QI global incalculable >.<

Bon, après, même si l'hétérogénéité de mes résultats permet d'affirmer que je ne suis pas concerné par la "douance" à proprement parler, si je n'ai que quelques zébrures éparses, si je suis zébrule, ça me va comme réponse.

J'ai juste besoin de :
1- Savoir qui je suis.
2- Apprendre à m'aimer, à me comprendre.
3- M'assumer extérieurement, m'ouvrir.

Pour l'instant je suis bloqué au n°1.

Seybrule !!!

Juste mon sentiment : le 1 viendra après 2 et 3... Sois toi-même, et en t'observant agir tu pourras te dire "ah oui donc je suis intelligent, généreux, réfléchi, exigeant, fatigué, etc"
Et à mon avis vu que nous changeons au cours de notre vie, tu sauras parfois qui tu es, et le lendemain tu seras surpris par une facette de toi que tu ne connaissais pas...
De là à penser que la plus grande richesse de la vie c'est soi-même...
Bonne rencontre avec toi !  

Je pense que tu as raison Ise, ça fait trop de temps que je tourne en rond dans la phase 1... enfin que j'avais identifiée comme étant la première.
Il me faut "être"... mais c'est plus facile à dire qu'à faire.  

J'ai débuté un atelier théâtre, qui me semble être un bon complément à mon travail sur moi, je pense que ça ira dans ce sens... apprendre à me mettre en scène... à m'incarner (je ne sais pas si je suis clair là).

Seym, je reviens sur ton 3 : t'assumer extérieurement, t'ouvrir...

Parce que j'ai fait une découverte intéressante récemment. Il y a possibilité de faire du théâtre au lycée. J'ai conseillé à mon grand qui "s'ouvre" et a une belle voix de basse qui porte, de prendre cette option. Il n'en a rien fait.

Parallèlement mon mari s'occupe d'un club théâtre au collège, et le dernier inscrit est un autiste. L'animatrice parle avec beaucoup de sensibilité de ses acteurs en herbe qui se dévoilent à travers l'activité théâtre.

Ma pensée (discutable aujourd'hui, et qui changera sans doute dans le temps) est que le théâtre, comme l'art en général, est un moyen d'expression pour ceux qui ont du mal à s'exprimer dans "la vraie vie"... Il peut donc être considéré comme un élément de thérapie ! Et pour un extraverti on pourrait conseiller le yoga !!!
 

Ise a écrit:Je crains que tu rencontres surtout des distributeurs de cachets, mais si tu tombes bien, ce sera une énorme chance pour toi. Je te souhaite une bonne recherche... 

Je rejoins un peu Ise.

Certains psychiatres prescrivent des médicaments, d'autres pas.
Le mien laissait à ma généraliste le soin de gérer la partie chimique (courte durée, juste le temps de stopper la machine dépressive infernale = 9 mois = une gestation).

L'intérêt des psychiatres est que les consultations sont remboursées par la sécu, ce qui n'est pas rien.

Leur inconvénient : ils pensent pathologies !
Lorsque j'ai commencé à parler au mien de besoin d'intensité et de stimulation intellectuelle il a commencé à me parler d'addiction !

CELA DIT : ce même psychiatre, il y a quelques années m'avait aidée à résoudre le noeud névrotique sur lequel je restais coincée.
Et ça, ça n'a pas de pris.

Je ne pense pas qu'un psychologue soit à la hauteur, pour ce genre de choses.

Et puis je me dis qu'un psychiatre doit voir tellement de choses que ce que je pouvais lui raconter n'était sûrement pas bien méchant...
Je l'imaginais plus "solide" (il a tout de même fait médecine).
C'est très rassurant...

Un psychologue incompétent peut faire des dégâts (un psychiatre aussi... cela dit).

Ce que conseillerais à Seymour c'est effectivement de tester le psychiatre.
Tu sentiras tout de suite si ce qu'elle te propose te convient ou pas.

