Mais où est Uccen ???
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Re: Mais où est Uccen ???
Moaï, Uccen a écrit:Noumenie Dysnomie a écrit::rouledesyeuxcommedesgrands8:
J'en ai marre des notifs qui m'amènent à lire des trucs pareils surtout.
C'est du flood à deux balles.
^^
bah ouais la rançon de la glaire
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
MA a écrit:
Uccen aime les hommes. On a au moins un point commun.
rho que c'est bon ça !!!
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Mis En Pate Ugly Brat a écrit:C'est contre nature je pense, simplement. Pour cela que comme tu dis cela semble "suspect".Il est vrai que l'absence de présence et de désir d'enfant est encore perçue comme quelque chose de hors normes, de quasiment "suspect".
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
C'est parce que la concurrence devient de mise, alors le jury hésite pour le prix Concourt.
https://www.zebrascrossing.net/t18973-la-beaute-est-partout#829613
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Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
« J'écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu'au plus profond de l'obscurité. »
KfK
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Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Si tu te remets aux femmes Chacal, j'en ai trouvé une parfaite pour toi
Jeune, maigre et conne
J'ai failli lui déboiter un os ...
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r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
oh pas besoin de me faire les yeux doux pour que je te balance le pseudo
Faut bien s'entre aider entre chiens
Pour pertétuer la race j'veux dire
oui j'ai compris, t'es un vieux loup solitaire ...
Faut bien s'entre aider entre chiens
Pour pertétuer la race j'veux dire
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r'Eve- Messages : 4090
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Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
Ah ! J'avoue que j'apprécie cette vanne
r'Eve- Messages : 4090
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Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
SoleilSombre a écrit:
Sur ce forum, il existe de petits enfants apeurés, avec une plaie béante à place du coeur. Je les reconnais car j'étais un tel enfant. Certains veulent attirer l'attention pour être aimés, pour être acceptés. Ils se noyent dans une folie auto-centrée et s'agrippent à ceux qui les frôlent et qui auraient une telle ressemblance. Ils veulent être sauveurs pour se prouver qu'ils valent quelque chose. Mais aucune mesure, tout est permis chez eux. Nous avons du mal à identifier la frontiere entre le réel et le fantasme. Ils y vont aux basookas, aux poignards. Quand il s'agit de survie, on ne lésine pas...Ils vont manipuler, vont jouer avec les autres. Pour se sentir vivant, il faut exister aux yeux des autres. Si je me montre vrai, on va me prendre pour une mauviette. Alors, j'y vais à la machette. On remarquera bien tout ce sang...ce rouge bien voyant.
Je n'ai jamais échangé avec Kiss sur le forum car il était déjà banni...Je l'ai vu une fois : c'est un gosse qui cherche des repères, englué dans une rationalité froide et dure...Il était fasciné par le processus de création littéraire car il se demandait comment les idées nous viennent.
Il fait partie des enfants à machette bien sanglants dont je parle. A la recherche de...(comme tous les provocateurs).
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Je rectifie, Kiss est un homme, pas un enfant. Le comprennent et l'apprécient ceux qui ont un cœur...
Kiss je t'aime encore et toujours.
Kiss je t'aime encore et toujours.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
♥ Kyss ♥ le Ven 4 Jan 2013 - 14:03
.Je ne sais pas si je suis croyant, mais je me comporte comme si. Avec cette espèce de jugement dernier en ligne de mire inconsciente, sauf que je ne sais pas s'il est divin, ou si c'est "moi face à l'Histoire" que je convoque pour savoir comment agir. On pourrait tout aussi bien dire "moi face à mes enfants". Voire, tout simplement, "moi dans un miroir", c'est à dire, ma conscience.
J'aime à imaginer, mais c'est probablement une chimère, que ma conscience, celle que l'on retrouve dans l'expression "mauvaise conscience / bonne conscience" a quelque chose de divin, d'universel, de ne je sais trop quoi qui me fait vaguement respecter un code moral étrange.
Mais, je n'ignore pas que l'on peut facilement s'arranger avec sa conscience, de bonne foi, quand ce n'est pas carrément à son insu.
(Distorsion semie consciente pour ne pas voir sa pourriture et préserver son cher égo.)
Et puis, il y a le pardon, aussi.
Quoi qu'il en soit, en ce moment, ma façon de croire, c'est de penser que si Dieu il y a, alors Dieu est La Cause Originelle.
En effet, si tout n'est que conséquence d'une cause, alors, Dieu est ce doigt qui a fait tomber le premier domino sur les milliards qui suivaient. Avec ceci de particulier et d'amusant que chaque domino ne se contente pas de faire tomber le suivant, il le crée. Les dominos qui tombent résultent de la chute du précédent, et tombent à leur tour.
Il n'y pas je crois de hasard ou de miracle, il n'y a que des "enchaînements de causes et d'effets", qui nous sont souvent insaisissables, mais ce n'est pas pour autant qu'ils n'existent pas, ces causes et leurs effets. (Horrible cette loi selon laquelle le masculin triomphe au pluriel, je ne m'y fais pas !)
Bref, bref, bref.
Comme toujours, c'est sous la douche et le bain brûlant que mon cerveau est à ébullition, je sors, j'enfile mon PYJAMA et je viens pondre un nouvel oeuf.
Très souvent c'est frustrant car je ne vous retranscris qu'une partie de ces flux que j'oublie aussitôt après qu'ils m'aient pénétrés. Plongé dans ma sensation-pensée, parce que je crois pouvoir dire que je pense "hors les mots", par sensations, mais peut-être pareil pour tout le monde. Ma sensation-pensée est plus libre plus claire et plus apaisée dans ce bain très chaud très silencieux et bien sûr très sensuel n'est-ce pas. Elle peut donc parfois produire des "réflexions-humeurs" plus apaisées, plus lucides, selon les critères de cette même réflexion-humeur.
En ce moment, je pense que nous sommes trop arrogants quand on se moque à moitié, régulièrement, et incrédules, devant ces nords-coréens qu'on voit pleurer comme des dingues la mort de leur "cheer leader etc". On se dit bon sang c'est pas possible, est-ce qu'ils sont sincères, est-ce qu'ils font ça parce que la caméra passe devant eux un peu comme des miss france à l'envers, ces dernières au contraire souriant de façon automatique au passage du voyant rouge devant leurs gueules. Bref, est-ce qu'ils chialent parce qu'ils ont peur que "les autorités" derrière l'écran les retrouvent et les emmènent dans des camps pour "non loyauté au Camarade etc", les buttent, eux, leur famille ? Est-ce qu'ils chialent parce qu'en fait ils vivent dans une sorte de suspicion généralisée / délation flippage continuel et que donc vaut mieux chialer plutôt que de se faire dénoncer par son voisin son collègue son gosse sauf qu'on aimerait demander à son voisin son collègue son gosse si lui aussi dans sa tête il s'en tape du cher leader mais il peut pas car trop risqué ?! Est-ce un peu tout ça à la fois ? Sincérité et comédie de survie ? Le savent-ils eux-mêmes ??
Eh bien, on est arrogant de se moquer d'eux, parce qu'en France "on" fait pareil.
Je vois bien les hommes politiques ou les "intervenants chez Taddéi" pseudos journalistes pseudos artistes voire pseudos citoyens etc etc, quand ils parlent d'un drame, le cas Merah tueur d'enfants (et juifs, s'i vous plaît - crime de lumière !) en est le symbole récent magistral, se sentent obligés de BIEN PRÉCISER QUE C'EST UN DRAME HORRIBLE QUI NOUS BOULEVERSE TOUS. Le zèle presque systématique avec lequel je constate cette précaution oratoire m'interpelle. C'est là, comme pour les pleurs de Kim Jong-Il, l'obéissance à une INJONCTION diffuse, non incompatible d'ailleurs avec une lointaine sincérité "s'ils y réfléchissent bien" dans leur bain mais là n'est pas la question.
C'est à ce moment là bien sûr, dans ce constat subtil de ma lucidité géniale, qu'il faut me faire confiance. Si en tant que TTTTHQI, TTTTDAH, TTTTTASPERGER, je vous dis que cette phrase en majuscule est principalement prononcée pour de MAUVAISES RAISONS, alors vous devez me croire et m'accorder votre confiance de sous homme car je sais mieux que vous.
Aucune loi n'exige que ces enculés prononcent ces mots, et pourtant ils le font, et pourtant "ça leur est demandé", car s'ils ne le faisaient pas, il y aurait "réprimande diffuse".
Rien de nouveau, c'est l'exigence émotionnelle compassionnelle qu'en fait le moindre penseur de sous caniveau dénonce partout, ce même impératif qui oblige les ministres généralement de l'intérieur et de la justice à "se rendre sur les lieux", "se rendre au chevet", du drame, des victimes, alors que ça sert à que dalle, à chaque fait divers.
Donc voilà, tout ceci est profondément nord-coréen. Il s'agit du MÊME phénomène, puisqu'il n'y a PAS une différence de nature, mais simplement une différence de degré.
J'avais d'autres choses à dire mais ce sera pour un prochain oeuf, bien que ces autres chosent soient dans la continuité de ce blabla.
Merci !
Tu vois, quand t'argumentes, tu dois anticiper les objections des autres et y répondre.
Les désamorcer.
Elles sont nombreuses.
Mais bien souvent, ces objections sont davantage des PROJECTIONS, en un mot des choses que TU N'AS PAS DITES, mais que l'autre suppute, extrapole, interprète, anticipe, voire déforme, bref, projette, en fonction de son "histoire/personnalité/prismes" à lui. C'est ultraaaa pénible relou fatigant !
Par ailleurs, il y a l'égo à gérer, la fierté, la volonté de l'autre de pas perdre la face, etc.
Il y a enfin cette espèce d'inertie, cette réluctance ou flemme à changer, ce confort de la non-remise en cause, qu'il faut affronter. En manifestant sa compréhension, en accompagnant et en prenant par la main notre "contradicteur-enfant".
Peut-être j'oublie des choses, mais, voilà quoi, argumenter, "c'est dur", c'est usant.
Avoir de l'avance sur autrui ne se transmet parfois pas, il faut parfois attendre si ce n'est renoncer.
Tout ce qu'on peut faire, croire faire, c'est simili "planter les fameuses graines de la prise de conscience".
Mais la "fleur" éclot en l'autre, à son rythme, lorsqu'on ne sait quelles conditions sont réunies, à un moment donné dans son cheminement personnel à lui.
Il arrive même parfois (relative ingratitude !) que cet autre ne se souvienne pas de son "cultivateur", allant jusqu'à s'approprier sa toute nouvelle découverte intérieure.
On transmet des connaissances, des émotions, mais la vérité et sa prise de conscience demeurent des "sautages de verrous" dont autrui seul a la clé.
"c'est quand il veut".
Tu vois ?
J'étais fier de mon côté mystique, à dire que "tout ce qu'on avait fait de mal, dans la vie, on le payait. D'une façon ou d'une autre, tout se payait, blablabla".
Mais, maintenant je me dis que tout cela vient probablement non pas d'une "justice immanente divine" qui aurait en effet été à l'oeuvre, mais simplement de mon génie pour "voir des signes", "faire des liens", bref donner du sens à ce qui n'est autre que le "joyeux bhasard" de la vie, avec ses sinus multiples de bonnes choses et de mauvaises choses. Ses pépins punitions, ses pépites récompenses, que "l'homme primitif en moi" interprétait comme avant lui ses ancêtres superstitieux et pétris de religiosité depuis le fond des âges.
J'ai fait une expérience fort agréable, environ 3 fois dans ma vie. Il est fort probable que tout le monde l'ait déjà faite 100 fois plus souvent que moi.
En effet, à trois reprises, j'ai été transporté, envoûté, par de la musique. Je ne parle pas seulement de "coup de coeur big kiffage mélodique / rythmique", mais bien d'une fusion avec la musique, avec laquelle vous ne faîtes plus qu'un. Elle v ous semble gééééééééniale, vous êtes au comble du bonheur, vous ne savez même plus où vous êtes.
