''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
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Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
The word of the week : CROISSANT...
Si vous aussi, vous regardez parfois des vidéos inintéressantes jusqu'au bout...
Promis zwizwi, c'est la dernière fois !
Si vous aussi, vous regardez parfois des vidéos inintéressantes jusqu'au bout...
Promis zwizwi, c'est la dernière fois !
FadeToBlack- Messages : 719
Date d'inscription : 08/06/2013
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
kalei a écrit:Si. Elles PEUVENT l'être.
Elles peuvent aimer l'être.
Prendre tout plein de temps pour se faire toutes jolies.
MAIS PAS un samedi matin à 7h30 quand le ventre crie "FAMINE !!!!"
Et moi qui croyais les mecs cools et décomplexés......
C'est un mythe
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Ainaelin a écrit:En fait, le maquillage, c'est juste pour qu'on se concentre sur le visage et qu'on ne voit pas le pyjama...
Flûte ! On est démasqué
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles, grâce à vous (façon biscuits BN)
Que du beau monde, dites donc
Harpo, merci de la découverte ! Du coup, j'en écoute d'autres... celle-ci me touche particulièrement (et en plus, le concert date de.. 73 )
à tous
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Mais qui ignorerait l'invitation à un buffet zwizwi ?
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Allez, soirée pyjama ca vous tente ?
J'ramène un peu de lumière parce que cette nuit zavais les zyeux qui piquaient
J'ramène un peu de lumière parce que cette nuit zavais les zyeux qui piquaient
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
FadeTo : alors, moi aussi je l'ai regardée jusqu'au bout... faut dire que ça me fascine les questions de prononciation, d'accent - corrélées à une passion pour les langues, of course - Si un ou une anglais(e) faisait de même, je crois que j'engloutirais quelques vidéos comme des petits pains ! (oui hum, j'ai un côté ''aristo'' concernant l'anglais, je préfère de loin les accents britanniques)
Un site que mon côté obsédé par la prononciation aime bien : http://forvo.com/
No Body : paraîtrait que le ventre soit de par la quantité de ses cellules neuronales comme un deuxième cerveau... doit bien y avoir des surdoués du ventre, du coup
Un site que mon côté obsédé par la prononciation aime bien : http://forvo.com/
No Body : paraîtrait que le ventre soit de par la quantité de ses cellules neuronales comme un deuxième cerveau... doit bien y avoir des surdoués du ventre, du coup
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Oh ! Vraiment, ça me touche !
- Spoiler:
- Pour rester dans le thème...
FadeToBlack- Messages : 719
Date d'inscription : 08/06/2013
Age : 41
Localisation : Always somewhere...
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Tu vas rire mais ... combien de fois ai je dit que j'étais un "estomac sur pattes"
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
zwizwi a écrit:
J'ai un sourire jusqu'aux oreilles, grâce à vous (façon biscuits BN)
Que du beau monde, dites donc
Vrai qu'on a un peu squatté chez toi aujourd'hui
kalei- Messages : 47
Date d'inscription : 27/03/2014
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Yeah ! C'est la joie par ici !
Des croissants, des accents, des chouettes musiques...
...et une p'tite berceuse turque pour une douce nuit ?
............................................................................................
Des croissants, des accents, des chouettes musiques...
...et une p'tite berceuse turque pour une douce nuit ?
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Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Ton beau post (et très belle musique) complète le tableau. Merci
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
- je ne me suis pas relue...:
- Soupir. En attente. En attente de quoi ?
Du sommeil ? J'ai dormi toute la journée, étant complètement décalée.
Une fois par semaine (pas cette semaine-ci, cela dit), depuis environ trois semaines, j'essaye de me recaler, en faisant, ce qui n'est sans doute pas le plus judicieux, une chevauchée de veille sur deux jours. Environ 36h de veille. Et puis après... deux jours après, ça recommence. Le mieux serait de se lever tous les jours vers 7, 8h. Faire du sport, de l'exercice dès ce moment-là, pour stimuler le corps, la machine biochimique. Je le fais... deux fois par semaine. Soupir.
Bien sûr, plein d'autres mouvements sont faits (des mouvements internes, psychologiques, si l'on peut dire. Je ne saurais comment les nommer. Ca fuse parfois dans l'écriture, sur le bloc-notes de l'ordinateur, que je garde dans mes dossiers comme des feuilles tombées, mais que je ne réexamine pas par la suite. Sauf dans le cas précis où je réutilise un écrit pour le poster sur ce fil. C'est rare). On ne peut pas tout rétablir d'un coup. Des plaies cicatrisent, d'autres se craquèlent, la peau pèle, les cellules se régénèrent...
- - -
Ecrire de façon cadrée me fatigue... je me fatigue moi-même. C'est incroyable comme une part de moi ne supporte pas la contrainte. Où faire vivre ce cheval épris de liberté ? Dans quels espaces intérieurs et extérieurs le faire galoper ?
Le dessin... j'ai essayé de m'y remettre, oh, juste une fois, la semaine dernière, en prenant pour modèle une photo d'un doudou lapin. L'ai dessiné, de façon très lente, progressive, en y revenant plusieurs fois, sur un carnet à carreaux, qui d'habitude sert à recueillir ma graphie rapide, malhabile.
Ce n'est pas si mal... j'ai arrêté de dessiner quand j'avais autour de 11, 12 ans, je crois. Le niveau en dessin en est resté là. J'ai lu, et j'en suis convaincue, que l'on peut s'améliorer en dessin, à n'importe quel âge.
- -
Le piano... dilettantisme, également. De 11-12 ans jusqu'à, ah, 17 ? Plutôt bonne dans la pratique. Assez mauvaise dans le côté théorique, le solfège... parce que, j'avais du mal avec le prof qui nous l'enseignait (mon Dieu, qui s'est suicidé depuis...). Un mal-être de jeune personne contre un mal-être d'adulte.
- -
Incroyable que je parle de ce côté ''je ne supporte pas la contrainte'' alors même que... la contrainte ne vient pas de l'extérieur. Elle vient de moi-même (oh, ça se lisait déjà dans ce que j'écrivais plus haut. Tant pis, je laisse dérouler les mots façon semi-automatique, même si j'utilise encore trop ces fameuses touches ''supprimer'' et ''retour en arrière''). D'où la friction énorme entre moi et moi-même. C'est comme se tordre soi-même.
