Re: J'ai un QI supérieur à 130 mais j'ai du mal à me reconnaitre comme surdouée

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:19

Épatant:XD:
Bon je vais arrêter de me moquer ...

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:20

Numero6 a écrit:Pour un fake avec touaaaa, je ferais n'importe kwaaa, pour un fake, avec toaaaaa.

Même quand ils inventent un personnage, ils ne peuvent pas s’empêcher de montrer leur gros QI, irrécupérables les mecs.

J'en reviens pas affraid

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:21

HS Jordan et Marya:

Blague mise à part.
Merci pour ton témoignage, ton courage aussi.
ça fait du bien de lire que certains vont bien.

Oh, Staukounet Bisous

tu m'as manqué I love you

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:22

marya a écrit:Épatant:XD:
Bon je vais arrêter de me moquer ...

C'est pas sympa. Il adore qu'on se moque de lui. Il a même créé son fil pour ça. C'est un homme, un vrai. Il aime le contact direct et franc. Qu'on lui retourne les ovaires avec des mots crus qui frappent droit aux couilles. Un des rares fils constructifs de Zc, d'après un certain nombre de personnes. Dont moi. Enfin bon. Son seul défaut, c'est d'être un peu couillon. Souvent.

@fragilis : Tchao

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:25

Numero6 a écrit:C'est pas sympa. Il adore qu'on se moque de lui

Dans ce cas ...

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 18:31

Hee, la jeunesse, un peu de respect... Papy

Ils nous ont privés de Flamby ce soir à la maison de retraite des vieux glands, il règne une ambiance pré-insurectionnelle. J'ai refusé de chausser mes dentiers.

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:34

Pour la rébellion ou la gaterie au chef cuistot pour avoir ton Flamby ?

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 18:46

Madame est connaisseuse.

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 18:48

Je veux mon Flambyyyyyyyyyy !!!!!!!!!!!!

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 18:51

Numéroilove:

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 19:09

Numero6, tu aurais eu ton Flamby si tu avais mangé toute ta purée !

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 19:12

Supercal ne plaisantes pas, j'ai vu une ombre armée derrière toi.:

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 19:14

Jordan Sulli a écrit:Numero6, tu aurais eu ton Flamby si tu avais mangé toute ta purée !

Je veux du Flambyyyy:

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 19:19

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 19:21

[Ça signifie qu'en plus de me faire marrer, ça m'a coupé la chique ^^]

par Numero6 Mar 11 Nov 2014 - 19:31

Jordan, je le confesse humblement, plus ça va, plus je t'apprécie.
J'ai bien aimé quand tu as parlé des surdoués de ton enfance, personnages hors normes. Moi, ils me faisaient rêver, beaucoup plus que les pompiers, les pilotes d'avions ou les chirurgiens.
Si cela fonctionnait, je mangerais tous les matins de la bouillie d'Hellébore pour faire grimper mon QI. Mes limites m'insupportent. Ce n'est pas intelligent que j'aimerais être, c'est magicien.

par Invité Mar 11 Nov 2014 - 19:37

Excuse pour le flood Marya:

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 15:21

supercalifragilis a écrit:ça fait du bien de lire que certains vont bien

chercheurdemploi a écrit:tu ne sembles pas avoir de problèmes (...) relationnels

J'ai l'impression de ne pas avoir dit toute la vérité ...
Il est vrai que je peux dire que pendant la période de la primaire, j'ai été très sociable. Comme je l'ai déjà dit, j'avais des bonnes relations avec tout le monde, de plus je n'avais aucun mal à être "moi", c'est-à-dire afficher un caractère assuré, assez trempé aussi. J'étais audacieuse, je ne me priais pas pour dire ce que je pensais etc... J'étais très... très extravertie en fait..
Mais cette période au combien "bénie" n'a pas duré très longtemps... En primaire, si j'étais une fille tellement affirmée, c'est parce que je connaissais la quasi-totalité de mes camarades depuis toujours (la maternelle était reliée à la primaire), j'étais donc en confiance.
Confiance qui s'est brisée suite à mon déménagement, car il a fallu faire l'effort de s'intégrer. Pire encore, suite à mon entrée au collège. J'ai alors affiché une grande faiblesse face aux autres. Et ils n'ont pas été tendres avec moi...
Le collège dans lequel j'ai passé 4 ~~affreuses~~ années a la réputation d'être un établissement "bourgeois". Je ne suis pas du même milieu social que la majorité d'entre eux (qu'est-ce que j'y peux? Razz

