On est demain ! *copie-colle*

Mog

Le violon était une ref à des mots échangés entre toi et shunga, voui, mais ça n'était pas une pique (ni contre toi ni contre lui, d'ailleurs).

Je te rassure, je ne l'ai pas mal pris.

Fa a écrit:A une époque, je me suis débattu contre les nuages après qu'un cancer ait emporté un amour.
"Pourquoi ?" Y'a pas de réponse. Ca ne sert à rien d'en chercher, tu as raison. Ni de se débattre.

Après m’être extrait à 14 ans de l'emprise d'un père violent et d'une mère incestueuse, j'ai perdu ma fiancée noyée à 18 ans et demi. Puis ai eu un accident de moto qui a sectionné la moitié des nerfs de ma jambe gauche (nerfs sensitifs extérieurs). Ensuite, pour la faire courte, je suis resté marié 27 ans avec une femme qui s'est avérée être PN ... et qui a fini par me faire passer pour schizophrène auprès de mon médecin (résultat : 11 ans d'inhibiteur de sérotonine et autres saloperies). Je ne m'en sors que depuis trois ans et les blessures d'abandon sont encore très, vraiment très fortes (51 ans de galère).

Je me doute bien que lire ce que j'écris là est bien loin de ce que tu aimerais lire, alors même que tu cherches à accepter tes souvenirs pour ce qu'ils sont.
Tu vois, Fa, il me semble que plus on est blessé, plus on est ignoré ou pris comme froid, insensible et distant. Pourtant, quand on se cogne fortement, la glace est un des remèdes préconisés. Le silence aussi, qui permet de panser ces blessures. Le temps qu'elle cicatrisent. En souhaitant parfois être ne serait-ce qu'un minimum entendu, ce que tous cherchent peu ou prou. Ce que tu cherchais sans doute aussi en venant ici.

J'ai rompu mon silence pour essayer de communiquer, à ma manière. En venant poster chez toi. J'espère que je ne t'ai pas gêné, simplement.

Bien à toi.

Fa a écrit:Je me tâte entre la spéléo préconisée par Fusain et le laisser-faire qui donne simplement du temps au temps.

Et le lâcher prise ?
L'acceptation ?

Pas renoncer, non, accepter ce qui ne peut être changer, cesser de lutter contre à s'en épuiser, pour ensuite prendre le recul nécessaire, ce pas de côté essentiel pour trouver une nouvelle piste à explorer pour continuer ...



Edit : Notion aussi de résilience. De transformer, comme j'ai pu le lire ailleurs, la douleur en douceur ... Du mal à mettre ça en mots simples. Digestions des épreuves de la vie, pour réussir à voir ce qu'elles nous ont permis de découvrir. Ca n'efface rien, ça permet juste de se rendre compte que sortir de sa zone de "confort" permet de se trouver, d'évoluer, d'avancer ...

A terme, oui, renarde.
Mais l'acceptation survient tard dans les phases du deuil
C'est le but, oui. Accepter. Avant de rebondir. Je cherchais le moyen de dépasser les étapes auxquelles je suis coincé.

Et je dis ça sans vouloir me retrancher derrière un modèle psy... c'est juste une constatation.

Mjöllnir a écrit:J'ai rompu mon silence pour essayer de communiquer, à ma manière. En venant poster chez toi. J'espère que je ne t'ai pas gêné, simplement.

Bien sûr que non !!!

Fa a écrit:Je cherchais le moyen de dépasser les étapes auxquelles je suis coincé.
Et je dis ça sans vouloir me retrancher derrière un modèle psy... c'est juste une constatation.

Parler, échanger, dire est une piste.

Je te trouve bien parti. Après on ne peut pas vouloir dans ce domaine, il faut digérer à sa vitesse, métaboliser chaque étape et la faire sienne.
Je sais que cela ne fait pas forcément bon ménage avec nos cerveaux pressés
Mais la plasticité neuronale est impressionnante et explique la résilience et le retour à la vie.
On oublie rien, on vit avec ... on VIT !!!

T'as essayé d'en parler avec un pro? Parfois, ça aide. Surtout si on a l'impression de rester "coincé" dans une étape. Parce que rester coincé dans un processus de deuil, ce n'est pas bon...

Après, je dis ça, mais je suis toujours suffisamment dedans pour savoir que ce n'est pas facile, et qu'il faut du temps, beaucoup de temps. Mais voilà, quoi.

