Et vous que reprochez vous aux autres??

principalement : la malhonnêteté intellectuelle envers eux même et donc dans les propos qu'ils tiennent aux autres !

Etant donné que je ne me permettrais jamais de parler en vos noms même si nous avons les mêmes rayures ou le même pelage ou les mêmes ailes lol

Voici ce que je peut dire alors sans tomber dans la psychologie "aufeminin.com" ou de style "Ruffo"

Dans mon rapport aux autres je reproche a autrui de ne pas me donner ce que j attends de lui , bien que je n attende rien de lui au fond , car il y a un fort pourcentage qu'il me déçoive de tout façon, vu qu il ne prend aucun risque a vouloir me comprendre et vu qu' autrui emprunte toujours les mêmes chemins qui sont diamétralement opposé aux miens
.
Dans l absolu je voudrais que toutes ces réalités soit atteintes si toutes ces réalités seraient atteintes je pourrais dire dans l absolu je n ai rien a reprocher aux autres
Ce qui n est pas vrai , donc la recherche d absolu est une impasse quand on parle d autrui car autrui n est pas absolu , autrui c'est les autres et nous même

Autrui existe juste car il est lié a nous même
Ce qui traduit dans le fond que j ai malheureusement besoin d autrui même si c'est pour souligner le fait qu autrui ne m est pas indispensable
Je me retrouve alors devant moi même par le jeu des miroirs convexes entre moi et X
Je ne serais jamais ce que je suis sans les autres

Tous ces reproches sont en fait des réalités subjectives que je n 'est pas atteint
Au fond je voudrait simplement qu'on croit en moi pour que je puisse croire que cette réalité subjective est atteinte
Mon narcissisme s est dévoilé a travers ce post, peut être ai je un rapport inégal aux autres en priorisant moi-même a autrui
Ce mouvement vers moi-même m'a coupé de la réalité d autrui et du coup entraîne un décalage

De ce décalage nait peut être ma différence

Magali75 a écrit:Et enfin, peut-être que certaines personnes n'ont pas le même rapport au langage et aux échanges que d'autres: il leur servirait à délivrer à l'interlocuteur des infos déjà ficelées, terminées, des vérités, ce ne serait pas un outil de recherche collaborative.

Oui mais là encore (et c'est aussi bien remarque), on sort de la dualité zèbres/non zèbres.
[Au passage je pense qu'on peut aussi sortir de cette dualité pour expliquer la faculté à sauter du coq à l'âne et créer des liaisons inédites]
Et ces personnes là envisagent la collaboration autrement, disons. Ils vont poser leur marmite sur la table, et choisissent de s'approprier les épices que tu es susceptibles d'apporter. Mais ça ne les intéresse pas de préparer une mixture à deux.
Si je m'en référais au mbti je dirais que c'est une caractéristique reliée à la fonction Ti (pensée introvertie): les personnes collectent les idées pour construire leurs propres systèmes conceptuels en sous marin, puis éventuellement le présentent tels quels aux autres puis intégreront ou non les modifications que ces autres vont leur proposer au cours de leurs interactions.
Mais quoiqu'il en soit ce processus d'organisation des idées se passe toujours en soubassement, il n'y a pas vraiment de co-créativité sur le moment (ce que d'autres personnes fonctionnant sur un mode plus extraverti seraient davantage portées à rechercher par exemple).

Je n'ai pas tout lu, mais à la question initiale, je réponds : "rien".

Je reproche parfois des choses à des personnes en particulier, mais "aux autres", je ne reproche rien.

Et à ce sujet, je lui reproche de puer.

Rappelons une des interventions que je préfère :

Harpo a écrit:Les autres c'est qui dans l'histoire ?

Cette liste de choses que l'on peut reprocher, elle ressemble beaucoup à la liste de tous les comportements que l'on peut constater ici ou là sur ce forum non ?

