Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
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Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
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Dernière édition par ortolan le Mer 20 Nov 2019 - 9:17, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Bonjour,
Rêves de cette nuit, premier rêve :
Je suis attachée par des sangles sur une planche à roulette, en camisole, comme à l'hôpital, dans un couloir blanc terne. Me redressant un peu, il n'y a pas de porte à droite du couloir, peut-être au fond de la longueur opposée, mais à gauche, plusieurs vitres tenues par de minces claies en bois peint en blanc. De l'autre côté des vitres, le local est éclairé et plusieurs personnels en blouse regardent des écrans accrochés en hauteur, épais comme d'ancien téléviseurs, et annonçant les grèves de train.
Je reconnais peut-être le visage d'un ancien de ma promo, regard insondable.
Un instant, j'ai la vision de la possibilité de militaires en uniforme vert, d'une junte exotique, débarquant dans le couloir et me reprochant personnellement les grèves de train. Cependant, c'est un possible non réalisé dans le rêve.
L'ancien de ma promo ouvre la porte du couloir, vient à gauche de mon attache, et me fait un noeud énergétique (?) tel que : deux doigts appuient sur le ventre peut-être une demi-paume sous le nombril, et deux doigts un peu en rond appuient au fond de la langue, mais avant la gorge.
Je ne sais pas l'utilité de cette manoeuvre, et redoute il avait l'intention me faire vomir afin m'étouffer dans la camisole et faire passer mon décès pour une mort naturelle.
(réveil un peu agité, je m'entends d'une faible voix sourde)
Second rêve :
Des badauds devant les caisses d'un supermarché entourent un cheval dont le transpondeur a des difficultés de lecture, en l'absence de son demi-frère.
troisième rêve :
En haut d'une plate-forme bétonnée, un camping est installé. Il pleut, le ciel est gris, et par-delà les nuages on ne voit pas d'autres formes urbaines. Le campement est spécial tel que les tentes sont sur pilotis, cerclées de moustiquaires, et le sol surélevé est un trampoline.
En fait, ce sont beaucoup de trampolines à toit dans lequel on campait.
Je marche et me demande :
-Où sont les autres campeurs ?
Toutes les tentes sont vides...Il n'y a plus que dans la mienne je vois une couette dans sa housse.
Je fais mon baluchon, et descend par un escalier latéral vers le niveau de la terre. Là, je retrouve d'autres humains en transiance. Il y a un baluchon en cuir brun naturel, modèle deux ovales à fond plat.
Les supposés anciens campeurs s'inquiètent :
-Un dinosaure arrive !
Je jette mon sac par dessus l'escalier, vers la plateforme en béton, car en-dessous de nous arrive un dinosaure brun clair et rien ne permet deviner son amicalité.
Quatrième rêve :
Dans la salle à manger de ma grand-mère maternelle, il y a la bibliothèque hollandaise de mon père. Le divorce de mes parents rend cette vision très peu possible à concrétiser.
Sur les étagères, il n'y a que des objets idiots : des verres à pieds moches et modernes stéréotypés, des bouteilles vides d'un standard absolu, des packs de canettes emballés comme au supermarché.
Je déplace tous ces objets, empilant les canettes, pour gagner de la longueur de planche.
Ma mère vient et demande :
-Quelle est la marque des canettes ?
-Je n'ai pas fait attention à la marque des canettes, peut-être Perrier pour le pepsi, et coca-cola.
-Comment retournerons-nous la bibliothèque si les objets sont entassés ? demande Maman.
Un instant, je peine beaucoup à imaginer retourner le meuble lourd : pourquoi le renverser de ses pieds solides sur sa tête, et aussi, pourquoi disperser les objets sur la planche et non les grouper permet retourner le meuble plus facilement ? Dans tous les cas les verres casseraient.
Cependant, il y a la possibilité déplacer les packs de canettes dans une grotte qui est ajoutée derrière la salle à manger. Je range la grotte, aux murs blancs, peut-être à la chaux, bien éclairée par des néons au sol aux lumières blanches, vertes, mauves ou bleus.
Les touristes peuvent visiter les stocks de la grotte.
Rêves de cette nuit, premier rêve :
Je suis attachée par des sangles sur une planche à roulette, en camisole, comme à l'hôpital, dans un couloir blanc terne. Me redressant un peu, il n'y a pas de porte à droite du couloir, peut-être au fond de la longueur opposée, mais à gauche, plusieurs vitres tenues par de minces claies en bois peint en blanc. De l'autre côté des vitres, le local est éclairé et plusieurs personnels en blouse regardent des écrans accrochés en hauteur, épais comme d'ancien téléviseurs, et annonçant les grèves de train.
Je reconnais peut-être le visage d'un ancien de ma promo, regard insondable.
Un instant, j'ai la vision de la possibilité de militaires en uniforme vert, d'une junte exotique, débarquant dans le couloir et me reprochant personnellement les grèves de train. Cependant, c'est un possible non réalisé dans le rêve.
L'ancien de ma promo ouvre la porte du couloir, vient à gauche de mon attache, et me fait un noeud énergétique (?) tel que : deux doigts appuient sur le ventre peut-être une demi-paume sous le nombril, et deux doigts un peu en rond appuient au fond de la langue, mais avant la gorge.
Je ne sais pas l'utilité de cette manoeuvre, et redoute il avait l'intention me faire vomir afin m'étouffer dans la camisole et faire passer mon décès pour une mort naturelle.
(réveil un peu agité, je m'entends d'une faible voix sourde)
Second rêve :
Des badauds devant les caisses d'un supermarché entourent un cheval dont le transpondeur a des difficultés de lecture, en l'absence de son demi-frère.
troisième rêve :
En haut d'une plate-forme bétonnée, un camping est installé. Il pleut, le ciel est gris, et par-delà les nuages on ne voit pas d'autres formes urbaines. Le campement est spécial tel que les tentes sont sur pilotis, cerclées de moustiquaires, et le sol surélevé est un trampoline.
En fait, ce sont beaucoup de trampolines à toit dans lequel on campait.
Je marche et me demande :
-Où sont les autres campeurs ?
Toutes les tentes sont vides...Il n'y a plus que dans la mienne je vois une couette dans sa housse.
Je fais mon baluchon, et descend par un escalier latéral vers le niveau de la terre. Là, je retrouve d'autres humains en transiance. Il y a un baluchon en cuir brun naturel, modèle deux ovales à fond plat.
Les supposés anciens campeurs s'inquiètent :
-Un dinosaure arrive !
Je jette mon sac par dessus l'escalier, vers la plateforme en béton, car en-dessous de nous arrive un dinosaure brun clair et rien ne permet deviner son amicalité.
Quatrième rêve :
Dans la salle à manger de ma grand-mère maternelle, il y a la bibliothèque hollandaise de mon père. Le divorce de mes parents rend cette vision très peu possible à concrétiser.
Sur les étagères, il n'y a que des objets idiots : des verres à pieds moches et modernes stéréotypés, des bouteilles vides d'un standard absolu, des packs de canettes emballés comme au supermarché.
Je déplace tous ces objets, empilant les canettes, pour gagner de la longueur de planche.
Ma mère vient et demande :
-Quelle est la marque des canettes ?
-Je n'ai pas fait attention à la marque des canettes, peut-être Perrier pour le pepsi, et coca-cola.
-Comment retournerons-nous la bibliothèque si les objets sont entassés ? demande Maman.
Un instant, je peine beaucoup à imaginer retourner le meuble lourd : pourquoi le renverser de ses pieds solides sur sa tête, et aussi, pourquoi disperser les objets sur la planche et non les grouper permet retourner le meuble plus facilement ? Dans tous les cas les verres casseraient.
Cependant, il y a la possibilité déplacer les packs de canettes dans une grotte qui est ajoutée derrière la salle à manger. Je range la grotte, aux murs blancs, peut-être à la chaux, bien éclairée par des néons au sol aux lumières blanches, vertes, mauves ou bleus.
Les touristes peuvent visiter les stocks de la grotte.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
après moult situations, actions dont le souvenir s'estompait et s'estompe plus encore maintenant, je, nous décidâmes, avec mon compagnon de rêve du moment où ça se décidait, je ne me souviens plus qui c'est, d'aller châtier le méchant qui s'en prenait aux oies et aux enfants, je crois qu'il avait mangé des oies d'ailleurs, et voulait s'en prendre à mon bébé, alors nous l'avons pris en chasse de l'autre côté du parc et l'avons coincé sur le rebord d'une fenêtre, et moi à l'aide d'une pique ou d'une plate, mon acolyte avec ses encouragements, nous avons tenté d'occire l'immonde, mais sauf une entaille dans laquelle j'essayais en vain de plonger ma lame, il demeurait intact, de bois qu'il était, de vrai bois dur, le temps était compté je ne sais pourquoi, ça commençait à craindre, alors j'ai tapé tapé à l'encolure et miracle là ça c'est fendu, brisé en éclats, d'où sortaient tripes d'aggloméré. Puis c'était fini, je me réveillais chez mon pote, devais aller au travail je ramassais et engloutissais rapidement de grosses bouchées de restes de gâteau sur l'étagère métallique façon rayonnage d'atelier, entre la chambre de sa mère qui me guettais de son bonjour sonore et le couloir en impasse que je devrais annihiler tout à l'heure par le miracle évident de la rêvasserie, des trucs à la fraise à la crème vraiment pas appétissants au matin, mais je devais me caler je pensais, j'ai réussi à déglutir avec un peu d'eau prise au flexible de douche, alors j'ai dû réfléchir à me vêtir, je pouvais pas remettre le polo manche longue de l'avant-veille parce que ça aurait fait dégueu, fallait je trouve autre chose, j'ai passé du manches longues rouge sur un t-shirt, il y avait que ça apparemment, ça devait être à moi c'était ma taille, il faisait encore frisquet j'allais encore un peu frissonner, mais j'en pouvais plus des pulls, c'était l'heure d'y aller, je savais que le réveil allait sonner bientôt, alors j'en ai profité pour me retourner sur le rêve, mais déjà il m'échappait et sa logique de la mort un instant plus tôt se faisait floue, je me souvenais du parc, d'une barrière qui ne limitait rien mais le scindait en deux parties, d'un coin plutôt jeux pour enfants et l'autre sauvage, du rire des enfants, des petits animaux aquatiques, des éclaboussures, des poursuites, des collations, mais oui bien sûr je me souviens j'y suis...non ça sonne c'est fini.
pandi panda- Messages : 89
Date d'inscription : 01/05/2018
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Cette nuit
Premier rêve
Je suis assise par terre sur le parquet de la salle à manger chez mon père. L’ordinateur est posé devant moi où capte la wifi. Mes cheveux sont détachés, mais non décoiffés. J’ai peut-être rajeuni, possiblement en robe.
Deux fenêtres informatiques se superposant m’intéressent. Sur la première, des contours à colorier forment des côtes décroissantes, comme des lunes ovoïdes aux extrémités arrondies. Sur la seconde, ces lignes forment un dessin de fleurs fantaisistes, la symétrie d’un labyrinthe imaginaire. Il m’amuse l’intérieur des lignes se colore peu à peu de mauve, gagnant une page puis l’autre.
Posant au sol mes deux mains ensemble à l’extérieur du rayon de mes genoux, je dessine à terre un cercle dans le sens des aiguilles d’une montre afin définir une zone de vision du futur. Malheureusement, la projection temporelle n’est pas très efficace et j’ai à peine quelques images de silhouettes vertes ou bleues, très grandes, ne permettant pas retenir des informations sur l’avenir.
Mon chat fidèle saute sur mes épaules, les pattes antérieures griffées dans l’épaule droite, et les postérieures sur l’épaule gauche. Me tournant vers les fenêtres, j’observe la nuit est tombée, et craint fermer les volets car mon chat pourrait sortir dehors – prétexte fallacieux.
Je me lève et marche hors de la pièce. En bas de la cage d’escalier, m’attend une macabre découverte. Un fil à linge est tendu à une hauteur d’environ 1m80 / 2m. La dépouille d’une femme menue, de petite taille est pliée en deux au-dessus de l’emplacement de la table téléphone, absente du rêve, suggérant pour les vivants l’ironie du défunt à vouloir communiquer. Il est un calme insolent jugeant des premiers souffles abdominaux. On distinguerait presque les pinces à linge.
J’identifie d’abord la dépouille de ma grande-tante, la sœur de ma grand-mère paternelle. Elle est vêtue d’une robe noire longue, un col blanc rond, chaussée…j’ai immédiatement un doute sur l’authenticité de son habillement car la probabilité d’un enterrement en noir me semble moins forte qu’en blanc. Ses cheveux sont gris et bouclés comme après une permanente, portés court. Elle est pliée sur le ventre tel que le visage m’est caché.
J’entends une voix masculine siffler fort dans l’obscurité :
-Kss…
Je répondis du tac au tac en prolongeant :
-Kssssss…
Il y a un moment d’horreur, la lenteur glauque en moins.
Je pensais, ce n’est peut-être pas la sœur de ma grand-mère, mais sa cousine, et demandais :
-Il faut curer le mur du caveau sur trois mètres.
Aussi, mon regard balayant la pénombre, je trouvais la voie d’une image lumineuse, et me projetais dans la mémoire de ma grand-mère. Elle m’emmena quelques centaines de mètres plus loin dans la cour d’une ferme, en plein jour.
La voix que j’entendais précédemment avait-elle conscience du subterfuge que j’employais, semblable à un « spectro patronum » de fiction ? Etions-nous tous d’accord pour respecter la possibilité d’un salut vers la lumière par la mémoire de ma grand-mère, ou cette voie aussi était-elle moquée d’une ardeur mortifère ?
La vision du jour dans la ferme dérivait sa force positive, et maintenant pervertie, expliquait :
-Ta grand-mère n’aimait pas les chevaux…
Je voyais la carcasse d’une jument baie, parodie de la charogne de Baudelaire, les jambes en l’air.
(A ce moment, je me réveille, médite, et suggère consciemment les paroles que je prononce d’une voix distincte :
-Maintenant, elle aime les chevaux).
Second rêve :
Au téléphone avec une tante blonde, je décris mon nouveau lieu d’étude tandis que je le visite :
-C’est une maison sans toit, envahie d’herbes et de glycines, au premier étage, entre les fenêtres que rien n’obstrue, il y a des bouteilles en verre vides amoncelées. Nous pourrions ranger les chiens dans une bibliothèque.
Le rêve se termine sur une vision de la prairie au matin, les touffes d’herbes grassement vertes, humides et tendres brouillant le regard de toiles d’araignées basses où perle la rosée dans une indistinction argentée.
Premier rêve
Je suis assise par terre sur le parquet de la salle à manger chez mon père. L’ordinateur est posé devant moi où capte la wifi. Mes cheveux sont détachés, mais non décoiffés. J’ai peut-être rajeuni, possiblement en robe.
Deux fenêtres informatiques se superposant m’intéressent. Sur la première, des contours à colorier forment des côtes décroissantes, comme des lunes ovoïdes aux extrémités arrondies. Sur la seconde, ces lignes forment un dessin de fleurs fantaisistes, la symétrie d’un labyrinthe imaginaire. Il m’amuse l’intérieur des lignes se colore peu à peu de mauve, gagnant une page puis l’autre.
Posant au sol mes deux mains ensemble à l’extérieur du rayon de mes genoux, je dessine à terre un cercle dans le sens des aiguilles d’une montre afin définir une zone de vision du futur. Malheureusement, la projection temporelle n’est pas très efficace et j’ai à peine quelques images de silhouettes vertes ou bleues, très grandes, ne permettant pas retenir des informations sur l’avenir.
Mon chat fidèle saute sur mes épaules, les pattes antérieures griffées dans l’épaule droite, et les postérieures sur l’épaule gauche. Me tournant vers les fenêtres, j’observe la nuit est tombée, et craint fermer les volets car mon chat pourrait sortir dehors – prétexte fallacieux.
Je me lève et marche hors de la pièce. En bas de la cage d’escalier, m’attend une macabre découverte. Un fil à linge est tendu à une hauteur d’environ 1m80 / 2m. La dépouille d’une femme menue, de petite taille est pliée en deux au-dessus de l’emplacement de la table téléphone, absente du rêve, suggérant pour les vivants l’ironie du défunt à vouloir communiquer. Il est un calme insolent jugeant des premiers souffles abdominaux. On distinguerait presque les pinces à linge.
J’identifie d’abord la dépouille de ma grande-tante, la sœur de ma grand-mère paternelle. Elle est vêtue d’une robe noire longue, un col blanc rond, chaussée…j’ai immédiatement un doute sur l’authenticité de son habillement car la probabilité d’un enterrement en noir me semble moins forte qu’en blanc. Ses cheveux sont gris et bouclés comme après une permanente, portés court. Elle est pliée sur le ventre tel que le visage m’est caché.
J’entends une voix masculine siffler fort dans l’obscurité :
-Kss…
Je répondis du tac au tac en prolongeant :
-Kssssss…
Il y a un moment d’horreur, la lenteur glauque en moins.