Il semblerait que cette chère expérience soit ni plus ni moins qu'un "trip" tout à fait classique lorsque l'on fume de l'herbe ou quoi. C'est ce que m'avait dit Jacques-André, mais moi je peux pas savoir, je suis vierge !
Et donc, j'ai éprouvé cela à chaque fois dans des moments de "demi-sommeil", d'endormissement-réveil, simili en pleine nuit, avec genre "les bandes originales de france-info" qui tournaient sur la chaîne hi-fi dans la salle du bas.
D'où ma question, qui s'adresse à mon public biologiste ==> Y a-t-il des similitudes, euh, chimiques/psychologiques, entre l'état de sommeil et l'état de "défonce" ??
Pourquoi ai-je ressenti ces choses merveilleuses ?! Le drame étant que quand j'ai réécouté les mêmes morceaux, après les avoir recherchés, bah je ne RETROUVAIS PLUS le même envoûtement abandon jouissance hors norme autre réalité.
C'est donc pour ressentir ça, que les gens se droguent ??
Allez, on dirait que j'ai 8 ans, ne vous moquez pas s'il vous plaît.
Bonne nuiit.
Dans la vie, ce qui me pénalise, ce qui m'inhibe, c'est la peur du ridicule.
Pour beaucoup, la peur du ridicule, c'est un peu la "peur d'être soi-même". Crainte de passer pour un con en disant ce qu'ils pensent, témoignant de ce qu'ils ressentent, avouant ce qu'ils ignorent.
Dans mon cas, la peur du ridicule, c'est "la peur d'être autre chose que moi-même". En effet, je n'ai aucune crainte à "être ce que je suis". Avouer que je ne sais pas, avouer que je suis ému, que j'ai peur, que je me sens parfois faible et inférieur, parfois un milliard de fois au dessus de vous tous. Je n'ai aucun mal à dire à une fille qu'elle me plaît, que j'éprouve pour elle un désir fou ! Nombreux sont les sous-hommes qui ne comprennent pas ça.
En revanche donc, dès qu'il s'agit de jouer un rôle autre que moi, par exemple, en étant acteur, ou bien en parlant une langue étrangère (ce dont je suis quasi incapable tant ça n'est pas moi), ou bien en étant commercial, dans un travail ou pour en avoir un, dès qu'il s'agit de MENTIR, au final, eh bien, une terreur incapacité sentiment que "ça se voit trop que c'est pas moi", me paralyse littéralement.
Ceci est embêtant car dans la vie, les règles, les conventions, les lâchetés humaines mimétisées, exigent comédie, "autre que soyage", et certainement pas de confesser sans penser à mal et sans impudeur les tréfonds de son âme gentille.
Je vous raconte ça, alors qu'à la base je voulais juste parler de mes envies de suicide, de plus en plus lancinantes. Mon amoureuse officielle, je l'aime bien et je redoute qu'elle ne le supporterait pas trop, alors je vois dans mon suicide un meurtre, et cela me dissuade. Et puis il y a mes parents, à ne pas décevoir, le reste => RIIIEEEEEN A FOUTRE !!!!
Je n'arrive pas à vivre, et. "je voudrais que ça s'arrête". Dans ma tête, je pense à toute allure, tout le temps, je revis les scènes, je suis submergé, je fais des liens, je stocke, les trucs à repenser à faire part à écrire, et puis j'oublie les trois quarts, ça me rend fou. Dans ces moments-là je suis vraiment "absorbé" par mon flux de pensée. Je crois vous avoir déjà raconté comment une fois Lorraine avait halluciné quand je lui avait raconté en DIRECT "ce qui se passait dans ma tête", lorsque je fermais les yeux. Des mondes défilaient, des images, des liens des couleurs, je suis intarissable pour décrire à haute voix les yeux fermés mes visualisations-associations. Je rêve de l'IRM qui mettra à jour le "cerveau pas normal" que j'ai.
Et donc mon drame aujourd'hui, c'est que les écrits de ma présentation sur ce forum, en les relisant, je les trouve parfois d'une justesse infinie, "saisissante", or, trèèèès peu de gens peuvent me comprendre. Même sur ce forum de surdoués, la majorité ne me comprenait pas, ce qui est assez stupéfixant.
"Je suis un génie personne ne le sait"
"et personne ne peut même le savoir"
C'est incommunicable !
et puis, se proclamer intelligent constitue une sorte de "nouvelle inentendable agressante" pour quiconque est soumis à cette hypothèse. ça blesse cash l'égo d'en face, je peux comprendre mais que faire, que faire.
Bref, tout ça pour dire que j'aimerais parfois en finir même si c'est triste la mort. Je ressens une profonde fatigue ce soir putain.
Je n'y arrive pas. Après demain, enfin, demain, avec mes parents on va chez la psychiatre pour la Ritaline peut-être. Finie l'idéologie, je veux un médicament pour apprendre à me concentrer, et me réadapter à cette société pourrie que je déteste tant que reseter max en appuyant sur un bouton limite ne me poserait pas de problème moral.
bisou.
Voici mes deux réflexions de la soirée.
1) si un jour, comme parfois je le pressens (rêve ?), je suis publié, alors inévitablement j'aurai un fan club. Je le visualise déjà et ça me stresse, car je ne l'aimerai pas du tout. Il sera pour 90% constitué d'une faune m'ayant mal "lu", mal "ressenti", oui, cela relèvera du malentendu.
=> Filles (+ quelques garçons), qui seront donc, JEUNES, simili ado (14-19 ans), en """recherche identitaire""", et qui croiront voir en moi une sorte de maître provocateur affirmé, trash bizarre vivant impudique, le contraire de ce que j'aspire à, et de ce que j'aime. On se revendiquera de moi, on sera "inspiré" par moi, pour un message et une interprétation erronés, différents de "ce que j'aurai voulu faire". Comme si la forme et quelques "mots clés", enfumeront à tort le cerveau de mes désormais plan culs, gratuits et à volonté. Mais je ne taperai jamais dedans, évidemment, car "gêne mépris embarras", pour la fille qui mouillera pour un écrivain et pas "un homme". Je vous renvoie à cette citation de Nabe.
"La femme d'écrivain est la seule femme qui, lorsqu'elle fait l'amour à son écrivain, ne fait pas l'amour avec un livre. La groupie d'écrivain baise avec des mots, la femme d'écrivain avec un homme. La groupie veut baiser la femme d'écrivain à travers l'écrivain, mais, à travers lui, la femme d'écrivain baise toutes les groupies de son écrivain également."
Enfin, cette phrase me dérange en tant qu'elle CONTINUE d'être dans ce délire relou, mais, bon, je la partage !
Heureusement, il y aura mes "fans authentiques", les plus discrets mais les plus complices, les "suiveurs respectueux", qui méditeront sur ma prose gentille, auront quelques sourires et "plaisir à lire un nouvel oeuf", mes fidèles, ceux pour qui je ferai ça. Peut-être même que les moins timides, dans les espaces publics, qui me reconnaîtront, viendront me saluer et me faire part de leur "respect", plus simplement de leur amitié, enfin, de la sympathie qu'ils me porteront. Que je leur apporte une forme de plaisir, de "divertissement ++" dans leur vie. "j'aime beaucoup ce que vous faites", héhé.
Une partie des gens essayera de me lire, "pour se faire une idée", "parce qu'un tel leur en aura parlé, etc". Mais ne comprendront pas trop, "pas trop leur délire, etc".
Une autre partie des gens sera heureuse d'adopter à mon encontre un "positionnement identitaire", affichant hostilité/ironie. Moui, Kiss, "Phidou", un malade qui veut qu'on parle de lui, un "provocateur troll sans grand talent", tout juste capable de "brailler haut et fort comme un gosse pour se sentir exister"
Moi je serai profondément affecté par tout cela, parce que ma nature n'est pas de vivre dans une tour d'ivoire.
Allez tiens, autre citation de Nabe, va ! Je suis désolé je l'aime bien, elle me parle, celle-là.
"Oui, en quelques années, je suis devenu celui qui
« y » croit. À quoi ? À la vérité, à la sincérité, à l'art surtout :
ça ne pardonne pas dans ce monde où pullulent les ricaneurs, moqueurs, déconneurs...
Il y a tant de débrouillards qui passent entre les
gouttes et qui tirent leur épingle du jeu. Moi, je suis mouillé en permanence et je laisse toutes mes épingles dans tous les jeux."
Bref. J'hésiterais, entre garder mon anonymité pseudonymale, et l'envie de rentabiliser cette image. Mais je serais nul à l'oral, en plus. Parce que c'est ainsi que je suis, "bizarre", je perçois trop de choses qui me déplaisent, tant et si bien que ça me braque. Les "gens qui se croient complices mais ne t'ont pas compris", les "malsains qui veulent se payer philippe ou essayer de le faire réagir par la provoc sauf qu'ils me font incroyablement pitié / ne peuvent m'atteindre / déjà vus 100000 fois", etc, etc.
Je vous jure, je suis là, je regarde par terre, attendant que ça passe, sans trop humilier le mec qui CROIT vraiment m'atteindre et de ce fait, m'atteint par la gêne qu'il provoque en moi, vis à vis de cette gêne qu'il ne peut pas créer !! (enfin, vous avez compris, pas celle qu'il croit, bref bref !!)
Dur dur d'être un gééééééniiiiiiiiiiie.
Mais, moui, l'anonymat est précieux, très précieux. Cette conscience là devra me faire renoncer à ma maladie du "désir de reconnaissance", et au "plaisir de faire le show".
Parce que quand je suis dans un environnement bienveillant, alors là, "phiphou est au firmament". Il s'oublie, joue, retrouve l'enfant et l'amour qui l'habitent en réalité h24.
Enfin ! J'ai encore le temps vu que pour l'instant je suis officiellement un loser dans cette chère société humaine.
2) L'autre jour j'ai écrit : "ma peur du ridicule porte non pas sur être moi, mais sur l'être pas moi - hélas inhérent à la vie en société notamment -, contrairement à une pseudo majorité bien pratique qui elle aurait peur du ridicule qu'il y aurait à être soi, mais ne se sentent pas ridicules (alors qu'à mes yeux ils le SONT TROOOOOOOOOOP) à "jouer ce qu'ils sont", à jouer ce qu'ils croient être, ces illucides. Bref au secours.
Eh bien, je voulais préciser, que mon "moi", n'inclut pas le corps. J'ai un peu honte, de mon corps, qu'on me voit "dans la vérité de ce que je suis", car précisément, est-ce bien moi que cette enveloppe subie ? "oui et non etc". Mais, "pas trop quand même". Je peux même pas disserter tant ce sujet me met mal à l'aise, mais, GLOBALEMENT, je suis obligé d'admettre que le rapport que j'entretiens avec mon "caractère tridimensionnel" est relativement problématique.
Gros bisous,
A bientôt.
Seize Amis.
Bonjour à tous.
La psychiatre a confirmé à 90% l'hypothèse du triptyque-combo :
surdoué ++, tdah, et asperger.
Assez terrible, mais j'avais soupçonné le troisième trouble quand elle avait dit "faut pas écarter" en guise de réponse à ma supposition fausse boutade vraie question.
Et là, j'ai dit "pourtant j'ai parfois l'impression d'être un génie dans ma perception des choses, ma façon de penser et on me l'a dit PLEIN de fois, amis, meufs, profs, etc".
Et là bis, la psychiatre a répondu que "faut pas écarter". Que ma compréhension n'est probablement pas fausse, que j'ai une PENSEE (genre dans mon cerveau) qui est différente. Donc je vais me rabattre sur ça pour survivre => Je suis un génie c'est vous qui avez rien compris allez chut.
Bref, je vais faire des tests dans un centre spécialisé et tout pour confirmer ce "cauchemar auquel je m'attendais".