Je ne pense pas qu'il faille prendre la question au pied de la lettre. Personnellement, je l'ai interprétée comme "quels sont les défauts que vous ne supportez pas chez certaines personnes ?". De toute façon, il est facile de reprocher des choses aux autres, sans pour autant faire d'introspection pour voir si l'on ne souffre pas de ces mêmes défauts, donc je trouve qu'il serait bien dangereux de faire des reproches à tous les autres (ou aux non-HPI, qui nous ressemblent bien plus que certains le pensent) alors que ce sont des défauts qui varient suivent les personnes.
En tout cas, pour ma part, je ne suis pas du tout une misanthrope asociale, et la question ne m'a pas choquée pour autant. Mais si c'était une question très clairement axée "moi contre le reste du monde", là oui, ça me choquerait et j'aurais des choses à dire à son auteur.
Dans la même lignée, on pourrait aussi bien ouvrir un sujet "quels sont mes défauts que je ne supporte pas ?", histoire d'équilibrer le sujet. Car ce qui compte, c'est de savoir faire la part des choses et de ne pas oublier que même si l'on peut noter des défauts insupportables chez les autres, il faut aussi savoir balayer devant sa porte et à ce qu'il me semble, beaucoup de participants dans ce sujet en sont tout à fait conscients.

Mmmh, je me suis (top vite) focalisé sur un "autres" global et visant explicitement les non-HQI (la première page est quand même assez axée là-dessus ...), merci de me donner un peu de recul, ton interprétation ne me dérange pas du tout non plus.

Ceci dit, l'emploi d'un vocabulaire ou d'un autre n'est pas anodin, et je trouve regrettable que cette phrase puisse être interprétée comme je le pensais (indépendamment du sens que son auteur voulait y mettre).

Ben t'en fais pas Harpo, moi j'ai bien tout pris pour moi lol étant par la force des choses l'autre de tous les autres, je suis forcément un autre pour tous ceux qui ont posté ici...
(autre interprétation possible avec ma logique à 10 balles).

"Que certains parlent beaucoup aux sujets de certains mais ne savent rien."
"Visent toujours à côté, rarement juste. HQI pour rien en fait."
"Que certains parlent de malhonnêteté intellectuelle sans chercher à vraiment comprendre."
"A certain(e)s d'être de parfaits xxxxxx."

House of pain  

rooo le vilain procès d'intention...
c'est juste sémantique tout ça. Au lieu de demander "que reprochez vous aux autres" le sujet aurait été "qu'est-ce qui vous blesse/choc/énerve dans les attitudes/actes d'autrui" et pif paf pouf pas de procès d'intention; on continuerait tranquillement le fil et chacun dirait ce qui le touche et éventuellement avec une petite anecdote drôle ou émouvante.
Flower powa

C'est très drôle en fait j'ai écrit ce post pour équilibrer le post qu' est ce qu'on vous reproche? qui est son inverse strict.

En relisant les 2 posts je m aperçoit qu' il y a un déséquilibre car on a plus tendance à parler de soi en que des autres ou plutôt à être plus dur avec soi qu' avec autrui
Je pense qu'on devrait être aussi critique avec soit qu' avec autrui
Je ne sais pas si c' est de la timidité en tout cas n' ayons pas honte de dire aux autres ce qu' on pense d' eux sans contrainte sémantique

il ne comprenne jamais rien! si je dis que là je ne peux pas être avec lui parce que j'ai mes filles et pas il y a qq jours... je mets le frein.. non je n'ai pas à t'étaler ma vie sur mes enfants, je veux une situation de couple et pas parler de mes problèmes qui n'ont rien a-à voir avec nous deux... Surtout que quand en face il a ses gosses une semaine sur deux, le monde s'arrête de tourner....
Et une autre personne qui me dit, que rien n'est réel tan qu'on ne s'est pas rencontré... excuse moi, quand je suis derrière un écran et que je parle je donne une partie de moi même, dans cette relation quel qu'elle soit... Et pour moi ce n'est pas anodin, parce que j'ai choisi d'entamer la conversation... L'existence d'un lien n'est pas purement lié au monde réel, il peut commencer en virtuel... ou c'est moi qui déconne...Nan, par à port à mon fonctionnement je ne déconne pas...

Putain ... C'était donc ça que tu me reprochais ...
Sauf que ce n'est pas un fonctionnement égoïste, juste un mode de fonctionnement qu'on juge efficace. A ce moment là, tout l'extérieur devient source de distraction, de parasitisme, et afin de se concentrer on retourne dans sa grotte. 

Or Ce que tu évacue d'un revers de main, c'est le Ti qui revient enfin avec son système. Ce n'est pas un système froid et mort qu'on offre a son interlocuteur mais une partie de son âme. Principe des introverties. 
On enfante un système, une idée, qu'on fait partager. Certes on est pas trop dans coopération, mais c'est notre relation au monde de donner sans contre partie un morceau de notre Vif. Et pour l'émetteur c'est un cadeau inestimable qu'on offre. Parce que l'autre peut le dénigrer, peut le détruire ... Bref on fait confiance a l'autre. 

