1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
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1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Dans l’ordre chronologique , c’est comme si, -grace à une amie- la lecture de livres sur les HPI et les hypersensibles, ce forum et - grâce à lui- la découverte d’Alice Miller ainsi que la pratique de la Communication Non Violente, la forteresse de survie se déconstruisait par pans entiers pour laisser gambader un nouveau zèbre dans les vertes prairies de la vie.
Je passe des « ah mais c’est tout moi ça », au « tiens, j’aurai pu l’écrire » en passant par « mais c’est pour çaaaaa ». Dire qu’il aura fallu attendre un quasi demi-siècle pour me (re)trouver complètement ….
Bref retour en arrière : études banales et sans problèmes . Bifurcation vers des études courtes et techniques par envie de travailler et probablement instinctivement pour échapper au monde scolaire. Par ma façon d’être, de penser, des gouts un brin étranges même au siècle dernier (le calme, la campagne, la musique classique, les gens dans ce qu’ils ont d’authentique…) et un humour omniprésent, j’ai toujours été en marge des groupes, jamais vraiment intégrée, jamais vraiment désintégrée, toujours sur un chemin bien à moi, difficilement locomotive mais très volontiers moteur.
Instinctivement toujours, j’ai choisi de travailler dans de petites structures « pour ne pas être un numéro » et pour pouvoir approcher toutes les dimensions d’un projet (je travaille dans l’informatique industrielle). En même temps, qui dit petite structure dit petits moyens et peu de possibilité d’évolution mais je suis tombée sur un regroupement de gens gentils, ouverts (potentiellement zebrés), compétents et j’y jouis d’une liberté d’action et de penser rare. Ayant expérimenté juste avant l’exact opposé, je me suis accrochée, adaptée, bien qu’avec régulièrement l’odeur nauséabonde de l’ennui qui me chatouillait les narines.
Et, pour combattre cet ennui, cette impression de tourner dans le vide, j’ai découvert la mue décennale, qui n’est pas vraiment une mue puisque je pratique plutôt le patchwork caméléonesque toutes les années en 3.
J’ai d’abord découvert l’équitation et le bénévolat auprès des personnes agées – le tout me faisant réaliser que la technique, c’est bien, mais l’humain, c’est carrément plus riche-. Puis, 10 ans après, commencé l’étude du Tai Chi Chuan que je commence maintenant -10 ans après- à enseigner bénévolement. Puis, avec la lente prise de conscience que les mots, suivant leur utilisation, peuvent être aussi réparateur que destructeur, j’ai commencé à m’interresser à la Communication Non violente (que je compte bien transmettre d’ici quelques années), découverte miraculeuse puisque m’offrant le moyen de causer aux autres tout en me préservant. Le premier stage de formation effectué (3 jours consécutifs) a été un véritable tsunami et a ouvert en grand la vanne entre les ressentis (la marmite qui bouillonnait) et leur analyse (la turbine qui s’est emballée grave). Je me suis retrouvée dans un wagon de RER, connectée à tout le monde avec des analyses CNV de chacun qui m’explosaient dans la tête. Je ne pouvais plus sortir dans la rue sans avoir le cerveau qui s’emballait, j’ai cru que j’allais devenir folle. Le temps et quelques médecines parallèles bizarres ont permis de refermer la vanne, je cherche maintenant le moyen d’en controler l’ouverture/fermeture pour pouvoir continuer à me former en CNV. Pour le moment, c’est globalement, un jour de récupération nécessaire par heure de pratique… ce qui rend les atterrissages dans la vraie vie quelque peu compliqués.
Ça fait un (bon) moment que je suis lassée de la technique qui est devenue alimentaire. J’ai compensé par la diversification des centres d’intérets et donc la multiplication des rencontres. Je réalise que ce n’est pas tant le boulot et son organisation qui sont insupportables, que moi qui m’y ennuie. J’aspire à aider mon prochain sans devoir ensuite me ramasser à la petite cuillère et je pense de plus en plus fortement que la CNV m’offre ce moyen et m’ouvre une opportunité sur un nouvel avenir professionnel.
