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t'as pas trop besoin de developper pour moi...
il y a moyen qu'en attendnat/fabricant une porte de sortie tu zappes ça la minute ou tu sors du boulot (des fois la dissociaion pour un temps ca a du bon...) ?

(faut que j'aille dormir je regarderai ta reponse demain)
bonne nuit

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t'es contente ?

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Ajoute dans ta vinaigrette les ingrédients dont tu as besoin.


Piment, échalotes, ou miel, au choix.

Dans ta déco de bureau par exemple,
dans tes loisirs extérieurs,
dans tes loisirs domestiques aussi (chez toi, en intérieur).
Va rencontrer des gens dans un club de loisir ou de sport, ou une association sinon: ça remet vite le puzzle intérieur en place de la bonne façon, sans effort autre que de se laisser guider à parler et écouter autour d'un loisir qui te plaît beaucoup.  

Et choisis tes musiques avec soin: celle du réveil, ou du matin avant de partir, au bureau ensuite et en voiture ou bus, puis celle du soir... Ce sont comme des baumes, des régénérations qui te soignent et te stimulent.




Tout ça est simple, facile, gratuit ou presque.
Le bénévolat peut aussi apporter ses fruits.   

désolée pour le flood >>>>

dessein  : tes mini minou sont des amours

        

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Tout est histoire de rôles, comme dans un jeu, sauf que c'est celui du programme de la vie...

Si tu "portes" le rôle que tu décris, alors oui, d'autres autour endossent de suite le rôle de te blesser.
Change ton programme interne, change ton code, change ton rôle.


Et tout bascule ensuite gentiment, ou brusquement, c'est selon. Facile, et délicieusement simple. Teste.

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Pour dire bonjour et avec maladresse peut-être (si allergique) :

le beau cal n'est qu'appât rance , le soleil et la lune sont-ils libres ?

  

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ASPERGE a écrit:
Le vécu de guerre que certains d'entre nous ressentent comme s'il avaient participé à l'occupation ou vécu dans les camps, n'est pas une appropriation de la souffrance d'autrui, par hystérie.

La menace est réelle.

Nous sommes menacés.
- Physiquement (bon nombres d'entre nous ont vécu des attaques et des menaces physiques, isolées ou répétées, allant jusqu'à constituer une norme par leur fréquence et la justification argumentée des attaquants).
- Psychiquement. Chaque jour, chaque instant nous recevons des signaux d'interdiction : de parler, de penser, d'agir. Des humiliations. Car nous pourrions parler sans être compris, être dans le vide sans avoir mal. Nous recevons chaque jour des messages qui visent à notre intimidation et notre soumission.

Bien vu.
Ajoute à cela ce qui rend idiot, hypnotise devant des écrans, des jeux idiots tant à la TV que sur ordi.
Tout ce qui "distrait"... Au sens propre comme au figuré.  

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fais gaff qu'ils ne confondent pas haut potentiel avec hopital psy ^^  

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Merci pour tes voeux.
Ton post n'est pas négatif, tu énonces simplement des faits négatifs et des situations que tu ne veux pas revivre, je trouve cela très positif.
Souvent le suicide vient quand justement notre jugement est faussé et alors on re trompe de cible, on seait alors du mal au lieu de régler les vrais problèmes.
Pour moi quand j'ai quitté mon boulot il y a deux ams j'étais aussi dans l'erreur en partie. Maintenant ce que ne va pas est bien mieux identifié, ze vais pouvoir retourmer au travail, le même ou un autre.

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Ce qui est commun dans la famille et le travail, c'est que l'on est toujours entraîné dans les représentations (et projections) des autres. Et qu'on n'a pas trop le choix, il faut faire avec. Quelle que soit notre façon de "faire". À un moment, on est optimiste, on prend conscience, on prend de la distance, on se libère. On croit qu'il est possible de se faire entendre, en parlant.

Ce dont je prends conscience, en ce moment, c'est de cet optimisme, de la foi que j'avais (la même que pour mes convictions, mes engagements, l'envie de faire bouger les lignes). Et de la complexité que cet optimisme génère. Je me rends compte que plus je suis sûre de moi, convaincue, bien, donc, plus je déstabilise. Que ça peut être violent, de fait, même s'il est évident que je suis sincère, et dans une démarche d'assertivité. Cela peut même provoquer le moment où la pensée se bloque, les représentations habituelles n'étant plus adaptées, et de nouvelles n'étant pas accessibles.

