Présentation de (mais sans) Diatribe
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Darth Lord Tiger kalthu a écrit:Un jour, je serais un tigre moi aussi !
Tu rigoles, tu l'es déjà !!!
Et si pour la bonne humeur, tu fais parti des gens qu'on a plaisir à croiser sur le chat
J'ai hâte d'être à Caen le 8 mai pour te rencontrer avant les autres (nananèèère !!!!)
Ah, alors je suis un de ces tigres qui font des câlins aux humains
Je ne sais pas si c'est si cool que ça de me rencontrer, mais en tout cas, j'ai hâte moi aussi!
Stauk: je sais malheureusement bien tout cela, mais je n'ai pas le courage de passer à l'action. Je me dis que même s'il n'est pas trop tard, je préfère éviter de créer des problèmes dans mes relations. Quand j'aurais les moyens de prendre mon indépendance, ce sera une plus belle revanche sur eux que de crier vengeance.
Oni: Ca me fait tout de même plaisir ^^ J'essaie de m'en persuadée jour après jour que les gens ne sont pas tous comme ça. Plus je m'ouvre, et plus je le découvre, car finalement c'est en m'ouvrant moi-même que je me rends compte que les gens sont différents de ce que j'imaginais; je crois que je suis presque entièrement sortie de ma période de misanthropie, j'ai envie de rencontrer de bonnes personnes et de partager avec eux
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
bon, l'humaine va essayer de dormir. Énormes câlins virtuels et à demain
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je t'envoie des bisous!!
Et vivement le 8 que l on se boive une bonne biere!!!
Et vivement le 8 que l on se boive une bonne biere!!!
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Bonne nuit, gros câlins à toi aussi !
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
klo reine de la biere a écrit:Je t'envoie des bisous!!
Et vivement le 8 que l on se boive une bonne biere!!!
Je ne bois plus, mais je peux toujours trinquer au jus de fruits!
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je suis contente de voir une évolution positive ( on dirait une appréciation sur un bulletin de note).
Je te serre sur mon cœur que tu as profondément touché.
Ps : Pense à t'accorder le plus souvent possible bienveillance et douceur. (Quand on a eu des parents défaillants il faut devenir son propre tuteur, on est encore cet enfant blessé et on est aussi celui qui peut le consoler non, non, c'est pas de la schizophrènie. )
Je te serre sur mon cœur que tu as profondément touché.
Ps : Pense à t'accorder le plus souvent possible bienveillance et douceur. (Quand on a eu des parents défaillants il faut devenir son propre tuteur, on est encore cet enfant blessé et on est aussi celui qui peut le consoler non, non, c'est pas de la schizophrènie. )
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
ah, bah ça change des appréciations que j'avais jusque là! ("Est très capable. Elle ne se bouscule pas et ne montre pas un goût prononcé pour l'effort" )
à toi aussi (ça en fait des câlins!)
à toi aussi (ça en fait des câlins!)
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je suis amoureuse de cette musique
Dernière édition par Diatribe le Mer 22 Avr 2015 - 7:51, édité 1 fois
Diatribe- Messages : 1055
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Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Sur le chemin de retour de l'école, j'avais cette chanson en tête. Je te la dépose smouchie poutoux
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Parce-que les amis,il faut penser à eux très souvent.
Je t'envoie un petit bisou du jour ma belle.
Je suis heureuse de constater que petit à petit tu prends confiance en toi
Je t'envoie un petit bisou du jour ma belle.
Je suis heureuse de constater que petit à petit tu prends confiance en toi
poupée BB- Messages : 1088
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
C'est tout à ton honneur.Diatribe a écrit:je préfère éviter de créer des problèmes dans mes relations
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Stauk a écrit:C'est tout à ton honneur.Diatribe a écrit:je préfère éviter de créer des problèmes dans mes relations
Sérieux?
