La zebritude chez les artistes
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La zebritude chez les artistes
Bonjour à tous,
(à ce qui paraît les surdoués aiment lire, voilà de quoi étancher votre soif :p)
La douance c'est un mode de pensée particuler. J'ai l'impression qu'il faut obligatoirment la confirmation d'un test de QI pour être reconnu comme tel. Personnellement, je n'ai jamais fait de test de QI, et en général j'ai horreur des tests et des examens qui m'angoissent, et je suis habituée aux "passable". J'ai eu une adolescence assez destructrice sans vraiment comprendre pourquoi. Et aujourd'hui j'ai 19 ans, j'ai toujours cette impression de ne pas vivre plainement ce que je suis, car quelquechose m'enchaîne et m'en empêche.
J'ai commencé à consulter une psychologue il y a 6 mois à cause du stress qui m'empêchait de dormir. Je n'étais pas bien dans ma peau si bien que je ne voyais même plsu d'intêret dans mes actes, je remetais tout en question. J'avancais par obligation, mais à côté, je pleurais et je ne dormais plus la nuit. Ce qui me stressait le plus, c'est que j'étais incapable de comprendre pourquoi j'allais mal, pourquoi la vie m'énervait, je n'avais pas envie de parler aux autres etc...
Toute ma scolarité j'étais l'élève dans la lune, pas indisciplinée, mais qui oublie tout, perd ses affaires, ne suit pas le cours, rêve. Mais chez moi, je faisais un minimum mes devoirs et je n'ai jamais redoublé jusqu'au bac. J'ai été très suivie par mes parents et même si j'avais horreur de travailler, que je me foutais de tout, je me forcais parceque ça avait toujours été ainsi et que par définition dans ma tête école=chiant et que si à mon âge c'était la seule chose qu'on me demandait c'est que je devais pas être capable de faire autre chose. Bref, j'avais ma réputation à l'école, pas mal de gens me trouvaient stupide de répondre toujours à côté, de faire enrager les profs. J'avais un malaise avec les autres, je me défendais pas, et j'avais du mal à trouver des amis. Je me souviens pour moi c'était la necessité de trouver un groupe pas pour sympathiser, mais pour pas avoir la honte d'être toute seule. Je m'enfermais dans les toilettes des fois quand j'avais personne. Des tas de petits détails comme ça qui me rappellent que je me suis toujours placée en victime, on fait avec. Très peu de plaisir au fond, et des amitiés assez rares et en général exclusive concentré sur une personne.
Aujourd'hui quand je me remémore mon enfance, je me souviens d'une fille qui voulait à tout prix plaire aux gens, qu'on l'aime, mais qui s'était habituée à l'inverse. S'accrochant aux personnes qui l'acceptaient peu importe si ces personnes l'interessaient elle. Ca c'était le primaire et le collège.
Au lycée, je continuais sur la même lancée, les notes litérraires qui rattrapaient les petites catastrophes en sciences. La routine quoi avec un 11-12 de moyenne. Puis j'ai découvert ma bête noire, internet et les jeux en ligne. Le début d'une "cyber addcition" qui durera la quasi totalité du lycée. Je découvre ces jeux au contenu tellement riche et aux possibilités nombreuses. Et grande nouveauté, parler à des inconnus via des canals. J'adore ça moi qui n'ose jamais dire la moitié de ce que je pense aux gens. Je deviens vite accro, et au final, ça deviendra n'importequoi, des nuits sur de jeu, des journées entierres au point de négliger la réalité. Mes parents qui s'énervent. Moi qui me met dans tous mes états dès qu'on m'arrache de mon monde, état de stress pleurs, envie de destruction. Et à côté mes proches qui me culpabilisent de ne pas être raisonnable. Terminale j'ai mon bac et je ne joue plus depuis 6 mois aux jeux, mais je reste très attachée à internet, mon monde virtuel ma musique etc...
A côté, c'est toujours pareil, en cours je ne dis rien, j'attends que ça passe en notant machinalement. J'arrive pas à me faire des amis, je suis la 3e roue du carosse et de toute façon je m'éfface volontairement. Milieu très bourgeois et superficiel dans lequel je me sens mal, porté su l'élitisme et les valeurs materielles, la réussite de son parcours carriériste.