Cette mixture peut être que tu n'as pas de rôle prépondérant pour la faire, mais tu peux la goûter et demander la recette, recette qui provient de la partie intime de l'introvertie, c'est une partie de soi. 

Ce qui est de la coopération au final, mais décalé, entre deux introvertie, oui ça ressemble si on est cynique a un échange de marchand tapis, mais celui qui a des yeux pour voir remarquera que c'est un plus deux flux d'âme qui s'entrecroisent.

Autrui c'est moi en plus ou moins pire !!

Je ne reproche rien à personne. Les gens sont tels qu'ils sont, ne changeront que dans de très rares cas ( et seulement s'il le souhaitent profondément). Pour moi, le reproche n'est pas loin du jugement, et je ne me permets pas de juger les autres ...
Je pense aussi que reprocher est une dépense d'énergie inutile.

On pourrait dire autrement, alors (en effet, s'encombrer de reproches fait perdre une énergie précieuse qu'on peut essayer d'utiliser plus utilement ailleurs): je propose qqch comme "qu'est-ce qui vous déplaît, vous incommode, vous intranquillise chez autrui au point que vous n'avez plus envie de partager leur compagnie?"

   "qu'est-ce qui vous déplaît, vous incommode, vous intranquillise chez autrui au point que vous n'avez plus envie de partager leur compagnie?"

.............Ca fait un peu entonnoir ? ca limite forcement les réponses
Et puis pourquoi tant de prévenance avec Autrui ?? LOL

Vous pouvez répéter la question??
Plus simple: qu'est-ce qui vous fait fuir chez les autres?  (je viens de trouver le smiley cat)

LOL

reponse : TOUT !!!

  

Jamais un reproche ne rapproche.
Lorsqu'on reproche quelque chose à autrui, dans 99% des cas, on pourrait se le reprocher à soi-même.
Il y a plein de choses que je n'apprécie pas, aussi bien chez les autres que chez moi.
J'retourne balayer devant ma porte .....piouhouuuu, y'a du boulot   

allé, j'y va aussi...

Je reprends cette phrase, je m'en servirai: "jamais un reproche ne rapproche" (pour les autres et moi même)

Je plussoie !

Donc est on en droit alors de reprocher des chose aux autres si nous n avons rien a nous reprocher
Dans l absolu je suis d accord a 100% avec moi même et pourtant je reproche pleins de choses aux X !

c'est clair que dans mon cas je ne me suis pas rapprochée de ceux que je critique, cela dit je ne me suis pas tout à fait éloignée non plus. Je suis toujours dans les parages, puisque nous avons tout de même en commun l'amour du même jeu vidéo, mais je ne m'intéresse plus du tout à leurs petites bafouilles personnelles. Trop ennuyeux.

Ce que je reproche aux autres.. au moins à une autre, et dont je me suis rendue compte hier (au boulot). Une grande réunion (40 personnes), quelqu'un dit quelque chose et en aparté, doucement, je lui dit un truc marrant qu'elle reprend ipso facto pour faire une blague (tout le monde rit et la félicité pour "son" bon mot). Je tique.. Re-belote 10mn plus tard (et là.. les boules   ). Du coup, j'ai fermé mon clapet et..... ben elle n'a plus fait de traits d'humour ! Comme c'est marrant...

Je me suis rendue compte alors que, et très probablement depuis des mois, elle utilisait mon sens de l'humour à son profit (et aussi sûrement celui d'autres) alors que je l'admirais pour ça (son intelligence fine, son humour).

En effet, de mon côté ce ne sont pas des reproches non plus,
ce sont plutot des constats qui me laissent un goût amer au quotidien .
Pourtant, il y a quelques bonnes surprises, des "bonnes prises" même chez les "autres".
Dans cette perspective je garde l'esprit ouvert et ne tient pas en préjugés cette "liste" et n'en ferait pas une généralité.