Que dire.
Si je le suis c'est de façon légère. J'ai une forme légère d'autisme léger. Mi normal mi "atypique", hum. Je suis un métisse non pas social racial culturel ou "de genre", mais un métisse de la folie, peut-être ?
Je me sentais parfois seul et incompris, mais, maintenant, j'ai de quoi m'inquiéter parce que ma manie de vouloir expliquer ce que je ressens et d'être compris et d'avoir raison, héhé, va avoir "du boulot pour encore longtemps".
Je lui ai dit "allez, moi jme suis servi de ma folie comme d'une identité ++, épargnez-moi".
Elle m'a dit "moui, ça s'appelle un peu le syndrôme de prestance".
Genre un mdd quoi.
Voilà.
Bisous inquiets fatigués dans l'expectative !
Phidou
Je soutiens les personnes qui décident d'ouvrir le feu sur leurs voisins bruyants. Je pense que tout le monde devrait faire ça. Butter les parasites. Je ressens ça profondément. Je pense que tout le monde ne mérite pas de vivre. Morandini bien sûr, mais aussi "betapi", je sais pas, tant de monde. De monde vulgaire, sale, nuisible, qui insulte par son existence même un certain nombre d'idéals qui me sont chers. Je n'ai plus "d'empathie spontanée" avec 99% de mes semblables. Que dire. La distance que j'ai avec les sous hommes qui m'entourent a atteint un degré encore insoupçonné. Je rêve de "purification nettoyage ethnique", sur la base de critères moraux. Voilà, j'espère presque faire peur à mes quelques contacts facebook afin qu'ils me suppriment.
(de leur liste d'amis, hum).
pfffff, alala.
Enfant, je rentrais dans le magasin "Interdiscount", de la galerie marchande de Auchan, à Saint-Genis-Laval, et il y avait toutes ces télés, qui diffusaient la même chose, sur les rayons des téléviseurs.
Eh bien, j'étais fasciné en pensant à tous ces vendeurs qui devaient, imaginais-je, réussir chaque matin l'exploit invraisemblable d'allumer toutes les télés AU MÊME MOMENT, pour qu'elles diffusent exactement la même chose de façon synchro.
Voilà voilà ! Je vais vous épargner le coup peut-être classique du "la photocopie tue le livre", qui me faisait croire que genre si on photocopiait un de mes manuels scolaire, ça allait le désintégrer genre à cause du rayon laser de la photocopieuse, etc etc.
C'est beau, l'enfance, c'est beau.
J'aurais pas dû m'abonner à toutes ces pages de "barbie-like" pour faire le mariole. Maintenant j'ai une TENSION PERMANENTE. Genre sursollicitation, certainement, de je ne sais quelle, hum GLANDE NERVEUSE AFFAMEE, qui nuit à ma stabilité mentale à chaque fois que j'ouvre facebook et que je vois toutes ces giga putes qui ne vivent que pour que des puceaux comme moi bavent devant elles. Je vais me désabonner. Adieu, je vous aimais bien, mes chères poupées baltes ou brésiliennes. Allez vous faire Ken hors de ma vue : votre dévoué doit maintenant poursuivre sa route glorieuse. héhé.
Il paraît que j'ai une "empathie moindre" (je suis MEGA sceptique) ou en tout cas une "certaine difficulté pour me mettre à la place des autres", à comprendre ce qui se passe dans leur tête.
Je crois avoir perçu que ce qui fonde ou plutôt conditionne l'empathie, c'est le fait de reconnaître en l'autre son semblable.
En effet, j'ai souvent entendu les associations humanitaires expliquer que les catastrophes ne suscitaient pas les mêmes élans de générosité selon qu'elles touchaient des populations "proches" ou "lointaines". Ainsi, la mère de famille blanche célibataire, voire les tremblés de la terre d'Haïti francophones recevaient plus de dons que les Pakistanais musulmans simili talibans/arabes/terroristes/moyen-âgeux/barbus/enturbanés/basanés (dans l'esprit collectif !). Qu'il fallait mieux mettre une européenne sur une campagne publicitaire qu'un sournois chinois pullulant envahisseur altérité max "tête de pamplemousse écrasé avec les fentes pour les yeux" etc.
La vision de l'altérité se fonde sur des critères qui peuvent être de tous ordres, ethniques, nationaux, religieux, etc, etc.
Nous vivons d'ailleurs une époque où le terme "d'étranger" est PRESQUE DEJA ressenti comme une violence, et où les concepts de "frontières" et de "nations" sont pointés comme "porteurs en eux-même de discrimination" et donc antidémocratiques ou anachronique. On parle des "droits de l'homme" (oubliant qu'ils étaient aussi "et du citoyen", c'est à dire dans le cadre d'une cité donnée fondée sur un minimum de sentiment d'appartenance et de volonté de vivre ensemble comme héritiers d'une histoire commune et pour un futur commun), bref on parle des droits de l'homme qui impose cette idée selon laquelle "tout homme est mon semblable".
OR.
Il se trouve que moi, je ne me reconnais pas dans mon semblable.
J'ignore si c'est affaire de personnalité, de QI élevé, de "tdah-semi-asperger", mais le fait est qu'il en résulte chez moi une DIFFICULTÉ à voir dans les hommes des "autres moi".
Il y a aussi qui m'éloigne je crois la "compréhension du monde".
Je ne suis pas au même stade que mes """semblables""". Je me souviens de Finkielkraut racontant combien son cheminement intellectuel, ses études prestigieuses, ses lectures, sa culture, avaient fini par l'éloigner de ses propres parents qui étaient restés rivés à leur "niveau".
Je veux dire, je ne crois pas que mon propos soit si révolutionnaire que ça.
C'est simplement une explication quasi justification de la PEINE que j'éprouve à me mettre à la place ou à comprendre des autres car je me suis trop ééééééééééééloignééééééééééééé, dans la lucidité sur ces animaux, ou donc dans la folie.
Bref, je suis semble-t-il prisonnier de deux choses, ma subjectivité envahissante car très puissante, et une certaine quête de vérité qui se moque complètement des exigences sociales.
Cela offre une liberté exceptionnelle, une originalité (pour ne pas dire excentricité), voire une créativité certaine, mais provoque aussi un décalage, un isolement, des difficultés de communication et, problème actuel, d'intégration dans les "communautés subies", que sont le monde du travail, une famille de naissance, ou un forum incontrôlé.
Bisous.
https://www.youtube.com/watch?v=ahdH8eTydWY
A conforama, y avait ça. c'est bien conforama quoi, j'ai repéré un tapis, je suis content. ils m'ont hypnotisé avec leur musique pimpante, je voulais tout acheter et même niquer la vendeuse sur le canapé simili cuir blanc fluo.
on en apprend tous les jours, etc.
Tour de main signifie un acte d'adresse exécuté avec la main ; et tournemain, l'action de tourner la main. Aussi, quand on veut exprimer quelque chose qui se fait vite, il faut dire : en un tournemain, et non : en un tour de main.
http://fr.wiktionary.org/wiki/en_un_tournemain
en un tournemain
En aussi peu de temps qu’il en faut pour tourner la main.
Lui-même chaussa en un tournemain ses vieux croquenots mal cirés, avachis et trop grands, puis enfila son pantalon qui lui pendait disgracieusement par derrière. — (Francis Carco, L'Homme de Minuit, 1938)
J'apaisai le conflit, qui était à l'état aigu quand je revins au Louvre, en un tournemain. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
Synonymes
=> rapidement
Je m'identifie à la Ferrari, d'autant mieux que c'est un amour d'enfance. J'adorais prendre la Ferrari Testarossa à Test Drive sur Atari. La Ferrari, c'est à la fois le Luxe et les Performances, la rareté, la beauté, la valeur. La puissance, la "tension agressive interne du moteur même à allure non-vive".
C'est ainsi que je me considère parfois.
Je vois l'humanité comme une longue suite de Fiat Panda voire de Talbot en panne.
Moi pardon, je vote Front National.
Je connais le "passé troublé".
Je connais les limites, les contre-arguments, mais après tout, nous sommes 18% du corps électoral, soit plus de 18%.
Et puis, parmi les sympathisants, j'y ai rencontré les personnes les plus cools, les plus intelligentes et les moins fachos du monde que je connaisse.
Le réflexe de "malaise-vigilant", à l'affût du dérapage, la crainte la suspicion tout ça doit être réinterrogé.
Les contorsions de l'esprit pour pas ne adhérer afin en réalité de continuer à "s'aimer moralement", ce qui n'est que l'expression d'un instinct de survie social, conformiste en somme, doivent être réexaminées.
Je ressens la voie nationale comme une forme de dissidence saine et salutaire, d'avant garde tout à faire charmante, et au delà de la posture, comme pertinente et opportune, loin bien sûr des caricatures ridicules hors sujet dont il va falloir se défaire.
bisou.
Bon bah.
Je me trouve assez génial, sauf que, c'est personnel et nobody peut-être pigera rien à ce texte ! comme les autres, me direz-vous peut-être aussi, mais bon, mais bon.
Comme toujours, j'expulse, je témoigne, je ne sais pas à quoi ça sert, et comme toujours Pessoa exprime à merveille mon fonctionnement / mes motivations, héhé.
« Tout cela ne me sert à rien, car rien ne me sert à rien. Mais je me sens soulagé en écrivant, comme peut l'être un malade qui soudain respire mieux, sans que sa maladie ait cessé pour autant. »
à kesski paraît, un de mes problèmes, c'est de vouloir "convaincre tout le monde".
"que chacun voie ce que je vois moi".
Toujours, j'évangélise, et je perds une ééénergie FOLLE, à ça !!
Pourquoi, pourquoi je fais ça, quoi.
Comme si, au fond, je n'étais pas sûr de mes pensées, de mes ressentis, et que je voulais être "validé par les autres".
D'ailleurs, souvent c'est mon "prisme communicationnel" cette merde, obtenir une validation. Reconnaissance, pourrait-on dire, mais pas au sens fierté-estime, on se comprend.
Reconnaître au sens de "admettre".
Pourquoi ne suis-je pas sûr de mes pensées et de mes ressentis, pourquoi n'aurais-je pas confiance en eux, ou du moins, pourquoi ne pas m'en contenter, "et tant pis pour les autres" ?
Qu'est-ce ça révèle, d'où ça vient, etc.
Il faut dire qu'avoir le sentiment quasi PERPÉTUEL de ne PAS être compris, d'être isolé, voire d'être pris pour un fou illuminé, quand on a "au creux de son gentil coeur apparemment chtarbé" une sorte de conviction de SUPÉRIORITÉ, liée d'une part à des capacités intellectuelles-émotionnelles permettant de "voir juste", et surtout, liée d'autre part à une liberté EXTRAORDINAIRE simili aspergienne sur le plan des carcans du groupe ou quoi, d'indépendance d'esprit qui PERMET la clairvoyance non péhénisée par le nécessaire aveuglement social ou personnel (survie dans la communauté, survie dans le miroir.)
Bref, ce sentiment d'être "seul à voir", est digne, reconnaissez-le moi, des pires films fantastiques a minima, où le héros voit genre des zombies des revenants qu'il est LE SEUL à voir et que personne le croit comprend.
En réalité, je ne suis pas seul, je me suis entouré au fil du temps d'une sorte d'élite de gens +++. (eux aussi chtarbés ?!)
Mais nous sommes quoi ?
1 sur 1000, 1 sur 3000, j'en suis même pas sûr.
J'aimerais quoi qu'il en soit me délivrer de ce BESOIN DE PROUVER, mais je n'y arrive que léééégèrement.
Je ne sais PAS gérer cette solitude et le doute qui l'accompagne.
Doute sur soi, doute sur les autres, doute sur tout.
On ne peut pas passer sa vie à attendre "l'arbitre", du match de l'existence, quand on comprend qu'il ne vient jaaamais.
