Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Harpo, pourquoi dit-tu que les sélectionné EOR sont Z ? il me semble que l'obéissance n'est pas trop leurs fort. Problème.
Sinon, la société telle qu'elle existe est une construction de tous, Z, NT, HQI, idiot de village même pourquoi pas ?
Je reviens sur ce que j'ai dit dans un message du 5 août je crois, si il est vrai qu'une majorité des humains qui ont compté dans les révolutions sociologiques et scientifiques sont non-NT (quoi que cela puisse être), peut-on en conclure qu'en fait, la majorité des gens s'adaptent donc à vivre selon un mode non-NT ?
Mais il me semble que ma conclusion ci-dessus est faussé par le fait que d'après moi (a priori non scientifique), les politiciens et peut-être les économistes sont seulement HQI (ou presque... ou souvent... ou parfois) et que les innovateurs scientifique sont plutôt HP.
Pour en revenir plus directement au fil de cette discussion, la caractéristique principale d'HSV est d'être un agrégat, comme on dit en botanique, et il est quasiment impossible de le différencier en catégories de plus en plus petites.
Je suis plutôt partisan de la suggestion de Mog sur un spectre continue entre Nt, Z, aspies, autistes. Et le QI est un autre paramètres qui n'a pas de liens direct même si il est vrai qu'il marque un palier plus ou moins net entre la première catégorie et les autres mais j'ai de plus en plus l'impression que cette limite n'est qu'une convention approximative. Dans ce cas, il faudrait mieux définir les limites de HSV pour répondre à la question de départ de Cyril THQI.
Il semblerais d'ailleurs que ce spectre pourrait être à au moins trois dimensions ce qui complique encore les limitations catégorielles.
Sinon, la société telle qu'elle existe est une construction de tous, Z, NT, HQI, idiot de village même pourquoi pas ?
Je reviens sur ce que j'ai dit dans un message du 5 août je crois, si il est vrai qu'une majorité des humains qui ont compté dans les révolutions sociologiques et scientifiques sont non-NT (quoi que cela puisse être), peut-on en conclure qu'en fait, la majorité des gens s'adaptent donc à vivre selon un mode non-NT ?
Mais il me semble que ma conclusion ci-dessus est faussé par le fait que d'après moi (a priori non scientifique), les politiciens et peut-être les économistes sont seulement HQI (ou presque... ou souvent... ou parfois) et que les innovateurs scientifique sont plutôt HP.
Pour en revenir plus directement au fil de cette discussion, la caractéristique principale d'HSV est d'être un agrégat, comme on dit en botanique, et il est quasiment impossible de le différencier en catégories de plus en plus petites.
Je suis plutôt partisan de la suggestion de Mog sur un spectre continue entre Nt, Z, aspies, autistes. Et le QI est un autre paramètres qui n'a pas de liens direct même si il est vrai qu'il marque un palier plus ou moins net entre la première catégorie et les autres mais j'ai de plus en plus l'impression que cette limite n'est qu'une convention approximative. Dans ce cas, il faudrait mieux définir les limites de HSV pour répondre à la question de départ de Cyril THQI.
Il semblerais d'ailleurs que ce spectre pourrait être à au moins trois dimensions ce qui complique encore les limitations catégorielles.
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Parce que pour moi, Z est la première lettre de Zèbre, terme servant à donner un nom moins négativement connoté que surdoué. Que le seul critère objectif actuel pour détecter la surdouance est le test de QI. Et que donc, tous les prétendants aux EOR sur une classe d'âge étaient des Z. Ou alors, le vrai test était juste après, dans la décision par rapport à ce choix des EOR, et à ce moment là on juge la surdouance à un comportement, et on décrète que lceux qui refusaient les EOR étaient des Z, et ceux qui l'acceptaient (horreur, acceptaient la norme ) n'en étaient pas. Des "normopensants" , ou pire, des HQI non zèbressylveno a écrit:Harpo, pourquoi dit-tu que les sélectionné EOR sont Z ? il me semble que l'obéissance n'est pas trop leurs fort.
Pour moi le concept de HQI non zèbre est totalement fumeux et illogique, je ne le conçoit pas. Je suis d'ailleurs curieux de connaître la différence que tu fais entre HQI et HP ?
Ce qui est passionnant dans le travail qui est effectué sur le fil de Mog, c'est justement de séparer ce qui est du domaine de la surdouance avec ce qui est du domaine du trait ou du comportement.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
beueueuh... je ne sais que ce que j'ai lu ici et un peu partout sur l'internet mais j'avais cru comprendre que les surdoués au sens de JSF, ce qu'elle appelle zèbres, ce différencient par non seulement un QI conséquent mais aussi par un émotionnel/une psychologie "caractéristique" d'ailleurs tiens coup d'œil rapide... oui, sur wikipedia c'est bien ce qui est précisé à l'article "surdoué" mais le même article précise aussi le flou et le b...del qui règne dans les différents termes et définition de la chose selon les auteurs et les écoles.
Alors oui, effectivement d'après moi, je pense qu'il y a des HQI qui ne présentent pas les caractéristiques émotionelles nécessaires pour être zèbres à la mode JSF.
(que je n'ai toujours pas lu, je n'ai que des renseignements partiels sur ces travaux)
et si je veux chipoter, HP peux s'appliquer à l'un comme à l'autre.
"Surdouance à séparer de trait et comportement" : oui. Mais il sera toujours difficile de faire la part de qu'est ce qui influence quoi d'où ma demande de statistiques complémentaires.
ah làlà on est pas près de pouvoir définir l'homo sapiens vulgaris !
merci Cyril THQI, pour la prise de tête induite par ton fil ! bon rien ne nous oblige non plus tu diras.
Alors oui, effectivement d'après moi, je pense qu'il y a des HQI qui ne présentent pas les caractéristiques émotionelles nécessaires pour être zèbres à la mode JSF.
(que je n'ai toujours pas lu, je n'ai que des renseignements partiels sur ces travaux)
et si je veux chipoter, HP peux s'appliquer à l'un comme à l'autre.
"Surdouance à séparer de trait et comportement" : oui. Mais il sera toujours difficile de faire la part de qu'est ce qui influence quoi d'où ma demande de statistiques complémentaires.
ah làlà on est pas près de pouvoir définir l'homo sapiens vulgaris !
merci Cyril THQI, pour la prise de tête induite par ton fil ! bon rien ne nous oblige non plus tu diras.
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
Age : 61
Localisation : loin de tout
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Ben je reste persuadé qu'on ne peut pas le définir du fait qu'il n'existe pas.
Par contre pour zèbre, le bouquin de JSF va dans le sens de HQI = zèbre. Elle a créé ce terme car plus neutre que HQI ou SUR doué ou autre... Enfin je l'ai compris comme ça.
Par contre pour zèbre, le bouquin de JSF va dans le sens de HQI = zèbre. Elle a créé ce terme car plus neutre que HQI ou SUR doué ou autre... Enfin je l'ai compris comme ça.
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je n'ai pas compris JSF de cette manière: pour moi elle a seulement choisit zèbre pour sa définition de surdoué, mais pour elle aussi un adulte surdoué n'est pas seulement un HQI, il lui faut un HQI mais pas uniquement ça.
Pour Monique de Kermadec il faut HQI+HQE+HQS
Pour Hervé Magnin, un QI >130 peut ne pas présenter toutes les caractéristiques de ce qui s'entend par adulte surdoué... Et ,
malheureusement je n'ai pas tout lu.
Mais on s'éloigne, je voulais en faire un fil justement mais pour l'instant je vais juste me répéter.
On dirait que 'comprendre' les NP, NQI, HSV devient une question de motivation et intérêt des HP, HQI, HSS.
Et si c'était simplement d'incapacité? S'il y avait une réelle et sérieuse difficulté à raisonner 'normalement' donc à comprendre comment ça se vit être NP, NQI, HSV.
( je ris de moi-même, je déteste les catégories et pourtant on ne peut y échapper c'est vrai)
2e point de vue @sylveno: je ne crois pas que les 'zèbres' refusent l'obéissance, au contraire il doit y en avoir une bonne partie qui l'acceptent de bon gré parce que empathique et compréhensifs (du 'système') en autant que leurs valeurs ne soient pas bafouées.
Par contre si cette obéissance empêche totalement le développement créatif personnel... là on pourrait en perdre plusieurs effectivement.
Pour Monique de Kermadec il faut HQI+HQE+HQS
Pour Hervé Magnin, un QI >130 peut ne pas présenter toutes les caractéristiques de ce qui s'entend par adulte surdoué... Et ,
malheureusement je n'ai pas tout lu.
Mais on s'éloigne, je voulais en faire un fil justement mais pour l'instant je vais juste me répéter.
On dirait que 'comprendre' les NP, NQI, HSV devient une question de motivation et intérêt des HP, HQI, HSS.
Et si c'était simplement d'incapacité? S'il y avait une réelle et sérieuse difficulté à raisonner 'normalement' donc à comprendre comment ça se vit être NP, NQI, HSV.