Merci Fa

Il y a autre chose qui me pousse à rester dans mon silence :
A la fois l'image que peut donner le fait de raconter un parcours aussi chaotique que le mien - " Oh ! il joue la victime, celui-là ! - cumulée à cet autre phénomène que l'on m'a déjà interjeté : Une demande masquée d'affection.

Pour moi, ce paradigme fut insolvable pendant longtemps. Je n'ai pas trouvé le moyen d'exprimer mes souffrances, les trouvant trop lourdes à porter pour les confier à quelqu'un d'autre, m'imaginant à tort que cet être en face de moi pouvait les ressentir avec la même force que celle qu'elles m'infligeaient.

Et puis j'ai essayé. pour effectivement me rendre compte qu'elles n'étaient pas transmissibles. Et qu'en plus il s'avérait possible de les tourner en dérision. Ou par dédain, ou par impossibilité à croire qu'elles pouvaient être autre chose que de l'affabulation; ou bien encore par "fuite", le malheur ne faisant pas recette.

Pourquoi alors faut-il que je les retranscrive chez toi ? Parce que je pense que la mort d'un être aimé, celle que tu as citée et qui m'a fait réagir en postant, te donne une indication sur ce que sont mes ressentis. Sur les traces qui peuvent en rester.

Quel fut mon chemin ? celui d'un solitaire. Exprimant son surplus d'énergie en fouillant le monde, microscopique et macroscopique, afin d'éclairer sa lanterne au mieux pour regarder le monde dans toutes ses couleurs.

Quelle fut ma forme d'expression choisie ? Celle d'expulser le plus possible l'agression de mes mots (même si je n'y parviens pas toujours). Celle qui consiste à purger le plus possible l'émotion de ces derniers (et qui la contraint à exploser en silence dans mes tripes). Une expression qui se rebiffe aussi quand on passe le temps à appuyer là où cela fait encore mal.

J'ai une forte résilience, fait des choix de vie. Sais m'excuser, connait le sens du pardon, de l'attente, du silence. Comportement qui prête sans doute à méfiance, ou à crainte devant ce qui pourrait devenir une inondation si on ouvre ses vannes ... ce qui peut sembler normal devant un parcours si chargé.

Je désirais te livrer tout ça, un peu en vrac. Loin de toute publicité sur " l'instrument " que je suis et qui charrie ses propres doutes et ses propres joies. En te disant aussi que j'ai accepté d'être " étrange " ...

Merci en tout cas de l’accueillir ici.

Partager ses expériences douloureuses et comment on a pu aller mieux fait aussi parti de la résilience.

On accompagne quelqu'un sur une piste où il se sentira moins seul, on se rend compte du chemin parcouru et que notre douleur peut devenir plus douce et nous aider à adoucir celle des autres dans une certaine mesure.

Pas forcément en leur donnant des solutions toutes faites. Juste en leur montrant que la vie est encore possible ensuite. Pas tout de suite, mais un peu plus tard ... Et cela nous mène parfois à passer nous même une nouvelle étape ...

@Mjöllnir :

Une demande d'affection... et quand cela serait ?
Je serais mal placé pour te jeter la pierre.

Expulser l'agression de tes mots... En effet, Mjöllnir, tu ne me sembles pas "marteau".
Puis-je ?
Ce que je ressens en te lisant me fait bien davantage penser à un bouclier.
Alors je regarde autour, en me demandant ce qui te menace.

N'y trouvant que peu de chose, j'espère que ce n'est pas moi. Il ne me semble pas avoir le bras levé, ni pour frapper ni pour juger.

Tiens, je viens d'avoir une réaction de défense dans un MP pas plus tard qu'il y a quelques heures.
Mais en fait rien ne me menaçait. Et je me relis, et je me dis que si j'avais répondu sans ce bouclier... ou sans être à la barre devant le juge, l'échange aurait pu être encore plus riche.
Parce qu'ici, on peut.