Et si ce n'est pas le cas, il faudra simplement avoir le courage de dire non !

Merci Fabuliotte pour ton témoignage.

Je me laisse le temps de la réflexion concernant le psychiatre.
Je vais déjà voir ce qui ressortira de ma séance de demain matin avec la neuropsychologue.

Comme l'a dit Ise, il faut que j'agisse, que je sois, avant de chercher à savoir qui je suis ; alors je ne suis pas sûr de l'intérêt d'un psychiatre... sauf s'il me propose une thérapie brève et ciblée sur mes blocages "physiques"... mais je ne me vois absolument pas me relancer dans une psychanalyse, ça c'est sûr.

Sur le problème permanent de procrastination, par exemple, je ne sais pas si le psychiatre peut aider.

Seymour a écrit:alors je ne suis pas sûr de l'intérêt d'un psychiatre... sauf s'il me propose une thérapie brève et ciblée sur mes blocages "physiques"...

Le seul moyen de le savoir est de le rencontrer et de lui poser la question...
Mais effectivement creuser avec un psychiatre et arriver jusqu'au transfert peut prendre du temps...

J'ai dû être en thérapie... facilement 1 an voire 2 avec lui.
Avec un gros épisode dépressif pas rigolo du tout mais... justement fondamental.

La thérapie "brève" évoque pour moi l'idée du régime alimentaire "sans effort" ;-)))))))))))

Bon courage.  

Coucou !
J'ai une question : c'est quoi une neuropsychologue ? (Je connaissais psychologue, psychiatre et psychanalyste, c'est tout)
 

Ise a écrit:Coucou !
J'ai une question : c'est quoi une neuropsychologue ? (Je connaissais psychologue, psychiatre et psychanalyste, c'est tout)
 

C'est une spécialisation de la psychologie il me semble, j'avoue que je ne me suis pas posé la question  , mon ancienne psychologue m'a conseillé de passer le test WAIS et de me rapprocher d'une neuropsychologue pour le faire... j'en ai donc cherché une sans me demander ce qui se cachait derrière ce titre.

J'ai trouvé ça : http://www.neuropsychologie.fr/index.php?/page/index.html/_/nos-fiches-conseils/pour-les-etudiants/la-profession-de-psychologue-sp%C3%A9cialis%C3%A9-en-neur-r224

Seymour a écrit:

Ise a écrit:Coucou !
J'ai une question : c'est quoi une neuropsychologue ? (Je connaissais psychologue, psychiatre et psychanalyste, c'est tout)
 

C'est une spécialisation de la psychologie il me semble, j'avoue que je ne me suis pas posé la question  , mon ancienne psychologue m'a conseillé de passer le test WAIS et de me rapprocher d'une neuropsychologue pour le faire... j'en ai donc cherché une sans me demander ce qui se cachait derrière ce titre.

En voilà une piste intéressante...

Merci pour le lien Seym
Oui en effet il y aurait différentes spécialisations dans les études de psychologie; Sur le coup je trouvais redondant d'ajouter neuro devant psychologue, car il me semblait "évident"(!) qu'un psychologue s'occupait de ce qu'on avait dans la tête !

Liste des masters Professionnels en psychologie (ce qui était avant les DESS)
Mise à jour 22 juillet 2005


 UNIVERSITE D'AIX-EN-PROVENCE

Master professionnel : Psychologie Sociale du Travail et des Organisations
Master professionnel : Orientation Scolaire et Professionnelle
Master professionnel : Psychologie de l'Enfance de l'Adolescence et du Vieillissement
Master professionnel : Psychologie clinique et Psychanalyse
Master professionnel : Psychologie clinique et de Psychopathologie
Master professionnel : Psychologie des Perturbations Cognitives
Master professionnel : Psychologie sociale de la Santé
Master professionnel : Ergonomie cognitive