( je ris de moi-même, je déteste les catégories et pourtant on ne peut y échapper c'est vrai)
2e point de vue @sylveno: je ne crois pas que les 'zèbres' refusent l'obéissance, au contraire il doit y en avoir une bonne partie qui l'acceptent de bon gré parce que empathique et compréhensifs (du 'système') en autant que leurs valeurs ne soient pas bafouées.
Par contre si cette obéissance empêche totalement le développement créatif personnel... là on pourrait en perdre plusieurs effectivement.
Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Ouf ! merci segva ! ici et sur quelques autres topics, j'avais un peu l'impression d'être tout seul à avoir compris que Z ≠ HQi.
"Obéissance parce que empathie et respect du système et si valeur partagée". Ah oui, j'avais pas vu comme ça. Piste.
Le test QI n'est plus le seul critère depuis qu'on connais les différences neurologique. Bon d'accord, moins facile à mettre en œuvre et bien peux de HP on était testé de cette façon mais cela pourrait donner une première approche de la définition de HSV : fonctionnement neurologique différent et pas seulement cognitif ou psychologique.
Même si il est évident que celui-ci induit celui-là.
Ça me fait l'impression que ce serai comme un handicapé physique qui se poserai la question de savoir pourquoi il est différent. Ça différence est RÉÉLLEMENT physique, pas seulement ce qui se passe dans sa tête par rapport à son handicap.
"Obéissance parce que empathie et respect du système et si valeur partagée". Ah oui, j'avais pas vu comme ça. Piste.
Le test QI n'est plus le seul critère depuis qu'on connais les différences neurologique. Bon d'accord, moins facile à mettre en œuvre et bien peux de HP on était testé de cette façon mais cela pourrait donner une première approche de la définition de HSV : fonctionnement neurologique différent et pas seulement cognitif ou psychologique.
Même si il est évident que celui-ci induit celui-là.
Ça me fait l'impression que ce serai comme un handicapé physique qui se poserai la question de savoir pourquoi il est différent. Ça différence est RÉÉLLEMENT physique, pas seulement ce qui se passe dans sa tête par rapport à son handicap.
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Sans vouloir m'éloigner, je remémore une phrase dite par un prof il y a très longtemps concernant Freud. J'avoue ressentir de la paresse en ce moment pour citer et/ou chercher une source qui confirme ce 'potin' mais à ce qui paraîtrait, il caressait le rêve de trouver le substrat neurophysiologique de l'inconscient...
Cela pour appuyer ton affirmation qu'il nous en reste beaucoup à découvrir du côté de la neuropsychologie/biologie/physiologie/chimie/etc/etc
Réjouissons-nous Tout n'a pas été dit/écrit/pensé/découvert
Cela pour appuyer ton affirmation qu'il nous en reste beaucoup à découvrir du côté de la neuropsychologie/biologie/physiologie/chimie/etc/etc
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Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
Localisation : Dans le coin du cercle
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Moi aussi, au début j'en faisais plus cassylveno a écrit:Ouf ! merci segva ! ici et sur quelques autres topics, j'avais un peu l'impression d'être tout seul à avoir compris que Z ≠ HQi
maintenant je saute par dessus.
Plus je réfléchis et lis sur le 'phénomène', plus je me convaincs que Z ≠ HQI
Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
Localisation : Dans le coin du cercle
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Bien sûr. Par exemple, je suis HQI, mais je ne suis pas du tout Z. Bizarrement, certains ici semblent refuser de reconnaître que l'on puisse être dans ce cas. Je me demande ce que cela peut leur apporter.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
aaah ! t'es seulement HQI pas Z !!!
Je comprends mieux...
voilà qui explique beaucoup de choses...
Je comprends mieux...
voilà qui explique beaucoup de choses...
Dernière édition par sylveno le Jeu 15 Aoû 2013 - 9:09, édité 1 fois (Raison : envoyé trop vite)
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
C'est quoi un zèbre si ce n'est pas un HQI ?Cyril THQI a écrit:Bien sûr. Par exemple, je suis HQI, mais je ne suis pas du tout Z. Bizarrement, certains ici semblent refuser de reconnaître que l'on puisse être dans ce cas. Je me demande ce que cela peut leur apporter.
Je pourrais t'expliquer les motivations qui font que je n'arrive pas à reconnaître cet état de fait, mais je ne comprends tout simplement pas ce que tu mets derrière les mots ? Avec ces histoires de définition, nous finissons par ne pas parler le même langage.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Tu peux développer ?sylveno a écrit:aaah ! t'es seulement HQI pas Z !!!
Je comprends mieux...
voilà qui explique beaucoup de choses...
C'est ce que décrit Jeanne Siaud-Facchin décrit dans son livre Trop intelligent pour être heureux.Harpo a écrit:C'est quoi un zèbre si ce n.est pas un HQI ?
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
C'est comme un tigre en malheureux
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je plaisante. Humour.
C'était mal venu ? excuse moi.
C'était mal venu ? excuse moi.
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
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Localisation : loin de tout
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Non. Pas du tout. Tu n'as pas à t'excuser. C'est juste que la blague m'échappe. Il doit me manquer quelques neurones de ce côté-là.sylveno a écrit:C'était mal venu ? excuse moi.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je n'ai pas lu "Trop intelligent pour être heureux", je n'ai pas réussi à passer les premières pages, impossible d'entrer dans cette littérature. Bon, je vais essayer de le lire quand même, parce que j'ai l'intuition qu'il y a un malentendu avec ce bouquin, et que beaucoup y ont trouve' surtout ce qu'ils y cherchaient.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
JSF écrit, très explicitement, dans son bouquin,
- qu'elle emploiera le terme zèbre comme synonyme de surdoué, afin d'user d'un mot qui fait moins peur
- que seul le test de QI (ça a pu évoluer depuis qu'elle a écrit) est un indicateur fiable bien qu'on puisse avoir des présomptions
- que d'après ses retours de consultations elle estime déceler chez les Z-alias-surdoués-alias-QI>130 des traits de caractère communs, en rappelant à diverses reprises qu'il y a évidemment un biais puisque les surdoués qui ne se présentent ni à un test ni à un psy ne peuvent être ni identifiés ni étudiés.
C'est une interprétation ultérieure par le lectorat qui amène à considérer qu'un Z est une personne qui possède LES TRAITS de caractère décrits et à s'ouvrir des possibilités de disjoindre zébritude, douance et QI.
- qu'elle emploiera le terme zèbre comme synonyme de surdoué, afin d'user d'un mot qui fait moins peur
- que seul le test de QI (ça a pu évoluer depuis qu'elle a écrit) est un indicateur fiable bien qu'on puisse avoir des présomptions
- que d'après ses retours de consultations elle estime déceler chez les Z-alias-surdoués-alias-QI>130 des traits de caractère communs, en rappelant à diverses reprises qu'il y a évidemment un biais puisque les surdoués qui ne se présentent ni à un test ni à un psy ne peuvent être ni identifiés ni étudiés.
C'est une interprétation ultérieure par le lectorat qui amène à considérer qu'un Z est une personne qui possède LES TRAITS de caractère décrits et à s'ouvrir des possibilités de disjoindre zébritude, douance et QI.
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
L'image du zèbre, de ses rayures, de la façon dont il "se fond" la nuit tombée dans le plus large troupeau des chevaux, tout en conservant ses spécificités (zébrures) et son besoin vital de trouver "les siens" était assez parlante dans le livre de Mme Siaud-Facchin
Mais si on décline un peu cette "jolie allégorie" à ce que ressentent aujourd'hui les personnes sur ce site vis-à-vis d'une identification de groupe dont ils feraient/ ne feraient pas partie, autant adapter le concept comme suit (proposition n'engageant que ma personne) :
Il existe plusieurs sous-classes de zèbres, aux rayures et à la robe légèrement différente (pour vous en convaincre, si vous vous intéressez réellement à l'animal, faites une recherche google avec "zèbres images" ou sur un site animalier)
Que l'on soit d'une famille des "hypersensibles", "hqi", "thqi", "asperger", "sociaux" et/ ou "asociaux" (etc ...) si l'on se trouve avoir des zébrures et se sentir plus à l'aise (ou simplement bien) parmi les autres zèbres, même d'une sous-classe autre que la sienne, c'est probablement qu'on est zèbre
C'est ma façon de voir ce "concept" aujourd'hui
Il doit y avoir un fond commun (que l'on représenterait à travers ces fameuses zébrures) qui fait qu'entre nous le courant passe (mieux) qu'avec les non-zèbres
Mais si on décline un peu cette "jolie allégorie" à ce que ressentent aujourd'hui les personnes sur ce site vis-à-vis d'une identification de groupe dont ils feraient/ ne feraient pas partie, autant adapter le concept comme suit (proposition n'engageant que ma personne) :
Il existe plusieurs sous-classes de zèbres, aux rayures et à la robe légèrement différente (pour vous en convaincre, si vous vous intéressez réellement à l'animal, faites une recherche google avec "zèbres images" ou sur un site animalier)
Que l'on soit d'une famille des "hypersensibles", "hqi", "thqi", "asperger", "sociaux" et/ ou "asociaux" (etc ...) si l'on se trouve avoir des zébrures et se sentir plus à l'aise (ou simplement bien) parmi les autres zèbres, même d'une sous-classe autre que la sienne, c'est probablement qu'on est zèbre
C'est ma façon de voir ce "concept" aujourd'hui
Il doit y avoir un fond commun (que l'on représenterait à travers ces fameuses zébrures) qui fait qu'entre nous le courant passe (mieux) qu'avec les non-zèbres
Zeal- Messages : 31
Date d'inscription : 21/07/2013
Localisation : 3e Galaxie à gauche après les waters
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Il existe trois espèces de zèbres, que l'on range dans le genre Equus , de l'ordre des Perissodactylae . Leur nom provient d'un mot swahili qui signifie « âne rayé ». Le plus répandu est le zèbre de Burchell, Equus burchelli, ou zèbre de plaine, qui se rencontre en Afrique orientale, au Kenya, en Tanzanie. Il fréquente une grande variété d'habitats, principalement la savane ouverte. Mais on peut le voir aussi en altitude, jusqu'à 4 400 m. Il hennit comme un cheval. Son pelage est lisse et montre de larges rayures verticales, qui deviennent horizontales sur les hanches. Le zèbre de montagne, Equus zebra , vit, lui, dans les prairies d'altitude. Son pelage est plus lisse que celui du précédent, ses rayures sont plus étroites et son ventre est blanc. Le haut de sa queue est ornée d'un motif à petites rayures symétriques, qui permet de l'identifier aisément lorsqu'il est vu de la croupe. L'une des sous-espèces, E. zebra zebra, vit en République sud-africaine dans les montagnes centrales de la province du Cap, l'autre, E. hartmannae , le zèbre de Hartmann, se trouve en Angola et en Namibie. C'est une espèce très menacée. Enfin dernière espèce, le zèbre de Grévy, Equus grevyi , est, selon certains, le plus beau, le plus rare aussi, car il a été beaucoup chassé. Son aire de répartition couvre l'Ethiopie, la Somalie et le Kenya.
