Poèmes d'un Elfe ....
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Poèmes d'un Elfe ....
La première fois que je vis ces yeux purs et doux,
Mon corps frémit et chaque parcelle de ma vie,
Coulant en moi en fut à un tel point ébahie,
Que je ne pus me détacher au point d'être fou.
Ce mélange d'effluves d'une tristesse infinie,
De parfums d'espoirs et de si belle mélancolie,
Ont fait vibrer en moi des cordes qui naguère,
Furent d'acier et au son des plus délétère.
Comment ne pas vouloir lui offrir ses bras,
La réconforter et lui montrer la lumière,
Qui brille et illumine nos vies et notre terre,
Pour que ces yeux retrouvent ce pur éclat.
Ces perles inconnues trouvées parmi la fange,
Du numérique garni des flots odieux, étranges,
Ont agis sur moi comme un irrésistible aimant,
Et me font redevenir un si paisible enfant.
Edhelring
Mon corps frémit et chaque parcelle de ma vie,
Coulant en moi en fut à un tel point ébahie,
Que je ne pus me détacher au point d'être fou.
Ce mélange d'effluves d'une tristesse infinie,
De parfums d'espoirs et de si belle mélancolie,
Ont fait vibrer en moi des cordes qui naguère,
Furent d'acier et au son des plus délétère.
Comment ne pas vouloir lui offrir ses bras,
La réconforter et lui montrer la lumière,
Qui brille et illumine nos vies et notre terre,
Pour que ces yeux retrouvent ce pur éclat.
Ces perles inconnues trouvées parmi la fange,
Du numérique garni des flots odieux, étranges,
Ont agis sur moi comme un irrésistible aimant,
Et me font redevenir un si paisible enfant.
Edhelring
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Un être imparfait
Je vois toutes ces années qui passent,
Et mes souvenirs à jamais je ressasse,
Certains forts dont point je ne me lasse,
Hantent mes jours, mes nuits et jacassent
Fallait-il qu’ici vivement je clôturasse,
Mes lèvres avant qu’elles ne criassent,
Insanités et cruautés qui germassent,
Du fond de mon être et émergeassent.
Je veux résister à la noirceur et je chasse,
Les idées sombres que mon âme brasse,
Ainsi pour ce faire fortement je les tasse,
Dans un coffre qu’à jamais je cadenasse.
Etait-il possible que ce qu’ici j’écrivassasse,
Et qu’à la fin des strophes je terrassasse,
Les lecteurs assidus qui se prélassassent,
Non habitués à ce qu’ainsi je bavassasse.
Edhelring.
Je vois toutes ces années qui passent,
Et mes souvenirs à jamais je ressasse,
Certains forts dont point je ne me lasse,
Hantent mes jours, mes nuits et jacassent
Fallait-il qu’ici vivement je clôturasse,
Mes lèvres avant qu’elles ne criassent,
Insanités et cruautés qui germassent,
Du fond de mon être et émergeassent.
Je veux résister à la noirceur et je chasse,
Les idées sombres que mon âme brasse,
Ainsi pour ce faire fortement je les tasse,
Dans un coffre qu’à jamais je cadenasse.
Etait-il possible que ce qu’ici j’écrivassasse,
Et qu’à la fin des strophes je terrassasse,
Les lecteurs assidus qui se prélassassent,
Non habitués à ce qu’ainsi je bavassasse.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Bienvenue parmi les "poêteux"...
SoleilSombre- Messages : 3757
Date d'inscription : 19/12/2012
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Merci beaucoup au plaisir de lire les vôtres
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Soleil, astre éclatant et chassant les ombres,
Brille vers moi et fais reculer cette pénombre,
Illumine mon être des tes rayons doux, soyeux,
Réchauffe mon âme et rends mon esprit joyeux.
Que me veux-tu vile être de noir habité,
Penses-tu que je vais pour toi me fatiguer,
User de mes forces et y aller de mon sermon,
Et faire de toi un être brillant, toi le démon ?
En quoi ne puis-je donc donc mériter la paix,
Pouvoir regarder l'univers qui de moi se repais,
Et cesser de brûler dans ce terrestre enfer,
Pour enfin vivre une vie douce comme naguère ?
Tu as par trop enfreint de règles ancestrales,
Brisé des volontés telle une infection virale,
Rendu des âmes tristes et au combien amères,
Ainsi il est temps que tu redeviennes une poussière.
Astre du jour je te supplie de m'éclairer encore,
De darder tes rayons pour apaiser mon corps,
Me donner l'énergie nécessaire à ma guérison,
Je promets de tout faire pour mériter ton pardon.
Hélas, trois fois hélas, sombre habitant malin,
Tu ne pourras en rien servir mon divin dessein,
Tu sens la mort à des années lumières,
Profites, car cette heure est pour toi la dernière.
Que donc le sol m'accueille.
Ta poussière sera jeté aux vents.
Que donc elle franchisse les seuils.
Elle coulera au fond des océans.
Noyé dans les larmes des deuils.