Je pensais, ce n’est peut-être pas la sœur de ma grand-mère, mais sa cousine, et demandais :
-Il faut curer le mur du caveau sur trois mètres.
Aussi, mon regard balayant la pénombre, je trouvais la voie d’une image lumineuse, et me projetais dans la mémoire de ma grand-mère. Elle m’emmena quelques centaines de mètres plus loin dans la cour d’une ferme, en plein jour.
La voix que j’entendais précédemment avait-elle conscience du subterfuge que j’employais, semblable à un « spectro patronum » de fiction ? Etions-nous tous d’accord pour respecter la possibilité d’un salut vers la lumière par la mémoire de ma grand-mère, ou cette voie aussi était-elle moquée d’une ardeur mortifère ?
La vision du jour dans la ferme dérivait sa force positive, et maintenant pervertie, expliquait :
-Ta grand-mère n’aimait pas les chevaux…
Je voyais la carcasse d’une jument baie, parodie de la charogne de Baudelaire, les jambes en l’air.
(A ce moment, je me réveille, médite, et suggère consciemment les paroles que je prononce d’une voix distincte :
-Maintenant, elle aime les chevaux).
Second rêve :
Au téléphone avec une tante blonde, je décris mon nouveau lieu d’étude tandis que je le visite :
-C’est une maison sans toit, envahie d’herbes et de glycines, au premier étage, entre les fenêtres que rien n’obstrue, il y a des bouteilles en verre vides amoncelées. Nous pourrions ranger les chiens dans une bibliothèque.
Le rêve se termine sur une vision de la prairie au matin, les touffes d’herbes grassement vertes, humides et tendres brouillant le regard de toiles d’araignées basses où perle la rosée dans une indistinction argentée.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
aujourd'hui, un seul rêve, peut-être je dors mieux, ou mon inconscient a perdu la mémoire :
Abri d'ouragan
Un ouragan est annoncé ! Les humains se préparent. Je suis dans une propriété dont je ne reconnais ni les lieux, ni les habitants.
Devant un chai, quelqu'un en pantalon (fille ou garçon ?) s'accroupit face à son chien aux poils courts bringés qui pisse. Je m'accroupis derrière le chien, ouvre mon pantalon, et pisse identiquement à l'animal. L'humain me regarde avec des grands yeux que le rêve occulte en bleu marine, mais ne fait pas de commentaire sur mon comportement qu'autrement la pudeur eu jugé.
J'entre sur les indications de cette personne dans le chai. Quelques personnes sont déjà debout, 3 ou 5 environ. Nous attendrons ici la fin de l'ouragan. Il n'y a pas de confort, ni eau potable stockée, ni alimentation, ni lits, ni torches. Aussi, je quitte le chai par une porte dans la structure du bâtiment. Dans un couloir, j'entreperçois une silhouette débonnaire se baladant elle aussi hors des zones circonscrites.
Ouvrant une porte, je suis dans une cuisine. Il y a sur ma droite une fenêtre percée dans un mur épais, presque un mètre. A gauche, une table est encombrée de pain, fromage, radio allumée. Il n'y a pas de bougies ni de lampe torche.
Contournant la table, deux armoires se font face. Les battants sont ouverts, et dans chacune dort un chat. Devant chaque armoire il y a des bols d'eau et de croquettes, je les remplis car ils étaient presque vides.
Au fond de la pièce, une autre porte ouverte, noire, indiscernable.
Devant la table, j'arrache un morceau de pain à la baguette. De la farine douce coule sur ma main vers la table. Je coupe un morceau de fromage, le pose sur le pain, mais ne mange pas. Du bruit à la fenêtre me distrait : ce sont les hauts-parleurs de la ville qui font une brève fanfare avant diffuser un message d'alerte relatif à l'ouragan. Puis, c'est la radio sur la table qui grésille un message. Mais, je l'écoute sans m'y intéresser beaucoup : je ne sais pas à qui appartient l'appareil. J'ai besoin d'un temps de réflexion pour envisager emporter la radio et chercher l'apporter à son propriétaire, quelque part dans la structure.
Aussi, je me penche par la fenêtre. Elle est très étrange car très peu pratique : les vitres et les volets sont en surnombre, et ne coïncident pas avec la taille de l'ouverture. De plus, la première vitre est brisée, et les éclats sont posés sur le rebord intérieur de la fenêtre.
Afin résoudre l'inégalité des panneaux, et empêcher qu'ils battent et laissent l'ouragan s'engouffrer dans la maison, je décide les fermer par de la ficelle les rendant solidaires les uns des autres. Ce pourrait fonctionner puisque les vitres sont à gauche du mur, et les volets à droite. Cependant, la perte de luminosité immédiate me décourage, ainsi que l'absence tant de lumière portative que de ficelle. Se pencher par la fenêtre me permis voir au loin le cône de l'ouragan.
Après, je ne sais pas si j'ai été tuée par une bourrasque imprévisible emportant les éclats de verre, ou si j'en ai eu assez de la scène, car ma vision est moins incarnée, je me détache, et peu à peu le rêve s'estompe.
Abri d'ouragan
Un ouragan est annoncé ! Les humains se préparent. Je suis dans une propriété dont je ne reconnais ni les lieux, ni les habitants.
Devant un chai, quelqu'un en pantalon (fille ou garçon ?) s'accroupit face à son chien aux poils courts bringés qui pisse. Je m'accroupis derrière le chien, ouvre mon pantalon, et pisse identiquement à l'animal. L'humain me regarde avec des grands yeux que le rêve occulte en bleu marine, mais ne fait pas de commentaire sur mon comportement qu'autrement la pudeur eu jugé.
J'entre sur les indications de cette personne dans le chai. Quelques personnes sont déjà debout, 3 ou 5 environ. Nous attendrons ici la fin de l'ouragan. Il n'y a pas de confort, ni eau potable stockée, ni alimentation, ni lits, ni torches. Aussi, je quitte le chai par une porte dans la structure du bâtiment. Dans un couloir, j'entreperçois une silhouette débonnaire se baladant elle aussi hors des zones circonscrites.
Ouvrant une porte, je suis dans une cuisine. Il y a sur ma droite une fenêtre percée dans un mur épais, presque un mètre. A gauche, une table est encombrée de pain, fromage, radio allumée. Il n'y a pas de bougies ni de lampe torche.
Contournant la table, deux armoires se font face. Les battants sont ouverts, et dans chacune dort un chat. Devant chaque armoire il y a des bols d'eau et de croquettes, je les remplis car ils étaient presque vides.
Au fond de la pièce, une autre porte ouverte, noire, indiscernable.
Devant la table, j'arrache un morceau de pain à la baguette. De la farine douce coule sur ma main vers la table. Je coupe un morceau de fromage, le pose sur le pain, mais ne mange pas. Du bruit à la fenêtre me distrait : ce sont les hauts-parleurs de la ville qui font une brève fanfare avant diffuser un message d'alerte relatif à l'ouragan. Puis, c'est la radio sur la table qui grésille un message. Mais, je l'écoute sans m'y intéresser beaucoup : je ne sais pas à qui appartient l'appareil. J'ai besoin d'un temps de réflexion pour envisager emporter la radio et chercher l'apporter à son propriétaire, quelque part dans la structure.
Aussi, je me penche par la fenêtre. Elle est très étrange car très peu pratique : les vitres et les volets sont en surnombre, et ne coïncident pas avec la taille de l'ouverture. De plus, la première vitre est brisée, et les éclats sont posés sur le rebord intérieur de la fenêtre.
Afin résoudre l'inégalité des panneaux, et empêcher qu'ils battent et laissent l'ouragan s'engouffrer dans la maison, je décide les fermer par de la ficelle les rendant solidaires les uns des autres. Ce pourrait fonctionner puisque les vitres sont à gauche du mur, et les volets à droite. Cependant, la perte de luminosité immédiate me décourage, ainsi que l'absence tant de lumière portative que de ficelle. Se pencher par la fenêtre me permis voir au loin le cône de l'ouragan.
Après, je ne sais pas si j'ai été tuée par une bourrasque imprévisible emportant les éclats de verre, ou si j'en ai eu assez de la scène, car ma vision est moins incarnée, je me détache, et peu à peu le rêve s'estompe.
Dernière édition par Susi le Dim 6 Mai 2018 - 10:53, édité 1 fois
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
J'ai eu deux rêves étranges ces derniers jours.
Des sortes de flashs très courts, comme une vidéo qui s'impose devant mes yeux pendant quelques secondes, sans son. Je suis spectatrice.
La première fois, je vois, d'en haut, une entrée de porte avec quelqu'un dedans que je vois de dos. Je vois juste le bas de ses mollets nus et ses sandales. Je pense que c'est un homme en short (vu la pilosité). C'est comme s'il discutait le bout de gras avec quelqu'un à l'intérieur, n'osant pas rentrer ou pris par la discussion. Un chien que je ne connais pas se faufile de l'intérieur vers l'extérieur, contournant les jambes.
C'est comme si je filmais la sortie du chien du haut d'un arbre situé juste à coté de la porte en gros. Le type dans la porte dont je ne vois que les jambes, n'est là que pour l'occasion.
Et c'est tout, ça s'arrête là. Le mini film est très net, les couleurs contrastées, comme s'il faisait très soleil.
La deuxième fois, ça a duré quelques secondes de plus. Un mini film d'un chien et d'un petit garçon qui jouent dans l'herbe verte. C'est aussi une vue de dessus, je suis genre à 6 mètres en gros. Je me dis que c'est un petit garçon parce qu'il est en short, et quelque chose que je sais au fond de moi, même si je ne connais ni le chien (c'est pas le même que dans le premier rêve), ni l'enfant. Il fait très beau, pas d'ombre du tout. Le tout est très net et contrasté.
A chaque fois, ça me réveille. C'est trop net, pas maitrisable, et ça me pose question sur l'origine de ce que je vois. Donc, ouais, ça me réveille et j'ai du mal à me rendormir ensuite, à cause des questions. Le plus étrange, c'est que tout est "filmé" du dessus. Vraiment ça m'intrigue. Je ne reconnais rien, et je ne suis pas impliquée dans ces rêves, juste spectatrice.
Comment je peux rêver de choses, d'images que je ne peux pas avoir concrètement ?
C'est comme si on me faisait visionner des souvenirs, genre les mini-films un peu ratés qu'on a dans toutes les familles.
Dérangeant, pfff.
Des sortes de flashs très courts, comme une vidéo qui s'impose devant mes yeux pendant quelques secondes, sans son. Je suis spectatrice.
La première fois, je vois, d'en haut, une entrée de porte avec quelqu'un dedans que je vois de dos. Je vois juste le bas de ses mollets nus et ses sandales. Je pense que c'est un homme en short (vu la pilosité). C'est comme s'il discutait le bout de gras avec quelqu'un à l'intérieur, n'osant pas rentrer ou pris par la discussion. Un chien que je ne connais pas se faufile de l'intérieur vers l'extérieur, contournant les jambes.
C'est comme si je filmais la sortie du chien du haut d'un arbre situé juste à coté de la porte en gros. Le type dans la porte dont je ne vois que les jambes, n'est là que pour l'occasion.
Et c'est tout, ça s'arrête là. Le mini film est très net, les couleurs contrastées, comme s'il faisait très soleil.
La deuxième fois, ça a duré quelques secondes de plus. Un mini film d'un chien et d'un petit garçon qui jouent dans l'herbe verte. C'est aussi une vue de dessus, je suis genre à 6 mètres en gros. Je me dis que c'est un petit garçon parce qu'il est en short, et quelque chose que je sais au fond de moi, même si je ne connais ni le chien (c'est pas le même que dans le premier rêve), ni l'enfant. Il fait très beau, pas d'ombre du tout. Le tout est très net et contrasté.
A chaque fois, ça me réveille. C'est trop net, pas maitrisable, et ça me pose question sur l'origine de ce que je vois. Donc, ouais, ça me réveille et j'ai du mal à me rendormir ensuite, à cause des questions. Le plus étrange, c'est que tout est "filmé" du dessus. Vraiment ça m'intrigue. Je ne reconnais rien, et je ne suis pas impliquée dans ces rêves, juste spectatrice.
Comment je peux rêver de choses, d'images que je ne peux pas avoir concrètement ?
C'est comme si on me faisait visionner des souvenirs, genre les mini-films un peu ratés qu'on a dans toutes les familles.
Dérangeant, pfff.
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Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Cette nuit, le doudou et la cruauté
premier rêve (le doudou) :
En voiture, mon oncle paternel conduit, je suis assise derrière lui, et ma cousine à sa droite sur le siège avant passager.
Elle se retourne vers la banquette arrière pour prendre son doudou-lapin. Je suis occupée à placer des lignes droites selon différents biais sur une feuille de papier.
Second rêve, la cruauté :
Debout devant mon lit, je tend le bras droit sur lequel est accroché un petit mammifère roux, peut-être un furet ou un écureuil. Je le chasse du coude vers mon poignet à l'aide d'une badine. Approchant de la cheminée, je l'assomme à l'aide d'une bûche en bois et le place dans l'âtre. Ses poils brûlent.
Je pense : s'il sort vivant de la cheminée, je le gracie.
Mais il meurt à peine dégagé des bûches en feu, et, son corps prenant la consistance de la cendre, il dit (j'oublie les paroles au fur à mesure de la nuit) :
- (...) Les braises (longtemps ? durent ? ) (...)
(edit : le lendemain de ce rêve, un animal m'a mordu au bras gauche, et non au droit comme celui agrippé dans le rêve)
premier rêve (le doudou) :
En voiture, mon oncle paternel conduit, je suis assise derrière lui, et ma cousine à sa droite sur le siège avant passager.
Elle se retourne vers la banquette arrière pour prendre son doudou-lapin. Je suis occupée à placer des lignes droites selon différents biais sur une feuille de papier.
Second rêve, la cruauté :
Debout devant mon lit, je tend le bras droit sur lequel est accroché un petit mammifère roux, peut-être un furet ou un écureuil. Je le chasse du coude vers mon poignet à l'aide d'une badine. Approchant de la cheminée, je l'assomme à l'aide d'une bûche en bois et le place dans l'âtre. Ses poils brûlent.
Je pense : s'il sort vivant de la cheminée, je le gracie.
Mais il meurt à peine dégagé des bûches en feu, et, son corps prenant la consistance de la cendre, il dit (j'oublie les paroles au fur à mesure de la nuit) :
- (...) Les braises (longtemps ? durent ? ) (...)
(edit : le lendemain de ce rêve, un animal m'a mordu au bras gauche, et non au droit comme celui agrippé dans le rêve)
Dernière édition par Pyjama le Lun 7 Mai 2018 - 14:45, édité 1 fois
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : la visite locative
J'ai répondu à une offre de location pour 120/ 150 e/mois. Nous visitions le bien, accompagnée de l'annonceur et mon frère cadet. C'est une sorte de volière, puisque seul le rez-de-jardin est aménagé, et, coiffant une tour ronde, c'est un élargissement de baies vitrées un peu vétustes. La tour fait partie d'un ensemble fermier, nous laissons derrière nous d'autres corps de bâtiment.
Le jardin autour n'est pas tondu et les herbes sont hautes. Cependant, la proximité des deux routes encerclant la location décourage laisser sortir un chat dans le jardin.
L'intérieur est propre et salubre. L'électricité, toilettes séparées avec fenêtre, hauteur sous plafond correcte...Quelques couloirs font perdre de la surface. C'est un meublé très meublé : beaucoup de canapés et sièges en cuir brun très rembourrés, plusieurs tables.
-Jamais je n'aurais assez de temps pour m'asseoir sur tous ces sièges, pensais-je.
Mon frère et l'annonceur vérifient la wifi :
-J'ai une solution pour capter la wifi, dit mon frère.
Ni une ni deux, l'annonceur s'assied derrière un ordinateur, et mon frère plonge les câbles venant du mur et celui venant de l'ordinateur dans un récipient contenant un liquide clair et jaune, possiblement de l'eau pétillante mélangée à un jaune d'oeuf.
Il bat le mélange avec une fourchette afin provoquer un remous près de la fiche, et dit :
-de temps en temps, ça marche.
Puis, nous prenons tous les trois la voiture pour visiter les alentours.
-Y a-t-il des fruitiers sur la ferme ? demande mon frère.
-Oui, renseigne l'annonceur dont j'oublie la suite de la réponse.
Il nous conduit sur les pentes pavées d'une colline industrielle. Plusieurs hangars aux poutres en bois et aux carreaux poussiéreux nous sont présentés :
-Ici, on reçoit les pommes de terre...et là, c'est pour les carottes...explique le jeune homme blond en rougissant, à qui je n'aurait pas donné 18 ans s'il n'avait conduit une voiture.
Second rêve, le refuge pour chiens :
Deux champs enherbés sont clôturés, d'un côté les chiennes, de l'autre les chiens. Il y a plusieurs chiens aux poils longs et blancs. Je suis béate d'excitation, et choisis deux chiens, parce qu'ils courraient ensemble de part et d'autre de la clôture. Ainsi, c'est un mâle et une femelle. La femelle est un lévrier bringé d'environ 50-60cm, le mâle d'une taille approchante est noir, je l'identifie à un setter gordon malgré ses poils ras.