Il y a 6 000 ans, elle se prolongeait jusqu'au nord de l'Egypte. Le pelage du zèbre de Grévy est orné de bandes verticales étroites, s'incurvant vers le haut des hanches. Ses oreilles sont larges et dressées. Il brait comme un âne. Il n'existe pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce. Les mâles comme les femelles peuvent atteindre un poids de 450 kg, ce qui fait de lui le plus grand des équidés sauvages. Le territoire dominé par certains étalons du zèbre de Grévy, au Kenya, peut aller jusqu'à 10 km2. Ce qui est la plus grande surface contrôlée par un herbivore, et certains mâles y règnent plusieurs années.
Le temps de gestation des femelles est, en général, d'un an. Celui de E. grevyi est le plus long : 390 jours. Le zébron, même s'il peut se nourrir d'herbe dès l'âge d'une semaine ne sera sevré que onze mois plus tard. Le juvénile quitte sa famille entre 1 et 3 ans. La longévité moyenne des zèbres est de neuf ans. Certains peuvent vivre vingt ans. Comme tous les équidés, chevaux et ânes, les zèbres sont des animaux très grégaires. Chez les zèbres de Burchell et ceux de montagne, les groupes sont centrés autour d'un étalon et de quelques juments qui, toute leur vie durant, restent dans le même harem. Certains de ces étalons dirigent leur groupe pendant plus de quinze ans. Les mâles se battent violemment pour la possession des juments. Les chefs de groupe jouent aussi un rôle protecteur. Ainsi, en cas d'attaque, pour couvrir la fuite, ils restent en queue de la harde qui détale. Ils peuvent faire front aux lycaons* et tuer, par ruades, les hyènes tachetées. En revanche les associations d'adultes se maintiennent rarement plus de quelques mois.
Dans son livre Les A nimaux révélés , Desmond Morris passe en revue les multiples hypothèses avancées par des scientifiques de diverses disciplines pour expliquer les rayures des zèbres1. Quelle pourrait être la fonction de ce caractère retenu par l'évolution?
L'une des premières réponses apportées et qui a été admise longtemps, expose les choses en termes de camouflage. Le jeu des zébrures aurait pour fonction de modifier le contour exact de l'animal. Effet qui le masquerait au regard de ses prédateurs, le lion principalement. Bien que leur patron ressorte nettement lorsque les zèbres sont à découvert, on a cru remarquer que ces équidés se tenaient dans des lieux protégés, à l'aube et au crépuscule, moments de chasse de leurs prédateurs. Là, leur patron, dans un terrain boisé, se confondrait avec le décor ambiant. Malheureusement, c'est un mythe. Loin de se cacher à couvert, les zèbres sont mobiles en permanence, et souvent bruyants!
Une série d'autres explications a été proposée. Elles participent toutes de l'idée du leurre, du trompe-l'oeil vital : se faire mieux voir pour troubler le prédateur. La première de ces hypothèses imagine que le patron zébré de l'animal crée chez le lion une sorte d'illusion d'optique. Ainsi, si l'on compare un objet rayé d'une certaine manière, au même objet mais rayé différemment, les deux ne paraissent pas de même taille. Pour cette raison d'optique le corps du zèbre paraîtrait plus gros qu'il n'est en réalité, aux yeux du lion. Celui-ci ajusterait mal la longueur de son attaque et raterait sa proie. Las! L'observation montre le contraire: le lion ajuste son coup avec précision. Seule la vivacité de l'équidé peut le sauver!
Dans la même veine on a émis l'hypothèse « Op Art ». Dans celle-ci, à l'instar de certaines toiles aux lignes ondulantes agencées de manière à provoquer un trouble visuel chez le spectateur, le lion proche de l'animal convoité serait comme ébloui, et de ce fait le raterait. Une autre hypothèse ne concerne pas l'individu isolé, mais l'effet visuel que pourrait provoquer la harde, masse mouvante de rayures brouillant tout contour et qui conduirait le lion à ne plus savoir où un zèbre commence et où il finit ! Mais si cela est vrai comment expliquer que le lion parvienne si aisément à isoler sa proie?
Une autre hypothèse ne repose plus du tout sur l'idée de défense mais sur celle de reconnaissance intraspécifique. Le patron zébré ne concerne plus le prédateur mais serait comme un signe d'identité.
On sait que pour beaucoup d'espèces d'ongulés, la région de l'arrière-train est comme une sorte de bannière, de sceau visuel, qui permet l'identification. C'est le cas semble-t-il chez les zèbres. Nous avons cité, plus haut, le motif du train arrière du zèbre de montagne, motif finement grillagé. Il se distingue nettement de celui du zèbre de Grévy, épaisse rayure noire sur fond blanc et de celui du zèbre commun rayure plus fine, discontinue. De plus, au-delà du motif général, aucun zèbre ne présente une disposition strictement identique des lignes. Ainsi, chaque membre de la harde exhiberait une signature singulière pour ses congénères. L'explication serait convaincante si les chevaux sauvages, qui n'ont pourtant aucun motif, ne se reconnaissaient si bien entre eux!
Avant-dernier exemple d'explication, dans ce choix d'hypothèses qui est loin d'être exhaustif. Elle a été proposée par le biologiste britannique Jeffrey Waage. Par des prélèvements sanguins, il a montré que les zèbres étaient plus épargnés par les glossines, les mouches tsé-tsé qui donnent le nagana, la forme animale de la maladie du sommeil. Ces mouches, qui s'orientent visuellement, et non olfactivement, seraient trompées par l'alternance de bandes noires et blanches. Malheureusement, dans la majeure partie des zones fréquentées par cet équidé, ces insectes ne posent pas de problèmes majeurs aux populations animales...
Enfin, une explication thermodynamique a été proposée. Elle repose sur l'idée que l'alternance blanc et noir de la robe créerait une sorte de courant rafraîchissant. Le noir retenant la chaleur, le blanc l'évacuant, il se ferait une circulation rafraîchissante positive. Cette fois l'âne est l'objection. Les hardes d'Afrique du Nord vivent dans les régions parmi les plus chaudes de la Terre. Et de zébrures, chez eux, nenni!
Le problème reste donc en suspens. Mais remarquons pour conclure que la question de la zébrure n'a pas pro- duit le même zèle concernant le kangourou à bandes, le phalanger à rayures*, ou le fourmilier marsupial, toutes espèces exhibant pourtant un analogue patron contrasté. Peut-être existe-t-il des raisons historiques. Dans son livre sur les Rayures , Michel Pastoureau précise : « Pour les hommes du Moyen Age, le zèbre est un âne sauvage, noir à raies blanches ; il est affreux et diabolique. Pour ceux du siècle des L umières, c'est un cheval blanc à rayures noires ; c'est le plus bel animal de la Création. » Remarque qui conduit à une question que nous avions éludée jusqu'à présent. Le zèbre est-il zébré de blanc sur fond noir ou l'inverse
http://www.larecherche.fr/
Il y a 6 000 ans, elle se prolongeait jusqu'au nord de l'Egypte. Le pelage du zèbre de Grévy est orné de bandes verticales étroites, s'incurvant vers le haut des hanches. Ses oreilles sont larges et dressées. Il brait comme un âne. Il n'existe pas de dimorphisme sexuel chez cette espèce. Les mâles comme les femelles peuvent atteindre un poids de 450 kg, ce qui fait de lui le plus grand des équidés sauvages. Le territoire dominé par certains étalons du zèbre de Grévy, au Kenya, peut aller jusqu'à 10 km2. Ce qui est la plus grande surface contrôlée par un herbivore, et certains mâles y règnent plusieurs années.
