Surmontant ma mélancolie, je vous offre à lire quelques doses de prose poétique (Tome II ça s'voit)

Quelque chose ce n'est pas rien. Sauf peut-être si l'on a multiplié ce rien par trois. Ça nous ferait au moins un petit quelque chose. Pratique. On pourrait ainsi parler de rien sans parler de tout tout en disant tout de même quelque chose. Le hic, c'est qu'il ne s'agit pas là de parler mais de baragouiner. Tiens donc, baragouiner, qu'est-ce que c'est que ça ? A le lire, ça semble vouloir dire quelque chose comme dire. Mais à l'entendre, on s'amuse à imaginer ce bar à gouiner, et on s'y retrouve imaginairement entouré. Tiens donc, ça cancane et s'encanaille, ça se raconte et ça se parle, ça s'embrase et s'embrasse. Baragouiner, j'y reviens en un mot cette fois. Je sens que je vais le taper. C'est fait. Le wiktionnaire commence par m'apprendre que c'est un mot breton. Tiens donc, un bar à gouiner à Quimper ? A moins que ce soit Lorient ? Ou Brest ? Ou je m'égare encore ? Je reprends !
Donc, le Wiktionnaire m'apprend ensuite que cela signifie dans un premier sens : « parler d'une façon incorrecte et inintelligible ». Dans un deuxième : « parler une langue étrangère devant quelqu'un qui ne la comprend pas ». Et dans un troisième : « mal articuler un discours, le prononcer de manière inintelligible ».
J'en arrive rapidement à la conclusion qu'à le prendre au premier degré, pour baragouiner quelque chose sur ce fil, il faudrait y parler. Pfff, faudrait donc par exemple enregistrer un truc sur l'I-phone, puis le transférer sur l'ordi, puis trouver un site pour l'héberger, puis poster le lien sur le fil. Tranquille, facile. Sauf pour un procrastinateur...
Du coup à le prendre dans un sens extensif, je me dis qu'on pourrait baragouiner en écrivant à la place de parler. Ça se tient, non ?! Dans le cas où ça se tient, je me dis que si ça se trouve, j'ai déjà baragouiné : je viens d'écrire des trucs, je ne me suis pas relu, donc si ça se trouve y'a pleins de coquilles et c'est écrit d'une façon incorrecte et inintelligible. Dans le cas contraire, j'ai peut-être mal articulé mon discours vu qu'on peut-dire d'un écrit qu'il est mal articulé (par contre je n'ai jamais entendu personne dire qu'un écrit était mal prononcé). Et au pire, afin de vraiment baragouiner à l'écrit quelque chose sur ce fil, j'écrirais donc : 私が好きなものは時々、私たちの中に感じて少し何かである。その少し何かいくつかのコールの愛。

Je suis fort touché par vos appréciations, mais tout en acceptant de considérer que mon commentaire n'est pas totalement dénué de dignité, je dois pourtant avouer ne pas être en droit de porter le titre de professeur de linguistique. Je le regrette, car un doctorat me serait bien utile (il en va ainsi de ces postes qui réclament en plus des qualifications, des papiers de ce type). Face à la masse de travail à fournir et l'investissement colossal qu'exige l'obtention d'un tel diplôme, j'avais presque totalement renoncé à l'idée, mais à vous lire ainsi me complimenter, cela m'a donné comme un nouvel espoir. Je ne serais donc pas opposé à ce que vous en référiez aux autorités concernées. On ne sait jamais après tout, s'il n'existe aucune manche suffisamment longue pour vous couvrir le bras, il se pourrait que vous puissiez faire quelque chose pour moi.