Sauf à dire que "l'Histoire jugera", à condition que l'Histoire ait un sens quelconque, comme dirait Roche, ou bien, sauf à dire que Dieu existe, mais en attendant, là encore, doute et redoute.
J'aurais 4 choses à dire. !
a) cette hypothèse selon laquelle je pourrais être touché, même de loin, par le syndrome d'asperger me terrorise. Rien que le nom désormais me fait frissonner, et m'inspire le dégoût, et notamment le dégoût de moi-même. Pardon pour cette immense prétention (bien involontaire car simples ressentis subis), mais c'est comme si j'avais toujours considéré mon cerveau mon intelligence et par extension ma personnalité-sensibilité/mon identité comme une ferrari ou un diamant, et qu'on m'apprenait tout d'un coup que "en fait", on a trouvé une "légère rayure". => Drame. Je suis évidemment mille fois ++ que 99% des sous-gens, mais, "quelque chose en moi est brisé". Un vice caché dans le moteur, une fragilité en profondeur dans le minéral, bref, je me sens souillé, je veux me supprimer. Haine de moi, rage.
b) Au début, je ressentais plutôt de la révolte et de la frustration, parce que je continuais de croire en ma lucidité et je redoutais que désormais il soit pratique pour mes adversaires de me disqualifier/discréditer. Le joker magique => t'façon philippe, "cause toujours", t'es givré.
Maintenant, c'est pire-horrible : je doute : "et si EN EFFET, ma lucidité était affectée ??" Si ce que je crois percevoir chez les autres chez moi chez le monde environnant = délire ?! Je n'ose même plus penser à rien de peur que mon cerveau malade me joue des tours. C'est grave assez quoi. Ma confiance en moi, "jusque-là préservée", ainsi que le disait la psychologue, est en train de vaciller dangereusement.
c) pff. je me suis levé de mon lit pour ce C et ce D, mais au lieu de ça, j'ai écrit ce A et ce B à moitié pas prévu et j'ai oublié le reste, au secours. Ma pensée m'échappe.
d) ah, sisisi, en voilà un qui revient ! =========================> TRES important même.
J'ai toooujours, "dès la première seconde", brandit pessoa comme mon frère d'âme, puis, dans un second temps ex aequo, rousseau.
ET, j'avais même dû en parler à certains d'entre vous, j'avais été stupéfait de découvrir un court texte de Pessoa où ce dernier confessait une admiration et une proximité intellectuelle avec Rousseau.
Je me disais que "y a pas de hasard", "certainement un lien de THQI et plus encore, une communion par-delà les siècles, etc".
Ensuite, vous le savez : GROOS coup de foudre pour Alain Soral. Fraternité d'âme je ne sais quoi en écoutant ses vidéos, "je le comprends trop bien", il me parle, et tout et tout.
PUIS, après des années d'écoute intensive de mon gourou, ce brave Alain évoque de plus en plus Rousseau comme "un des plus grands", "éminemment moral ou quoi", avec admiration-respect-total pour ce cher penseur d'il y a des siècles.
Bah, voyez-vous, ça me conforte dans cette idée que certains grands esprits sont liés d'une façon paranormale, enfin, "statistiquement inévitable", mais reliés sur une fréquence "haut de gamme", en particulier sur le plan de la sensibilité morale et de la sensibilité tout court.
Excusez-moi de blablater à ce point, très souvent sur ma gueule, mais je suis obligé.
"Vous comprendrez quand vous aurez une âme et par conséquent des tourments".
Nan mais je rigole, ce que je veux juste dire c'est => SUPPRIME MOI, si t'as un pb, ok ok ok ?
Allez, allez.
Si Otis Redding était mort 9 mois plus tard, il aurait pu faire partie du "club des 27". Ce genre de constat débile heurte mes volontés "globalisantes totalitaires esprit de système", comme une "angoisse du classement" qui serait malmenée par l'imperfection du réel. Ce con est mort à 26, "c'est du gâchis, que jme dis", on loupe le strike grand chelem, il nous échappe avec son décès prématuré d'une grossesse seulement. alala, Otis, Otis, c'est l'ascenseur émotionnel, tout ça.
Putain c'est fou ce qu'ils me super-gavent les "tendus stressants", vous savez, qui se croient obligés de jouter dès le premier échange verbal. Est-ce parce que je suis nul à ce petit jeu là et que je n'ai aucune répartie, que ces "malsains communicationnels" m'agressent ? Ils m'embarquent dans on ne sait quoi d'insincère bras de fer, que je fuis en BRISANT l'autre et son trip de merde, prétextant n'importe quoi de cent fois plus trash avec grosse gêne exprimée avec les mots et sur mon visage qui désarçonne puissance mille le jouteur qui croyait dérouler son numéro alors que je le domine. Je le domine pas dans son bras de fer, mais c'est lui qui par sa "tension de l'échange inaugurale rhétorique" se déclare perdant d'emblée car => mec relou faux original stressé défensif pas confiance en lui SOUS HOMME, etc etc.
(ceci est un exemple désormais de ressentis dont je ne sais plus si ils sont fidèles à mes fulgurances sociales ou au contraire la manifestation de ma démence peut-être bientôt diagnostiquée d'handicapé invisible.)
En effet, c'est peut-être une simple invitation bienveillante au jeu, à une complicité, une perche tendue comme une autre, pourquoi est-ce que je condamne moi aussi ? Allez, philippe, tolère ces excentriques énervants, laisse leur le droit à être, à trouver des alter égos du jeu de mots et de bon mots, de "dialogues combatifs légitimes", et ne fais pas de violence à ces preneurs d'otages verbal. au secours.
Bon ! Je n'ai pas reçu de cadeau, rien !
Mais, "ça va, ça va, pas de pb".
Je me suis donc acheté une voiture radio-commandée.
25 euros.
J'avais repéré une magnifique Ferrari au "Nain Jaune", de Lyon, pour 22.50 mais elle a été vendue JUSTE avant que j'arrive.
Je me suis rabattu sur une Renault Mégane Sport etc, acquise dans le magasin "La Grande Récré", à La Part-Dieu.
Et Finalement elle est troop cool !!
J'aime bien la manette de simili play station.
Voici les critères que j'étudierai lors de mon prochaine achat de voiture téléguidée, si ça existe.
=> SILENCIEUSE ou bruit "beau gosse cool"
=> PORTEE supérieure à 10m
=> MANETTE PLAYSTATION et pas les volant unimain chelou
ça me semble déjà bien, comme critères ?
Si j'étais riche, je voudrais trop avoir des circuits avec décors miniatures de ouf hyper réalistes ou futuristes, avec piste, pavés, glace-neige, terre-rally etc etc.
On pourrait faire des compétitions chouettes, soit en tournant autour debout, soit assis au bord ou sur une chaise surélevée genre arbitre de tennis, je sais pas, je réfléchis à ça en ce moment.
http://www.modeletoys.com/PBSCProduct.asp?ItmID=8957007
La dame européenne est sortie du taxi, et a pris congé du chauffeur pakistanais qui venait de lui sortir ses valises du coffre. Avec la phrase suivante :
"Merci ! au revoir, et passez de bonnes fêtes !!"
Saine assimilation à la française..
.Je ne sais pas si je suis croyant, mais je me comporte comme si. Avec cette espèce de jugement dernier en ligne de mire inconsciente, sauf que je ne sais pas s'il est divin, ou si c'est "moi face à l'Histoire" que je convoque pour savoir comment agir. On pourrait tout aussi bien dire "moi face à mes enfants". Voire, tout simplement, "moi dans un miroir", c'est à dire, ma conscience.
J'aime à imaginer, mais c'est probablement une chimère, que ma conscience, celle que l'on retrouve dans l'expression "mauvaise conscience / bonne conscience" a quelque chose de divin, d'universel, de ne je sais trop quoi qui me fait vaguement respecter un code moral étrange.
Mais, je n'ignore pas que l'on peut facilement s'arranger avec sa conscience, de bonne foi, quand ce n'est pas carrément à son insu.
(Distorsion semie consciente pour ne pas voir sa pourriture et préserver son cher égo.)
Et puis, il y a le pardon, aussi.
Quoi qu'il en soit, en ce moment, ma façon de croire, c'est de penser que si Dieu il y a, alors Dieu est La Cause Originelle.
En effet, si tout n'est que conséquence d'une cause, alors, Dieu est ce doigt qui a fait tomber le premier domino sur les milliards qui suivaient. Avec ceci de particulier et d'amusant que chaque domino ne se contente pas de faire tomber le suivant, il le crée. Les dominos qui tombent résultent de la chute du précédent, et tombent à leur tour.
Il n'y pas je crois de hasard ou de miracle, il n'y a que des "enchaînements de causes et d'effets", qui nous sont souvent insaisissables, mais ce n'est pas pour autant qu'ils n'existent pas, ces causes et leurs effets. (Horrible cette loi selon laquelle le masculin triomphe au pluriel, je ne m'y fais pas !)
Bref, bref, bref.
Comme toujours, c'est sous la douche et le bain brûlant que mon cerveau est à ébullition, je sors, j'enfile mon PYJAMA et je viens pondre un nouvel oeuf.
Très souvent c'est frustrant car je ne vous retranscris qu'une partie de ces flux que j'oublie aussitôt après qu'ils m'aient pénétrés. Plongé dans ma sensation-pensée, parce que je crois pouvoir dire que je pense "hors les mots", par sensations, mais peut-être pareil pour tout le monde. Ma sensation-pensée est plus libre plus claire et plus apaisée dans ce bain très chaud très silencieux et bien sûr très sensuel n'est-ce pas. Elle peut donc parfois produire des "réflexions-humeurs" plus apaisées, plus lucides, selon les critères de cette même réflexion-humeur.
En ce moment, je pense que nous sommes trop arrogants quand on se moque à moitié, régulièrement, et incrédules, devant ces nords-coréens qu'on voit pleurer comme des dingues la mort de leur "cheer leader etc". On se dit bon sang c'est pas possible, est-ce qu'ils sont sincères, est-ce qu'ils font ça parce que la caméra passe devant eux un peu comme des miss france à l'envers, ces dernières au contraire souriant de façon automatique au passage du voyant rouge devant leurs gueules. Bref, est-ce qu'ils chialent parce qu'ils ont peur que "les autorités" derrière l'écran les retrouvent et les emmènent dans des camps pour "non loyauté au Camarade etc", les buttent, eux, leur famille ? Est-ce qu'ils chialent parce qu'en fait ils vivent dans une sorte de suspicion généralisée / délation flippage continuel et que donc vaut mieux chialer plutôt que de se faire dénoncer par son voisin son collègue son gosse sauf qu'on aimerait demander à son voisin son collègue son gosse si lui aussi dans sa tête il s'en tape du cher leader mais il peut pas car trop risqué ?! Est-ce un peu tout ça à la fois ? Sincérité et comédie de survie ? Le savent-ils eux-mêmes ??
Eh bien, on est arrogant de se moquer d'eux, parce qu'en France "on" fait pareil.
Je vois bien les hommes politiques ou les "intervenants chez Taddéi" pseudos journalistes pseudos artistes voire pseudos citoyens etc etc, quand ils parlent d'un drame, le cas Merah tueur d'enfants (et juifs, s'i vous plaît - crime de lumière !) en est le symbole récent magistral, se sentent obligés de BIEN PRÉCISER QUE C'EST UN DRAME HORRIBLE QUI NOUS BOULEVERSE TOUS. Le zèle presque systématique avec lequel je constate cette précaution oratoire m'interpelle. C'est là, comme pour les pleurs de Kim Jong-Il, l'obéissance à une INJONCTION diffuse, non incompatible d'ailleurs avec une lointaine sincérité "s'ils y réfléchissent bien" dans leur bain mais là n'est pas la question.