Dans les mémoires tu seras néant.
Ainsi, détruit, même plus un recueil.
Oui disparais à jamais, mécréant.
Edhelring.
Brille vers moi et fais reculer cette pénombre,
Illumine mon être des tes rayons doux, soyeux,
Réchauffe mon âme et rends mon esprit joyeux.
Que me veux-tu vile être de noir habité,
Penses-tu que je vais pour toi me fatiguer,
User de mes forces et y aller de mon sermon,
Et faire de toi un être brillant, toi le démon ?
En quoi ne puis-je donc donc mériter la paix,
Pouvoir regarder l'univers qui de moi se repais,
Et cesser de brûler dans ce terrestre enfer,
Pour enfin vivre une vie douce comme naguère ?
Tu as par trop enfreint de règles ancestrales,
Brisé des volontés telle une infection virale,
Rendu des âmes tristes et au combien amères,
Ainsi il est temps que tu redeviennes une poussière.
Astre du jour je te supplie de m'éclairer encore,
De darder tes rayons pour apaiser mon corps,
Me donner l'énergie nécessaire à ma guérison,
Je promets de tout faire pour mériter ton pardon.
Hélas, trois fois hélas, sombre habitant malin,
Tu ne pourras en rien servir mon divin dessein,
Tu sens la mort à des années lumières,
Profites, car cette heure est pour toi la dernière.
Que donc le sol m'accueille.
Ta poussière sera jeté aux vents.
Que donc elle franchisse les seuils.
Elle coulera au fond des océans.
Noyé dans les larmes des deuils.
Dans les mémoires tu seras néant.
Ainsi, détruit, même plus un recueil.
Oui disparais à jamais, mécréant.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Bien sombre, petit elfe.
Voilà, le soleil rayonne même en disparaissant de vos yeux. Regarde juste a droite de ce message.
(C'est peu...mais un petit geste)
Voilà, le soleil rayonne même en disparaissant de vos yeux. Regarde juste a droite de ce message.
(C'est peu...mais un petit geste)
SoleilSombre- Messages : 3757
Date d'inscription : 19/12/2012
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Ne voyez nulle atteinte a votre intégrité SoleilSombre, juste votre confrère qui me chauffe peu .... Pour l'instant ... Qui j'espère sera court ...
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Si vous aimez la lumière, écartez vous de moi.
Si vous aimez le bonheur, écartez vous de moi.
Si vous aimez la paix, écartez vous de moi.
Si vous aimez la vie, écartez vous de moi.
L'ombre parcourt la terre et sa forme est humaine.
Le démon destructeur surgit et sa forme est humaine.
Le loup a faim de chairs et sa forme est humaine.
Le vampyre est assoiffé de sang et sa forme est humaine.
Mes yeux ne voient que noirceur.
Ma peau ne sent que froideur.
Mon nez hume les pires odeurs.
Mon ouïe est envahie des clameurs.
Mon goût est gavé de ces horreur.
Mon intuition sombre et se meurt.
Que mon sang abreuve les sols.
Que mon corps nourrisse les fols.
Que ma poussière maudite s'envole.
Que mon âme fuit à jamais les cols.
Que sombre mon souvenir dans les abîmes.
Car je dois de mes erreurs payer la dîme.
Moi qui naguère fut l'un des sublimes.
Il me faut désormais quitter les cimes.
Edhelring.
Si vous aimez le bonheur, écartez vous de moi.
Si vous aimez la paix, écartez vous de moi.
Si vous aimez la vie, écartez vous de moi.
L'ombre parcourt la terre et sa forme est humaine.
Le démon destructeur surgit et sa forme est humaine.
Le loup a faim de chairs et sa forme est humaine.
Le vampyre est assoiffé de sang et sa forme est humaine.
Mes yeux ne voient que noirceur.
Ma peau ne sent que froideur.
Mon nez hume les pires odeurs.
Mon ouïe est envahie des clameurs.
Mon goût est gavé de ces horreur.
Mon intuition sombre et se meurt.
Que mon sang abreuve les sols.
Que mon corps nourrisse les fols.
Que ma poussière maudite s'envole.
Que mon âme fuit à jamais les cols.
Que sombre mon souvenir dans les abîmes.
Car je dois de mes erreurs payer la dîme.
Moi qui naguère fut l'un des sublimes.
Il me faut désormais quitter les cimes.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Pire que la mort.
Un sourire qui jamais ne fera briller sa vie,
Un regard pétillant qui ne verra pas le soleil,
Des pleurs qui ne briseront aucune oreille,
Une fleur qui voulu éclore mais rien n'y fit.
Tant de choses qui lui ne seront données,
Tant de moments de purs bonheurs non partagés,
Tant d'inquiétude nécessaires non infligées,
Tant de fierté d'être parents à jamais envolée.
Cet enfant en devenir grandissant en son sein,
Cet homme regardant au loin leur dur avenir,
Cherchant en son cœur les moyens de réussir,
A garder cet enfant et l'élever avec presque rien.