Se rogner les ailes... et ensuite, s'étonner que cela fait mal de marcher, courir... parce que dans le dos, les ailes repliées et déplumées par sa propre inhibition, ça fait mal, même quand on ne nous demande pas de voler.
- -
L'inhibition... les dyssynchronies, entre l'état affectif et intellectuel. J'ai l'impression d'être restée ''bloquée'' sur certains points à l'âge de 11 ans. Voire, à l'état de nourrisson sur d'autres.
Je dis cela, alors même que c'est un schéma qu'on retrouve de façon fréquente dans les témoignages qui parsèment ce forum.
J'écris cela, alors même que je ne suis plus dans la recherche d'une confirmation. Je ne l'ai jamais vraiment été... se focaliser sur ce point précis de la douance est comme faire un arrêt sur image, pendant le déroulement d'un film. L'image fait partie du film, ce dernier n'est constitué que d'une succession d'images en grand nombre, mais, le film
Un peu contradictoire ce que j'écris là. Je le vois bien. Soupir.
J'ai un peu rejeté l'aspect ''douance'' ces derniers mois. Encore que pour ma part, je préfère de loin m'y référer à l'aide des concepts tels que ''dyssynchronie affective / intellectuelle''. C'est d'ailleurs par là, par la lecture d'un article de Jean-Charles Terrassier (reproduit sur douance.be) que je suis arrivée sur zc l'an dernier.
Je croyais avoir dépassé cela. Ben, non, faut croire.
Je l'avais juste mis cet amas de poussières qui risque de gratter la gorge sous le paillasson.
Je le déplace ce paillasson, avec l'aide de la psy que je vois. Pas du tout spécialisée dans une partie de l'alphabet humain, mais elle accueille cela avec les autres composantes de mon histoire, de mon être. Un côté ''holiste'' qui me convient très bien.
- là encore, tout de même... i'm lucky -
Sinon ?
Merci aux belles personnes que je croise, merci à ce forum - qui permet à chacun s'il le souhaite d'avoir cette petite cabane dans le fil des Présentations, où l'on peut partager -. Merci à la vie (passionnante, je le répète. Y compris parce qu'elle contient avec ce terme la racine de la souffrance. Mais sans celle-ci, pas d'empathie, pas de sympathie, pas d'évolution... alors, c'est très bien ainsi, oui. Même si l'on a du mal à le croire quand la douleur serre le ventre, la gorge, comme cela m'arrive, comme cela m'arrivera, comme, cela arrive pour chaque naissance, du côté de la mère, du côté de l'enfant.
Ne pas oublier de se prendre soi, en pensée, dans les bras. On est chacun son propre enfant. On porte en soi son être enfant.
pour soi-même
pour les autres
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
J'allais partir sur les similitudes entre ce que tu racontes et ce que je vis ou ai vécu, mais bon, comme tu le dis, on se retrouve sur tellement de témoignages ici... Je préfère finalement te mettre cette video :
Ainaelin- Messages : 4287
Date d'inscription : 07/04/2013
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Le fait que cela ait été expérimenté et énoncé par plein d'autres personnes n'empêche pas de les énoncer soi-même, hein. faut pas se contraindre à contenir - sourire.
Sinon, cette chanson... ah la la...
ça me fait penser, replonger à quand j'étais au lycée. Je prenais le bus tous les matins et soirs, et la radio officielle des chauffeurs était RFM. Celle-ci passait énormément.
Et, tiens, ça correspond bien à ce que je faisais à l'instant - me replonger dans les écrits (enfin, c'était de la poésie) de cette époque, de mes 16 ans. -
Une bise X 2 (de la jeune ado et de la soit-disant jeune adulte)
Sinon, cette chanson... ah la la...
ça me fait penser, replonger à quand j'étais au lycée. Je prenais le bus tous les matins et soirs, et la radio officielle des chauffeurs était RFM. Celle-ci passait énormément.
Et, tiens, ça correspond bien à ce que je faisais à l'instant - me replonger dans les écrits (enfin, c'était de la poésie) de cette époque, de mes 16 ans. -
Une bise X 2 (de la jeune ado et de la soit-disant jeune adulte)
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Deux bises de l'éternel ado qui a refusé de grandir à l'époque, et qui n'y arrive plus maintenant qu'il a changé d'avis...
Et bien sûr que tu as raison sur le fait que rien n'empêche de le redire avec ses mots, c'est même plutôt une bonne chose je pense. Mais ce n'était pas une contrainte que de réduire les mots et de laisser la place aux notes.
Et bien sûr que tu as raison sur le fait que rien n'empêche de le redire avec ses mots, c'est même plutôt une bonne chose je pense. Mais ce n'était pas une contrainte que de réduire les mots et de laisser la place aux notes.
Ainaelin- Messages : 4287
Date d'inscription : 07/04/2013
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Trouvé sur le fil de Harpo (remonté par Ainaelin, et aux pages parcourues à rebours)
J'avais évoqué Michaux (ses récits de voyages imaginaires qu'on trouve dans "Ailleurs'') jeudi soir, dans une discussion.
Vendredi sur zc, un pseudo m'y a fait penser. Un certain Plume... textes que je connaissais beaucoup moins.
Et là, texte inconnu. Mais qui m'a frappée. Qui est, tellement... ce qui est.
Je le mets ici, car je le relirai souvent.
J'avais évoqué Michaux (ses récits de voyages imaginaires qu'on trouve dans "Ailleurs'') jeudi soir, dans une discussion.
Vendredi sur zc, un pseudo m'y a fait penser. Un certain Plume... textes que je connaissais beaucoup moins.
Et là, texte inconnu. Mais qui m'a frappée. Qui est, tellement... ce qui est.