C'est à ce moment là bien sûr, dans ce constat subtil de ma lucidité géniale, qu'il faut me faire confiance. Si en tant que TTTTHQI, TTTTDAH, TTTTTASPERGER, je vous dis que cette phrase en majuscule est principalement prononcée pour de MAUVAISES RAISONS, alors vous devez me croire et m'accorder votre confiance de sous homme car je sais mieux que vous.
Aucune loi n'exige que ces enculés prononcent ces mots, et pourtant ils le font, et pourtant "ça leur est demandé", car s'ils ne le faisaient pas, il y aurait "réprimande diffuse".
Rien de nouveau, c'est l'exigence émotionnelle compassionnelle qu'en fait le moindre penseur de sous caniveau dénonce partout, ce même impératif qui oblige les ministres généralement de l'intérieur et de la justice à "se rendre sur les lieux", "se rendre au chevet", du drame, des victimes, alors que ça sert à que dalle, à chaque fait divers.
Donc voilà, tout ceci est profondément nord-coréen. Il s'agit du MÊME phénomène, puisqu'il n'y a PAS une différence de nature, mais simplement une différence de degré.
J'avais d'autres choses à dire mais ce sera pour un prochain oeuf, bien que ces autres chosent soient dans la continuité de ce blabla.
Merci !
Tu vois, quand t'argumentes, tu dois anticiper les objections des autres et y répondre.
Les désamorcer.
Elles sont nombreuses.
Mais bien souvent, ces objections sont davantage des PROJECTIONS, en un mot des choses que TU N'AS PAS DITES, mais que l'autre suppute, extrapole, interprète, anticipe, voire déforme, bref, projette, en fonction de son "histoire/personnalité/prismes" à lui. C'est ultraaaa pénible relou fatigant !
Par ailleurs, il y a l'égo à gérer, la fierté, la volonté de l'autre de pas perdre la face, etc.
Il y a enfin cette espèce d'inertie, cette réluctance ou flemme à changer, ce confort de la non-remise en cause, qu'il faut affronter. En manifestant sa compréhension, en accompagnant et en prenant par la main notre "contradicteur-enfant".
Peut-être j'oublie des choses, mais, voilà quoi, argumenter, "c'est dur", c'est usant.
Avoir de l'avance sur autrui ne se transmet parfois pas, il faut parfois attendre si ce n'est renoncer.
Tout ce qu'on peut faire, croire faire, c'est simili "planter les fameuses graines de la prise de conscience".
Mais la "fleur" éclot en l'autre, à son rythme, lorsqu'on ne sait quelles conditions sont réunies, à un moment donné dans son cheminement personnel à lui.
Il arrive même parfois (relative ingratitude !) que cet autre ne se souvienne pas de son "cultivateur", allant jusqu'à s'approprier sa toute nouvelle découverte intérieure.
On transmet des connaissances, des émotions, mais la vérité et sa prise de conscience demeurent des "sautages de verrous" dont autrui seul a la clé.
"c'est quand il veut".
Tu vois ?
J'étais fier de mon côté mystique, à dire que "tout ce qu'on avait fait de mal, dans la vie, on le payait. D'une façon ou d'une autre, tout se payait, blablabla".
Mais, maintenant je me dis que tout cela vient probablement non pas d'une "justice immanente divine" qui aurait en effet été à l'oeuvre, mais simplement de mon génie pour "voir des signes", "faire des liens", bref donner du sens à ce qui n'est autre que le "joyeux bhasard" de la vie, avec ses sinus multiples de bonnes choses et de mauvaises choses. Ses pépins punitions, ses pépites récompenses, que "l'homme primitif en moi" interprétait comme avant lui ses ancêtres superstitieux et pétris de religiosité depuis le fond des âges.
J'ai fait une expérience fort agréable, environ 3 fois dans ma vie. Il est fort probable que tout le monde l'ait déjà faite 100 fois plus souvent que moi.
En effet, à trois reprises, j'ai été transporté, envoûté, par de la musique. Je ne parle pas seulement de "coup de coeur big kiffage mélodique / rythmique", mais bien d'une fusion avec la musique, avec laquelle vous ne faîtes plus qu'un. Elle v ous semble gééééééééniale, vous êtes au comble du bonheur, vous ne savez même plus où vous êtes.
Il semblerait que cette chère expérience soit ni plus ni moins qu'un "trip" tout à fait classique lorsque l'on fume de l'herbe ou quoi. C'est ce que m'avait dit Jacques-André, mais moi je peux pas savoir, je suis vierge !
Et donc, j'ai éprouvé cela à chaque fois dans des moments de "demi-sommeil", d'endormissement-réveil, simili en pleine nuit, avec genre "les bandes originales de france-info" qui tournaient sur la chaîne hi-fi dans la salle du bas.
D'où ma question, qui s'adresse à mon public biologiste ==> Y a-t-il des similitudes, euh, chimiques/psychologiques, entre l'état de sommeil et l'état de "défonce" ??
Pourquoi ai-je ressenti ces choses merveilleuses ?! Le drame étant que quand j'ai réécouté les mêmes morceaux, après les avoir recherchés, bah je ne RETROUVAIS PLUS le même envoûtement abandon jouissance hors norme autre réalité.
C'est donc pour ressentir ça, que les gens se droguent ??
Allez, on dirait que j'ai 8 ans, ne vous moquez pas s'il vous plaît.
Bonne nuiit.
Dans la vie, ce qui me pénalise, ce qui m'inhibe, c'est la peur du ridicule.
Pour beaucoup, la peur du ridicule, c'est un peu la "peur d'être soi-même". Crainte de passer pour un con en disant ce qu'ils pensent, témoignant de ce qu'ils ressentent, avouant ce qu'ils ignorent.
Dans mon cas, la peur du ridicule, c'est "la peur d'être autre chose que moi-même". En effet, je n'ai aucune crainte à "être ce que je suis". Avouer que je ne sais pas, avouer que je suis ému, que j'ai peur, que je me sens parfois faible et inférieur, parfois un milliard de fois au dessus de vous tous. Je n'ai aucun mal à dire à une fille qu'elle me plaît, que j'éprouve pour elle un désir fou ! Nombreux sont les sous-hommes qui ne comprennent pas ça.
En revanche donc, dès qu'il s'agit de jouer un rôle autre que moi, par exemple, en étant acteur, ou bien en parlant une langue étrangère (ce dont je suis quasi incapable tant ça n'est pas moi), ou bien en étant commercial, dans un travail ou pour en avoir un, dès qu'il s'agit de MENTIR, au final, eh bien, une terreur incapacité sentiment que "ça se voit trop que c'est pas moi", me paralyse littéralement.
Ceci est embêtant car dans la vie, les règles, les conventions, les lâchetés humaines mimétisées, exigent comédie, "autre que soyage", et certainement pas de confesser sans penser à mal et sans impudeur les tréfonds de son âme gentille.
Je vous raconte ça, alors qu'à la base je voulais juste parler de mes envies de suicide, de plus en plus lancinantes. Mon amoureuse officielle, je l'aime bien et je redoute qu'elle ne le supporterait pas trop, alors je vois dans mon suicide un meurtre, et cela me dissuade. Et puis il y a mes parents, à ne pas décevoir, le reste => RIIIEEEEEN A FOUTRE !!!!
Je n'arrive pas à vivre, et. "je voudrais que ça s'arrête". Dans ma tête, je pense à toute allure, tout le temps, je revis les scènes, je suis submergé, je fais des liens, je stocke, les trucs à repenser à faire part à écrire, et puis j'oublie les trois quarts, ça me rend fou. Dans ces moments-là je suis vraiment "absorbé" par mon flux de pensée. Je crois vous avoir déjà raconté comment une fois Lorraine avait halluciné quand je lui avait raconté en DIRECT "ce qui se passait dans ma tête", lorsque je fermais les yeux. Des mondes défilaient, des images, des liens des couleurs, je suis intarissable pour décrire à haute voix les yeux fermés mes visualisations-associations. Je rêve de l'IRM qui mettra à jour le "cerveau pas normal" que j'ai.
Et donc mon drame aujourd'hui, c'est que les écrits de ma présentation sur ce forum, en les relisant, je les trouve parfois d'une justesse infinie, "saisissante", or, trèèèès peu de gens peuvent me comprendre. Même sur ce forum de surdoués, la majorité ne me comprenait pas, ce qui est assez stupéfixant.
"Je suis un génie personne ne le sait"
"et personne ne peut même le savoir"
C'est incommunicable !
et puis, se proclamer intelligent constitue une sorte de "nouvelle inentendable agressante" pour quiconque est soumis à cette hypothèse. ça blesse cash l'égo d'en face, je peux comprendre mais que faire, que faire.
Bref, tout ça pour dire que j'aimerais parfois en finir même si c'est triste la mort. Je ressens une profonde fatigue ce soir putain.
Je n'y arrive pas. Après demain, enfin, demain, avec mes parents on va chez la psychiatre pour la Ritaline peut-être. Finie l'idéologie, je veux un médicament pour apprendre à me concentrer, et me réadapter à cette société pourrie que je déteste tant que reseter max en appuyant sur un bouton limite ne me poserait pas de problème moral.
bisou.
Voici mes deux réflexions de la soirée.
1) si un jour, comme parfois je le pressens (rêve ?), je suis publié, alors inévitablement j'aurai un fan club. Je le visualise déjà et ça me stresse, car je ne l'aimerai pas du tout. Il sera pour 90% constitué d'une faune m'ayant mal "lu", mal "ressenti", oui, cela relèvera du malentendu.
=> Filles (+ quelques garçons), qui seront donc, JEUNES, simili ado (14-19 ans), en """recherche identitaire""", et qui croiront voir en moi une sorte de maître provocateur affirmé, trash bizarre vivant impudique, le contraire de ce que j'aspire à, et de ce que j'aime. On se revendiquera de moi, on sera "inspiré" par moi, pour un message et une interprétation erronés, différents de "ce que j'aurai voulu faire". Comme si la forme et quelques "mots clés", enfumeront à tort le cerveau de mes désormais plan culs, gratuits et à volonté. Mais je ne taperai jamais dedans, évidemment, car "gêne mépris embarras", pour la fille qui mouillera pour un écrivain et pas "un homme". Je vous renvoie à cette citation de Nabe.
"La femme d'écrivain est la seule femme qui, lorsqu'elle fait l'amour à son écrivain, ne fait pas l'amour avec un livre. La groupie d'écrivain baise avec des mots, la femme d'écrivain avec un homme. La groupie veut baiser la femme d'écrivain à travers l'écrivain, mais, à travers lui, la femme d'écrivain baise toutes les groupies de son écrivain également."
Enfin, cette phrase me dérange en tant qu'elle CONTINUE d'être dans ce délire relou, mais, bon, je la partage !
Heureusement, il y aura mes "fans authentiques", les plus discrets mais les plus complices, les "suiveurs respectueux", qui méditeront sur ma prose gentille, auront quelques sourires et "plaisir à lire un nouvel oeuf", mes fidèles, ceux pour qui je ferai ça. Peut-être même que les moins timides, dans les espaces publics, qui me reconnaîtront, viendront me saluer et me faire part de leur "respect", plus simplement de leur amitié, enfin, de la sympathie qu'ils me porteront. Que je leur apporte une forme de plaisir, de "divertissement ++" dans leur vie. "j'aime beaucoup ce que vous faites", héhé.
Une partie des gens essayera de me lire, "pour se faire une idée", "parce qu'un tel leur en aura parlé, etc". Mais ne comprendront pas trop, "pas trop leur délire, etc".
Une autre partie des gens sera heureuse d'adopter à mon encontre un "positionnement identitaire", affichant hostilité/ironie. Moui, Kiss, "Phidou", un malade qui veut qu'on parle de lui, un "provocateur troll sans grand talent", tout juste capable de "brailler haut et fort comme un gosse pour se sentir exister"
Moi je serai profondément affecté par tout cela, parce que ma nature n'est pas de vivre dans une tour d'ivoire.