Un peu pommée, je pars en faculté de gestion, décidée à malgré ça devenir une personne respectable avec son bac+5 et son poste de cadre en entreprise. La seule alternative que j'avais dans le crane à l'époque (et une erreur, une). J'ai plus les deux filles avec qui j'étais restée pendant tout mon lycée, je me sens seule, j'arrive pas à recréer des liens. Je m'isole, en plus je déteste mes études. Petit à petit, tout me lasse je deviens triste et grise jusqu'à l'arrêt de mes cours. Je commence à consulter une psychologue parceque je ne m'en sort plsu seule, j'ai peur de la depression.
Je me decide à partir dans un domaine qui me correspond plus,, faisant appel à la créativité, je choisis la mise à niveau en art appliqués, qui peut déboucher sur la communication visuelle, infographie etc... Pendant 6 mois, je reste seule, je n'attends qu'uen chose la rentrée.
En attendant j'avance avec ma psychologue, je lui fais pars de mes angoisses, et j'explore mon émotionel, mon refoulé, le fait que je n'ai jamais été amoureuse. Je lui fais part des raisons pour lesquelles je me sens différente, je pense être une fille qui aime les filles. Mais c'est dur d'être sur quand on a toujours refoulé son émotionnel. Je craque, je pleure, j'ai besoin d'affection de repères, il n'y a rien que du dégout et du doute.
A la rentrée prete à entrer dans un milieu artistique, plus ouvert je suis pressée, et c'est le cas, je vois des gens de tous bords, je me sens mieux on vient me parler sans airs prétentieux, des filles plus masculines, touts types de personnalités de styles vestimentaires ensemble. Ca fait vraiment du bien. Mais là encore, je suis face à un autre problème. J'ai tout pour m'épanouir, des gens comme moi, d'autres différents, mais au bout d'un mois de cours, je m'ennuie atrocement. Un petite classe de 20, des sujets portés sur la communication. Au fond, moi je continue à rêver, être dans la lune, et je commence à dessiner. J'ai toujours aimé le dessin, c'est l'une des rares choses que je faisais par envie. Mais je ne me suis jamais accrochée à ça. Et ma cyber addcition m'avait déccroché de toute autre passion succeptible. Je retrouve donc ce vieil interet pour le dessin et à côté cet ennui en cours. Je commence à me voir progresser, mes personnages se forment, et tout devient frénétique, j'ai retrouvé du plaisir en quelquechose. Ca me permet de rêver, je créer mes personnages, je repense à mes mondes virtuels passés qui m'inspirent, tout ce monde inétérieur, ces histoires que je me raconte que j'écris parfois. Et là, je comprends ce que le dessin c'est l'outil qu'il me faut pour m'exprimer. Bizzarement je me découvre une capacité de travail hors norme, ça en devient presque obscionel, je progresse très vite, ça me semble agréable en plus j'adore ça. J'arrête donc les cours, je veux dessiner seule chez moinpour progresser. Tout le monde trouve ce comportement étrange. Même moi je ne comprends pas ce qui m'arrive, pour la première fois de ma vie j'ai de l'ambition. Je repense à tout ce que j'ai vécu et j'imagine ce que je pourrai en faire grâce au dessin, et là je me dis que non, tout ça n'aura pas été inutile. Car il me manquait juste un moyen de m'exprimer pour prendre confiance. Pour la première fois de ma vie, je tombe également amoureuse, je suis fascinée par une fille de ma classe, alors comme ça, oui j'en étais capable.
Au fond, c'est quoi mon problème pourquoi je suis si torturée? Au début je pensais que tout ça n'était que les conséquences d'un mal être du aux doutes concernant ma sexualité. Mais aujourd'hui, j'ai croisé d'autres homos et au fond, je ne me sens pas plus en phase avec eux. Toujours dans mon monde, je pense h24, comme un dialogue perpetuel dans ma tête. Je vois toutes mes actions au point de ne pas vivre l'instant présent. Le contact avec les autres, me stresse pas mal. Je suis une hyperémotive. Je me laisse envahir par mes émotions négatives (angoisses, peurs, autodestruction, manque destime) et positives (rêves, passion, ambition démesurée). Je me sens véritablement alien par tous ces comportements, cette envie d'être dans mon monde, des heures à écouter de la musique, n'importequoi pourvu que ce ne soit pas "matériel" et que ça me permette de m'évader. Je me fous de tout; je vis dans le bordel, dans l'excès, je passe des heures à être déconnectée. Deplus je passe ma vie à tout analyser, à écrire mes émotions, à me faire des films intérieurement, à chercher des réponses, à pousser l'introspection sans cesse au point de ne plsu savoir quoi dire de "normal" aux gens sur ma vie.
