Quand l'adversité vous renvoie votre condition
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Quand l'adversité vous renvoie votre condition
ah ah ah
avec un titre pareil, on se dit tout de suite...waouh ce topic risque de traiter d'une questions métaphilosophicosociale de haute importance...desolé de vous décevoir mais je n'ai nullement prétention de flirter avec les haute sphères de la pensée, ni voguer dans les voltiges de l'intellectuel...je voudrais parler de MA condition;
cas clinique N°1: patient Beufasupa. 30 ans. zebrotesté depuis peu
exposé de la problématique
Le patient Beufasupa est à la fois décu et perturbé.
déçu dans le sens où on l'entends généralement
perturbé dans la mesure où il tangue entre deux questionnements. Soit ils disent vrai, soit il se plante et je ne sais qu'en faire..
ne voulant jouer sur vos nerfs en gravitant autour de mon sujet sans aller droit au but, je dirais tout simplement ceci:
"ca commence à me gonfler menu que des personnes ayant connaissance de ma triste condition d'HP me ramenent à chacune de mes phrases, chacun de mes agissements que: c'est par ce que tu es HP"
Pour être encore plus précis, je dirais que depuis que j'ai fait mon coming out intellectuel a certains proches (et chuck norris sait qu'il ne sont pas nombreux), il y'a environ 3 mois, je n'en ai jamais fait aucune allusion depuis....je n'evoque pas le sujet...j'y réponds que si on me pose des questions..bref je n'en parle JAMAIS a l heure actuelle...pourtant je ne passe pas une journée (c'est un peu exagéré) sans qu'on me dise:
- faut pas que tu prennes le melon
- tu es bcq plus agressif depuis que tu sais...
-etc...
c'est comme si quoi que je fasse, on me ramènerait à CA.....
Pourquoi lorsque je n'étais encore qu'un chien fou dans un esprit tordu, on ne me disait rien...? prenez le même et diagnostiqué le et là c'est reproches sur critiques en passant par des discours moralisateurs..." ne t'enfermes pas dans ça"
si encore j'en parlais, je pourrais comprendre que ca saoule.....les autres, mais JE NE DIS RIEN
ma foi l 'avantage pour moi d'etre HP, c'est que maintenant les gens s'autorisent davantage a dire ce qu il pense de moi (avant gt bizarre mais les gens disaient rien)....C'est vraiment bien, les gens sont plus honnêtes et n'hésites pas a y aller dans le reproches...et si j'ose me lever contre la foule.....qu'est ce qu on me dit? arretes de t'énerver, acceptes l'opinion des autres et ne t'enfermes pas dans tout ca parceque tu vas prendre le melon...
Questions à mes virtuels camarades:
regrettez vous d'en avoir parler?
ne préfériez- vous pas l'époque où les gens vont trouvez juste bizarre?
si j'ai compris le pourquoi de ma solitude existentielle? est ce au prix de la vivre davantage maintenant?
ET LE PIRE!!!! C'est que mon topic est cousu de fautes!!!!!
avec un titre pareil, on se dit tout de suite...waouh ce topic risque de traiter d'une questions métaphilosophicosociale de haute importance...desolé de vous décevoir mais je n'ai nullement prétention de flirter avec les haute sphères de la pensée, ni voguer dans les voltiges de l'intellectuel...je voudrais parler de MA condition;
cas clinique N°1: patient Beufasupa. 30 ans. zebrotesté depuis peu
exposé de la problématique
Le patient Beufasupa est à la fois décu et perturbé.
déçu dans le sens où on l'entends généralement
perturbé dans la mesure où il tangue entre deux questionnements. Soit ils disent vrai, soit il se plante et je ne sais qu'en faire..
ne voulant jouer sur vos nerfs en gravitant autour de mon sujet sans aller droit au but, je dirais tout simplement ceci:
"ca commence à me gonfler menu que des personnes ayant connaissance de ma triste condition d'HP me ramenent à chacune de mes phrases, chacun de mes agissements que: c'est par ce que tu es HP"
Pour être encore plus précis, je dirais que depuis que j'ai fait mon coming out intellectuel a certains proches (et chuck norris sait qu'il ne sont pas nombreux), il y'a environ 3 mois, je n'en ai jamais fait aucune allusion depuis....je n'evoque pas le sujet...j'y réponds que si on me pose des questions..bref je n'en parle JAMAIS a l heure actuelle...pourtant je ne passe pas une journée (c'est un peu exagéré) sans qu'on me dise:
- faut pas que tu prennes le melon
- tu es bcq plus agressif depuis que tu sais...
-etc...
c'est comme si quoi que je fasse, on me ramènerait à CA.....