Prendre sa place ma petite puce, n'est pas nécessairement créer des problèmes dans tes relations mouhahahahahahahaha merci les filles
Maintenant que j'ai tiré mes doigts du c pour les smileys,
m'en vais les laver (je ne sais plus qui m'a donné ce précieux conseil mais c'est un/une sage )
Poutoux
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Oni a écrit:Stauk a écrit:C'est tout à ton honneur.Diatribe a écrit:je préfère éviter de créer des problèmes dans mes relations
Sérieux?
Prendre sa place ma petite puce, n'est pas nécessairement créer des problèmes dans tes relations mouhahahahahahahaha merci les filles
Si tu as des récits de personnes qui ont fait cette démarche (avec appui légal/ jugement) et pour lesquelles ça se passe bien, raconte toujours. S'il y a moyen de s'en passer, c'est mieux, ça me semble évident. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne doit pas être au courant. Le conflit engendre le conflit. Après il y a des gens qui peuvent supporter de faire les choses ainsi, mais ça ne convient pas à tout le monde. Ni a toutes les situations. Difficile de juger la situation sans la vivre.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je suis d'accord Stauk, c'est pour cela que je ne veux pas le faire, et aussi parce que je ne sais pas si j'aurais la force psychologique de supporter ça, surtout que ça demande du temps (et surement de l'argent).
Poupée BB: gros bisous à toi aussi!
Oni: j'écouterais la musique à tête reposée tout à l'heure
Poupée BB: gros bisous à toi aussi!
Oni: j'écouterais la musique à tête reposée tout à l'heure
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
J'étais étonné que tu conseille la prudence Stauk
J'ai travaillé dans une institution pour enfants placés par le juge durant une année à mi-temps. Là, il s'agissait de la petite enfance (0-3 ans)/(6-12 ans). Avec des parcours comme le tiens. Le fait que des gens ont pris la décision de faire appel au juge, n'a certainement pas été facile. Les enfants séparés de leurs parents, pour eux ça reste toujours leurs parents (je me souviens de cette petite fille qui après une visite familiale gardait en poche un emballage de bonbons et qui m'avait dit que c'était son plus beau trésor parce que c'était le cadeau que ses parents lui avaient donné. Quand il y a maltraitance, viol, inceste.... Il y a clairement maltraitance ici physique et psychique, elle c'est reconnue dans ton texte légal Stauk. Dans les réunions familiales, on voyait l'attachement qu'il y avait entre les parents et les enfants même si le liens pouvaient parfois être toxique. Emmener un enfant en prison voir ses parents n'est pas évident non plus. Mais, pour que ces enfants puissent se reconstruire et c'est ce qu'ils faisaient dans le lieu ou je travaillais. Il y avait la nécessité de poser la maltraitance d'un point de vue légal. Pour que les parents se rendent compte aussi qu'ils ont créer l'inadmissible et pour que l'enfant puisse se reconnaitre en tant que victime (parce que bien souvent, si ce n'est pas fait, il devient lui même son propre bourreau). D'autres personnes que je connais ont également été des victimes et ne l'ont jamais dit, ils vivent avec mais j'ai l'impression qu'il reste toujours le poids... C'est mon expérience, elle vaut ce qu'elle vaut. Ce n'est pas facile, tu n'est peut-être pas prête à le faire et je peux comprendre, mais ça peut-être une démarche pour pouvoir te reconstruire et ne pas laisser à vif la douleur, c'est un changement et tout changement est difficile à entamé mais il mène vers autre chose... J'ai pensé à toi Diatribe et à ton jardin, en dormant... J'ai peut-être quelques idées pour que tu puisse en profiter et t'occuper