Voila quelques couleurs de mes rayures naissantes. C’est bien la première fois que j’en découvre autant à un troupeau d’inconnus que j’ai jamais vu. En même temps, je vous sens tellement sur la même longueur d’onde que je n’ai pas 1s la crainte d’être mal comprise…. Puis je vais enfin pouvoir rebondir sur les posts…
Au plaisir de vous lire…
Je passe des « ah mais c’est tout moi ça », au « tiens, j’aurai pu l’écrire » en passant par « mais c’est pour çaaaaa ». Dire qu’il aura fallu attendre un quasi demi-siècle pour me (re)trouver complètement ….
Bref retour en arrière : études banales et sans problèmes . Bifurcation vers des études courtes et techniques par envie de travailler et probablement instinctivement pour échapper au monde scolaire. Par ma façon d’être, de penser, des gouts un brin étranges même au siècle dernier (le calme, la campagne, la musique classique, les gens dans ce qu’ils ont d’authentique…) et un humour omniprésent, j’ai toujours été en marge des groupes, jamais vraiment intégrée, jamais vraiment désintégrée, toujours sur un chemin bien à moi, difficilement locomotive mais très volontiers moteur.
Instinctivement toujours, j’ai choisi de travailler dans de petites structures « pour ne pas être un numéro » et pour pouvoir approcher toutes les dimensions d’un projet (je travaille dans l’informatique industrielle). En même temps, qui dit petite structure dit petits moyens et peu de possibilité d’évolution mais je suis tombée sur un regroupement de gens gentils, ouverts (potentiellement zebrés), compétents et j’y jouis d’une liberté d’action et de penser rare. Ayant expérimenté juste avant l’exact opposé, je me suis accrochée, adaptée, bien qu’avec régulièrement l’odeur nauséabonde de l’ennui qui me chatouillait les narines.
Et, pour combattre cet ennui, cette impression de tourner dans le vide, j’ai découvert la mue décennale, qui n’est pas vraiment une mue puisque je pratique plutôt le patchwork caméléonesque toutes les années en 3.
J’ai d’abord découvert l’équitation et le bénévolat auprès des personnes agées – le tout me faisant réaliser que la technique, c’est bien, mais l’humain, c’est carrément plus riche-. Puis, 10 ans après, commencé l’étude du Tai Chi Chuan que je commence maintenant -10 ans après- à enseigner bénévolement. Puis, avec la lente prise de conscience que les mots, suivant leur utilisation, peuvent être aussi réparateur que destructeur, j’ai commencé à m’interresser à la Communication Non violente (que je compte bien transmettre d’ici quelques années), découverte miraculeuse puisque m’offrant le moyen de causer aux autres tout en me préservant. Le premier stage de formation effectué (3 jours consécutifs) a été un véritable tsunami et a ouvert en grand la vanne entre les ressentis (la marmite qui bouillonnait) et leur analyse (la turbine qui s’est emballée grave). Je me suis retrouvée dans un wagon de RER, connectée à tout le monde avec des analyses CNV de chacun qui m’explosaient dans la tête. Je ne pouvais plus sortir dans la rue sans avoir le cerveau qui s’emballait, j’ai cru que j’allais devenir folle. Le temps et quelques médecines parallèles bizarres ont permis de refermer la vanne, je cherche maintenant le moyen d’en controler l’ouverture/fermeture pour pouvoir continuer à me former en CNV. Pour le moment, c’est globalement, un jour de récupération nécessaire par heure de pratique… ce qui rend les atterrissages dans la vraie vie quelque peu compliqués.
Ça fait un (bon) moment que je suis lassée de la technique qui est devenue alimentaire. J’ai compensé par la diversification des centres d’intérets et donc la multiplication des rencontres. Je réalise que ce n’est pas tant le boulot et son organisation qui sont insupportables, que moi qui m’y ennuie. J’aspire à aider mon prochain sans devoir ensuite me ramasser à la petite cuillère et je pense de plus en plus fortement que la CNV m’offre ce moyen et m’ouvre une opportunité sur un nouvel avenir professionnel.
Voila quelques couleurs de mes rayures naissantes. C’est bien la première fois que j’en découvre autant à un troupeau d’inconnus que j’ai jamais vu. En même temps, je vous sens tellement sur la même longueur d’onde que je n’ai pas 1s la crainte d’être mal comprise…. Puis je vais enfin pouvoir rebondir sur les posts…
Au plaisir de vous lire…
Pouet- Messages : 529
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 59
Localisation : ici (78) ... et ailleurs
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Bienvenue, Pouet ! Ton portrait est proche du mien, j'ai pris conscience moi aussi de mon "cas" à 50 ans, tout récemment (ça fait un mois et demi tout juste) et mes envies, mes choix rejoignent ceux que tu as faits, aussi je te comprends parfaitement.