Ensuite, c'est au contrôleur d'un wagon de train que j'explique mes chiens. Je lui parle comme s'il était le responsable du refuge pour animaux. Les chiens dorment sur mes bras, étonnamment légers, et je devine :
-Feront-ils de beaux bâtards ? Les deux ont le museau court, pourquoi pas ? Mais...le nez de la lévrier est pointu...celui du setter gordon (à poil ras) est carré.
Je pense : trois chiens, c'est trop, mais mon border-colley me manque.
troisième rêve, voisinage et baby-sitting :
J'habite une maison insérée dans un voisinage, toutes avec des jardins. La voisine mitoyenne revient d'une tombola organisée pour les jeunes filles au pair du hameau. A ma vue, elle crie :
-Ticket t'es niquée !
-Salope ! Criais-je à mon tour par la porte d'entrée qu'elle ne fermait pas.
Après ces gratuités, j'allais dans mon jardin où trois garçons en bas âge jouent en l'absence de leur père. J'ai monté une tente pour eux. La nuit tombée, ils acceptent y entrer :
-C'est froid ! crie l'un d'entre eux.
-Il y a des pulls dans les poches, et si on ferme la toile sur le côté, ou qu'on pose la tente contre un mur, il fera moins froid, le renseignais-je.
Nous fermons le long côté (c'est une tente dont les côtés peuvent se relever), et par la moustiquaire du petit côté de l'entrée classique, je vois la lumière d'une lampe torche. Les gamins éteignent, et le père arrive dans le jardin sans l'air de les chercher, tourne autour de la tente, et appelle :
-Manager-chien-fesse-serrée !
Les enfants ne répondent rien.
Je ramasse par terre un manteau, et l'accroche sur un buisson dont les branches courtes ploient.
J'ai répondu à une offre de location pour 120/ 150 e/mois. Nous visitions le bien, accompagnée de l'annonceur et mon frère cadet. C'est une sorte de volière, puisque seul le rez-de-jardin est aménagé, et, coiffant une tour ronde, c'est un élargissement de baies vitrées un peu vétustes. La tour fait partie d'un ensemble fermier, nous laissons derrière nous d'autres corps de bâtiment.
Le jardin autour n'est pas tondu et les herbes sont hautes. Cependant, la proximité des deux routes encerclant la location décourage laisser sortir un chat dans le jardin.
L'intérieur est propre et salubre. L'électricité, toilettes séparées avec fenêtre, hauteur sous plafond correcte...Quelques couloirs font perdre de la surface. C'est un meublé très meublé : beaucoup de canapés et sièges en cuir brun très rembourrés, plusieurs tables.
-Jamais je n'aurais assez de temps pour m'asseoir sur tous ces sièges, pensais-je.
Mon frère et l'annonceur vérifient la wifi :
-J'ai une solution pour capter la wifi, dit mon frère.
Ni une ni deux, l'annonceur s'assied derrière un ordinateur, et mon frère plonge les câbles venant du mur et celui venant de l'ordinateur dans un récipient contenant un liquide clair et jaune, possiblement de l'eau pétillante mélangée à un jaune d'oeuf.
Il bat le mélange avec une fourchette afin provoquer un remous près de la fiche, et dit :
-de temps en temps, ça marche.
Puis, nous prenons tous les trois la voiture pour visiter les alentours.
-Y a-t-il des fruitiers sur la ferme ? demande mon frère.
-Oui, renseigne l'annonceur dont j'oublie la suite de la réponse.
Il nous conduit sur les pentes pavées d'une colline industrielle. Plusieurs hangars aux poutres en bois et aux carreaux poussiéreux nous sont présentés :
-Ici, on reçoit les pommes de terre...et là, c'est pour les carottes...explique le jeune homme blond en rougissant, à qui je n'aurait pas donné 18 ans s'il n'avait conduit une voiture.
Second rêve, le refuge pour chiens :
Deux champs enherbés sont clôturés, d'un côté les chiennes, de l'autre les chiens. Il y a plusieurs chiens aux poils longs et blancs. Je suis béate d'excitation, et choisis deux chiens, parce qu'ils courraient ensemble de part et d'autre de la clôture. Ainsi, c'est un mâle et une femelle. La femelle est un lévrier bringé d'environ 50-60cm, le mâle d'une taille approchante est noir, je l'identifie à un setter gordon malgré ses poils ras.
Ensuite, c'est au contrôleur d'un wagon de train que j'explique mes chiens. Je lui parle comme s'il était le responsable du refuge pour animaux. Les chiens dorment sur mes bras, étonnamment légers, et je devine :
-Feront-ils de beaux bâtards ? Les deux ont le museau court, pourquoi pas ? Mais...le nez de la lévrier est pointu...celui du setter gordon (à poil ras) est carré.
Je pense : trois chiens, c'est trop, mais mon border-colley me manque.
troisième rêve, voisinage et baby-sitting :
J'habite une maison insérée dans un voisinage, toutes avec des jardins. La voisine mitoyenne revient d'une tombola organisée pour les jeunes filles au pair du hameau. A ma vue, elle crie :
-Ticket t'es niquée !
-Salope ! Criais-je à mon tour par la porte d'entrée qu'elle ne fermait pas.
Après ces gratuités, j'allais dans mon jardin où trois garçons en bas âge jouent en l'absence de leur père. J'ai monté une tente pour eux. La nuit tombée, ils acceptent y entrer :
-C'est froid ! crie l'un d'entre eux.
-Il y a des pulls dans les poches, et si on ferme la toile sur le côté, ou qu'on pose la tente contre un mur, il fera moins froid, le renseignais-je.
Nous fermons le long côté (c'est une tente dont les côtés peuvent se relever), et par la moustiquaire du petit côté de l'entrée classique, je vois la lumière d'une lampe torche. Les gamins éteignent, et le père arrive dans le jardin sans l'air de les chercher, tourne autour de la tente, et appelle :
-Manager-chien-fesse-serrée !
Les enfants ne répondent rien.
Je ramasse par terre un manteau, et l'accroche sur un buisson dont les branches courtes ploient.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
(rêve de hier : un tiroir à casquettes )
Des casquettes dans un tiroir en bas, je ne vois que des modèles en tissus sans armature. On pourrait les qualifier de casquettes à l'ancienne. Il y a des visières courtes, roulées, étroites...J'apprécie l'étoffe rouge cerise d'une d'entre elles à visière mi-courte.
(aujourd'hui)
premier rêve : quittant les fanfares et l'inconnu au pass navigo
Je marche en ville sous les arcades. Une fanfare jaune bat tambours, sonne cuivres, derrière moi sous les arcades. Une fanfare rouge fait un tohu-bohu semblable en parallèle sur la route.
Je cueille pour la manger une groseille rousse-rosée sur les hauteurs de la liane qui pousse sous les arcades.
La fanfare jaune chante mes exploits : (j'ai vaincu un dragon et mangé un tigre) j'ai récupéré une épée séculaire de légende au fond d'un gouffre mythologique.
Lorsque les fanfares rouges et jaunes se rencontrent, elles interprètent des chansons sur pourquoi elles ne jouent pas ensemble et se sont divisées en deux bandes. Le boucan est tel que je m'éloigne.
M'éloignant, je suis agressée par un inconnu qui me fait les poche et me confisque la carte navigo de mon frère. En échange, il laisse son sac à dos à mes pieds. Mais, je ne veux pas partir avec son sac à dos, peut-être un colis piégé, ou un contenant vide sans valeur, et préfère récupérer la carte navigo.
L'inconnu s'est rendu à une borne automatique et a réussi tirer un carnet de ticket grâce à la carte navigo. J'exige restitution tant de la carte que du carnet. Il me montre son menton, balafré de trois cicatrices, et explique :
-Ce point de suture-ci a bougé après.
second rêve : mon frère a un bébé
Je suis informée de la naissance de mon neveu, des semaines après. Nous vivons sous le même toit et je n'avais rien vu. Ma mère m'emmène voir le bébé : il est en layette blanche, assis sur un oreiller, au fond d'un lit. Il est blond, ses yeux sont bleus et ses joues rondes et rosées. Les commentaires cinglent :
-Il est asymétrique. / Nez en trompette / un bâtard à noyer.
Dans la cuisine, je vois la copine de mon frère se servir de pâtes aux légumes. Je critique :
-Encore vous mangez chez nous, et vos cheveux sont courts.
Elle part sans dire un mot.
D'une fenêtre sur le jardin, je vois une religieuse en habit monacal tondre la pelouse, peut-être une amie de Maman qui vient trouver un emploi chez nous.
(puis histoires de cétacés / comment se désensibiliser aux aliens déguisés en mantes religieuses)
Des casquettes dans un tiroir en bas, je ne vois que des modèles en tissus sans armature. On pourrait les qualifier de casquettes à l'ancienne. Il y a des visières courtes, roulées, étroites...J'apprécie l'étoffe rouge cerise d'une d'entre elles à visière mi-courte.
(aujourd'hui)
premier rêve : quittant les fanfares et l'inconnu au pass navigo
Je marche en ville sous les arcades. Une fanfare jaune bat tambours, sonne cuivres, derrière moi sous les arcades. Une fanfare rouge fait un tohu-bohu semblable en parallèle sur la route.
Je cueille pour la manger une groseille rousse-rosée sur les hauteurs de la liane qui pousse sous les arcades.
La fanfare jaune chante mes exploits : (
Lorsque les fanfares rouges et jaunes se rencontrent, elles interprètent des chansons sur pourquoi elles ne jouent pas ensemble et se sont divisées en deux bandes. Le boucan est tel que je m'éloigne.
M'éloignant, je suis agressée par un inconnu qui me fait les poche et me confisque la carte navigo de mon frère. En échange, il laisse son sac à dos à mes pieds. Mais, je ne veux pas partir avec son sac à dos, peut-être un colis piégé, ou un contenant vide sans valeur, et préfère récupérer la carte navigo.
L'inconnu s'est rendu à une borne automatique et a réussi tirer un carnet de ticket grâce à la carte navigo. J'exige restitution tant de la carte que du carnet. Il me montre son menton, balafré de trois cicatrices, et explique :
-Ce point de suture-ci a bougé après.
second rêve : mon frère a un bébé
Je suis informée de la naissance de mon neveu, des semaines après. Nous vivons sous le même toit et je n'avais rien vu. Ma mère m'emmène voir le bébé : il est en layette blanche, assis sur un oreiller, au fond d'un lit. Il est blond, ses yeux sont bleus et ses joues rondes et rosées. Les commentaires cinglent :
-Il est asymétrique. / Nez en trompette / un bâtard à noyer.
Dans la cuisine, je vois la copine de mon frère se servir de pâtes aux légumes. Je critique :
-Encore vous mangez chez nous, et vos cheveux sont courts.
Elle part sans dire un mot.
D'une fenêtre sur le jardin, je vois une religieuse en habit monacal tondre la pelouse, peut-être une amie de Maman qui vient trouver un emploi chez nous.
(puis histoires de cétacés / comment se désensibiliser aux aliens déguisés en mantes religieuses)
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : douche souterraine
Dans un lieu souterrain, je rejoins sous la douche deux garçons blonds de taille équivalente. J'ai de la terre et du gravier entre les seins. Le peu de lumière provient peut-être des bougies d'un autel.
Second rêve : question d'élevage
Un enfant me pose une question sur le poste de secrétaire d'Etat au croisement des Selles Français x Pur sang tel que le produit obtient au moins une balzane haut chaussée.
Dans un lieu souterrain, je rejoins sous la douche deux garçons blonds de taille équivalente. J'ai de la terre et du gravier entre les seins. Le peu de lumière provient peut-être des bougies d'un autel.
Second rêve : question d'élevage
Un enfant me pose une question sur le poste de secrétaire d'Etat au croisement des Selles Français x Pur sang tel que le produit obtient au moins une balzane haut chaussée.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
premier rêve : toilette partagée
Une fille blonde au teint laiteux me réveille à 3h du matin car elle se maquille pour faire les sorties de boîtes de nuit vers 5/6h.
Je prends soin ne pas piocher dans sa trousse de toilette.
Au fond des valises ouvertes, des tickets de train et des reçus de soldes. Il y avait eu une distribution de chèques dans un bâtiment en structure en escalier (toitures et pans de murs en marches), mais j'ai égaré celui qu'on m'avait donné.
Mon chat s'est égratigné sur le dos, et je verse une goutte de bétadine sur la chair à désinfecter.
Deuxième rêve : punaise sur mappemonde
Des nuages se dissipent sur une mappemonde interactive tandis qu'approche la main chargée d'une punaise d'un homme brun; il la pique au milieu de l'océan et des nuages gris tourbillonnent sur un bleu indéfini d'océan autour d'une localisation restant inutilisable.
Une fille blonde au teint laiteux me réveille à 3h du matin car elle se maquille pour faire les sorties de boîtes de nuit vers 5/6h.
Je prends soin ne pas piocher dans sa trousse de toilette.
Au fond des valises ouvertes, des tickets de train et des reçus de soldes. Il y avait eu une distribution de chèques dans un bâtiment en structure en escalier (toitures et pans de murs en marches), mais j'ai égaré celui qu'on m'avait donné.
Mon chat s'est égratigné sur le dos, et je verse une goutte de bétadine sur la chair à désinfecter.
Deuxième rêve : punaise sur mappemonde
Des nuages se dissipent sur une mappemonde interactive tandis qu'approche la main chargée d'une punaise d'un homme brun; il la pique au milieu de l'océan et des nuages gris tourbillonnent sur un bleu indéfini d'océan autour d'une localisation restant inutilisable.
gringalet- Messages : 22
Date d'inscription : 04/05/2018
Age : 18
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Rêve : temps et pluie
Je demande l'heure à des passants, et tous m'ont répondu :
-21h.
Bien sûr, ce n'est pas vrai. Il faut activer le chromosome 19 pour changer l'heure.
Puis, je dépose des bas dans une machine à laver posée sous la pluie.
Je demande l'heure à des passants, et tous m'ont répondu :
-21h.
Bien sûr, ce n'est pas vrai. Il faut activer le chromosome 19 pour changer l'heure.
Puis, je dépose des bas dans une machine à laver posée sous la pluie.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : évacuation d'une tour
La structure métallique est expliquée par un gros plan sur les vis et les poutres. Puis, c'est l'avion encore qui fait basculer les étages. Quelques images de salles de réunion, ensuite, j'intervient depuis le rez-de-chaussée pour inviter à l'évacuation. Une personne noire armée marche devant moi et tue systématiquement les civils dans les couloirs. Mais, ni moi ni les militaires m'accompagnant ne peuvent intervenir, car c'est de la légitime défense : le terroriste se fait agresser par les civils désarmés.
Cependant, je peux crier :
-Couchez-vous !
Je suis seule sur d'autres étages où l'évacuation se déroule banalement. Au contraire, un étage où se tient un carnaval rend désopilantes mes alertes. Je redescend au rez-de-chaussée avec un flot d'élève, ouvrant toutes les portes d'un garage à vélo en suspectant un étudiant attardé à pleurer derrière une rangée de cycles. Il y a un atelier de réparation de vélos et de trottinettes, je voudrais trouver un moyen de locomotion afin m'éloigner plus vite du site. Aussi, apparaissent les erreurs de roues baroques des cycles inutilisables. Je m'éloigne à pied de la tour couchée : il me reste 9 ou 7 minutes...avant quoi ? Avant l'heure limite de l'évacuation. Je pense, hélas, j'eu put alerter encore un demi-étage.
Second rêve : tchatbox
La tchatbox orange est pleine à mon arrivée. Le temps typographier tous les pseudos à saluer, il n'y a plus qu'une seule personne connectée, m'appelant par mon prénom.
troisième rêve : deux chats blancs
Nous appelons notre chat blanc, lorsque le doute n'est plus possible : il y a deux chats blancs. Aussi, nous ne savons distinguer lequel est notre chat blanc.
quatrième rêve : nourrir des animaux de la forêt
C'est l'après-midi. Il ne pleut pas. J'ai retrouvé mon frère derrière un abri-bus en bordure de la forêt. Les animaux de bois sortent nous saluer. Il y a des animaux roux, et de plus petits animaux blancs. Ce sont des renards, et peut-être des belettes, ou des furets.
Nous distribuons à manger à ces animaux, peut-être des croûtes ou du pain sec.
Un renard s'établit entre mon frère et moi. Sa fourrure courte et rousse appuie sur nos tibias. J'exprime avec enthousiasme :
-C'est un bon renard pour l'adoption.
La structure métallique est expliquée par un gros plan sur les vis et les poutres. Puis, c'est l'avion encore qui fait basculer les étages. Quelques images de salles de réunion, ensuite, j'intervient depuis le rez-de-chaussée pour inviter à l'évacuation. Une personne noire armée marche devant moi et tue systématiquement les civils dans les couloirs. Mais, ni moi ni les militaires m'accompagnant ne peuvent intervenir, car c'est de la légitime défense : le terroriste se fait agresser par les civils désarmés.