Bref. Je dépose ça. Fais en ce que bon te semble

«Je ne vois pas bien pourquoi les hommes qui croient aux électrons se considèrent comme moins crédules que les hommes qui croient aux anges.» George Bernard Shaw

Fa merci

Tu peux me dire ce que tu sens oui, tout ce que tu sens. Parce que je le sens aussi. Ce que je dénigre toujours, ce que je rejette, c'est l'agression pour l'agression, ou la continuité de l'appui sur quelque chose dont j'ai prévenu que je souffrais (mais cela est à titre d'information sur mon fonctionnement, tu n'es en rien concerné ). Tout le reste m'est acceptable, tout le reste est bienvenu. Et j'ose croire qu'il en est de même pour tout le monde ...

Non Fa, il n'y a rien qui vienne de toi. Si je peux prendre une citation pour éclairer mon propos " chat échaudé craint l'eau froide ".

Tu vois, contrairement à cet animal, je suis acteur de mes échanges, j'en reviens à l'envie de discuter, de partager, en essayant de l'exprimer le plus clairement possible afin de lever les ambiguïtés que je crois pouvoir exister.

Je crois que nous avons tous, et tu le soulignes pour ta réponse au MP, des circuits de défense automatique qui se mettent en place. Les miens ont du à la fois être multiples et hyper-réactifs. Je suis en train de les juguler, et je pense que tu comprends ce dont je parle pour une part.

Je prends conscience de ce bouclier (j'ai posté un extrait de Dune (de David Lynch)) sur mon fils, qui exprime cela en image. C'est ainsi que je me permets de parler plus librement, de manière moins éthérée, moins détachée.

Oui les échanges pourraient être plus riches, moins blessants. Si tous comprenaient ou admettaient que des cris pris parfois pour une agression viennent en fait d'une blessure cachée, enfouie, parfois même jugée comme honteuse par son porteur, et donc enfoncée au tréfonds de son être, en totale et permanente purulence. Et qu'y toucher provoque d'épidermiques réactions, une levée de garde immédiate, forte à la manière du choc reçu.
Il reste maintenant à déterminer si ce choc est consciemment ou inconsciemment donné . Et je pense que tu pourras me rejoindre sur le terrain suivant : Ce n'est pas en état de forte tension émotionnelle que l'on peut le mieux en prendre conscience ...

Ceci étant j'en reviens à ce que je te disais auparavant : Comment savoir à l'avance si ces "confidences" ne vont pas être assimilées à du spectacle ou de l'affabulation ? Alors, tu vois, malgré cela je m'avance, et baisse la garde ...

Demande d'affection ... il me reste à savoir le faire. J'ai toujours donné, le mieux possible en fonction de ce que j'étais. Et je croyais, naïvement peut-être, que la balance allait s'équilibrer de même, être humain devant être humain. Je n'ai jamais " mendié " - Attention ! Je ne porte ici aucun jugement, ce mot est le reflet de ce que je me serais pensé faire en demandant de une preuve d'intérêt quelconque - parce que je considérais, à tort ou à raison, que j'étais là et que l'on pouvait me demander de l'aide ou un rapprochement quelconque si cela était souhaité (et puis je me suis rendu compte que cette manière de fonctionner pouvait passer pour de l'indifférence, voire du dédain (Tu vois ... je fouille. je ne me crois pas un instant parfait, détenteur de vérité, invincible, inatteignable ou quoi que ce soit d'autre. je suis juste en recherche). Ayant eu énormément de mal à me libérer de ma jeunesse, et cette dernière étant ma seule référence (solitaire encore une fois), je suis parti du principe que la liberté de demander était propre à chaque être, et que, par la même, la demande croisée de l'état de chacun, ainsi que sa prise en compte, devait couler de source ...

Je dois admettre que le me suis fourvoyé. De plus, je maitrise très peu les codes sociaux,. je pense même que je dois être " autiste " à ce sujet ... cumul de handicaps s'il en est.

J'apprends à m'ouvrir. A donner ces repères aux autres. A expliquer mes réactions en allant au fond de moi, en quelque sorte " déminer " ce qui me fait " sauter " en même temps que les autres.

Voilà ce que que je peux te livrer à cet instant. Je crois, j'espère, qu'il y en aura d'autres.

Et en plus le chemin est semé d'embûches ! Vos partages me rappellent un extrait de mon journal...

Le 27 septembre 2008, Mog a écrit:
Ils sont marrants les psys : « Exprimez votre besoin ». Ah ouais, et c’est quoi le mode d’emploi quand le besoin est dit et que personne ne répond ? On crache à la gueule de l’autre ou on s’autodétruit dans sa frustration ?!! Encore un apprentissage c’est ça ? Oui petiote, tu as le droit d’avoir des besoins, mais maman ne peut pas tous les combler, elle est occupée ailleurs. Le problème... c'est qu'elle est TOUJOURS OCCUPÉE AILLEURS !