J'ai travaillé dans une institution pour enfants placés par le juge durant une année à mi-temps. Là, il s'agissait de la petite enfance (0-3 ans)/(6-12 ans). Avec des parcours comme le tiens. Le fait que des gens ont pris la décision de faire appel au juge, n'a certainement pas été facile. Les enfants séparés de leurs parents, pour eux ça reste toujours leurs parents (je me souviens de cette petite fille qui après une visite familiale gardait en poche un emballage de bonbons et qui m'avait dit que c'était son plus beau trésor parce que c'était le cadeau que ses parents lui avaient donné. Quand il y a maltraitance, viol, inceste.... Il y a clairement maltraitance ici physique et psychique, elle c'est reconnue dans ton texte légal Stauk. Dans les réunions familiales, on voyait l'attachement qu'il y avait entre les parents et les enfants même si le liens pouvaient parfois être toxique. Emmener un enfant en prison voir ses parents n'est pas évident non plus. Mais, pour que ces enfants puissent se reconstruire et c'est ce qu'ils faisaient dans le lieu ou je travaillais. Il y avait la nécessité de poser la maltraitance d'un point de vue légal. Pour que les parents se rendent compte aussi qu'ils ont créer l'inadmissible et pour que l'enfant puisse se reconnaitre en tant que victime (parce que bien souvent, si ce n'est pas fait, il devient lui même son propre bourreau). D'autres personnes que je connais ont également été des victimes et ne l'ont jamais dit, ils vivent avec mais j'ai l'impression qu'il reste toujours le poids... C'est mon expérience, elle vaut ce qu'elle vaut. Ce n'est pas facile, tu n'est peut-être pas prête à le faire et je peux comprendre, mais ça peut-être une démarche pour pouvoir te reconstruire et ne pas laisser à vif la douleur, c'est un changement et tout changement est difficile à entamé mais il mène vers autre chose... J'ai pensé à toi Diatribe et à ton jardin, en dormant... J'ai peut-être quelques idées pour que tu puisse en profiter et t'occuper
Dernière édition par Oni le Mer 22 Avr 2015 - 11:26, édité 1 fois (Raison : pas toute les plages d'âges)
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Le problème est que je suis majeure et que j'ai un chien, les enfants sont placés dans des foyers, moi je ne pourrais pas me débrouiller seule vu que j'ai besoin d'aide pour les déplacements; mais pour tout cela, encore faut-il prouver qu'il y a maltraitance. En voyant la maison de ma mère (et en entendant ma famille se rebeller contre moi) pas sure du tout que ça marche. Cela demanderait du temps, et peut-être que d'ici là, j'aurais gagnée un peu d'indépendance. Et puis j'aime tout de même ma mère, elle en deviendrait folle et je n'ai pas besoin de ça en ce moment, alors que je tente peu à peu de me reconstruire.
J'aime beaucoup le proverbe "la fleur du lotus s'épanouit dans la boue". Il m'aide à garder espoir et à me détendre. C'est pour ça que je l'ai peins sur mon mur dans ma chambre. (j'ai de la chance que ma mère ai acceptée, normalement c'est elle qui décide de ma déco).
Mon jardin? Le jardin de ma maison? Parce que si c'est le cas, je n'ai pas le droit d'y "toucher" (j'imagine déjà la réaction de ma mère...) ^^'
J'aime beaucoup le proverbe "la fleur du lotus s'épanouit dans la boue". Il m'aide à garder espoir et à me détendre. C'est pour ça que je l'ai peins sur mon mur dans ma chambre. (j'ai de la chance que ma mère ai acceptée, normalement c'est elle qui décide de ma déco).
Mon jardin? Le jardin de ma maison? Parce que si c'est le cas, je n'ai pas le droit d'y "toucher" (j'imagine déjà la réaction de ma mère...) ^^'
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
je passe en vitesse pousse est là. Oui, ça semble parfois paradoxal pour les gens, malgré les relations difficiles, il y a de l'amour, un lien et c'est logique, elle a t'a donné la vie et elle ta construit à sa manière, c'est ta première référence et je pense aussi qu'il y a du aussi y avoir des moments positifs auxquels tu as pu t'accrocher (tout n'est pas noir ou blanc, il y a souvent des zones de gris ) En ce qui concerne les démarches légales, je ne sais pas trop je n'ai pas fait le droit (pourrais demander à Chris, si tu veux ) pour l'idée, je te montrerai ce soir quand la pousse sera endormie
des poutoux
des poutoux
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
ok pas de problèmes
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Bon... Je n'ai jamais osé montrer l'un de mes torchons littéraires, genre journal intime.