Cependant, je peux crier :
-Couchez-vous !
Je suis seule sur d'autres étages où l'évacuation se déroule banalement. Au contraire, un étage où se tient un carnaval rend désopilantes mes alertes. Je redescend au rez-de-chaussée avec un flot d'élève, ouvrant toutes les portes d'un garage à vélo en suspectant un étudiant attardé à pleurer derrière une rangée de cycles. Il y a un atelier de réparation de vélos et de trottinettes, je voudrais trouver un moyen de locomotion afin m'éloigner plus vite du site. Aussi, apparaissent les erreurs de roues baroques des cycles inutilisables. Je m'éloigne à pied de la tour couchée : il me reste 9 ou 7 minutes...avant quoi ? Avant l'heure limite de l'évacuation. Je pense, hélas, j'eu put alerter encore un demi-étage.
Second rêve : tchatbox
La tchatbox orange est pleine à mon arrivée. Le temps typographier tous les pseudos à saluer, il n'y a plus qu'une seule personne connectée, m'appelant par mon prénom.
troisième rêve : deux chats blancs
Nous appelons notre chat blanc, lorsque le doute n'est plus possible : il y a deux chats blancs. Aussi, nous ne savons distinguer lequel est notre chat blanc.
quatrième rêve : nourrir des animaux de la forêt
C'est l'après-midi. Il ne pleut pas. J'ai retrouvé mon frère derrière un abri-bus en bordure de la forêt. Les animaux de bois sortent nous saluer. Il y a des animaux roux, et de plus petits animaux blancs. Ce sont des renards, et peut-être des belettes, ou des furets.
Nous distribuons à manger à ces animaux, peut-être des croûtes ou du pain sec.
Un renard s'établit entre mon frère et moi. Sa fourrure courte et rousse appuie sur nos tibias. J'exprime avec enthousiasme :
-C'est un bon renard pour l'adoption.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
rêve : premier emploi, hémospermie du pdg
Miracle, je suis embauchée : j'obtient mon premier emploi. Cependant, la désillusion sur les qualifications se précise par le cadeau d'un ensemble de lingerie bleu-gris, et le tailleur d'entreprise a davantage vocation dévoiler les jambes.
Le pdg m'invite dans la salle de bain - suite censurée. A remarquer, une inquiétude quand le préservatif est resté coincé dans mon sexe, et un souci d'interprétation de son hémospermie.
Miracle, je suis embauchée : j'obtient mon premier emploi. Cependant, la désillusion sur les qualifications se précise par le cadeau d'un ensemble de lingerie bleu-gris, et le tailleur d'entreprise a davantage vocation dévoiler les jambes.
Le pdg m'invite dans la salle de bain - suite censurée. A remarquer, une inquiétude quand le préservatif est resté coincé dans mon sexe, et un souci d'interprétation de son hémospermie.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Tu fais des rêves incroyables, Pyjama. Sans drogue, je ne peux pas. Et c'est fou de s'en souvenir avec tant de précision. Tu les notes pendant la nuit ?
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Merci de ta lecture et participation guizm0e. Effectivement je ne prends pas de drogue (rien d'illégal sur la période relatée).
Je ne les note pas pendant la nuit, quoiqu'occasionnellement je me réveille et médite les dernières images, donc un processus mémoriel. Cependant, j'ai des difficultés mémoriser plus de 4 ou 5 rêves par nuit, indépendamment de la longueur du récit.
Je fais moins de rêves musicaux, peut-être parce que je ne sais pas écrire la musique au réveil.
Quelle est ton approche du rêve ?
Je ne les note pas pendant la nuit, quoiqu'occasionnellement je me réveille et médite les dernières images, donc un processus mémoriel. Cependant, j'ai des difficultés mémoriser plus de 4 ou 5 rêves par nuit, indépendamment de la longueur du récit.
Je fais moins de rêves musicaux, peut-être parce que je ne sais pas écrire la musique au réveil.
Quelle est ton approche du rêve ?
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Mes rêves sont impossibles à rédiger en 5 lignes. Parfois j'en ai couché sur papier mais c'est plutôt de l'ordre d'une page ou deux, sans trop rentrer dans les détails. Celà dit, dernièrement je ne fais plus trop de rêve marquant, je ne m'en souviens plus vraiment.
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
@ Pyjama : Je dors peu et ne rêve pas. Avant de le perdre, mon sommeil était extrêmement lourd, je ne sais pas si je rêvais mais j'étais littéralement happée. Les seuls souvenirs de rêve que j'ai sont plutôt des cauchemars, l'expression d'une peur terrible. J'ai l'impression d'avoir trop d'inhibition pour m'abandonner à rêver.
Et toi, quelle est ton approche des rêves ? Tu parviens à leur donner du sens ?
Et toi, quelle est ton approche des rêves ? Tu parviens à leur donner du sens ?
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Je ne sais pas ce que dit la science à ce sujet, mais je ne crois pas que l'on puisse ne pas rêver. Je penserais plutôt que les souvenirs ne restent pas.
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Oui, la science est d'accord avec toi, Xav06.
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : familles et maisons
Au premier étage d'une maison, je retrouve ma tante et sa famille. L'oncle renifle, les neveux et nièces sont silencieusement observateurs, la tante maintient une présence formelle attachée à sa mission de récupération des biens en partage dans la maison.
Un escalier mène à un salon humide et sombre au papier peint vieilli, se prolongeant par un couloir au mur déchiré, terminé par un mur, desservant deux chambres aux portes fermées.
Entre le couloir et le salon, les pans d'escaliers du premier et du second tournent à 90°.
A l'angle du salon et de l'escalier du second, il y a un pan de mur brisé par un reposoir à statue sculpté dans le bois. Encastré, le support reste en place, mais la statue a été attribuée et enlevée. A gauche sur le mur de la cage d'escalier, il y a l'emplacement clair d'un tableau -également enlevé - d'une robe fraîche dans les lavandes. En face du salon, sur le papier peint déchiré d'années du bref couloir, je me demande s'il est préférable un jour que j'aurais peint assez, suspendre une toile d'enfants, ou un dessin fleuri.
Retournant à mes hôtes, je retroussais mon pantalon sur mon mollet et dévoilai une ribambelle de plastiques de tatouages à l'eau, car j'avais posé des motifs de malabar sur toute la longueur de ma jambe. Cela semble distraire les neveux et nièce et atténuer la dureté de la tante.
A l'extérieur de cette maison, je vois des structures oranges, jaunes et vertes. Je marche dans un jardin vers un camping-car. Il faut réparer la couchette latérale dont la sangle dévisse.
Juxtaposant l'image d'une autre maison, je visite un rez-de-chaussée où des chiens ont déféqués. J'entends le pas de la femme de ménage derrière moi et me retourne pour l'embrasser sur les deux joues : mais je ne reconnais pas son visage, et suis triste ne pas la reconnaître. Elle dit :
- Ce n'est pas votre maison.
La chienne a eu une seconde portée, mais ce sont des vermisseaux et les chiots-vers sont balayés d'un revers de serviette. Elle n'a pas été nourrie aux croquettes mais directement de carcasses de veaux.
Puis, tout le rez-de-chaussée est inondé, et j'ouvre tardivement la trappe vers l'extérieur. Dans l'appel d'air provoqué, j'espère voir nager les silhouettes des chiens échappant à la noyade.
Second rêve : oublié
Oublié après la séquence brève d'un cercle noir suivi d'un cercle blanc, ou confusion possible avec un cercle blanc suivi d'un cercle noir.
Au premier étage d'une maison, je retrouve ma tante et sa famille. L'oncle renifle, les neveux et nièces sont silencieusement observateurs, la tante maintient une présence formelle attachée à sa mission de récupération des biens en partage dans la maison.
Un escalier mène à un salon humide et sombre au papier peint vieilli, se prolongeant par un couloir au mur déchiré, terminé par un mur, desservant deux chambres aux portes fermées.
Entre le couloir et le salon, les pans d'escaliers du premier et du second tournent à 90°.
A l'angle du salon et de l'escalier du second, il y a un pan de mur brisé par un reposoir à statue sculpté dans le bois. Encastré, le support reste en place, mais la statue a été attribuée et enlevée. A gauche sur le mur de la cage d'escalier, il y a l'emplacement clair d'un tableau -également enlevé - d'une robe fraîche dans les lavandes. En face du salon, sur le papier peint déchiré d'années du bref couloir, je me demande s'il est préférable un jour que j'aurais peint assez, suspendre une toile d'enfants, ou un dessin fleuri.
Retournant à mes hôtes, je retroussais mon pantalon sur mon mollet et dévoilai une ribambelle de plastiques de tatouages à l'eau, car j'avais posé des motifs de malabar sur toute la longueur de ma jambe. Cela semble distraire les neveux et nièce et atténuer la dureté de la tante.
A l'extérieur de cette maison, je vois des structures oranges, jaunes et vertes. Je marche dans un jardin vers un camping-car. Il faut réparer la couchette latérale dont la sangle dévisse.
Juxtaposant l'image d'une autre maison, je visite un rez-de-chaussée où des chiens ont déféqués. J'entends le pas de la femme de ménage derrière moi et me retourne pour l'embrasser sur les deux joues : mais je ne reconnais pas son visage, et suis triste ne pas la reconnaître. Elle dit :
- Ce n'est pas votre maison.
La chienne a eu une seconde portée, mais ce sont des vermisseaux et les chiots-vers sont balayés d'un revers de serviette. Elle n'a pas été nourrie aux croquettes mais directement de carcasses de veaux.
Puis, tout le rez-de-chaussée est inondé, et j'ouvre tardivement la trappe vers l'extérieur. Dans l'appel d'air provoqué, j'espère voir nager les silhouettes des chiens échappant à la noyade.
Second rêve : oublié
Oublié après la séquence brève d'un cercle noir suivi d'un cercle blanc, ou confusion possible avec un cercle blanc suivi d'un cercle noir.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve, Jardinage : (dans le jardin d’un rêve précédent où des enfants venaient sous une tente la nuit) Nous sommes plusieurs à employer pelles, pioches, bêches et râteaux pour former trois plates-bandes de fleurs. Les deux premières sont disposées en patte d’oie l’une de l’autre, ou comme une radio et son antenne couchée. La troisième est le long du mur de la maison, et, nouveauté soignée, le sol profond et souple en est recouvert d’une bâche dont nous trouons les fibres protectrices des mauvaises herbes afin placer les plants en terre.
Ici, ce sont au centre quelques plantes non identifiées façon zinnias, entourées de fuschias beige, et enfin de rosiers roses. J’apporte un rosier « Rosali » blanc rosé et m’inquiète de la taille de la déchirure de la bâche nécessaire à sa mise en place.
Second rêve, Apéritif dans la rivière : Dans une rivière calme et profonde, nous avons organisé un apéritif. Des troncs d’arbres plongent leurs lichens soyeux dans les reflets de l’onde. Les écorces ceignent d’orange la chaleur du soleil, dont l’ardeur se plait dans la découpe étroite des feuillages d’acacias et de robiniers sauvages ombombrant les rives.
Des plateaux flottent, présentant des mets sur des feuilles vertes et luisantes, peut-être un large lierre, ou du nénuphar. Avec les invités, j’ai la joie retrouver ma grand-mère, engagée dans la rivière jusqu’au cou. Elle est venue avec l’élégance qu’on connait aux apéritifs terrestres, et la clarté de l’eau révèle elle n’a pas hésité mouiller son tailleur rose, ni les multiples rangs de son collier de perles dont la nacre s’irise.
A quelque distance, un petit troupeau de chevaux fraîchit dans l’eau. Leurs robes claires ou chaudes sourient. Je suis heureuse rejoindre mon cheval en maillot de bain. Sa crinière est méchée du poids de l’eau.
Plus tard, nous retrouvons les photos de l’apéritif dans la rivière.
Troisième rêve, Jouer au ballon dans un appartement : Nous sommes une dizaine d’étudiants de plusieurs âges, et nous jouons d’un grand ballon en mousse dans un appartement. J'ai oublié si le ballon est vert ou rouge. Je manque plusieurs échanges, mais réussi renvoyer la balle à quelques occasions, malgré l’effort tendineux exercés sur les poignets du fait de la masse volumineuse.
Quatrième rêve, Sortie de hangar : C’est la nuit, et je cherche la sortie d’un hangar en l’absence de signalisation lumineuse. Il n’est pas impossible je suis accompagnée d’une ou plusieurs silhouettes furtives dont l’ombre ne dévoile rien des traits. Il y a plusieurs hangars.
Ici, ce sont au centre quelques plantes non identifiées façon zinnias, entourées de fuschias beige, et enfin de rosiers roses. J’apporte un rosier « Rosali » blanc rosé et m’inquiète de la taille de la déchirure de la bâche nécessaire à sa mise en place.
Second rêve, Apéritif dans la rivière : Dans une rivière calme et profonde, nous avons organisé un apéritif. Des troncs d’arbres plongent leurs lichens soyeux dans les reflets de l’onde. Les écorces ceignent d’orange la chaleur du soleil, dont l’ardeur se plait dans la découpe étroite des feuillages d’acacias et de robiniers sauvages ombombrant les rives.
Des plateaux flottent, présentant des mets sur des feuilles vertes et luisantes, peut-être un large lierre, ou du nénuphar. Avec les invités, j’ai la joie retrouver ma grand-mère, engagée dans la rivière jusqu’au cou. Elle est venue avec l’élégance qu’on connait aux apéritifs terrestres, et la clarté de l’eau révèle elle n’a pas hésité mouiller son tailleur rose, ni les multiples rangs de son collier de perles dont la nacre s’irise.
A quelque distance, un petit troupeau de chevaux fraîchit dans l’eau. Leurs robes claires ou chaudes sourient. Je suis heureuse rejoindre mon cheval en maillot de bain. Sa crinière est méchée du poids de l’eau.
Plus tard, nous retrouvons les photos de l’apéritif dans la rivière.
Troisième rêve, Jouer au ballon dans un appartement : Nous sommes une dizaine d’étudiants de plusieurs âges, et nous jouons d’un grand ballon en mousse dans un appartement. J'ai oublié si le ballon est vert ou rouge. Je manque plusieurs échanges, mais réussi renvoyer la balle à quelques occasions, malgré l’effort tendineux exercés sur les poignets du fait de la masse volumineuse.
Quatrième rêve, Sortie de hangar : C’est la nuit, et je cherche la sortie d’un hangar en l’absence de signalisation lumineuse. Il n’est pas impossible je suis accompagnée d’une ou plusieurs silhouettes furtives dont l’ombre ne dévoile rien des traits. Il y a plusieurs hangars.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : définition du surdoué.
Un surdoué se définit par la testostérone et la persévérance. C'est pour cette raison il y a beaucoup de surdoués à l'armée.
Test 1 : Untel coupe au couteau en marchant du fromage à température ambiante, puis, du fromage congelé.
Bilan : Untel n'est pas surdoué.
Test 2 : Tel Autre coupe au couteau en marchant du beurre à température ambiante, obtient trois morceaux dans les foulées imparties et un quatrième collé à la lame.
Bilan : Tel Autre est surdoué.
Second rêve : plateaux-repas
Un plateau repas est oublié dans la salle Télé. Deux assiettes et leurs couverts sont empilés sur une toile huilée encadrée.
Un surdoué se définit par la testostérone et la persévérance. C'est pour cette raison il y a beaucoup de surdoués à l'armée.
Test 1 : Untel coupe au couteau en marchant du fromage à température ambiante, puis, du fromage congelé.
Bilan : Untel n'est pas surdoué.
Test 2 : Tel Autre coupe au couteau en marchant du beurre à température ambiante, obtient trois morceaux dans les foulées imparties et un quatrième collé à la lame.
Bilan : Tel Autre est surdoué.
Second rêve : plateaux-repas
Un plateau repas est oublié dans la salle Télé. Deux assiettes et leurs couverts sont empilés sur une toile huilée encadrée.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Premier rêve : balade dans les collines
Ma grand-mère a retrouvé sa jeunesse, elle est en tenue de randonnée et ses cheveux, noirs. Nous marchons dans les collines. Sous un tournant, nous avons le choix entre suivre la route en pente douce, ou monter l'escalier vers un mas bâti dans la boucle du chemin. Je veux suivre la route, mais elle préfère saluer les usagers de la piscine en surplomb.
La suivant quelques pas, la vue se dégage et le paysage des collines révèle une cascade. Ma grand-mère voulait voir cette cascade. Elle est jaillissante, horizontale presque irréaliste, rappelant les tons du ciel sur l'écrin profond des pentes boisées.
Cette image me rappelle au souvenir d'un rêve documentaire-encastré sur les geisers, des images de fumées ocres sur le gris du ciel, rompant d'impermanentes volutes les lignes calmes du désert. Il y avait une utilité d'approvisionnement en eau.
Suite à une inondation dans les collines, nous consacrons un autel aux esprits de l'eau. Il se présente sous la forme d'un aquarium entretenu par un panneau solaire.
