crème fraiche entière, la serrer au sucre glace et incorporer du cacao en poudre non sucré. ( A votre goût) réserver au frais.
- Incorporer le lait au café à 1 kg de mascarpone - verser dans les 16 verrines et réserver au frais.
Faire chauffer 1L de lait frais entier, y incorporer 2 gousses de vanille Bourbon, fendues et grattées. Laisser infuser 20 minutes, sucrer au sucre glace à votre gout.
- Faire un appareil à tuiles avec : 200 g de sucre glace , 2 œufs entiers +2 blancs battus et 50g de farine - incorporer 20 cl de whisky rye et 50 g de beurre fondu.
Dresser sur une plaque à pâtisserie en cercle au pinceau, mettre a cuire à 220C° jusqu'à prendre une couleur dorée, sortir du four et former en tuile.
- Dresser la chantilly dans les verrines jusqu'à 5mn du bord.
- Mettre le lait vanillé au siphon.
Au moment de dresser. poser la verrine sur l'assiettes, saupoudrer de sucre glace le tout. Déposer 5 grains de café en chocolat et la petite cuillère sur l'assiette
Dresser la mousse de lait au siphon et planter une tuile en casquette.
Et dire, en sus, que si vous aviez eu sous la main quelque bouteille d'un whisky - même quelconque ! - vous eussiez pu la cuisiner là, votre putain de tuile !... (voire la déguster en bonne compagnie, pute vierge !)
La tuile au whisky (et sa mousse façon cappuccino, s'il vous plait !) :
- Faire chauffer 600 ml de lait frais entier dans une casserole. Y incorporer du café soluble à votre convenance ainsi que la cassonade.
- Faire tremper la gélatine (3 feuilles) dans de l'eau froide - incorporer au lait. Fouetter, passer au chinois et laisser refroidir à température ambiante.
- Monter en chantilly : 1 litre de crème fraiche entière, la serrer au sucre glace et incorporer du cacao en poudre non sucré. ( A votre goût) réserver au frais.
- Incorporer le lait au café à 1 kg de mascarpone - verser dans les 16 verrines et réserver au frais.
Faire chauffer 1L de lait frais entier, y incorporer 2 gousses de vanille Bourbon, fendues et grattées. Laisser infuser 20 minutes, sucrer au sucre glace à votre gout.
- Faire un appareil à tuiles avec : 200 g de sucre glace , 2 œufs entiers +2 blancs battus et 50g de farine - incorporer 20 cl de whisky rye et 50 g de beurre fondu.
Dresser sur une plaque à pâtisserie en cercle au pinceau, mettre a cuire à 220C° jusqu'à prendre une couleur dorée, sortir du four et former en tuile.
- Dresser la chantilly dans les verrines jusqu'à 5mn du bord.
- Mettre le lait vanillé au siphon.
Au moment de dresser. poser la verrine sur l'assiettes, saupoudrer de sucre glace le tout. Déposer 5 grains de café en chocolat et la petite cuillère sur l'assiette
Dresser la mousse de lait au siphon et planter une tuile en casquette.
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Présentation
Prtissrkgolrhbcntop tisar gilmhicetipotus rvg lthscetrpdttssreg lahtcvtrpattsirtgilehlcntoputisorug lphicttcphtaslrg.
Invité- Invité
Re: Présentation
Hé ben ! Toujours aussi élégant Domnul Grou !
JCVD- Messages : 6627
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Re: Présentation
Mordu par un clebs. (sans gravité)
Un peu mal à la cuisse.
Mais peut-être évité le pire : prendre un médicament auquel je suis allergique.
Douleur me fait un peu chier quand même.
Qui c'est qui va aller voir son toubib demain ?…
Je me demande quand même quelle est la part de responsabilité du maître. Enfin… Je fais semblant car poser la question, c'est y répondre. (en d'autres termes…)
Personnellement, je crois que si mon chien mordait qqn, je me sentirais un peu mal !
Ma foi. On n'est jamais trop prudent, voilà.
J'essayerai de ne jamais oublier la leçon au cas où j'aie un jour un chien.
Parce que, moi, ça me ferait chier qu'il morde quelqu'un au hasard !
Et voilà...
Un peu mal à la cuisse.
Mais peut-être évité le pire : prendre un médicament auquel je suis allergique.
Douleur me fait un peu chier quand même.
Qui c'est qui va aller voir son toubib demain ?…
Je me demande quand même quelle est la part de responsabilité du maître. Enfin… Je fais semblant car poser la question, c'est y répondre. (en d'autres termes…)
Personnellement, je crois que si mon chien mordait qqn, je me sentirais un peu mal !
Ma foi. On n'est jamais trop prudent, voilà.
J'essayerai de ne jamais oublier la leçon au cas où j'aie un jour un chien.
Parce que, moi, ça me ferait chier qu'il morde quelqu'un au hasard !
Et voilà...
Invité- Invité
Re: Présentation
"Gros gros hématome mais plaie non infectieuse".
D'après le médecin, cette saloperie de clebard y est allé de toutes ses forces - et par derrière ! - mais mon jeans m'a protégé.
Une vieille saloperie de chienne type Beauceron… qui avait, tiens, comme par hasard, déjà mordu par le passé.
D'après le médecin (que je viens de voir, finalement, aux urgences), pas de risque de rage (ma grande peur, évidemment).
C'est arrivé dans un refuge, en jouant au ping pong.
En faisant une tournante, plus précisément.
Au premier tour, j'ai bourré la chienne, qui était venue se foutre dans nos pattes et que je n'avais pas vue, et au second, elle m'a mordu.
Précision : elle n'avait pas le droit d'être là.
Son maître l'avait confiée à des gens du refuge. Personne n'en avait rien à foutre, la chienne trainait où elle voulait, faisait les poubelles dehors…
Pour en avoir discuté avec d'autres personnes, beaucoup s'en méfiaient un peu. A juste titre !
Quand je pense qu'il y a des chiens adorables qui obéissent au doigt et à l'oeil !…
Tel maître tel chien.
Je crois quand même que c'est vrai...
D'après le médecin, cette saloperie de clebard y est allé de toutes ses forces - et par derrière ! - mais mon jeans m'a protégé.
Une vieille saloperie de chienne type Beauceron… qui avait, tiens, comme par hasard, déjà mordu par le passé.
D'après le médecin (que je viens de voir, finalement, aux urgences), pas de risque de rage (ma grande peur, évidemment).
C'est arrivé dans un refuge, en jouant au ping pong.
En faisant une tournante, plus précisément.
Au premier tour, j'ai bourré la chienne, qui était venue se foutre dans nos pattes et que je n'avais pas vue, et au second, elle m'a mordu.
Précision : elle n'avait pas le droit d'être là.
Son maître l'avait confiée à des gens du refuge. Personne n'en avait rien à foutre, la chienne trainait où elle voulait, faisait les poubelles dehors…
Pour en avoir discuté avec d'autres personnes, beaucoup s'en méfiaient un peu. A juste titre !
Quand je pense qu'il y a des chiens adorables qui obéissent au doigt et à l'oeil !…
Tel maître tel chien.
Je crois quand même que c'est vrai...
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