J'ai retrouvé un texte écrit y a quelques mois. Il faut savoir que c'est un exercice que je me donnais: écrire tout ce qui me passe par la tête dans l'immédiat, sans aucun correction. Les pensée pures de l'instant, même si le cerveau va plus vite, tenter de maitriser un peu le flot. Au début, j'avais un peu de difficulté, puis plus j'avance dans le texte, plus l'absurde de l'immédiateté s'est révélé.
Voilà donc ce petit brouillon de pensées écrit en cinq minutes top chrono x)
"J’ai peur de l’échec, je ne me sens pas capable de ce que j’aspire atteindre. Je perds pieds « et si j’échouais ? » « Je vais rater ». Je lutte contre ma raison « pourquoi n’y arriverais-tu pas ? Après tout, pourquoi pas toi ? » Mais une voix me dit le contraire, elle me fait douter, elle ne veut pas que j’avance, elle veut me voir ramper devant elle et l’implorer. « Non, je ne veux pas, je veux être moi, je veux être libre de penser par moi-même, d’agir sans doute, sans toi. Vas-t-en ! Ne revient jamais ! » Mais elle ricane, me nargue. « Pauvre de toi, tu ne t’en sortira jamais. Je suis ta voix. » Elle a raison de moi, et je la laisse me posséder. Je m’autodétruis par mon autre moi, par une autre voie.
Remets de l’ordre dans ta vie, dans tes pensées, dans tes mots. Je ne suis pas capable de m’exprimer, mais j’essaie. Rien, rien, rien n’est bon. Est-ce le fond qui est mauvais ? Est-ce la forme ? Qu’en sais-je, personne ne peut me le dire, ou si : on me l’a dit, mais j’espère tant changer cela que j’ai préféré ne pas écouter. J’aurais mieux fait, me voilà perdue. Je n’arrive pas à m’exprimer. Tout coule comme un flot de larme, sur le papier. Pourquoi, point de larme à l’œil, au cœur, sans doute. Pourquoi écris-je encore ? Pourquoi ? Pourquoi n’arrive-je pas à cesser ? Quelle force me contrôle ? Qui écrit maintenant ? Est-ce la voix de la raison ? Est-ce ma propre voix ? Est-ce l’intuition, la bêtise ? Est-ce propre, claire, est-ce raté ? Communiquer m’est insupportable, je n’y arrive pas. Est-ce finalement une bonne chose que de communiquer ? Suis-je apte à le faire ? Je n’ai rien à dire, pourtant j’écris. Des stupidités sans intérêt, digne d’un cerveau, digne d’une cervelle creuse et sans pensée. Peut-on qualifier ces écrits comme des pensées ? Où se trouvent les limites de la pensée ? Comment reconnait-on une pensée ? Pense-t-on réellement ? Qui suis-je ? Est-ce une question, une pensée ? Une question serait alors une pensée ? Je questionne donc je pense, donc je suis ? Je questionne donc je suis. Les animaux se questionnent-ils ? Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Comment savoir : impossible, pas avec les moyens actuels, pas avec notre stupidité, pas avec la mienne. Je suis désobéissante, je suis malade, je suis soignée, je suis bien, je suis mal, je suis question, je questionne donc je pense, donc je suis. Je suis, je suis, je suis moi. Mais je suis plusieurs fois moi. Je suis plusieurs moi. Je meurs, je peins, je peins ma mort, je vis ma peinture, je vis à pleines dents, je vis sans dentier, je vis de vices et de vie, je vie donc je questionne, donc je pense, donc je suis. Je suis une pensée, je pense à moi-même, je pense à ma vie, à mes déceptions, à mes réceptions ratées, à mes écoutes manquées, à mes rêves inachevés, à mes livres blancs, à mes pages. Je suis une page vide, une tache d’encre invisible, une mort de nuit, une plume de joie, une mauvaise langue arrachée à la bouche d’un dictionnaire.
