Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
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Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Bonjour bonjour,
Je viens à vous plein de doutes.
J'ai 27 ans et suis tombé il y a peu, au gré de mes errances, sur un livre qui, me semble-t-il, vous est familier : "trop intelligent pour être heureux".
Et depuis je doute. Encore plus que d'habitude.
D'un naturel anxieux, depuis ma plus tendre enfance, J'ai toujours été en proie aux questionnements.
Mais là, j'ai l'impression d'avoir frôlé quelque chose.
Je n'ai jamais été diagnostiqué quoi que ce soit, mais ai toujours "su" que quelque chose n'allait pas chez moi. Qu'il me faudrai un jour consulter quelqu'un pour qu'il m'aide à me reconnaître, à m'apprendre ce que je suis, pourquoi je suis comme ça.
Une bizarrerie qui faisait que j'étais seul dans la cours de récréation, le refus des autres enfants de jouer avec moi, les moqueries aussi parfois.
Et un sentiment d'étrangeté qui ne m'a jamais quitté. Le rapport à l'autre difficile, cet autre inaccessible malgré toute ma bonne volonté, mon regard niai face à l'incompréhension et la solitude, ma tour d'ivoire, ma forteresse.
Je me suis toujours su solitaire, autonome, presque autarcique.
Et puis j'ai lu TIPHE. Et d'autres pièces du puzzle se sont accolées.
Le sentiment d'étrangeté d'abord, être à coté sans jamais être avec, et le sensibilité à fleur de peau aussi, que je n'ai jamais compris.
Pourquoi m'émeus-je là où l'autre est placide, pourquoi suis-je touché par ce sur quoi il glisse.
Et l'impression d'injustice tenace que l'autre me renvoie. Mais je ne suis pas bête enfin... ! Je lis ! Je sais des choses ! Pleins de choses ! Mais pourquoi ne m'écoute-t-on pas ? Tout m'intéresse, j'aime comprendre comment fonctionnent les choses, les êtres, pourquoi ils fonctionnent.
Et bien d'autres mailles que mon esprit tricotin se plait à, sans cesse, aligner... L'ennui au collège, la chute des notes au lycée, ma préférence pour les personnes plus âgées, mon perfectionnisme, mon inaction qui me saborde
Pourquoi est-ce que je me suis ennuyé au collège, passant plus de temps à parler qu'à écouter, pourquoi je n'avais pas besoin de réviser pour réussir, pourquoi est-ce que cela ne marchait que dans les matières où mon intérêt était éveillé, celles où on nous apprend comment les choses fonctionnent et puis la chute au lycée, luttant pour équilibrer les moyennes parce que je n'ai jamais appris à travailler. Pourquoi j'ai réussis à être ostéopathe, mais de justesse, complètement paralysé devant le jury qui regarde, note, décrypte, juge chacunes de nos actions alors que la théorie n'a jamais posé problème.
Pourquoi j'ai du mal à m'endormir le soir parce que mon esprit tourne et tourne et tourne, et que chaque bruit me "réactive" instantanément.
Pourquoi la plupart des gens m'ennuient, sont fades, sans reliefs, sans aucunes parcelles d'un quelque chose d'étrange, d'imprévu qui leur donnerai une saveur.
Et les repas de familles, terriblement ennuyeux. Et le "jeu des masques" pour pouvoir fonctionner "dehors", toujours souriant, un brin ailleurs, gentil, attentionné, curieux.
Je pense, j'espère, que vous aurez compris.
Et des souvenirs qui reviennent. Comme par exemple ce garçon avec qui je m'entendais si bien parce que, lui aussi, on le trouvait bizarre, et encore plus que moi même ! Garçon dont j'ai su que son QI était de 137. D'ailleurs j'ai toujours eu une préférence pour les gens "à coté" jusque dans les boulots que j'ai eu : d'abord aide-soignant auprès de personnes âgées en fin de vie (où j'ai fini par m'ennuyer) puis accompagnant éducatif auprès d'adultes en situation de poly-handicaps (où j'ai aussi fini par m'ennuyer). Ce qui me rappelle que j'ai toujours eu en fond cette réflexion sur la "norme", le "normal" et "normatif".
Enfin bref, j'ai trouvé tout un tas de choses dans ce livre qui faisait échos et maintenant j'ai peur.
Et si je n'était qu'un immonde présomptueux qui se caresse l'égo en se pensant "supérieur".
Je ne pense pas être particulièrement brillant ou intelligent comme bonhomme. Après tout, est-ce que je ne trouverai pas le moyen d'être heureux si j'était si bien "doté". Mais mon trouble reste... Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à être heureux alors que de l'extérieur, tout va bien ! J'ai une petite-amie depuis maintenant trois ans, un travail valorisé socialement parlant, par de problème économique (pour l'instant), quelques amis sur qui je peux compter...
