Qui a un rythme de travail de dingue?
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Ethelred
Bliss
Tuvatroloinmomo
Sierra
Lilas
9 participants
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Qui a un rythme de travail de dingue?
Bonjour à tous les étudiants et tous ceux qui sont passé par là.
Je voudrais connaître vos expériences concernant le rythme que vous aviez pensant vos études. Êtes vous du genre à ne pas savoir quand vous toucherez le fond au niveau de l'énergie que vous pouvez dégager? Malgré une fatigue à en tuer plus d'un vous pouvez encore et encore..
Personnellement ça fait 7 mois que je dors en moyenne 5h par nuit en vivant à la bibliothèque. Simplement aujourd'hui une illumination a traversé ma pensée.. Ressentirais-je enfin de la fatigue? Je me demande comment j'ai pu tenir aussi longtemps en fait, problèmes de famille, rupture, dépression, études toujours à l'arrache, etc.. Mais mon cerveau continue à me dire "oui", parfois j'ai même l'impression d'avoir une partie de moi qui essaie de me dire que je suis à bout mais mon autre moi se bat contre cette idée, que je n'accepterai probablement jamais (je ne supporte pas d'être vaincue). Pourtant je sens que mon corps est fatigué mais je pense être toujours aussi efficace.
Il me semble qu'une des nombreuses qualité du zèbre est d'avoir une énergie affolante parfois, ressentez-vous le même chose?
Je voudrais connaître vos expériences concernant le rythme que vous aviez pensant vos études. Êtes vous du genre à ne pas savoir quand vous toucherez le fond au niveau de l'énergie que vous pouvez dégager? Malgré une fatigue à en tuer plus d'un vous pouvez encore et encore..
Personnellement ça fait 7 mois que je dors en moyenne 5h par nuit en vivant à la bibliothèque. Simplement aujourd'hui une illumination a traversé ma pensée.. Ressentirais-je enfin de la fatigue? Je me demande comment j'ai pu tenir aussi longtemps en fait, problèmes de famille, rupture, dépression, études toujours à l'arrache, etc.. Mais mon cerveau continue à me dire "oui", parfois j'ai même l'impression d'avoir une partie de moi qui essaie de me dire que je suis à bout mais mon autre moi se bat contre cette idée, que je n'accepterai probablement jamais (je ne supporte pas d'être vaincue). Pourtant je sens que mon corps est fatigué mais je pense être toujours aussi efficace.
Il me semble qu'une des nombreuses qualité du zèbre est d'avoir une énergie affolante parfois, ressentez-vous le même chose?
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Je ne dois pas être zèbre alors !
Pour ma part, je me sens déjà fatiguée avant même de commencer (ce qui la plupart du temps me mène à ne pas commencer). Et j'ai eu la bonne idée de choisir une filière d'études qui m'a permis de m'en sortir sans avoir à fournir trop d'effort.
Je t'envie d'avoir autant d'énergie, mais n'oublie pas d'écouter ton corps malgré tout : attention au "burn out".
Pour ma part, je me sens déjà fatiguée avant même de commencer (ce qui la plupart du temps me mène à ne pas commencer). Et j'ai eu la bonne idée de choisir une filière d'études qui m'a permis de m'en sortir sans avoir à fournir trop d'effort.
Je t'envie d'avoir autant d'énergie, mais n'oublie pas d'écouter ton corps malgré tout : attention au "burn out".
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
forbes a écrit:mon cerveau continue à me dire "oui", parfois j'ai même l'impression d'avoir une partie de moi qui essaie de me dire que je suis à bout mais mon autre moi se bat contre cette idée, que je n'accepterai probablement jamais (je ne supporte pas d'être vaincue). Pourtant je sens que mon corps est fatigué mais je pense être toujours aussi efficace.
Il me semble qu'une des nombreuses qualité du zèbre est d'avoir une énergie affolante parfois, ressentez-vous le même chose?