Deplus mon popa est un peu comme ça, il est assez rationel à nous taner avec sa raison et sa culture G, des difficultés importantes à exprimer ses émotions, comportement étranges (mes parents sont en pleins divorce), mensonges, etc...
Enfin, je cherche à me connaître et je me demandais comment la zébritude pouvait sé témoinger dans l'art? Et des surdoués, y'en a surement aussi chez les homosexuels. Personnelement je l'ai extrémement mal vecu, je me suis fait beaucoup de mal à cause de ça et durant longtemps. Aujourd'hui je lutte encore, bien que décidée à lacher prise petit à petit. Ce n'est pas facile mais je retrouve le courage. Et s'il se pourrait que ce soit l'une des causes de mon mal être, mon hypersensibilité, ce sentiment déplacé qaund je suis avec les autres, de ne pas savoir ce qu'il faut dire, peur de dire une connerie monumentale et cette instabilité permanente, et l'incapacité à me contraindre et faire des efforts quand je ne vois pas d'interet.
(à ce qui paraît les surdoués aiment lire, voilà de quoi étancher votre soif :p)
La douance c'est un mode de pensée particuler. J'ai l'impression qu'il faut obligatoirment la confirmation d'un test de QI pour être reconnu comme tel. Personnellement, je n'ai jamais fait de test de QI, et en général j'ai horreur des tests et des examens qui m'angoissent, et je suis habituée aux "passable". J'ai eu une adolescence assez destructrice sans vraiment comprendre pourquoi. Et aujourd'hui j'ai 19 ans, j'ai toujours cette impression de ne pas vivre plainement ce que je suis, car quelquechose m'enchaîne et m'en empêche.
J'ai commencé à consulter une psychologue il y a 6 mois à cause du stress qui m'empêchait de dormir. Je n'étais pas bien dans ma peau si bien que je ne voyais même plsu d'intêret dans mes actes, je remetais tout en question. J'avancais par obligation, mais à côté, je pleurais et je ne dormais plus la nuit. Ce qui me stressait le plus, c'est que j'étais incapable de comprendre pourquoi j'allais mal, pourquoi la vie m'énervait, je n'avais pas envie de parler aux autres etc...
Toute ma scolarité j'étais l'élève dans la lune, pas indisciplinée, mais qui oublie tout, perd ses affaires, ne suit pas le cours, rêve. Mais chez moi, je faisais un minimum mes devoirs et je n'ai jamais redoublé jusqu'au bac. J'ai été très suivie par mes parents et même si j'avais horreur de travailler, que je me foutais de tout, je me forcais parceque ça avait toujours été ainsi et que par définition dans ma tête école=chiant et que si à mon âge c'était la seule chose qu'on me demandait c'est que je devais pas être capable de faire autre chose. Bref, j'avais ma réputation à l'école, pas mal de gens me trouvaient stupide de répondre toujours à côté, de faire enrager les profs. J'avais un malaise avec les autres, je me défendais pas, et j'avais du mal à trouver des amis. Je me souviens pour moi c'était la necessité de trouver un groupe pas pour sympathiser, mais pour pas avoir la honte d'être toute seule. Je m'enfermais dans les toilettes des fois quand j'avais personne. Des tas de petits détails comme ça qui me rappellent que je me suis toujours placée en victime, on fait avec. Très peu de plaisir au fond, et des amitiés assez rares et en général exclusive concentré sur une personne.
Aujourd'hui quand je me remémore mon enfance, je me souviens d'une fille qui voulait à tout prix plaire aux gens, qu'on l'aime, mais qui s'était habituée à l'inverse. S'accrochant aux personnes qui l'acceptaient peu importe si ces personnes l'interessaient elle. Ca c'était le primaire et le collège.
Au lycée, je continuais sur la même lancée, les notes litérraires qui rattrapaient les petites catastrophes en sciences. La routine quoi avec un 11-12 de moyenne. Puis j'ai découvert ma bête noire, internet et les jeux en ligne. Le début d'une "cyber addcition" qui durera la quasi totalité du lycée. Je découvre ces jeux au contenu tellement riche et aux possibilités nombreuses. Et grande nouveauté, parler à des inconnus via des canals. J'adore ça moi qui n'ose jamais dire la moitié de ce que je pense aux gens. Je deviens vite accro, et au final, ça deviendra n'importequoi, des nuits sur de jeu, des journées entierres au point de négliger la réalité. Mes parents qui s'énervent. Moi qui me met dans tous mes états dès qu'on m'arrache de mon monde, état de stress pleurs, envie de destruction. Et à côté mes proches qui me culpabilisent de ne pas être raisonnable. Terminale j'ai mon bac et je ne joue plus depuis 6 mois aux jeux, mais je reste très attachée à internet, mon monde virtuel ma musique etc...