Second rêve : enrênement du cheval kidnappé
Je songe maintenir un collier d'encolure par une martingale, sur cheval nu , sans surfaix, ni rien pour maintenir l'anneau sous le poitrail.
Mon cheval a été kidnappé par un piéton lors d'une course d'endurance. Le mécontentement me gagne tandis que des images me parviennent de l'enrênement avec lequel le kidnappeur l'entraîne : c'est un filet ! Je ne l'espérais qu'en bouche libre.
Je cours pour remonter la file des compétiteurs et retrouver mon cheval.
Ma grand-mère a retrouvé sa jeunesse, elle est en tenue de randonnée et ses cheveux, noirs. Nous marchons dans les collines. Sous un tournant, nous avons le choix entre suivre la route en pente douce, ou monter l'escalier vers un mas bâti dans la boucle du chemin. Je veux suivre la route, mais elle préfère saluer les usagers de la piscine en surplomb.
La suivant quelques pas, la vue se dégage et le paysage des collines révèle une cascade. Ma grand-mère voulait voir cette cascade. Elle est jaillissante, horizontale presque irréaliste, rappelant les tons du ciel sur l'écrin profond des pentes boisées.
Cette image me rappelle au souvenir d'un rêve documentaire-encastré sur les geisers, des images de fumées ocres sur le gris du ciel, rompant d'impermanentes volutes les lignes calmes du désert. Il y avait une utilité d'approvisionnement en eau.
Suite à une inondation dans les collines, nous consacrons un autel aux esprits de l'eau. Il se présente sous la forme d'un aquarium entretenu par un panneau solaire.
Second rêve : enrênement du cheval kidnappé
Je songe maintenir un collier d'encolure par une martingale, sur cheval nu , sans surfaix, ni rien pour maintenir l'anneau sous le poitrail.
Mon cheval a été kidnappé par un piéton lors d'une course d'endurance. Le mécontentement me gagne tandis que des images me parviennent de l'enrênement avec lequel le kidnappeur l'entraîne : c'est un filet ! Je ne l'espérais qu'en bouche libre.
Je cours pour remonter la file des compétiteurs et retrouver mon cheval.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Et toi, quelle est ton approche des rêves ? Tu parviens à leur donner du sens ?
Question à laquelle je m'efforce renouveler la réponse en partageant une période temporelle ici.
Approche :
très spontanée. C'est possible je ne rêve pas, mais je rêve souvent. A une époque, je rêvais aussi en journée...d'un moment à l'autre, le besoin de m'assoupir prenait le pas sur tout, je fermais irrésistiblement les paupières, et m'endormais, parfois pour des siestes très courtes mais intenses en onirisme. Au contraire, j'ai eu aussi des longues périodes sans aucun rêve. Il y a eu des série thématiques : tant de mois avec tel élément qui revient, ou des séquences plus ou moins imaginatives, sur différents plans du figuré.
De mes expériences, la drogue peut modifier les perceptions et donc la qualité des rêves, et le scénario va refléter les initiatives de la réalité. Mais c'est possible fumer un joint, rêver et ne pas faire de rêve. Il n'y a pas nécessairement de meilleur rêve en s'altérant. Certes, les conseils pour bien dormir sont importants pour le bon repos. La qualité du repos va permettre d'autres perceptions qui influent les couleurs, les densités, les rythmes.
Ce n'est pas gênant, mais je préférerai mieux intégrer les rêves à une continuité de projets éveillés, peut-être la transition entre l'approche et le sens.
Donner du sens :
Certains sont lisibles par le contexte familial, l'époque, l'actualité. Le positif / négatif souvent exprime l'humeur.
Il y a aussi des choses que je ne comprends pas, des blagues qui me perdent dans l'interprétation, ou des logiques qui ne correspondent pas au possible du réel.
Sens passif ou actif ..? conscience de quoi ?
Premier rêve : paddocks pour chevaux playmobil
Il y a trois paddock en rubalise pour des chevaux playmobils. Les deux premiers paddocks sont petits, et le troisième presque 1 tiers ou 1 quart plus grand, si ce n'est davantage. Il faut répartir les chevaux sur les paddocks, enherbés de plusieurs herbes et fleurs, dont des boutons d'or.
Second rêve : orage à l'université
A l'université, il y a de l'orage. Autour de petites tables rondes, je vérifie avec deux autres étudiantes le matériel de secours. Il y a une jolie asiatique aux cheveux longs, noirs et lisses.
-Lampe de poche ? L'orage risque de faire sauter les batteries des téléphones.
L'une des sangles de mon sac a une dent cassée, heureusement, la boucle tient encore.
Nous sortons de l'université par un très long et large escalier. Je ne veux pas aller aujourd'hui au service administratif des notations, car il est peut-être 18 heures et je veux quitter le site.
Troisième rêve : librairie - papeterie
Dans une librairie-papeterie, je balade entre les rayons. Il y a beaucoup de journaux, et des bonbons.
Au comptoir, un étudiant gauchiste parle au buraliste. Il ne sait pas lui parler simplement, car il ponctue toutes ses phrases de sigles abstrus, ce qui donne un peu :
-Bonjour SEN, c'est AFG une bonne journée PJK, avez-vous TDI le journal ? J'ai MLK de la UID monnaie.
Des bonbons, je veux un trombone à paillettes acidulées rouge. J'avais déjà goûté le trombone à paillettes acidulées bleu. Ils sont sous emballage individuel transparent. Il y a aussi des paquets de chewing-gum a strass.
Je prends le trombone, et me dirige vers le comptoir. J'ai aussi entre les deux mains un journal sous emballage plastique -je serai incapable reconnaître l'édition. Au milieu du journal, j'ai mis un cierge à brûler.
J'avance lentement dans les rayons afin ne pas éteindre la flamme qui projette des ombres étonnantes, car l'éclairage électrique n'est pas "on".
Le cierge se consume jusqu'au ras de l'emballage plastique du journal, un trou apparaît.
-Ce n'est pas facile mettre feu à une librairie-papeterie, dit le buraliste.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
rêve : ascenseurs
Dans un gymnase, je retrouve Untel du collège qui me dit :
-Il faut parler.
-Bonne journée de sport, l'encourageais-je en lui tapotant l'épaule.
Il y a deux fils d'attentes devant deux portes d'ascenseurs. La première file attend pour aller du 2ème étage vers le deuxième étage.
Je change de file, et un garçon en comprend que je ne trouve pas sa petite amie jolie.
L'autre ascenseur m'emmène du septième étage au deuxième étage. Il y a un miroir, je suis en pantalon moulant noir, et j'ai un t-shirt moulant coloré. Mes cheveux sont aplatis sur les tempes et je les replace. N'ayant pas emporté de fil dentaire, je ne me brosse pas les dents mais veux skier.
Rêve : purée
Longtemps remuer la purée de pomme de terre pour le dîner.
Dans un gymnase, je retrouve Untel du collège qui me dit :
-Il faut parler.
-Bonne journée de sport, l'encourageais-je en lui tapotant l'épaule.
Il y a deux fils d'attentes devant deux portes d'ascenseurs. La première file attend pour aller du 2ème étage vers le deuxième étage.
Je change de file, et un garçon en comprend que je ne trouve pas sa petite amie jolie.
L'autre ascenseur m'emmène du septième étage au deuxième étage. Il y a un miroir, je suis en pantalon moulant noir, et j'ai un t-shirt moulant coloré. Mes cheveux sont aplatis sur les tempes et je les replace. N'ayant pas emporté de fil dentaire, je ne me brosse pas les dents mais veux skier.
Rêve : purée
Longtemps remuer la purée de pomme de terre pour le dîner.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Bonjour,
Premier rêve : rencontres en ville
Le paysage défile tout seul. Une femme de dos me montre seulement ses cheveux à coiffer. Ils sont déjà cadrés en damier et tressés, j'en déduis elle a peut-être des origines. Les mèches sont noires en bas, et toutes blanches en haut. Elle me demande l'aider à former un chignon. Aussi, je regroupe les mèches ensemble, les noue, puis place un mouchoir en dentelle par-dessus. Cependant, le placement de l'ornement lui déplaît. Je défais le chignon et regroupe les mèches afin placer autrement le chiffon.
Devant une université, je trouve une voiture et à l'intérieur ma chatte siamoise. Il n'y a pas d'eau et il fait chaud, aussi, je décide ne pas la laisser dans l'habitacle, mais la reconduire chez son pet-sitter -quitte à sécher des cours à la fac.
Cependant, je ne sais pas conduire (je n'ai pas le permis). Aussi, c'est fabuleux j'arrive à faire évoluer le véhicule dans le paysage urbain. Ainsi, je conduis le long d'un bâtiment universitaire, et réussit faire demi-tour devant une impasse.
Plus loin en ville, une rue commerçante exige utiliser le frein afin ne pas emboutir le véhicule précédent. J'appuie le pied à gauche de l'embrayage ! C'est en baissant les yeux vers les pédales que je comprends inefficacité de mes efforts, et replace le pied sur le frein.
Sur le trottoir de droite, les passants fouillent dans les bacs devant les commerces. L'un commente mon approche risquée du véhicule précédent par : "Les hurlements de Léo".
Je dis à mon chat :
-A l'intersection, nous tournerons à gauche sur l'avenue, et circuleront mieux.
Elle dort sur le dos dans mes bras, lascive, presque indolente.
A l'abord d'un rond-point, je pense à une fille qui prendrait un traitement ovarien, motivée davantage par ce que la pantonyme lui permet comme souffle pour perdre du poids.
Sur la seconde courbe du rond-point, un homme brun de taille et corpulence moyenne, en costume trois pièces sombre mais désorganisé, m'aborde en gesticulant :
-Ma fille ! A brûlé son habit sur le sol ! Sa peau s'est imprimée sur ma cravate !
Il me montre un pan de son habit sur lequel s'observe un ajout beige pointillé - la peau brûlée de sa fille.
L'homme continue :
-Vous avez des difficultés, m'adresse-t-il.
-Comment cela ? m'étonnais-je.
Il répondit alors cette phrase qu'un narrateur appuya d'une voix off :
-Votre façon de marcher,
"dit-il d'une voix glaçante à couper le souffle".
Effectivement, je n'étais plus en voiture mais à pied.
Second rêve : maison attaquée.
C'est une maison à côté d'une écurie. Sur la carrière, je travaille mon cheval, il saute la clôture. Je suis fière car c'est bien sauter 1m10 - 1m30, mais aussi fâchée parce qu'il faut lui courir après. Il galope vers la porte de sortie, heureusement fermée devant la route.
Majanova explique :
- "j'ai un caractère intermédiaire entre celui d'un Lama et d'un (cheval)".
Ensuite, je suis dans la maison. Un père est furieux contre son fils. Il le précipite sur le pas de la porte, afin le rejeter à l'extérieur de la maison. Il va être chassé. C'est une porte blanche sur un mur en briques.
Il lui dit :
-Tu regretteras toute ta vie ne pas avoir su t'occuper de ton (cheval) !
Le gamin réagit par une expression faciale des plus pittoresques, que le père interprète :
- Comment ! C'est toi qui lui apprend aussi mal ! Tu manques son éducation ! Tu regretteras ton père ! Tu me regretteras, et les soins que je t'aide lui apporter ! Tu iras en Afrique ! En Afrique tu dresseras des mustangs, des chevaux sauvages ! Tu ne pourras pas leur apporter de soins et ne sauras rien !
Puis, le père pousse le fils par le col et le rejette devant la maison. Il saisit aussi sa paire de chaussures montantes à lacets, et les lui jette car l'enfant est pieds-nus.
Dans la mesure où je peux interférer, je cherche par terre une paire de chaussettes à lui lancer, mais ne vois qu'une paire de gant en laine roulée en boule.
Le fils s'en va, et c'est peut-être ce qui lui a sauvé la vie, car déjà approchent des hommes patibulaires. L'un porte une veste noire sur une chemise rouge.
Je m'éloigne dans un couloir de la maison, trois chambres s'alignent : dans la première, un petit garçon, dans la seconde, une petite fille. La troisième chambre est vide.
Me retournant, j'aperçois devant le palier une femme aux cheveux coupés courts, et quelque chose d'orange dans son allure (les cheveux, un foulard ? ). Afin qu'elle ne me voit pas, je me précipite dans la troisième chambre, quoique j'eusse préférer bifurquer dans un autre couloir.
Dans la chambre, je n'ai pas le réflexe qui éveillée me semble intéressant, ouvrir la fenêtre pour m'enfuir dans le jardin.
J'ouvre un placard de petite dimension sous la cheminée, et un placard de plus grand volume sur le mur. Je m'y cache. Bientôt, intervient un nouveau protagoniste : une femme en tenue de sport rose fait le tour de la chambre, une fois. Je l'aperçois par les fentes du placard, ma respiration se veut discrète.
Elle s'éloigne, mais mon ventre gargouille et me trahit. Elle revient.
Étonnamment, elle ne m'a pas poignardée à l'intérieur du placard. D'abord, elle m'a fait sortir et m'a relevée. Elle est brune et de taille semblable. Elle se prépare à m'attaquer à l'arme blanche, et fait des mouvements pour gainer sa force sur une lame.
Je visualise un espace ovale pointillé de brun sur son front, et lance un grand coup de boule.
Après, je ne voit plus rien. C'est tout brun. La vision revient peu à peu, en commentant :
"Pendant longtemps, elle s'est souvenu ainsi de ce qui a suivi"
La vision superpose quatre images, une dans chaque angle. La couleur dominante est le jaune, comme des oyats dans les dunes.
L'attaque est terminée et la maison honore ses morts. Plusieurs dépouilles sont tirées sur le sable, suivant un quadrillage sur trois lignes. Le père est vivant. Une gouvernante à été violée puis tuée. Je ne vois pas la petite fille. Le petit garçon se retourne et me montre son visage en pleurs.
Premier rêve : rencontres en ville
Le paysage défile tout seul. Une femme de dos me montre seulement ses cheveux à coiffer. Ils sont déjà cadrés en damier et tressés, j'en déduis elle a peut-être des origines. Les mèches sont noires en bas, et toutes blanches en haut. Elle me demande l'aider à former un chignon. Aussi, je regroupe les mèches ensemble, les noue, puis place un mouchoir en dentelle par-dessus. Cependant, le placement de l'ornement lui déplaît. Je défais le chignon et regroupe les mèches afin placer autrement le chiffon.
Devant une université, je trouve une voiture et à l'intérieur ma chatte siamoise. Il n'y a pas d'eau et il fait chaud, aussi, je décide ne pas la laisser dans l'habitacle, mais la reconduire chez son pet-sitter -quitte à sécher des cours à la fac.
Cependant, je ne sais pas conduire (je n'ai pas le permis). Aussi, c'est fabuleux j'arrive à faire évoluer le véhicule dans le paysage urbain. Ainsi, je conduis le long d'un bâtiment universitaire, et réussit faire demi-tour devant une impasse.
Plus loin en ville, une rue commerçante exige utiliser le frein afin ne pas emboutir le véhicule précédent. J'appuie le pied à gauche de l'embrayage ! C'est en baissant les yeux vers les pédales que je comprends inefficacité de mes efforts, et replace le pied sur le frein.
Sur le trottoir de droite, les passants fouillent dans les bacs devant les commerces. L'un commente mon approche risquée du véhicule précédent par : "Les hurlements de Léo".
Je dis à mon chat :
-A l'intersection, nous tournerons à gauche sur l'avenue, et circuleront mieux.
Elle dort sur le dos dans mes bras, lascive, presque indolente.
A l'abord d'un rond-point, je pense à une fille qui prendrait un traitement ovarien, motivée davantage par ce que la pantonyme lui permet comme souffle pour perdre du poids.
Sur la seconde courbe du rond-point, un homme brun de taille et corpulence moyenne, en costume trois pièces sombre mais désorganisé, m'aborde en gesticulant :
-Ma fille ! A brûlé son habit sur le sol ! Sa peau s'est imprimée sur ma cravate !
Il me montre un pan de son habit sur lequel s'observe un ajout beige pointillé - la peau brûlée de sa fille.
L'homme continue :
-Vous avez des difficultés, m'adresse-t-il.
-Comment cela ? m'étonnais-je.
Il répondit alors cette phrase qu'un narrateur appuya d'une voix off :
-Votre façon de marcher,
"dit-il d'une voix glaçante à couper le souffle".
Effectivement, je n'étais plus en voiture mais à pied.
Second rêve : maison attaquée.
C'est une maison à côté d'une écurie. Sur la carrière, je travaille mon cheval, il saute la clôture. Je suis fière car c'est bien sauter 1m10 - 1m30, mais aussi fâchée parce qu'il faut lui courir après. Il galope vers la porte de sortie, heureusement fermée devant la route.
Majanova explique :
- "j'ai un caractère intermédiaire entre celui d'un Lama et d'un (cheval)".