Tant de larmes de sang pour cet ange versées,
Tant de rage de ne pas pouvoir cette vie porter,
Tant de honte de devoir à la raison se conformer,
Tant de haine de soi de la mort lui donner.
Le matin, dans cette salle clair et sans âme,
Elle dut subir pire que la mort et laisser partir,
Ce petit être fragile, son enfant en devenir,
Et retrouver son homme pour pleurer ce drame.
Nul ne saura où tu serais,
Nul ne saura ce que tu ferais,
Nul ne verra tes yeux doux,
Nul ne profitera de tes bisous.
Si ils avaient pu,
Si ils avaient su,
Perdre un enfant est pire que la mort,
Tuer son enfant surpasse ce triste sort.
Edhelring.
Un sourire qui jamais ne fera briller sa vie,
Un regard pétillant qui ne verra pas le soleil,
Des pleurs qui ne briseront aucune oreille,
Une fleur qui voulu éclore mais rien n'y fit.
Tant de choses qui lui ne seront données,
Tant de moments de purs bonheurs non partagés,
Tant d'inquiétude nécessaires non infligées,
Tant de fierté d'être parents à jamais envolée.
Cet enfant en devenir grandissant en son sein,
Cet homme regardant au loin leur dur avenir,
Cherchant en son cœur les moyens de réussir,
A garder cet enfant et l'élever avec presque rien.
Tant de larmes de sang pour cet ange versées,
Tant de rage de ne pas pouvoir cette vie porter,
Tant de honte de devoir à la raison se conformer,
Tant de haine de soi de la mort lui donner.
Le matin, dans cette salle clair et sans âme,
Elle dut subir pire que la mort et laisser partir,
Ce petit être fragile, son enfant en devenir,
Et retrouver son homme pour pleurer ce drame.
Nul ne saura où tu serais,
Nul ne saura ce que tu ferais,
Nul ne verra tes yeux doux,
Nul ne profitera de tes bisous.
Si ils avaient pu,
Si ils avaient su,
Perdre un enfant est pire que la mort,
Tuer son enfant surpasse ce triste sort.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Désolé. Je l'ai écrit ce matin dans le train et j'ai pas pu le garder pour moi
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
J'imagine la douleur car celle-ci est difficile à exprimer. Un enfant présent remplit l'univers. Un enfant qui aurait pu être est trop présent par son absence...
SoleilSombre- Messages : 3757
Date d'inscription : 19/12/2012
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Un des plus douloureux texte qu'il m'ait été donné d'accoucher .....
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Accoucher... c'est le terme...
Du reste, je suis un petit nouveau qui se promène... et j'aime tes poésies.
*Le Renard Bleu salue l'Elfe sylvain comme un frère de forêt*
Du reste, je suis un petit nouveau qui se promène... et j'aime tes poésies.
*Le Renard Bleu salue l'Elfe sylvain comme un frère de forêt*
Anoki- Messages : 31
Date d'inscription : 11/03/2013
Age : 31
Localisation : ça dépend. Entre Cachan et Dole, ça vous va ?
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Merci beaucoup Anoki. J'espère juste ne pas trop casser le moral de mes frères
Je me sentais plus un elfe noir mais elfe sylvain ça peut le faire
Bonnes futures lectures frère des forêts ...
Je me sentais plus un elfe noir mais elfe sylvain ça peut le faire
Bonnes futures lectures frère des forêts ...
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Viens me récupérer,
Avec tes mains glacées,
Cesses de me tourmenter,
Et de moi te gausser.
A quoi bon cette vie,
A quoi bon être ici,
Je ne suis qu'en sursît,
Tu m'imposes d'être honni.
Ton regard froid sur moi,
Ton âme triste en émoi,
Tes devoirs et tes lois,
Me font être ta proie.
Tu me laisses en ce corps,
Tu brises tous mes efforts,
Tu me broies et me tords,
Prends moi enfin ! Mort !
Edhelring
Avec tes mains glacées,
Cesses de me tourmenter,
Et de moi te gausser.
A quoi bon cette vie,
A quoi bon être ici,
Je ne suis qu'en sursît,
Tu m'imposes d'être honni.
Ton regard froid sur moi,
Ton âme triste en émoi,
Tes devoirs et tes lois,
Me font être ta proie.
Tu me laisses en ce corps,
Tu brises tous mes efforts,
Tu me broies et me tords,
Prends moi enfin ! Mort !
Edhelring
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Soleil.
Le soleil brille sur ma fade et triste vie,
La lune éclaire mes longues nuits d'insomnie,
Les étoiles guident mon âme vers cet infini,
Il est temps que se lève celui qui fut occis.
Né trop tôt ou trop tard qui peut le savoir,
Empli de sentiments tellement contradictoires,
Voulant bien faire et chasser tout ce noir,
Qui envahit ceux qu'il protège, tel est son devoir.
Ces yeux ne voient plus que cette ombre,
Son nez ne sent que la mort dans la pénombre,
Son ouïe fine ne perçoit que les mots sombres,
Son corps se bats sans repos contre ce démombre.