Allez tiens, autre citation de Nabe, va ! Je suis désolé je l'aime bien, elle me parle, celle-là.
"Oui, en quelques années, je suis devenu celui qui
« y » croit. À quoi ? À la vérité, à la sincérité, à l'art surtout :
ça ne pardonne pas dans ce monde où pullulent les ricaneurs, moqueurs, déconneurs...
Il y a tant de débrouillards qui passent entre les
gouttes et qui tirent leur épingle du jeu. Moi, je suis mouillé en permanence et je laisse toutes mes épingles dans tous les jeux."
Bref. J'hésiterais, entre garder mon anonymité pseudonymale, et l'envie de rentabiliser cette image. Mais je serais nul à l'oral, en plus. Parce que c'est ainsi que je suis, "bizarre", je perçois trop de choses qui me déplaisent, tant et si bien que ça me braque. Les "gens qui se croient complices mais ne t'ont pas compris", les "malsains qui veulent se payer philippe ou essayer de le faire réagir par la provoc sauf qu'ils me font incroyablement pitié / ne peuvent m'atteindre / déjà vus 100000 fois", etc, etc.
Je vous jure, je suis là, je regarde par terre, attendant que ça passe, sans trop humilier le mec qui CROIT vraiment m'atteindre et de ce fait, m'atteint par la gêne qu'il provoque en moi, vis à vis de cette gêne qu'il ne peut pas créer !! (enfin, vous avez compris, pas celle qu'il croit, bref bref !!)
Dur dur d'être un gééééééniiiiiiiiiiie.
Mais, moui, l'anonymat est précieux, très précieux. Cette conscience là devra me faire renoncer à ma maladie du "désir de reconnaissance", et au "plaisir de faire le show".
Parce que quand je suis dans un environnement bienveillant, alors là, "phiphou est au firmament". Il s'oublie, joue, retrouve l'enfant et l'amour qui l'habitent en réalité h24.
Enfin ! J'ai encore le temps vu que pour l'instant je suis officiellement un loser dans cette chère société humaine.
2) L'autre jour j'ai écrit : "ma peur du ridicule porte non pas sur être moi, mais sur l'être pas moi - hélas inhérent à la vie en société notamment -, contrairement à une pseudo majorité bien pratique qui elle aurait peur du ridicule qu'il y aurait à être soi, mais ne se sentent pas ridicules (alors qu'à mes yeux ils le SONT TROOOOOOOOOOP) à "jouer ce qu'ils sont", à jouer ce qu'ils croient être, ces illucides. Bref au secours.
Eh bien, je voulais préciser, que mon "moi", n'inclut pas le corps. J'ai un peu honte, de mon corps, qu'on me voit "dans la vérité de ce que je suis", car précisément, est-ce bien moi que cette enveloppe subie ? "oui et non etc". Mais, "pas trop quand même". Je peux même pas disserter tant ce sujet me met mal à l'aise, mais, GLOBALEMENT, je suis obligé d'admettre que le rapport que j'entretiens avec mon "caractère tridimensionnel" est relativement problématique.
Gros bisous,
A bientôt.
Seize Amis.
Bonjour à tous.
La psychiatre a confirmé à 90% l'hypothèse du triptyque-combo :
surdoué ++, tdah, et asperger.
Assez terrible, mais j'avais soupçonné le troisième trouble quand elle avait dit "faut pas écarter" en guise de réponse à ma supposition fausse boutade vraie question.
Et là, j'ai dit "pourtant j'ai parfois l'impression d'être un génie dans ma perception des choses, ma façon de penser et on me l'a dit PLEIN de fois, amis, meufs, profs, etc".
Et là bis, la psychiatre a répondu que "faut pas écarter". Que ma compréhension n'est probablement pas fausse, que j'ai une PENSEE (genre dans mon cerveau) qui est différente. Donc je vais me rabattre sur ça pour survivre => Je suis un génie c'est vous qui avez rien compris allez chut.
Bref, je vais faire des tests dans un centre spécialisé et tout pour confirmer ce "cauchemar auquel je m'attendais".
Que dire.
Si je le suis c'est de façon légère. J'ai une forme légère d'autisme léger. Mi normal mi "atypique", hum. Je suis un métisse non pas social racial culturel ou "de genre", mais un métisse de la folie, peut-être ?
Je me sentais parfois seul et incompris, mais, maintenant, j'ai de quoi m'inquiéter parce que ma manie de vouloir expliquer ce que je ressens et d'être compris et d'avoir raison, héhé, va avoir "du boulot pour encore longtemps".
Je lui ai dit "allez, moi jme suis servi de ma folie comme d'une identité ++, épargnez-moi".
Elle m'a dit "moui, ça s'appelle un peu le syndrôme de prestance".
Genre un mdd quoi.
Voilà.
Bisous inquiets fatigués dans l'expectative !
Phidou
Je soutiens les personnes qui décident d'ouvrir le feu sur leurs voisins bruyants. Je pense que tout le monde devrait faire ça. Butter les parasites. Je ressens ça profondément. Je pense que tout le monde ne mérite pas de vivre. Morandini bien sûr, mais aussi "betapi", je sais pas, tant de monde. De monde vulgaire, sale, nuisible, qui insulte par son existence même un certain nombre d'idéals qui me sont chers. Je n'ai plus "d'empathie spontanée" avec 99% de mes semblables. Que dire. La distance que j'ai avec les sous hommes qui m'entourent a atteint un degré encore insoupçonné. Je rêve de "purification nettoyage ethnique", sur la base de critères moraux. Voilà, j'espère presque faire peur à mes quelques contacts facebook afin qu'ils me suppriment.
(de leur liste d'amis, hum).
pfffff, alala.
Enfant, je rentrais dans le magasin "Interdiscount", de la galerie marchande de Auchan, à Saint-Genis-Laval, et il y avait toutes ces télés, qui diffusaient la même chose, sur les rayons des téléviseurs.
Eh bien, j'étais fasciné en pensant à tous ces vendeurs qui devaient, imaginais-je, réussir chaque matin l'exploit invraisemblable d'allumer toutes les télés AU MÊME MOMENT, pour qu'elles diffusent exactement la même chose de façon synchro.
Voilà voilà ! Je vais vous épargner le coup peut-être classique du "la photocopie tue le livre", qui me faisait croire que genre si on photocopiait un de mes manuels scolaire, ça allait le désintégrer genre à cause du rayon laser de la photocopieuse, etc etc.
C'est beau, l'enfance, c'est beau.
J'aurais pas dû m'abonner à toutes ces pages de "barbie-like" pour faire le mariole. Maintenant j'ai une TENSION PERMANENTE. Genre sursollicitation, certainement, de je ne sais quelle, hum GLANDE NERVEUSE AFFAMEE, qui nuit à ma stabilité mentale à chaque fois que j'ouvre facebook et que je vois toutes ces giga putes qui ne vivent que pour que des puceaux comme moi bavent devant elles. Je vais me désabonner. Adieu, je vous aimais bien, mes chères poupées baltes ou brésiliennes. Allez vous faire Ken hors de ma vue : votre dévoué doit maintenant poursuivre sa route glorieuse. héhé.
Il paraît que j'ai une "empathie moindre" (je suis MEGA sceptique) ou en tout cas une "certaine difficulté pour me mettre à la place des autres", à comprendre ce qui se passe dans leur tête.
Je crois avoir perçu que ce qui fonde ou plutôt conditionne l'empathie, c'est le fait de reconnaître en l'autre son semblable.
En effet, j'ai souvent entendu les associations humanitaires expliquer que les catastrophes ne suscitaient pas les mêmes élans de générosité selon qu'elles touchaient des populations "proches" ou "lointaines". Ainsi, la mère de famille blanche célibataire, voire les tremblés de la terre d'Haïti francophones recevaient plus de dons que les Pakistanais musulmans simili talibans/arabes/terroristes/moyen-âgeux/barbus/enturbanés/basanés (dans l'esprit collectif !). Qu'il fallait mieux mettre une européenne sur une campagne publicitaire qu'un sournois chinois pullulant envahisseur altérité max "tête de pamplemousse écrasé avec les fentes pour les yeux" etc.
La vision de l'altérité se fonde sur des critères qui peuvent être de tous ordres, ethniques, nationaux, religieux, etc, etc.
Nous vivons d'ailleurs une époque où le terme "d'étranger" est PRESQUE DEJA ressenti comme une violence, et où les concepts de "frontières" et de "nations" sont pointés comme "porteurs en eux-même de discrimination" et donc antidémocratiques ou anachronique. On parle des "droits de l'homme" (oubliant qu'ils étaient aussi "et du citoyen", c'est à dire dans le cadre d'une cité donnée fondée sur un minimum de sentiment d'appartenance et de volonté de vivre ensemble comme héritiers d'une histoire commune et pour un futur commun), bref on parle des droits de l'homme qui impose cette idée selon laquelle "tout homme est mon semblable".
OR.
Il se trouve que moi, je ne me reconnais pas dans mon semblable.
J'ignore si c'est affaire de personnalité, de QI élevé, de "tdah-semi-asperger", mais le fait est qu'il en résulte chez moi une DIFFICULTÉ à voir dans les hommes des "autres moi".
Il y a aussi qui m'éloigne je crois la "compréhension du monde".
Je ne suis pas au même stade que mes """semblables""". Je me souviens de Finkielkraut racontant combien son cheminement intellectuel, ses études prestigieuses, ses lectures, sa culture, avaient fini par l'éloigner de ses propres parents qui étaient restés rivés à leur "niveau".
Je veux dire, je ne crois pas que mon propos soit si révolutionnaire que ça.
C'est simplement une explication quasi justification de la PEINE que j'éprouve à me mettre à la place ou à comprendre des autres car je me suis trop ééééééééééééloignééééééééééééé, dans la lucidité sur ces animaux, ou donc dans la folie.
Bref, je suis semble-t-il prisonnier de deux choses, ma subjectivité envahissante car très puissante, et une certaine quête de vérité qui se moque complètement des exigences sociales.
Cela offre une liberté exceptionnelle, une originalité (pour ne pas dire excentricité), voire une créativité certaine, mais provoque aussi un décalage, un isolement, des difficultés de communication et, problème actuel, d'intégration dans les "communautés subies", que sont le monde du travail, une famille de naissance, ou un forum incontrôlé.
Bisous.
https://www.youtube.com/watch?v=ahdH8eTydWY
A conforama, y avait ça. c'est bien conforama quoi, j'ai repéré un tapis, je suis content. ils m'ont hypnotisé avec leur musique pimpante, je voulais tout acheter et même niquer la vendeuse sur le canapé simili cuir blanc fluo.
on en apprend tous les jours, etc.
Tour de main signifie un acte d'adresse exécuté avec la main ; et tournemain, l'action de tourner la main. Aussi, quand on veut exprimer quelque chose qui se fait vite, il faut dire : en un tournemain, et non : en un tour de main.
http://fr.wiktionary.org/wiki/en_un_tournemain
en un tournemain
En aussi peu de temps qu’il en faut pour tourner la main.
Lui-même chaussa en un tournemain ses vieux croquenots mal cirés, avachis et trop grands, puis enfila son pantalon qui lui pendait disgracieusement par derrière. — (Francis Carco, L'Homme de Minuit, 1938)
J'apaisai le conflit, qui était à l'état aigu quand je revins au Louvre, en un tournemain. — (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942)
Synonymes
=> rapidement
Je m'identifie à la Ferrari, d'autant mieux que c'est un amour d'enfance. J'adorais prendre la Ferrari Testarossa à Test Drive sur Atari. La Ferrari, c'est à la fois le Luxe et les Performances, la rareté, la beauté, la valeur. La puissance, la "tension agressive interne du moteur même à allure non-vive".
C'est ainsi que je me considère parfois.
Je vois l'humanité comme une longue suite de Fiat Panda voire de Talbot en panne.
Moi pardon, je vote Front National.
Je connais le "passé troublé".