 UNIVERSITE D'AMIENS

Master professionnel : FACTEURS HUMAINS ET SYSTEMES DE TRAVAIL
Master professionnel : Psychologie spécialité pathologie, dysfonctionnements et déficits
Master professionnel : PSYCHOLOGIE DE LA PERSONNE DEFICIENTE

 UNIVERSITE D'ANGERS

Master professionnel : Neuropsychologie
Master professionnel : Psychologie clinique : clinique sociale
Master professionnel : psychologie gérontologique

 UNIVERSITE DE BESANCON

Master professionnel : Psychologie clinique et psychopathologique
Master professionnel : en psychologie de l'enfance et de l'adolescence
Master professionnel : management des relations humaines : prévention conflits

 UNIVERSITE DE BORDEAUX II

Master professionnel : psychologie clinique option gérontologie
Master professionnel : psychologie clinique option neuropsychologie
Master professionnel : psychologie clinique option psychopathologie
Master professionnel : psychologie clinique option psychologie de la santé
Master professionnel : psychologie de l'enfance et de l'adolescence
Master professionnel : psychologie du travail et de la vie sociale option psycho sociale conseil études appliquées
Master professionnel : psychologie du travail et de la vie sociale option psychologie du travail

 UNIVERSITE DE BREST

Master professionnel : Psychologie Sociale des Représentations : études qualitatives et quantitatives
Master professionnel : Psychologie du vieillissement normal et pathologique
Master professionnel : PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET PATHOLOGIQUE Psychopathologie des déviances et des exclusions

 UNIVERSITE DE CAEN

Master Professionnel

Spécialité Psychologie clinique et pathologique
Spécialité Psychologie du développement de l'enfant et de l'adolescent
Spécialité Psychologie sociale du travail et des organisations
Spécialité Neuropsychologie

 UNIVERSITE DE CHAMBERY

Master professionnel : Neuropsychologie
Master professionnel : Enfant et Adolescent : prévention et prise en charge

 UNIVERSITE DE CLERMONT-FERRAND II

Master professionnel : Ingénierie de la Formation et de l'Insertion Professionnelle
Master professionnel : Enfance et Psychologie Scolaire
Master professionnel : Troubles cognitifs et socio-cognitifs, inadaptations et excusions

 UNIVERSITE DE DIJON

Master professionnel : PSYCHOLOGIE CLINIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIQUE
Master professionnel : Psychologie du développement et troubles de l’apprentissage
Master professionnel : Psychologie du Travail : Management des Relations Humaines
Master professionnel : Psychologie cognitive : Ingénierie des Apprentissages en Formation Professionnelle et Nouvelles Technologies

 UNIVERSITE DE GRENOBLE II

Master professionnel : Psychologie Clinique et Pathologique
Master professionnel : Psychologie du travail

 UNIVERSITE DE LILLE III

Master professionnel : Neuropsychologie clinique, évaluation périchirurgicale et réhabilitation cognitive
Master professionnel : Psychologie de l'enfance et de l'adolescence et analyse appliquée du comportement
Master professionnel : Psychologie du Travail et des Organisations
Master professionnel : Psychologie des interventions cognitivo-comportementales, éducatives et sociales
Master professionnel : Psychopathologie clinique et santé
Master professionnel : Conduites addictives et sciences humaines

 UNIVERSITE DE LYON II

Master professionnel : Psychopathologie et Psychologie Clinique Parcours professionnel Clinique du Somatique
Master professionnel : Psychopathologie et Psychologie Clinique Parcours professionnel Clinique de la Formation
Master professionnel : Psychopathologie et Psychologie Clinique Parcours professionnel Psychopathologie Clinique
Master professionnel : Psychologie Clinique de la Santé, du Vieillissement et du Handicap
Master professionnel : Psychologie Clinique de la Santé, du Vieillissement et du Handicap
Master professionnel : Psychologie du travail et du lien social Parcours professionnel psychologie du Travail et des Organisations
Master professionnel : Psychologie du travail et du lien social Parcours professionnel psychologie du lien social et de l'intervention psychosociale
Master professionnel : Psychologie du développement socio-cognitif et des pratiques interculturelles
Master professionnel : Psychologie du développement socio-cognitif et des pratiques interculturelles Parcours professionnel psychologie des relations et des pratiques interculturelles
Master professionnel : Sciences Cognitives