), et de plus, à cette période, je négligeais mon apparence, ma façon de m'habiller. Par conséquent, les remarques sous-entendues et les critiques sont allées bon train.
Ces 4 années ont été difficiles, et ont complètement balayé toute confiance que j'avais en moi. A cause de ma sensibilité, j'ai été profondément heurtée par ces critiques, et j'ai fini par admettre qu'au fond ces méchancetés étaient basées sur du vrai (je m'habille mal, je n'ai aucune classe, je suis bizarre etc...)
En plus de ma condition sociale inférieure aux autres, il y a le fait que je n'ai jamais osé m'adresser à une personne inconnue (et ça depuis toute petite, j'ai toujours été timide avec les inconnus, enfants ou adultes). Donc forcément, quand on rentre dans un nouvel établissement, avec un tel handicap, on ne peut pas, ou difficilement s'intégrer. J'ai réussi à bien parler avec 3-4 amies pendant toutes les années collège (car tous n'étaient pas arrogants), cependant je me suis toujours sentie en retrait par rapport à ce groupe. Il est vrai que je sentais que "ce qui se passait" dans ma tête ne ressemblait pas à ce que les autres pensaient, exprimaient : je crois que c'est le fameux sentiment de "décalage" ressenti par beaucoup de zèbres, même si je l'ai moins ressenti que beaucoup d'entre vous je pense, car j'ai toujours gardé un peu de sociabilité : je pouvais sociabiliser avec la plupart des camarades, s'ils n'étaient pas "méchants". Comme aujourd'hui d'ailleurs, mais pour se faire, il faut que je laisse de côté ce que je pense et ce que je ressens pour être en accord avec l'autre; je devais faire semblant de penser comme l'autre. A partir de mon déménagement, il n'y a que de cette façon que j'ai conçu le contact avec les autres. Je suis une sorte de "caméléon", sans personnalité, authenticité apparente.
Mon émotivité m'a joué des tours durant cette période. Il m'est déjà arriver de pleurer plusieurs fois devant toute ma classe à cause de paroles ou de comportements qui m'ont blessée, et que certains considéraient comme des plaisanteries ; résultat, une image d'une sainte nitouche très susceptible, et fragile..
Bref, maintenant je suis au lycée, je suis bien contente d'avoir quitté ce collège et je côtoie maintenant des personnes beaucoup plus ouvertes et tolérantes. Cependant je ne suis pas si bien intégrée que cela. Comme dit plus haut, je n'ose pas parler de mes intérêts, de mes ressentis aux autres parce que je suis timide d'une part, et surtout car je sens que je ne m'intéresse pas aux mêmes choses qu'eux. De plus, je n'ai pas beaucoup de conversation :/ . Du coup je me replie sur moi-même..
Cependant je serais bien maladroite si je dis que ce que je vis est difficile. Bien que je n'ai pas vraiment d'amis, sauf une avec laquelle nous avons des liens assez étroits, je parle assez souvent avec le groupe de filles "branchées" de ma classe, et aussi avec les autres, mais je ne suis pas comme eux (en fait j'aimerais être plus proches d'elles car elles sont "populaires". Ah l'adolescence ... ). Parler aux autres ne me fait pas peur, il faut juste que je sois en confiance.

Je ne vous ai pas fait part de mes "difficultés" (je ne peux parler aller jusque parler de souffrances) car à priori, je ne vois pas de lien avec ma douance. Et vous, vous en pensez quoi?

Sinon, ce qui je crois est évident dans mon vécu, de la primaire au lycée, c'est que sans le regard des autres je ne suis rien, je n'existe pas. Comme dit plus haut je suis un "caméléon" avec les autres. De plus, quand je vous ai dit que j'appréciais les compliments, je pense plutôt que cela est dû au fait que j'ai besoin de reconnaissance de la part des autres, ce qui va dans le sens de mon idée

Encore un pavé!!J'ai beaucoup détaillé mon vécu, peut-être trop, mais il n'y a que comme ça que je peux vous faire comprendre ma situation, je pense

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:01

marya a écrit:
Je ne vous ai pas fait part de mes "difficultés" (je ne peux parler aller jusque parler de souffrances) car à priori, je ne vois pas de lien avec ma douance. Et vous, vous en pensez quoi?