Je connais les limites, les contre-arguments, mais après tout, nous sommes 18% du corps électoral, soit plus de 18%.
Et puis, parmi les sympathisants, j'y ai rencontré les personnes les plus cools, les plus intelligentes et les moins fachos du monde que je connaisse.
Le réflexe de "malaise-vigilant", à l'affût du dérapage, la crainte la suspicion tout ça doit être réinterrogé.
Les contorsions de l'esprit pour pas ne adhérer afin en réalité de continuer à "s'aimer moralement", ce qui n'est que l'expression d'un instinct de survie social, conformiste en somme, doivent être réexaminées.
Je ressens la voie nationale comme une forme de dissidence saine et salutaire, d'avant garde tout à faire charmante, et au delà de la posture, comme pertinente et opportune, loin bien sûr des caricatures ridicules hors sujet dont il va falloir se défaire.
bisou.
Bon bah.
Je me trouve assez génial, sauf que, c'est personnel et nobody peut-être pigera rien à ce texte ! comme les autres, me direz-vous peut-être aussi, mais bon, mais bon.
Comme toujours, j'expulse, je témoigne, je ne sais pas à quoi ça sert, et comme toujours Pessoa exprime à merveille mon fonctionnement / mes motivations, héhé.
« Tout cela ne me sert à rien, car rien ne me sert à rien. Mais je me sens soulagé en écrivant, comme peut l'être un malade qui soudain respire mieux, sans que sa maladie ait cessé pour autant. »
à kesski paraît, un de mes problèmes, c'est de vouloir "convaincre tout le monde".
"que chacun voie ce que je vois moi".
Toujours, j'évangélise, et je perds une ééénergie FOLLE, à ça !!
Pourquoi, pourquoi je fais ça, quoi.
Comme si, au fond, je n'étais pas sûr de mes pensées, de mes ressentis, et que je voulais être "validé par les autres".
D'ailleurs, souvent c'est mon "prisme communicationnel" cette merde, obtenir une validation. Reconnaissance, pourrait-on dire, mais pas au sens fierté-estime, on se comprend.
Reconnaître au sens de "admettre".
Pourquoi ne suis-je pas sûr de mes pensées et de mes ressentis, pourquoi n'aurais-je pas confiance en eux, ou du moins, pourquoi ne pas m'en contenter, "et tant pis pour les autres" ?
Qu'est-ce ça révèle, d'où ça vient, etc.
Il faut dire qu'avoir le sentiment quasi PERPÉTUEL de ne PAS être compris, d'être isolé, voire d'être pris pour un fou illuminé, quand on a "au creux de son gentil coeur apparemment chtarbé" une sorte de conviction de SUPÉRIORITÉ, liée d'une part à des capacités intellectuelles-émotionnelles permettant de "voir juste", et surtout, liée d'autre part à une liberté EXTRAORDINAIRE simili aspergienne sur le plan des carcans du groupe ou quoi, d'indépendance d'esprit qui PERMET la clairvoyance non péhénisée par le nécessaire aveuglement social ou personnel (survie dans la communauté, survie dans le miroir.)
Bref, ce sentiment d'être "seul à voir", est digne, reconnaissez-le moi, des pires films fantastiques a minima, où le héros voit genre des zombies des revenants qu'il est LE SEUL à voir et que personne le croit comprend.
En réalité, je ne suis pas seul, je me suis entouré au fil du temps d'une sorte d'élite de gens +++. (eux aussi chtarbés ?!)
Mais nous sommes quoi ?
1 sur 1000, 1 sur 3000, j'en suis même pas sûr.
J'aimerais quoi qu'il en soit me délivrer de ce BESOIN DE PROUVER, mais je n'y arrive que léééégèrement.
Je ne sais PAS gérer cette solitude et le doute qui l'accompagne.
Doute sur soi, doute sur les autres, doute sur tout.
On ne peut pas passer sa vie à attendre "l'arbitre", du match de l'existence, quand on comprend qu'il ne vient jaaamais.
Sauf à dire que "l'Histoire jugera", à condition que l'Histoire ait un sens quelconque, comme dirait Roche, ou bien, sauf à dire que Dieu existe, mais en attendant, là encore, doute et redoute.
J'aurais 4 choses à dire. !
a) cette hypothèse selon laquelle je pourrais être touché, même de loin, par le syndrome d'asperger me terrorise. Rien que le nom désormais me fait frissonner, et m'inspire le dégoût, et notamment le dégoût de moi-même. Pardon pour cette immense prétention (bien involontaire car simples ressentis subis), mais c'est comme si j'avais toujours considéré mon cerveau mon intelligence et par extension ma personnalité-sensibilité/mon identité comme une ferrari ou un diamant, et qu'on m'apprenait tout d'un coup que "en fait", on a trouvé une "légère rayure". => Drame. Je suis évidemment mille fois ++ que 99% des sous-gens, mais, "quelque chose en moi est brisé". Un vice caché dans le moteur, une fragilité en profondeur dans le minéral, bref, je me sens souillé, je veux me supprimer. Haine de moi, rage.
b) Au début, je ressentais plutôt de la révolte et de la frustration, parce que je continuais de croire en ma lucidité et je redoutais que désormais il soit pratique pour mes adversaires de me disqualifier/discréditer. Le joker magique => t'façon philippe, "cause toujours", t'es givré.
Maintenant, c'est pire-horrible : je doute : "et si EN EFFET, ma lucidité était affectée ??" Si ce que je crois percevoir chez les autres chez moi chez le monde environnant = délire ?! Je n'ose même plus penser à rien de peur que mon cerveau malade me joue des tours. C'est grave assez quoi. Ma confiance en moi, "jusque-là préservée", ainsi que le disait la psychologue, est en train de vaciller dangereusement.
c) pff. je me suis levé de mon lit pour ce C et ce D, mais au lieu de ça, j'ai écrit ce A et ce B à moitié pas prévu et j'ai oublié le reste, au secours. Ma pensée m'échappe.
d) ah, sisisi, en voilà un qui revient ! =========================> TRES important même.
J'ai toooujours, "dès la première seconde", brandit pessoa comme mon frère d'âme, puis, dans un second temps ex aequo, rousseau.
ET, j'avais même dû en parler à certains d'entre vous, j'avais été stupéfait de découvrir un court texte de Pessoa où ce dernier confessait une admiration et une proximité intellectuelle avec Rousseau.
Je me disais que "y a pas de hasard", "certainement un lien de THQI et plus encore, une communion par-delà les siècles, etc".
Ensuite, vous le savez : GROOS coup de foudre pour Alain Soral. Fraternité d'âme je ne sais quoi en écoutant ses vidéos, "je le comprends trop bien", il me parle, et tout et tout.
PUIS, après des années d'écoute intensive de mon gourou, ce brave Alain évoque de plus en plus Rousseau comme "un des plus grands", "éminemment moral ou quoi", avec admiration-respect-total pour ce cher penseur d'il y a des siècles.
Bah, voyez-vous, ça me conforte dans cette idée que certains grands esprits sont liés d'une façon paranormale, enfin, "statistiquement inévitable", mais reliés sur une fréquence "haut de gamme", en particulier sur le plan de la sensibilité morale et de la sensibilité tout court.
Excusez-moi de blablater à ce point, très souvent sur ma gueule, mais je suis obligé.
"Vous comprendrez quand vous aurez une âme et par conséquent des tourments".
Nan mais je rigole, ce que je veux juste dire c'est => SUPPRIME MOI, si t'as un pb, ok ok ok ?
Allez, allez.
Si Otis Redding était mort 9 mois plus tard, il aurait pu faire partie du "club des 27". Ce genre de constat débile heurte mes volontés "globalisantes totalitaires esprit de système", comme une "angoisse du classement" qui serait malmenée par l'imperfection du réel. Ce con est mort à 26, "c'est du gâchis, que jme dis", on loupe le strike grand chelem, il nous échappe avec son décès prématuré d'une grossesse seulement. alala, Otis, Otis, c'est l'ascenseur émotionnel, tout ça.
Putain c'est fou ce qu'ils me super-gavent les "tendus stressants", vous savez, qui se croient obligés de jouter dès le premier échange verbal. Est-ce parce que je suis nul à ce petit jeu là et que je n'ai aucune répartie, que ces "malsains communicationnels" m'agressent ? Ils m'embarquent dans on ne sait quoi d'insincère bras de fer, que je fuis en BRISANT l'autre et son trip de merde, prétextant n'importe quoi de cent fois plus trash avec grosse gêne exprimée avec les mots et sur mon visage qui désarçonne puissance mille le jouteur qui croyait dérouler son numéro alors que je le domine. Je le domine pas dans son bras de fer, mais c'est lui qui par sa "tension de l'échange inaugurale rhétorique" se déclare perdant d'emblée car => mec relou faux original stressé défensif pas confiance en lui SOUS HOMME, etc etc.
(ceci est un exemple désormais de ressentis dont je ne sais plus si ils sont fidèles à mes fulgurances sociales ou au contraire la manifestation de ma démence peut-être bientôt diagnostiquée d'handicapé invisible.)
En effet, c'est peut-être une simple invitation bienveillante au jeu, à une complicité, une perche tendue comme une autre, pourquoi est-ce que je condamne moi aussi ? Allez, philippe, tolère ces excentriques énervants, laisse leur le droit à être, à trouver des alter égos du jeu de mots et de bon mots, de "dialogues combatifs légitimes", et ne fais pas de violence à ces preneurs d'otages verbal. au secours.
Bon ! Je n'ai pas reçu de cadeau, rien !
Mais, "ça va, ça va, pas de pb".
Je me suis donc acheté une voiture radio-commandée.
25 euros.
J'avais repéré une magnifique Ferrari au "Nain Jaune", de Lyon, pour 22.50 mais elle a été vendue JUSTE avant que j'arrive.
Je me suis rabattu sur une Renault Mégane Sport etc, acquise dans le magasin "La Grande Récré", à La Part-Dieu.
Et Finalement elle est troop cool !!
J'aime bien la manette de simili play station.
Voici les critères que j'étudierai lors de mon prochaine achat de voiture téléguidée, si ça existe.
=> SILENCIEUSE ou bruit "beau gosse cool"
=> PORTEE supérieure à 10m
=> MANETTE PLAYSTATION et pas les volant unimain chelou
ça me semble déjà bien, comme critères ?
Si j'étais riche, je voudrais trop avoir des circuits avec décors miniatures de ouf hyper réalistes ou futuristes, avec piste, pavés, glace-neige, terre-rally etc etc.
On pourrait faire des compétitions chouettes, soit en tournant autour debout, soit assis au bord ou sur une chaise surélevée genre arbitre de tennis, je sais pas, je réfléchis à ça en ce moment.
http://www.modeletoys.com/PBSCProduct.asp?ItmID=8957007
La dame européenne est sortie du taxi, et a pris congé du chauffeur pakistanais qui venait de lui sortir ses valises du coffre. Avec la phrase suivante :
"Merci ! au revoir, et passez de bonnes fêtes !!"
Saine assimilation à la française..
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Non mais moi j'évoquais rien de plus que ce que j'ai dit, tu vas toujours chercher de ces trucs, chouchou.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Sahana a écrit:Non mais moi j'évoquais rien de plus que ce que j'ai dit, tu vas toujours chercher de ces trucs, chouchou.
chouchou elle carbure du ciboulot ... elle n'y peut rien, chouchou
chouchou elle aime
chouchou elle comprend
chouchou elle crève d'aimer et de comprendre simultanément !
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
ouaip..
je répondais à uccen, qui croit toujours que je fais passer des messages cachés ou chais pas quoi..
bises potatoe, et merci pour la traduction du langage chacal.
je répondais à uccen, qui croit toujours que je fais passer des messages cachés ou chais pas quoi..
bises potatoe, et merci pour la traduction du langage chacal.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Chayote ça se mange ce truc ?
