Nouveau défi : 6mots

les galets empêchent eux de ramer

Les gars, les pêcheurs démarrent eux

Il légat l'épée du légat

Les gars l'y pètent, galipettes

Épée à main nue, sans gants ?

Les angles au long de l'eau
tonnent Belle est-ce mon coeur

La sangle "haut", attache,le palpitant

Le pal commence bien finit mal

Blêmit sans sang, pal c calme

Cote d'Opale commence bien Finistère

Ile et vilaine cent fois mieux !!

(N'a palmes finit à terre)

Juste vingt cents qui dit mieux

Spoiler:

toi...

Je réflechis... connais juste Nico là ...

Vincent, Tim, que sais-je, moi ?

Pieyre aussi, c'est pas mal....

Pis hier est moins que demain

Devinette ? Quelle réponse ! Marty, dis-nous !

Saint vincent, je pense ? l'île...( Marty)

Et encore plus à deux mains...(Pieyre)

Je viens encore de tuer dieu
mais ce n’est pas grave
voilà bien longtemps aussi que lui
ne croit plus en moi, sacrebleu.

Sacrilège, ta vie va devenir infernale

Ca pourrait la rendre guillerette, non ?

Liberté chérie, au diable les croyances !

Je croîs, je croasse, jeux croates

Les cris croissent crus qui crissent

Le crapaud veut il des baisers ?

Que risquerait-il alors de devenir ?

Hourra, hourra, Gimli a enfin posté !

Un joli prince pas charmant, gluant...

Je reste crapaud, délaisse le baiser

Un baiser compte un peu, beaucoup ?

Tout dépend ce qu'il soutend

Oh, là là, quel embarras, Monsieur !

Monsieur est timide de ces choses

Timide direct quand même, Sieur Gimli

S'il faut piètrement se contenter
de vérité, l'ennui nous guette

Dame SoleilSombre doit reposer ses yeux.
Bonne nuit...La marge peut grandir

Menteur, manipulateur, dragueur, joueur, de rien
ne me cache, ne me gâche

Allez rêver, les yeux fermés, souriez

Combien de moutons ai-je comptés
Qui ne m'avaient rien demandé ?
Nos nuits sont parfois assez longues
Mais qu'en est-il pour
eux que nous réveillons sans cesse ?

Le couple Lémouton a un fils

Dans les moutons, un était tondu
Avait-il couché avec nos ennemis ?

Dis Monsieur, dessine-moi un mouton.

Oh, là, mon gars, écoute-moi
Il serait temps que tu grandisses
Viens pas me gonfler avec ça
Tu as l'âge pour le vice
Vas mon fils, prends 100 balles
Au village il y a bal
Trouve une mignonne, voire une friponne,
Prends ce qu'elle te donne
Et avant le matin tu sauras
Que renard, rose, planète et tralala
Valent pas tripette, vas, tu verras

Le petit prince prend 100 balles
Son écharpe et va au bal
Assis dans un coin il scrute
Cherche une catin pour une culbute
Qu'attends-tu mon petit gars
Des filles, il y en a ?
Oui m'sieur, j'attends un slow
Ca me parait mieux pour emballer
Un sourire et c'est gagné
je la ramène dans mon auto

Il s’en prit bien des râteaux
Même petit prince, faut pas rêver
Il faut plus qu’un slow
Faut des resto, faut des cinés
Il allait donc bientôt se barrer
Quand par Lulu il fût happé

La grosse Lulu était de celles
Que nous garçons avons bien connues
La tête enfouie entre leurs mamelles
Nous apprirent l’amour sans fioriture
Amour de la chose ou serviabilité
De ces filles personne ne sait
Mais chaque homme honnête se souvient
Qu’il était bien entre ses seins

Notre petit blond connût de même
Les charmes maternants de la Lulu
Son pucelage ne vit plus même
Le lever du jour, parti, perdu
Depuis ce jour n’en déplaise
Au brave homme de Saint-Exupéry
Le petit garçon est bien balaise
Pour faire craquer toutes les filles

Il a grandit le petit chéri
Portier d’une boite de nuit
Et fait danser toutes les nuits
Les filles qui restent après minuit
La rose est fanée, le renard empaillé
Mais dieu qu’il s’amuse
Le petit prince des bas quartiers

Il faut absolument que je sorte.
Un coup de pied au cul
Serait une solution là bien venue
Mais insuffisante pour prendre la porte.
Il me reste à me convaincre
Que de moi vient l'envie.
J’ai déjà vu le jour
il ne me tente pas ni
ne donne envie d’un tour.
Reste à attendre une nouvelle nuit,
Franchir le jour, vaincre l’ennui.

L’humeur était joyeuse et soudain
Je m’enfonce et je sombre
Perdu l’espoir, perdu l’entrain
Une rime, un mot, un nombre
Une planche neuve pour mon radeau
Je me dépêche et le cherche
Pour le remettre à mon propos
Le sourire que je portais matin

Qu’en ai-je fait, perdu,
Mais où, mais quand, mais pourquoi ?
Je me souviens j’ai vu
Qui j’étais, trop d’émoi
Il a eu peur de moi.

Gimli se calme, en respirant fort
Parfois, les autres font autre chose

Le nain est calme, extrêmement posé
Il a juste perdu le fil
De sa pensée et a plongé
Là où elle l’a entrainé