Un grand oui, j'ai passé mes licences sur 9mois, ou j'ai bossé en fait 3* 1mois, en moyenne 15-20H/j, et sur des cycles complètement désorganisés (du style 30h on/ 12h off, et ca repart), souvent sans manger (edit: hormis chips et collations, enfin en restant devant le PC quoi ) , tout juste aller faire ressortir les bouteilles de coca ingurgitées, et donc sans dormir des masses (pour la plus grande inquiétude de ma mère)
J'avais aussi cette impression que le corps était HS mais l'esprit toujours à 200% (et ca a payé (par une chance sans doute insolente) , mais c'était aussi un "challenge" de savoir si je pouvais réussir, et à hyperfocaliser, et , réussir en ayant eu l'impression de rien branler, puisque entre ces mois d'intenses révisions, j'ai clairement rien foutu )
comme le dis Lilas, attention au burn out !!
Mais en réponse à ta question, oui
edited: orthographe
Sierra- Messages : 188
Date d'inscription : 26/02/2012
Age : 35
Localisation : cerné par les montagnes
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Alors, moi pas du tout, j etais une vrai feignasse et si je ne dormais pas 10 heures par nuit, impossible de me concentrer et de travailler. Pour certains examens, j ai bien du m'y mettre sérieusement, ce qui signifiait pour moi "9h-12h" et "14h-19h" pendant 2 mois (juste avant l'exam) et pas une minute de plus sinon mon cerveau etait en surchauffe. Mais ca depend aussi de quelle type de travail on parle. Si c est de la recherche (en droit puisque c est mon domaine), je peux bien en fair 10h par jours sans problème. Si c'est apprendre des dizaines de pages par coeur (periode de deux mois avant les exams), alors impossible de depasser une certaine duree par jour..
Tuvatroloinmomo- Messages : 208
Date d'inscription : 29/11/2012
Localisation : Mystere et Boule de gomme
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Alors moi aussi je peux avoir une "énergie affolante", comme tu le dis si bien, forbes, mais pas sur la durée. Je n'arrive pas à produire cette énergie sur du long terme et de manière constante. Autrement dit, moi c'est tout ou rien (un peu comme Sierra) : je glande durant des jours, voire des mois (en culpabilisant, ce qui fait que je ne m'autorise aucun plaisir, aucune sortie, rien. Genre troglodito-autisto qui reste devant son ordi ou devant la TV, à manger et à se morfondre en pensant à tout le boulot qui l'attend), puis au dernier moment, gros pic de stress et je m'y mets enfin. Et là oui, l'énergie affolante, je la dépense !! Mais du coup, ce passage d'une extrême à l'autre fait que j'y laisse presque la santé !!
Durant tout mon cursus scolaire et universitaire, j'ai bossé comme ça, de façon complètement anarchique, attendant toujours le dernier moment pour m'y mettre (ce qui m'a valu comme à vous pas mal de nuits blanches, d'heures entières passées devant mes bouquins/l'ordi quasi sans manger, etc.)
J'ai révisé mon bac 1 semaine avant (du coup j'ai dû faire quelques impasses quand même ), mais ça va, je l'ai eu du 1er coup, ouf !
Quand j'ai terminé mes études de Psychologie clinique et pathologique, j'ai fait mon mémoire (sur les angoisses archaïques et les crises de tantrum dans l'autisme infantile) en deux semaines (la folle). Ça a été cauchemardesque, je dormais presque pas (alors que d'habitude, si j'ai pas mes 8h de sommeil minimum, je suis un zombi), j'étais quasi H24 devant mon ordi, hyper speed, etc. Les derniers jours, j'étais tellement épuisée que je n'arrivais même plus à me relire et à voir mes fautes d'orthographe, si bien que j'envoyais mes écrits au fur et à mesure à ma mère (qui vit en Espagne) par email pour qu'elle me les corrige, hihihi ! (purée, n'empêche, heureusement qu'elle était là ! Et du coup, elle aussi elle s'est stressée à mort, la pauvre !!).
Le dernier jour, n'en pouvant plus, ayant le cerveau au bord de l'implosion, j'ai bâclé une conclusion à la con (dont j'étais assez honteuse, surtout le jour de la soutenance), et j'ai envoyé mon Mémoire à ma fac par Chronopost (genre le jour de l'échéance, le matin, après avoir passé une nuit blanche à finaliser mon mémoire et l'avoir fait relier à la photocopieuse juste avant). Après ça, je crois que j'ai dormi une bonne dizaine d'heures par nuit pendant plusieurs jours.
