Le spleen

Et oui Baudelaire refait toujours surface malgré des écrits décrits moribond. Mais quel est l'intitulé de mon post vous demanderez vous (ou pas au passage ^^).

J'aimerais émettre une ou plusieurs hypothèse car j’écris sans réel photographies mais le vent guide ma plume ou du moins ma dactylographie.

Je regarde la vie, mon environnement, les autres et moi même. Je me dit que en fait, je ne regarde que moi. Le je du moi se fracasse sans cesse au sens. Comme si l'espace était évanescence. Au travers de mes yeux jaillissent des images et je ne sais les interprétés. Les images m'ensorcelles et me renvoie à un état émotionnel. Oui mais cet émotionnel est encore le moi. Comment alors voir l'extérieur si je ne peu en réalité voir que mon intérieur?

Et si au combien je ne prend garde à m'afférer de bouclier idéologique j'aurais toujours cette impression de ne connaitre ce nouveau décor. Au final Je ne vois que moi et en l'autre j'idéalise ce que je ne suis pas. Gardez vous de me vendre mon rêve, je le possède en droit. Mon spleen ne regarde que moi et toi qui pense pouvoir retirer ce poids, garde bien en pensée que tu n'est moi. Au diable le spleen de toute façon je ne m'aime pas. Ma nature dicte les pas d'une indélébile tragédie. J'ai compris la mort et l'ai prise pour marquise. Je ne vis que pour mourir et ne meure que pour vivre. Il est un temps pour préparer sa mort et un autre pour préparer sa vie mais quel est le sens de cette tragédie.

J'ai maintenant omis la vie et je meure de la revivre, libérer du spectacle oppressant de la mort cette mort qui se nourrie sans vie. Ainsi mon spleen recommence et en l'autre je me recherche.

ET vous quel est votre spleen ???

Jolie.
Je ne saurais dire.

merci, le simple fait d'avoir répondu est je le trouve déjà beau en soi, merci pour cela.

ps: des fois quand les mots ne viennent pas il faut lire le silence ainsi la beauté n'est pas corrompue par des dires théâtraux car boire la vie n'est pas régurgiter les scènes !

Ainsi ne te créer de maux si tu souhaitait écrire d'avantage et puis qui sait il est probable que les mots sortent en moments voulu.

Maudit sois celui qui juge l'autre car il se juge lui même. La maladie de l'être est une fatalité qu'aucun artifice ne peu déjouer alors l'homme se dupe et les cadres de sa vie se rétractent.