Poussant la porte en toi, je suis entré
Agir, je viens
Je suis là
Je te soutiens
Tu n’es plus à l’abandon
Tu n’es plus en difficulté
Ficelles déliées, tes difficultés tombent
Le cauchemar d’où tu revins hagarde n’est plus
Je t’épaule
Tu poses avec moi
Le pied sur le premier degré de l’escalier sans fin
Qui te porte
Qui te monte
Qui t’accomplit
Je t’apaise
Je fais des nappes de paix en toi
Je fais du bien à l’enfant de ton rêve
Afflux
Afflux en palmes sur le cercle des images de l’apeurée
Afflux sur les neiges de sa pâleur
Afflux sur son âtre…. et le feu s’y ranime
AGIR, JE VIENS
Tes pensées d’élan sont soutenues
Tes pensées d’échec sont affaiblies
J’ai ma force dans ton corps, insinuée
…et ton visage, perdant ses rides, est rafraîchi
La maladie ne trouve plus son trajet en toi
La fièvre t’abandonne
La paix des voûtes
La paix des prairies refleurissantes
La paix rentre en toi
Au nom du nombre le plus élevé, je t’aide
Comme une fumerolle
S’envole tout le pesant de dessus tes épaules accablées
Les têtes méchantes d’autour de toi
Observatrices vipérines des misères des faibles
Ne te voient plus
Ne sont plus
Equipage de renfort
En mystère et en ligne profonde
Comme un sillage sous-marin
Comme un chant grave
Je viens
Ce chant te prend
Ce chant te soulève
Ce chant est animé de beaucoup de ruisseaux
Ce chant est nourri par un Niagara calmé
Ce chant est tout entier pour toi
Plus de tenailles
Plus d’ombres noires
Plus de craintes
Il n’y en a plus trace
Il n’y a plus à en avoir
Où était peine, est ouate
Où était éparpillement, est soudure
Où était infection, est sang nouveau
Où étaient les verrous est l’océan ouvert
L’océan porteur et la plénitude de toi
Intacte, comme un oeuf d’ivoire.
J’ai lavé le visage de ton avenir.
- références:
Henri MICHAUX, "Poésie pour pouvoir", in Face aux verrous, éd. Gallimard, 1967.
Je le mets ici, car je le relirai souvent.
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Je l'ai trouvé sur le forum mais je ne sais plus dans quelle cabane, ou quelle plage...
(c'est uniquement en anglais, mais on peut mettre les sous-titres comme béquille)
Cela me fait comprendre, me fait donner un sens aux études que j'ai suivies. Le mot, bien sûr. L'importance du mot, son activité, son lien avec l'activité - dit comme cela, ça n'a l'air de rien, d'une évidence on ne peut plus plate... mais, il y a eu déclic intérieur. Dont on ne saurait parler que par... métaphore ? sans doute -
Et, de l'autre côté du pont, la ''communication'' ''animale'' (en enlevant le l final, cela donne, ''anima'', l'âme...)
http://barrybland.typepad.com/my_weblog/2008/10/anjana-the-chimpanzee-helps-care-for-2-white-tiger-cubs.html
(c'est uniquement en anglais, mais on peut mettre les sous-titres comme béquille)
Cela me fait comprendre, me fait donner un sens aux études que j'ai suivies. Le mot, bien sûr. L'importance du mot, son activité, son lien avec l'activité - dit comme cela, ça n'a l'air de rien, d'une évidence on ne peut plus plate... mais, il y a eu déclic intérieur. Dont on ne saurait parler que par... métaphore ? sans doute -
Et, de l'autre côté du pont, la ''communication'' ''animale'' (en enlevant le l final, cela donne, ''anima'', l'âme...)
http://barrybland.typepad.com/my_weblog/2008/10/anjana-the-chimpanzee-helps-care-for-2-white-tiger-cubs.html
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Un petit exercice de lâcher-prise, que de poster ici cette copie d'une page word, sans enlever ce qui à mes yeux n'est que très médiocre - surtout le début, qui ressemble aux gammes que l'on fait au piano avant de se mettre à jouer - (car seules les deux dernières lignes ont pour moi une valeur à laquelle je peux adhérer. Du moins, actuellement. C'est tout le problème du rapport de soi à ses productions, et qui est rencontré, thématisé par toute personne qui crée - toute personne, donc )
Pour faire croître les graines et les plantes, que des fleurs soient belles de leurs pétales épanouis, la pluie des larmes est nécessaire. Merveilleux nuages qui vont flottant de couleur en couleur, entre l'opaque et le diaphane du bleu, la ronde des vents, le creux du bleu ciel comme les lèvres du sourire.
Mes doigts sont faits pour saisir l'encre et la détacher de ma peau. En morcelant les mots c'est une peau morte qui s'agite puis s'évanouit dans la lenteur du vide. Voltige, une pellicule, voltige.
Bon sang, une ''honte'', qui veut cacher, masquer, qui n'assume pas... même dans les mots, la manière que j'ai de mettre ensemble les mots et les images qui s'y lisent en miroir... je me restreins, je ne laisse pas aller, couler, ces fluides-là. J'en ai PEUR. Je m'auto-accuse sans le formuler vraiment que ce que j'écris ce n'est pas normal, pas dans les normes – certes non, pas dans les normes grammaticales parfois, pas dans les normes du rationnel, pas classable... à ranger seulement dans le tiroir poésie, tiroir que je m'empresse vite de fermer, quitte à m'y coincer parfois les doigts, à en faire devenir rouges puis blanches les jointures. Ce ne sont pas des os qui craquent, c'est la peau, les nerfs, qui en prennent les coups.
Je m'en veux tellement de ne pas pouvoir entrer dans les cadres, je me figure que ma propre ''norme'' n'est pas celle qui convient. J'aimerais comprendre pourquoi par exemple je bloque autant sur l'écriture dite longue. L'écriture d'une nouvelle, d'un roman. J'avais essayé quand j'avais autour de 13, 14, 15 ans. Une production fort sommaire, deux trois nouvelles achevées. Un roman laissé en plan – chose bien sûr, courante. Nombreuses sont les personnes à être dans ce cas. Cela, je ne m'en formalise pas trop. –
J'ai toujours préféré la forme courte. La densité légère. Le moyen aussi de ne pas expliciter. Et de ne pas se forcer à faire des liens, donc. Une pensée au fer rouge (parfois qui se refroidissait, laissait juste sa marque) que ce que j'écrivais n'était pas compréhensible, ne rentrait pas dans les pièces proposées comme garde-mots, garde-pensées.
Au moins, avec la poésie, si cela n'est pas compréhensible... c'est ''pardonné'', ''excusé'' (que de termes judiciaires...), admis.
Poète... qu'est-ce à dire. Je ne peux me définir comme poète. Cela ne rentre pas dans une case, ne forme pas les bords d'une étiquette. Pourrais-je dire que c'est la poésie qui me définit ? Au sens, large, bien plus large – l'écriture proprement poétique comme un embrun, dans l'océan de vie. Une vie d'océan, et quelques sels solidifiés qui seront à mettre sous la langue éventuelle de lecteurs.
Le poème comme un coquillage... ensablé, rugeux, lisse, merveilleusement nacré, bivalve, encore plein d'une chair, tout cela différent et semblable, dans la recréation des vagues.