Shanana elle a évoqué les modos tout de même on sait même pas pourquoi,
elle a des obsessions sans doute.
(je ne crois pas grand chose, en général, et de toi en particulier, que vas tu croire, toi, tu t'y crois doudoudidonc)
Shanana elle a évoqué les modos tout de même on sait même pas pourquoi,
elle a des obsessions sans doute.
Kiss, pas le kisscool a écrit:
Je soutiens les personnes qui décident d'ouvrir le feu sur leurs voisins bruyants. Je pense que tout le monde devrait faire ça. Butter les parasites. Je ressens ça profondément. Je pense que tout le monde ne mérite pas de vivre. Morandini bien sûr, mais aussi "betapi", je sais pas, tant de monde. De monde vulgaire, sale, nuisible, qui insulte par son existence même un certain nombre d'idéals qui me sont chers. Je n'ai plus "d'empathie spontanée" avec 99% de mes semblables. Que dire. La distance que j'ai avec les sous hommes qui m'entourent a atteint un degré encore insoupçonné. Je rêve de "purification nettoyage ethnique", sur la base de critères moraux. Voilà, j'espère presque faire peur à mes quelques contacts facebook afin qu'ils me suppriment.
(de leur liste d'amis, hum).
(je ne crois pas grand chose, en général, et de toi en particulier, que vas tu croire, toi, tu t'y crois doudoudidonc)
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Patate a écrit:Dépasser les à priori
Grandir
Devenir intelligent
Rapetisser et s'épandre en dégueuli mièvre, quoi.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Mais que fait le chacal au milieu de tous ces rapaces?
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Mais où est Uccen ???
Mais il aime bien la "mièvritude", et l'eau de roses ...
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Mais où est Uccen ???
r'Eve a écrit:
Couchée 5h, levée 13h, je ne suis pas encore sortie du lit
Je lis les conneries de zc, fume une clope (oui je sais on dit UN mais j'ai jamais aimé alors je continuerai de dire UNE) et curieusement je me rend compte que les larmes coulent, toutes seules, comme ca, mais seulement de l'oeil gauche car le droit est encore trop collé
Chui allée voir le fil du chacal pour rire un coup et pffff il me déprime !
Vla ti pas qu'il a fallu qu'il poste des trucs de cons sans fin
Bref, j'finis ma clope et vais préparer le café
C'est ça, et après tu tireras la chasse.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
ta gueule !
Quoi ? C'est bien une gueule qu'on les chacals non ?
Quoi ? C'est bien une gueule qu'on les chacals non ?
r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
Si tu es donc noble et magnanime, je te demanderais de ne pas citer mes posts à venir et d'éviter d'etre trop déadagreable avec moi
Ceci est une vraie requête
Ceci est une vraie requête
r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
@ Inpou/Setesh:
Dernière édition par Sélène-Nyx le Jeu 6 Nov 2014 - 15:15, édité 1 fois
Sélène-Nyx- Messages : 3842
Date d'inscription : 29/04/2012
Re: Mais où est Uccen ???
Moaï, Uccen a écrit:Patate a écrit:Dépasser les à priori
Grandir
Devenir intelligent
Rapetisser et s'épandre en dégueuli mièvre, quoi.
t'es mignon mais je répondais à Sahana qui, effectivement, semble faire un petit blocage sur la modération...
Sahana : la "modo" c'est des personnes qui ont accepté une mission que toi, comme moi, refusons de faire mais sans qui ce
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
r'Eve a écrit:Si tu es donc noble et magnanime, je te demanderais de ne pas citer mes posts à venir et d'éviter d'etre trop déadagreable avec moi
Ceci est une vraie requête
Je ne suis jamais déadagreable, sache-le,
vile implorante larmoyeuse.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Je ne le cacherais pas
Oui je pleure
Je pleure toutes les larmes de mon corps depuis hier soir
Et si mon corps en pature pouvait alléger ... non ! faire DISPARAITRE ce poids si lourd que j'ai sur les épaules, alors je te l'offrirais sans la moindre hésitation
Mais je n'aime que les certitudes
Oui je pleure
Je pleure toutes les larmes de mon corps depuis hier soir
Et si mon corps en pature pouvait alléger ... non ! faire DISPARAITRE ce poids si lourd que j'ai sur les épaules, alors je te l'offrirais sans la moindre hésitation
Mais je n'aime que les certitudes
r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
Patate a écrit: t'es mignon
Ben assurément que chuis mignon, mais quelle est conne celle-là !
Patate a écrit:
Sahana : la "modo" c'est des personnes qui ont accepté une mission que toi, comme moi, refusons de faire mais sans qui ceputainde forum existerait pas. Et surtout ce sont des personnes distinctes et respectables, même ceux que certains trouvent concon, culcul, nunuche, hystéro et mégalo, etc...
Ouais ouais prout n'prout.
Pour Betapi y en a fourrée sans alcool.
Nan mais bon je vais le dire une fois pour toutes et tous :
Moi, je sais toujours qui s'adresse à qui et qui dit quoi, c'est comme ça, je fais pas exprès,
mais je comprends tout ce qui s'écrit ou dit ici, même l'inepte, et rien ne m'attriste plus
(sauf voir des mioches ne pas finir leur assiette, je t'enverrai tout ça au goulag en Erythrée tiens)
que de voir les quiproquos sans fin et échanges à demi où l'un, l'autre, parfois les deux protagonistes
(quand ils ne s'y mettent pas en partouse) n'impriment jamais totalement les flous artistiques de leurs personnes
comme de leurs pseudos (l'autre y disait simili, peau de vache va) converseurs, et s'embarquent dans
d'insondables bourbiers sans queue ni tête, au désarroi du stipendiaire de la clarté transcendantale
(c'est moi, je le précise au cas où je suis bourré en me relisant plus tard, car il n'y a décidément qu'un seul artifice
pour échapper à ce gâchis, c'est se parler tout seul, une évidence).
-----------
Et beh r'Eve faut pas venir sur ce forum si t'aimes que les certitudes, à moins d'être certaine qu'il y y a nombre connards.
(oui j'ai trop longuement hésité sur ce double i grec mais c'est trop classe alors logique et beauté m'ont conduit à la saturation)
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
"sauf voir des mioches ne pas finir leur assiette, je t'enverrai tout ça au goulag en Erythrée tiens"
y'a des goulags beaucoup plus proches dans le 92 !
et pis TAGGLE verolée
y'a des goulags beaucoup plus proches dans le 92 !
et pis TAGGLE verolée
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Le 5 septembre a écrit:Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
(Georges Brassens, Vénus Callipyge)
fais gaffe c'est une intellectuelle qui connait des mots savants ...
Ceci dit on dit callipage pas callipyge ! elle fait tièpe
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Verre au nez,
vaironner,
choper les truites visqueuses qui fouettent,
traits peu pour moi.
vaironner,
choper les truites visqueuses qui fouettent,
traits peu pour moi.
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Moaï, Uccen a écrit:♥ Kyss ♥ le Ven 4 Jan 2013 - 14:03
[blablabla]
Tu vois, quand t'argumentes, tu dois anticiper les objections des autres et y répondre.
[blablabla]
Peut-être j'oublie des choses, mais, voilà quoi, argumenter, "c'est dur", c'est usant.
[blablabla]
Tout ce qu'on peut faire, croire faire, c'est simili "planter les fameuses graines de la prise de conscience".
[blablabla]
Mais la "fleur" éclot en l'autre, à son rythme, lorsqu'on ne sait quelles conditions sont réunies, à un moment donné dans son cheminement personnel à lui.
[blablabla]
Il arrive même parfois (relative ingratitude !) que cet autre ne se souvienne pas de son "cultivateur", allant jusqu'à s'approprier sa toute nouvelle découverte intérieure.
[blablabla]
"c'est quand il veut".
[blablabla]
Le 5 septembre- Messages : 521
Date d'inscription : 04/11/2013
Re: Mais où est Uccen ???
toi a écrit:Moi:
1 -je sais toujours qui s'adresse à qui et qui dit quoi
2 -je comprends tout ce qui s'écrit ou dit ici
3 -rien ne m'attriste plus que de voir les quiproquos sans fin et échanges à demi où l'un, l'autre, parfois les deux protagonistes n'impriment jamais totalement les flous artistiques de leurs personnes
comme de leurs pseudos, converseurs (?) et s'embarquent dans d'insondables bourbiers sans queue ni tête, au désarroi du stipendiaire de la clarté transcendantale
J'ai pas tout compris là.
Tu vois et comprends tout en fait c'est ca ?
Tu m'expliqueras alors un jour ?
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Oui oui on sait.
On a vu c'était ton leïtmotiv et que ça t'avais débecquetée déjà anciennement, ces gugus qui parlent de leur avis nauséabond.
C'est bel et bien beau.
Moi je dis que le PS (et tout le reste) est un parti qui t'encule.
Mais j'ai pas encore inventé l'eau chaude, comme toi.
Ben qu'est-ce tu veux si le petit kiss il est encore assez con pour croire devoir se mêler aux vulgaires sous-hommes qu'il conchie en votant auprès d'eux, et pour eux, en espérant un avenir plus rose (enfin...bon t'vois quoi). C'est pour ça c'est pas un génie.
C'est un sous-génie provocateur pas droit dans ses bottes.
----
nan Jordan Prisu
on n'explique pas, on comprend tout seul ou que dalle.
On a vu c'était ton leïtmotiv et que ça t'avais débecquetée déjà anciennement, ces gugus qui parlent de leur avis nauséabond.
C'est bel et bien beau.
Moi je dis que le PS (et tout le reste) est un parti qui t'encule.
Mais j'ai pas encore inventé l'eau chaude, comme toi.
Ben qu'est-ce tu veux si le petit kiss il est encore assez con pour croire devoir se mêler aux vulgaires sous-hommes qu'il conchie en votant auprès d'eux, et pour eux, en espérant un avenir plus rose (enfin...bon t'vois quoi). C'est pour ça c'est pas un génie.
C'est un sous-génie provocateur pas droit dans ses bottes.
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nan Jordan Prisu
on n'explique pas, on comprend tout seul ou que dalle.
Dernière édition par Moaï, Uccen le Jeu 6 Nov 2014 - 17:02, édité 1 fois (Raison : Je corrige quelques fautes pour faire croire à Waka je suis Kiss)
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Jordan,
r'Eve- Messages : 4090
Date d'inscription : 22/06/2014
Age : 51
Localisation : Mickeyland
Re: Mais où est Uccen ???
Ouais enfin Kiss a le bon goût de parler de ce en quoi il croit pas de faire mère la morale, rectifieuse en chef de merde comme certaine personne ici !
Putain quel ramassis de soi-disant gens "au dessus de tout ça". Triste sir(ette) qui n'ont d'autre leitmotiv de conchier son prochain sous couvert d'intelligence. INTELLIGENCE MON CUL !
Apprendre à vivre serait un prérequis avant d'ouvrir toujours sa sale gueule sur les erreurs et fourvoiements des autres.
Je sais pas si c'est si insupportable tirez-vous, une balle même !
Putain quel ramassis de soi-disant gens "au dessus de tout ça". Triste sir(ette) qui n'ont d'autre leitmotiv de conchier son prochain sous couvert d'intelligence. INTELLIGENCE MON CUL !
Apprendre à vivre serait un prérequis avant d'ouvrir toujours sa sale gueule sur les erreurs et fourvoiements des autres.
Je sais pas si c'est si insupportable tirez-vous, une balle même !
Invité- Invité
Re: Mais où est Uccen ???
Jourdain coule à Paris
Et pis si tu supprime du texte du brillant artificier tu floues la compréhension,
c'est pseudos converseurs, pas pseudos, converseurs.
-----
(nan, deux balles, pour être sûrs)
Et pis si tu supprime du texte du brillant artificier tu floues la compréhension,
c'est pseudos converseurs, pas pseudos, converseurs.
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(nan, deux balles, pour être sûrs)
Invité- Invité
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