Pour ce qu'il en est de considérer la parole comme essentiellement orale, je ne peux faire autrement. J'avoue en avoir douté, mais après en avoir discuté avec un de mes amis sourd et muet, je m'en suis trouvé totalement convaincu. La première fois qu'il m'en a parlé, je n'avais pas bien compris, c'est vrai, mais c'est juste parce qu'il avait utilisé la langue des signes américaine, que je ne maîtrise pas tellement. Quand il me l'a répété en langue des signes française, j'ai pu saisir toute la force de son propos. Faut dire que c'est un excellent orateur. Il parvient à moduler ses articulations avec brio (son délié du poignet est fabuleux), fait preuve d'une vélocité sans pareille, et sait ainsi  parfaitement tenir son auditoire en haleine. Son seul défaut, c'est qu'il ne sait pas tenir sa langue. Il a beau donner sa parole, il ne la tient jamais. La dernière fois, il avait promis de donner sa voix au candidat de l'opposition, mais la réélection à l'unanimité à prouvé qu'on ne pouvait pas toujours se fier à ce qu'il disait. Par contre, pour ce qui est de la question de l'essentielle oralité, on peut le croire sur parole. Enfin je crois, non ?!

Sur la question de l'enregistrement, après une discussion fort peu intense avec moi-même, la conclusion a été nette et radicale : autorisation refusée.

Quant aux secrets du sourire de la Joconde, je ne connaissais jusqu'à présent que celui se rapportant aux cônes et aux bâtonnets, mais compte-tenu des tarifs exorbitants des dentistes, cela ne m'étonne pas que le modèle ait pu souffrir de manque de soins dentaires. Quand on constate le taux extrêmement réduit de remboursement par notre Sécurité Sociale française, j'ose poser l'hypothèse que les caisses d'assurance maladie de l'Italie de la Renaissance ne faisaient pas mieux. « La douleur est le terreau de l'artiste » affirmera Dalida plus de quatre siècles après, s'inscrivant ainsi dans les traces du maître. D'ailleurs en y pensant, elle apparaît comme une spécialiste de la question de la parole et je suis étonné que mon ami sourd et muet, en dépit de sa culture avancée, n'ai pas pris appui sur son texte lors de sa démonstration. Afin de réparer cette injustice, j'emprunte ses mots en guise de conclusion : « Caramels, bonbons et chocolats ! »

Pas de pochette surprise. Flute alors. Pas de champagne du coup, juste du travail. En perspective. Ou pas.
Intéressant, oui, forcément.
Huit ans ? Je n'ai en linguistique aucune autre connaissance que la définition de Ferdinand (que sans le Jacques-a-dit, je parle de celui de Lacan, je ne connaitrais même pas) et pas le moindre diplôme qui me permettrait de ne pas commencer par le début. Trois années licencieuses donc, puis deux pour devenir un maître en la question. Cela fait cinq au moins avant de se voir, peut-être, autorisé à en faire encore trois. Nous arrivons donc à huit, c'est bien ça. Huit ans au minimum, c'est à dire dans l'impossible cas où aucun retard ne serait pris. Huit ans, c'est très long pour quelqu'un qui sait si facilement se perdre dans les méandres labyrinthiques de sa destiné. Trop long pour pouvoir sereinement l'envisager. Déjà, j'en suis épuisé.