Pas toujours facile d'être patient...

Ce blanc...

Je viens d'avoir une discussion avec mon chef. Pas le mauvais gars, plutôt compréhensif. Et on se côtoie depuis un moment.
Mais cette fois, ayé. Mon dilettantisme est noté. Après tout ce temps.

J'ai tenté de lui parler honnêtement. Quand je m'y mets, je fais ce qu'on me demande dans la semaine en quelques heures. Mais la plupart du temps, je n'arrive pas à m'y mettre.

Acté, noté. Je propose de serrer les délais. Dernière branche. Je ne sais pas moi-même si ça fonctionnera. Mon job est donc sur la sellette... Je me dis que c'est dangereux, que cette nouvelle devrait me mettre en stress.
Mais de stress, point.

Juste ce blanc...

Vide émotionnel.
Très bizarre.

Soulagement ... ?

Mes propres chefs, et j'en ai eu de nombreux, notaient plutôt mon indépendance d'esprit et mon comportement de "cavalier seul".

J'ai eu nombre reproches sur cette autonomie affichée, et aussi sur le fait que je mette en place des processus qui ne pouvaient être répétés.

Pourtant, et à chaque fois, j'avais l'ordre de partir sur des projets complexes, ou encore sur des pannes où d'autres se cassaient les dents ...

On aurait dit que l'on comptait sur moi pour rendre les choses complexes assez simples pour être répétables à l'envie ...

J'ai énormément eu d'angoisses à cause de cela. Puis me suis retrouvé dans cette phase que tu appelles ... blanc.

Prélude à une décision. Qui fut prise. Devenir indépendant.

Eh bien ... c'est une liberté de pouvoir refuser un job et à la fois de ne pas avoir de hiérarchie pesante. Mais c'est aussi accumuler d'autres problèmes : S'assurer un revenu, chercher ses clients ... et toujours se confronter à l'incompréhension de ces derniers qui m'appellent pour régler un problème dont ils sont conscience mais ne veulent pas affronter en face.

J'ai ma part de responsabilité. A la fois dans mon langage qui excluait l'émotionnel alors que j'en ai à revendre, et le fait que je cachais ma peine sous ma colère; et puis aussi mon impatience qui finissait par se transformer et dégout et s'exprimait parfois comme telle.

Quel que soit le chemin que je prenne, je me trouverai en face d'êtres qui ne fonctionnent pas comme moi. J'espère utiliser ma tête à de mieux en mieux le comprendre, à trouver un chemin gagnant/gagnant, à regarder ces différences en globalité pour avoir un chemin moins cahoteux.

Plus le temps passe, plus je me dis que des mots comme justification, arguties et tutti-quanti ne représentent pas un discours apte à me permettre de continuer un échange sur le fond. Alors, je laisse le temps passer pour essayer de reformuler dans le langage de l'autre. J'espère y arriver car il me semble que c'est ainsi que les frontières s'amoindriront pour finir par disparaitre.

Le dilletantisme, c'est quelque chose qui est un peu en train de me tomber dessus, et de trop se remarquer aussi.

En même temps, ces temps-ci, j'ai l'impression que c'est quelque chose qui est en train de changer petit à petit.

C'est moments de vide émotionnel, de blanc - je crois les connaître. C'est ce que je vis justement dans les moments un peu "de catastrophe", quand je me retrouve face à des situations de "danger", par exemple au niveau professionnel. En février de l'année dernière, c'était un peu ça. Au début au moins, juste un blanc. La panique, enfin la peur, est venue après. Je ne sais pas si pour toi, c'est la même chose, Fa, ou si c'est différent, mais voilà, ça peut aussi être une sorte de réaction de choc. (Oui, les mots sont forts, mais c'est un peu ça, quoi.)

Les loulous, je ne sais quoi répondre, pour ce qui est de mon taf...
J'ai pas trop d'émotion là dessus, pas de moteur pour le faire.
Merci pour vos interventions.

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Foxy *ron* pour toi

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Des mots. Des mots d'Harpo, de PY, de Théo, de Lola... de plein d'autres sûrement.