Ensuite, je suis dans la maison. Un père est furieux contre son fils. Il le précipite sur le pas de la porte, afin le rejeter à l'extérieur de la maison. Il va être chassé. C'est une porte blanche sur un mur en briques.
Il lui dit :
-Tu regretteras toute ta vie ne pas avoir su t'occuper de ton (cheval) !
Le gamin réagit par une expression faciale des plus pittoresques, que le père interprète :
- Comment ! C'est toi qui lui apprend aussi mal ! Tu manques son éducation ! Tu regretteras ton père ! Tu me regretteras, et les soins que je t'aide lui apporter ! Tu iras en Afrique ! En Afrique tu dresseras des mustangs, des chevaux sauvages ! Tu ne pourras pas leur apporter de soins et ne sauras rien !
Puis, le père pousse le fils par le col et le rejette devant la maison. Il saisit aussi sa paire de chaussures montantes à lacets, et les lui jette car l'enfant est pieds-nus.
Dans la mesure où je peux interférer, je cherche par terre une paire de chaussettes à lui lancer, mais ne vois qu'une paire de gant en laine roulée en boule.
Le fils s'en va, et c'est peut-être ce qui lui a sauvé la vie, car déjà approchent des hommes patibulaires. L'un porte une veste noire sur une chemise rouge.
Je m'éloigne dans un couloir de la maison, trois chambres s'alignent : dans la première, un petit garçon, dans la seconde, une petite fille. La troisième chambre est vide.
Me retournant, j'aperçois devant le palier une femme aux cheveux coupés courts, et quelque chose d'orange dans son allure (les cheveux, un foulard ? ). Afin qu'elle ne me voit pas, je me précipite dans la troisième chambre, quoique j'eusse préférer bifurquer dans un autre couloir.
Dans la chambre, je n'ai pas le réflexe qui éveillée me semble intéressant, ouvrir la fenêtre pour m'enfuir dans le jardin.
J'ouvre un placard de petite dimension sous la cheminée, et un placard de plus grand volume sur le mur. Je m'y cache. Bientôt, intervient un nouveau protagoniste : une femme en tenue de sport rose fait le tour de la chambre, une fois. Je l'aperçois par les fentes du placard, ma respiration se veut discrète.
Elle s'éloigne, mais mon ventre gargouille et me trahit. Elle revient.
Étonnamment, elle ne m'a pas poignardée à l'intérieur du placard. D'abord, elle m'a fait sortir et m'a relevée. Elle est brune et de taille semblable. Elle se prépare à m'attaquer à l'arme blanche, et fait des mouvements pour gainer sa force sur une lame.
Je visualise un espace ovale pointillé de brun sur son front, et lance un grand coup de boule.
Après, je ne voit plus rien. C'est tout brun. La vision revient peu à peu, en commentant :
"Pendant longtemps, elle s'est souvenu ainsi de ce qui a suivi"
La vision superpose quatre images, une dans chaque angle. La couleur dominante est le jaune, comme des oyats dans les dunes.
L'attaque est terminée et la maison honore ses morts. Plusieurs dépouilles sont tirées sur le sable, suivant un quadrillage sur trois lignes. Le père est vivant. Une gouvernante à été violée puis tuée. Je ne vois pas la petite fille. Le petit garçon se retourne et me montre son visage en pleurs.
Dernière édition par Pyjama le Mer 23 Mai 2018 - 21:27, édité 1 fois
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
..
Dernière édition par Isa Tangerine le Jeu 14 Juin 2018 - 19:31, édité 1 fois
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Rêve : self
Une fille brune qui a été mon amie mais qu'aujourd'hui je n'apprécie pas à sa juste valeur, m'emmène à la cantine.
On se moque de moi car je veux de la glace en dessert. Je vois des bacs à dessert, mais je ne sais pas si ce sont des légumes d'entrée (betteraves, salsifis...) ou des fruits pour le dessert, ni si c'est de la crème glacée.
Une fille brune qui a été mon amie mais qu'aujourd'hui je n'apprécie pas à sa juste valeur, m'emmène à la cantine.
On se moque de moi car je veux de la glace en dessert. Je vois des bacs à dessert, mais je ne sais pas si ce sont des légumes d'entrée (betteraves, salsifis...) ou des fruits pour le dessert, ni si c'est de la crème glacée.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Rêve : écrire sur une coque
Sur la coque d'un bateau dans l'eau, j'écris une exhortation au voyage.
L'une des dernières phrases : " je t'offre le précieux, le très beau..." etc.
Puis le bateau vogue, et, lorsqu'il s'est arrêté, l'inscription a disparu.
Sur la coque d'un bateau dans l'eau, j'écris une exhortation au voyage.
L'une des dernières phrases : " je t'offre le précieux, le très beau..." etc.
Puis le bateau vogue, et, lorsqu'il s'est arrêté, l'inscription a disparu.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Bonjour,
Avez-vous bien rêvé ? Cette nuit, je suis repartie sur un rêve long :
Le mystère de la crypte secrète :
D'un point de vue en hauteur, je regardais le jardin chez mon père. De toute la verdure des arbres, et des herbes, quelques fleurs colorées retiennent l'attention ; là, le bouton rougi d'une tulipe tardive, ailleurs, une hampe terminée de pétales violets.
Maintenant à pied dans le jardin, j'écoute mon père annoncer :
-Je vends tous mes biens, et la maison.
Après ce terrible événement, je tire les joues de mon frère, pince son visage, et lui aussi me chamaille.
Entrant dans la maison, il apparaît le sol immédiatement devant la porte s'est effondré sur un pas d'envergure. Papa a posé des baguettes en bois pour délimiter la béance. Je déplace les bouts de bois, et on ne voit plus où le sol est effondré. Papa retrouve la zone à délimiter.
Une lampe de poche révèle les aspects cachés dans le trou. A gauche, un mur en pierre, sans doute les fondations. Au fond, une eau recouvre un bloc de calcaire blanc, et retient la pénombre des profondeurs, contrastée du reflet de la torche sur les écailles de terribles scorpions blanchis de leur existence souterraine.
L'excitation me soulève lorsque je découvrais :
-Il y a un escalier sous les carreaux effondrés ! Indubitablement, un accès était prévu !
Soulevant des carreaux voisins, nous découvrons une seconde salle souterraine. L'enthousiasme le partage au mystère. La volonté des bâtisseurs de laisser un jour ces lieux être réutilisés insuffle une confiance égale dans la poursuite du rêve. Spontanément, j'actionne l'interrupteur de l'ampoule au-dessus de la porte d'entrée ; il s'avère connecté à des radiateurs-lampes électriques dans la salle souterraine.
-Ils avaient prévu ne pas utiliser de pétrole, déduit Papa avec sa force logique.
Nous explorons la crypte nouvellement éclairée. Ce lieu secret est meublé. Il y a un lit haut, équipé d'un matelas épais, et poussant la préparation jusqu'à la couette bleue qui le pare, parfaitement tendue, sauf sur le coin supérieur gauche où elle est froissée. On devine le mouvement d'un poing serré sur le tissu tordu.
Plus étonnant encore, un attirail d'appareils est stocké là. Près du lit, c'est une perfusion à trois cathéters. Pourquoi trois ? Quelle science médicale fut ici utilisée ?
A droite du lit, une machine spectaculaire fascine mon attention. Autour d'une tige centrale, s'enroulent symétriquement des diamètres croissants de fil métallique. D'épaisses perles multicolores sont soigneusement rangées de part et d'autre au sommet du schéma spiralé. Je devine il y a une interprétation suivant le déplacement des billes sur les courbes, associé à l'activité de la personne alitée sous triple perfusion.
La fonction de l'instrument chatouille l'intérêt avec une évidence minutieuse : il permet des mesures psychologiques.
Je pensais : il faut prendre cet instrument en photo. J'enverrai la photo à doom, lui saurait expliquer ce que c'est.
Avez-vous bien rêvé ? Cette nuit, je suis repartie sur un rêve long :
Le mystère de la crypte secrète :
D'un point de vue en hauteur, je regardais le jardin chez mon père. De toute la verdure des arbres, et des herbes, quelques fleurs colorées retiennent l'attention ; là, le bouton rougi d'une tulipe tardive, ailleurs, une hampe terminée de pétales violets.
Maintenant à pied dans le jardin, j'écoute mon père annoncer :
-Je vends tous mes biens, et la maison.
Après ce terrible événement, je tire les joues de mon frère, pince son visage, et lui aussi me chamaille.
Entrant dans la maison, il apparaît le sol immédiatement devant la porte s'est effondré sur un pas d'envergure. Papa a posé des baguettes en bois pour délimiter la béance. Je déplace les bouts de bois, et on ne voit plus où le sol est effondré. Papa retrouve la zone à délimiter.
Une lampe de poche révèle les aspects cachés dans le trou. A gauche, un mur en pierre, sans doute les fondations. Au fond, une eau recouvre un bloc de calcaire blanc, et retient la pénombre des profondeurs, contrastée du reflet de la torche sur les écailles de terribles scorpions blanchis de leur existence souterraine.
L'excitation me soulève lorsque je découvrais :
-Il y a un escalier sous les carreaux effondrés ! Indubitablement, un accès était prévu !
Soulevant des carreaux voisins, nous découvrons une seconde salle souterraine. L'enthousiasme le partage au mystère. La volonté des bâtisseurs de laisser un jour ces lieux être réutilisés insuffle une confiance égale dans la poursuite du rêve. Spontanément, j'actionne l'interrupteur de l'ampoule au-dessus de la porte d'entrée ; il s'avère connecté à des radiateurs-lampes électriques dans la salle souterraine.
-Ils avaient prévu ne pas utiliser de pétrole, déduit Papa avec sa force logique.
Nous explorons la crypte nouvellement éclairée. Ce lieu secret est meublé. Il y a un lit haut, équipé d'un matelas épais, et poussant la préparation jusqu'à la couette bleue qui le pare, parfaitement tendue, sauf sur le coin supérieur gauche où elle est froissée. On devine le mouvement d'un poing serré sur le tissu tordu.
Plus étonnant encore, un attirail d'appareils est stocké là. Près du lit, c'est une perfusion à trois cathéters. Pourquoi trois ? Quelle science médicale fut ici utilisée ?
A droite du lit, une machine spectaculaire fascine mon attention. Autour d'une tige centrale, s'enroulent symétriquement des diamètres croissants de fil métallique. D'épaisses perles multicolores sont soigneusement rangées de part et d'autre au sommet du schéma spiralé. Je devine il y a une interprétation suivant le déplacement des billes sur les courbes, associé à l'activité de la personne alitée sous triple perfusion.
La fonction de l'instrument chatouille l'intérêt avec une évidence minutieuse : il permet des mesures psychologiques.
Je pensais : il faut prendre cet instrument en photo. J'enverrai la photo à doom, lui saurait expliquer ce que c'est.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Bonjour,
Ce matin, réveil avec un sentiment d'insatisfaction sur le rêve. J'aurai désiré un autre rêve.
Rêve : visite de l'appartement d'un ex petit-ami
Au rez-de-chaussée d'une résidence, la porte droit devant le hall est celle de mon ex petit-ami. J'y toque et il m'ouvre. Cela fait des années nous sommes sans nouvelles l'un de l'autre.
Un grand salon : la longueur a été obtenue en cassant le mur de séparation avec le voisin et fusionnant les salons des deux appartements. Des rideaux beige ferment une longue baie vitrée. Au sol, un tapis de laine tissant principalement du beige, du jaune, du vert et du rose.
J'exprimais :
-Avec cette longueur de salle de réception, tu peux organiser des soirées dansantes.
Aussi, il plie les genoux et danse une façon de mambo. Je l'imite, pieds nus :
-Tu as le sens du rythme, concède-t-il.
Ensuite, il m'invite à visiter sa chambre. C'est une salle vitrée sur deux murs, au niveau d'une rivière dont les clapotis gris meurent sur le verre. Un lit tendu de blanc est appuyé sur une largeur immaculée non vitrée. Le second mur solide est une longueur communiquant avec les autres parties de l'habitat.
Devant la longueur vitrée, il y a une petite jetée telle une terrasse au milieu du fleuve, et là, une table, exposée aux intempéries et au péril de l'élément :
-C'est sympa pour les apéros. Quoique, avec la météo, tu n'en profites pas souvent ? commentais-je.
L'imperméabilité du lieu m'intéresse aussi :
-Avec les crues, les vitres ne sont-elles pas subjuguées ? m'enquerrais-je.
-Non, des volets roulants extérieurs peuvent s'adapter automatiquement au besoin de renfort du joint des vitres, explique-t-il.
Pourtant, la chambre n'est pas souhaitée seulement imbrifuge, et l'eau coule à quelques pas du lit : c'est une douche en continu qui tombe du plafond au sol, à mi-chemin entre la cascade artificielle et le service de bain.
Ce matin, réveil avec un sentiment d'insatisfaction sur le rêve. J'aurai désiré un autre rêve.
Rêve : visite de l'appartement d'un ex petit-ami
Au rez-de-chaussée d'une résidence, la porte droit devant le hall est celle de mon ex petit-ami. J'y toque et il m'ouvre. Cela fait des années nous sommes sans nouvelles l'un de l'autre.
Un grand salon : la longueur a été obtenue en cassant le mur de séparation avec le voisin et fusionnant les salons des deux appartements. Des rideaux beige ferment une longue baie vitrée. Au sol, un tapis de laine tissant principalement du beige, du jaune, du vert et du rose.
J'exprimais :
-Avec cette longueur de salle de réception, tu peux organiser des soirées dansantes.
Aussi, il plie les genoux et danse une façon de mambo. Je l'imite, pieds nus :
-Tu as le sens du rythme, concède-t-il.
Ensuite, il m'invite à visiter sa chambre. C'est une salle vitrée sur deux murs, au niveau d'une rivière dont les clapotis gris meurent sur le verre. Un lit tendu de blanc est appuyé sur une largeur immaculée non vitrée. Le second mur solide est une longueur communiquant avec les autres parties de l'habitat.
Devant la longueur vitrée, il y a une petite jetée telle une terrasse au milieu du fleuve, et là, une table, exposée aux intempéries et au péril de l'élément :
-C'est sympa pour les apéros. Quoique, avec la météo, tu n'en profites pas souvent ? commentais-je.
L'imperméabilité du lieu m'intéresse aussi :
-Avec les crues, les vitres ne sont-elles pas subjuguées ? m'enquerrais-je.
-Non, des volets roulants extérieurs peuvent s'adapter automatiquement au besoin de renfort du joint des vitres, explique-t-il.
Pourtant, la chambre n'est pas souhaitée seulement imbrifuge, et l'eau coule à quelques pas du lit : c'est une douche en continu qui tombe du plafond au sol, à mi-chemin entre la cascade artificielle et le service de bain.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
rêves ; images et inconnus
Un homme et une femme, dont je ne voit pas le visage, trinquent avec moi, peut-être dans un bar. Nous buvons de la bière rose. La femme invite à verser une gorgée de son verre et de celui de l'homme dans mon verre, car j'ai déjà tout bu.
J'escalade l'échelle extérieure d'un wagon de train en marche. J'ai posé plusieurs cartes d'identité en équilibre sur les barreaux. Il faut les récupérer avant la rupture d'équilibre.
De l'autre côté du wagon, deux salles de cours sont mitoyennes. L'une est vide, l'autre pleine d'élèves. J'ouvre la porte mitoyenne et recharge mon téléphone sur la prise électrique entre les deux portes. Les élèves m'avertissent de la venue du contrôleur, et je m'en vais afin ne pas être aperçue.
Il y a un labyrinthe. Noir. Quelqu'un a mes côtés, mais la lampe n'éclaire pas assez.
J'ai retiré ma robe jaune avant nager dans la rivière où il neige. Quel est l'homme qui revêt ma robe jaune et me prive d'habits ?
Un homme et une femme, dont je ne voit pas le visage, trinquent avec moi, peut-être dans un bar. Nous buvons de la bière rose. La femme invite à verser une gorgée de son verre et de celui de l'homme dans mon verre, car j'ai déjà tout bu.
J'escalade l'échelle extérieure d'un wagon de train en marche. J'ai posé plusieurs cartes d'identité en équilibre sur les barreaux. Il faut les récupérer avant la rupture d'équilibre.
De l'autre côté du wagon, deux salles de cours sont mitoyennes. L'une est vide, l'autre pleine d'élèves. J'ouvre la porte mitoyenne et recharge mon téléphone sur la prise électrique entre les deux portes. Les élèves m'avertissent de la venue du contrôleur, et je m'en vais afin ne pas être aperçue.
Il y a un labyrinthe. Noir. Quelqu'un a mes côtés, mais la lampe n'éclaire pas assez.
J'ai retiré ma robe jaune avant nager dans la rivière où il neige. Quel est l'homme qui revêt ma robe jaune et me prive d'habits ?
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Mi-rêve mi-cauchemar autour de ZC.
C'était une sorte de gigantesque IRL.
Nous étions dans une immense maison (qui tenait plutôt du manoir d'ailleurs), tout l'intérieur était en pierre et en bois. Dominances de chêne et de hêtre. C'était vraiment un habitat assez agréable et il était entouré d'un vaste domaine forestier. Je n'ai pas eu connaissance de la région où se tenait cette IRL.