Pour ce qui est du papier, si jamais je me lance pour de bon à sa conquête, ce sera par une voie plus courte. Nécessairement.
Au mieux, il m'en faudrait quatre, mais ça tiendrait du miracle. Plus surement, ce serait cinq. Et déjà, c'est beaucoup pour moi. Vraiment.
Je suis très heureux d'être parvenu à effectuer mes études car ce fut véritablement difficile. Non pas au niveau de l'acquisition des savoirs mais vis à vis de l'ensemble de contraintes que cela représente. Se lever très tôt, donc avec seulement trois, quatre ou cinq heures de sommeil, prendre le tramway, le train, le métro, pour arriver enfin sur les bancs trois ou quatre heures après s'être levé, avoir du travail à faire, des devoirs à rendre, des délais à respecter, etc. Tout ça, pour moi, c'est l'horreur.
Si mes parents ne m'avaient pas subventionné, je n'y serais jamais arrivé. Même pour mon mémoire, il a fallut qu'ils m'obligent. Un an après avoir passé mes examens de fin d'étude, je n'avait toujours pas commencé ce mémoire nécessaire à l'obtention de mon diplôme. Face à mon inertie, et poussé par leur volonté de voir leur oisillon enfin s'envoler, ils ont fini par prendre le taureau par les cornes. Ils ont loué une maison dans un trou perdu du Lot et m'y ont séquestré trois semaines au milieu des  chevaux, des mouches, des lapins et des abeilles. Il y avait aussi des oies, mais un peu plus loin. La journée, j'étais obligé de la passer le stylo à la main. Le soir, ma mère recopiait à l'ordinateur les feuillets que j'avais bien voulu produire pendant que mon père m’emmenait me défouler sur le cours de tennis défoncé du village. Au final, il m'aura fallut en plus de l'année d'étude sensé être consacrée au mémoire, quatorze mois supplémentaires pour pouvoir le présenter. A sept heures maximum de travail par jour pendant trois semaines, ça fait 147 heures de travail pour 9672 heures de torture mentale (la torture mentale, c'est tout le temps que je passe, angoissé, à me dire qu'il faut que je me mettre au travail sans pour autant y parvenir...)
Sans plus de parents pour me subventionner et m'obliger, la tache sera plus rude encore. Les années qui sont passées ne m'ont pas apporté plus de capacité à ces niveaux. C'est même de pire en pire. Ce n'est qu'un handicap à surmonter, une montagne aussi infranchissable qu'un pot de yaourt, rien en somme qui pourrait absolument m'empêcher d'apposer un jour un d et un r devant mon patronyme, mais quand même !
« Qui est comme Dieu ? ». Des études universitaires comme calvaire. Un doctorat comme croix. La crucifixion comme sanction. Pff...

Pour ce qui est de la docteure auteure, cela m'a amusé de découvrir son livre au milieu de tout un tas d'insipides. Je dois avouer que le milieu de l'entreprise et des marchands n'est pas de ceux qui enthousiasment.  A la lecture des premières pages (les dix sept sont sur le net) j'avais l'impression de lire une formalisation de choses qui sont pour moi de l'ordre de l'évidence. Le sommaire m'a laissé pensé que la suite offrait des analyses pertinentes. La pensée « tout ça pour ça ?! » m'a traversée, laissant entrevoir le résultat du rapport que je pose entre sa recherche formelle et son application dans un tel cadre. Mais l'idée sur laquelle je me suis arrêté un instant, c'est celle d'une universitaire intelligente et rigolote donnant en pâture les explications du comment et du pourquoi ça marche à des entrepreneurs avides de succès, et à la recherche des clés de la réussite. Je les imagine tentant d'appliquer la recette miracle en rêvant à leur future piscine. J'imagine aussi un des plus puissants, charger un informaticien d'en computer les données pour fabriquer un programme créateur d’innovations. Bientôt, enfin, nous auront donc disponible à l'achat, tous ces gadgets qui nous manquent sans qu'on le sache. Aucun exemple ne me vient qui ne soit pas cynique. L'effet de Sénèque sans doute. Ou bien d'un fennec, car il arrive parfois que certains rodent sur notre toile.  

De toile en étoiles et de cabrioles en cabriolé, j'en arrive maintenant à vous parler un petit peu de ce fil qui est le votre. Je ne l'ai découvert que le jour où j'y ai posté. Impressionnant. Tant au niveau quantitatif que qualitatif d'ailleurs. Des posts qui sont comme les extraits des livres d'une auteure.
Pour celle qui écrit jour à près jour, et pour ceux qui les découvre au jour le jour, il y a sans doute un fil apparent qui les relie. Mais pour celui qui comme moi les a découvert comme un tout, ce fil n'est pas facile à voir. Je ne dis pas ça pour dire un manque qui serait à combler et pas non plus pour critiquer d'une manière ou d'une autre ce que vous offrez sur ZC. Je l'écris juste pour vous dire que l'idée d'une histoire qui se poursuivrait ne m'a pas paru inappropriée. Je suppose qu'un roman vous avez déjà écrit, et que ce soit ou non encore le cas, j'ai déjà envie de le lire.  