 UNIVERSITE DE METZ

MASTER Psychologie (spécialité Psychologie de la santé et psychologie clinique)

MASTER Psychologie (spécialité Psychologie du travail et ergonomie)

 UNIVERSITE DE MONTPELLIER III

Le Master Professionnel -Psychologie Clinique, Psychopathologie et Santé Mentale

Le Master Professionnel -Psychopathologie et Neuropsychologie du Vieillissement

Le Master Professionnel - Psychologie Clinique et psychopathologie du Sportif

Le Master Professionnel - Développement, Education, Handicap

Le Master Professionnel -Psychologie du Travail et des Organisations

 UNIVERSITE DE NANCY II

Psychologie clinique, normale et pathologique

Psychologie du développement et de l'éducation

Psychologie du travail et ergonomie

 UNIVERSITE DE NANTES

Une orientation " Professionnelle" avec trois spécialités :

"Psychologie clinique et pathologique : clinique freudienne du lien social"

- "Psychologie de l'enfant : interactions, développement et dysfonctionnements"

- "Psychologie sociale et du travail : Pratiques d'intervention psycho-sociologique dans les Organisations".

 UNIVERSITE DE NICE

- Psychologie du travail et ingénierie des ressources humaines
- Ergonomie cognitive des N.T.I.C.
- Psychologie clinique et pathologique
- Psychologie clinique et gérontologique
- Psychopathologies interculturelles et psychologie clinique des situations de crise
- Psychologie et neuropsychologie du développement et des fonctionnements cognitifs

 UNIVERSITE DE PARIS V

Master professionnel Sciences humaines et sociales Mention Psychologie et psychopathologie

Master professionnel Sciences humaines et sociales Mention Psychologie, spécialité : travail et vie sociale

 UNIVERSITE DE PARIS VII

Psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent

 Psychopathologie de l'adulte

 Psychopathologie du somatique

 Psychopathologie de la violence

 UNIVERSITE DE PARIS VIII


spécialité Psychologie clinique, psychopathologie et psychothérapie (en présentiel et à distance)
spécialité Psychologie du développement et de l’éducation
spécialité Psychologie sociale et ressources humaines (en présentiel et à distance)
spécialité Ergonomie cognitive et TIC

 UNIVERSITE DE PARIS X

Voir le site pour le detail

 UNIVERSITE DE PARIS XIII

http://www.univ-paris13.fr/form/domaine_form.php?id=20

 UNIVERSITE DE POITIERS

http://www.univ-poitiers.fr/rubrique/catalogue-formation/fiche_formation.asp?codesise=20043070

 UNIVERSITE DE REIMS

PSYCHOLOGIE spécialité (P) Psychologie clinique et pathologique

PSYCHOLOGIE spécialité (P) Psychologie de l'économie et de l'insertion professionnelle

PSYCHOLOGIE spécialité (P) Psychologie de l'enfance et de l'adolescence

 UNIVERSITE DE RENNES II

Psychologie clinique et pathologique (PDF)
Cliniques criminologiques et victimologiques
Psychologie du travail et ingénierie psychologique (PDF)
Psychologie sociale et communautaire de la santé (PDF)
Adaptation et intégration scolaire et sociale (PDF)

 UNIVERSITE DE ROUEN

voir site de la fac


 UNIVERSITE DE STRASBOURG ULP

Psychologie du développement : enfance et déficience, P
Psychologie et psychopathologie clinique, P
Psychologie sociale : organisation et travail, P
Neuropsychologie cognitive clinique, P

