Au-delà de la douance...
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Au-delà de la douance...
Ceci est déjà connu de tous...et tout ce qui est nécessaire a déjà été écrit...voici simplement un message de bienvenue et d'encouragement...
Nous sommes des esprits ouverts...sur ce qu'il y a au-delà de ce monde matériel et rationnel...ce monde décrit par la science et perçu par les sens de notre corps...ouverture d'esprit permettant de découvrir ce qu'il y a au-delà de ces descriptions et perceptions limitées...ce qu'il y a au-delà de la coquille et du cocon...Bienvenue à vous explorateurs de la vie...
Nous sommes des esprits libres de toutes étiquettes, doctrines, idéologies, sciences, religions...tous ces cadres sont comme des prises sur un mur d'escalade qui permettent de monter seulement si l'on sait prendre le risque de les lâcher pour évoluer jusqu'au sommet libre de prises...chacun son chemin...chacun sa succession de prises pour grimper...chacun son rythme...libres de toute emprise que sont la peur, le doute et l'erreur...Bienvenue à vous esprits courageux...
Nous sommes des esprits du bien...et nous sommes là pour montrer l'exemple...et non pour convaincre ou juger...pour être modèle et représenter l'espoir de ce qu'il y a au-delà de la souffrance...car nous la voyons mieux et en connaissons son utilité...c'est grâce à elle que nous en sommes où nous en sommes...ici et maintenant...car tout est utile...bienvenue à vous esprits patients...
Nous sommes des esprits de paix...nous aspirons au calme et au repos...en nous et autour de nous...car nous avons fait l'expérience nécessaire de la lutte et des tensions...utile expérience pour en découvrir les impasses...et prendre le bon chemin...Bienvenue à vous esprits éclaireurs...
Nous sommes des esprits d'amour...et nous apprenons à nous aimer pour aimer les autres...nous apprenons à prendre soin de nous pour prendre soin des autres...faire le ciment pour évoluer ensemble...Bienvenue à vous esprits de fraternité...
Nous sommes des esprits qui marchons à l'endroit...car ce monde marche à l'envers...à nous de le redresser dans le bon sens...avec la douceur de notre cœur d'enfant...bienvenue à ceux et celles qui découvrent que plein d'autres marchent dans le même sens qu'eux-mêmes...
Nous sommes des esprits ouverts...sur ce qu'il y a au-delà de ce monde matériel et rationnel...ce monde décrit par la science et perçu par les sens de notre corps...ouverture d'esprit permettant de découvrir ce qu'il y a au-delà de ces descriptions et perceptions limitées...ce qu'il y a au-delà de la coquille et du cocon...Bienvenue à vous explorateurs de la vie...
Nous sommes des esprits libres de toutes étiquettes, doctrines, idéologies, sciences, religions...tous ces cadres sont comme des prises sur un mur d'escalade qui permettent de monter seulement si l'on sait prendre le risque de les lâcher pour évoluer jusqu'au sommet libre de prises...chacun son chemin...chacun sa succession de prises pour grimper...chacun son rythme...libres de toute emprise que sont la peur, le doute et l'erreur...Bienvenue à vous esprits courageux...
Nous sommes des esprits du bien...et nous sommes là pour montrer l'exemple...et non pour convaincre ou juger...pour être modèle et représenter l'espoir de ce qu'il y a au-delà de la souffrance...car nous la voyons mieux et en connaissons son utilité...c'est grâce à elle que nous en sommes où nous en sommes...ici et maintenant...car tout est utile...bienvenue à vous esprits patients...
Nous sommes des esprits de paix...nous aspirons au calme et au repos...en nous et autour de nous...car nous avons fait l'expérience nécessaire de la lutte et des tensions...utile expérience pour en découvrir les impasses...et prendre le bon chemin...Bienvenue à vous esprits éclaireurs...
Nous sommes des esprits d'amour...et nous apprenons à nous aimer pour aimer les autres...nous apprenons à prendre soin de nous pour prendre soin des autres...faire le ciment pour évoluer ensemble...Bienvenue à vous esprits de fraternité...
Nous sommes des esprits qui marchons à l'endroit...car ce monde marche à l'envers...à nous de le redresser dans le bon sens...avec la douceur de notre cœur d'enfant...bienvenue à ceux et celles qui découvrent que plein d'autres marchent dans le même sens qu'eux-mêmes...
Invité- Invité
Au-delà de la souffrance...
Nous sommes couverts de plaies...qu'il faut voir pour pouvoir les soigner...celui qui met le doigt dessus ne doit pas être haï mais béni...car il dirige notre regard...
Avant, les autres me faisaient mal en me serrant la main...je ne comprenais pas pourquoi ils étaient si méchants...jusqu'au jour où j'ai regardé ma main...et y ai vu une plaie...que j'ai pu soigner...et les autres sont devenus gentils...
Le toxicomane souffre de son état de manque...et peut ainsi voir que la drogue n'est pas bonne pour lui...et trouver le courage de s'en libérer...ainsi en va-t-il pour tout attachement, tout désir, toute passion...
Garder les roulettes du vélo, empêche la souffrance d'une chute...mais empêche aussi l'évolution de l'enfant...
Fuir la souffrance est ne pas avoir confiance en celui qui veut notre bien...si le petit enfant sur son vélo, quand son père lâche la selle, refuse d'affronter la peur de tomber et la douleur de la chute, il pose le pied par terre et ne saura jamais faire du vélo...Il doit avoir confiance en son père qui sait lui que la peur et la douleur ne le tueront pas, mais qu'au contraire les surmonter le bonifiera...
Une souffrance ne s'affronte pas...elle s'accepte pour pouvoir la comprendre...
La souffrance ne doit pas être un mal subi...mais une expérience enrichissante, même si désagréable...
Chaque nouvelle souffrance est une possibilité de découvrir que c'en est pas une...
Celui qui ne connaît pas sa souffrance ne peut rien pour celle des autres...
Avant, les autres me faisaient mal en me serrant la main...je ne comprenais pas pourquoi ils étaient si méchants...jusqu'au jour où j'ai regardé ma main...et y ai vu une plaie...que j'ai pu soigner...et les autres sont devenus gentils...
Le toxicomane souffre de son état de manque...et peut ainsi voir que la drogue n'est pas bonne pour lui...et trouver le courage de s'en libérer...ainsi en va-t-il pour tout attachement, tout désir, toute passion...
Garder les roulettes du vélo, empêche la souffrance d'une chute...mais empêche aussi l'évolution de l'enfant...
Fuir la souffrance est ne pas avoir confiance en celui qui veut notre bien...si le petit enfant sur son vélo, quand son père lâche la selle, refuse d'affronter la peur de tomber et la douleur de la chute, il pose le pied par terre et ne saura jamais faire du vélo...Il doit avoir confiance en son père qui sait lui que la peur et la douleur ne le tueront pas, mais qu'au contraire les surmonter le bonifiera...
Une souffrance ne s'affronte pas...elle s'accepte pour pouvoir la comprendre...
La souffrance ne doit pas être un mal subi...mais une expérience enrichissante, même si désagréable...