Soleil tu éclaires un peu ma vie de scélérat,
Tu réchauffes mon être qui ne cesse d'être las,
Ta lumière me guide pour éviter que le lourd glas,
Pour moi sonne et que j'attriste trop ici bas.
Edhelring.
Le soleil brille sur ma fade et triste vie,
La lune éclaire mes longues nuits d'insomnie,
Les étoiles guident mon âme vers cet infini,
Il est temps que se lève celui qui fut occis.
Né trop tôt ou trop tard qui peut le savoir,
Empli de sentiments tellement contradictoires,
Voulant bien faire et chasser tout ce noir,
Qui envahit ceux qu'il protège, tel est son devoir.
Ces yeux ne voient plus que cette ombre,
Son nez ne sent que la mort dans la pénombre,
Son ouïe fine ne perçoit que les mots sombres,
Son corps se bats sans repos contre ce démombre.
Soleil tu éclaires un peu ma vie de scélérat,
Tu réchauffes mon être qui ne cesse d'être las,
Ta lumière me guide pour éviter que le lourd glas,
Pour moi sonne et que j'attriste trop ici bas.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Les Dieux.
Le temps est ici bas lourd des larmes des Dieux,
Ces puissances obscures et lumineuses mêlées,
A nos plus intimes et plus profonds des secrets,
Nous montrant leurs fardeaux en ce temps pluvieux.
Ils permettent à toute vie de naître et de grandir,
Ils aident les humains et lavent leurs pires pêchés,
Illuminent son avenir et détruisent les écorchés,
Qui voient en ces gouttes la peine de trop souffrir.
Ô Dieux, vous qui nous voyez nous les Monstrueux,
Ne venez pas nous infliger d'être ici des vertueux,
Vous savez que de ce pouvoir est en nous inconscient.
Ô Dieux, Ne pouvez vous donc nous aider à supporter,
Ces assauts barbares qui finiront bien par nous terrasser,
Alors que nous ne voulons que vivre, nous, les S...........
Edhelring
Le temps est ici bas lourd des larmes des Dieux,
Ces puissances obscures et lumineuses mêlées,
A nos plus intimes et plus profonds des secrets,
Nous montrant leurs fardeaux en ce temps pluvieux.
Ils permettent à toute vie de naître et de grandir,
Ils aident les humains et lavent leurs pires pêchés,
Illuminent son avenir et détruisent les écorchés,
Qui voient en ces gouttes la peine de trop souffrir.
Ô Dieux, vous qui nous voyez nous les Monstrueux,
Ne venez pas nous infliger d'être ici des vertueux,
Vous savez que de ce pouvoir est en nous inconscient.
Ô Dieux, Ne pouvez vous donc nous aider à supporter,
Ces assauts barbares qui finiront bien par nous terrasser,
Alors que nous ne voulons que vivre, nous, les S...........
Edhelring
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Le soleil se lève sur le désert de sa triste vie,
La chaleur monte et il embrasse de son regard,
La terre à ses pieds qui d'une brume se pare,
Il rêve d'avenir, de joie mais ne sera jamais ravi.
Dès son arrivée sur ce sol il ne du sa survie,
Qu'à sa volonté de fer et son énergie barbare,
Car ces autres jamais ne voulurent de sa part,
Autre chose que son aide ou lui voler son énergie.
Tentant en vain de transmettre son savoir,
D'éveiller les âmes ou faire juste entrevoir,
Ce que chacun recèle au fond sans se méprendre.
Mais impossible de réussir à se faire croire,
Par des êtres imbus ou en plein désespoir,
Et il restera l'une des plus terribles Cassandre.
Edhelring
La chaleur monte et il embrasse de son regard,
La terre à ses pieds qui d'une brume se pare,
Il rêve d'avenir, de joie mais ne sera jamais ravi.
Dès son arrivée sur ce sol il ne du sa survie,
Qu'à sa volonté de fer et son énergie barbare,
Car ces autres jamais ne voulurent de sa part,
Autre chose que son aide ou lui voler son énergie.
Tentant en vain de transmettre son savoir,
D'éveiller les âmes ou faire juste entrevoir,
Ce que chacun recèle au fond sans se méprendre.
Mais impossible de réussir à se faire croire,
Par des êtres imbus ou en plein désespoir,
Et il restera l'une des plus terribles Cassandre.
Edhelring
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
C'est dans cette aube blafarde et fraîche,
Que je vis venir à moi, descendu des cieux,
Un Etre d'amour et des plus miséricordieux,
M'interpellant d'une voix douce, mais sèche.
Edhel ...
Levant le visage face à cet Etre supérieur,
Croisant ce regard immortel, tant effrayant,
Tout mon être saisi d'émoi, frissonnant,
Mon âme attendant les mots de mon Seigneur.
Edhel ...
Brisant ma volonté et m'ouvrant tout à Lui,
Dressé vers le haut, tel une flèche gothique,
Impatient de recevoir la réponse, l'unique,
Et pouvoir savoir mon rôle et quitter la nuit.