Qu'il y a sans doute une multitude de facteurs qui peuvent expliquer tes difficultés d'adaptation au collège (tu en cites quelques uns) - et que tu constateras sans doute, en discutant avec les autres, que beaucoup ont éprouvé ce même sentiment d'inadaptation. C'est d'ailleurs une chose surprenante, car ça donne le sentiment qu'une large majorité d'élèves vivent mal cette période.

marya a écrit:
Sinon, ce qui je crois est évident dans mon vécu, de la primaire au lycée, c'est que sans le regard des autres je ne suis rien, je n'existe pas. Comme dit plus haut je suis un "caméléon" avec les autres. De plus, quand je vous ai dit que j'appréciais les compliments, je pense plutôt que cela est dû au fait que j'ai besoin de reconnaissance de la part des autres, ce qui va dans le sens de mon idée

Peut-être es-tu mal entourée? Je ne sais pas quelles sont tes passions, mais logiquement tu devrais pouvoir trouver quelques personnes avec qui les partager?
Sinon, tu peux aussi renoncer à l'idée de te fondre dans le moule, renoncer à l'idée de ressembler à l'idée que tu as de ce que les autres attendent de toi (et qui est peut être fausse)... un peu bateau ce que je dis. Et je ne pense même pas que ce soit une bonne idée dans ton cas, tu n'es visiblement pas suffisamment solitaire pour ça, il vaudrait sans doute mieux que tu commences par trouver des personnes de ton lycée dont tu te sentes proche.
Et ce n'est pas une critique, il y a plusieurs biais pour apprendre à "s'affirmer" - le but étant que tu te sentes bien. Et ton côté "caméléon" à sans doute du positif, il te permet d’interagir avec une multitude de personnes différentes, c'est plutôt bien. Il faut juste que tu trouves tes bases Wink

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:21

chercheurdemploi a écrit:Sinon, tu peux aussi renoncer à l'idée de te fondre dans le moule, renoncer à l'idée de ressembler à l'idée que tu as de ce que les autres attendent de toi (et qui est peut être fausse)

C'est l'attitude que je devrais adopter, cependant ce trait de caractère est tellement profondément présent en moi, et depuis si longtemps qu'il va me falloir plus violent qu'un défibrillateur pour me faire réagir

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:25

chercheurdemploi a écrit:Et ton côté "caméléon" à sans doute du positif

C'est vrai que ce côté me permet de mieux comprendre comment les autres pensent (enfin j'essaye, car je me fais vite des à prioris). Il faut que je concilie ce côté "caméléon" avec le besoin que l'on a tous de s'affirmer
Mais plus facile à dire qu'à faire Razz

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:26

C'est l'attitude que je devrais adopter, cependant ce trait de caractère est tellement profondément présent en moi, et depuis si longtemps qu'il va me falloir plus violent qu'un défibrillateur pour me faire réagir

Oui, je voyais ça arriver, gros comme un camion.

La vérité, c'est que la plupart des gens ne supportent pas la solitude, ils n'ont pas les ressources pour le faire. Faut-il forcer cela?
Je pense que, si du jour au lendemain, tu envoies tout promener, tu vas t'isoler.
Ce sera peut être passager, mais ça peut aussi être difficile.
Tu risquerais de compenser ça en idéalisant les zèbres - et en te fermant sur cette "communauté".

Pourquoi ne pas agir en douceur?
Découvrir de nouvelles personnes, te forger des convictions sur des domaines importants, affirmer un peu ton opinion lorsque tu sens que c'est possible?
Te donner les ressources nécessaires pour apprivoiser doucement la solitude, et apprendre à l'aimer. Pas pour y demeurer, mais pour ne pas en avoir peur - et donc pour ne pas avoir peur d'être toi même, même si ça déplait. Wink

Bon, après c'est à toi de décider de tout ça, et je parle trop ^^
Je vais laisser les autres parler maintenant :p

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:39

chercheurdemploi a écrit:Je vais laisser les autres parler maintenant :p

Ben oui, mais nous on a pas grand chose à dire d'intelligent. C'est pas comme si on savait le secret pour réussir sa vie, je veux dire.

