Melancholia de Lars von Trier
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Melancholia de Lars von Trier
bonjour,
je ne connaissais pas et hier soir, j'ai pris une claque.
Ce film a raisonné comme un écho en moi.
Bien-sûr, il y a le personnage de Justine qui est malade de la mélancolie, au sens psychiatrique du terme ; loin d'être cliniquement aussi atteinte qu'elle, je n'ai pu m'empêcher de ressentir son mal-être, cette impression de ne pas être à ma place, d'essayer d'avoir une vie "normale" mais d'échouer et de ne pas connaître les causes de ces échecs souvent répétés. Et de ressentir aussi ces manifestations, ces "appels" de l'univers et de la nature dans mes veines, se sentir plus proche des animaux, des végétaux, que des humains...
La relation aux astres et au magnétisme qu'ils engendrent est captivante aussi.
Mais ce qui m'a surtout bouleversée, au fil de l'histoire et davantage, je crois dans la seconde partie du film, c'est la beauté de l'image, de l'iconographie. Les couleurs rayonnantes, les évocations subtiles de grands chef d'oeuvres picturaux, la qualité photographique des personnages insérés dans des éléments presque surnaturels sur une musique vibrante...
Mon hyperesthésie et mon hypersensibilité ont permis à ce film bouleversant de m'offrir une jouissance sensorielle d'une extrême rareté. Un moment extatique indicible.
je ne connaissais pas et hier soir, j'ai pris une claque.
Ce film a raisonné comme un écho en moi.
Bien-sûr, il y a le personnage de Justine qui est malade de la mélancolie, au sens psychiatrique du terme ; loin d'être cliniquement aussi atteinte qu'elle, je n'ai pu m'empêcher de ressentir son mal-être, cette impression de ne pas être à ma place, d'essayer d'avoir une vie "normale" mais d'échouer et de ne pas connaître les causes de ces échecs souvent répétés. Et de ressentir aussi ces manifestations, ces "appels" de l'univers et de la nature dans mes veines, se sentir plus proche des animaux, des végétaux, que des humains...
La relation aux astres et au magnétisme qu'ils engendrent est captivante aussi.
Mais ce qui m'a surtout bouleversée, au fil de l'histoire et davantage, je crois dans la seconde partie du film, c'est la beauté de l'image, de l'iconographie. Les couleurs rayonnantes, les évocations subtiles de grands chef d'oeuvres picturaux, la qualité photographique des personnages insérés dans des éléments presque surnaturels sur une musique vibrante...
Mon hyperesthésie et mon hypersensibilité ont permis à ce film bouleversant de m'offrir une jouissance sensorielle d'une extrême rareté. Un moment extatique indicible.
CandyNeige- Messages : 201
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