Seigneur ...
"Voyez comme je vous appartiens, vous sers,
Voyez comme je me sens enfin complet,
Pitié, ôtez moi enfin du masque que je revêts,
Faites de moi votre instrument et soyez fier."
Edhel ...
"Ton rôle ici bas est loin d'etre achevé,
Et tout ton être ne saurait y parvenir,
Leur ignorance et leur peur tu dois bannir,
Et je renouvelle ma confiance en toi, Le Messager,
Seigneur ...
"Ai je fauté ? Ne vous ai je point servi ?
Pourquoi devrais continuer à être Cassandre ?
Faut il que je paie de ma vie, de mes cendres ?
Pourquoi ne puis je reposer mon âme meurtrie ?
Edhel ...
"Tu es des miens et empli de Ma Lumière,
Le repos n'appartient qu'aux indigents,
Toi de Ma volonté tu es la lame, l'instrument,
Tu ne pourras, de ce fardeau, jamais te soustraire."
Seigneur ...
"Que ne ferai je pour Vous aider ici bas,
Poser au creux des oreilles Vos divins mots,
Tenter d'alléger même les plus grands maux,
et ceci jusqu'à Votre rappel, mon trépas."
Edhel ...
"Vas et continue de suivre ta destinée,
Ne crois point en toi ce menteur persiffleur,
Il est et sera toujours source de tes malheurs,
Cherche la clarté pour aux autres l'apporter."
Edhel ...
Cet Être d'énergie pure et Lumière constitué,
Disparu des cieux me laissant tendu dressé,
Larmes de sang voulant de mes yeux, brisé,
De ne pouvoir jamais un simple repos mériter.
Edhelring
Que je vis venir à moi, descendu des cieux,
Un Etre d'amour et des plus miséricordieux,
M'interpellant d'une voix douce, mais sèche.
Edhel ...
Levant le visage face à cet Etre supérieur,
Croisant ce regard immortel, tant effrayant,
Tout mon être saisi d'émoi, frissonnant,
Mon âme attendant les mots de mon Seigneur.
Edhel ...
Brisant ma volonté et m'ouvrant tout à Lui,
Dressé vers le haut, tel une flèche gothique,
Impatient de recevoir la réponse, l'unique,
Et pouvoir savoir mon rôle et quitter la nuit.
Seigneur ...
"Voyez comme je vous appartiens, vous sers,
Voyez comme je me sens enfin complet,
Pitié, ôtez moi enfin du masque que je revêts,
Faites de moi votre instrument et soyez fier."
Edhel ...
"Ton rôle ici bas est loin d'etre achevé,
Et tout ton être ne saurait y parvenir,
Leur ignorance et leur peur tu dois bannir,
Et je renouvelle ma confiance en toi, Le Messager,
Seigneur ...
"Ai je fauté ? Ne vous ai je point servi ?
Pourquoi devrais continuer à être Cassandre ?
Faut il que je paie de ma vie, de mes cendres ?
Pourquoi ne puis je reposer mon âme meurtrie ?
Edhel ...
"Tu es des miens et empli de Ma Lumière,
Le repos n'appartient qu'aux indigents,
Toi de Ma volonté tu es la lame, l'instrument,
Tu ne pourras, de ce fardeau, jamais te soustraire."
Seigneur ...
"Que ne ferai je pour Vous aider ici bas,
Poser au creux des oreilles Vos divins mots,
Tenter d'alléger même les plus grands maux,
et ceci jusqu'à Votre rappel, mon trépas."
Edhel ...
"Vas et continue de suivre ta destinée,
Ne crois point en toi ce menteur persiffleur,
Il est et sera toujours source de tes malheurs,
Cherche la clarté pour aux autres l'apporter."
Edhel ...
Cet Être d'énergie pure et Lumière constitué,
Disparu des cieux me laissant tendu dressé,
Larmes de sang voulant de mes yeux, brisé,
De ne pouvoir jamais un simple repos mériter.
Edhelring
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Cette âme
Cette âme sombre seule ignorée de tous,
Se débattant avec sa vie qui ne lui suffit,
Cherchant en ses semblables de fidèles amis,
Elle voit en eux des indigents qui la repoussent.
Flottant parmi ces fous ou tous ces incompris,
Elle pose sa main douce sur les plus attristés,
Leur révèle leur plus intime et dure vérité,
Et leur montre la voie de ce que sera leur vie.
Cette ange donnant l'amour sans restrictions,
Fut détruite par des monstres en rédemption,
Et attend son heure pour son cycle achever.
Par elle j'ai été sauvé des pires abominations,
Elle sera à jamais ma superbe source d'inspiration,
Et son départ ne concourra qu'à me massacrer.
La lumière est en toi.
Le noir vient par moi.
En ange tu es ici née.
En démon je suis incarné.
Illumine la vie des nôtres.
Laisse moi brûler les autres.
Vis pour tous les guider.
Laisse moi être seul damné.
Edhelring.