Pourquoi lorsque je n'étais encore qu'un chien fou dans un esprit tordu, on ne me disait rien...? prenez le même et diagnostiqué le et là c'est reproches sur critiques en passant par des discours moralisateurs..." ne t'enfermes pas dans ça"
si encore j'en parlais, je pourrais comprendre que ca saoule.....les autres, mais JE NE DIS RIEN
ma foi l 'avantage pour moi d'etre HP, c'est que maintenant les gens s'autorisent davantage a dire ce qu il pense de moi (avant gt bizarre mais les gens disaient rien)....C'est vraiment bien, les gens sont plus honnêtes et n'hésites pas a y aller dans le reproches...et si j'ose me lever contre la foule.....qu'est ce qu on me dit? arretes de t'énerver, acceptes l'opinion des autres et ne t'enfermes pas dans tout ca parceque tu vas prendre le melon...
Questions à mes virtuels camarades:
regrettez vous d'en avoir parler?
ne préfériez- vous pas l'époque où les gens vont trouvez juste bizarre?
si j'ai compris le pourquoi de ma solitude existentielle? est ce au prix de la vivre davantage maintenant?
ET LE PIRE!!!! C'est que mon topic est cousu de fautes!!!!!
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
on s'en fout de tes fautes, je peux rivaliser avec toi a ce niveau si tu veux !
Tu sais bien que la plupart des gens ont des idées bien arrêtées sur les HP
donc au delà de ce que tu peux éprouvé toi, 'ils' ont ressentis plusieurs choses face a ''ton coming out'' les renvoyant a eux même.
C'est d'eux qui parlent a travers toi, via leurs remarques ou leurs critiques ou que sais-je...
Parce qu'en parler n'est pas simplement dire : je suis HP . Il faudrait expliquer tout ce que ca inclus et pourquoi tu as eu besoin d'en parler .
les gens s'en foutent la plupart du temps, ou pire jalouse ce dont ils ne connaissent pas la porté.
Du coup oui tu peux encore plus te renfermer ou restreindre ton cercle amical.
mais c'est pas la solution, ( dit une asociale) je crois que tu dois prendre sur toi et aller au devant de leurs remarques, savoir leur répondre pour qu'ils apprennent a t'accepter comme tu es.
et tant mieux pour les remarques qu'ils osent enfin te faire, ca facilite le dialogue vous savez de quoi il en est et vous pouvez avancer dans la communication.
Tu sais bien que la plupart des gens ont des idées bien arrêtées sur les HP
donc au delà de ce que tu peux éprouvé toi, 'ils' ont ressentis plusieurs choses face a ''ton coming out'' les renvoyant a eux même.
C'est d'eux qui parlent a travers toi, via leurs remarques ou leurs critiques ou que sais-je...
Parce qu'en parler n'est pas simplement dire : je suis HP . Il faudrait expliquer tout ce que ca inclus et pourquoi tu as eu besoin d'en parler .
les gens s'en foutent la plupart du temps, ou pire jalouse ce dont ils ne connaissent pas la porté.
Du coup oui tu peux encore plus te renfermer ou restreindre ton cercle amical.
mais c'est pas la solution, ( dit une asociale) je crois que tu dois prendre sur toi et aller au devant de leurs remarques, savoir leur répondre pour qu'ils apprennent a t'accepter comme tu es.
et tant mieux pour les remarques qu'ils osent enfin te faire, ca facilite le dialogue vous savez de quoi il en est et vous pouvez avancer dans la communication.
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
Je n'ai fait de coming-out qu'à un aréopage extrêmement choisi et limité.
Comme toi, hormis à mes parents et à Maly bien évidemment, je n'en ai pas reparlé une seule fois depuis.
Je ne me suis heurté à aucune réaction telle que tu les décris. J'imagine à quel point ça doit être exaspérant. On dirait que cet entourage te prend de haut parce qu'avec cette information (le diagnostic), ils s'imaginent désormais "tout comprendre" avec la réponse-tampon-fourre-tout : ah mais c'est à cause de son truc. Au lieu de se poser des questions, ils l'utilisent comme réponse toute faite et comme solution de facilité.
Je ne sais pas trop quoi te conseiller. Peut-être rentrer dans le lard en faisant remarquer à l'un d'eux que c'est lui qui a changé d'attitude et pas toi.
Comme toi, hormis à mes parents et à Maly bien évidemment, je n'en ai pas reparlé une seule fois depuis.
Je ne me suis heurté à aucune réaction telle que tu les décris. J'imagine à quel point ça doit être exaspérant. On dirait que cet entourage te prend de haut parce qu'avec cette information (le diagnostic), ils s'imaginent désormais "tout comprendre" avec la réponse-tampon-fourre-tout : ah mais c'est à cause de son truc. Au lieu de se poser des questions, ils l'utilisent comme réponse toute faite et comme solution de facilité.