 UNIVERSITE DE TOULOUSE II

Psycho-gérontologie
Psychologie de la Santé
Psychologie du Développement, de l'Enfant et de l'Adolescent
Psychologie Sociale, du Travail et des Organisations
Psychologie Interculturelle et Pratiques Educatives
Psychopathologie et Clinique
Ergonomie Cognitive et Ingénierie Linguistique

 UNIVERSITE DE TOURS

Mention : Psychologie, cognition, développement
Spécialité : Promotion et gestion de la santé
Spécialité : Psychologie gérontologique normale et pathologique
Spécialité : Psychologie de l'enfant et de l'adolescent : socialisation, éducation…
Spécialité : Psychopathologie et psychologie clinique
Spécialité : Psychologie du travail et des organisations

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ouf

J'avais compris que la neuropsychologie était une psychologie refondée sur la base des découvertes scientifiques en neurologie.
Ainsi l'objectif est que les théories doivent être en accord avec l'état de la science avant d'envisager une part interprétative.
Il s'agit selon ma perception d'une tentative de ne plus laisser la psychologie évoluer par courants idéologiques concurrent, mais de la guider grâce à une démarche scientifique..

Mouip, mais parmi tous les diplômés en neuropsychologie qui sortent chaque année, combien vont se tenir au courant au long de leur carrière des évolutions scientifiques ? La véritable spécialité scientifique est la neurologie. Pour moi les psychologues ont un rôle différent

Il existe aussi une approche neuropsychanalytique, avec les travaux de gens comme Mark Solms, Eric Kandel, Lionel Naccache, Pierre Magistretti ou François Ansermet.

A mon avis, les psy*** ne peuvent plus faire l'impasse sur l'évolution des neurosciences. Ceux qui le font sont dogmatiques, et s'exposent à terme à devenir incompétents, voire dangereux.

Ouip c'est un peu ce que je voulais dire quand j'ai écrit que neuro-psy me semblait un pléonasme. Il me paraît indispensable de s'occuper des neurosciences mais peut-on faire passer des tests annuels aux psys pour s'assurer qu'ils se sont informés
C'est pareil pour toutes les professions remarque, sans quoi on se sent (et on nous considère comme) dépassé...

Bonjour,

Je suis allé voir la neuropsychologue (psychologue spécialisée en neuropsychologie donc  ) qui m'a expliqué la conclusion de mon test.

Elle m'a dit que quand les résultats sont trop hétérogènes pour calculer un QI global, c'est l'indice le plus élevé qui est pris en compte.
Dans mon cas, c'est le 143 d'ICV, qui est donc supérieur à 130 et qui lui a permis de conclure à une précocité... elle m'a assuré que c'était sûr à 100%, que sont bien les critères officiels et non une interprétation de sa part.

Elle a ajouté que comme j'avais systématiquement mieux répondu plus le niveau de difficulté augmentait, en toute logique mes erreurs aux items plus simples étaient liées à une fluctuation attentionnelle. De plus, j'ai été sanctionné par mes réponses données "hors temps", or elle a admis avoir oublié de me prévenir quand il y avait un temps maximum de réflexion... ce qui a biaisé le test.

Enfin voilà...

HEY HEY SEYMOUR !!! Ca se fête ! Trop contente pour toi          

Merci Ise.  

Elle m'a fortement conseillé un de ses confrères qui pratique une méthode nommée MLC pour "Méthode de Libération des Cuirasses".  

Si quelqu'un s'y est déjà intéressé, des avis m'intéresseraient.