Le temps de gestation des femelles est, en général, d'un an. Celui de E. grevyi est le plus long : 390 jours. Le zébron, même s'il peut se nourrir d'herbe dès l'âge d'une semaine ne sera sevré que onze mois plus tard. Le juvénile quitte sa famille entre 1 et 3 ans. La longévité moyenne des zèbres est de neuf ans. Certains peuvent vivre vingt ans. Comme tous les équidés, chevaux et ânes, les zèbres sont des animaux très grégaires. Chez les zèbres de Burchell et ceux de montagne, les groupes sont centrés autour d'un étalon et de quelques juments qui, toute leur vie durant, restent dans le même harem. Certains de ces étalons dirigent leur groupe pendant plus de quinze ans. Les mâles se battent violemment pour la possession des juments. Les chefs de groupe jouent aussi un rôle protecteur. Ainsi, en cas d'attaque, pour couvrir la fuite, ils restent en queue de la harde qui détale. Ils peuvent faire front aux lycaons* et tuer, par ruades, les hyènes tachetées. En revanche les associations d'adultes se maintiennent rarement plus de quelques mois.
Dans son livre Les A nimaux révélés , Desmond Morris passe en revue les multiples hypothèses avancées par des scientifiques de diverses disciplines pour expliquer les rayures des zèbres1. Quelle pourrait être la fonction de ce caractère retenu par l'évolution?
L'une des premières réponses apportées et qui a été admise longtemps, expose les choses en termes de camouflage. Le jeu des zébrures aurait pour fonction de modifier le contour exact de l'animal. Effet qui le masquerait au regard de ses prédateurs, le lion principalement. Bien que leur patron ressorte nettement lorsque les zèbres sont à découvert, on a cru remarquer que ces équidés se tenaient dans des lieux protégés, à l'aube et au crépuscule, moments de chasse de leurs prédateurs. Là, leur patron, dans un terrain boisé, se confondrait avec le décor ambiant. Malheureusement, c'est un mythe. Loin de se cacher à couvert, les zèbres sont mobiles en permanence, et souvent bruyants!
Une série d'autres explications a été proposée. Elles participent toutes de l'idée du leurre, du trompe-l'oeil vital : se faire mieux voir pour troubler le prédateur. La première de ces hypothèses imagine que le patron zébré de l'animal crée chez le lion une sorte d'illusion d'optique. Ainsi, si l'on compare un objet rayé d'une certaine manière, au même objet mais rayé différemment, les deux ne paraissent pas de même taille. Pour cette raison d'optique le corps du zèbre paraîtrait plus gros qu'il n'est en réalité, aux yeux du lion. Celui-ci ajusterait mal la longueur de son attaque et raterait sa proie. Las! L'observation montre le contraire: le lion ajuste son coup avec précision. Seule la vivacité de l'équidé peut le sauver!
Dans la même veine on a émis l'hypothèse « Op Art ». Dans celle-ci, à l'instar de certaines toiles aux lignes ondulantes agencées de manière à provoquer un trouble visuel chez le spectateur, le lion proche de l'animal convoité serait comme ébloui, et de ce fait le raterait. Une autre hypothèse ne concerne pas l'individu isolé, mais l'effet visuel que pourrait provoquer la harde, masse mouvante de rayures brouillant tout contour et qui conduirait le lion à ne plus savoir où un zèbre commence et où il finit ! Mais si cela est vrai comment expliquer que le lion parvienne si aisément à isoler sa proie?
Une autre hypothèse ne repose plus du tout sur l'idée de défense mais sur celle de reconnaissance intraspécifique. Le patron zébré ne concerne plus le prédateur mais serait comme un signe d'identité.
On sait que pour beaucoup d'espèces d'ongulés, la région de l'arrière-train est comme une sorte de bannière, de sceau visuel, qui permet l'identification. C'est le cas semble-t-il chez les zèbres. Nous avons cité, plus haut, le motif du train arrière du zèbre de montagne, motif finement grillagé. Il se distingue nettement de celui du zèbre de Grévy, épaisse rayure noire sur fond blanc et de celui du zèbre commun rayure plus fine, discontinue. De plus, au-delà du motif général, aucun zèbre ne présente une disposition strictement identique des lignes. Ainsi, chaque membre de la harde exhiberait une signature singulière pour ses congénères. L'explication serait convaincante si les chevaux sauvages, qui n'ont pourtant aucun motif, ne se reconnaissaient si bien entre eux!
Avant-dernier exemple d'explication, dans ce choix d'hypothèses qui est loin d'être exhaustif. Elle a été proposée par le biologiste britannique Jeffrey Waage. Par des prélèvements sanguins, il a montré que les zèbres étaient plus épargnés par les glossines, les mouches tsé-tsé qui donnent le nagana, la forme animale de la maladie du sommeil. Ces mouches, qui s'orientent visuellement, et non olfactivement, seraient trompées par l'alternance de bandes noires et blanches. Malheureusement, dans la majeure partie des zones fréquentées par cet équidé, ces insectes ne posent pas de problèmes majeurs aux populations animales...
Enfin, une explication thermodynamique a été proposée. Elle repose sur l'idée que l'alternance blanc et noir de la robe créerait une sorte de courant rafraîchissant. Le noir retenant la chaleur, le blanc l'évacuant, il se ferait une circulation rafraîchissante positive. Cette fois l'âne est l'objection. Les hardes d'Afrique du Nord vivent dans les régions parmi les plus chaudes de la Terre. Et de zébrures, chez eux, nenni!
Le problème reste donc en suspens. Mais remarquons pour conclure que la question de la zébrure n'a pas pro- duit le même zèle concernant le kangourou à bandes, le phalanger à rayures*, ou le fourmilier marsupial, toutes espèces exhibant pourtant un analogue patron contrasté. Peut-être existe-t-il des raisons historiques. Dans son livre sur les Rayures , Michel Pastoureau précise : « Pour les hommes du Moyen Age, le zèbre est un âne sauvage, noir à raies blanches ; il est affreux et diabolique. Pour ceux du siècle des L umières, c'est un cheval blanc à rayures noires ; c'est le plus bel animal de la Création. » Remarque qui conduit à une question que nous avions éludée jusqu'à présent. Le zèbre est-il zébré de blanc sur fond noir ou l'inverse
http://www.larecherche.fr/
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je rejoins Harpo quant à ses doutes relativement la distinction que l'on établirait entre HQI et zèbre. Mais je comprends assez la position de Cyril, dans la mesure où je ne me reconnais pas dans tout ce que l'on place sous la dénomination zèbre.
Ce que je crois, ce n'est pas que les deux réalités seraient si différentes, mais qu'en l'état les deux notions sont difficilement comparables.
La notion de HQI est assez claire, aux contestations sur les méthodes d'évaluation près. Au contraire, celle de zèbre est floue. Aussi elle peut bien recouvrir beaucoup de traits qu'il serait bon de classifier avant de se prononcer. C'est donc à nous de la redéfinir au besoin, la caractérisation de JSF pouvant juste être considérée comme une base de travail.
Pour moi il y a deux hypothèses :
— il y a un tronc commun, où le fait d'avoir un haut potentiel mesurable est l'une des branches conséquentes;
— le fait d'avoir un QI élevé est spécifique; il y en a d'autres, qui rassemblent des traits plus ou moins comparables, c'est-à-dire avec des conséquences qui se rejoignent en partie.
Ce que je crois, ce n'est pas que les deux réalités seraient si différentes, mais qu'en l'état les deux notions sont difficilement comparables.
La notion de HQI est assez claire, aux contestations sur les méthodes d'évaluation près. Au contraire, celle de zèbre est floue. Aussi elle peut bien recouvrir beaucoup de traits qu'il serait bon de classifier avant de se prononcer. C'est donc à nous de la redéfinir au besoin, la caractérisation de JSF pouvant juste être considérée comme une base de travail.
Pour moi il y a deux hypothèses :
— il y a un tronc commun, où le fait d'avoir un haut potentiel mesurable est l'une des branches conséquentes;
— le fait d'avoir un QI élevé est spécifique; il y en a d'autres, qui rassemblent des traits plus ou moins comparables, c'est-à-dire avec des conséquences qui se rejoignent en partie.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Mouais, la 1e moitié est longue à avaler...!Harpo a écrit:Je n'ai pas lu "Trop intelligent pour être heureux", je n'ai pas réussi à passer les premières pages, impossible d'entrer dans cette littérature.
ça c'est net*Harpo a écrit:Bon, je vais essayer de le lire quand même, parce que j'ai l'intuition qu'il y a un malentendu avec ce bouquin,
Si l'on se fie aux interprétations des mots...+1Harpo a écrit:et que beaucoup y ont trouve' surtout ce qu'ils y cherchaient.
Avis: bouquin de vulgarisation plébéienne, possible "mine" d'or du sujet pour (r)enflouer les caisses.