Cette âme sombre seule ignorée de tous,
Se débattant avec sa vie qui ne lui suffit,
Cherchant en ses semblables de fidèles amis,
Elle voit en eux des indigents qui la repoussent.
Flottant parmi ces fous ou tous ces incompris,
Elle pose sa main douce sur les plus attristés,
Leur révèle leur plus intime et dure vérité,
Et leur montre la voie de ce que sera leur vie.
Cette ange donnant l'amour sans restrictions,
Fut détruite par des monstres en rédemption,
Et attend son heure pour son cycle achever.
Par elle j'ai été sauvé des pires abominations,
Elle sera à jamais ma superbe source d'inspiration,
Et son départ ne concourra qu'à me massacrer.
La lumière est en toi.
Le noir vient par moi.
En ange tu es ici née.
En démon je suis incarné.
Illumine la vie des nôtres.
Laisse moi brûler les autres.
Vis pour tous les guider.
Laisse moi être seul damné.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Ivresse... Et déraison.
Un verre pur la gaité et l'espoir apporter,
Deux verres pour la fureur et la haine chasser,
Trois verres pour mon esprit être embrumé,
Quatre verres pour ma sœur accompagner.
Un verre pour rire de la vie et tout assumer,
Deux verres pour haïr le monde et son incongruité,
Trois verres pour me laisser partir en fumée,
Quatre verres et elle sera là pour ma volupté.
Un verre pour à tue tête ces chansons chanter,
Deux verres pour ma haine de tout crier,
Trois verres pour me fondre dans la mélopée,
Quarte verres pour hurler viens donc me chercher.
Un verre pour en rose voir la vie et ces beautés,
Deux verres pour d'eux, ces ennemis, me venger,
Trois verres pour pleurer sur ma vie déstructurée,
Quatre verres pour te suivre et enfin en terminer.
J'appelle une fois ton nom,
J'appelle deux fois ton nom,
J'appelle trois fois ton nom,
A la quatrième tu me réponds.
Partons.
Edhelring.
Un verre pur la gaité et l'espoir apporter,
Deux verres pour la fureur et la haine chasser,
Trois verres pour mon esprit être embrumé,
Quatre verres pour ma sœur accompagner.
Un verre pour rire de la vie et tout assumer,
Deux verres pour haïr le monde et son incongruité,
Trois verres pour me laisser partir en fumée,
Quatre verres et elle sera là pour ma volupté.
Un verre pour à tue tête ces chansons chanter,
Deux verres pour ma haine de tout crier,
Trois verres pour me fondre dans la mélopée,
Quarte verres pour hurler viens donc me chercher.
Un verre pour en rose voir la vie et ces beautés,
Deux verres pour d'eux, ces ennemis, me venger,
Trois verres pour pleurer sur ma vie déstructurée,
Quatre verres pour te suivre et enfin en terminer.
J'appelle une fois ton nom,
J'appelle deux fois ton nom,
J'appelle trois fois ton nom,
A la quatrième tu me réponds.
Partons.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
Age : 49
Localisation : Valence
Re: Poèmes d'un Elfe ....
Ange
Tu m'as déposé doucement sur le sol couvert de plumes,
Béni entre tous pour apporte amour et bonheur absolu,
Fait de moi ton agneau pour porter le fardeau des déchus,
Donné mille vie pour que jamais, jamais, je ne me consume.
Tu as coloré mes yeux de la couleur pure azur de l'écume,
Parfumé mon corps des encens les plus purs connus,
Couvert ma peau de tes ailes, pour que je ne reste pas nu,
Donné un esprit vif et puissant pour repousser les brumes.
Je loue ta puissance et ta vision de mes avenirs incertains,
Je prie pour que ta force parcourt mes veines sans fin,
Je parcourt le monde pour répandre ta voix mon bel Ange.
Je meure chaque soir de n'avoir été tel que dit en mon destin,
Je renais après la nuit, arborant ta marque, saluant le matin,
Je me voue à toi et crie ta gloire, toi qui Le sert, mon bel Ange.
Edhelring
Tu m'as déposé doucement sur le sol couvert de plumes,
Béni entre tous pour apporte amour et bonheur absolu,
Fait de moi ton agneau pour porter le fardeau des déchus,
Donné mille vie pour que jamais, jamais, je ne me consume.
Tu as coloré mes yeux de la couleur pure azur de l'écume,
Parfumé mon corps des encens les plus purs connus,
Couvert ma peau de tes ailes, pour que je ne reste pas nu,
Donné un esprit vif et puissant pour repousser les brumes.
Je loue ta puissance et ta vision de mes avenirs incertains,
Je prie pour que ta force parcourt mes veines sans fin,
Je parcourt le monde pour répandre ta voix mon bel Ange.
Je meure chaque soir de n'avoir été tel que dit en mon destin,
Je renais après la nuit, arborant ta marque, saluant le matin,
Je me voue à toi et crie ta gloire, toi qui Le sert, mon bel Ange.