Chaque nouvelle souffrance est une possibilité de découvrir que c'en est pas une...
Celui qui ne connaît pas sa souffrance ne peut rien pour celle des autres...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Bonjour
Merci pour cette belle lecture sur la vie
Meilleurs voeux
Merci pour cette belle lecture sur la vie
Meilleurs voeux
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Au-delà de la douance...
Bienvenue Kozuhito !
C'est un vrai plaisir que de lire tes petites phrases toutes simples et pleines de bonnes choses si essentielles et si subtiles que je ne saurais exprimer avec les mots. Il y a juste le cœur qui parle à l'intérieur.
Depuis que je suis revenue par ici, je n'ai presque fait qu’accueillir les blessés de la vie, et voilà qu'aujourd'hui une personne épanouie et optimiste se présente à la porte du refuge.
C'est d'autant plus touchant pour moi, car je me sors tout juste de longues années d'ignorances, de batailles, de refus, de tunnelage, d'attente, de retour, de guérison, de convalescence et bientôt de redécouverte de soi. Trop de choses en peu de temps pour mon âge.
Tu me fais ressentir cette renaissance, cette subtilité du présent, des présents.
Bien sûr, c'est jamais du jour au lendemain, parfois, c'est encore fragile (oui, c'est vraiment fragile, surtout à la sortie --''), mais une fois que cette puissante certitude est ancrée au fond de soi, plus rien ne parvient à ôter cet élan.
J'ai quelques difficultés en ce moment quant à la fragilité, enfin, tu m'as l'air d'avoir de l'avance, c'est avec plaisir que j'écoute tes éventuels conseils.
En bref, ça me fait plaisir qu'un optimiste s'ajoute ici, peut-être qu'un jour nous réussirons tous à se rendre compte que nous marchons à l'endroit et le monde fera mieux que marcher, faut juste refiler aux autres le virus .
Amicalement, au plaisir de te lire!
sha
PS: n'hésite pas à poster tes belles métaphores parmi le forum, ça se répandra plus vite. Tu as raison, il y a déjà tout ce que l'on doit savoir ici, maintenant, mettons-le à profil.
C'est un vrai plaisir que de lire tes petites phrases toutes simples et pleines de bonnes choses si essentielles et si subtiles que je ne saurais exprimer avec les mots. Il y a juste le cœur qui parle à l'intérieur.
Depuis que je suis revenue par ici, je n'ai presque fait qu’accueillir les blessés de la vie, et voilà qu'aujourd'hui une personne épanouie et optimiste se présente à la porte du refuge.
C'est d'autant plus touchant pour moi, car je me sors tout juste de longues années d'ignorances, de batailles, de refus, de tunnelage, d'attente, de retour, de guérison, de convalescence et bientôt de redécouverte de soi. Trop de choses en peu de temps pour mon âge.
Tu me fais ressentir cette renaissance, cette subtilité du présent, des présents.
Bien sûr, c'est jamais du jour au lendemain, parfois, c'est encore fragile (oui, c'est vraiment fragile, surtout à la sortie --''), mais une fois que cette puissante certitude est ancrée au fond de soi, plus rien ne parvient à ôter cet élan.
J'ai quelques difficultés en ce moment quant à la fragilité, enfin, tu m'as l'air d'avoir de l'avance, c'est avec plaisir que j'écoute tes éventuels conseils.
En bref, ça me fait plaisir qu'un optimiste s'ajoute ici, peut-être qu'un jour nous réussirons tous à se rendre compte que nous marchons à l'endroit et le monde fera mieux que marcher, faut juste refiler aux autres le virus .
Amicalement, au plaisir de te lire!
sha
PS: n'hésite pas à poster tes belles métaphores parmi le forum, ça se répandra plus vite. Tu as raison, il y a déjà tout ce que l'on doit savoir ici, maintenant, mettons-le à profil.
Re: Au-delà de la douance...
c'est beau, c'est juste, c'est bien.
simbad- Messages : 44
Date d'inscription : 10/10/2014
Age : 45
Localisation : Belgique
Re: Au-delà de la douance...
Ahah, voilà qui est plaisant à lire. Je partage tes convictions, j'ai toujours su que je n'étais pas obligé de lutter seul pour tout cela, à présent, je sais où chercher mes frères d'armes, même si comme tu dis, il ne s'agit parfois pas de se battre mais d'accepter.
Si nos blessures sont nombreuses, elles n'ont fait que décupler nos forces et notre volonté, j'ai mis un moment à comprendre la justesse de ce que tu résumes, il m'aura fallu en rencontrer des obstacles.
je serais ravi d'échanger sur tout ces sujets avec toi en tout cas.
Si nos blessures sont nombreuses, elles n'ont fait que décupler nos forces et notre volonté, j'ai mis un moment à comprendre la justesse de ce que tu résumes, il m'aura fallu en rencontrer des obstacles.
je serais ravi d'échanger sur tout ces sujets avec toi en tout cas.
Alceste- Messages : 34
Date d'inscription : 04/01/2015
Age : 38
Localisation : Ile de France
Au-delà de la peur et du doute...
...J'ai eu beau chercher dans cette vidéo d'envol d'oisillons, je n'ai pas vu d'enseignants, ni de livres, ni de diplômes, ni d'attirail, ni de programme, ni d'examen de passage, ni d'entrainement, ni obligations, ni limitations, pas même un conseil, ni rien ni personne autour de ces oisillons......au plus le modèle de son frère qui s'élance avant lui...
On n'a jamais vu un papa oiseau enseigner le vol à son oisillon...il va simplement le nourrir jusqu'à son envol...
L'oisillon s'est juste dit "Je ne suis pas obligé d'avoir peur, je ne suis pas obligé de douter"...et il s'est libéré de l'emprise de ces chaînes qui ne sont qu'illusions...de même que l'artiste qui se libère de l'emprise du trac et rentre en scène...
L'oiseau qui n'a pas vu ses ailes se sent vulnérable...Il les découvre en voyant ses frères voler et surtout...en sautant !
On n'a juste pas l'habitude de ne rien attendre...Formatés à toujours chercher quelque chose...par peur de l'inconnu...peur qui empêche de découvrir l'au delà de ses soi-disant limites...
Simplement se laisser surprendre...se découvrir, c'est à dire enlever ce qui recouvre...se faire confiance...pour avancer en terre inconnue...en soi...profondément...sans peur...et se laisser vivre...pour encourager les autres à se laisser vivre...
Faire le tour des limites de son nid...de son cocon...puis s'exposer au-delà...en pleine confiance...Si lui l'a fait, pourquoi pas moi ?
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Bienvenue cher amis...Alceste, Simbad, Sha, Offset...petit échantillon de cette humanité au grand coeur...:-)
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Sha a écrit: J'ai quelques difficultés en ce moment quant à la fragilité, enfin, tu m'as l'air d'avoir de l'avance, c'est avec plaisir que j'écoute tes éventuels conseils.
Bonjour Ookami-chan :-)
Celui qui se sent fragile s'est comparé aux autres...pourquoi ne te comparerais-tu pas à toi-même ?...car tu ne l'es pas, fragile...moi je te le dis...