Pourquoi ai-je l'impression de déprimer, seul, à longueur de journée. Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à m'investir dans mon travail alors que j'en suis normalement au moment le plus palpitant : je vais ouvrir mon cabinet ! J'ai eu un espoir terrible quand mon esprit c'est "engouffré" dans le challenge que représente cette ouverture ; le foisonnement des idées, ce besoin de les noter partout sur des post-it pour ne pas les perdre, de les fouiller, les analyser, les soupeser, les magnifier ou les enterrer, de tout préparer pour que cette installation soit parfaite, un local idéalement situé, une population suffisamment nombreuse, un aménagement intérieur idéalement composé,... Et puis pouf! Plus d'envie, laissez-moi tranquille, foutez-moi la paix, on baisse le rideau, j'ai plus envie. Alors que tout est prêt, il n'y a qu'à faire ! Mais je suis tellement mieux chez moi, loin ces gens qu'il me faudrait voir, à qui il me faudrait parler, à devoir porter un masque.
J'ai tout de même effectué le "pré-test" d'entrée à MENSA, sur internet, histoire de voir.
Ce qui a confirmé ce que je disais plus haut : je ne suis pas particulièrement intelligent. Un modeste 28 sur 40 en 53 minutes.
Mais reste quand même que quelque part je me suis reconnu dans le bouquin de Mme Siaud-Fracchin.
Alors je viens vers vous avec cette question : qu'est-ce qui fait un bruit de sabots et n'ai ni un cheval, ni un zèbre ?
Je viens à vous plein de doutes.
J'ai 27 ans et suis tombé il y a peu, au gré de mes errances, sur un livre qui, me semble-t-il, vous est familier : "trop intelligent pour être heureux".
Et depuis je doute. Encore plus que d'habitude.
D'un naturel anxieux, depuis ma plus tendre enfance, J'ai toujours été en proie aux questionnements.
Mais là, j'ai l'impression d'avoir frôlé quelque chose.
Je n'ai jamais été diagnostiqué quoi que ce soit, mais ai toujours "su" que quelque chose n'allait pas chez moi. Qu'il me faudrai un jour consulter quelqu'un pour qu'il m'aide à me reconnaître, à m'apprendre ce que je suis, pourquoi je suis comme ça.
Une bizarrerie qui faisait que j'étais seul dans la cours de récréation, le refus des autres enfants de jouer avec moi, les moqueries aussi parfois.
Et un sentiment d'étrangeté qui ne m'a jamais quitté. Le rapport à l'autre difficile, cet autre inaccessible malgré toute ma bonne volonté, mon regard niai face à l'incompréhension et la solitude, ma tour d'ivoire, ma forteresse.
Je me suis toujours su solitaire, autonome, presque autarcique.
Et puis j'ai lu TIPHE. Et d'autres pièces du puzzle se sont accolées.
Le sentiment d'étrangeté d'abord, être à coté sans jamais être avec, et le sensibilité à fleur de peau aussi, que je n'ai jamais compris.
Pourquoi m'émeus-je là où l'autre est placide, pourquoi suis-je touché par ce sur quoi il glisse.
Et l'impression d'injustice tenace que l'autre me renvoie. Mais je ne suis pas bête enfin... ! Je lis ! Je sais des choses ! Pleins de choses ! Mais pourquoi ne m'écoute-t-on pas ? Tout m'intéresse, j'aime comprendre comment fonctionnent les choses, les êtres, pourquoi ils fonctionnent.
Et bien d'autres mailles que mon esprit tricotin se plait à, sans cesse, aligner... L'ennui au collège, la chute des notes au lycée, ma préférence pour les personnes plus âgées, mon perfectionnisme, mon inaction qui me saborde
Pourquoi est-ce que je me suis ennuyé au collège, passant plus de temps à parler qu'à écouter, pourquoi je n'avais pas besoin de réviser pour réussir, pourquoi est-ce que cela ne marchait que dans les matières où mon intérêt était éveillé, celles où on nous apprend comment les choses fonctionnent et puis la chute au lycée, luttant pour équilibrer les moyennes parce que je n'ai jamais appris à travailler. Pourquoi j'ai réussis à être ostéopathe, mais de justesse, complètement paralysé devant le jury qui regarde, note, décrypte, juge chacunes de nos actions alors que la théorie n'a jamais posé problème.
Pourquoi j'ai du mal à m'endormir le soir parce que mon esprit tourne et tourne et tourne, et que chaque bruit me "réactive" instantanément.
Pourquoi la plupart des gens m'ennuient, sont fades, sans reliefs, sans aucunes parcelles d'un quelque chose d'étrange, d'imprévu qui leur donnerai une saveur.
Et les repas de familles, terriblement ennuyeux. Et le "jeu des masques" pour pouvoir fonctionner "dehors", toujours souriant, un brin ailleurs, gentil, attentionné, curieux.