Cela a été dit, sans que les fois n'aient été comptabilisées, comme la récurrence des amas de sable, portés ensuite, ailleurs, par le vent, pour renaître, se défaire, voir d'autres continents, à vingt mètres ou trois cent kilomètres.
Pour moi, écrire ainsi est tellement naturel – je ne pourrais écrire ''facile'', car le naturel n'empêche pas les cahots, bien au contraire –. Mais cette nature je ne l'accepte pas, du moins, je ne l'ai jamais accueillie qu'à moitié. Pourtant, il m'apparaît que j'étais on ne peut mieux dans le temps où j'ai laissée cette part s'écouler, s'épandre comme l'océan, dans ma vie. J'arrivais bien mieux par ailleurs, dans les contextes où la rationnalité, le cadrage et les formes étaient plus traditionnels, à répondre à ces exigences-là. La mer poétique avait son espace, la terre du ''terre-à-terre'' était préservée, non soumise aux inondations, et produisait les fruits demandés.
– –
Je relis les paragraphes ci-dessus, écrits il y a plus de vingt heures. Ils ont le goût des vagues déjà passées. Je voudrais arrêter ce flot continu faits de pauses et d'avances, figer, capturer l'instant du mouvement.
Nous sommes tous, tous autant que nous sommes, poètes. Nous sommes les deux moments de la vague. L'impulsion et le retrait. Sur ce sable du matériel, l'écume est notre langage.
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
(fait par paint : j'aurais pu en mettre non pas trois, mais cinq, six... à l'infini, peut-être...)
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
J'ai fini par venir jeter un œil à ton fil, la moindre des choses...
J'aime bien ta façon d'écrire... et surtout la fin me parle beaucoup.
J'aime bien ta façon d'écrire... et surtout la fin me parle beaucoup.
zwizwi a écrit:Je relis les paragraphes ci-dessus, écrits il y a plus de vingt heures. Ils ont le goût des vagues déjà passées. Je voudrais arrêter ce flot continu faits de pauses et d'avances, figer, capturer l'instant du mouvement.
Nous sommes tous, tous autant que nous sommes, poètes. Nous sommes les deux moments de la vague. L'impulsion et le retrait. Sur ce sable du matériel, l'écume est notre langage.
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
En ce moment, je n'ai tellement le courage de rien que je t'admire de pouvoir écrire un tel texte. Je me le garde sous le coude pour quand je pourrais me concentrer suffisamment.
Bon, je passais juste pour te faire un coucou. Bisou.
Bon, je passais juste pour te faire un coucou. Bisou.
Ainaelin- Messages : 4287
Date d'inscription : 07/04/2013
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Admirer.. non, il n'y a pas à admirer. C'est seulement suivant une perspective (comme tu le dis toi-même, que c'est ''en ce moment''). Enfin, je ne vais pas réussir à bien l'exprimer, et le texte que je viens d'écrire, ci-dessous, est encore un cran au-dessus dans la catégorie ''textuelle imagée'' :
Réflexion quant aux tests (jamais passés, à passer, oui, non, comment ?), aux textes sur surdoués, à l'hétérogénéité, aux traverses des T et des Aspies - à ces décalages dans le décalage parmi la faune locale - :
Bien sûr que je ne colle à aucune case. Bien sûr que je n'y adhère pas, car cela ne permettrait pas d'avancer. Etre collée aux parois ventousées de telle ou telle dénomination, construite par des buissons de caractéristiques, ne me semble pas très pratique.
Cela dit. Grands questionnements. Qui traversent le ciel comme des comètes, et laissent une petite trace amère dans ma pensée. Une pensée désagréable, comme une brûlure de mégot de cigarette. Aïe, points sensibles – sur la cuisse, par exemple : la fameuse cuisse de l'expression ''se croire né de la cuisse de Jupiter'' (comme l'avait fait Dionysos. Bacchus – le nietzschéen dieu du verre qui tremble et qui prédit). Orgueil, dont on a honte. On essaye de l'envelopper de soins, de compresses apaisantes. Au lieu d'y appuyer trop fermement (processus, mécanisme de la honte). On essaye. Je m'y essaye. Je pratique. En apprentie.
Désorientations. Se désorienter pour mieux trouver le chemin. Sans doute là la clef – la clef c'est qu'il n'y a pas de porte à serrure. Tant que je, l'on, cherche à faire rentrer la clef – nous-mêmes, notre identité – dans une serrure, puis une autre, puis encore une autre... l'on ouvre des portes ouvrant à de nouvelles portes. Je ne dis pas que franchir des portes à serrure soit inutile, soit mal, bref, négatif.
Je pense seulement – de toute ma force intuitive sur laquelle je ne peux garder la main – que la clef est porte ouverte. - mais que pour découvrir cela, il faut d'abord tâtonner, voir les choses sous l'angle de la serrure, de la case, afin de peu à peu saisir leurs contours. Et comprendre que ces contours ne sont que construction.
Une esthétique de l'inversion. Si l'on veut.
...
L'air est beau, l'impression est puissante :
Des chemins de croisées - les ponts du ciel -, pris en cette fin de journée frissonnante :
* * *
(deux heures plus tard)
Revient donc en filigrane, que l'on peut lire en sourdine assourdissante, le fameux ''où est ma place'' qui s'est posé et décliné en différents éventails au sein de mon parcours.
Et la réponse, du cœur – que l'on peut entendre maintenant que la raison s'assagit et apprend à occuper sa place elle-même, sans déborder de façon tyrannique – : ''là où je suis''.
(là où le ''je'' en tant qu'il est 'ego' (construction), suit... suit comme un disciple respectueux mais toujours libre son maître – d'école – le sage, le véritable moi)
Réflexion quant aux tests (jamais passés, à passer, oui, non, comment ?), aux textes sur surdoués, à l'hétérogénéité, aux traverses des T et des Aspies - à ces décalages dans le décalage parmi la faune locale - :
Bien sûr que je ne colle à aucune case. Bien sûr que je n'y adhère pas, car cela ne permettrait pas d'avancer. Etre collée aux parois ventousées de telle ou telle dénomination, construite par des buissons de caractéristiques, ne me semble pas très pratique.