A côté, c'est toujours pareil, en cours je ne dis rien, j'attends que ça passe en notant machinalement. J'arrive pas à me faire des amis, je suis la 3e roue du carosse et de toute façon je m'éfface volontairement. Milieu très bourgeois et superficiel dans lequel je me sens mal, porté su l'élitisme et les valeurs materielles, la réussite de son parcours carriériste.
Un peu pommée, je pars en faculté de gestion, décidée à malgré ça devenir une personne respectable avec son bac+5 et son poste de cadre en entreprise. La seule alternative que j'avais dans le crane à l'époque (et une erreur, une). J'ai plus les deux filles avec qui j'étais restée pendant tout mon lycée, je me sens seule, j'arrive pas à recréer des liens. Je m'isole, en plus je déteste mes études. Petit à petit, tout me lasse je deviens triste et grise jusqu'à l'arrêt de mes cours. Je commence à consulter une psychologue parceque je ne m'en sort plsu seule, j'ai peur de la depression.
Je me decide à partir dans un domaine qui me correspond plus,, faisant appel à la créativité, je choisis la mise à niveau en art appliqués, qui peut déboucher sur la communication visuelle, infographie etc... Pendant 6 mois, je reste seule, je n'attends qu'uen chose la rentrée.
En attendant j'avance avec ma psychologue, je lui fais pars de mes angoisses, et j'explore mon émotionel, mon refoulé, le fait que je n'ai jamais été amoureuse. Je lui fais part des raisons pour lesquelles je me sens différente, je pense être une fille qui aime les filles. Mais c'est dur d'être sur quand on a toujours refoulé son émotionnel. Je craque, je pleure, j'ai besoin d'affection de repères, il n'y a rien que du dégout et du doute.
A la rentrée prete à entrer dans un milieu artistique, plus ouvert je suis pressée, et c'est le cas, je vois des gens de tous bords, je me sens mieux on vient me parler sans airs prétentieux, des filles plus masculines, touts types de personnalités de styles vestimentaires ensemble. Ca fait vraiment du bien. Mais là encore, je suis face à un autre problème. J'ai tout pour m'épanouir, des gens comme moi, d'autres différents, mais au bout d'un mois de cours, je m'ennuie atrocement. Un petite classe de 20, des sujets portés sur la communication. Au fond, moi je continue à rêver, être dans la lune, et je commence à dessiner. J'ai toujours aimé le dessin, c'est l'une des rares choses que je faisais par envie. Mais je ne me suis jamais accrochée à ça. Et ma cyber addcition m'avait déccroché de toute autre passion succeptible. Je retrouve donc ce vieil interet pour le dessin et à côté cet ennui en cours. Je commence à me voir progresser, mes personnages se forment, et tout devient frénétique, j'ai retrouvé du plaisir en quelquechose. Ca me permet de rêver, je créer mes personnages, je repense à mes mondes virtuels passés qui m'inspirent, tout ce monde inétérieur, ces histoires que je me raconte que j'écris parfois. Et là, je comprends ce que le dessin c'est l'outil qu'il me faut pour m'exprimer. Bizzarement je me découvre une capacité de travail hors norme, ça en devient presque obscionel, je progresse très vite, ça me semble agréable en plus j'adore ça. J'arrête donc les cours, je veux dessiner seule chez moinpour progresser. Tout le monde trouve ce comportement étrange. Même moi je ne comprends pas ce qui m'arrive, pour la première fois de ma vie j'ai de l'ambition. Je repense à tout ce que j'ai vécu et j'imagine ce que je pourrai en faire grâce au dessin, et là je me dis que non, tout ça n'aura pas été inutile. Car il me manquait juste un moyen de m'exprimer pour prendre confiance. Pour la première fois de ma vie, je tombe également amoureuse, je suis fascinée par une fille de ma classe, alors comme ça, oui j'en étais capable.