Je pense, j'espère, que vous aurez compris.
Et des souvenirs qui reviennent. Comme par exemple ce garçon avec qui je m'entendais si bien parce que, lui aussi, on le trouvait bizarre, et encore plus que moi même ! Garçon dont j'ai su que son QI était de 137. D'ailleurs j'ai toujours eu une préférence pour les gens "à coté" jusque dans les boulots que j'ai eu : d'abord aide-soignant auprès de personnes âgées en fin de vie (où j'ai fini par m'ennuyer) puis accompagnant éducatif auprès d'adultes en situation de poly-handicaps (où j'ai aussi fini par m'ennuyer). Ce qui me rappelle que j'ai toujours eu en fond cette réflexion sur la "norme", le "normal" et "normatif".
Enfin bref, j'ai trouvé tout un tas de choses dans ce livre qui faisait échos et maintenant j'ai peur.
Et si je n'était qu'un immonde présomptueux qui se caresse l'égo en se pensant "supérieur".
Je ne pense pas être particulièrement brillant ou intelligent comme bonhomme. Après tout, est-ce que je ne trouverai pas le moyen d'être heureux si j'était si bien "doté". Mais mon trouble reste... Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à être heureux alors que de l'extérieur, tout va bien ! J'ai une petite-amie depuis maintenant trois ans, un travail valorisé socialement parlant, par de problème économique (pour l'instant), quelques amis sur qui je peux compter...
Pourquoi ai-je l'impression de déprimer, seul, à longueur de journée. Pourquoi est-ce que je n'arrive pas à m'investir dans mon travail alors que j'en suis normalement au moment le plus palpitant : je vais ouvrir mon cabinet ! J'ai eu un espoir terrible quand mon esprit c'est "engouffré" dans le challenge que représente cette ouverture ; le foisonnement des idées, ce besoin de les noter partout sur des post-it pour ne pas les perdre, de les fouiller, les analyser, les soupeser, les magnifier ou les enterrer, de tout préparer pour que cette installation soit parfaite, un local idéalement situé, une population suffisamment nombreuse, un aménagement intérieur idéalement composé,... Et puis pouf! Plus d'envie, laissez-moi tranquille, foutez-moi la paix, on baisse le rideau, j'ai plus envie. Alors que tout est prêt, il n'y a qu'à faire ! Mais je suis tellement mieux chez moi, loin ces gens qu'il me faudrait voir, à qui il me faudrait parler, à devoir porter un masque.
J'ai tout de même effectué le "pré-test" d'entrée à MENSA, sur internet, histoire de voir.
Ce qui a confirmé ce que je disais plus haut : je ne suis pas particulièrement intelligent. Un modeste 28 sur 40 en 53 minutes.
Mais reste quand même que quelque part je me suis reconnu dans le bouquin de Mme Siaud-Fracchin.
Alors je viens vers vous avec cette question : qu'est-ce qui fait un bruit de sabots et n'ai ni un cheval, ni un zèbre ?
Mockinbird- Messages : 9
Date d'inscription : 07/11/2013
Localisation : Saint-Etienne
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Bonjour et bienvenue!
Pour le préteste mensa que ça ne t'inquiète pas plus que ça ça n'est qu'un pés teste !
Prends le temps de découvrir chercher observer ce qui se passe ici, et si un jour tu en as besoin, tu feras le vrai test ! Mais plus important que le chiffre c'est ce que tu as en toi, que tu veux faire vivre !
Pour le préteste mensa que ça ne t'inquiète pas plus que ça ça n'est qu'un pés teste !
Prends le temps de découvrir chercher observer ce qui se passe ici, et si un jour tu en as besoin, tu feras le vrai test ! Mais plus important que le chiffre c'est ce que tu as en toi, que tu veux faire vivre !
_________________
IMPERATOR•KALTHU•CAESAR•DIVVS
Pour plus d'infos cliquez là -> Appel tigres XXX Règles de courtoisie XXX pour les nouveaux XXX C'est quoi les Tigres ? <-
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Merci pour cette belle présentation magnifiquement titrée ... (un okapi ? Une antilope ?)
Je rejoins Kalthu (comme souvent) : regarde, fait le tour, sois curieux, papote, et ne t’embarrasse pas de tests et de machins pour l'instant.
Bienvenue, et bonne promenade
Je rejoins Kalthu (comme souvent) : regarde, fait le tour, sois curieux, papote, et ne t’embarrasse pas de tests et de machins pour l'instant.
Bienvenue, et bonne promenade
Dernière édition par Ardel le Jeu 7 Nov 2013 - 15:21, édité 2 fois (Raison : Impératif être = sois !)
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Je vous remercie.