Ça a tellement été une horreur, que je me suis maudite en me disant "Plus jamais ça !!"
Mais bon, pour un mémoire de fin d'études bâclé, ça va, j'ai quand même eu 14/20...
Durant tout mon cursus scolaire et universitaire, j'ai bossé comme ça, de façon complètement anarchique, attendant toujours le dernier moment pour m'y mettre (ce qui m'a valu comme à vous pas mal de nuits blanches, d'heures entières passées devant mes bouquins/l'ordi quasi sans manger, etc.)
J'ai révisé mon bac 1 semaine avant (du coup j'ai dû faire quelques impasses quand même ), mais ça va, je l'ai eu du 1er coup, ouf !
Quand j'ai terminé mes études de Psychologie clinique et pathologique, j'ai fait mon mémoire (sur les angoisses archaïques et les crises de tantrum dans l'autisme infantile) en deux semaines (la folle). Ça a été cauchemardesque, je dormais presque pas (alors que d'habitude, si j'ai pas mes 8h de sommeil minimum, je suis un zombi), j'étais quasi H24 devant mon ordi, hyper speed, etc. Les derniers jours, j'étais tellement épuisée que je n'arrivais même plus à me relire et à voir mes fautes d'orthographe, si bien que j'envoyais mes écrits au fur et à mesure à ma mère (qui vit en Espagne) par email pour qu'elle me les corrige, hihihi ! (purée, n'empêche, heureusement qu'elle était là ! Et du coup, elle aussi elle s'est stressée à mort, la pauvre !!).
Le dernier jour, n'en pouvant plus, ayant le cerveau au bord de l'implosion, j'ai bâclé une conclusion à la con (dont j'étais assez honteuse, surtout le jour de la soutenance), et j'ai envoyé mon Mémoire à ma fac par Chronopost (genre le jour de l'échéance, le matin, après avoir passé une nuit blanche à finaliser mon mémoire et l'avoir fait relier à la photocopieuse juste avant). Après ça, je crois que j'ai dormi une bonne dizaine d'heures par nuit pendant plusieurs jours.
Ça a tellement été une horreur, que je me suis maudite en me disant "Plus jamais ça !!"
Mais bon, pour un mémoire de fin d'études bâclé, ça va, j'ai quand même eu 14/20...
Bliss- Messages : 12125
Date d'inscription : 11/11/2010
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Et bien, je me sens bien seule tout à coup.
J'ai du mettre deux fois les pieds à la bibliothèque en 5 ans d'études.
Et je garde comme un souvenir impérissable la seule fois ou j'ai du bosser tard le soir (genre 23h) parce que l'on avait du au dernier moment repartir à zéro sur un projet (parce qu'un autre groupe avait pris le même jeu de données que nous).
J'ai du mettre deux fois les pieds à la bibliothèque en 5 ans d'études.
Et je garde comme un souvenir impérissable la seule fois ou j'ai du bosser tard le soir (genre 23h) parce que l'on avait du au dernier moment repartir à zéro sur un projet (parce qu'un autre groupe avait pris le même jeu de données que nous).
- Spoiler:
- Le revers, c'est que j'ai longtemps eu l'impression d'avoir un diplôme bidon sans aucune valeur, et surtout sans aucun mérite de ma part.
J'ai un peu remis les choses en place en me confrontant à la réalité du travail, et surtout en me découvrant zèbre : j'ai pris conscience que ce n'était pas le cursus qui était trop facile mais moi qui comprenais trop vite.
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Moi aussi j'ai passé mes 4 ans d'étude à la bibliothèque .
Sans faire la fête, complètement dans mon p'tit monde.
Et le boulot m'a plutôt déçue, donc je m'y suis remise: je rentre du boulot et j'étudie. Energie énorme.
Sans faire la fête, complètement dans mon p'tit monde.
Et le boulot m'a plutôt déçue, donc je m'y suis remise: je rentre du boulot et j'étudie. Energie énorme.
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
je crois qu'on a effectivement en général pas mal d'énergie (en surplus même quand c'est le moment de s'endormir ^^).