Mon cher Nouvel Espoir, les fabricants et marchands de chaussettes pourraient vous dire merci. Ceux de chapeaux et de casquettes aussi, si j'en portais. D'habitude, ce n'est pas cette part de mon anatomie qui gonfle ainsi, mais à la lecture des mots formant votre propos à mon sujet, j'ai senti  grossir tant mes chevilles que ma tête. D'ailleurs, à en évoquer le sujet de l'hypertrophie, je tenais à vous dire que j'étais finalement très heureux de vous savoir – au moins pour les bras – bien proportionnée. Certains pourraient avancer qu'il serait inapproprié d'attacher ainsi tant d'importance à la forme, mais j'aime à penser que quelqu'un qui peut conseiller un doctorat de linguistique théorique, automatique et formelle ne serait pas de cet avis.
Cela dit, je suis aussi heureux que vous soyez en mesure d'assaisonner vos salades. Si jamais les miennes venaient à pousser, je n'hésiterais donc sans doute pas à profiter de vos conseils culinaires.

Pour ce qui est de vos publications, je suis bien triste que la jalousie vous en ait fait perdre une amie. Par contre, je ne le suis pas qu'elles ne soient pas plébiscitées. La plèbe garante de qualité ? Vraiment ? Et quand bien même le serait-elle que cela n'enlèverait pas le droit à une minorité, si petite soit elle, de bénéficier d'une littérature adaptée. D'ailleurs, il serait peut-être bon de les faire traduire en braille pour les deux pour cent de ceux qui ne voient pas. Si on en croit les statistiques disponibles (« Chiffres France, HID 2002. Au total, 1,7 million de personnes souffrent d’une déficience visuelle : 560 000 malvoyants légers (2) ; 932 000 malvoyants moyens ; 207 000 malvoyants profonds, dont environ 61 000 aveugles complets. 15 % des aveugles ont appris le braille, 10 % l’utilisent pour la lecture et 10 % pour l’écriture également. L’apprentissage du braille est plus rare chez les malvoyants profonds (3 % environ) et les malvoyants moyens (1 % environ). ») et qu'on effectue un calcul rapide (10% de 61000 + 3% de 207000 + 1% de 932000, le tout multiplié par les 2% de l'extrême droite de Gauss), on arrive à un nombre d'environ quatre cent trente deux lecteurs potentiels. Et quatre cent trente deux ce n'est pas rien. Si on en croit le chant de l'oiseau noir, en partant à cinq cent on pourrait arriver à trois mille. Si le facteur de proportionnalité est conservé, il suffirait donc d'un prompt renfort des plus classiques pour arriver à deux mille cinq cent quatre vingt douze. Ainsi, même si le bénéfice effectué sur la vente de chaque livre n'était pas plus important qu'un euro, on arriverait logiquement à une somme minimale de deux mille cinq cent quatre vingt douze euros. Appuyons nous maintenant par exemple sur les chiffres publiés par une association telle que l'UNICEF. On apprend que « le coût  pour livrer une série complète de vaccins à un seul enfant est de cinq dollars », c'est à dire environ trois euros et soixante trois centimes. Donc, avec deux mille cinq cent quatre vingt douze euros, on pourrait fournir sept cent quatorze séries de vaccins.
Voilà, j'en arrive donc à la conclusion qu'à moins de vouloir priver sept cent quatorze enfants de protection vaccinale, on ne peut décemment penser qu'un de vos livres, traduit en braille, n'intéresserait « personne ou presque ». Alors imaginez si, en plus, sortait une version en audio-livre...