Cela dit. Grands questionnements. Qui traversent le ciel comme des comètes, et laissent une petite trace amère dans ma pensée. Une pensée désagréable, comme une brûlure de mégot de cigarette. Aïe, points sensibles – sur la cuisse, par exemple : la fameuse cuisse de l'expression ''se croire né de la cuisse de Jupiter'' (comme l'avait fait Dionysos. Bacchus – le nietzschéen dieu du verre qui tremble et qui prédit). Orgueil, dont on a honte. On essaye de l'envelopper de soins, de compresses apaisantes. Au lieu d'y appuyer trop fermement (processus, mécanisme de la honte). On essaye. Je m'y essaye. Je pratique. En apprentie.
Désorientations. Se désorienter pour mieux trouver le chemin. Sans doute là la clef – la clef c'est qu'il n'y a pas de porte à serrure. Tant que je, l'on, cherche à faire rentrer la clef – nous-mêmes, notre identité – dans une serrure, puis une autre, puis encore une autre... l'on ouvre des portes ouvrant à de nouvelles portes. Je ne dis pas que franchir des portes à serrure soit inutile, soit mal, bref, négatif.
Je pense seulement – de toute ma force intuitive sur laquelle je ne peux garder la main – que la clef est porte ouverte. - mais que pour découvrir cela, il faut d'abord tâtonner, voir les choses sous l'angle de la serrure, de la case, afin de peu à peu saisir leurs contours. Et comprendre que ces contours ne sont que construction.
Une esthétique de l'inversion. Si l'on veut.
...
L'air est beau, l'impression est puissante :
Des chemins de croisées - les ponts du ciel -, pris en cette fin de journée frissonnante :
- Spoiler:
- (pris par téléphone portable)
* * *
(deux heures plus tard)
Revient donc en filigrane, que l'on peut lire en sourdine assourdissante, le fameux ''où est ma place'' qui s'est posé et décliné en différents éventails au sein de mon parcours.
Et la réponse, du cœur – que l'on peut entendre maintenant que la raison s'assagit et apprend à occuper sa place elle-même, sans déborder de façon tyrannique – : ''là où je suis''.
(là où le ''je'' en tant qu'il est 'ego' (construction), suit... suit comme un disciple respectueux mais toujours libre son maître – d'école – le sage, le véritable moi)
Dernière édition par zwizwi le Mer 16 Avr 2014 - 1:59, édité 2 fois (Raison : nouvelle pièce au patchwork)
Zwischending- Messages : 889
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Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Coucou zwiwi
Je voulais partager avec toi cette petite découverte concernant l'Art de Marcher*, proposée par Daniel Zanin.
* "La marche entendue comme Art de marcher mais aussi comme méditation dans l'action, (dans le sens d'être centré corps et esprit dans l'instant présent et tout voir comme si c'était la première fois ) et comme chemin de connaissance de soi, élément essentiel de cette démarche."
http://www.marche-consciente.com/marche_consciente_site/marche_consciente_marche_consciente/marche_consciente_marche_consciente.htm
Je ne l'ai pas expérimenté à titre personnel mais je trouve le concept intéressant.
Je voulais partager avec toi cette petite découverte concernant l'Art de Marcher*, proposée par Daniel Zanin.
* "La marche entendue comme Art de marcher mais aussi comme méditation dans l'action, (dans le sens d'être centré corps et esprit dans l'instant présent et tout voir comme si c'était la première fois ) et comme chemin de connaissance de soi, élément essentiel de cette démarche."
http://www.marche-consciente.com/marche_consciente_site/marche_consciente_marche_consciente/marche_consciente_marche_consciente.htm
Je ne l'ai pas expérimenté à titre personnel mais je trouve le concept intéressant.
FadeToBlack- Messages : 719
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Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
FadeTo, merci beaucoup Cela fait énormément sens, et résonne tout particulièrement aujourd'hui - je crois que de façon totalement inconsciente et intuitive j'ai pratiqué certaines choses décrites dans cet article - Merci, cela offre de très bonnes pistes, donc !
Avec une pensée pour ton propre parcours et cheminement, ''ça'' bouge pas mal en ce moment, de façon à la fois électrique et fluide. Je suis sûre que tu sauras tirer parti des opportunités qui s'offrent à toi pour rebondir
Avec une pensée pour ton propre parcours et cheminement, ''ça'' bouge pas mal en ce moment, de façon à la fois électrique et fluide. Je suis sûre que tu sauras tirer parti des opportunités qui s'offrent à toi pour rebondir
Zwischending- Messages : 889
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Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Là, depuis quelques minutes...
Je suis complètement perdue..... sans que cela soit négatif, juste, déstabilisant. Etre perdue alors même qu'on ''sait'' (parce qu'on l'a expérimenté avant, qu'on a vu comme une preuve par A+b que l'on peut arriver à destination ''ainsi'') que c'est en se ''perdant'' qu'on peut trouver le chemin.
- est-ce à dire, en ''se perdant'', à savoir, en perdant une part de soi ? mais laquelle ? et cela fait peur. Très peur. On en tremble. Ou on a comme la fièvre. Argh -
Très difficile d'être à la fois dans le noir et le blanc, sans tomber dans le gris du doute, de la confusion. Sans non plus tomber que dans le noir unique ou dans le tout blanc. L'équilibre....
Je remets cette photo accompagnée du titre (en fait, une couverture) que j'avais postée sur un autre fil de présentation - où le lien avait été fait avec la slack-line -)
Et les doutes les doutes les doutes... savoir se poser, seul, vraiment seule, pour que le tourbillon s'apaise comme des flocons de neige après une tempête.
Je suis complètement perdue..... sans que cela soit négatif, juste, déstabilisant. Etre perdue alors même qu'on ''sait'' (parce qu'on l'a expérimenté avant, qu'on a vu comme une preuve par A+b que l'on peut arriver à destination ''ainsi'') que c'est en se ''perdant'' qu'on peut trouver le chemin.
- est-ce à dire, en ''se perdant'', à savoir, en perdant une part de soi ? mais laquelle ? et cela fait peur. Très peur. On en tremble. Ou on a comme la fièvre. Argh -
Très difficile d'être à la fois dans le noir et le blanc, sans tomber dans le gris du doute, de la confusion. Sans non plus tomber que dans le noir unique ou dans le tout blanc. L'équilibre....
Je remets cette photo accompagnée du titre (en fait, une couverture) que j'avais postée sur un autre fil de présentation - où le lien avait été fait avec la slack-line -)
Et les doutes les doutes les doutes... savoir se poser, seul, vraiment seule, pour que le tourbillon s'apaise comme des flocons de neige après une tempête.