Au fond, c'est quoi mon problème pourquoi je suis si torturée? Au début je pensais que tout ça n'était que les conséquences d'un mal être du aux doutes concernant ma sexualité. Mais aujourd'hui, j'ai croisé d'autres homos et au fond, je ne me sens pas plus en phase avec eux. Toujours dans mon monde, je pense h24, comme un dialogue perpetuel dans ma tête. Je vois toutes mes actions au point de ne pas vivre l'instant présent. Le contact avec les autres, me stresse pas mal. Je suis une hyperémotive. Je me laisse envahir par mes émotions négatives (angoisses, peurs, autodestruction, manque destime) et positives (rêves, passion, ambition démesurée). Je me sens véritablement alien par tous ces comportements, cette envie d'être dans mon monde, des heures à écouter de la musique, n'importequoi pourvu que ce ne soit pas "matériel" et que ça me permette de m'évader. Je me fous de tout; je vis dans le bordel, dans l'excès, je passe des heures à être déconnectée. Deplus je passe ma vie à tout analyser, à écrire mes émotions, à me faire des films intérieurement, à chercher des réponses, à pousser l'introspection sans cesse au point de ne plsu savoir quoi dire de "normal" aux gens sur ma vie.
Deplus mon popa est un peu comme ça, il est assez rationel à nous taner avec sa raison et sa culture G, des difficultés importantes à exprimer ses émotions, comportement étranges (mes parents sont en pleins divorce), mensonges, etc...
Enfin, je cherche à me connaître et je me demandais comment la zébritude pouvait sé témoinger dans l'art? Et des surdoués, y'en a surement aussi chez les homosexuels. Personnelement je l'ai extrémement mal vecu, je me suis fait beaucoup de mal à cause de ça et durant longtemps. Aujourd'hui je lutte encore, bien que décidée à lacher prise petit à petit. Ce n'est pas facile mais je retrouve le courage. Et s'il se pourrait que ce soit l'une des causes de mon mal être, mon hypersensibilité, ce sentiment déplacé qaund je suis avec les autres, de ne pas savoir ce qu'il faut dire, peur de dire une connerie monumentale et cette instabilité permanente, et l'incapacité à me contraindre et faire des efforts quand je ne vois pas d'interet.
Mitsu- Messages : 49
Date d'inscription : 10/10/2010
Localisation : Bruxelles
Re: La zebritude chez les artistes
Soit la bienvenue, Mitsu.
Tout d'abord, il n'est nullement obligatoire de passer des tests pour s'inscrire et participer au forum.
En effet, passer un bilan psychologique (test) est une démarche purement personnel.
Sinon, lire le livre de Jeanne Siaud Facchin ("L'adulte surdoué, trop intelligent pour être heureux") peut être un premier pas vers la connaissance de toi.
Nicoco- Messages : 4321
Date d'inscription : 16/09/2009
Age : 60
Localisation : Paris
Re: La zebritude chez les artistes
bonsoir mitsu
et si tu repostais tout ça dans la rubrique des présentations ?
à moins qu'un modo puisse le déplacer ?
en tous cas, peu importe la case, sois la bienvenue
des artistes, il y en a par ici, tu pourras partager avec eux
et si tu repostais tout ça dans la rubrique des présentations ?
à moins qu'un modo puisse le déplacer ?
en tous cas, peu importe la case, sois la bienvenue
des artistes, il y en a par ici, tu pourras partager avec eux
zheibr- Messages : 1508
Date d'inscription : 15/06/2010
Age : 56
Localisation : kornog don
Re: La zebritude chez les artistes
Bienvenue Mitsu
Voilà qui est fait
et si tu repostais tout ça dans la rubrique des présentations ?
à moins qu'un modo puisse le déplacer ?
Voilà qui est fait
Lanza- Messages : 1913
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 48
Localisation : Finistère sud
Re: La zebritude chez les artistes
Bienvenue mitsu.
Es-tu sur Paris, car une petite rencontre avec des surdoués s'impose.
À Paris ou ailleurs mais vu la concentration, c'est souvent plus facile sur la capitale.
En vérité, cette dernière partie que tu écris me fait dire que passer quelques heures avec des surdoués pourrait te donner une amorce de réponse quand à ta peur de dire des conneries et de ne pas être en phase avec ton entourage.
On passe notre temps à dire des conneries sans pour autant se sentir décalés. Étonnant non ?
Au plaisir
Es-tu sur Paris, car une petite rencontre avec des surdoués s'impose.