Cleore- Messages : 1019
Date d'inscription : 13/01/2014
Age : 61
Localisation : complètement à l'ouest
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Oui, bienvenue ici, je comprend aussi ton parcours
et comme Cleore y trouve du familier
et comme Cleore y trouve du familier
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Bienvenue Pouet!
Je commence à m'intéresser aussi à la CNV, après discussions avec un ami
J'espère que tu pourras trouver ici un "lieu" où tu puisses te livrer en toute confiance
Je commence à m'intéresser aussi à la CNV, après discussions avec un ami
J'espère que tu pourras trouver ici un "lieu" où tu puisses te livrer en toute confiance
valou- Messages : 54
Date d'inscription : 07/02/2014
Localisation : Ce plat pays, qui est le mien
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Merci à toutes pour votre accueil.
Accessoirement enfin pas vraiment, je cherche quelqu'un qui aurait trouvé comment controler l'ouverture de la vanne...parce que si je veux continuer en CNV (et je veux), va bien falloir résoudre ce pb...
Accessoirement enfin pas vraiment, je cherche quelqu'un qui aurait trouvé comment controler l'ouverture de la vanne...parce que si je veux continuer en CNV (et je veux), va bien falloir résoudre ce pb...
Pouet- Messages : 529
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 59
Localisation : ici (78) ... et ailleurs
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Bienvenue Pouet,
Mon parcours est très différent du tiens.
Mais je me retrouve dans "tout ce que tu as voulu nous épargner"...
C'est déjà ça !
Fabuliotte (une quinqua nécessairement solidaire)
Mon parcours est très différent du tiens.
Mais je me retrouve dans "tout ce que tu as voulu nous épargner"...
C'est déjà ça !
Fabuliotte (une quinqua nécessairement solidaire)
Invité- Invité
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Merci à toutes pour votre accueil.
Accessoirement enfin pas vraiment, je cherche quelqu'un qui aurait trouvé comment controler l'ouverture de la vanne...parce que si je veux continuer en CNV (et je veux), va bien falloir résoudre ce pb...
Il faudrait que tu détaille ce que j'ai mis en grasj’ai commencé à m’interresser à la Communication Non violente (que je compte bien transmettre d’ici quelques années), découverte miraculeuse puisque m’offrant le moyen de causer aux autres tout en me préservant. Le premier stage de formation effectué (3 jours consécutifs) a été un véritable tsunami et a ouvert en grand la vanne entre les ressentis (la marmite qui bouillonnait) et leur analyse (la turbine qui s’est emballée grave). Je me suis retrouvée dans un wagon de RER, connectée à tout le monde avec des analyses CNV de chacun qui m’explosaient dans la tête. Je ne pouvais plus sortir dans la rue sans avoir le cerveau qui s’emballait, j’ai cru que j’allais devenir folle. Le temps et quelques médecines parallèles bizarres ont permis de refermer la vanne, je cherche maintenant le moyen d’en controler l’ouverture/fermeture pour pouvoir continuer à me former en CNV. Pour le moment, c’est globalement, un jour de récupération nécessaire par heure de pratique… ce qui rend les atterrissages dans la vraie vie quelque peu compliqués.
pour que je puisse éventuellement bien comprendre ce que tu vis
en réponse intuitive comme ça je dirait que maintenant je ne laisse plus le cerveau (donc le mental) s'emballer,
ni en situation, où mon attention est dans le ressenti et la perception sous le couvert du témoin intérieur pour mon chaudron perso,
puis hors situation en méditant et apportant attention à ce qui se lève pour faire le tri entre moi et non moi…
il me faut maintenant que je suis en situation d'isolement plusieurs jours pour récupérer toute ma liberté, (il m'en fallait bien plus à une autre époque !)
mais naturellement je suis une vraie éponge psychique, et je manque de ce que me donnaient les interférences quotidiennes auparavant :
plus de souplesse, pour les truc tordus, et les situations variées... le métro RER est génial c'est vrai pour ça
mais aussi c'est vrai moins de présence que je n'arrive à en avoir maintenant surtout quand c'est dur, et moins de libre arbitre pour rompre avec ce qui n'est pas mon choix, que maintenant…
bon je suis en train de prendre conscience de tout ça ! aussi mes mots ne sont sans doute pas très utiles ni clairement le reflet de ce que je vis
tu sais qu'il y a ici des sujets sur la CNV,
...il y a aussi hélas un gros clash de forum assez récent justement à propos ou plutôt à cause... (en fait j'ai pas encore tout compris !) de la CNV …
dont je ne suis pas encore remise…
Bof pö grav'
je m'en sert pour comprendre ce qui s'est passé quand je me suis fait jeter dans la vie quand j'ai adopté des formes transparentes et non violentes de vie et de communication...