Zwischending- Messages : 889
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Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
.
Dernière édition par Lp le Ven 2 Mai 2014 - 0:41, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Merci La Pythie ce que t'a dit cette personne est profondément vraie, je crois. Les sentiers de traverse...
Alors, voilà, depuis quelques jours cela me trottait... changer, changer de nom pseudonymique. Zwischending. Zwischending, qui veut dire ''mélange'' (littéralement, ''entre''-''chose'') en allemand. Au départ, j'avais mis "Zwischen'' (la préposition et l'adverbe, qui veut dire ''entre'', ''parmi'', ''au milieu de''). Mais, non. Besoin d'un supplément. De ce ''mélange'' qui est à la fois un ''entre les choses'', avec délimitation des contours. Un mélange qui n'est pas fusion, mais union et séparation.
Hop - et soit dit en passant, je ne maîtrise que très mal l'allemand, c'est ma ''quatrième'' langue... contraste, toujours, j'aime les contrastes -
- j'autorise évidemment les abréviations, par ailleurs, pour plus de commodité -
Alors, voilà, depuis quelques jours cela me trottait... changer, changer de nom pseudonymique. Zwischending. Zwischending, qui veut dire ''mélange'' (littéralement, ''entre''-''chose'') en allemand. Au départ, j'avais mis "Zwischen'' (la préposition et l'adverbe, qui veut dire ''entre'', ''parmi'', ''au milieu de''). Mais, non. Besoin d'un supplément. De ce ''mélange'' qui est à la fois un ''entre les choses'', avec délimitation des contours. Un mélange qui n'est pas fusion, mais union et séparation.
Hop - et soit dit en passant, je ne maîtrise que très mal l'allemand, c'est ma ''quatrième'' langue... contraste, toujours, j'aime les contrastes -
- j'autorise évidemment les abréviations, par ailleurs, pour plus de commodité -
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Ah bé j'ai eu du mal à te retrouver
- Spoiler:
- Je voulais te déposer cela :
http://www.elishean.fr/aufeminin/lithotherapie-et-5eme-carre-uranus-pluton-du-21-avril-2014/
Tu veux rire ?
Ma pierre de soleil (mais la vraie hein pas celle de synthèse ) m'a terriblement appelé il y a qq jours.
Depuis, est est autour de mon cou
MissYves- Messages : 681
Date d'inscription : 02/03/2013
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Merci de ta missive
une bise à toi
une bise à toi
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Bonjour. Bienvenue
Concernant le mal être, j'aimerais poster ici un témoignage. Pendant des années j'ai souffert le martyr. J'avais mal. Je n'en finissais pas d'avoir mal. Pour des raisons profondes qui étaient tout à fait au delà de ce que je pouvais saisir. J'avais mal physiquement. J'avais mal à l' âme. Et pourtant au fil des années, j'ai appris à vivre autre chose. Des moments simples et ordinaires. Des moments où la douleur à disparu. J'ignorais que c'était possible. Je croyais qu'elle était constitutive. Des années plus tard, ces douleurs qui était absolument permanente sont rarissimes. Le bien être ordinaire, est maintenant ma référence, mon quotidien. Quand des sensations désagréables reviennent elles sont souvent liées à des intuitions, des sortes de conseils que mon corp me donne et qui sont difficile à déchiffrer.
Bon courage
Concernant le mal être, j'aimerais poster ici un témoignage. Pendant des années j'ai souffert le martyr. J'avais mal. Je n'en finissais pas d'avoir mal. Pour des raisons profondes qui étaient tout à fait au delà de ce que je pouvais saisir. J'avais mal physiquement. J'avais mal à l' âme. Et pourtant au fil des années, j'ai appris à vivre autre chose. Des moments simples et ordinaires. Des moments où la douleur à disparu. J'ignorais que c'était possible. Je croyais qu'elle était constitutive. Des années plus tard, ces douleurs qui était absolument permanente sont rarissimes. Le bien être ordinaire, est maintenant ma référence, mon quotidien. Quand des sensations désagréables reviennent elles sont souvent liées à des intuitions, des sortes de conseils que mon corp me donne et qui sont difficile à déchiffrer.
Bon courage
Invité- Invité
Zwischending- Messages : 889
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Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Super intéressant Zwischending !
Chat Bleu- Messages : 844
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Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Chat Bleu
Découvertes récentes :
Et un article (issu d'un livre qui vient de paraître, à ce que j'ai compris) qui pose des points et des mises en perspective sur ce qui nous rassemble ici, sur ce forum, de façon très intéressante (et qui a le mérite de "dépasser'' la question des caractéristiques pour aller du côté de la réflexion sur la société, sur le monde, bref, sur un ''tout'') :
http://www.huffingtonpost.fr/carlos-tinoco/surdoues-penser-autrement_b_5164889.html?ir=France
Découvertes récentes :
Et un article (issu d'un livre qui vient de paraître, à ce que j'ai compris) qui pose des points et des mises en perspective sur ce qui nous rassemble ici, sur ce forum, de façon très intéressante (et qui a le mérite de "dépasser'' la question des caractéristiques pour aller du côté de la réflexion sur la société, sur le monde, bref, sur un ''tout'') :
http://www.huffingtonpost.fr/carlos-tinoco/surdoues-penser-autrement_b_5164889.html?ir=France
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Citation complètement sortie de son contexte a écrit:les "surdoués" (quel terme catastrophique!)
J'adore ton article !!!
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Je ne m'appelle pas Carlos Tinoco, mais, merci
(le mérite en revient à Kass, qui l'a posté dans la section Livres, articles & co )
- ce qui me semble très intéressant, ce sont surtout ses analyses sur la société, les problèmes du ''vivre soi'' et ''vivre ensemble''. L'aspect ''surdoué'' n'en est qu'un prisme -.
(le mérite en revient à Kass, qui l'a posté dans la section Livres, articles & co )
- ce qui me semble très intéressant, ce sont surtout ses analyses sur la société, les problèmes du ''vivre soi'' et ''vivre ensemble''. L'aspect ''surdoué'' n'en est qu'un prisme -.
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Zwischending a écrit:Je ne m'appelle pas Carlos Tinoco, mais, merci
(le mérite en revient à Kass, qui l'a posté dans la section Livres, articles & co )
- ce qui me semble très intéressant, ce sont surtout ses analyses sur la société, les problèmes du ''vivre soi'' et ''vivre ensemble''. L'aspect ''surdoué'' n'en est qu'un prisme -.
oui enfin ses considérations sur l'autorité c'est très très faible (aucune ref, et c'est de la soupe... limite affligeant...)