Pourquoi je ris, d’abord ? Pourquoi je n’arrive pas à me contrôler, pourquoi je n’arrive pas à m’arrêter de rire ? Pourquoi vouloir cesser ? Parce que cela m’énerve, je n’aime pas rire. Le rire, c’est stupide. Comme moi, c’est pourquoi je ris. Je ris, mais je ne ris pas, je pleure. Je pleure de rire aussi. Rarement, mais c’est vrai. Je ris, je ris, je ris je ris, je ne ris plus. Pourquoi pourquoi, pourquoi répéter ça trois fois ? Milles, j’allais dire. Encore du langage de méditerranéen, encore un mot que j’ai dis (écris) sans le penser. Encore du langage de marseillais, c’est plus approprié à mes pensées, à mon cerveau. Fais chier, cerveau, tais-toi. Tais-toi ou je ne redis encore une fois. Tais-toi, veux-tu ? Tu m’énerve. Je m’énerve. J’ai envie de cracher, d’appuyer dix fois sur une touche du clavier et de… J’ai les muscles tendus, j’ai envie de laisser exploser ma rage. Ma rage d’appuyer sur une touche. Oui, rien que d’imaginer appuyer dessus, ça m’énerve d’avance. Parce que j’ai de la rage incroyable, j’ai énormément à évacuer ? Je suis colérique ? Je suis sentiment, je suis moi, moi, moi, moi, moi aussi, et toi et moi, c’est la mort petite touche. Je vais appuyer. Fais gâche, fais gâche, fais fagge, fais gaffe !
Communion, communier, communiquer, commune, commun, comme niquer, niquer niquer, nickel. Bekbenzen. Oui, je ne sais pas l’écrire, je suis nulle. J’en sais rien, ce n’est pas facile à écrire, pas pour mon cerveau de nouille surgelée. Bec bunsen. Nul, je préfère ma version. Mot arraché, mot sacrifié, scarifié en deux. Mot qui ne signifie pas se qu’il veut dire en vrai. Bune zen. Un bec bien zen.
Gâcher du temps pour écrire des conneries, j’ai que ça à faire. Ça aussi c’est une connerie, j’ai pleins de choses à faire mais je n’ai pas envie de les faire, j’ai autre chose à faire que mes choses à faire. Ça m’énerve de faire des choses que je n’aime pas faire, que je n’aime pas tout court ; l’art-plastique, l’art mou, j’m’en fous. C’est nul, ce n’est pas intéressant. J’aime mon projet, ça me stimule le cadre imposé, mais je ne veux pas le rendre, c’est à moi, ce n’est pas pour eux. Eux surement ils n’aimeront pas. J’m’en fous, j’aime bien moi. Je trouve ça créatif, pas eux ; ils ne sont pas créatifs, sinon ils n’enseigneraient pas, ils créeraient. Ouais, voilà, ils sont bons à rien, alors pourquoi leur montrer, attendre leur jugement, puisqu’ils sont nuls ? Faut bien que quelqu’un juge. Non, l’art n’a pas de juge, ce n’est pas à juger, c’est uniquement pour les trous du cul bons à rien qu’à faire ce qu’ils veulent, comme moi. Je suis un trou du cul qui glande sur son lit et son lit est pourrit par les poils de chiens et les rats du grenier. Ou souris, peut-être. J’aime les souris, j’aime l’art, j’aime mon art, et le lard aussi. Je veux, je ne veux pas. Je ne veux pas que l’on m’aime pour ce que je ne suis pas. Je ne veux pas que l’on me prenne pour ce que je suis. Faudrait savoir ! Je n’en sais rien, j e sais tout, mais ce n’est pas vrai. Je ne sais rien du tout. Je sais, c’est con, mais c’est tout ce que je suis capable de penser, d’imaginer pour l’instant. Je n’imagine que ma vie. ! Mais je suis gentille, j’ai bonne conscience, enfin pas toujours, disons que l’on m’aime, que je fais le bien autour de moi parce que j’ai toujours une raison d’agir. J’agis, au moins. Et si j’agissais dans la vie, elle n’aurait pas le même goût que les rêves. Je veux voir en 3D, je veux voir au-delà de moi, sans arrêt, tout le temps. Je veux que la vie soit l’expression d’un rêve, son cadre, son angle de vue. Mais que ce soit la réalité. J’aime