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
@ Fabuliotte : "tout ce que j'ai bien voulu vous épargner"... arf, faut aller voir la solitude, le décalage, la bisounours au boulot, les rapports à soi, les rapports au autres, le célibat bien vécu.... et tout plein d'autre post..
@ Mag : je ne suis pas sure d'avoir tout saisi dans ton post, en même temps, il me semble que ça rejoint mes ressentis, mais en sens inverse, encore que. Métaphorons.... c'est comme si, en temps normal, je roule avec un frein à main serré pour le cerveau et un super couvercle sur la marmite pour supporter tout ce que je perçois, un mode survie en quelque sorte. La CNV fait sauter le couvercle/ouvre la vanne qui alimente le cerveau avec le contenu de la marmite... Mais comme je suis, pendant les séances de pratique, très très concentrée, c'est la marmite qui gère et tout va bien... sauf que je suis incapable de dire en temps réel "comment je me sens". Après... c'est comme si le frein à main était brutalement desserré et que la turbine, alimenté par le contenu de la marmite tournait à plein régime, voir s'emballait.... comme un vélo sans frein dans une descente. C'est palpitant et ingérable. ça vient par vagues, 1j, 2j, 3j après, la nuit, le jours, pendant une réunion au bureau...C'est la fête à tous les étages. Puis ça se calme, à peu près.
j'ai vu un post sur la CNV mais j'ai eu l'impression qu'il avait dérivé avant un long article de je ne sais plus qui que je n'ai pas encore pris le temps de lire. J'en ai aperçu un autre plus ancien. Pitetre je vais aller mettre mon grain de sel la dedans....histoire de.
Pour moi, la CNV bien intégré est quasiment un mode d'envisager la vie : ne plus qualifier, oser le JE à la place du "on" ou du "tu", exposer clairement ses opinions à partir de faits objectifs et ... pouvoir me mettre en colère sans sortir le bazooka ni être injuste, seulement dire vraiment... et avec conviction.... Effectivement, prendre de la distance pour analyser, si ce n'est à chaud, au moins à froid, et m'imbiber d'auto-empathie pour me remettre de toutes les agressions...Je commence tout juste sur ce chemin qui laisse augurer de magnifiques paysages.
@ Mag : je ne suis pas sure d'avoir tout saisi dans ton post, en même temps, il me semble que ça rejoint mes ressentis, mais en sens inverse, encore que. Métaphorons.... c'est comme si, en temps normal, je roule avec un frein à main serré pour le cerveau et un super couvercle sur la marmite pour supporter tout ce que je perçois, un mode survie en quelque sorte. La CNV fait sauter le couvercle/ouvre la vanne qui alimente le cerveau avec le contenu de la marmite... Mais comme je suis, pendant les séances de pratique, très très concentrée, c'est la marmite qui gère et tout va bien... sauf que je suis incapable de dire en temps réel "comment je me sens". Après... c'est comme si le frein à main était brutalement desserré et que la turbine, alimenté par le contenu de la marmite tournait à plein régime, voir s'emballait.... comme un vélo sans frein dans une descente. C'est palpitant et ingérable. ça vient par vagues, 1j, 2j, 3j après, la nuit, le jours, pendant une réunion au bureau...C'est la fête à tous les étages. Puis ça se calme, à peu près.
j'ai vu un post sur la CNV mais j'ai eu l'impression qu'il avait dérivé avant un long article de je ne sais plus qui que je n'ai pas encore pris le temps de lire. J'en ai aperçu un autre plus ancien. Pitetre je vais aller mettre mon grain de sel la dedans....histoire de.