Je trouve qu'elle y fait des erreurs d'interprétation et prend des "raccourcis" qui finalement lui font perdre le nord ... le tout sans (grand) étayage... pour autant on y retrouve tout de même un certain nombre de caractéristiques indéniables...!
*
F-F-F... a écrit:JSF écrit, très explicitement, dans son bouquin,
JSF,p20 et 22,explication du choix de Z a écrit:
- Chaque dénomination contient un implicite qui renvoie à une représentation partielle, erronée et en tous les cas insatisfaisante.
- Je continuerai donc à préférer le zèbre, cette terminologie que j'ai choisie pour se dégager des représentations pesantes
JSF,p24 et 118 a écrit:
- On peut maintenant, en particulier grâce aux techniques d'imagerie fonctionnelle (IRM), voir le cerveau fonctionner en temps réel. Ce qui nous donne la possibilité exceptionnelle de mieux comprendre quelles régions cérébrales sont engagées lors de la résolution de tel problème, dans telle situation, tel contexte. Cette révolution technologique vient renforcer notre compréhension et nos connaissances face à cette question essentielle: en quoi et comment la pensée du surdoué est-elle différente?
- Aucun diagnostic ne peut être posé sur la valeur d'un simple indice. Quel qu'il soit. Seul un faisceau de signes va orienter puis confirmer le tableau clinique.
- Un chiffre de QI n'est pas un diagnostic. C'est un indice qui oriente le diagnostic
Histoire de rappeler le sujet...au cas où ça intéresse...Dauphin, topic p5 a écrit: Se baser sur le QI pour différencier HSV et HSS me paraît réducteur car je pense que l'essentiel réside dans la différence du mode de pensée (linéaire><arborescent) où le QI serait un signe "chiffrable" mais non différenciateur ni "pathognomonique" (ainsi, ici, certains membres de Mensa ont été exclus suite à la scintigraphie). Je vais donc considérer pour l'aisance qu'ici HSV=NP=NT=linéaire et HSS=arborescent=Z=HQI (au moins!)...
Dauphin
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
C'est ça! C'est ce que je pense aussi, il y a des HQI ou THQI 'purs' qui ne peuvent se définir comme zèbre.Cyril THQI a écrit:Bien sûr. Par exemple, je suis HQI, mais je ne suis pas du tout Z. Bizarrement, certains ici semblent refuser de reconnaître que l'on puisse être dans ce cas. Je me demande ce que cela peut leur apporter.
Je crois que les caractéristiques des zèbres sont souffrantes (à un endroit du parcours) et que JSF est bien en mesure de le décrire parce qu'ils consultent (ou leur parents ou l'école ou une tante aimante).
Fiable ne veut pas dire excluant, seulement 'mesurable', 'observable', 'quantifiable', 'probant'. Les autres caractéristiques zèbres demeurent trop subjectives, caractéristiques qui peuvent être allergènes pour un esprit HQI pur.
Segva- Messages : 345
Date d'inscription : 03/03/2012
Age : 49
Localisation : Dans le coin du cercle
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Question nocturne à la con: l'essentiel de la population n'étant pas testée, comment on peut se contenter d'une représentation aussi lacunaire concernant la répartition du QI ?
Admettons que c'est effectué sur un échantillon (enfin admettons pas, c'est le cas), restreint par définition, et sachant tous les biais liés à l'échantillonnage statistique, comment fait-on pour rendre cette information pertinente ? Sans même parler de l'absence de consensus engendré par toutes les sous chapelles (hqi vs zèbre étant un exemple parmi d'autres) qui sont nées suite à la complexification des analyses sur le sujet.
En fait on a l'impression d'avoir affaire au même phénomène que pour la formation d'un cadre cosmologique. C'est à dire un modèle théorique qui va se complexifier considérablement en raison de toutes les "singularités" qu'il lui faut intégrer au fur et à mesure qu'elles apparaissent à l'observation, jusqu'à ce qu'on arrive à un résultat mutilé nous obligeant à revoir la base parce qu'in fine ce modèle se révèle insatisfaisant.
Je suis HS peut être. "Messieurs bonsoâr"
Admettons que c'est effectué sur un échantillon (enfin admettons pas, c'est le cas), restreint par définition, et sachant tous les biais liés à l'échantillonnage statistique, comment fait-on pour rendre cette information pertinente ? Sans même parler de l'absence de consensus engendré par toutes les sous chapelles (hqi vs zèbre étant un exemple parmi d'autres) qui sont nées suite à la complexification des analyses sur le sujet.
En fait on a l'impression d'avoir affaire au même phénomène que pour la formation d'un cadre cosmologique. C'est à dire un modèle théorique qui va se complexifier considérablement en raison de toutes les "singularités" qu'il lui faut intégrer au fur et à mesure qu'elles apparaissent à l'observation, jusqu'à ce qu'on arrive à un résultat mutilé nous obligeant à revoir la base parce qu'in fine ce modèle se révèle insatisfaisant.
Je suis HS peut être. "Messieurs bonsoâr"
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Bonjour Luna Lunedda, je crois qu'on ne se connait pas encore. Excuse moi de te contredire.
Oui, querelle de chapelle bien sûr surtout sur un sujet aussi sensible. Question identitaire.
Les non testés évidemment ne peuvent être catégorisé. On ne s'occupe donc que de ceux qui le sont et on suppose comme dans toutes statistique que c'est représentatif de l'ensemble. Définition d'une statistique.
J'ai contacté JSF et Monique de kermadec en posant la question : y a-t-il des HQI qui peuvent être seulement ça et ne pas présenter les caractérisqtiues attribuées aux surdoués (hypersensible, empathique, créatif...). Pour le moment pas de réponse.
Au moins ça permettras de savoir déjà si HSV peut être HQI ou pas.
Oui, querelle de chapelle bien sûr surtout sur un sujet aussi sensible. Question identitaire.
Les non testés évidemment ne peuvent être catégorisé. On ne s'occupe donc que de ceux qui le sont et on suppose comme dans toutes statistique que c'est représentatif de l'ensemble. Définition d'une statistique.
J'ai contacté JSF et Monique de kermadec en posant la question : y a-t-il des HQI qui peuvent être seulement ça et ne pas présenter les caractérisqtiues attribuées aux surdoués (hypersensible, empathique, créatif...). Pour le moment pas de réponse.
Au moins ça permettras de savoir déjà si HSV peut être HQI ou pas.
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
Age : 61
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Ben je ne sais pas, si on prend le tableau à la con qui traîne partout ( http://nouvsite.anpeip.org/index.php?option=com_flexicontent&view=category&cid=87&Itemid=1328 ) au dessus de 130 tout le monde valide ce teste (mon échantillon à moi est très faible cela 10, 7 ou 8 HQI à qui je demandé l'avis sur ce tableau et une 12 aine de non testé et/ou non hqi).
Ce que je veux dire, c'est quoi un hqi si on quitte la définition ?
Ce que je veux dire, c'est quoi un hqi si on quitte la définition ?
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je connais en tout cas un HQI testé qui ne se reconnait pas du tout du tout dans le JSF.
Ça existe, donc.
Et il y a des témoignages dans ce sens sur ce forum par-ci par-là
Je trouve que l'article de Luc https://www.zebrascrossing.net/t1129-hqi-versus-zebritude#40503 est d'une grande clarté sur les caractéristiques "zèbres" ou "HQI".
Il est tout à fait possible et sensé d'établir une distinction entre zébritude et HQItude si on adopte une définition de ces termes comme celle que propose Luc, sachant que certains seront HQI et zèbres, d'autres HQI et "non-zèbres", et d'autres non-HQI se retrouvant tout à fait dans la description de JSF... (il y a eu aussi des exemples de ce dernier cas sur ce forum)
Mais l'usage général est d'utiliser le mot zèbre comme signifiant surdoué/HQI, et apparemment tout le monde s'accorde à utiliser ce sens-là ici.
Le problème s'origine peut-être en partie dans le fait que, comme le remarque JSF, les surdoués qui vont bien ne consultent pas...
et que donc un certain nombre de surdoués montre probablement un ensemble de caractéristiques personnelles différent de celui décrit dans le fameux livre.
(Bon, moi, en fait, je devrais me taire, puisque je ne suis pas testée, et que régulièrement à la lecture du forum, je me dis que je dois tout simplement être sujette à l'effet Barnum !)
Ça existe, donc.
Et il y a des témoignages dans ce sens sur ce forum par-ci par-là
Je trouve que l'article de Luc https://www.zebrascrossing.net/t1129-hqi-versus-zebritude#40503 est d'une grande clarté sur les caractéristiques "zèbres" ou "HQI".
Il est tout à fait possible et sensé d'établir une distinction entre zébritude et HQItude si on adopte une définition de ces termes comme celle que propose Luc, sachant que certains seront HQI et zèbres, d'autres HQI et "non-zèbres", et d'autres non-HQI se retrouvant tout à fait dans la description de JSF... (il y a eu aussi des exemples de ce dernier cas sur ce forum)
Mais l'usage général est d'utiliser le mot zèbre comme signifiant surdoué/HQI, et apparemment tout le monde s'accorde à utiliser ce sens-là ici.