À Paris ou ailleurs mais vu la concentration, c'est souvent plus facile sur la capitale.
En vérité, cette dernière partie que tu écris me fait dire que passer quelques heures avec des surdoués pourrait te donner une amorce de réponse quand à ta peur de dire des conneries et de ne pas être en phase avec ton entourage.
On passe notre temps à dire des conneries sans pour autant se sentir décalés. Étonnant non ?
Au plaisir
Re: La zebritude chez les artistes
kid Pharaon a écrit:On passe notre temps à dire des conneries sans pour autant se sentir décalés. Étonnant non ?
artistiquement parlant, c'est en mélangeant les couleurs vives qu'on obtient des nuances... intéressantes !
Bonnes rencontres "en vrai" si tu en as la possibilité Mitsu, et sinon, tout aussi réel (parfois ça crève presque l'écran), il reste cet espace, ouvert.
à bientôt ?
zheibr- Messages : 1508
Date d'inscription : 15/06/2010
Age : 56
Localisation : kornog don
Re: La zebritude chez les artistes
Il y a aussi quelques LGB (pas vu de T encore) dont certains le vivent bien et même une jeune femme qui a ton âge
Comprendre de quelle manière notre identité reflète plusieurs facettes minoritaires peut être plus compliqué dans l'abord, mais c'est assurément une grande richesse
Bienvenue
Comprendre de quelle manière notre identité reflète plusieurs facettes minoritaires peut être plus compliqué dans l'abord, mais c'est assurément une grande richesse
Bienvenue
augenblick- Messages : 6243
Date d'inscription : 05/12/2009
Localisation : Paris
Re: La zebritude chez les artistes
J'ai halluciné pendant la lecture de ton post ... c'est un quasi-plagia de ma vie (Ou j'ai plagié ta vie vu que tu as 1 an de plus)
En plus j'utilisais le même pseudo sur internet il y a quelques mois
Bref on s'en fout
Bienvenue
Et comme le dit Augenblick, l'homosexualité est une facette de toi parmi tant d'autre qui peut te permettre de percevoir le monde autrement.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se coller une étiquette, on ne sait pas ce que la vie nous réserve.
En plus j'utilisais le même pseudo sur internet il y a quelques mois
Bref on s'en fout
Bienvenue
Et comme le dit Augenblick, l'homosexualité est une facette de toi parmi tant d'autre qui peut te permettre de percevoir le monde autrement.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se coller une étiquette, on ne sait pas ce que la vie nous réserve.
Eoh- Messages : 20
Date d'inscription : 11/09/2010
Age : 32
Localisation : Rennes
Re: La zebritude chez les artistes
Bienvenue ici. Peu importe que tu sois testée ou non. C'est déjà un grand pas de fait que d'avoir entamé une démarche vers toi-même
Invité- Invité
Re: La zebritude chez les artistes
Eoh a écrit:
Bienvenue
Et comme le dit Augenblick, l'homosexualité est une facette de toi parmi tant d'autre qui peut te permettre de percevoir le monde autrement.
Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se coller une étiquette, on ne sait pas ce que la vie nous réserve.
Bienvenue mitsu,
Si je peux me permettre, je ne suis pas d'accord avec cette idée. En quoi l'homosexualité te permet d'avoir une vision différente sur le monde? La seule chose qui diffère c'est la façon dont les autres (pas tous, cf ma prochaine phrase) te regarde(ront), pas l'inverse.
Et comme tu l'a si bien expliquer mitsu, ce n'est pas en cotoyant des homos que tu te sentiras plus à l'aise. Pour trouver des gens qui te correspondent il faut être patient... Ce n'ets que mon avis hein? Si j'étais bon en relations sociales ça se saurait! ^^
strad- Messages : 177
Date d'inscription : 16/08/2010
Age : 40
Re: La zebritude chez les artistes
Parce que tu comprends qu'il n'y a pas que l'hétérosexualité, je crois que pour quelqu'un c'est suffisant pour découvrir de nouvelles perspectives. Je serais passée à côté de beaucoup de chose si je n'avais aimé que les garçons (ceci n'est pas une allusion sexuelle ^^)En quoi l'homosexualité te permet d'avoir une vision différente sur le monde?