J'ai des choses urgentes à faire mais comme d'hab, je vais prendre le temps d'en faire d'autres comme farfouiller dans le forum (vous ne me tirez pas vers le haut ;-) )
J'ai juste une question qui me tracasse : ça vous arrive de faire une "crise de boulimie du savoir" ? J'entend par là que d'une manière ou d'une autre votre intérêt est attiré par quelque chose et s'ensuit pendant quelques heures/jours une gloutonnerie concernant tout ce que vous pouvez trouver sur le sujet. Du genre j'ai lu "Les Fourmis" de Werber et j'ai regardé tout ce que j'ai pu trouver de documentaires ou site internet sur les fourmis puis les thermites et l'intelligence sociale des insectes en générale, et ensuite la page est tournée.
J'ai des choses urgentes à faire mais comme d'hab, je vais prendre le temps d'en faire d'autres comme farfouiller dans le forum (vous ne me tirez pas vers le haut ;-) )
J'ai juste une question qui me tracasse : ça vous arrive de faire une "crise de boulimie du savoir" ? J'entend par là que d'une manière ou d'une autre votre intérêt est attiré par quelque chose et s'ensuit pendant quelques heures/jours une gloutonnerie concernant tout ce que vous pouvez trouver sur le sujet. Du genre j'ai lu "Les Fourmis" de Werber et j'ai regardé tout ce que j'ai pu trouver de documentaires ou site internet sur les fourmis puis les thermites et l'intelligence sociale des insectes en générale, et ensuite la page est tournée.
Mockinbird- Messages : 9
Date d'inscription : 07/11/2013
Localisation : Saint-Etienne
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Bienvenue, Mockinbird!
Je crois que je connais ce genre de crises de "boulimie", oui... En fait, généralement quand je tombe sur un nouveau sujet qui m'intéresse, je vais lire beaucoup là-dessus pendant un certain temps, puis l'abandonner un jour (parfois définitivement, parfois j'y reviens plus tard, ça dépend du sujet).
Je crois que je connais ce genre de crises de "boulimie", oui... En fait, généralement quand je tombe sur un nouveau sujet qui m'intéresse, je vais lire beaucoup là-dessus pendant un certain temps, puis l'abandonner un jour (parfois définitivement, parfois j'y reviens plus tard, ça dépend du sujet).
fleur_bleue- Messages : 3764
Date d'inscription : 18/09/2012
Age : 41
Localisation : Paris
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Tout d'abord : bienvenue !
Il n'est pas vraiment dans mes habitudes d'accueillir les nouveaux venus... Je sors de mon habituelle réserve suite à ta mention du prétest Mensa (que je me suis empressée de faire moi aussi le jour où je me suis dit "tiens, et pourquoi pas ! tentons-le ce fameux test si je suis si intelligente !"). Sache que ce test fait dans de mauvaises conditions (seul face à ton ordinateur) ne révèle rien de ton potentiel. Tu devras, si tu en as l'envie/le besoin un jour, faire ce test avec un professionnel (https://www.zebrascrossing.net/f57-les-tests). Rien ne presse, "digère" déjà la nouvelle.
Concernant ta boulimie du savoir (dans laquelle beaucoup se reconnaissent je te rassure), tu trouveras des ressources intéressantes sur ce forum qui te permettront de creuser le sujet. Aussi, bonne lecture !
Il n'est pas vraiment dans mes habitudes d'accueillir les nouveaux venus... Je sors de mon habituelle réserve suite à ta mention du prétest Mensa (que je me suis empressée de faire moi aussi le jour où je me suis dit "tiens, et pourquoi pas ! tentons-le ce fameux test si je suis si intelligente !"). Sache que ce test fait dans de mauvaises conditions (seul face à ton ordinateur) ne révèle rien de ton potentiel. Tu devras, si tu en as l'envie/le besoin un jour, faire ce test avec un professionnel (https://www.zebrascrossing.net/f57-les-tests). Rien ne presse, "digère" déjà la nouvelle.
Concernant ta boulimie du savoir (dans laquelle beaucoup se reconnaissent je te rassure), tu trouveras des ressources intéressantes sur ce forum qui te permettront de creuser le sujet. Aussi, bonne lecture !
Anamorphoz- Messages : 21
Date d'inscription : 05/08/2013
Age : 38
Localisation : Rennes
Re: Entendre des sabots, ne pas penser cheval.
Je déculpabilise quand même pas mal de voir que je ne suis manifestement pas seul à être un brin "timbré", comme on dit ^^
C'est tellement rassurant. J'ai bien fait de m'inscrire. Et il y a tellement de sujets à fouiller, je ne vais pas m'ennuyer tout de suite !!
C'est tellement rassurant. J'ai bien fait de m'inscrire. Et il y a tellement de sujets à fouiller, je ne vais pas m'ennuyer tout de suite !!
Mockinbird- Messages : 9
Date d'inscription : 07/11/2013
Localisation : Saint-Etienne
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