Nous voulions jouer à une sorte d'immense jeu autour de la synesthésie et des reconnaissances de notes de musiques et autres. C'était un jeu qui avait l'air formidablement complet. Pour y jouer il fallait choisir son pion car nous devions nous déplacer sur une sorte de plateau en 3D assez complexe.
Vous imaginez bien entendu que tout le monde voulait certains animaux (tigre, orque, chat, etc). C'était une ambiance bon enfant donc pas de querelles insoutenables mais il y avait malgré tout une légère tension. Pour départager tout le monde j'eus l'idée de sortir le livre des prénoms qui donne un animal totem en fonction de notre prénom. La légère tension disparut soudainement et nous faisions un tableau avec les animaux de chacun tout en prenant également les seconds prénoms pour éviter que ceux ayant le même animal-totem se querellent.
Il y avait un garçon (mais certainement pas réel !) que je ne sentais pas trop depuis le début (j'ai très bon flair IRL) mais je m'en accommodais puisque tout le monde avait l'air de l'adorer. Il se mettait toujours en avant et il avait une tête molle de balle anti-stress mais pas anti-stress du tout avec tout ce qu'il dégageait ! Il ne voulait pas dire son prénom. Je respectais cela, après tout chacun ses sensibilités. Ce que j'ai moins aimé c'est qu'il essayait de faire des sous-entendus en disant que de toutes manières il était un roi etc. Au début j'énonçais des prénoms de Rois de France mais il disait non à chaque fois. Je n'aimais pas cette ambiguité à ne pas vouloir dire mais à sous-entendre malgré tout.
Un membre de ZC qui est mon ami était présent. Je ne le sentais pas du tout à l'aise non plus avec ce monsieur mais vu le monde qu'il y avait je n'osais pas trop lui lancer un regard interrogateur, de peur qu'il soit intercepté par quelqu'un d'autre.
Je feuilletais le livre des prénoms et je vois tout à coup le prénom de "Belzébuth". Curieuse, je vais voir à la page de ce prénom pilote et ce fameux monsieur désagréable jette un coup d'oeil vers le livre et me le prend brusquement des mains "c'est de la triche !!!" hurle-t-il. Je me lève soudainement et lui reprend calmement en lui disant que c'est mon livre et qu'il n'a pas à se comporter ainsi car c'est indigne. Mon ami lance "Il s'appelle bien Belzébuth." et je découvre à la page du prénom une sorte de bande dessinée mais non imprimée, faîte aux crayons. J'y vois un enfant incroyablement maltraité par un garnement imbuvable qui ressemble fort à ce fameux monsieur que j'ai face à moi.
D'autres personnes regardent par-dessus mon épaule (je m'étais rassise) et disent que c'est n'importe quoi. Que Belzébuth est un ange parmi les anges etc etc. Je leur dis sobrement "il a pu commettre de telles choses dans sa jeunesse et évoluer, ce n'est pas figé.". Je ne voulais pas dire tout ce que je sentais de négatif car je craignais que l'IRL soit moins agréable par la suite.
Le temps avait beaucoup passé et il était déjà temps de préparer le dîner sinon nous ne mangerions pas avant minuit et ce n'était pas souhaitable. Nous avions entrepris des faire des pizza maisons car nous avions un four exprès dans la maison. A un moment Belzébuth a l'air de peiner à porter un énorme sac donc, spontanément, je vais pour le prendre et lui demande où il veut l'amener. Je l'amène donc à l'endroit voulu et il me dit merci. Au dîner il proclame que je suis une femme très faible physiquement alors qu'il m'a dit lui-même que ce sac pesait plus de 80kg, ce qui n'est tout de même pas léger ! Je plonge dans l'incompréhension mais n'éprouve cependant pas de colère.
(je continuerais plus tard + Edit : En fait non, il y a eu TELLEMENT de choses qu'il me faudrait des pages entières pour tout raconter et au fond il n'y a pas grand intérêt !)
C'était une sorte de gigantesque IRL.
Nous étions dans une immense maison (qui tenait plutôt du manoir d'ailleurs), tout l'intérieur était en pierre et en bois. Dominances de chêne et de hêtre. C'était vraiment un habitat assez agréable et il était entouré d'un vaste domaine forestier. Je n'ai pas eu connaissance de la région où se tenait cette IRL.
Nous voulions jouer à une sorte d'immense jeu autour de la synesthésie et des reconnaissances de notes de musiques et autres. C'était un jeu qui avait l'air formidablement complet. Pour y jouer il fallait choisir son pion car nous devions nous déplacer sur une sorte de plateau en 3D assez complexe.
Vous imaginez bien entendu que tout le monde voulait certains animaux (tigre, orque, chat, etc). C'était une ambiance bon enfant donc pas de querelles insoutenables mais il y avait malgré tout une légère tension. Pour départager tout le monde j'eus l'idée de sortir le livre des prénoms qui donne un animal totem en fonction de notre prénom. La légère tension disparut soudainement et nous faisions un tableau avec les animaux de chacun tout en prenant également les seconds prénoms pour éviter que ceux ayant le même animal-totem se querellent.
Il y avait un garçon (mais certainement pas réel !) que je ne sentais pas trop depuis le début (j'ai très bon flair IRL) mais je m'en accommodais puisque tout le monde avait l'air de l'adorer. Il se mettait toujours en avant et il avait une tête molle de balle anti-stress mais pas anti-stress du tout avec tout ce qu'il dégageait ! Il ne voulait pas dire son prénom. Je respectais cela, après tout chacun ses sensibilités. Ce que j'ai moins aimé c'est qu'il essayait de faire des sous-entendus en disant que de toutes manières il était un roi etc. Au début j'énonçais des prénoms de Rois de France mais il disait non à chaque fois. Je n'aimais pas cette ambiguité à ne pas vouloir dire mais à sous-entendre malgré tout.
Un membre de ZC qui est mon ami était présent. Je ne le sentais pas du tout à l'aise non plus avec ce monsieur mais vu le monde qu'il y avait je n'osais pas trop lui lancer un regard interrogateur, de peur qu'il soit intercepté par quelqu'un d'autre.
Je feuilletais le livre des prénoms et je vois tout à coup le prénom de "Belzébuth". Curieuse, je vais voir à la page de ce prénom pilote et ce fameux monsieur désagréable jette un coup d'oeil vers le livre et me le prend brusquement des mains "c'est de la triche !!!" hurle-t-il. Je me lève soudainement et lui reprend calmement en lui disant que c'est mon livre et qu'il n'a pas à se comporter ainsi car c'est indigne. Mon ami lance "Il s'appelle bien Belzébuth." et je découvre à la page du prénom une sorte de bande dessinée mais non imprimée, faîte aux crayons. J'y vois un enfant incroyablement maltraité par un garnement imbuvable qui ressemble fort à ce fameux monsieur que j'ai face à moi.
D'autres personnes regardent par-dessus mon épaule (je m'étais rassise) et disent que c'est n'importe quoi. Que Belzébuth est un ange parmi les anges etc etc. Je leur dis sobrement "il a pu commettre de telles choses dans sa jeunesse et évoluer, ce n'est pas figé.". Je ne voulais pas dire tout ce que je sentais de négatif car je craignais que l'IRL soit moins agréable par la suite.
Le temps avait beaucoup passé et il était déjà temps de préparer le dîner sinon nous ne mangerions pas avant minuit et ce n'était pas souhaitable. Nous avions entrepris des faire des pizza maisons car nous avions un four exprès dans la maison. A un moment Belzébuth a l'air de peiner à porter un énorme sac donc, spontanément, je vais pour le prendre et lui demande où il veut l'amener. Je l'amène donc à l'endroit voulu et il me dit merci. Au dîner il proclame que je suis une femme très faible physiquement alors qu'il m'a dit lui-même que ce sac pesait plus de 80kg, ce qui n'est tout de même pas léger ! Je plonge dans l'incompréhension mais n'éprouve cependant pas de colère.
(je continuerais plus tard + Edit : En fait non, il y a eu TELLEMENT de choses qu'il me faudrait des pages entières pour tout raconter et au fond il n'y a pas grand intérêt !)
Dernière édition par ♚ Strigide ♚ le Jeu 31 Mai 2018 - 13:26, édité 1 fois
♚ Strigide ♚- Messages : 345
Date d'inscription : 20/09/2013
Age : 96
Localisation : Ailleurs ?
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
- Strigide:
- cauchemar autour de ZC :
C'était une sorte de gigantesque IRL.
Oui ben c'est l'effet que ça me fait rien que d'avoir à y penser
C'est pas méchant c'est juste que c'est toomuch pour moic'est qu'il essayait de faire des sous-entendus en disant que de toutes manières il était un roi
Tu as rêvé de Winston !!
Il y a quelque-temps j'ai rêvé que j’emménageais dans une maison troglodyte creusée dans une falaise que surplombait une forêt. Je descendais en parapente sur une terrasse en pierres blanches encadrée de palmiers et magnolias. J'entrais dans cette immense demeure enterrée, les murs étaient blancs, lisses, très doux au toucher, il y avait une lumière tamisée, orangée, dans les couloirs. Je passais de pièce en pièce, il n'y avait que très peu de meubles, surtout des malles anciennes, dans les chambres des lits à baldaquins très hauts, dans la cuisine, très inox, des plantes aromatiques partout sous un puits de lumière, derrière la cuisine il y avait une volière et je comprenais d'où venaient les chants d'oiseaux que j'entendais depuis que j'étais entrée. En avançant dans la maison j'arrive dans une grande pièce, très claire grâce à un puits de lumière en levant les yeux je voyais les arbres immenses de la forêt, le sol était en parqué ciré, il brillait, il y avait une odeur de cire d'abeille mélangée à une odeur sucrée de fraise, c'était en fait une salle de danse avec barres, miroirs, je me suis élancée en pirouettes avec un sentiment de joie intense. Je suis sortie de ce rêve avec des sensations d'exultation, de liberté, de calme qui m'ont poursuivies toute la journée, il m'a marqué fortement d'ailleurs je repense encore souvent aux sensations enivrantes des pirouettes.
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
- Spoiler:
- mdr Carla , il y a eu Winston mais c'est plus tard que j'ai interagi avec lui et d'ailleurs je lui donnais des fraises mais c'était n'importe quoi parce que j'étais pas du tout chez moi et j'en faisais apparaître !
Ton rêve était très joli, merci du partage
♚ Strigide ♚- Messages : 345
Date d'inscription : 20/09/2013
Age : 96
Localisation : Ailleurs ?
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
réponse aux précédents :
Merci pour le partage de vos rêves.
Rêve : proposition de fellation en camion par un relatif
Sur le siège passager d'un camion, un homme en jupe m'invite à le sucer. Eu égard aux petites filles à l'arrière :
-Ca ne va pas les déranger ? demandais-je.
-Non, elles ne te verront pas sous la jupe, répond l'homme.
(...)
Puis, le camion démarre. L'homme en jupe téléphone à mon grand-oncle. Il lui parle de mon grand-père. Leur conversation est semée d'archaïsmes, et d'images d'une autre époque. Ils ne savent pas expliquer mon existence sans justifier les archétypes de l'époque précédente.
Je devine l'homme voulait justifier sa demande de fellation auprès de mon grand-oncle, comme substitut à mon grand-père.
Merci pour le partage de vos rêves.
Rêve : proposition de fellation en camion par un relatif
Sur le siège passager d'un camion, un homme en jupe m'invite à le sucer. Eu égard aux petites filles à l'arrière :
-Ca ne va pas les déranger ? demandais-je.
-Non, elles ne te verront pas sous la jupe, répond l'homme.
(...)
Puis, le camion démarre. L'homme en jupe téléphone à mon grand-oncle. Il lui parle de mon grand-père. Leur conversation est semée d'archaïsmes, et d'images d'une autre époque. Ils ne savent pas expliquer mon existence sans justifier les archétypes de l'époque précédente.
Je devine l'homme voulait justifier sa demande de fellation auprès de mon grand-oncle, comme substitut à mon grand-père.
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Primo-analyse des données rêves après un mois de partage :
deuxième lien (marge de droite non coupée)
- éléments du rêve:
deuxième lien (marge de droite non coupée)
- image:
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
j’ai rêvé que j’étais chez mes parents dans la salle de bains à l’etage
et y a un piti chien qui frappe à la fenêtre moi je me dis faut le sauver keskifout là donc j’ouvre mais je remarque qu’il a des ailes et que en fait c’est une chauve souris et elle me mord au bras droit la sale escaplope
et y a un piti chien qui frappe à la fenêtre moi je me dis faut le sauver keskifout là donc j’ouvre mais je remarque qu’il a des ailes et que en fait c’est une chauve souris et elle me mord au bras droit la sale escaplope
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Salut oui je me souviens bien de mon rêve
j'étais dans une maison il y avait au moins 15 portes-fenêtres dans cette maison. C'était le soir ou le matin, je sais pas si le soleil se levait ou wi le soleil allait se coucher .... j'ouvrais tous les volets et je constatais que mon terrain était un véritable champ de mine: l'herbe était à tondre il y avait des buttes de partout, l'arbre avait perdu toutes ses feuilles il fallait que je ramasse toutes les feuilles il y avait un petit étang au fond qui était dans un état lamentable.....
Sans faire de jeu de mots mon terrain est dans un état lamentable je perds mes cheveux et moi aussi comme l'étang je suis dans un état lamentable!
j'ai bien compris le message mon petit cerveau!!!
Et c'est cà qui est bien, magie du rêve.!!!!!
Je ne vois debout devant les fenêtres en train de constater la désolation et tout le travail qui m'attend dans le jardin, découragé avant même de commencer.
Et l'image après je suis à poil sur un canapé en train de m'envoyer en l'air !!
C'était très agréable je ne rentrerai pas dans les détails!!!!!
j'étais dans une maison il y avait au moins 15 portes-fenêtres dans cette maison. C'était le soir ou le matin, je sais pas si le soleil se levait ou wi le soleil allait se coucher .... j'ouvrais tous les volets et je constatais que mon terrain était un véritable champ de mine: l'herbe était à tondre il y avait des buttes de partout, l'arbre avait perdu toutes ses feuilles il fallait que je ramasse toutes les feuilles il y avait un petit étang au fond qui était dans un état lamentable.....
Sans faire de jeu de mots mon terrain est dans un état lamentable je perds mes cheveux et moi aussi comme l'étang je suis dans un état lamentable!
j'ai bien compris le message mon petit cerveau!!!
Et c'est cà qui est bien, magie du rêve.!!!!!
Je ne vois debout devant les fenêtres en train de constater la désolation et tout le travail qui m'attend dans le jardin, découragé avant même de commencer.
Et l'image après je suis à poil sur un canapé en train de m'envoyer en l'air !!
C'était très agréable je ne rentrerai pas dans les détails!!!!!
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Mes poumons veulent sortir de ma cage thoracique, je les sens devenir de plus en plus grands. Lorsque je respire c'est comme différent, comme si l'air était d'une pureté un peu douloureuse.
Je ne suis pas "calme" mais je ne suis pas en colère. J'ai un volcan en moi. Au niveau du plexus solaire. Je sens qu'il va bientôt entrer en éruption, inconsciemment il y a sûrement une envie de repousser l'échéance "pas encore, s'il te plaît". Une partie de moi est presque paniquée du côté imprévu de la chose, que se passera-t-il, comment gérer la déflagration qui suivra ? Ce ne sont pas des émotions négatives, au contraire. Je me sens comme une enfant qui trépigne de dévorer le monde avec bienveillance. J'ai envie de "grimper", des collines, des montagnes, des parcours d'obstacles, des escaliers, qu'importe : il faut que cela monte !
Je sais que mon énergie physique n'est pas suffisante pour cette énergie psychique qui me donne le vertige tant je n'en ai jamais aperçu la fin. J'ai peur que mon corps me lâche car il ne pourra pas survivre à cette éruption. La partie de moi qui me maintient plaquée au sol depuis des années est terrifiée car elle sera balayée comme un vulgaire bout de chiffon lorsque cela surviendra. Je suis comme un lion en cage depuis tant d'années et la flamme en moi ne s'est jamais éteinte malgré tout ce qui a pu survenir. Cela ne me consume pas ou bien cela consume le négatif pour laisser plus de place au positif. J'ai le regard rivé sur la porte de la cage et en moi plusieurs m'attrapent pour me maintenir au sol.
Vivre, c'est sacrifier. Je me maintiens au sol pour ne pas pas sacrifier autrui depuis tant d'années. Le burn out scolaire, mes parents, plein de gens croisés et tant d'autres choses et autres êtres. L'éruption va anéantir ce maintien au sol. Je sacrifierai, sans regret. Je vivrais droite dans mes bottes et qu'importe si cela ne convient pas, il faudra venir m'affronter. Il faudra que je devienne parfois Don Quichotte lorsque les gens me demanderont de me justifier mais j'aurais le droit de leur dire au bout d'un moment "je m'en fiche" et de tourner les talons sans me soucier que cela les embête. Je n'aurais pas à sacrifier mon énergie, à me sacrifier alors je les sacrifierais en les ignorant parfois et en me fichant qu'ils veuillent que je fasse autrement alors qu'ils n'ont rien à voir avec ma vie.