Je ne suis pas venu donner des leçons...je suis venu les retirer ;-)
Parce que celui qui est vivant se laisse vivre...qu'il ne peut qu'encourager les autres à se laisser vivre aussi...ne pas chercher à convaincre mais accompagner...
Je n'impose pas une prise qui m'a permis de me hisser alors que l'autre n'est peut-être pas sur le même versant de cette immense montagne...ces prises me sont utiles là où je suis...un temps...à chacun de s'accrocher à celles qu'il découvre devant lui...accessibles et utiles...que peut-être un autre à déjà empruntées...ou pas :-)
C'est ainsi que tout est vrai...pour celui qui parle et qui s'écoute...à l'instant où naissent les mots...issus de sa propre expérience...tout est vrai d'un certain point de vue...à un temps donné...ainsi, le sommet de la même montagne est décrit différemment par celui qui est en haut, sur un versant, dans la vallée, à des kilomètres ou par celui qui est hors de sa vue...tout le monde a raison...d'où il est...
Alors je te conseillerais de suivre tes propres conseils :-)...cette bonne conscience ou cette intuition...peu importe le nom...le bon fond que j'ai vu en toi à la lecture de quelques-uns de tes messages...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Je suis une exploratrice, tantôt courageuse, tantôt patiente et il m'arrive de jouer le rôle d'éclaireuse pour certaines âmes errantes et ce sentiment de solitude bienveillante qui m'accompagne se réjouit de croiser le chemin de ceux qui marchent dans le même sens.
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
Il y a des oisillons qui se ratent aussi. Ce n'est pas toujours majestueux comme dans les films, mais du coup ça fait le bonheur des chats de passage.
C'est ce qui beau d'ailleurs : là où il y a un malheur pour l'un, il y a un bonheur pour l'autre. La nature s'équilibre d'elle-même ; nous devrions prendre exemple et penser collectif car trop souvent on ne voit que notre petit intérêt.
Car qui nous dit que notre malheur ne va pas faire le bonheur d'un autre ?! On ne regarde pas assez autour, centrés sur nous que nous sommes ; or, si on cherche vraiment, on trouvera toujours quelqu'un qui sourit en nous voyant souffrir.
Et alors on saura que notre malheur a un sens, qu'il fait partie de l'équilibre de la nature, et nous rendrons grâce d'être un rouage de cette sagesse et devenu vecteur de plaisir pour autrui.
C'est ce qui beau d'ailleurs : là où il y a un malheur pour l'un, il y a un bonheur pour l'autre. La nature s'équilibre d'elle-même ; nous devrions prendre exemple et penser collectif car trop souvent on ne voit que notre petit intérêt.
Car qui nous dit que notre malheur ne va pas faire le bonheur d'un autre ?! On ne regarde pas assez autour, centrés sur nous que nous sommes ; or, si on cherche vraiment, on trouvera toujours quelqu'un qui sourit en nous voyant souffrir.
Et alors on saura que notre malheur a un sens, qu'il fait partie de l'équilibre de la nature, et nous rendrons grâce d'être un rouage de cette sagesse et devenu vecteur de plaisir pour autrui.
ZeBrebis- Messages : 1257
Date d'inscription : 01/09/2013
Re: Au-delà de la douance...
Alors c'est que je ne suis pas sage.
Si je vois quelqu'un qui sourit en me voyant souffrir, y va s'prendre un bourre pif
Si je vois quelqu'un qui sourit en me voyant souffrir, y va s'prendre un bourre pif
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
C'est un apprentissage difficile de ne pas centrer ses affects sur soi, mais ce ne serait au final que mettre la situation de base en miroir. On remarquera donc que l'équilibre sera conservé car on sera satisfait de voir l'autre ramasser ses dents.
Je trouve tout ça très rassurant, de voir cette stabilité à travers les remous des affects. Le tout est d'apprendre à s'y adosser...
Je trouve tout ça très rassurant, de voir cette stabilité à travers les remous des affects. Le tout est d'apprendre à s'y adosser...
ZeBrebis- Messages : 1257
Date d'inscription : 01/09/2013
Re: Au-delà de la douance...
Ceci constitue un avertissement :
Luc 17 : Il est inévitable qu'il y ait pour les hommes des occasions de pécher, mais malheur à celui qui provoque la chute de quelqu'un.
Mieux vaudrait pour lui être précipité dans le lac avec une pierre de meule attachée au cou que de provoquer la chute de l'un de ces plus petits.
Prenez donc bien garde à vous-mêmes !
Car je ne me réjouis jamais du malheur des autres ni ne provoque leur chute.
Tout être connaissant son origine divine agira de la sorte.
Quant aux autres, je me charge de leur faire retrouver la mémoire, d'une manière ou d'une autre.
Luc 17 : Il est inévitable qu'il y ait pour les hommes des occasions de pécher, mais malheur à celui qui provoque la chute de quelqu'un.
Mieux vaudrait pour lui être précipité dans le lac avec une pierre de meule attachée au cou que de provoquer la chute de l'un de ces plus petits.
Prenez donc bien garde à vous-mêmes !
Car je ne me réjouis jamais du malheur des autres ni ne provoque leur chute.
Tout être connaissant son origine divine agira de la sorte.
Quant aux autres, je me charge de leur faire retrouver la mémoire, d'une manière ou d'une autre.
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Un mal pour un bien
Le mal n'a plus lieu d'être quand il est connu...mais il doit être pour être connu...le mal se détruit ainsi lui-même...
Personne ne fait le mal en connaissance de cause...
Le terroriste qui se fait exploser sur la place du marché croit faire le bien...car on lui a dit que c'était bien...et qu'il s'en est convaincu...
Celui qui part à la guerre est persuadé d'aller faire le bien...bon patriote pour éliminer l'ennemi...Jusqu'au jour où il trouve sur celui qu'il a tué la photo de ses enfants...la prise de conscience est rude mais elle est nécessaire...cette expérience peut le guérir...et en guérir d'autres...à l'heure de la diffusion d'expériences de notre ère de communication...
Partageons nos expériences (agréables ou désagréables mais toujours enrichissantes) pour évoluer ensemble...
Personne ne fait le mal en connaissance de cause...
Le terroriste qui se fait exploser sur la place du marché croit faire le bien...car on lui a dit que c'était bien...et qu'il s'en est convaincu...
Celui qui part à la guerre est persuadé d'aller faire le bien...bon patriote pour éliminer l'ennemi...Jusqu'au jour où il trouve sur celui qu'il a tué la photo de ses enfants...la prise de conscience est rude mais elle est nécessaire...cette expérience peut le guérir...et en guérir d'autres...à l'heure de la diffusion d'expériences de notre ère de communication...
Partageons nos expériences (agréables ou désagréables mais toujours enrichissantes) pour évoluer ensemble...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Bienvenue Zarb l'éclaireuse...bienvenue Zebrebis aux yeux miroirs...:-)
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
On ne fait le bien que lorsqu'on lui accorde une valeur. Et celle-ci dépend fortement du contexte.