L'équilibre (factice) est rompu. En trouvant le mien, je déséquilibre l'ensemble. Pas très grave pour le boulot, je peux en trouver un autre et je n'ai pas d'illusion sur la capacité de l'ensemble à retrouver ses bonnes vieilles marques sans moi. C'est un peu plus compliqué pour la famille.

La liberté intérieure n'est pas de tout repos.

Je comprends l'envie de partir. J'ai cette idée aussi, assez forte. Mais je ne suis pas encore sûre de ce que je cherche ; seulement de ce qui est trop pesant à force de contraintes, et qui serait peut-être vivable autrement. Encore une question d'équilibre, toujours mouvant, de respirations entre des pôles  qui peuvent paraître opposés mais qui forment un tout.

je plussoie Gallinago.

trouver notre liberté, être soi, est déstabilisant pour les autres et surtout pour la famille.
nous ne sommes plus la simple marionnette en mode faux-self qui est asservie.

et oui, la fuite, le départ semble être la seule issue. lorsqu'on le peut, pourquoi se retenir de le faire ?

moi, j'attends, mais il se peut qu'un jour, je franchisse le pas...

Se taire ne sert à rien en général, c'est chiant de devoir se taire parce que les autres ne nous comprennent pas. Et puis si on se tait on ne peut pas se faire entendre ni rencontrer des gens qui nous ressemblent ou nous comprennent.
Quelles que soient tes décisions il faut qu'elles t'apportent plus de sourires et de bonheur.

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Oui hélas quand on crée il y a toujours des raleurs pour nous cracher dessus. C'est surprenant quand même pour une instit.
Et la réaction de ta mère ? Elle a su t'expliquer ?
Tu as beaucoup d'évènements marquants comme ça, je veux dire des choses désagréables du passé plus que d'agréables ?

Je me disais récemment de ne pas rester dans les reproches. Belle intention mais pas toujours aisée à respecter.

Pas très surprenant. J'ai eu un peu le même type de remarque, une instit qui n'a jamais voulu croire que j'avais employé une expression sans qu'elle me soit soufflée par mes parents ("à mains nues", mazette, non, une gamine ne pouvait pas écrire ça toute seule).

Bonjour Asperge. Touchée par ton histoire de poème...

Gallinago Imperialis a écrit:Pas très surprenant.

+1
Les instits, les profs (moins grave car ils impactent des ados pas des enfants, quoique), entrent à l'école à 2,5 ou 3 ans et ils la quittent à plus de 60 ans...
Pas étonnant que la plupart d'entre eux puissent être agacés-effrayés-incommodés par ce qui n'entre pas dans dans les p'tites boites familières bien rangées sur les étagère rectilignes de leur cerveau.

J'ai bien eu quelques profs psychopathes (ouais, bon, le terme est sans doute un peu fort pour la plupart), mais dans l'ensemble, je pense que je suis plutôt bien tombé, et j'ai gardé plutôt de bons souvenirs de mes profs. Avec le recul, j'ai souvent trouvé des points positifs à la majorité d'entre eux. Bon, il y a quelques exceptions tout de même, quelques personnes dont je pense qu'elles étaient tellement amères et/ou méchantes qu'elles n'apportaient que de la nocivité à leurs élèves, mais c'est de l'ordre de 2 ou 3 sur plus de trente ou quarante profs (ça reste beaucoup, vous me direz).

Il y a aussi des profs qui vous voient tels que vous êtes, ils vous mettent sur la piste mais ne vont pas plus loin.
Et on loupe le chemin, on ne sait pas lire les traces, les indices, nous ne savons pas déduire ce que nous sommes car une seule personne essaye de vous le dire, mais d'une manière si détournée que vous passez à côté.

J'ai eu une prof ainsi au collège, je crois qu'elle a deviné, elle a essayé de me le faire comprendre à sa façon, et en me donnant ce que j'aimais le plus "des livres" sur la différence.
Mais ce n'est que maintenant, depuis un an que j'ai compris le message. Elle connaissait ma différence, mais ne m'a rien dit, elle m'a laissée avec juste qq indices que je viens de décrypter.
C'est une des trois profs que j'ai dans le coeur, elle était là, elle est là.

Ton texte est superbe, il me parle vraiment beaucoup...

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Tu te nourris d'asperges de boeuf, maintenant, alors ?

Ah tiens ? Le problème avec les voeux, c'est que c'est très radical  

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