Skiouzmi mais rien que le nom me plait    
Je reste à l'écoute donc
Bon WE

Bonjour Seymour, je me reconnais énormément dans tes posts, moi aussi mes aspirations à la perfection et ma pensée non-stop m'ont perdue, et j'ai lamentablement raté le test (plus que toi, je n'ai aucun indice au dessus de 124, et l'indice le plus haut est la vitesse de traitement) j'ai également réussit les tâches le plus dures (la restitution à l'envers etc).. Même sentiment d'abandon et de déception et de dégoût de moi même. Ce que je lis ici me rassure un peu, mais j'ai fui le forum pendant des semaines parce que je ne me sentais pas "légitime". Je pense que c'est une question de Psy, si tu ne tombes pas sur le bon, ou la bonne, il y a des conséquences. (Par exemple, ma psy avait également omis de me prévenir pour le délais maximum de réflexion) Je suis contente pour toi si tes résultats sont plus clairs en tous cas, j'imagine que tu dois être soulagé !

Ps : Le MLC tu dis ? Ca m'intéresse...

La MLC  a été créé par Marie-Lise Labonté, psychothérapeute canadienne.

http://www.marieliselabonte.com/

http://www.amazon.fr/Au-coeur-notre-corps-cuirasses/dp/2761915364/ref=sr_1_6?ie=UTF8&qid=1381696071&sr=8-6&keywords=lise+labonte

J'ai lu son livre, que j'ai trouvé très instructif.
Mais n'ai pas trouvé de praticien/ne dans ma région.

Sauf erreur, Thésèse Bertherat en a tiré antigymnastique.
Mais même chose, pas trouvé de praticien dans ma région.

Bonjour Wa !

Je ne me sens toujours pas légitime ici, et je ne suis pas sûr d'y parvenir un jour.  

En plus, je vois une nouvelle psychologue avec laquelle je travaille sur la base de mon WAIS (vu que la neuropsy m'a abandonné ).
Pour elle, on ne peut pas parler de haut potentiel, de douance - peu importe le terme -, sans résultats homogènes supérieurs à 130 (prends ça dans les dents  ).

Mais bon, je commence à réussir à me foutre des étiquettes... de toute façon je suis bien obligé.  

L'important, c'est que son analyse de mes résultats semble cohérente avec la conclusion de la neuropsychologue : j'ai mis en place une mécanisme de défense par l'intellectualisation qui bride totalement tout ce qui relève de l'émotionnel, de l'intuitif.

Selon elle, le fait que mon ICV soit si élevé démontre que je me sens beaucoup plus à l'aise dans l'analyse distante, quand je peux développer verbalement mon raisonnement. A contrario, dans les exercices permettant de calculer l'IRP, je me suis senti beaucoup plus sous pression, jugé sur mes capacités cérébrales "instantanées", le contexte était plus anxiogène, et l'intellectualisation m'a desservit (beaucoup de réponses données hors temps).
Ca rejoint la conclusion orale de la neuropsy, qui m'avait dit que mes résultats traduisait un manque de confiance en moi, en mes capacités intuitives, instinctives, en mon raisonnement émotionnel... pour preuve : plus les items étaient complexes, moins je pouvais intellectualiser, mieux je répondais.

Donc finalement tout ça semble cohérent, et c'est bien ce système de défense par l'intellectualisation que je dois défaire... et réapprendre à ressentir, à penser et agir intuitivement, à me réconcilier avec mes émotions (et à les dompter, c'est ça qui me fait le plus peur).

La MLC semble donc parfaitement adaptée, mais aussi le théâtre par exemple, je vais donc continuer dans cette voie, m'impliquer dans mon atelier d'impro et je devrais réussir à avancer.

La psy veut me faire passer un autre type de test, plus axé sur l'imagination que sur l'intellect... je dois la voir jeudi pour ça.

Enfin voilà, ça avance petit à petit même si les progrès ne sont pas fulgurants.

Si quelqu'un à des conseils de méthodes ou de lectures pouvant m'aider à me réconcilier avec mes émotions... je suis preneur.
On m'a déjà parlé de la DEE (Dynamique Emotionnelle Exprimée) : http://dynamique-emotionnelle.com/approche.php