Pour ma part je suis rarement fatiguée, quand je n'arrive pas/plus à travailler c'est plus une question de motivation absente
Pour ma part je suis rarement fatiguée, quand je n'arrive pas/plus à travailler c'est plus une question de motivation absente
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Idem pour moi!
Si je dois m'interrompre, ce n'est généralement pas de l'épuisement, c'est plutôt l'impression de ne pas avancer (ou pas assez vite à mon goût lol) et la motivation s'effondre. Découragement, frustration, c'est le drame pendant une heure, je dors dessus et puis c'est reparti.
Sinon, tant que je suis motivée, je peux continuer pendant des heures sans voir le temps passer. Ca tourne un peu à l'obsession des fois
Si je dois m'interrompre, ce n'est généralement pas de l'épuisement, c'est plutôt l'impression de ne pas avancer (ou pas assez vite à mon goût lol) et la motivation s'effondre. Découragement, frustration, c'est le drame pendant une heure, je dors dessus et puis c'est reparti.
Sinon, tant que je suis motivée, je peux continuer pendant des heures sans voir le temps passer. Ca tourne un peu à l'obsession des fois
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Ouais c'est exactement ça, au point d'être totalement déraisonnable parfois (genre des nuits blanches, ne pas manger, et oublier TOUT le reste) ..
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
...et quand on arrive à finaliser ce sur quoi on a travaillé si dur, on plane quasi non-stop pendant facilement 24 heures
Par contre si on n'y arrive pas c'est la crise existentielle.
Mais perso, je sais pas rester sur un échec ^^ (ça me bouffe).
Par contre si on n'y arrive pas c'est la crise existentielle.
Mais perso, je sais pas rester sur un échec ^^ (ça me bouffe).
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
ouaip, et si tu dois faire autre chose tu penses en même temps au truc que tu n'as pas pu résoudre en espérant avoir une illumination! XD
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Voilà! Et tu commences à faire des liens avec le truc que tu es en train de faire, ça fait une grosse soupe et ça complique les choses inutilements...
Terrible!
Terrible!
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Quand j'étais étudiante, j'avais un rythme de fou ouep.
Je commençais tout les jours, du lundi au vendredi au plus tôt à 8h et je finissais en moyenne vers 19h30, non stop (une heure de pause le midi et des cours de minim 2h pouvant aller jusqu'à 4 ou 6, selon si interventions, si temps limités, etc)
Ensuite, comme j'ai fais des études privées où je ne pouvais pas bénéficier d'aide de l'état, et pas de celle de papa ou maman, j'avais un taff de nuit certes pas compliqué (encore que) : De 20h à 7h30 le matin je gardais 2 terreurs souvent malades la nuit, 15 nuits par mois réparties en fonctions des nuits de garde de leur infirmière de mère.
Certes, je pouvais dormir sur place, sur le canap.
Seulement, à raison de 2 rendus en 3D par semaine + 5 matières différentes en dessin avec au moins 1 rendu de chaque par semaine + des exos en anglais, histoire de l'art, etc = Tu dors pas.
J'ai réussi à dépasser la fatigue, ne plus compter mes nuits blanches et quand j'ai trouvé mon rythme de croisière, bah j'ai commencé à me faire chier
Je voyais les autres lutter, abandonner, ne pas remonter leurs notes et la pente, et je comprenais pas.
Du coup, en prime, je donnais des cours de soutiens à certains le weekend. Plus aucun temps libre.
Et c'était pour la 1ère année ça.
Pour les autres, le rythme était plus "cool" mais les efforts devaient être plus soutenu car sur du très long terme.
Mais on s'y fait.
Je déteste toujours autant les vacances. D'autant plus même. Je suis devenue accro à ces rythmes effrénés.
édité : mots en trop
Je commençais tout les jours, du lundi au vendredi au plus tôt à 8h et je finissais en moyenne vers 19h30, non stop (une heure de pause le midi et des cours de minim 2h pouvant aller jusqu'à 4 ou 6, selon si interventions, si temps limités, etc)
Ensuite, comme j'ai fais des études privées où je ne pouvais pas bénéficier d'aide de l'état, et pas de celle de papa ou maman, j'avais un taff de nuit certes pas compliqué (encore que) : De 20h à 7h30 le matin je gardais 2 terreurs souvent malades la nuit, 15 nuits par mois réparties en fonctions des nuits de garde de leur infirmière de mère.