On n'est pas aussi soucieux de ne pas voler un petit commerçant qu'une grande surface, et encore moins dans un cadre de pillage. Pourtant qui pourrait croire sincèrement qu'il fait le bien quand il vole ? Non, il relativise le mal qu'il fait, et le trouve acceptable.
Sinon je déconnais pour l'équilibre de la nature tout ça
On n'est pas aussi soucieux de ne pas voler un petit commerçant qu'une grande surface, et encore moins dans un cadre de pillage. Pourtant qui pourrait croire sincèrement qu'il fait le bien quand il vole ? Non, il relativise le mal qu'il fait, et le trouve acceptable.
Sinon je déconnais pour l'équilibre de la nature tout ça
ZeBrebis- Messages : 1257
Date d'inscription : 01/09/2013
Re: Au-delà de la douance...
Chacun sait ce qu'est le bien et le mal mais certains choisissent de ne pas le savoir, ils s'érigent en "ignorants".
C'est trop facile!
Chacun, interrogeant son cœur honnêtement, découvrira qu'il n'est pas ignorant.
Ainsi soit-il.
C'est trop facile!
Chacun, interrogeant son cœur honnêtement, découvrira qu'il n'est pas ignorant.
Ainsi soit-il.
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
kozuhito a écrit:Bienvenue Zarb l'éclaireuse...bienvenue Zebrebis aux yeux miroirs...:-)
Merci de m'accueillir avec un si joli sourire et une sagesse qui me fait souvent envie.
Elle est là, en moi, je peux même la sentir par moments. Elle m'appelle.....viens ma Zarb, sois sage...
Elle est si douce.
Jamais elle ne me punit. Elle se rappelle à moi, encore et encore, jusqu'à ce que ses mots soient gravés profondément.
Je l'aime....j'aurais dû m'appeler Sophia
Moi, je l'appelle "mon ange", mon "Pote en Ciel".
D'aussi loin que je me souvienne, il était là, à mes côtés. Et puis un jour, Dieu seul sait pourquoi, il s'est manifesté d'une manière incroyable.
Ca change la vie! Je l'entends mieux...de mieux en mieux....la sagesse me gagne.....I'm loving angels instead...
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
ZeBrebis a écrit:On ne fait le bien que lorsqu'on lui accorde une valeur. Et celle-ci dépend fortement du contexte.
On n'est pas aussi soucieux de ne pas voler un petit commerçant qu'une grande surface, et encore moins dans un cadre de pillage. Pourtant qui pourrait croire sincèrement qu'il fait le bien quand il vole ? Non, il relativise le mal qu'il fait, et le trouve acceptable.
Sinon je déconnais pour l'équilibre de la nature tout ça
Moi aussi je déconnais....J'en donne jamais des bourre pifs ...enfin, pas "en vrai"
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
kozuhito a écrit:
...J'ai eu beau chercher dans cette vidéo d'envol d'oisillons, je n'ai pas vu d'enseignants, ni de livres, ni de diplômes, ni d'attirail, ni de programme, ni d'examen de passage, ni d'entrainement, ni obligations, ni limitations, pas même un conseil, ni rien ni personne autour de ces oisillons......au plus le modèle de son frère qui s'élance avant lui...
On n'a jamais vu un papa oiseau enseigner le vol à son oisillon...il va simplement le nourrir jusqu'à son envol...
L'oisillon s'est juste dit "Je ne suis pas obligé d'avoir peur, je ne suis pas obligé de douter"...et il s'est libéré de l'emprise de ces chaînes qui ne sont qu'illusions...de même que l'artiste qui se libère de l'emprise du trac et rentre en scène...
L'oiseau qui n'a pas vu ses ailes se sent vulnérable...Il les découvre en voyant ses frères voler et surtout...en sautant !
On n'a juste pas l'habitude de ne rien attendre...Formatés à toujours chercher quelque chose...par peur de l'inconnu...peur qui empêche de découvrir l'au delà de ses soi-disant limites...
Simplement se laisser surprendre...se découvrir, c'est à dire enlever ce qui recouvre...se faire confiance...pour avancer en terre inconnue...en soi...profondément...sans peur...et se laisser vivre...pour encourager les autres à se laisser vivre...
Faire le tour des limites de son nid...de son cocon...puis s'exposer au-delà...en pleine confiance...Si lui l'a fait, pourquoi pas moi ?
Bienvenu dans la savane!
Foi de Cuicui, pour avancer au milieu des tigres qui règnent dans cette savane, dont certains ont même l'aplomb de s'accrocher une paire d'ailes, faut savoir rester léger!
Elle est mignonne ta petite mésange et pour y faire écho, j'ai envie de t'offrir la lecture de Sépulvéda
"l'histoire de la mouette et du chat qui lui apprit à voler" ou encore le film d'animation "Rio" ainsi qu'une de mes petites images fétiches pour ce forum:
Invité- Invité
Au-delà de la maladie..
"Une étoile qui danse sur le chaos -1
Ma sœur Ève fut atteinte précocement - elle avait juste 42 ans - par la maladie de Parkinson. Elle réagit avec un grand courage et de la façon la plus constructive possible, comme elle le décrit dans son émouvant récit, poème et enseignement, Une étoile qui danse sur le chaos . Les jeunes parkinsoniens ne bénéficient pas en France de l’aide sociale accordée à d’autres travailleurs handicapés (travail à mi-temps, etc.), car c’est une maladie qui est censée affecter les personnes âgées, lesquelles, habituellement, ont déjà quitté le milieu du travail. En dépit de sa maladie, Ève continua à se dévouer à plein temps aux enfants issus de milieux défavorisés qu’elle a accompagnés pendant toute sa carrière d’orthophoniste.
Ma sœur Ève et son époux, Yann, me donnent tous les jours une leçon de vie. Une leçon transmise non par des mots mais par l’exemple. Une leçon qui n’est pas donnée à une heure ou à une date fixe mais à chaque instant, avec simplicité, constance et dignité. Ève m’enseigne le courage, Yann la sollicitude. Un courage qui ne consiste pas seulement à faire face avec fortitude à une maladie éprouvante dont elle sait qu’elle ne guérira pas, mais surtout à avoir adopté et maintenu sans fléchir une vision et une attitude exemplaire à l’égard du mal qui l’affecte. Cette vision, elle l’articule en quelques mots : « Je sais que j’ai une maladie et pourtant je ne suis pas cette maladie et je ne le serai pas. » Cette attitude fait une immense différence, car en ne s’identifiant pas à la maladie, Ève a ouvert et préservé un espace de liberté pour vivre, créer et aimer. Cette espace lui permet de choisir comment vivre une maladie qu’elle n’a pas choisi de subir. Une maladie qu’elle a prise en main comme une musicienne qui trouve sur son chemin un instrument abîmé et sait, par la magie de son expertise, en tirer une mélodie émouvante et sublime.
Quelles que puissent être l’adversité extérieure et la douleur du corps, c’est l’esprit qui les traduit en mal-être. C’est lui qui connaît la joie au cœur de la tempête ou la tristesse dans un paradis. Un changement, même minime, dans la manière de percevoir et d’interpréter le monde, transforme considérablement la qualité de chaque instant de notre existence.