Je ne sais pas trop quoi te conseiller. Peut-être rentrer dans le lard en faisant remarquer à l'un d'eux que c'est lui qui a changé d'attitude et pas toi.
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
Pour le moment j'ai vraiment l impression que ce sont les autres qui changent...et l'expression "tampon-fourre-tout" me convient beaucoup..
par exemple:
Avant : Fabrice (c moi) on peut faire confiance à sa mémoire!!!!
Après: oui oui on le sait que tu retiens tout
Avant: fabrice, à la moindre idée, il percute et part dans sa philosophie
après: ne le relance pas, il vas encore partir pour des heures
Avant: tu as les capacités pour le faire, je minquiètes pas
Après: avec ton niveau tu pourrais mieux quand même!!!
J'en ai plein des exemples...alors vous me direz que c'est peut etre prematurée (vu que tt cela est recent).il faut peut etre que je laisse egalement le temps de la digestion pour tout le monde...pourquoi pas, mais je ne veux pas laisser s'enterenier quelque chose que je ne trouve pas juste..car encore une fois, je ne dis rien
par exemple:
Avant : Fabrice (c moi) on peut faire confiance à sa mémoire!!!!
Après: oui oui on le sait que tu retiens tout
Avant: fabrice, à la moindre idée, il percute et part dans sa philosophie
après: ne le relance pas, il vas encore partir pour des heures
Avant: tu as les capacités pour le faire, je minquiètes pas
Après: avec ton niveau tu pourrais mieux quand même!!!
J'en ai plein des exemples...alors vous me direz que c'est peut etre prematurée (vu que tt cela est recent).il faut peut etre que je laisse egalement le temps de la digestion pour tout le monde...pourquoi pas, mais je ne veux pas laisser s'enterenier quelque chose que je ne trouve pas juste..car encore une fois, je ne dis rien
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
parcours le topic sur l'annonce de la zébritude.
Il faut faire attention à qui on l'annonce.
Ce qui ressort de ça, au final, ce sont des préjugés et de la jalousie, c'est tout... mais bon...
ça leur passera sans doute si tu continues à ne pas en parler et si ils te soulent trop, bah tu leur dis que ce n'est pas toi qui en parle en permanence mais eux.
Il faut faire attention à qui on l'annonce.
Ce qui ressort de ça, au final, ce sont des préjugés et de la jalousie, c'est tout... mais bon...
ça leur passera sans doute si tu continues à ne pas en parler et si ils te soulent trop, bah tu leur dis que ce n'est pas toi qui en parle en permanence mais eux.
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
vega: je les déjà dit (que ce n'est pas moi qui en parle en permanence) et conmpte bien continuer..
par moments, je me dis que leurs discours reflètent ce qu'aurait été leur vécu si il avaient été à ma place...mais pas le mien
par moments, je me dis que leurs discours reflètent ce qu'aurait été leur vécu si il avaient été à ma place...mais pas le mien
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
ça sent la jalousie tout ça!
Pour ma part je ne l'ai dit à personne. tellement à personne qu'un moment j'avais moi même oublié que je l'étais, c'est pour dire
j'ai deux conseils :
la fuite : tu leur dis que tu as fait un contre test et que finalement tu n'es pas HP, ils s'étaient trompés, et tu es super triste car tu y croyais.
le dialogue : tu les prends un par un et tu parles. à mon avis, il y a de la jalousie mais aussi et surtout de la peur. genre "c'est un surdoué!! ça se trouve il sait lire dans les pensées! ça se trouve il décode tout ce que je dis et sait ce que je pense! ça se trouve, il me trouve super bête! ça se trouve, il se prend pour quelqu'un de superieur..." et la peur s'exprime souvent par de l'agressivité. cette agressivité dont tu parles.
Pour ma part je ne l'ai dit à personne. tellement à personne qu'un moment j'avais moi même oublié que je l'étais, c'est pour dire
j'ai deux conseils :
la fuite : tu leur dis que tu as fait un contre test et que finalement tu n'es pas HP, ils s'étaient trompés, et tu es super triste car tu y croyais.
le dialogue : tu les prends un par un et tu parles. à mon avis, il y a de la jalousie mais aussi et surtout de la peur. genre "c'est un surdoué!! ça se trouve il sait lire dans les pensées! ça se trouve il décode tout ce que je dis et sait ce que je pense! ça se trouve, il me trouve super bête! ça se trouve, il se prend pour quelqu'un de superieur..." et la peur s'exprime souvent par de l'agressivité. cette agressivité dont tu parles.