Certes, je pouvais dormir sur place, sur le canap.
Seulement, à raison de 2 rendus en 3D par semaine + 5 matières différentes en dessin avec au moins 1 rendu de chaque par semaine + des exos en anglais, histoire de l'art, etc = Tu dors pas.
J'ai réussi à dépasser la fatigue, ne plus compter mes nuits blanches et quand j'ai trouvé mon rythme de croisière, bah j'ai commencé à me faire chier
Je voyais les autres lutter, abandonner, ne pas remonter leurs notes et la pente, et je comprenais pas.
Du coup, en prime, je donnais des cours de soutiens à certains le weekend. Plus aucun temps libre.
Et c'était pour la 1ère année ça.
Pour les autres, le rythme était plus "cool" mais les efforts devaient être plus soutenu car sur du très long terme.
Mais on s'y fait.
Je déteste toujours autant les vacances. D'autant plus même. Je suis devenue accro à ces rythmes effrénés.
édité : mots en trop
Dernière édition par Noumenie le Ven 4 Jan 2013 - 16:16, édité 1 fois
Noumenie Dysnomie- Messages : 1442
Date d'inscription : 27/08/2012
Age : 76
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Quand j'étais étudiant, j'en ai pas branlé une, et je m'ennuyais.
Par contre le travail, je m'y investit complètement, nuit blanches et jeune à gogo.
à 30 ans j'ai fais un AVC heureusement, sans séquelle, puis là je suis en train de péter un câble parce que justement je n'arrive pas à y aller moins vite et moins intensément
Par contre le travail, je m'y investit complètement, nuit blanches et jeune à gogo.
à 30 ans j'ai fais un AVC heureusement, sans séquelle, puis là je suis en train de péter un câble parce que justement je n'arrive pas à y aller moins vite et moins intensément
youhou- Messages : 19
Date d'inscription : 14/11/2012
Age : 42
Localisation : Genève
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Pour avoir alterné entre:
- 17h (dont 2h de travail effectif) par semaine pendant un an
- 80 à 105h de travail intensif par semaine pendant 4 ans
- Environ 50h minimum par semaine pour le restant de mes jours
... J'ai pu constater que dans mon cas, peu importe la masse de travail requise, si l'on n'a pas le choix, on fait, et peu importe ce que l'on nous demande, on a l'impression de beaucoup bosser.
- 17h (dont 2h de travail effectif) par semaine pendant un an
- 80 à 105h de travail intensif par semaine pendant 4 ans
- Environ 50h minimum par semaine pour le restant de mes jours
... J'ai pu constater que dans mon cas, peu importe la masse de travail requise, si l'on n'a pas le choix, on fait, et peu importe ce que l'on nous demande, on a l'impression de beaucoup bosser.
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
si l'on n'a pas le choix, on fait
... et quand c'est le corps qui lâche, si on n'a pas le choix, on arrête.
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
J'aime être faible.
- Spoiler:
- tfaçon, j'ai plus le choix.
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
Non mais je déconne, Gekko est la pire ordure de l'histoire du cinéma (mais qu'est-ce qu'il est bon )
Invité- Invité
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
.
Dernière édition par Amadea le Lun 10 Fév 2014 - 3:02, édité 1 fois
Lalala- Messages : 135
Date d'inscription : 07/03/2013
Age : 34
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
c'est simple. Quand je fais quelque chose que j'aime je me donne à fond...en général jusqu'à ce que mon corps me stoppe et le reste du temps je suis molle.
Pendant les études j'étais plutot cool et je faisais tout au dernier moment parce que ça ne me passionnait pas plus que ça.
Pendant les études j'étais plutot cool et je faisais tout au dernier moment parce que ça ne me passionnait pas plus que ça.
dimanche- Messages : 292
Date d'inscription : 13/03/2013
Re: Qui a un rythme de travail de dingue?
forbes a écrit:J'ai trouvé une jumelle de cerveau-fou! XD
Mais oui
N'empêche que cette méthode marche !
Lalala- Messages : 135
Date d'inscription : 07/03/2013
Age : 34
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