Partout où la vie s’épanouit dans l’univers, la souffrance est présente : maladie, vieillesse, mort, séparation d’avec ceux que l’on aime, union forcée avec ceux qui nous oppriment, privation de ce dont on a besoin, confrontation avec ce que l’on redoute...
Mais la souffrance ne possède pas un caractère absolu, et le malheur n’a pas de causes immuables. Nous n’avons qu’un contrôle limité, temporaire et souvent illusoire sur le monde extérieur et sur notre corps, mais notre esprit, lui, est par nature beaucoup plus flexible : s’il est difficile de changer le monde, il est toujours possible de transformer notre façon de le percevoir.
Maladroitement, nous recherchons le bonheur en dehors de nous-même et lorsque nous nous trouvons désemparés face à la souffrance, c’est encore à l’extérieur que nous cherchons de l’aide. Pourquoi tant hésiter à tourner notre regard vers l’intérieur ? C’est pourtant bien au cœur de la nature même de l’esprit que l’on peut s’ouvrir au potentiel de force et de sérénité qui est toujours présent au plus profond de soi."
Ève Ricard, (2015). Une étoile qui danse sur le chaos , Albin Michel. (Du site de Mathieu Ricard)
Ma sœur Ève fut atteinte précocement - elle avait juste 42 ans - par la maladie de Parkinson. Elle réagit avec un grand courage et de la façon la plus constructive possible, comme elle le décrit dans son émouvant récit, poème et enseignement, Une étoile qui danse sur le chaos . Les jeunes parkinsoniens ne bénéficient pas en France de l’aide sociale accordée à d’autres travailleurs handicapés (travail à mi-temps, etc.), car c’est une maladie qui est censée affecter les personnes âgées, lesquelles, habituellement, ont déjà quitté le milieu du travail. En dépit de sa maladie, Ève continua à se dévouer à plein temps aux enfants issus de milieux défavorisés qu’elle a accompagnés pendant toute sa carrière d’orthophoniste.
Ma sœur Ève et son époux, Yann, me donnent tous les jours une leçon de vie. Une leçon transmise non par des mots mais par l’exemple. Une leçon qui n’est pas donnée à une heure ou à une date fixe mais à chaque instant, avec simplicité, constance et dignité. Ève m’enseigne le courage, Yann la sollicitude. Un courage qui ne consiste pas seulement à faire face avec fortitude à une maladie éprouvante dont elle sait qu’elle ne guérira pas, mais surtout à avoir adopté et maintenu sans fléchir une vision et une attitude exemplaire à l’égard du mal qui l’affecte. Cette vision, elle l’articule en quelques mots : « Je sais que j’ai une maladie et pourtant je ne suis pas cette maladie et je ne le serai pas. » Cette attitude fait une immense différence, car en ne s’identifiant pas à la maladie, Ève a ouvert et préservé un espace de liberté pour vivre, créer et aimer. Cette espace lui permet de choisir comment vivre une maladie qu’elle n’a pas choisi de subir. Une maladie qu’elle a prise en main comme une musicienne qui trouve sur son chemin un instrument abîmé et sait, par la magie de son expertise, en tirer une mélodie émouvante et sublime.
Quelles que puissent être l’adversité extérieure et la douleur du corps, c’est l’esprit qui les traduit en mal-être. C’est lui qui connaît la joie au cœur de la tempête ou la tristesse dans un paradis. Un changement, même minime, dans la manière de percevoir et d’interpréter le monde, transforme considérablement la qualité de chaque instant de notre existence.
Partout où la vie s’épanouit dans l’univers, la souffrance est présente : maladie, vieillesse, mort, séparation d’avec ceux que l’on aime, union forcée avec ceux qui nous oppriment, privation de ce dont on a besoin, confrontation avec ce que l’on redoute...
Mais la souffrance ne possède pas un caractère absolu, et le malheur n’a pas de causes immuables. Nous n’avons qu’un contrôle limité, temporaire et souvent illusoire sur le monde extérieur et sur notre corps, mais notre esprit, lui, est par nature beaucoup plus flexible : s’il est difficile de changer le monde, il est toujours possible de transformer notre façon de le percevoir.
Maladroitement, nous recherchons le bonheur en dehors de nous-même et lorsque nous nous trouvons désemparés face à la souffrance, c’est encore à l’extérieur que nous cherchons de l’aide. Pourquoi tant hésiter à tourner notre regard vers l’intérieur ? C’est pourtant bien au cœur de la nature même de l’esprit que l’on peut s’ouvrir au potentiel de force et de sérénité qui est toujours présent au plus profond de soi."
Ève Ricard, (2015). Une étoile qui danse sur le chaos , Albin Michel. (Du site de Mathieu Ricard)
Invité- Invité
Au-delà des apparences...
cuicui a écrit:
Bienvenu dans la savane!
Foi de Cuicui, pour avancer au milieu des tigres qui règnent dans cette savane, dont certains ont même l'aplomb de s'accrocher une paire d'ailes, faut savoir rester léger!
Merci Cuicui :-)
Moi je vois la bonté qui règne sur ce forum...je vois plein de belles âmes bienveillantes...l'avenir de l'humanité...
Le tigre deviendra agneau quand il ne sentira plus en danger parmi les Hommes...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Quand on regarde au fond de soi, sereinement, honnêtement, il y a tellement de beautés.
Elles sont "cachées" mais ne demandent qu'à s'exprimer.
Et toi Kozu...et moi...zarbi.....je les vois et j'ai très envie de les exprimer.
Merci d'avoir ouvert ce fil.
Tu m'as manqué! Ne recommence plus jamais
Elles sont "cachées" mais ne demandent qu'à s'exprimer.
Et toi Kozu...et moi...zarbi.....je les vois et j'ai très envie de les exprimer.
Merci d'avoir ouvert ce fil.
Tu m'as manqué! Ne recommence plus jamais
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
Oups, j'ai oublié de dire "s'te plait"
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
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Au-delà de l'expérience...
Zarbitude a écrit:Oups, j'ai oublié de dire "s'te plait"
Parce qu'il me plaît de te voir t'exprimer telle que tu es...et tels que vous êtes...chers amis...
Parce qu'il me plaît de voir ici les modèles de bienveillance, les modèles de tolérance, les modèles de générosité...
Parce que je ne juge pas des épines de la rose, qu'elle a faites en ce monde hostile pour survivre...mais que j'en admire les pétales et le parfum...
Parce que je vois en la chenille le futur beau papillon...et qu'il me plaît d'encourager la chrysalide...
Invité- Invité
Au delà des apparences...
ZeBrebis a écrit:On ne fait le bien que lorsqu'on lui accorde une valeur
Merci Zebre² de tous les jolis mots que tu as amenés par ici, dont cette phrase est un bel amuse-bouche :-)
La clé de la découverte du bien est la bonne volonté...
Et en miroir : le mal apparent n'est parfois que maladresse...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Heureuse de ton retour... joie de te lire... Belles énergies...