la vraie fausse imagination. J’ai envie d’imaginer comme ça pour l’éternité, sans repasser les scènes vingt fois, arriver à passer à autre chose, d’une case à une autre comme une BD, sans relire cent fois la case d’avant. Pourquoi j’explique ça ? J’en sais rien, pas besoin. Au cas où quelqu’un lise ça. Qui voudrait lire ça ? Comment le serait-il qu’il existe ? Pis d’abord, pourquoi ils voudraient ? C’est nul, c’est torchon, c’est brouillon, c’est moi. Mais je trouve ça cool au fond. J’aime bien ce que j’écris, mais ce n’est pas de la prose. J’aime la prose, même si je ne comprends pas tout. J’ai envie de tout comprendre de la poésie, de tout comprendre tout court, j’ai l’impression que tout le monde comprend sauf moi quand il s’agit de mots alignés les uns après les autres. Je suis bien nulle en communication, effectivement. J’ai encore besoin d’écrire ? Ça s’arrêtera quand ? Je peux arrêter mais j’ai la flemme. Oui ! J’ai la flemme d’arrêter d’écrire ! Ben dis donc, j’ai vraiment la flemme de tout, c’est dingue. C’est un mouvement, une position, c’est instinctif, c’est répétitif, tout ce que j’aime, c’est lancé, ça veux plus s’arrêter. Je ne bouge plus que les doigts, alors du coup, ça fait comme une transe. Je n’ai pas envie d’arrêter sinon je vais devoir bouger, et je n’aime pas ça. Mais j’ai mal au petit doigt. Pourtant c’est le seul que je n’utilise presque pas. Je n’aime pas avoir le corps crispé, mais c’est tout le temps. J’en ai marre de rêver, mais j’aime ça. J’en ai marre d’aimer ça. J’aimerais être une salope, un méchant tueur psychopathe asocial, une mégère qui fait ce qu’elle veux, une mère gentille et douce, une femme attentionnée, une star de cinoche qui ne joue pas la comédie et qui ne joue pas dans des films, je veux la belle vie, être embourgeoisée, je veux être pauvre et aimer passionnément, je veux tout et rien à la fois, je veux être moi et les autres, je veux des autres, je ne veux pas du vrai moi. J’ai envie des autres, je les envies. J’ai faillis arrêter d’écrire. Oh, j’ai compris quelque chose, enfin, je crois. J’envie les autres. J' "en vie" les autres. Cool, j’ai compris quelque chose. Mais, si j’"en vie" les autres, c’est négatif, dont on va dire que je ne les envies pas, voilà. Hop, on fait semblant. Si ça se trouve, je ne les envie pas. Comme je ne comprends rien à mon cerveau, à moi, aux autres, à tout, que je ne suis même pas sur que ce que je dis à un sens, que si ça se trouve ça a un sens, qu’on me dira que c’est profond alors que c’est même pas voulu ; y a de la profondeur dans la stupidité, dans le néant. Je suis profondément stupide, ça me déride, ça me fait rire. J’ai des choses à dire, dis donc ! J’arrête, ça me saoule. Pourquoi je ne suis pas un fabuleux auteur ? Je suis feignante, je suis nulle, je ne sais rien faire, je suis impatiente, je n’ai pas de style. C’est quoi un style ? La façon dont on écrit, dont on construit un texte (ça se construit ? Réellement ? Faut faire des cases et tout ? Au-delà des règles de grammaire, d’ortho, de conjugaison et tout, il faut un cadre ? Mon orthophoniste dit que oui, mais ça veut dire qu’il faut le faire ? Que sinon on arrive à rien ? Alors un cadre, c’est inné, enfin, sa construction ? Faut construire un cadre pour construire un texte ? Faut passer son temps à construire, pour que d’autres nous démolissent ? Putain, je préfère ne pas me cadrer, au moins, la démolition est propre. J’ai envie de me cadrer les nerfs, de les enfermer à double tours et de décadrer les autres, leur refaire le portrait. Vas te faire foutre, le cadre, t’es pas droit !