Le problème s'origine peut-être en partie dans le fait que, comme le remarque JSF, les surdoués qui vont bien ne consultent pas...
et que donc un certain nombre de surdoués montre probablement un ensemble de caractéristiques personnelles différent de celui décrit dans le fameux livre.
(Bon, moi, en fait, je devrais me taire, puisque je ne suis pas testée, et que régulièrement à la lecture du forum, je me dis que je dois tout simplement être sujette à l'effet Barnum !)
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je me demande s'il ne faudrait pas séparer ce topic entre polémique sur les définitions et question originale de Cyril. Mais bon, on est après tout sur la partie "définitions" du forum.
De toute façon, Cyril comparait HQI et non HQI, il n'avait pas inclus la notion de Z dans sa question. Donc, si l'on entend par Z un HQI qui va mal, qui souffre, donc un sous-ensemble des HQI, on peut en conclure que la souffrance n'est pas un des éléments déterminants de cette différence entre HQI et non HQI.
Dauphin considère l'arborescence de la pensée comme discriminant de base. Quid de tous les HQI qui ne pensent pas être arborescents, ceux que l'on appelle laminaires ?
Lapin propose : horizon temporel différent, mémorisation simultanée, profondeur de vue des tenants et aboutissants et implicites langagiers liés aux trois premiers.
J'ai envie de rajouter pour ma part :
- plus grande facilité à accepter les rituels sociaux normatifs de passage : enfance, adolescence, adulte.
- conséquence : affirmation de soi plus basée sur la reconnaissance des autres et la bonne intégration, quand le HQI va plutôt travailler son atypisme (malgré lui ?).
- autre conséquence : moins grande capacité (ou goût) à l'introspection chez le non HQI
- meilleure adaptation aux stimuli extérieurs : tout ce qui agresse les sens du HQI.
Sauf que j'ai du mal avec les deux premières propositions, qui sont pour moi plus une conséquence du décalage ressenti avec les autres qu'une caractéristique du HQI. C'est l'histoire de la poule et de l'œuf.
La troisième soulève à mon sens deux questions :
- l'hypersensibilité est elle une un point commun à tous les HQI ?
- l'hypersensibilité est-elle une caractéristique uniquement HQI ?
Autre proposition : le HQI enfant se pose très tôt des questions métaphysiques qui restent souvent non résolues. Pourquoi ? (Ou dans le sens de Cyril : pourquoi les non HQI se poseraient moins de questions ?). Besoin accru de sécurité ? Relation à la peur ? Cela n'est-il pas liée à l'hypersensibilité ? Et a son corollaire : l'empathie ?
D'où : le non HQI serait moins emphatique qu'un HQI ? Et si oui, l'empathie n'est-elle pas plus liée au cerveau reptilien qu'aux autres ? N'est-ce pas un des traits que l'on retrouve très fortement chez tous les animaux "sociaux" ? Et qu'est-ce que cela veut dire ?
Ce qui est sûr c'est que j'ai toujours du mal à raisonner à partir du non HQI, ensemble très arbitraire de gens très différents. Mais le jeu me paraît plus intéressant aujourd'hui que quand le fil a été lancé.
J'ai plus de facilité à raisonner en terme de majorité / minorité, donc en terme de décalage. Dans ce cadre la, on pourrait d'ailleurs jouer le même jeu (ou presque) avec les autres minorités :
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et autistes
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et trisomiques
Ps : je préfère encore dire HQI et non HQI que homo sapiens vulgaris et homo sapiens sapiens. Désole, cela doit être un bête problème d'éthique.
De toute façon, Cyril comparait HQI et non HQI, il n'avait pas inclus la notion de Z dans sa question. Donc, si l'on entend par Z un HQI qui va mal, qui souffre, donc un sous-ensemble des HQI, on peut en conclure que la souffrance n'est pas un des éléments déterminants de cette différence entre HQI et non HQI.
Dauphin considère l'arborescence de la pensée comme discriminant de base. Quid de tous les HQI qui ne pensent pas être arborescents, ceux que l'on appelle laminaires ?
Lapin propose : horizon temporel différent, mémorisation simultanée, profondeur de vue des tenants et aboutissants et implicites langagiers liés aux trois premiers.
J'ai envie de rajouter pour ma part :
- plus grande facilité à accepter les rituels sociaux normatifs de passage : enfance, adolescence, adulte.
- conséquence : affirmation de soi plus basée sur la reconnaissance des autres et la bonne intégration, quand le HQI va plutôt travailler son atypisme (malgré lui ?).
- autre conséquence : moins grande capacité (ou goût) à l'introspection chez le non HQI
- meilleure adaptation aux stimuli extérieurs : tout ce qui agresse les sens du HQI.
Sauf que j'ai du mal avec les deux premières propositions, qui sont pour moi plus une conséquence du décalage ressenti avec les autres qu'une caractéristique du HQI. C'est l'histoire de la poule et de l'œuf.
La troisième soulève à mon sens deux questions :
- l'hypersensibilité est elle une un point commun à tous les HQI ?
- l'hypersensibilité est-elle une caractéristique uniquement HQI ?
Autre proposition : le HQI enfant se pose très tôt des questions métaphysiques qui restent souvent non résolues. Pourquoi ? (Ou dans le sens de Cyril : pourquoi les non HQI se poseraient moins de questions ?). Besoin accru de sécurité ? Relation à la peur ? Cela n'est-il pas liée à l'hypersensibilité ? Et a son corollaire : l'empathie ?
D'où : le non HQI serait moins emphatique qu'un HQI ? Et si oui, l'empathie n'est-elle pas plus liée au cerveau reptilien qu'aux autres ? N'est-ce pas un des traits que l'on retrouve très fortement chez tous les animaux "sociaux" ? Et qu'est-ce que cela veut dire ?
Ce qui est sûr c'est que j'ai toujours du mal à raisonner à partir du non HQI, ensemble très arbitraire de gens très différents. Mais le jeu me paraît plus intéressant aujourd'hui que quand le fil a été lancé.
J'ai plus de facilité à raisonner en terme de majorité / minorité, donc en terme de décalage. Dans ce cadre la, on pourrait d'ailleurs jouer le même jeu (ou presque) avec les autres minorités :
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et autistes
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et trisomiques
Ps : je préfère encore dire HQI et non HQI que homo sapiens vulgaris et homo sapiens sapiens. Désole, cela doit être un bête problème d'éthique.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Moi je ne peux pas prendre cette appelation de sapiens truc pour raison proffessionnelle
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Bonjour à tous :
Juste un dernier post pour préciser que je vais bien, car j'ai reçu plein de MP parfois inquiets.
Je m'envole tel l'albatros moyen et ne donne pas d'explication à mon auto-sabordage (trop de raisons) que j'approuve toujours et même promeus.
Si vraiment il y avait des choses intéressantes dans mes posts, elles ne sont pas exceptionnelles: les intervenants de ce forum comme TB, sipheys, doom, korppi et d'autres, Mag, dessein, dauphin, IDT seraient dans la capacité de le retrouver.
Je n'ai aucune dent contre Zc en principe mais confirme que je suis si différent et des QI 100 et peut-être même de certains qi au dessus ( ce qui ne veut pas dire supérieur) : que je considère ma station sur Zc comme désormais au delà du supportable. Ca fait pas mal de temps que je prends sur moi quand j'y viens. Partagé entre le besoin de contact et la peur de ne pas trouver ce que je cherche en profondeur, dans le cœur ( même si ça passe par le cerveau). parfois c'est l'extase. Mais l'ecstasy est une drogue et le manque prend le pas.
J'espère avoir aidé certains mais le net étant ce qu'il est : j'ai droit à l'oubli. Un forum est un échanges de paroles : elles gardent le statut de s'envoler même si cet hybride nous force à les écrire. Et si le techme incite au contraire : eh bien le techme est rejeté ( voir IDT). Je ne marche dans aucun mysticisme-organisé.
Par conséquent je fais mon boulot d'albatros et je m'envole vers les jets streams qui ne ressemblent pas aux savanes. Je retourne donc à ma solitude mais enrichi des notions apprises sur ce forum ( asperger, solitude, isolement, pote en ciel ;)etc...).
J'ai l'intention de continuer les attroupements et MP macht frei si les modos le veulent bien.
sinon, j'ai filé mon mel aux interessés et on fera autrement.
ENVOL !
Juste un dernier post pour préciser que je vais bien, car j'ai reçu plein de MP parfois inquiets.
Je m'envole tel l'albatros moyen et ne donne pas d'explication à mon auto-sabordage (trop de raisons) que j'approuve toujours et même promeus.
Si vraiment il y avait des choses intéressantes dans mes posts, elles ne sont pas exceptionnelles: les intervenants de ce forum comme TB, sipheys, doom, korppi et d'autres, Mag, dessein, dauphin, IDT seraient dans la capacité de le retrouver.
Je n'ai aucune dent contre Zc en principe mais confirme que je suis si différent et des QI 100 et peut-être même de certains qi au dessus ( ce qui ne veut pas dire supérieur) : que je considère ma station sur Zc comme désormais au delà du supportable. Ca fait pas mal de temps que je prends sur moi quand j'y viens. Partagé entre le besoin de contact et la peur de ne pas trouver ce que je cherche en profondeur, dans le cœur ( même si ça passe par le cerveau). parfois c'est l'extase. Mais l'ecstasy est une drogue et le manque prend le pas.