Re-Bienvenue
Re-Bienvenue
EmiM- Messages : 5707
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Age : 42
Localisation : Les pieds sur terre, la tête dans les étoiles
Re: Au-delà de la douance...
Les mots sont contents de ton accueil lucide Émilie...et le porteur de mots en est très heureux...:-)
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Bonjour le Collectif Miroir
(...boh ce smiley n'entre pas vraiment dans le contexte mais j'avais envie de le mettre, il est marrant et tellement con x))
Concernant la fragilité, je me suis mal exprimée x) ou peut-être je t'ai mal compris aussi ^^''
Je ne me sens pas fragile, je suis en train de redécouvrir jour après jours mes forces, et sans doutes celles que je n'ai pas encore eu l'opportunité de me découvrir.
Ce que je considère de fragile, c'est que le fait de se (re)découvrir, n'est qu'à ses débuts. Je dois prendre le temps de bien étendre mes orteils dans mes bottes, au moindre recoin, je trouve quelque chose de nouveau, et comme le petit chat qui commence à sortir du nid, ses pattes ne sont pas encore habituées à la texture du sol, soudain, il hérisse le poil en rencontrant pour la première fois de sa vie un mouchoir en papier... il va se prendre les pattes dedans, perdre l'équilibre, et puis... se rendre compte que c'est un chouette jeu *miettes de mouchoir partout*...
C'est un réel bonheur de se découvrir, sans avoir peu de l'inconnu, c'est plutôt le fait qu'au début, la maitrise des nouvelles choses n'est pas sans faille, alors, on tombe, on se relève, un peu hésitants, et tout d'un coup, le mouchoir nous apparait comme plus concret...
Je me ressens bien dans vos interprétations... le miroir, l'équilibre de la nature, tout ça... des fois je me surprends à penser qu'il y a des maux inévitables... une petite fille qui court sur le gravier, glisse et s'ouvre le genou, c'est un hasard en quelque sorte; elle est innocente, elle n'a pas encore beaucoup d'expérience et découvre chaque jour avec les yeux brillants à quel point les arbres en fleurs sont magnifiques. Je crois que les concepts entre le bien et le mal, le chaud et le froid, la vitesse et l'immobilité, le tout et le rien, les dualités, les unités c'est... !
Bouh c'est pas juste je dois aller dormir et vous m'avez piquée au vif !
Je ne crois pas qu'on doive répondre à ces questions là... en tout cas ça fait longtemps que j'ai arrêté et que si j'en prends une dose, c'est seulement pour le plaisir si palpitant de faire marcher les neurones sissi! ...ou me faire bercer dans mon livre d'enfant.
Ces questions existentielles, c'est magique, parce que c'est un peu comme le principe du "affronte, on te résistera, accepte, tu passeras au delà..." La réponse en image que j'ai dans la tête... C'est juste une fractale.
...Pour me faire bercer dans mon livre... livre d'enfant, livre dans le livre... mon petit univers que j'aime tant, de ses enfants qui ont grandi, de ses batailles, de ses victoires, de ses amours sans conditions comme de ses meurtres ou de ses naissances!
Et puis après tout, on a reçu cette fichue vie... gratuitement, avec de l'amour, parfois beaucoup, parfois peu... Mais qu'importe! profitons en, pour le plus grand plaisir
PS: j'ai lu après coup ton post sur cet enseignement qu'Ève te transmet. Cette histoire me touche beaucoup, je pense que les gens guériraient mieux de leurs maladies s'ils faisaient la même chose. D'ailleurs, ne dit-on pas que les maux du cœur et de l'esprit ne finissent-ils pas par atteindre notre enveloppe si on n'en prend pas garde?
(...boh ce smiley n'entre pas vraiment dans le contexte mais j'avais envie de le mettre, il est marrant et tellement con x))
Concernant la fragilité, je me suis mal exprimée x) ou peut-être je t'ai mal compris aussi ^^''
Je ne me sens pas fragile, je suis en train de redécouvrir jour après jours mes forces, et sans doutes celles que je n'ai pas encore eu l'opportunité de me découvrir.
Ce que je considère de fragile, c'est que le fait de se (re)découvrir, n'est qu'à ses débuts. Je dois prendre le temps de bien étendre mes orteils dans mes bottes, au moindre recoin, je trouve quelque chose de nouveau, et comme le petit chat qui commence à sortir du nid, ses pattes ne sont pas encore habituées à la texture du sol, soudain, il hérisse le poil en rencontrant pour la première fois de sa vie un mouchoir en papier... il va se prendre les pattes dedans, perdre l'équilibre, et puis... se rendre compte que c'est un chouette jeu *miettes de mouchoir partout*...
C'est un réel bonheur de se découvrir, sans avoir peu de l'inconnu, c'est plutôt le fait qu'au début, la maitrise des nouvelles choses n'est pas sans faille, alors, on tombe, on se relève, un peu hésitants, et tout d'un coup, le mouchoir nous apparait comme plus concret...
Je me ressens bien dans vos interprétations... le miroir, l'équilibre de la nature, tout ça... des fois je me surprends à penser qu'il y a des maux inévitables... une petite fille qui court sur le gravier, glisse et s'ouvre le genou, c'est un hasard en quelque sorte; elle est innocente, elle n'a pas encore beaucoup d'expérience et découvre chaque jour avec les yeux brillants à quel point les arbres en fleurs sont magnifiques. Je crois que les concepts entre le bien et le mal, le chaud et le froid, la vitesse et l'immobilité, le tout et le rien, les dualités, les unités c'est... !
Bouh c'est pas juste je dois aller dormir et vous m'avez piquée au vif !
- Pavé César xX on peut juste prouver qu'il a bel et bien quelque chose qui nous dépasse...:
La fractale, source du tout et du rien, c'est justement la représentation de ce qu'on ne peut différencier. En gros, c'est l'énergie, le truc qui nous transcende tous quoi...
-Y aura toujours qqn pour contredire une conviction, qu'elle soit qualifiée de scientifique ou divine etc: c'est ce qui crée l'ignorance.
-On trouvera toujours que quelque chose ne va pas: c'est ce qui créé l'imperfection.
-On pourra toujours trouver des traits de caractère typiquement masculins chez une femme, et inversement: c'est ce qui crée l'attrait.
-On ne sera jamais tous pareils: c'est ce qui créé la richesse.
-On ne sera jamais supérieurs aux autres: c'est ce qui créé la non-complétude.
-On ne sera jamais inférieurs aux autres: c'est ce qui crée l'ego.
-On ne saura jamais tout: c'est ce qui créé le mystère.
-Il y aura toujours des mauvaises périodes: c'est ce qui créé le dépassement de soi.
-Il y aura toujours un gamin qui tombera en courant: c'est ce qui créé l'expérience.
-Il y aura toujours un type pour foutre la merde, qui fera le "mal"
-Il y aura toujours au moins quelqu'un pour mettre les autres d'accord, mener à la paix, qui fera le "bien".
-Il y aura toujours quelque chose qui manque ou quelque chose en trop...
-Peut-on considérer qu'il existe l'imagination à l'état pur?
-...