Au contraire, j'essaye de créer des "bonnes prises " collectives, comme je peux, et y'a de bons grimpeurs quand on les aide un peu.

j'y rajouterais quand meme :

- de ne pas savoir écouter
- de ne pas considérer son voisin ou celui qui marche à côté
- de s'enfermer dans un caveau ( "la tête pleine d'eau - absence de soucis- lobotomie ")
- de ne pas chercher à comprendre dès que c'est un peu compliqué ou que ça s'éloigne de leur nombril.
- ne pas savoir lire entre les lignes

Autrui n'est qu'interdépendant à soi. A nous d'ouvrir les portes plutôt que des les fermer.
[ cioè : ca fonctionne de manière inverse : je ne sais pas me faire entendre, j'ai du mal à m'imposer en société, je pars un peu trop vite et loin dans mes idées, ca sème vite l'autre ].
L'autre est toujours relatif.

SpacePad a écrit:[justify]Source authentique même cachée vaut mieux que dépositaire en imposture appréciée. Si cela se reproduisait, je t'invite à quelconque blague de mauvais goût ou ambivalente. Car sans faire de la politique, l'humiliation donc les revers de médaille contre-offensifs piégeant sont assez faciles en séance de réunionite (En France selon les études officielles, les cadres passeraient en moyenne plus du tiers de leur temps en réunion...). Ou alors tu gardes ton mutisme à cet effet si ça ne te pèse pas trop, c'est une bonne idée pour cesser de faire exister ce genre de mesquineries professionnelles.

Il est clair que je préfère ma place à la sienne dans la mesure où c'est moi qui en suis à l'origine (créativité) et puis ça ne porte que sur un aspect bénin, mais ce que je n'ai pas aimé c'est le mensonge que ça porte.. toujours est-il que cette petite mesquinerie m'a beaucoup appris sur elle !

Bonsoir à tous,
Cela fait quelques jours précisément que j'éprouve beaucouuuup de difficulté à "supporter" mes concitoyens. Pourquoi maintenant ? Je ne sais pas...
Ce que je leur reproche ? :
- Aux filles : D'être des écervelées, des assistées, des râleuses, des gamines.
Hier dans le métro j'en entend deux discuter... j'ai failli changer de place tellement ça m’insupportais ! "les adultes ils sont nuls ah ah ah" (ouai... Mais euh.... TU ES une adulte...) ! Tout ça en se tortillant les cheveux avec une voix exagérée de gamine. Je ne supporte plus ça... Ces filles qui ont l'air tout droit sorties d'un sketch sur les nunuches ! Y EN A PARTOUT !!! Mon dieu sortez moi de là...
Et ces mecs, n'en parlons pas... Qui se complaisent à se promener au bras d'une de ces nunuches... Ou d'une nunuche qui est en mode râleuse, et qui tire une gueule de 6 mètres de long ! Qui parle pas, mais qui fait la gueule et toute la rame de métro l'a remarqué !
Ces mecs qui mentent pour arriver à leurs fins : dans mon lit ! Et qui après envoi un texto genre "t'es un fille vraiment super, j'adore discuter avec toi, tu es belle.... mais je ne veux pas de copine pour l'instant". Et le mec on le croise avec une de ces nunuche dans la rue.
Alors je ne peux pas m'empêcher de ne pas ramener ça à moi bien sûr... "Pourquoi?" Pourquoi préfèrent-ils ces filles à moi ? ...   
En ce moment je crois que ce que je reproche aux autres c'est leur bonheur, leur vie de couple que moi je n'arrive pas à avoir.

Angélique

Je ne connais que trop ce sentiment-là aussi. Juste dis-toi que beaucoup de ces couples ne sont en fait qu'un "plan cul stable ou sous contrat" (et que c'est la même chose avec ces mecs qui choisissent de charmantes idiotes, tout simplement parce qu'elles sont jolies). Et c'est vrai même pour un bon nombre de couples mariés. Une fois que leur attirance sexuelle décroît naturellement avec le temps, ils se séparent parce qu'il ne reste plus rien ensuite. De l'attirance, de l'intensité, de l'intimité physique, il y en a eu dans ces couples passionnels, mais de l'intimité spirituelle, de l'amour ?... Tous les couples sont loin de réellement en avoir l'un pour l'autre. Ils ont pris leur attirance pour de l'amour. Pour cela, je ne les envie pas. De mon expérience personnelle, je pense que l'amour, le vrai, est une rareté et que tout le monde n'en fait pas l'expérience dans sa vie, loin de là.

Je leur reproche le comble de l'indécence; ne pas être moi.   