Marley, pisser, pitié, je n’ai pas envie, tu veux faire pipi, mais moi me lever, ça me saoule."
Oui, mon chien m'a déconcentré à la fin parce qu'il voulait que je le sorte, donc j'ai du arrêter
C'est un grand n'importe quoi sans sens, heureusement que j'arrive à retrouver un peu de raison à côté dans mes autres écrits. Quoi que...
Oui, je m'éclate dans ma déprime
J'ai retrouvé un texte écrit y a quelques mois. Il faut savoir que c'est un exercice que je me donnais: écrire tout ce qui me passe par la tête dans l'immédiat, sans aucun correction. Les pensée pures de l'instant, même si le cerveau va plus vite, tenter de maitriser un peu le flot. Au début, j'avais un peu de difficulté, puis plus j'avance dans le texte, plus l'absurde de l'immédiateté s'est révélé.
Voilà donc ce petit brouillon de pensées écrit en cinq minutes top chrono x)
"J’ai peur de l’échec, je ne me sens pas capable de ce que j’aspire atteindre. Je perds pieds « et si j’échouais ? » « Je vais rater ». Je lutte contre ma raison « pourquoi n’y arriverais-tu pas ? Après tout, pourquoi pas toi ? » Mais une voix me dit le contraire, elle me fait douter, elle ne veut pas que j’avance, elle veut me voir ramper devant elle et l’implorer. « Non, je ne veux pas, je veux être moi, je veux être libre de penser par moi-même, d’agir sans doute, sans toi. Vas-t-en ! Ne revient jamais ! » Mais elle ricane, me nargue. « Pauvre de toi, tu ne t’en sortira jamais. Je suis ta voix. » Elle a raison de moi, et je la laisse me posséder. Je m’autodétruis par mon autre moi, par une autre voie.