L'ignorance, l'imperfection, la richesse, l'attrait etc sont les choses les plus essentielles pour que le monde existe.
Pour résumer, je représente ma conviction ainsi:Quand on détruit, il y a de la place pour construire. Quand on construit, il y a quelque chose à détruire.Et dans un sens métaphorique, comme purement physique, c'est comme ça que "le monde" fonctionne (à mon sens, car pour moi, implicitement il y a là dedans quelque chose qui nous dépasse, le transcendement, enfin, qu'importe le nom qu'on lui donne). C'est très complexe à expliquer avec de simples mots, car là aussi, les mots ne seront jamais assez précis pour exprimer un ressenti, dont le très connu amour inconditionnel ... enfin, dans moi, c'est très clair, ça résonne.C'est un genre de mouvement perpétuel qui permet que le renouveau se fasse, se traduisant la plupart du temps aussi vulgairement en "le temps qui passe". Sauf que moins vulgairement, le temps a bien plus de dimensions... on peut citer en exemple simple que l'humanité en est à son adolescence dans l'évolution... on se juge, on n'est pas bien dans sa peau, il y a la concurrence des voisins... De même qu'en Europe, au Moyen âge avec les fortes croyances entre ce qui est bien et ce qui est mal, tels que des enfants apprenant que sourire est bien, mais voler est mal.
On peut dire que ce que nous connaissons est (fait, mais c'est pas le bon mot, car justement c'est à la fois fait et pas fait) de deux choses:
L'énergie/force (enfin, qu'importe) créative/passive nécessaire provient de l'oppression ou du mal-être, mais permet de créer, c'est l'énergie du visible et de l'inerte, la base de toute matière, de ce qui est palpable, qui est de chair ou d'inerte. Elle est implosion, elle est relief. On en perçoit l'impression, elle impressionne, on en a l'impression. On la sait.
Comparable au piment, il y en a peu, mais il est tout ce qui ressort quand on croque dans la grande pomme du monde (paysages, matières, planètes, êtres vivants, ...)
L'énergie destructive/active nécessaire, quant à elle, provient de la liberté ou du bien-être, mais permet de détruire, c'est l'énergie de l'invisible et de l'actif, la base de toute existence, de toute âme, et de toute conscience. Elle est explosion. On en perçoit l'expression, elle exprime, on l'exprime. On la ressent.
Comparable à l'air, il y en a beaucoup, mais il n'est perceptible que par subtilité. C'est l'essence de nos âmes, la portée de nos jugements, l'énergie dégagée par une balle de tennis, l'amour reçu ou donné, la chaleur du soleil, le métabolisme cellulaire...
La petite fille qui s'est ouvert le genou amène une assez grande énergie passive par le fait d'avoir mal, d'avoir peur. Comme le piment, pas besoin de beaucoup pour que la création de nouvelles choses se mette en marche à grands pas. De la même manière que l'énergie dégagée par le choc va déchirer sa peau et elle laissera exprimer dans ses pleurs un certain soulagement inconscient: sa douleur n'est pas due à rien, ce qui va activer ses fonctions naturelles de guérison.
C'est un exemple ambigu, on peut simplement dire que quelque chose de concret émet quelque chose d'abstrait, et que quelque chose d'abstrait agira sur le concret...
Il y a de tout dans tout, sauf la seule chose qu'elle est: un peu comme le principe de l'absorption de la lumière.
Mon t-shirt est rouge car il absorbe toutes les autres longueurs d'ondes, mais rejette, fait rebondir les rouges (les, car encore une fois, rien n'est assez précis pour être complet).
La vie que nous vivons est le changement, le rebondissement le plus lent que l'on perçoit, car la naissance est une création, la mort, une destruction. la vie est le transfert expressif de l'un à l'autre. Et passer de la mort à la vie, on ne peu le percevoir car c'est un transfert impressif. Ce que nous connaissons est fait de la limite de ces deux flux, et c'est cet échange, ce transfert que nous ne pouvons saisir. C'est pour cette raison précisément qu'il n'existe pas à notre connaissance quelque chose qui n'est qu'une chose...
Même une pièce d'horlogerie produite à la chaine, de précision, sera toujours différente de sa voisine, et bien qu'elle ait une différence, elle fonctionnera dans la montre, car l'humain n'est pas complet, il ne crée donc pas des choses complètes et parfaites. On ne créera jamais de microscope ou d'unité de mesure assez précis pour voir l'absolu infini. Et on ne créera jamais de choses indestructibles, ou de systèmes infaillibles.
De la même manière qu'il y a des chiffres entre les chiffres...
Et même lorsqu'une personne est entourée profondément de l'amour d'une autre, à un moment ou un autre, elle aura besoin de s'aérer pour faire la fête avec ses amis, s'amuser. Quand elle aura fait la fête, elle aura de nouveau besoin de son compagnon, etc... On aura toujours besoin de ce qui nous manque, et envie de mettre de côté ce qu'on a de trop, tout doit bouger incessamment.
Est-ce qu'un jour, si nous parvenons tous à cette "libération intérieure" (tous les êtres vivants, car oui, finalement, est-ce que les autres espèces ont ces réflexions?), cette subtilité de vivre le présent éphémère et cet amour sans conditions, est-ce que le monde serait encore le monde? Est-ce que la profondeur, ou complexité de l'âme est la même pour chaque vivant? Somme-nous en réalité en train de devenir des dieux?
Est-ce qu'au final le monde est seulement une histoire qui finit bien et qu'un enfant referme entre ses mains et pose sur l'étagère pour le relire adulte à ses enfants? Dans ce cas là tout est permis. J'aime beaucoup me laisser bercer par le fait que notre vie, notre monde, notre connu, sont autant de livres contenus dans le livre de l'enfant. Quelque part existe-il l'infinité d'histoires et d'univers métaphorées en petites lettres dans nos bibliothèques? Est-ce que notre monde intérieur avec ses batailles et ses victoires existe quelque part?
J'aime tant m'y plonger!
Je ne crois pas qu'on doive répondre à ces questions là... en tout cas ça fait longtemps que j'ai arrêté et que si j'en prends une dose, c'est seulement pour le plaisir si palpitant de faire marcher les neurones sissi! ...ou me faire bercer dans mon livre d'enfant.
Ces questions existentielles, c'est magique, parce que c'est un peu comme le principe du "affronte, on te résistera, accepte, tu passeras au delà..." La réponse en image que j'ai dans la tête... C'est juste une fractale.
...Pour me faire bercer dans mon livre... livre d'enfant, livre dans le livre... mon petit univers que j'aime tant, de ses enfants qui ont grandi, de ses batailles, de ses victoires, de ses amours sans conditions comme de ses meurtres ou de ses naissances!
Et puis après tout, on a reçu cette fichue vie... gratuitement, avec de l'amour, parfois beaucoup, parfois peu... Mais qu'importe! profitons en, pour le plus grand plaisir
PS: j'ai lu après coup ton post sur cet enseignement qu'Ève te transmet. Cette histoire me touche beaucoup, je pense que les gens guériraient mieux de leurs maladies s'ils faisaient la même chose. D'ailleurs, ne dit-on pas que les maux du cœur et de l'esprit ne finissent-ils pas par atteindre notre enveloppe si on n'en prend pas garde?