Mais ce n'est pas le topic approprié pour que développe mon idée, je conclurais par : vu que c'est une opinion personnelle basée sur un ressenti personnel je peux comprendre que l'on ne partage pas mon point de vue ^^
Eoh- Messages : 20
Date d'inscription : 11/09/2010
Age : 32
Localisation : Rennes
Re: La zebritude chez les artistes
Eoh a écrit:
Mais ce n'est pas le topic approprié pour que développe mon idée
Pas faux
strad- Messages : 177
Date d'inscription : 16/08/2010
Age : 40
Re: La zebritude chez les artistes
Bienvenue Mitsu,
J'ai été touché par ton témoignage,
Cette recherche identitaire semble assez courante.
En ce qui me concerne, je me demande encore qui je suis (à 39 ans : tu vois que tu n'es pas au bout de tes peines !!!)
Je me suis posé des questions sur l'homosexualité (sans jamais oser franchir le pas), en particulier parce qu'adolescent j'ai vécu des histoires d'amitié passionnées (avec des hommes donc) et des histoires d'amour ou platoniques (tendance amoureux transi) ou assez lamentables.
En vieillissant je deviens pragmatique : les hommes ne m'excitent pas du tout (voir c'est plus facile à identifier pour un homme !), voire me « dégoutent », donc je suis hétérosexuel.
Ceci dit je pense que le plus simple (si tu penses pouvoir assumer) est d'essayer (moi j'ai jamais réussi !), mais je crois que ce sentiment de "différence" est malheureusement plus compliqué.
Pour aggraver le problème, je pense d'ailleurs que la libido est évolutive, et ne répond donc pas à la question "qui suis-je ?" ; A 18 ans j'était un romantique absolu et je n'avais vécu que des flirt plus ou moins évolués ou des je t'aime / moi non plus assez destructeurs, puis j'ai découvert l'Amour (en même temps que l'amour physique), puis (attention aux désillusions qui suivent !) je me suis mis à ne plus y croire : Plus je vieillis, plus je crois à l'amour physique et je me méfie du Grand Amour (et pourtant je suis un mari fidèle, mais de plus en plus désabusé, ou de plus en plus obsédé, comme tous les vieux ?).
Bref bonne chance dans ta quête, et bienvenue au zoo.
Arnaud
J'ai été touché par ton témoignage,
Cette recherche identitaire semble assez courante.
En ce qui me concerne, je me demande encore qui je suis (à 39 ans : tu vois que tu n'es pas au bout de tes peines !!!)
Je me suis posé des questions sur l'homosexualité (sans jamais oser franchir le pas), en particulier parce qu'adolescent j'ai vécu des histoires d'amitié passionnées (avec des hommes donc) et des histoires d'amour ou platoniques (tendance amoureux transi) ou assez lamentables.
En vieillissant je deviens pragmatique : les hommes ne m'excitent pas du tout (voir c'est plus facile à identifier pour un homme !), voire me « dégoutent », donc je suis hétérosexuel.
Ceci dit je pense que le plus simple (si tu penses pouvoir assumer) est d'essayer (moi j'ai jamais réussi !), mais je crois que ce sentiment de "différence" est malheureusement plus compliqué.
Pour aggraver le problème, je pense d'ailleurs que la libido est évolutive, et ne répond donc pas à la question "qui suis-je ?" ; A 18 ans j'était un romantique absolu et je n'avais vécu que des flirt plus ou moins évolués ou des je t'aime / moi non plus assez destructeurs, puis j'ai découvert l'Amour (en même temps que l'amour physique), puis (attention aux désillusions qui suivent !) je me suis mis à ne plus y croire : Plus je vieillis, plus je crois à l'amour physique et je me méfie du Grand Amour (et pourtant je suis un mari fidèle, mais de plus en plus désabusé, ou de plus en plus obsédé, comme tous les vieux ?).
Bref bonne chance dans ta quête, et bienvenue au zoo.
Arnaud
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
Re: La zebritude chez les artistes
Bonsoir et bienvenue !!!
Black Swan- Messages : 1386
Date d'inscription : 30/07/2010
Age : 57
Localisation : Bordeaux
Re: La zebritude chez les artistes
https://www.youtube.com/watch?v=5GdgEXaF2sk
Une sublime chanson d'un sublime groupe de sublimes lebiennes.
Une sublime chanson d'un sublime groupe de sublimes lebiennes.
prjevalski- Messages : 245
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 53
Localisation : Lyon
B!- Messages : 1898
Date d'inscription : 16/07/2010
Age : 41
Localisation : Ile de France
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