André Gorz, c'est plus sérieux déjà, bien plus sérieux que Pierre Rabhi même ;-)
Free- Messages : 1257
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Localisation : Tardis.XLII
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Free a écrit:
oui enfin ses considérations sur l'autorité c'est très très faible (aucune ref, et c'est de la soupe... limite affligeant...)
Je ne sais pas exactement à quoi tu fais allusion précisément ... personnellement je me reconnais EXTREMEMENT bien dans le passage suivant :
Ceux qu'on appelle"surdoués", ce sont ceux qui ne parviennent pas à s'adosser à ces normes implicites, et qui ont besoin de constamment s'y confronter. Quand face à eux tout un groupe, une institution, une société, fonde son discours sur un interdit de pensée, alors qu'ils constatent que c'est là qu'il faudrait se diriger pour avancer, ils peuvent se retrouver dans ce que je nommais l'hébétude: "Est-ce le monde qui est fou? Est-ce moi?"
Invité- Invité
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
vu que c'était + le "côté de la réflexion sur la société, sur le monde" qui était loué
je critiquais plus cette partie là,
parce que l'assimilation "surdoué" à "refus de la norme", j'y touche même pas, (mon QI est dans la 'norme')
et d'une je suis sûr qu'il y a des "surdoués" de la norme, tellement bien intégrés que bonjour pour les trouver
( et de deux les affirmations types "les gens qui critiquent les systèmes/dogmes autoritaires ont un plus gros QI", ça a donné une des plus belles tempêtes de trolls l'année dernière sur ce forum, et je vais tenter d'éviter pourrir le topic de ZwiZwi avec ça^^" )
je critiquais plus cette partie là,
parce que l'assimilation "surdoué" à "refus de la norme", j'y touche même pas, (mon QI est dans la 'norme')
et d'une je suis sûr qu'il y a des "surdoués" de la norme, tellement bien intégrés que bonjour pour les trouver
( et de deux les affirmations types "les gens qui critiquent les systèmes/dogmes autoritaires ont un plus gros QI", ça a donné une des plus belles tempêtes de trolls l'année dernière sur ce forum, et je vais tenter d'éviter pourrir le topic de ZwiZwi avec ça^^" )
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Free, cela reste de l'ordre de l'esquisse, du moins, c'est comme cela que je l'ai pris. Bien entendu que cela ne vaut pas une réflexion étayée sur de nombreuses années comme celle de Gorz par exemple.
Il pourrait être intéressant d'ouvrir un fil spécifique sur cet article / ce qu'il évoque. Je ne sais pas si je le ferai moi-même pour l'heure, mais si toi, Free, ou stauk, ou quelqu'un d'autre, veut le faire, pour en débattre, n'hésitez pas.
(l'aspect débat, je n'en veux pas sur mon fil. Pas pour l'heure. Merci ).
Il pourrait être intéressant d'ouvrir un fil spécifique sur cet article / ce qu'il évoque. Je ne sais pas si je le ferai moi-même pour l'heure, mais si toi, Free, ou stauk, ou quelqu'un d'autre, veut le faire, pour en débattre, n'hésitez pas.
(l'aspect débat, je n'en veux pas sur mon fil. Pas pour l'heure. Merci ).
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
aucun pb :)voilà d'ailleurs pourquoi je me suis contenté d'un lapidaire :
"intéressant certes, mais grosse circonspection sur moult de ses considérations sur l'autorité"
parfois, on est séduit par le vol d'un colibri, et pis la forêt elle crame quand même...
c'est tout ce que je voulais dire, j'en resterai là
(pour les argumentations précises, je vous laisserai pondre des sujets, je tends surtout à provoquer des formulations ostracisées ici, alors j'm'auto-restreint sur ce point^^")
"intéressant certes, mais grosse circonspection sur moult de ses considérations sur l'autorité"
parfois, on est séduit par le vol d'un colibri, et pis la forêt elle crame quand même...
c'est tout ce que je voulais dire, j'en resterai là
(pour les argumentations précises, je vous laisserai pondre des sujets, je tends surtout à provoquer des formulations ostracisées ici, alors j'm'auto-restreint sur ce point^^")
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Ca a commencé avec les Quatre saisons (le printemps) de Vivaldi, joué par Nemanja Radulovic.
Et puis, de fil en aiguille, d'une fenêtre musicale à une autre :
Un duo :
(la complicité des deux instrumentistes, des deux instruments, à un moment)
Et au final, ce que j'écoute à présent :
http://www.franceinter.fr/emission-nous-autres-susan-manoff-portrait-dune-pianiste-accompagnatrice-1ere-partie-rediffusion
Et puis, de fil en aiguille, d'une fenêtre musicale à une autre :
Un duo :
(la complicité des deux instrumentistes, des deux instruments, à un moment)
Et au final, ce que j'écoute à présent :
http://www.franceinter.fr/emission-nous-autres-susan-manoff-portrait-dune-pianiste-accompagnatrice-1ere-partie-rediffusion
- Spoiler:
- Un lapin en peluche, de la lumière, un piano à queue, majestueux, des canapés moelleux, des tapis, un grand lit, des masques africains, des tableaux, un chat, Beethoven, Schubert, Brahms... c'est le monde de Susan Manoff.
Sur la table ronde à côté de son piano, Susan a ressorti quelques photos, sa grand-mère allemande et lettonne, assise devant un piano, il fallait lui faire boire un peu de vodka pour qu'elle accepte de jouer, le grand-père, directeur de l'école musicale de Riga et chef d'orchestre, sa baguette légère, sculptée d'ivoire blanc, sa mère pianiste, sa tante pianiste aussi. C'est le roman familial de Susan Manoff, des musiciens aux carrières interrompues par le fil de l'histoire, par la fuite et l'exil. Riga, Poznan, Lübeck, New-York, Paris, Susan est la première de la lignée à avoir fait carrière. Susan Manoff est pianiste soliste et l’accompagnatrice des plus belles voix françaises d'aujourd'hui.
Ce soir, jusqu'à 21H, une parenthèse, loin de l'actualité, avec Susan Manoff, une heure à parler de musique, de silence, de sons, de souffle, des notes qu'elle sculpte, des rêves qu'elle fait la nuit dans lesquels les partitions deviennent des tableaux de peinture, de sa recherche pour être au plus près de la vibration, au plus près des cordes de son instrument, une heure avec Beethoven, Schubert et Brahms et Haydn, à se laisser emporter, une heure ailleurs. Pour respirer.