Re: Au-delà de la douance...
Les mots sont le pont entre ce que je suis et ce monde...Bienvenue à tous bâtisseurs d'amour !
Invité- Invité
Au-delà du jugement...
Le papillon loue et remercie son cocon...une partie de lui-même...un temps nourri...nécessaires limites protectrices à sa maturation de chrysalide...avant de s'envoler...
De même, l'Homme a à aimer son ego...une partie de lui-même..un temps nourri...protecteur le temps de son évolution où il se sent vulnérable...avant de s'envoler...
De même, l'Homme a à aimer son ego...une partie de lui-même..un temps nourri...protecteur le temps de son évolution où il se sent vulnérable...avant de s'envoler...
Invité- Invité
Au-delà du regret...
Parce que le mauvais choix permet de voir l'impasse et de trouver le bon chemin...
"C'était un mauvais choix et on prend un bon choix après"
"C'était un mauvais choix et on prend un bon choix après"
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Mon animal totem est le papillon
Voici un petit test rapide pour découvrir votre animal totem :
http://www.animal-totem.fr/animal-totem-test/
L'analyse qui est faite après le test est très juste en ce qui me concerne.
C'est une manière ludique de découvrir certains aspects de notre personnalité.
Voici un petit test rapide pour découvrir votre animal totem :
http://www.animal-totem.fr/animal-totem-test/
L'analyse qui est faite après le test est très juste en ce qui me concerne.
C'est une manière ludique de découvrir certains aspects de notre personnalité.
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Au-delà de la nature...
Ce n'est pas l'Homme qui est comme l'animal...c'est l'animal qui est comme l'Homme...
Tel chien tel maître...
La nature est le reflet de l'Homme...pour l'aider à se voir...se juger...se corriger...
Et la nature patiente que l'Homme évolue pour progresser ensemble...
Tel chien tel maître...
La nature est le reflet de l'Homme...pour l'aider à se voir...se juger...se corriger...
Et la nature patiente que l'Homme évolue pour progresser ensemble...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Zarbitude a écrit:Mon animal totem est le papillon
Tous le savaient déjà car ils te voient voler ;-)
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
Quand on étaient petits, on jouait au baiser-papillon.
On approche son œil de la joue de celui à qui on veut donner le baiser et avec des battements de cils rapides, on effleure la joue.
Ca chatouille
On approche son œil de la joue de celui à qui on veut donner le baiser et avec des battements de cils rapides, on effleure la joue.
Ca chatouille
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Au-delà de l'intelligence...
Il était une fois un petit garçon qui courait vite parce qu'il avait des chaussures magiques...jusqu'au jour où il découvrit que ses chaussures n'étaient pas magiques...
Ce n'est pas "l'intelligence" qui fait de toi quelqu'un de bien et de brillant...c'est toi qui est quelqu'un de bien et de brillant...
"L'intelligence" est juste un concept pour que tu prennes confiance en toi...et que tu deviennes ce que tu es...
Ce n'est pas "l'intelligence" qui fait de toi quelqu'un de bien et de brillant...c'est toi qui est quelqu'un de bien et de brillant...
"L'intelligence" est juste un concept pour que tu prennes confiance en toi...et que tu deviennes ce que tu es...
Invité- Invité
Au-delà de nos résistances...
Nos tensions internes sont aussi utiles que la tension d'un arc qui permet à la flèche de partir vite, loin et bien droit...
Mais la corde tendue doit être bien vue pour y mettre la flèche...
Ainsi chacune de nos tensions a son utilité...Nous sommes des ressorts bandés...
Mais la corde tendue doit être bien vue pour y mettre la flèche...
Ainsi chacune de nos tensions a son utilité...Nous sommes des ressorts bandés...
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
kozuhito a écrit:Zarbitude a écrit:Mon animal totem est le papillon
Tous le savaient déjà car ils te voient voler ;-)
Pourquoi boire et conduire alors qu'il suffit de fumer et voler
Zarbitude- Messages : 8895
Date d'inscription : 06/12/2012
Localisation : Ici et maintenant
Re: Au-delà de la douance...
Alceste a écrit:
Si nos blessures sont nombreuses, elles n'ont fait que décupler nos forces et notre volonté, j'ai mis un moment à comprendre la justesse de ce que tu résumes, il m'aura fallu en rencontrer des obstacles.
Les obstacles sont là pour que l'on apprenne à sauter...de plus en plus haut...nous décupler comme tu l'écris si bien Alceste...
Bout à bout cela fait comme un escalier que l'on monte...
Invité- Invité
Au-delà de la peur...
Chaque peur est utile...elles nous protègent un temps...puis nous poussent à mobiliser nos ressources...parfois encore insoupçonnées...à nous transcender...Comme la coquille qui protège le poussin jusqu'à temps qu'il soit fort et la casse...
Comme tout, la peur doit être aimée...comprise...reconnue comme utile...dans ce monde...dans un temps...
N'ayons plus peur d'avoir peur :-)
Comme tout, la peur doit être aimée...comprise...reconnue comme utile...dans ce monde...dans un temps...
N'ayons plus peur d'avoir peur :-)
Invité- Invité
Re: Au-delà de la douance...
De quel pied se lève celui qui est de bonne humeur ?
Des 2 pieds :-D
Des 2 pieds :-D
Invité- Invité
Au delà des larmes...
Les larmes purificatrices matérialisent notre nettoyage intérieur...elles sortent par le siphon des yeux...
Le bien-être se mesure en litres de larmes...
Le bien-être se mesure en litres de larmes...
Invité- Invité
Au-delà des résistances...
...le lâcher-prise...
comme un enfant qui se retient sur le toboggan, parce qu'il a peur d'un éventuel danger, d'avoir mal, de l'inconnu, de perdre le contrôle...et il y a l'enfant qui se laisse glisser...dans un bruyant éclat de rire...
Se laisser glisser...se laisser vivre...sur le toboggan de la vie...
comme un enfant qui se retient sur le toboggan, parce qu'il a peur d'un éventuel danger, d'avoir mal, de l'inconnu, de perdre le contrôle...et il y a l'enfant qui se laisse glisser...dans un bruyant éclat de rire...
Se laisser glisser...se laisser vivre...sur le toboggan de la vie...
Invité- Invité
Au-delà de la culpabilité...
La culpabilité est l'antidote de l’orgueil...
Elle prouve que l'on a vu le mieux...et nous permet ainsi de l'atteindre...
Elle nous conduit sur la juste voie de l'humilité...et le repentir...
Seul celui qui se sait petit peut grandir...celui qui se croit parfait se condamne lui-même car il ne peut plus se perfectionner...
Elle prouve que l'on a vu le mieux...et nous permet ainsi de l'atteindre...
Elle nous conduit sur la juste voie de l'humilité...et le repentir...
Seul celui qui se sait petit peut grandir...celui qui se croit parfait se condamne lui-même car il ne peut plus se perfectionner...
Invité- Invité
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