Nouveau défi : 6mots

Belliqueuse humeur terrassant l'âme heureuse

Belle, aqueuse humeur te rend allumeuse.

La Meuse n'étant pas loin

L'âme ose, n'étant palote.

Le mot _ n'étant pas là

Le mort n'étend pas long.

De longueur l'on se meurt

Le taon ne mord pas longtemps

D'elle on guerroie à mort.

Le thon n'est mort largement.

Ailes larges pour se garer, attention!

Attention, gare ! si pour lorgner elle !

Détention d'âme interdite sinon gare!

D'étendre son âme interdit sinon
Elle en prendra plein la gueule

Détends ton havre interstitiel au dard !

Chaloupe à louer à prix exorbitant

Chat loupé, une huée, exit! porte!

Chat loupiat loua prime au bêta.

Bêta-bloquant fournit à l’accueil

Fournil à la cueillette, bloc insolite!

Châle aux plis a prix embêtant.

À demain, j'ai du travail.

J'aide à deux mains, serviable!

C'est viable...jusqu'à demain

S'amender d'être en vie

l'envie d'être une amande

Salades! D'endives sales et salamandres

En 10 vues, sales amendes, radar

La grande grande blonde dorénavant dormait
allongée sur le dos, non couverte,
le nain assis sur sa poitrine
adossé à un sein, il veillait.
Je vois dans le noir, prétendait-il,
et parmi l’invisible je repère
les mauvaises pensées, les troubles indicibles,
dormez, je veillerai, je les chasserai.
Tout d’abord amusée, la géante
livra son sommeil au nain décidé.
Lui, veillait, l’observait, l’écoutait,
et au moindre tressaillement, sursaut, clignement,
murmurait des mots effrayant les fantômes.
Elle dut bien admettre, la dormeuse,
que pour les choses du songe,
confier son sommeil et ses rêves
à la garde d’un nain
rend la nuit reposante et régénérante.

D’aucuns prétendront cette histoire impossible.
Qu’ils se trouvent un nain,
Nous en reparlerons dès demain matin.

nain frais, nain du matin, nain
qui souffre au sommet des grands
seins, joie du nain , du nain
allons dans le grand vent frais
adossé à un sein supposé méritant

Semama, tu parles de ce sein,
le connais-tu seulement, dis-moi ?

En connais-tu ce confort reposant,
de ce sein tour à tour
compatissant, joueur, arrogant, mais aussi parfois
si doux, si fragile, si demandant ?

Ce sein appelle à l’humilité ;
en parler c’est le réduire,
lui qui mériterait de recevoir autant
qu’on peut en espérer, vraiment.

La petite fille grande grande blonde
nous offre à découvrir encore maintenant
de l’extérieur bien des trésors
qui pourtant magnifiques et si surprenants,
ne sont que pâles et dérisoires
comparés aux richesses de l’intérieur.

Tout cela prendra encore du temps,
mais le nain se montrera patient.

Tâche donc d'en faire autant.

ah gimli je ne critique pas
ta quette au sein si digne
versifies et chantes à pleine voix
que la géante cette émouvante blonde
sur-tendue ne grésille et ne fonde
tu es sur la bonne voie
car la blonde jamais ne trépigne
continue de tes tous petits pas

Je ne le pris pour critique.
Il m’importait seulement, copain,
de te prévenir sans être tyrannique :
qui trop embrasse manque le train

La grande blonde, une et multiple
Elle perçoit vos désirs, vos envies
Une femme louve, douce, téméraire, timide
Parfois, elle est inaccessible, loin loin

Son sein est laiteux comme neige
La grande blonde regarde son coeur
Jouer avec ses fossettes et rire

Facile elle fait 7 faux 7.

Faux sceptre regarde ce rire "fosseté" !

Faucille elle est fausse serbe serpette

Fosses étranges, délicieuses... Faut se taire !

fosse en terre, fonce entière, tiers

Fosse septique elle doute de tout

C'est faux, et tout doux!

Ces faux cils, yeux sont doux...

Sapho, si douce à mes yeux...

Clin d'oeil, mâlin et malicieux...

Linceul, le matin si mal commence...

Lit seul , est froid sans drap

Sandra, froide Cassandre, me lit seule

Le café chaud fait renaître les cendres

Descendre chercher du café, je connais

Remonte moi, une tasse bien serrée....

T'es déjà bien assez stressé