Qui en se mêlant forment un autre arbre que l'originel.
L'arbre "allez, je m'en fous".

Et ça débarque sur ZC par vagues en trainant le même malaise, ne pas parvenir à se faire aux normes. Aux normes des normaux.
Puis, à un moment, elle sort, cette phrase, "allez, je m'en fous".
Ouais, quoi, osf des normes. Du social. Des autres. Du qu'en dira-t-on.

Alors toi tu tombes là dessus et t'as un sourire complice genre, ah oui, regarder les étoiles plutôt que de paraître, tiens.

Et c'est marrant, parce qu'ici on peut le dire. On peut dire qu'on préfère les étoiles aux autres. C'est bien accepté. D'ailleurs ça nous rapproche, puisqu'on fait front.
Bin oui, les autres, c'est les normaux. Les même pas zèbres.

Sauf que en fait non.
Les autres, c'est nous.
Ca picotte, hein, d'ailleurs ? Quand on le prend pour soi, le osf... vous sentez ?

Le spectre du PN, pareil. C'est du "nous", tout ça.

C'est quoi, un zombie ?
C'est un peu comme nous mais en plus méchant... Et bête, par contre, mais bête !!!
Et ça fait un peu peur, mais t'inquiète, on a le droit de les tuer.

Spoiler:

, Fa.

Spoiler:

non mais ho, la D2, quoi ?!

remède musical.



Oui, ce post est un "up" qui s'assume.

Hello Fa

Bonne journée.

merci de participer à mes ups, mjö

Je viens de retomber là dessus...
la claque !
J'ai des milliers de 80's en mp3, mais celle là je l'avais pas réentendue depuis.
Tout m'est remonté d'un coup !

Spoiler:

"Quand tu sais pas, tu d'mandes".

okay j'avoue.
Rendons à Senga les redécouvertes qui lui appartiennent.

Salut le chatigre. Dis donc, il s'en est passé, des trucs, en fait. J'espère que tu vas.

Hey ma Sapho
chatigre... faut pas croire tout ce que poste foxy, je reste bien plus pardus que tigris
Un gros *ron* à toi.

Bin on avance, pas à pas... Là ça va grosso modo

Fort !

Fa a écrit:nan sans déconner, ne cliquez pas

Rhaaaaaaa, pas pu m'empêcher !!! Souvenirs, souvenirs...

Oui Mog
Je ne sais pas si on peut faire plus kitch...

Non, Kalthu, ceci n'est pas un défi. Retiens toi.

"Toc toc, ya quelqu'un???"

Yeah Yeah YeahYeahYeahYeah

Slash !!!

Slash indeed.

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Bon... Donc après ce "serrez les délais", lorsque auparavant ils me donnaient un truc à faire en deux semaines, là mon n+0.5 m'a filé trois trucs à peu près équivalents à faire en deux jours et demi.
J'en ai passé la moitié sur ZC, mais j'ai fait ses "trucs".
On dirait qu'il est content.

Bon...
J'vois mon boss ce soir, je suppose pour parler de ça aussi. Le pauvre chéri s'inquiète. Ca me gonfle déjà. Y'a plus rien à en dire. Et encore moins à lui.

Mais bref.

Donc ça marche à peu près, ce truc des délais? C'est cool quand même!

Spoiler:

Bah... Se faire virer c'est avoir les allocations chômage, alors bon... :/ Oui et non pour le point de re-départ. Après, c'est clair que si tu restes dans la même ville, dans le même domaine, ça peut être un gros frein. ("Et pourquoi vous ont-ils licencié ? Ah, vous n'étiez plus motivé...")

Une rupture conventionnelle ? Essayer de tenir encore un peu, histoire de donner le change, sans te foutre la pression, mais en faisant semblant de bosser ?...

Certes, Sapho, il y a les allocations. Mais bon, être au chômage, c'est pas très sympa, et quand on a encore besoin de réfléchir à ce qu'on a envie de faire, avoir un salaire en attendant, c'est pas trop mal. Enfin, si ce n'est pas complètement invivable, bien sûr.

De toute façon, à Fa de voir!

c'est vrai que Fa de, ça fait fade

Mais parfois, ça devient Fa cile!

Well, some like it hot.

I'm a man
Nobody's perfect...

... C'était pas DU TOUT dans ce sens-là, mais soit. Fort.