« Anti-commerciale », vous avez raison.

Pour peu qu'on ait la tête sur les épaules, le coût on devrait pouvoir s'en passer. Le braille n'est en rien une autre langue, simplement une transcription de caractères. Ainsi, l'imprimeur devrait pouvoir,  à moindre frais, s'en charger.

Pour ce qui l'en est de l'audio-livre, je ne peux vous suivre quand vous semblez affirmer que la diction amenuiserait votre prose. Bien-sûr, si l'on réduit le lecteur à son conscient, on ne peut faire autrement qu'imaginer une perte. Mais sinon, on entend que les jeux des mots s'entendront dans les volutes poétiques de l'inconscient, comme un plus, et avec plaisir.
L'écrit, par le tranché que nécessite l'orthographe, ne fait que rendre visible ces fils invisibles à l’oreille et pourtant bien réels. A n'être qu'entendu, le texte en perdrait sans doute un peu d'humour - car c'est ce que ça fait de voir les ficelles - mais il gagnerait de la magie, ce qui n'est pas rien.
Bien-sûr, je n'ose prétendre cela que parce que je sais que c'est un cheval qui professe qu'il y a un taon pour tout, et que je sais aussi qu'il y a quelque part dans pas mal de cerveaux une trace mnésique associant taons et chevaux. Ainsi, il suffit qu'à la lecture cette trace résonne pour qu'on ressente, sans vraiment comprendre pourquoi, un plaisir particulier. Plusieurs dimensions dans un même discours, ça fait toujours de l'effet.

Sinon, je trouve que vous avez bien fait d'user de la touche « Suppr ». Si j'ai pu lire vos mots en y trouvant de l'humour, un lecteur non avisé aurait pu en effet se laisser aller à penser qu'il s'agissait d'un concours de charité crétine. J'espère qu'il saura adopter le second degré nécessaire à la compréhension du post que j'avais précédemment écrit. Tout le monde devrait savoir, à mon humble avis, qu'à vacciner ainsi les enfants du quart monde, on les retrouve pleins de vie à l’assaut de nos cargos sur les rivages de la Somalie. J'ajouterai que j'espère que le fameux lecteur susmentionné saura à nouveau utiliser le second degré pour lire cela. Sinon, je me demande bien quelle genre d'image il pourrait se faire de moi.

Quitte à finir par un moi, j'y ajouterais un s et choisirait celui d'avril. Car c'est le notre. Cuisine et jardin.    

Serait-ce donc de là que provient l'expression « être à cran » ? Car effectivement on constate que lorsqu'il faut ajouter encore et encore des crans à la ceinture à mesure qu'elle se serre, il arrive un moment où à force d'être à cran, on a le cran de montrer les crocs. S'il est trop tard, on titube, surement. Mais à plusieurs on se soude au coude à coude et on en prend la Bastille.
Il s'agirait donc de savoir être maître en ceinture, pour maintenir ses rangs. A trop de crans, tout fout le camp, à un peu moins on les tient bon, mais un de moins encore et ils risquent de se faire des idées, en se mettant sans faim à penser. Ça continue, ainsi, peut-être pour les trois crans suivants, puis vient un moment où, à nouveau, on retrouve ses rangs bien ordonnés. Miracle de l'alliance du breuvage de John Pemberton et des pommes de terre dites frites à la française, que de permettre l’absorption de discours tels que ceux d'un Colin, sans nausées ni vomissements.
On l'imagine, cette ceinture étalon, au milieu de laquelle seulement quelques trous marquent l'espace d'une liberté.

Pour ce qui est du Figaro, je vois que vous tentez de me donner l'envie d'une fugue horticole. Je m'amuse d'avoir, apparemment, attrapé au vent que vous en étiez un peu épié. Non par Figaro, car cela m'étonnerait qu'il vous regarde, mais par cet art des jardins bien cultivés.  

Mon dernier mot sera donc « Candeur ».