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
- Spoiler:
- http://freedomwriter126.wordpress.com/lyrics/itsumo_nando_demo_english_lyrics/
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
- Zwischending:
- seulement pour te remercier
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
- Offset:
- Merci. Cette chanson est toute spéciale pour moi, et, cela me fait vraiment plaisir, me touche. Merci doublement donc - y compris pour ton mot chez EmiM.
A bientôt, ici ou là !
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
La gentillesse sécrète une morale impressionniste, par petites touches...
Morale du pouvoir (doux), et non pas du devoir. Il n'y a pas de culpabilité (contrairement aux morales 'impressionnantes' - celles des trois grands monothéismes, par exemple, et, dans notre société occidentale, les influences judéo-chrétiennes).
Le rapport avec ce qu'on nomme intelligence et empathie :
Si l'on considère que la gentillesse est une forme d'empathie, il y a deux formes d''empathie'' à distinguer d'elle, et que l'on confond souvent avec la gentillesse :
- le respect, empathie froide... (relevant du domaine du devoir)
- la sollicitude, empathie chaude (parfois trop) : l'exemple à la Amélie Poulain, où l'on cherche à aider sans qu'on nous le demande. Cela revient au final, malgré ces bonnes intentions, à un caractère trop invasif.
La gentillesse est une forme d'intelligence qui se trouve entre les deux, pas ''tiédasse'' (à rapprocher éventuellement de la notion de compassion, telle qu'elle est présente dans le bouddhisme, par exemple ?), elle est chaude parce que c'est de l'intelligence, c'est par mon humeur que j'entre en relation avec l'humeur d'autrui.
(note, derrière ce terme, il y a aussi la théorie des humeurs d'Hippocrate, mais aussi, les bases des médecines orientales)
- avec toujours le loisir (l'aspect ''libre arbitre''), quand une personne nous demande de l'aide, d'accéder ou non à cette requête (en effet, parfois, l'aide consiste à ne pas ''aider'' sur le point appuyé par la personne en demande. Le difficile équilibre pour ne pas tomber dans l'assistanat - et l'épuisement empathique, également).
Face au ''tout-à-l'ego'' que la société prône, la gentillesse nous appelle à nous évider de nous-mêmes, à nous vider de nous-mêmes. [...]
(et cela ménage une place à autrui pour l'accueillir)
Le cynique n'a qu'un oeil, c'est un cyclope. Le gentil lui a deux yeux, et même, trois, le troisième étant celui du coeur.
(si éventuellement cela intéresse, possibilité d'ouvrir un fil sur le sujet... ?)
Zwischending- Messages : 889
Date d'inscription : 27/05/2013
Localisation : île de France
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
« On croit que l'on maîtrise les mots, mais ce sont les mots qui nous maîtrisent. » Alain Rey
- intéressant, en nez fait, l'absence de travail philosophico-historique sur la gentillesse...
par contre, pour un philosophe, il fait quelque impasse sur le cynisme... :/
- et puis sa servitude volontaire, il peut gentiment se la garder, hein (roleplay free represent^^):
http://www.delaservitudemoderne.org/texte.html (pas mal tranché aussi, ds son genre) - extraits:
- "la civilisation fait tout ce qu’elle peut pour nous entraîner dans sa chute. » Grumpy C.
- "Quelle époque terrible que celle où des idiots illusionnent des aveugles." S. Willie
- « L’urbanisme est cette prise de possession de l’environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l’espace comme son propre décor. »
La Société des Volets Parmes, Guide Dehord.
- « À force d’obéir, on obtient des réflexes de soumission. » Le Rat de Laboritoire
- « Sous un forum qui censure injustement, la place de l’homme juste est aussi en ban.»
La désobéissance cordiale, Henry Gimli (dit le Nain Benjamin)
- 'les promesses n'engagent que ceux qui les croient, la connerie fait ** tout le monde' Anon.
- 'La nature n’a créé ni maîtres ni esclaves, Je ne veux ni donner ni recevoir de lois' Dédé
- 'Le pouvoir n’est pas à conquérir, il est à détruire.' ; 'marcher sur la tête des rois' (Sauvez Willi II)
- intéressant, en nez fait, l'absence de travail philosophico-historique sur la gentillesse...
par contre, pour un philosophe, il fait quelque impasse sur le cynisme... :/
- et puis sa servitude volontaire, il peut gentiment se la garder, hein (roleplay free represent^^):
http://www.delaservitudemoderne.org/texte.html (pas mal tranché aussi, ds son genre) - extraits:
- "la civilisation fait tout ce qu’elle peut pour nous entraîner dans sa chute. » Grumpy C.
- "Quelle époque terrible que celle où des idiots illusionnent des aveugles." S. Willie
- « L’urbanisme est cette prise de possession de l’environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l’espace comme son propre décor. »
La Société des Volets Parmes, Guide Dehord.
- « À force d’obéir, on obtient des réflexes de soumission. » Le Rat de Laboritoire
- « Sous un forum qui censure injustement, la place de l’homme juste est aussi en ban.»
La désobéissance cordiale, Henry Gimli (dit le Nain Benjamin)
- 'les promesses n'engagent que ceux qui les croient, la connerie fait ** tout le monde' Anon.
- 'La nature n’a créé ni maîtres ni esclaves, Je ne veux ni donner ni recevoir de lois' Dédé
- 'Le pouvoir n’est pas à conquérir, il est à détruire.' ; 'marcher sur la tête des rois' (Sauvez Willi II)
Free- Messages : 1257
Date d'inscription : 24/07/2012
Localisation : Tardis.XLII
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Je le vois aussi comme ça le gentil, un fil sur ce sujet me ferai plaisirZwischending a écrit:
Le cynique n'a qu'un oeil, c'est un cyclope. Le gentil lui a deux yeux, et même, trois, le troisième étant celui du coeur.
(si éventuellement cela intéresse, possibilité d'ouvrir un fil sur le sujet... ?)
offset- Messages : 7540
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Localisation : virtuelle
Re: ''Depuis ma banquise'' : *Zwi'schen'ding
Juste un passage éclair pour un bisous à une personne au Grand coeur
MissYves- Messages : 681
Date d'inscription : 02/03/2013
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