par loulou38 Sam 15 Nov 2014 - 16:43

marya a écrit:
Il est vrai que je sentais que "ce qui se passait" dans ma tête ne ressemblait pas à ce que les autres pensaient, exprimaient : je crois que c'est le fameux sentiment de "décalage" ressenti par beaucoup de zèbres, même si je l'ai moins ressenti que beaucoup d'entre vous je pense, car j'ai toujours gardé un peu de sociabilité : je pouvais sociabiliser avec la plupart des camarades, s'ils n'étaient pas "méchants". Comme aujourd'hui d'ailleurs, mais pour se faire, il faut que je laisse de côté ce que je pense et ce que je ressens pour être en accord avec l'autre; je devais faire semblant de penser comme l'autre. A partir de mon déménagement, il n'y a que de cette façon que j'ai conçu le contact avec les autres. Je suis une sorte de "caméléon", sans personnalité, authenticité apparente.
Mon émotivité m'a joué des tours durant cette période. Il m'est déjà arriver de pleurer plusieurs fois devant toute ma classe à cause de paroles ou de comportements qui m'ont blessée, et que certains considéraient comme des plaisanteries ; résultat, une image d'une sainte nitouche très susceptible, et fragile..
Bref, maintenant je suis au lycée, je suis bien contente d'avoir quitté ce collège et je côtoie maintenant des personnes beaucoup plus ouvertes et tolérantes. Cependant je ne suis pas si bien intégrée que cela. Comme dit plus haut, je n'ose pas parler de mes intérêts, de mes ressentis aux autres parce que je suis timide d'une part, et surtout car je sens que je ne m'intéresse pas aux mêmes choses qu'eux. De plus, je n'ai pas beaucoup de conversation :/ . Du coup je me replie sur moi-même..

Je ne vous ai pas fait part de mes "difficultés" (je ne peux parler aller jusque parler de souffrances) car à priori, je ne vois pas de lien avec ma douance. Et vous, vous en pensez quoi?

Ce que tu décris ressemble quand même bien à des " symptomes " de surdoué ... Wink

Si ce n'est pas indiscret, quelles étaient ( ou sont toujours ) tes intérêts et ressentis que tu penses différents de ceux des autres ?

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 16:51

stauk a écrit:
chercheurdemploi a écrit:Je vais laisser les autres parler maintenant :p
Ben oui, mais nous on a pas grand chose à dire d'intelligent. C'est pas comme si on savait le secret pour réussir sa vie, je veux dire.

Je ne le prétends pas non plus. J'expose juste quelques idées.
M'enfin, pourquoi ne pas crever en silence dans le caniveau, tu m'diras... parce que c'est con, en fait.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 17:41

Chercheurdemploi,

C'est vrai que j'ai la solitude en "horreur" (enfin j'exagère un peu). Surtout quand d'autres groupes personnes discutent autour de moi, je me sens vraiment bête dans ce cas.
Tu as raison, agir radicalement serait trop dur pour moi..
Toutefois même en pensant à m'émanciper petit à petit des autres (ou plutôt de leur regard), je sens que ça serait difficile..
Enfin c'est ça ou je deviens complètement transparente; déjà qu'on ne me voit pas tellement...

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 17:43

Roh ^^
Tu as peut être l'impression qu'on ne te voit pas parce que tu n'oses pas t'exprimer vraiment.
Genre, si tu dis que tu aimes les pommes, alors qu'en fait non...
si quelqu'un te dit "trop génial, moi aussi j'adooooore les pommes"
...ben forcément, on ne te "voit" pas ^^

Mais je ne doute pas que certains doivent t'apprécier sincèrement - pour ce que tu veux montrer ou non ^^
Bon, j'arrête de jacqueter un peu cette fois

edit: bon, j'ajoute que ce n'est pas trop dur pour toi spécialement. C'est juste que tu sembles être sociable, et que, comme beaucoup, tu as peur de la solitude - et je ne pense pas qu'il soit nécessaire de se faire violence, surtout à ton âge, car tu as le temps. Et, ce que certains appellent "faux self" à des vertus protectrices. Faut juste pas que tu t'oublies totalement Wink

Cela dit, me semble que tu es tout à fait équilibrée, hein! Je ne m'inquiète pas trop pour toi. Tu m'as l'air d'être une jeune fille intelligente.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 19:23

wikipedia a écrit:Le faux self protège le vrai self qui reste virtuel. C'est « ...l'exemple le plus clair d'une maladie clinique organisée dans un but positif : la préservation de l'individu en dépit des conditions anormales de l'environnement. »

Tu parles de ça?