Pour moi, la CNV bien intégré est quasiment un mode d'envisager la vie : ne plus qualifier, oser le JE à la place du "on" ou du "tu", exposer clairement ses opinions à partir de faits objectifs et ... pouvoir me mettre en colère sans sortir le bazooka ni être injuste, seulement dire vraiment... et avec conviction.... Effectivement, prendre de la distance pour analyser, si ce n'est à chaud, au moins à froid, et m'imbiber d'auto-empathie pour me remettre de toutes les agressions...Je commence tout juste sur ce chemin qui laisse augurer de magnifiques paysages.
Pouet- Messages : 529
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 59
Localisation : ici (78) ... et ailleurs
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Beaucoup de choses me touchent dans ce que tu écris, Pouet ! Au grand plaisir de te lire régulièrement.
Invité- Invité
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Bonjour Pouet (j'ai toujours rêvé de dire cela... )
Je ne te souhaite pas la bienvenue puisque je vois que tu es bien venue mais depuis février l'année passé
Je ne te souhaite pas la bienvenue puisque je vois que tu es bien venue mais depuis février l'année passé
Invité- Invité
Re: 1/2 siecle pour que se dessinent des rayures...
Coucou Zabgahangirl.
Contente d'avoir pu concrétiser un de tes rêves ;-) . je suis curieuse de savoir en quoi ce pouvait être un rêve d'ailleurs.
Merci d'avoir ressorti cette présentation. je l'ai relue avec beaucoup d'amusement 1 an après, quasi jour pour jour. Et je peux mesurer le chemin parcouru depuis.
La CNV est toujours et encore omniprésente. Plus ça va, plus je trouve ce processus puissant tant pour s'auto-réparer que pour communiquer. Au point que je suis en route pour un changement radical d'orientation professionnelle, je veux m'en servir comme outil pur faire de l'accompagnement individuel et de la formation, soit sur le processus lui-même, soit pour proposer une autre façon de faire.
La forteresse continue à s'autodétruire. J'en découvre régulièrement de nouvelles pièces (hihihihi). Les phases de conscientisation ne sont pas vraiment confortables (re hihihih) mais le résultat est toujours réjouissant. Je commence à me (re)connaitre, me sens bien plus vivante et sure de moi.
Je ne cherche plus l'interrupteur des émotions mais plutot à fortifier l'arrière-plan pour pouvoir y retourner m'y reposer quand l'agitation se fait trop forte. Ca marche plutot bien globalement. Faut juste pas que j'oublie de garder une partie de moi en vigilance et que j'ose m'isoler quand l'agitation externe est au-delà de mes moyens actuels. C'est en route et c'est BIEN.
De grands mercis à tout un chacun et au créateur et animteurs de ce forum pour l'aide et le soutien que vous m'apportez.
Contente d'avoir pu concrétiser un de tes rêves ;-) . je suis curieuse de savoir en quoi ce pouvait être un rêve d'ailleurs.
Merci d'avoir ressorti cette présentation. je l'ai relue avec beaucoup d'amusement 1 an après, quasi jour pour jour. Et je peux mesurer le chemin parcouru depuis.
La CNV est toujours et encore omniprésente. Plus ça va, plus je trouve ce processus puissant tant pour s'auto-réparer que pour communiquer. Au point que je suis en route pour un changement radical d'orientation professionnelle, je veux m'en servir comme outil pur faire de l'accompagnement individuel et de la formation, soit sur le processus lui-même, soit pour proposer une autre façon de faire.
La forteresse continue à s'autodétruire. J'en découvre régulièrement de nouvelles pièces (hihihihi). Les phases de conscientisation ne sont pas vraiment confortables (re hihihih) mais le résultat est toujours réjouissant. Je commence à me (re)connaitre, me sens bien plus vivante et sure de moi.
Je ne cherche plus l'interrupteur des émotions mais plutot à fortifier l'arrière-plan pour pouvoir y retourner m'y reposer quand l'agitation se fait trop forte. Ca marche plutot bien globalement. Faut juste pas que j'oublie de garder une partie de moi en vigilance et que j'ose m'isoler quand l'agitation externe est au-delà de mes moyens actuels. C'est en route et c'est BIEN.
De grands mercis à tout un chacun et au créateur et animteurs de ce forum pour l'aide et le soutien que vous m'apportez.
Pouet- Messages : 529
Date d'inscription : 13/02/2014
Age : 59
Localisation : ici (78) ... et ailleurs
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