J'espère avoir aidé certains mais le net étant ce qu'il est : j'ai droit à l'oubli. Un forum est un échanges de paroles : elles gardent le statut de s'envoler même si cet hybride nous force à les écrire. Et si le techme incite au contraire : eh bien le techme est rejeté ( voir IDT). Je ne marche dans aucun mysticisme-organisé.
Par conséquent je fais mon boulot d'albatros et je m'envole vers les jets streams qui ne ressemblent pas aux savanes. Je retourne donc à ma solitude mais enrichi des notions apprises sur ce forum ( asperger, solitude, isolement, pote en ciel ;)etc...).
J'ai l'intention de continuer les attroupements et MP macht frei si les modos le veulent bien.
sinon, j'ai filé mon mel aux interessés et on fera autrement.
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lapin- Messages : 1150
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Bon envol ! Je suis content de lire ça, j'ai apprécié de te lire, et tu m'as filé plus de pistes à creuser que je n'ai de temps pour le faire
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Tu t'es trompé de fil
Bon envole lapin albatros (drôle de mélange)
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
...Pas si sûre... !Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit:Tu t'es trompé de fil
Dauphin
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Harpo a écrit:Je me demande s'il ne faudrait pas séparer ce topic entre polémique sur les définitions et question originale de Cyril. Mais bon, on est après tout sur la partie "définitions" du forum.
De toute façon, Cyril comparait HQI et non HQI, il n'avait pas inclus la notion de Z dans sa question. Donc, si l'on entend par Z un HQI qui va mal, qui souffre, donc un sous-ensemble des HQI, on peut en conclure que la souffrance n'est pas un des éléments déterminants de cette différence entre HQI et non HQI.
Ce qui est fort compatible!Harpo a écrit:Dauphin considère l'arborescence de la pensée comme discriminant de base. Quid de tous les HQI qui ne pensent pas être arborescents, ceux que l'on appelle laminaires ?
Lapin propose : horizon temporel différent, mémorisation simultanée, profondeur de vue des tenants et aboutissants et implicites langagiers liés aux trois premiers.
Sinon, bonne question pour les laminaires : ma définition les exclut, mais celle de Lapin aussi...et la tienne également du coup...* j'ai pas compris????????............
L'empathie n'est-elle pas liée à l'exacerbation sensori-émotionnelle? Il y a aussi la théorie des neurones miroirs. Je crois que ces 2 hypothèses orientent vers une caractéristique (plutôt que spécificité) HQI...Harpo a écrit:J'ai envie de rajouter pour ma part :
- plus grande facilité à accepter les rituels sociaux normatifs de passage : enfance, adolescence, adulte. *(Là tu parles des non HQI? Si non, ce sont des HQI-L, pas des -C)
- conséquence : affirmation de soi plus basée sur la reconnaissance des autres et la bonne intégration, *quand le HQI va plutôt travailler son atypisme (malgré lui ?).
- autre conséquence : moins grande capacité (ou goût) à *l'introspection chez le non HQI
- meilleure adaptation aux stimuli extérieurs : *tout ce qui agresse les sens du HQI.
Sauf que j'ai du mal avec les deux premières propositions, qui sont pour moi plus une conséquence du décalage ressenti avec les autres qu'une caractéristique du HQI. C'est l'histoire de la poule et de l'œuf.
La troisième soulève à mon sens deux questions :
- l'hypersensibilité est elle une un point commun à tous les HQI ?
- l'hypersensibilité est-elle une caractéristique uniquement HQI ?
*Autre proposition : le HQI enfant se pose très tôt des questions métaphysiques qui restent souvent non résolues. Pourquoi ? (Ou dans le sens de Cyril : pourquoi les non HQI se poseraient moins de questions ?). Besoin accru de sécurité ? Relation à la peur ? Cela n'est-il pas liée à l'hypersensibilité ? Et a son corollaire : l'empathie ?
D'où : le non HQI serait moins empathique qu'un HQI ? Et si oui, l'empathie n'est-elle pas plus liée au cerveau reptilien qu'aux autres ? N'est-ce pas un des traits que l'on retrouve très fortement chez tous les animaux "sociaux" ? Et qu'est-ce que cela veut dire ?
HSV-HSS: je n'y vois aucun problème éthique (d'ailleurs quand t'en auras trouvé un "bête" dans ce thème... ) dès lors qu'on n'attribue pas de supériorité à quelque catégorie prédéfinie...Harpo a écrit:Ce qui est sûr c'est que j'ai toujours du mal à raisonner à partir du non HQI, ensemble très arbitraire de gens très différents. Mais le jeu me paraît plus intéressant aujourd'hui que quand le fil a été lancé.
J'ai plus de facilité à raisonner en terme de majorité / minorité, donc en terme de décalage. Dans ce cadre la, on pourrait d'ailleurs jouer le même jeu (ou presque) avec les autres minorités :
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et autistes
- différences / ressemblances entre HQI (ou non HQI) et trisomiques
Ps : je préfère encore dire HQI et non HQI que homo sapiens vulgaris et homo sapiens sapiens. Désole, cela doit être un bête problème d'éthique.
Dauphin
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Il n'y a pas 2 espèces, donc on ne peut pas (sauf pour blaguer). Ouais là dessus je suis un peu autiste
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
+1Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit: [Il n'y a pas 2 espèces, donc on ne peut pas (sauf pour blaguer).] Ouais là dessus je suis un peu autiste
...Et moi une vraie tête de ... on n'est pas rendu...!!!!!!!!!!
Dauphin
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Je suis pas près de demordre sur un sujet qui tape dans mon vocabulaire quotidien de boulot
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
- HS pr, de, avec...Darth Tiger KΛLŤĤŲ:
Moi, je ne démords de rien, jamais..........et devant personne........même pas un tigre!!!!!!!!!!!!!!!Darth Tiger KΛLŤĤŲ a écrit:Je suis pas près de demordre sur un sujet qui tape dans mon vocabulaire quotidien de boulotDauphin
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
je me répète : je ne suis pas zèbre , mais je suis hypersensible , j'ai toujours besoin d'être stimulé car je me lasse facilement ,je me réfugie beaucoup dans l'imaginaire et si je suis là c'est pour comprendre nos différences . pour l'hypersensibilité et l'empathie faut croire que certains non-zèbre sont suréquipéHarpo a écrit:La troisième soulève à mon sens deux questions :
- l'hypersensibilité est elle une un point commun à tous les HQI ?
- l'hypersensibilité est-elle une caractéristique uniquement HQI ?
psyché-dream- Messages : 519
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Dauphin, qu'elle est ma définition qui inclurait l'arborescence ? Je me suis relu, et je ne comprends pas. Après, j'aurais tendance à considérer la pensée arborescente comme une caractéristique invariante des HQI. L'image que j'ai du profil laminaire, dans lequel je me suis longtemps reconnu, serait plutôt une inhibition de l'arborescence par répression de l'émotionnel et de l'instinctif au profit du rationnel. Le défaut de ce raisonnement étant que je raisonne surtout là par projection de ma propre expérience... L'arborescence, pour moi, c'est ce qui fait lien.Dauphin a écrit:
Sinon, bonne question pour les laminaires : ma définition les exclut, mais celle de Lapin aussi...et la tienne également du coup...* j'ai pas compris????????............
Oui, bien sur, je parle des non HQI, dans l'esprit proposé par Cyril. Ma formulation est maladroite.Dauphin a écrit:(Là tu parles des non HQI? Si non, ce sont des HQI-L, pas des -C)
D'accord avec ça. Quand je fais une liaison entre hypersensibilité et empathie, je parle bien sur d'exacerbation sensori-émotionnelle. Bon, par contre, quand je parle de cerveau reptilien, je dis surtout des conneries . J'ai failli enlever ce passage tellement j'en étais peu sur, mais je me suis dit qu'à défaut cela me permettrait de mieux comprendre en lisant les réponses. Une caractéristique plus qu'une spécificité ? Oui, je crois.Dauphin a écrit:L'empathie n'est-elle pas liée à l'exacerbation sensori-émotionnelle? Il y a aussi la théorie des neurones miroirs. Je crois que ces 2 hypothèses orientent vers une caractéristique (plutôt que spécificité) HQI...
Ps : je reviens là dessus, je ne suis pas certain du tout que l'empathie soit vraiment liée à l'hypersensibilité en fait... Sauf si l'on considère que c'est le 6ème sens, ou le 7ème .
Je comprends ce que tu dis là, mais j'ai du mal à ne pas y voir, ne serait-ce qu'une once, de sentiment de supériorité, tellement ces termes parlent pour moi d'évolution, de mutation génétique. Je comprends aussi le sens dans lequel Cyril a formulé ces appellations, mais bon...Dauphin a écrit:
HSV-HSS: je n'y vois aucun problème éthique (d'ailleurs quand t'en auras trouvé un "bête" dans ce thème... ) dès lors qu'on n'attribue pas de supériorité à quelque catégorie prédéfinie...