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 19:45

Arf, oui en quelque sorte.
Sauf que je n'ai jamais approfondi ces théories, et j'ai du mal avec tout ce qui est psy.
De la manière dont je le comprends, il n'y a pas un vrai soi et un "faux soi" dont il faudrait se débarrasser. Disons qu'il y a ce qu'on pense, plus ou moins qui on est, et la manière dont on l'exprime en société (qui n'est pas moins "vraie").
Ce n'est pas parce que tu penses quelque chose, qu'il faut nécessairement l'exprimer n'importe quand, n'importe comment, et pour moi c'est ça ce que certains appellent le "faux self" - c'est à dire la manière dont tu t'adaptes aux autres.
Mais ça s'écarte sans doute des théories de winnicott, que je connais peu/pas - même s'il semble dire que le faux self n'est pas un ennemi à abattre (cf wikipédia)

Spoiler:

Plus je dis que je veux me taire, et moins j'y arrive Mad

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 19:47

Ben ce serait dommage, en plus Smile

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 19:51

Oregon XD
Malin, je ne vais plus savoir où me mettre maintenant.
Je silent

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 19:58

Pourquoi ? Je trouve très sensé ce que tu écris sur le "vrai" et le "faux" soi. On est toujours soi-même mais on exprime des choses différentes selon les contextes, les personnes, ce qu'on pense pouvoir être entendu, ce qu'on attend de l'autre, selon ce qu'on pense devoir paraître pour être accepté ou pour avoir la paix, selon quel moment on en est de sa vie...

Je crois qu'il y a bien une question de préservation qui est importante dans les interactions, aussi. Et la question du regard, la peur ou la douleur de se trouver "transparent", de ne pas être vu(e) et encore moins regardé(e). Je connais bien.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:02

L'inverse est vrai aussi, on peut avoir du mal à se taire un peu, et être trop "visible".
Alors que, par moment, ça ne sert à rien de s'exprimer sur tel ou tel point, et c'est bien de réussir à la mettre en veilleuse (en ce moment j'essaie de développer mon faux self Dent pétée

)

Faut trouver l'équilibre en fait XD

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:06

Ah, oui, trop "visible" (mais c'est encore un regard extérieur, dont le comble est qu'on l'a intériorisé), parce qu'à la base il ne faudrait pas qu'on nous voie ? On pourrait aussi ne pas se formaliser d'être visible ou invisible, exprimer ce qu'on veut sans avoir l'impression que c'est trop ou irrecevable.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:08

Ce qu'on appelle faux self c'est tout simplement le fait de se juger ( qu'on parle ou qu'on se taise) et d'espérer que sa vie soit autrement ( ce qui revient en fait an la même chose... Enfin ça mérite explication mais crotte).

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:11

@oregon
Non, simplement par savoir vivre, et pour faciliter les interactions sociales.
Parfois il est bon de s'exprimer, et parfois c'est inutile et dommageable.
Ça peut être dommage de provoquer un conflit, sans le vouloir, pour des broutilles, lorsque le plus important n'est pas là.

Savoir mettre de l'eau dans son vin, lorsque c'est utile, ça me semble être une qualité.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:13

@Kramithe : oui, crotte Laughing

Je crois qu'on comprend bien, donc c'est encore le regard, le surmoi, le jugement interne. Pis c'est long à s'en défaire suffisamment pour ne pas être plombé en permanence par ça (il en faut quand même un peu, d'ailleurs, équilibre, équilibre).

@chercheurdemploi : je suis d'accord dans cette définition-là. Mais c'est déjà qu'on n'a plus trop besoin d'être vu par peur de ne pas l'être, et qu'on privilégie l'interaction et ce qu'on pense pouvoir apporter ou non.

par Invité Sam 15 Nov 2014 - 20:25

J'imagine. Et savoir que ce n'est pas parce qu'une personne nous connait mal, ou est très différente, qu'une relation ne peut pas être intéressante malgré tout.

Bon, en gros certains doivent faire des efforts pour développer des relations plus authentiques, et d'autres pour donner une légitimité à celles qui semblent plus superficielles mais qui ont aussi leur importance.

par JCVD Dim 22 Mar 2015 - 20:50

Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:" J'ai un QI supérieur à 130 mais j'ai du mal à me reconnaitre comme surdouée "

Rassure toi, pour beaucoup c'est l'inverse.

+1

par Belena Jeu 20 Avr 2017 - 22:04

Une question tu es femme ou homme? Pour moi c'est important, merci.

par Belena Sam 6 Oct 2018 - 22:55

Tout d'abord tu peut être HQI, ou avoir un QI élévé sans être surdoué ou HP…
Il faut connaître ça, et les psychologues savent faire la différence entre une personne qui a un gros QI, et de bons scores dans le test mais qui n'est pas surdoué.
C'est pour ça que tu ne te reconnaît pas dans les définitiions d'un HPI, ou les caractéristiques.