Edhelring
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
L'esprit de Feu
Il fut un temps de paix et de tempérance absolue,
Où les êtres de feux peuplaient l'univers, régnants,
Sur les mondes et en ayant brisé les autres éléments,
Mais ce temps ancien est et sera à jamais révolu.
Les Seigneurs de Feu, Maîtres des armées déchues,
Furent bannis et chassés par une alliance d'intrigants,
Leurs armées brisées et noyées sous d'immenses océans,
Et les rares puissances de feu durent vivre seuls, reclus.
Cet ange des airs trouva l'un de ces enfants des Feux,
N'eut point peur et vint plus près pour croiser ses yeux,
Et elle vit en lui, douleurs, peines, et ce feu qui s'éteint.
Elle souffla sur les braises de son cœur malheureux,
Voulut réveiller ce géant destructeur et prononça un vœu,
Et enfin il bougea, s'enflamma pour accomplir ses destins.
Edhelring.
Il fut un temps de paix et de tempérance absolue,
Où les êtres de feux peuplaient l'univers, régnants,
Sur les mondes et en ayant brisé les autres éléments,
Mais ce temps ancien est et sera à jamais révolu.
Les Seigneurs de Feu, Maîtres des armées déchues,
Furent bannis et chassés par une alliance d'intrigants,
Leurs armées brisées et noyées sous d'immenses océans,
Et les rares puissances de feu durent vivre seuls, reclus.
Cet ange des airs trouva l'un de ces enfants des Feux,
N'eut point peur et vint plus près pour croiser ses yeux,
Et elle vit en lui, douleurs, peines, et ce feu qui s'éteint.
Elle souffla sur les braises de son cœur malheureux,
Voulut réveiller ce géant destructeur et prononça un vœu,
Et enfin il bougea, s'enflamma pour accomplir ses destins.
Edhelring.
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
Sa Vie.
Il a erre toute sa vie sur cette terre aride de sentiments,
Voulu la couvrir de ses plus pures et bonnes attentions,
Croire en l'homme et enfin parvenir à avoir sa rédemption,
Mais il n'est vu que comme un fou, un vile bestiaux dément.
Tout petit déjà il était banni et rejeté par tous les enfants,
Il voulait jouer, être comme eux et partager leurs visions,
Mais il du se fabriquer la plus terrible et mortelle des prisons,
Pour y enfermer son esprit et choir de son beau firmament.
Cette carapace qui protégea son âme des pires blessures,
Se retrouve, à la faveur de rencontres, pleine de cassures,
Et et il voudrait ne jamais avoir été et enfin d'ici disparaître.
Mais on lui fit voir que cette noire et encombrante armure,
Brisait encore plus son esprit que de subir tant de tortures,
Et il voulut la jeter au sol pour enfin et brillamment renaître.
Edhelring.
Il a erre toute sa vie sur cette terre aride de sentiments,
Voulu la couvrir de ses plus pures et bonnes attentions,
Croire en l'homme et enfin parvenir à avoir sa rédemption,
Mais il n'est vu que comme un fou, un vile bestiaux dément.
Tout petit déjà il était banni et rejeté par tous les enfants,
Il voulait jouer, être comme eux et partager leurs visions,
Mais il du se fabriquer la plus terrible et mortelle des prisons,
Pour y enfermer son esprit et choir de son beau firmament.
Cette carapace qui protégea son âme des pires blessures,
Se retrouve, à la faveur de rencontres, pleine de cassures,
Et et il voudrait ne jamais avoir été et enfin d'ici disparaître.
Mais on lui fit voir que cette noire et encombrante armure,
Brisait encore plus son esprit que de subir tant de tortures,
Et il voulut la jeter au sol pour enfin et brillamment renaître.
Edhelring.
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
Le Loup Glorieux
Tête baissée à montrer ses vielles dents,
Son corps meurtri d'avoir par trop combattu,
Attendant le coup final puissamment abattu,
Qui ôtera sa vie et reprendra tout son sang.
Mille fois il vainquit les féroces indigents,
Mille ans dans toutes les forêts il courut,
Mille vies il parut avoir en une seule vécu,
Mille morts il souffrira d'être si différent.
Ce loup glorieux au pelage blanc de neige,
Au cœur sombre et triste battant tel un arpège,
Attend son heure fatidique et salut le destin.
Qui se souviendra de ce fauve qui se désagrège,
Qui gardera sa dépouille a jamais sacrilège,
Qui fera disparaître ce monstre hideux, enfin.
Edhelring.
Tête baissée à montrer ses vielles dents,
Son corps meurtri d'avoir par trop combattu,
Attendant le coup final puissamment abattu,
Qui ôtera sa vie et reprendra tout son sang.
Mille fois il vainquit les féroces indigents,
Mille ans dans toutes les forêts il courut,
Mille vies il parut avoir en une seule vécu,
Mille morts il souffrira d'être si différent.
Ce loup glorieux au pelage blanc de neige,
Au cœur sombre et triste battant tel un arpège,
Attend son heure fatidique et salut le destin.