Je n'en ai jamais rien eu à faire de ce que les gens pouvaient penser de moi, je souris de l'absurdité à m'être ainsi sacrifiée. La seule chose qui pouvait m'affecter était qu'on puisse me détester alors que je ne faisais rien de mal. Lorsque l'éruption surviendra, le monde entier pourra me détester je me sentirais simplement pleinement bien avec moi-même et je suis la seule dont j'ai besoin à mes côtés. Les gens que j'aime, je les aime de tout mon coeur mais je n'ai pas un besoin viscéral d'eux puisque je suis un individu complet qui existe par elle-même, cela me ferait de la peine de perdre certains amis mais je continuerais toujours mon chemin.
Je n'ai pas à régler les problèmes de mes parents et encore moins le devoir de les sauver. Qu'ils se sauvent eux-mêmes, j'ai ma vie à vivre et j'ai à m'amuser et à m'émerveiller de chaque jour. Je les sacrifierai en les laissant à leur sort. Ce n'est pas mon affaire. Je leur ai déjà dit : un peu de puissance, que diable ! Lorsqu'on veut quelque chose on a le regard rivé dessus et on l'obtiendra quoi qu'il advienne. Si vous voulez avoir la meilleure expressivité de votre être pour être heureux sans dépendre d'autrui cela ne tient qu'à vous.
Si mon corps cède lors de l'éruption, ce sera que je n'avais plus à vivre. On ne peut vivre diminué de sa condition véritable. C'est peut-être insensé mais je sens que je survivrais et une fois lancée je ne m'arrêterais plus jamais.
J'accepte que je m'imposerais sans culpabiliser, juste parce qu'il doit en être ainsi lorsque cela me semble juste. Le cercle vertueux étant que les gens qui ne s'entendraient pas avec vous s'éliminent naturellement de votre entourage car vous vous affichez pleinement.
Le volcan est de plus en plus actif. Une partie a peur, une autre est impatiente, une autre est totalement sereine : cela devait bien finir par arriver.
Je sens des mains se poser sur mes bras, mes jambes, ma tête. On cherche à me tirer de partout et à me maintenir "fixe". Je prends feu. Les mains se retirent sous des cris de douleur.
Je me relève et je prends une longue respiration. Ma montagne m'attend, j'ai hâte de la gravir encore. Je suis si désolée de t'avoir gravi pour à chaque fois m'en faire tomber moi-même par sacrifice. J'ai hâte de monter encore plus haut et quand je serai arrivée à ton sommet tu devras devenir encore plus haute, encore et encore.
Lorsque l'éruption surviendra, cela sera très dur mais c'est un avenir prometteur qui s'esquisse à l'horizon.
Le volcan se fait plus actif, toujours plus.
Je me réveille brusquement, pas en sursaut mais j'ai ouvert les yeux et je suis déjà pleinement éveillée.
Le rêve a été la poursuite de la réalité et la réalité poursuit ce rêve.
Je ne suis pas "calme" mais je ne suis pas en colère. J'ai un volcan en moi. Au niveau du plexus solaire. Je sens qu'il va bientôt entrer en éruption, inconsciemment il y a sûrement une envie de repousser l'échéance "pas encore, s'il te plaît". Une partie de moi est presque paniquée du côté imprévu de la chose, que se passera-t-il, comment gérer la déflagration qui suivra ? Ce ne sont pas des émotions négatives, au contraire. Je me sens comme une enfant qui trépigne de dévorer le monde avec bienveillance. J'ai envie de "grimper", des collines, des montagnes, des parcours d'obstacles, des escaliers, qu'importe : il faut que cela monte !
Je sais que mon énergie physique n'est pas suffisante pour cette énergie psychique qui me donne le vertige tant je n'en ai jamais aperçu la fin. J'ai peur que mon corps me lâche car il ne pourra pas survivre à cette éruption. La partie de moi qui me maintient plaquée au sol depuis des années est terrifiée car elle sera balayée comme un vulgaire bout de chiffon lorsque cela surviendra. Je suis comme un lion en cage depuis tant d'années et la flamme en moi ne s'est jamais éteinte malgré tout ce qui a pu survenir. Cela ne me consume pas ou bien cela consume le négatif pour laisser plus de place au positif. J'ai le regard rivé sur la porte de la cage et en moi plusieurs m'attrapent pour me maintenir au sol.
Vivre, c'est sacrifier. Je me maintiens au sol pour ne pas pas sacrifier autrui depuis tant d'années. Le burn out scolaire, mes parents, plein de gens croisés et tant d'autres choses et autres êtres. L'éruption va anéantir ce maintien au sol. Je sacrifierai, sans regret. Je vivrais droite dans mes bottes et qu'importe si cela ne convient pas, il faudra venir m'affronter. Il faudra que je devienne parfois Don Quichotte lorsque les gens me demanderont de me justifier mais j'aurais le droit de leur dire au bout d'un moment "je m'en fiche" et de tourner les talons sans me soucier que cela les embête. Je n'aurais pas à sacrifier mon énergie, à me sacrifier alors je les sacrifierais en les ignorant parfois et en me fichant qu'ils veuillent que je fasse autrement alors qu'ils n'ont rien à voir avec ma vie.
Je n'en ai jamais rien eu à faire de ce que les gens pouvaient penser de moi, je souris de l'absurdité à m'être ainsi sacrifiée. La seule chose qui pouvait m'affecter était qu'on puisse me détester alors que je ne faisais rien de mal. Lorsque l'éruption surviendra, le monde entier pourra me détester je me sentirais simplement pleinement bien avec moi-même et je suis la seule dont j'ai besoin à mes côtés. Les gens que j'aime, je les aime de tout mon coeur mais je n'ai pas un besoin viscéral d'eux puisque je suis un individu complet qui existe par elle-même, cela me ferait de la peine de perdre certains amis mais je continuerais toujours mon chemin.
Je n'ai pas à régler les problèmes de mes parents et encore moins le devoir de les sauver. Qu'ils se sauvent eux-mêmes, j'ai ma vie à vivre et j'ai à m'amuser et à m'émerveiller de chaque jour. Je les sacrifierai en les laissant à leur sort. Ce n'est pas mon affaire. Je leur ai déjà dit : un peu de puissance, que diable ! Lorsqu'on veut quelque chose on a le regard rivé dessus et on l'obtiendra quoi qu'il advienne. Si vous voulez avoir la meilleure expressivité de votre être pour être heureux sans dépendre d'autrui cela ne tient qu'à vous.
Si mon corps cède lors de l'éruption, ce sera que je n'avais plus à vivre. On ne peut vivre diminué de sa condition véritable. C'est peut-être insensé mais je sens que je survivrais et une fois lancée je ne m'arrêterais plus jamais.
J'accepte que je m'imposerais sans culpabiliser, juste parce qu'il doit en être ainsi lorsque cela me semble juste. Le cercle vertueux étant que les gens qui ne s'entendraient pas avec vous s'éliminent naturellement de votre entourage car vous vous affichez pleinement.
Le volcan est de plus en plus actif. Une partie a peur, une autre est impatiente, une autre est totalement sereine : cela devait bien finir par arriver.
Je sens des mains se poser sur mes bras, mes jambes, ma tête. On cherche à me tirer de partout et à me maintenir "fixe". Je prends feu. Les mains se retirent sous des cris de douleur.
Je me relève et je prends une longue respiration. Ma montagne m'attend, j'ai hâte de la gravir encore. Je suis si désolée de t'avoir gravi pour à chaque fois m'en faire tomber moi-même par sacrifice. J'ai hâte de monter encore plus haut et quand je serai arrivée à ton sommet tu devras devenir encore plus haute, encore et encore.
Lorsque l'éruption surviendra, cela sera très dur mais c'est un avenir prometteur qui s'esquisse à l'horizon.
Le volcan se fait plus actif, toujours plus.
Je me réveille brusquement, pas en sursaut mais j'ai ouvert les yeux et je suis déjà pleinement éveillée.
Le rêve a été la poursuite de la réalité et la réalité poursuit ce rêve.
♚ Strigide ♚- Messages : 345
Date d'inscription : 20/09/2013
Age : 96
Localisation : Ailleurs ?
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Je me vois de dos sur le pas de porte d'une vieille demeure, sereinement appuyé contre le chambranle. Le sol est carrelé de vieilles tomettes lissées par le temps et de vieilles poutres chaulées dominent cette pièce vide.
L'extérieur est inondé d'une intense lumière blanche, pure, immaculée.
Passage en vue objective. Se dessine alors dans ce brouillard de lumière, l'épaule frêle d'une fillette où viennent s'échouer de belles et blondes anglaises. J'ignore qui est cet enfant mais je ressens qu'un lien profond et indéfectible nous unit.
Je me réveille aussi apaisé que troublé avec la sensation tenace de ne pas avoir rêvé mais de m'être souvenu...
Peut-on se souvenir de ce qui n'a jamais constitué sa propre réalité consciente? Ces flashs comme la réminiscence d'un ailleurs et autrement?
Perplexe.
L'extérieur est inondé d'une intense lumière blanche, pure, immaculée.
Passage en vue objective. Se dessine alors dans ce brouillard de lumière, l'épaule frêle d'une fillette où viennent s'échouer de belles et blondes anglaises. J'ignore qui est cet enfant mais je ressens qu'un lien profond et indéfectible nous unit.
Je me réveille aussi apaisé que troublé avec la sensation tenace de ne pas avoir rêvé mais de m'être souvenu...
Peut-on se souvenir de ce qui n'a jamais constitué sa propre réalité consciente? Ces flashs comme la réminiscence d'un ailleurs et autrement?
Perplexe.
Heldé- Messages : 692
Date d'inscription : 05/08/2017
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Ce n'est pas exactement mon rêve du matin, ça date d'une petite dizaines d'années je crois. Le rêve/cauchemar le plus intense que j'ai fait, trois fois la même semaine.
Je suis sur Terre et je commence à flotter, je m'envole lentement dans les airs et je m'éloigne, je m'éloigne de plus en plus jusqu'à sortir de l'atmosphère et je continue de m'éloigner, je m'éloigne jusqu'au point où je sais qu'à cet instant je vais sortir de l'attraction de la gravité terrestre et qu'une fois que ce sera fait, je ne pourrais plus jamais revenir. Deux fois je suis sorti.
J'y repense encore, de temps en temps.
Je suis sur Terre et je commence à flotter, je m'envole lentement dans les airs et je m'éloigne, je m'éloigne de plus en plus jusqu'à sortir de l'atmosphère et je continue de m'éloigner, je m'éloigne jusqu'au point où je sais qu'à cet instant je vais sortir de l'attraction de la gravité terrestre et qu'une fois que ce sera fait, je ne pourrais plus jamais revenir. Deux fois je suis sorti.
J'y repense encore, de temps en temps.
Invité- Invité
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
https://www.lavoixdunord.fr/614960/article/2019-07-18/gilets-jaunes-christophe-castaner-recompense-des-policiers-mis-en-cause-dans-des
https://www.20minutes.fr/faits_divers/2566663-20190718-gilets-jaunes-christophe-castaner-decore-policiers-soupconnes-faits-violences
Sous l’influence subconsciente de tels articles et par contagion nerveuse de ce régime castagneur qui fait désormais régner la terreur dans les rangs des manifestants du samedi, je me retrouve dans la peau d’un CRS, embrigadé pour aller « casser du Gilet Jaune », cœur vaillant et flash-ball frétillant.
Mais alors que je parade fièrement, en me prêtant à tout le protocole décérébrant [je vous passe les détails, mais dans mon rêve, c’était vraiment grotesque, le genre de gymnastique exigée en son nom, à l’antipode du noble et impressionnant katahaka māori], galvanisé par cet « esprit de corps » qui fait notre redoutable puissance endoctrinée, je me retrouve alors face à ma petite sœur (qui n’existe par IRL – j’ai seulement une sœur aînée, incomparable à cette émanation onirique). Une sorte d’hybride d’Antigone et de Greta Thunberg, que je reconnais instinctivement comme « ma » sœur adolescente, sublime d’idéalisme et de bonté irradiante.
Et voilà toute ma fruste compagnie policière stoppée dans son élan coercitif, ébranlée par cette gamine inouïe, solaire, si poignante dans sa détermination à apprivoiser, par la grâce de sa douceur, la bête aveuglée de légitimité répressive que nous sommes. Nous autres grands gaillards, dans nos corps robustes et nos attributs protégés de kevlar, nous fléchissons face à cette figure lénifiante, cette apparition miraculeuse, prompte à transmuer la pire brute assermentée en guerrier de la paix.
En perdant ainsi de vue le sacro-saint ordre à garder, nous nous laissons gagner par son tendre combat, convertis à sa cause priorité, métamorphosés par l’urgence d’être « intelligents ensemble » – comme disait le poète Valéry pour définir la teneur essentielle de l’amitié. Je me sens soudain si plein d’amour pour elle : ma « petite » sœur solaire, mystique hors-cadre, téméraire obstacle à la furie autoritaire. Pâle héroïne malgré elle, elle s’est dressée sur notre route vindicative pour dire, non pas « non ! », mais « pourquoi ?! » ; pour toucher notre cœur derrière le gilet pare-balles. Et elle y parvient au-delà de toute espérance : nous abdiquons face à cette déesse désarmante ; avec une hâte qui en dit long, en outre, sur la conjonction salutaire, ici, de son geste pacificateur pour le futur et de notre propre résistance dépassée, tous deux enfin conjugués au présent de l’impératif.
https://www.20minutes.fr/faits_divers/2566663-20190718-gilets-jaunes-christophe-castaner-decore-policiers-soupconnes-faits-violences
Sous l’influence subconsciente de tels articles et par contagion nerveuse de ce régime castagneur qui fait désormais régner la terreur dans les rangs des manifestants du samedi, je me retrouve dans la peau d’un CRS, embrigadé pour aller « casser du Gilet Jaune », cœur vaillant et flash-ball frétillant.
Mais alors que je parade fièrement, en me prêtant à tout le protocole décérébrant [je vous passe les détails, mais dans mon rêve, c’était vraiment grotesque, le genre de gymnastique exigée en son nom, à l’antipode du noble et impressionnant katahaka māori], galvanisé par cet « esprit de corps » qui fait notre redoutable puissance endoctrinée, je me retrouve alors face à ma petite sœur (qui n’existe par IRL – j’ai seulement une sœur aînée, incomparable à cette émanation onirique). Une sorte d’hybride d’Antigone et de Greta Thunberg, que je reconnais instinctivement comme « ma » sœur adolescente, sublime d’idéalisme et de bonté irradiante.
Et voilà toute ma fruste compagnie policière stoppée dans son élan coercitif, ébranlée par cette gamine inouïe, solaire, si poignante dans sa détermination à apprivoiser, par la grâce de sa douceur, la bête aveuglée de légitimité répressive que nous sommes. Nous autres grands gaillards, dans nos corps robustes et nos attributs protégés de kevlar, nous fléchissons face à cette figure lénifiante, cette apparition miraculeuse, prompte à transmuer la pire brute assermentée en guerrier de la paix.
En perdant ainsi de vue le sacro-saint ordre à garder, nous nous laissons gagner par son tendre combat, convertis à sa cause priorité, métamorphosés par l’urgence d’être « intelligents ensemble » – comme disait le poète Valéry pour définir la teneur essentielle de l’amitié. Je me sens soudain si plein d’amour pour elle : ma « petite » sœur solaire, mystique hors-cadre, téméraire obstacle à la furie autoritaire. Pâle héroïne malgré elle, elle s’est dressée sur notre route vindicative pour dire, non pas « non ! », mais « pourquoi ?! » ; pour toucher notre cœur derrière le gilet pare-balles. Et elle y parvient au-delà de toute espérance : nous abdiquons face à cette déesse désarmante ; avec une hâte qui en dit long, en outre, sur la conjonction salutaire, ici, de son geste pacificateur pour le futur et de notre propre résistance dépassée, tous deux enfin conjugués au présent de l’impératif.
MoojiKadja- Messages : 351
Date d'inscription : 21/05/2017
Localisation : Avant « Je Suis »
Re: Vous vous souvenez de votre rêve de ce matin, écrivez-le!
Je me souviens de 3 rêves mais je vais en écrire un seul ok!
Je suis dans un endroit et y a plein de filles qui veulent me faire un bisous (normal quoi) mais y en a une à qui je veux faire un bisou mais elle est palaaa, trop triste, et beh je me suis réveillé je l'avais toujours pas trouvée
Je suis dans un endroit et y a plein de filles qui veulent me faire un bisous (normal quoi) mais y en a une à qui je veux faire un bisou mais elle est palaaa, trop triste, et beh je me suis réveillé je l'avais toujours pas trouvée
Invité- Invité
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