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Psyché-line, je ne sais pas, c'est pourquoi je pose la question. J'aurais tendance à penser, comme Dauphin donc, que hypersensibilité et empathie ne sont pas spécifiques aux HQI. Ou plus exactement, je dirais que ce qui est spécifique au HQI, c'est le mode de défense face à l'agression de l'extérieur due à une hypersensibilité mal régulée.
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Oui là je suis d'accord ,Harpo a écrit:je dirais que ce qui est spécifique au HQI, c'est le mode de défense face à l'agression de l'extérieur due à une hypersensibilité mal régulée.
j'ai remarqué aussi que parfois certain anticipe l'agression ce qui la précipite et je ne dis pas que c'est valable pour tous , mais une simple réflexion est pris parfois pour une agression personnel alors comment bien se faire comprendre pour se préserver des malentendus ? c'est peut être juste une question de sensibilité là aussi
psyché-dream- Messages : 519
Date d'inscription : 01/08/2013
Age : 41
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Ce que je disais c'est que tout ce dont tu parles (qui suit les "*") ne concerne que les HQI-C, donc exclut les-L...Harpo a écrit:Dauphin, qu'elle est ma définition qui inclurait l'arborescence ? Je me suis relu, et je ne comprends pas. Après, j'aurais tendance à considérer la pensée arborescente comme une caractéristique invariante des HQI. L'image que j'ai du profil laminaire, dans lequel je me suis longtemps reconnu, serait plutôt une inhibition de l'arborescence par répression de l'émotionnel et de l'instinctif au profit du rationnel. Le défaut de ce raisonnement étant que je raisonne surtout là par projection de ma propre expérience... L'arborescence, pour moi, c'est ce qui fait lien.Dauphin a écrit:
Sinon, bonne question pour les laminaires : ma définition les exclut, mais celle de Lapin aussi...et la tienne également du coup...* j'ai pas compris????????............
Le plan du "je vais taire mes émotions", j'y crois aussi pour les adultes, on arrive quand même à "sentir" les possibilités émotionnelles...mais n'ai pas assez rencontré de Zébrillons de cette catégorie pour l'affirmer. Ce qui laisse une probabilité d'être HQI non arborescent...mais là, rien à faire, j'adhère pas: je butte je bloque, je bugge!... Peut-être parce qu'on se retrouve alors face au cliché du "petit génie" (qui n'en reste qu'un -cliché-, car par définition, un génie n'est pas "dans le rang")???
T'aurais peut-être dû mettre limbique plutôt que reptilien?...!Harpo a écrit:D'accord avec ça. Quand je fais une liaison entre hypersensibilité et empathie, je parle bien sur d'exacerbation sensori-émotionnelle. Bon, par contre, quand je parle de cerveau reptilien, je dis surtout des conneries . J'ai failli enlever ce passage tellement j'en étais peu sur, mais je me suis dit qu'à défaut cela me permettrait de mieux comprendre en lisant les réponses. Une caractéristique plus qu'une spécificité ? Oui, je crois.Dauphin a écrit:L'empathie n'est-elle pas liée à l'exacerbation sensori-émotionnelle? Il y a aussi la théorie des neurones miroirs. Je crois que ces 2 hypothèses orientent vers une caractéristique (plutôt que spécificité) HQI...
Mais alors, on passerait d' à OGMHarpo a écrit:Ps : je reviens là dessus, je ne suis pas certain du tout que l'empathie soit vraiment liée à l'hypersensibilité en fait... Sauf si l'on considère que c'est le 6ème sens, ou le 7ème .Je comprends ce que tu dis là, mais j'ai du mal à ne pas y voir, ne serait-ce qu'une once, de sentiment de supériorité, tellement ces termes parlent pour moi d'évolution, de mutation génétique. Je comprends aussi le sens dans lequel Cyril a formulé ces appellations, mais bon...Dauphin a écrit:
HSV-HSS: je n'y vois aucun problème éthique (d'ailleurs quand t'en auras trouvé un "bête" dans ce thème... ) dès lors qu'on n'attribue pas de supériorité à quelque catégorie prédéfinie...
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Tu pourrais développer? Suis pas sûre d'avoir compris ce que tu veux dire (ben ouais, déformation pro possible...!)Harpo a écrit:Psyché-line, je ne sais pas, c'est pourquoi je pose la question. J'aurais tendance à penser, comme Dauphin donc, que hypersensibilité et empathie ne sont pas spécifiques aux HQI. Ou plus exactement, je dirais que ce qui est spécifique au HQI, c'est le mode de défense face à l'agression de l'extérieur due à une hypersensibilité mal régulée.
Dauphin
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
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Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Monique de Kermadec m'a répondu :
Je n'ai pas encore la réponse de Jeanne Siaud-Fachin.\"Bonjour, Les tests de QI permettent d'apprécier une douance intellectuelle. Il arrive il est vrai que les résultats soient parfois très peux harmonieux et qu'un diagnostic global ne puisse être fait. On ne négligera pas pour autant le secteur dans lequel la personne a une forte avance.
Présenter un haut QI mais pas de traits surdoué ? Certains vous diront oui , d'autres non. Sans oublier qu' il est possible d'être surdoué dans d'autres domaines que l'intelligence cognitive
Il me paraît plus intéressant d'aborder la douance comme aptitude exceptionnelle dans un domaine plutôt qu'une aptitude générale mise en avant par un chiffre global de QI.
Cordialement,
Monique de Kermadec a écrit:"]
sylveno- Messages : 3360
Date d'inscription : 16/07/2013
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Localisation : loin de tout
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
ben vu ce que j'ai cité de ce qu'elle a écrit...si congruence il y a...il y aura...!
Dauphin
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 49
Localisation : Montélimar
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
... une collecte de fond est-elle nécessaire et/ ou prévue ?sylveno a écrit:
Je n'ai pas encore la réponse de Jeanne Siaud-Fachin.
Zeal- Messages : 31
Date d'inscription : 21/07/2013
Localisation : 3e Galaxie à gauche après les waters
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
EDIT: début de message beaucoup trop arrogant, alors même que je n'ai pas les moyens de mon arrogance.
Je supprime.
Je supprime.
- Spoiler:
Tout ceci pour remercier Zarwin, de cette réflexion, sur les femmes, que j'ai l'impression de n'avoir lue nulle part ailleurs sur ZC.
La pression sociale est effectivement BEAUCOUP plus forte sur les femmes.
Il nous faut soit ruser d'ingéniosité pour passer à travers les gouttes, soit "renoncer à notre statut de fille sympa" (jouer les caméléons, ça me connaît, je suis en quelque sorte payée pour ça et de fait, j'apprends énormément à déjouer, à anticiper et à éviter les pièges.
Renoncement à ce statut de "fille sympa" que l'on attend de moi est extrêmement difficile, mais ma contribution à notre société est à ce prix et je ne rate aucune occasion de "ne pas être sympa" lorsque j'estime que les circonstances l'exigent..
Dernière édition par Fabuliotte le Dim 18 Aoû 2013 - 22:21, édité 1 fois (Raison : Cf. corps de mon message.)
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Bah, la pression sociale pour être un "homme fort, un compétiteur" n'est pas négligeable non plus, vraiment pas, et très pénible quand on ne se sent aucune affinité pour ce rôle, qu'on se sait plutôt du genre hypersensible et fragile. Mais bon, faute de pouvoir expérimenter les deux, on ne peut pas comparer.
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Oui, c'est tout à fait vrai...Fusainposteur a écrit:Bah, la pression sociale pour être un "homme fort, un compétiteur" n'est pas négligeable non plus, vraiment pas, et très pénible quand on ne se sent aucune affinité pour ce rôle, qu'on se sait plutôt du genre hypersensible et fragile. Mais bon, faute de pouvoir expérimenter les deux, on ne peut pas comparer.
Je crois que je suis fatiguée...
Dodo.
Invité- Invité
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
Ce fil est moins "hors projets" que mes conneries sur mes fils
Je veux dire,ême si cette manie en effet de délirer sur tout empêche de faire ces projets que l'on attend tous (sauf les mégalo et les perdus) sans les faire finalement. Mais je ne vois pas en quoi ce fil l'empêche?
Puis au moins il pose la question sans revemir dans le mélodrame des gentils zebres contre les méchants non hqi...
Ce message était une réponse à un message édité, comme je suis sur un tél la flemme de changer...
Je veux dire,ême si cette manie en effet de délirer sur tout empêche de faire ces projets que l'on attend tous (sauf les mégalo et les perdus) sans les faire finalement. Mais je ne vois pas en quoi ce fil l'empêche?
Puis au moins il pose la question sans revemir dans le mélodrame des gentils zebres contre les méchants non hqi...
Ce message était une réponse à un message édité, comme je suis sur un tél la flemme de changer...
Re: Homo sapiens vulgaris, cet inconnu
bah voui suis pas méchante c'est pas une question de QIDarth Tiger a écrit:Puis au moins il pose la question sans revemir dans le mélodrame des gentils zebres contre les méchants non hqi...
psyché-dream- Messages : 519
Date d'inscription : 01/08/2013
Age : 41
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