Qui se souviendra de ce fauve qui se désagrège,
Qui gardera sa dépouille a jamais sacrilège,
Qui fera disparaître ce monstre hideux, enfin.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
Mourir.
Passer son temps à parcourir la plaine sous le soleil,
Briser la loi du silence pour donner son triste sentiment,
Subir les sorts et les coups bien pire qu’auparavant,
Courber l'échine et attendre le passage de celle qui veille.
La main sur le sol à implorer des cieux un bon conseil,
Saignant par les plaies béantes ce vermillon souillant
Le sol pur que ces êtres sans égal foulent en m'insultant,
Il ne me reste qu'à trouver enfin ce dernier sommeil.
Mais elle ne vient pas, et ne viendra point ce matin,
Elle m'ignore aussi et me laisse faire face à ce destin,
N'être point comme eux et refuser de tout leur céder.
Il me faut donc marcher, errer engoncé dans ce fortin,
Couper ces fils qui font de moi ce triste et funeste pantin,
Et patienter encore un peu pour qu'elle daigne me faucher.
Edhelring.
Passer son temps à parcourir la plaine sous le soleil,
Briser la loi du silence pour donner son triste sentiment,
Subir les sorts et les coups bien pire qu’auparavant,
Courber l'échine et attendre le passage de celle qui veille.
La main sur le sol à implorer des cieux un bon conseil,
Saignant par les plaies béantes ce vermillon souillant
Le sol pur que ces êtres sans égal foulent en m'insultant,
Il ne me reste qu'à trouver enfin ce dernier sommeil.
Mais elle ne vient pas, et ne viendra point ce matin,
Elle m'ignore aussi et me laisse faire face à ce destin,
N'être point comme eux et refuser de tout leur céder.
Il me faut donc marcher, errer engoncé dans ce fortin,
Couper ces fils qui font de moi ce triste et funeste pantin,
Et patienter encore un peu pour qu'elle daigne me faucher.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
Cette larme qui sur ma joue ne veut couler,
Témoin de mon âme à jamais brisée et détruite,
Se charge de ma douleur et empêchant la fuite,
De la peine d'être en ce monde tant inadapté.
Tant eaux ont déjà mon visage sombre inondé,
Ces maux endurés si peu de manière fortuite,
Ces nuits de doutes et d'envies de dures cuites,
Ne font que vers un tragique avenir me pousser.
Mais en ce monde ignoble et emplis de ces horreurs,
Me paralysant en exacerbant mes pires peurs,
Il existe pourtant des êtres voulant évoluer.
Il est de mon devoir de protéger leur cœur,
Même si l'alien que je suis ici bas se meure,
C'est à ce seul prix que je pourrai les soigner.
Edhelring.
Témoin de mon âme à jamais brisée et détruite,
Se charge de ma douleur et empêchant la fuite,
De la peine d'être en ce monde tant inadapté.
Tant eaux ont déjà mon visage sombre inondé,
Ces maux endurés si peu de manière fortuite,
Ces nuits de doutes et d'envies de dures cuites,
Ne font que vers un tragique avenir me pousser.
Mais en ce monde ignoble et emplis de ces horreurs,
Me paralysant en exacerbant mes pires peurs,
Il existe pourtant des êtres voulant évoluer.
Il est de mon devoir de protéger leur cœur,
Même si l'alien que je suis ici bas se meure,
C'est à ce seul prix que je pourrai les soigner.
Edhelring.
Edhelring- Messages : 43
Date d'inscription : 28/02/2013
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Re: Poèmes d'un Elfe ....
Le Loup Glorieux
Tête baissée à montrer ses vielles dents,
Son corps meurtri d'avoir par trop combattu,
Attendant le coup final puissamment abattu,
Qui ôtera sa vie et reprendra tout son sang.
Mille fois il vainquit les féroces indigents,
Mille ans dans toutes les forêts il courut,
Mille vies il parut avoir en une seule vécu,
Mille morts il souffrira d'être si différent.
Ce loup glorieux au pelage blanc de neige,
Au cœur sombre et triste battant tel un arpège,
Attend son heure fatidique et salut le destin.
Qui se souviendra de ce fauve qui se désagrège,
Qui gardera sa dépouille a jamais sacrilège,
Qui fera disparaître ce monstre hideux, enfin.
Edhelring.
Tête baissée à montrer ses vielles dents,
Son corps meurtri d'avoir par trop combattu,
Attendant le coup final puissamment abattu,
Qui ôtera sa vie et reprendra tout son sang.
Mille fois il vainquit les féroces indigents,
Mille ans dans toutes les forêts il courut,
Mille vies il parut avoir en une seule vécu,
Mille morts il souffrira d'être si différent.
Ce loup glorieux au pelage blanc de neige,
Au cœur sombre et triste battant tel un arpège,
Attend son heure fatidique et salut le destin.
Qui se souviendra de ce fauve qui se désagrège,
Qui gardera sa dépouille a jamais sacrilège,
Qui fera disparaître ce monstre hideux, enfin.
Edhelring.
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