B!- Messages : 1898
Date d'inscription : 16/07/2010
Age : 41
Localisation : Ile de France
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
Ça sent l’empathie « bad » tout ça : distant ou fusionnel (allusion à mon post sur les pièges de l'empathie) . Je dirais, personnellement moi-même, de revenir à quelque chose de plus ‘proche’ et ‘distinct’ du genre :
- « c'est bon je suis peut-être HP mais je suis pas Einstein »
- « tu sais je connais plein de gens qu’ont des amis HP ça a pas changé leur vie »
- « d'accord peux-être qu’au test de truc j’ai été bon mais au test de machin j'ai été moins bon dc calmos »
(m... je suis pas zebrotesté... je deviens hyper-fusionnel... )
- « c'est bon je suis peut-être HP mais je suis pas Einstein »
- « tu sais je connais plein de gens qu’ont des amis HP ça a pas changé leur vie »
- « d'accord peux-être qu’au test de truc j’ai été bon mais au test de machin j'ai été moins bon dc calmos »
(m... je suis pas zebrotesté... je deviens hyper-fusionnel... )
gaffrig- Messages : 87
Date d'inscription : 09/06/2010
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
Non mais ça se calme au bout d'un moment, moi ça va bientôt faire un an, et franchement au début, bien qu'ayant choisi très minutieusement les personnes proches à qui j'en ai parlé, j'ai eu un petit passage de regret. Au fil du temps, et quelques discussions plus approfondies en tête à tête autour d'un cubi de rouge ( ), ils ont fini par comprendre que ça ne changeait rien à rien et surtout que je ne les prenais pas pour des débiles. Le seul truc chiant, c'est que je ne peux plus leur faire le coup du "hum... je ne comprends pas comment marche ce truc, tu veux bien le faire à ma place?" (en parlant de l'aspirateur, du robot mixeur, ou autre élément technique domestique pénible à utiliser...).
Invité- Invité
Re: Quand l'adversité vous renvoie votre condition
Coucou,
Lorsque j'en ai fait part à quelques proches, je me suis trouvée face à deux types de réactions:
1/ "J'ai toujours su que t'étais un peu différente" (heureusement c'était dit dans le bon sens!). J'ai vraiment eu l'impression que ces personnes de mon entourage (en l'occurrence des amies minutieusement choisies) ont été, presqu'autant que moi, soulagées de pouvoir mettre un mot sur certaines choses qui leur échappaient bien qu'elles les avaient acceptées.
2/ des réactions de négation, du type "ce n'est pas de là que viennent tous tes questionnements" (réaction venant d'une personne suffisamment proche puisqu'elle connaissait tous mes questionnements).
Ma conclusion manichéenne est de dire:
- les personnes qui t'acceptent tel que tu es ont plutôt un accueil favorable et sont contents que tu puisses mettre des mots sur tes maux.
- celles qui peuvent réagir de manière blessante sont peut être celles qui n'ont jamais vraiment compris ta différence. Ça ne veut pas dire qu'elles ne t'aiment pas mais simplement qu'elles bloquent sur un truc et peuvent involontairement te faire du mal.
- dans mon délire un peu parano, je n'exclus pas non plus une certaine jalousie de la part de certaines personnes (ça je l'ai rencontré une fois avec une personne mal choisie).
La morale de ma conclusion est de dire: prudence et sélection stricte.
L'illogisme de ma morale c'est qu'avec notre naïveté "essentielle", on se trompe souvent dans notre sélection...
Ainsi soit-il!
Lorsque j'en ai fait part à quelques proches, je me suis trouvée face à deux types de réactions:
1/ "J'ai toujours su que t'étais un peu différente" (heureusement c'était dit dans le bon sens!). J'ai vraiment eu l'impression que ces personnes de mon entourage (en l'occurrence des amies minutieusement choisies) ont été, presqu'autant que moi, soulagées de pouvoir mettre un mot sur certaines choses qui leur échappaient bien qu'elles les avaient acceptées.
2/ des réactions de négation, du type "ce n'est pas de là que viennent tous tes questionnements" (réaction venant d'une personne suffisamment proche puisqu'elle connaissait tous mes questionnements).
Ma conclusion manichéenne est de dire:
- les personnes qui t'acceptent tel que tu es ont plutôt un accueil favorable et sont contents que tu puisses mettre des mots sur tes maux.
- celles qui peuvent réagir de manière blessante sont peut être celles qui n'ont jamais vraiment compris ta différence. Ça ne veut pas dire qu'elles ne t'aiment pas mais simplement qu'elles bloquent sur un truc et peuvent involontairement te faire du mal.
- dans mon délire un peu parano, je n'exclus pas non plus une certaine jalousie de la part de certaines personnes (ça je l'ai rencontré une fois avec une personne mal choisie).
La morale de ma conclusion est de dire: prudence et sélection stricte.
L'illogisme de ma morale c'est qu'avec notre naïveté "essentielle", on se trompe souvent dans notre sélection...
Ainsi soit-il!
Lily- Messages : 10
Date d'inscription : 14/07/2010
Age : 42
Localisation : Nancy de fait, Rennes de coeur
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