Je leur reproche d'être ennuyeux.
... Reprocher. Pas spécialement reprocher.
Je les désigne en toute lassitude comme ennuyeux.
Sachant que l'Ennui qu'ils m'inspirent prend sa source dans un peu près tout les points que vous avez précédemment cités.  
...
Oh. Et je partage ma vénération portée au post de 135b7, pour finir.
Définitivement, je trouve le mot "reprocher" intolérant.
Même si on en souffre, peut on vraiment leur reprocher.
On ne peut pas dans tout les cas, c'est certain.
Dans d'autres, soit. Pas dans tous, d'où je tique sur ce mot.

Je ne reproche rien aux autres.

Le terme "Les autres" n’est pas une entité quantifiable, pour pouvoir lui attribuer une conscience et une responsabilité. Les autres c’est nous aussi. Nous sommes "les autres" pour les autres.
Autant reprocher à une pierre d’être dure ou au lion de manger la gazelle ou à la Terre de tourner en rond. C’est ainsi la nature, c’est ainsi la vie, et nous en faisons partie.

De plus, les autres, cela ne me regarde pas. C’est à moi que je reproche mes faiblesses, mes conneries.

Au contraire, en tolérant les autres au lieu de leur reprocher, en essayant de les comprendre, se mettre à la place de chacun, on se comprend mieux soi-même et cela aide à s'améliorer, à maitriser ses déséquilibres.

Ich bin total einverstanden, iiihou.
... Je suis en train d'écrire un mail en allemand, j'ai un peu de mal à me ré-acclimater. Bon, je t'épargne google trad, au cas où tu ne connaîtrais pas la signification de mes mots.
Je suis totalement d'accord avec toi, iihou.

je leur reproche souffre de leur mauvaise foi
j'aurai l'impression d'insulter leur intelligence si je prenais au 1er degré ce qu'ils disent, donc je leur réponds au Xième degré et je me mange un violent "tu compliques TOUJOURS tout"
je souffre de les voir se laisser vivre, ne pas se poser de questions, ne pas envisager la vie comme un tout à multiples entrées, de se laisser flotter
je souffre de leur à-peu-près, du manque d'exigence, du manque de rigueur
je souffre de leur manque de bienveillance et d'empathie

De se mêler de la vie des autres, et de l'inventer s'ils ne la connaissent pas. Je leur reproche ce besoin malsain de projeter leurs désirs non assumés sur ceux qui sont bien dans leur peau (zébrée), je leur reproche leur ingérence et ce besoin de salir ce qu'ils ne comprennent pas. Je les vomis quand ils font ça   

bonjour à tous ,  je suis nouvelles !

et bien moi je reproche
-de n'avoir qu'un seul sujet de conversation
-d'etre hypocrite
-sans ecoute de lautre
-de jugé facilement alors que eux sont pireeeeeeeeeeeeeeee
-d'avoir aucune finesse aucune delicatesse et se prendre pour une duchesse!(tient sa rime lol   )
-de ne pas suivre un chemin de route droit
de n'avoir aucun respect de la vie ,et de tout ce qui nous entourent
j'en peux plus je ne peux plus voir personne tellement c'est rageant à l'interieur !j'ai un espece de loup garou qui hurle pendant les conversation à 20ct

leur hypocrisie,
de se prendre la tête pour des futilités
de juger constamment l'autre
de ne pas balayer devant leur porte
d'être insensible
de prendre tout à la légère
surtout leur individualisme et leur égoisme
de ne pas voir plus loin que le bout de leurnez
de regarder constamment la tv
LEUR INTOLERANCE
LEUR FRIC ET LEUR MATERIEL
Je ne veux pas sortir ni lire mes mails

je ne veux pas sortir ni lire mes mails...
de ne pas dire les mots comme ils sont
leur reproches
leur INTOLERANCE...

par contre la question me gêne le mot reproche.
Pardon je suis qui pour reprcoher?

Aujourd'hui. Rien.

- l'incohérence entre le raisonnement/les propos et les actes/le comportement

D'être beaucoup plus nombreux que nous et par là de nous rendre la vie bien difficile   

Rien

je ne leur reproche rien.


je pense qu'ils sont irresponsables du mal qu'ils font aux autres. et qu'ils sont victime d'eux-mêmes.
je souhaite que l'on apprenne aux gens à avoir un meilleur self-control. et à ne pas se mettre en colère.

Je deviens carrément irritable quand je suis convaincu que quelqu'un d'autre, dont je me soucie un minimum, ne fait pas d'efforts pour s'exprimer correctement, ou pour écouter un minimum et donc entendre. J'aimerais bien n'en avoir rien à faire, ça m'éviterait de devenir désagréable.