Remets de l’ordre dans ta vie, dans tes pensées, dans tes mots. Je ne suis pas capable de m’exprimer, mais j’essaie. Rien, rien, rien n’est bon. Est-ce le fond qui est mauvais ? Est-ce la forme ? Qu’en sais-je, personne ne peut me le dire, ou si : on me l’a dit, mais j’espère tant changer cela que j’ai préféré ne pas écouter. J’aurais mieux fait, me voilà perdue. Je n’arrive pas à m’exprimer. Tout coule comme un flot de larme, sur le papier. Pourquoi, point de larme à l’œil, au cœur, sans doute. Pourquoi écris-je encore ? Pourquoi ? Pourquoi n’arrive-je pas à cesser ? Quelle force me contrôle ? Qui écrit maintenant ? Est-ce la voix de la raison ? Est-ce ma propre voix ? Est-ce l’intuition, la bêtise ? Est-ce propre, claire, est-ce raté ? Communiquer m’est insupportable, je n’y arrive pas. Est-ce finalement une bonne chose que de communiquer ? Suis-je apte à le faire ? Je n’ai rien à dire, pourtant j’écris. Des stupidités sans intérêt, digne d’un cerveau, digne d’une cervelle creuse et sans pensée. Peut-on qualifier ces écrits comme des pensées ? Où se trouvent les limites de la pensée ? Comment reconnait-on une pensée ? Pense-t-on réellement ? Qui suis-je ? Est-ce une question, une pensée ? Une question serait alors une pensée ? Je questionne donc je pense, donc je suis ? Je questionne donc je suis. Les animaux se questionnent-ils ? Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Comment savoir : impossible, pas avec les moyens actuels, pas avec notre stupidité, pas avec la mienne. Je suis désobéissante, je suis malade, je suis soignée, je suis bien, je suis mal, je suis question, je questionne donc je pense, donc je suis. Je suis, je suis, je suis moi. Mais je suis plusieurs fois moi. Je suis plusieurs moi. Je meurs, je peins, je peins ma mort, je vis ma peinture, je vis à pleines dents, je vis sans dentier, je vis de vices et de vie, je vie donc je questionne, donc je pense, donc je suis. Je suis une pensée, je pense à moi-même, je pense à ma vie, à mes déceptions, à mes réceptions ratées, à mes écoutes manquées, à mes rêves inachevés, à mes livres blancs, à mes pages. Je suis une page vide, une tache d’encre invisible, une mort de nuit, une plume de joie, une mauvaise langue arrachée à la bouche d’un dictionnaire.
Pourquoi je ris, d’abord ? Pourquoi je n’arrive pas à me contrôler, pourquoi je n’arrive pas à m’arrêter de rire ? Pourquoi vouloir cesser ? Parce que cela m’énerve, je n’aime pas rire. Le rire, c’est stupide. Comme moi, c’est pourquoi je ris. Je ris, mais je ne ris pas, je pleure. Je pleure de rire aussi. Rarement, mais c’est vrai. Je ris, je ris, je ris je ris, je ne ris plus. Pourquoi pourquoi, pourquoi répéter ça trois fois ? Milles, j’allais dire. Encore du langage de méditerranéen, encore un mot que j’ai dis (écris) sans le penser. Encore du langage de marseillais, c’est plus approprié à mes pensées, à mon cerveau. Fais chier, cerveau, tais-toi. Tais-toi ou je ne redis encore une fois. Tais-toi, veux-tu ? Tu m’énerve. Je m’énerve. J’ai envie de cracher, d’appuyer dix fois sur une touche du clavier et de… J’ai les muscles tendus, j’ai envie de laisser exploser ma rage. Ma rage d’appuyer sur une touche. Oui, rien que d’imaginer appuyer dessus, ça m’énerve d’avance. Parce que j’ai de la rage incroyable, j’ai énormément à évacuer ? Je suis colérique ? Je suis sentiment, je suis moi, moi, moi, moi, moi aussi, et toi et moi, c’est la mort petite touche. Je vais appuyer. Fais gâche, fais gâche, fais fagge, fais gaffe !
Communion, communier, communiquer, commune, commun, comme niquer, niquer niquer, nickel. Bekbenzen. Oui, je ne sais pas l’écrire, je suis nulle. J’en sais rien, ce n’est pas facile à écrire, pas pour mon cerveau de nouille surgelée. Bec bunsen. Nul, je préfère ma version. Mot arraché, mot sacrifié, scarifié en deux. Mot qui ne signifie pas se qu’il veut dire en vrai. Bune zen. Un bec bien zen.
Gâcher du temps pour écrire des conneries, j’ai que ça à faire. Ça aussi c’est une connerie, j’ai pleins de choses à faire mais je n’ai pas envie de les faire, j’ai autre chose à faire que mes choses à faire. Ça m’énerve de faire des choses que je n’aime pas faire, que je n’aime pas tout court ; l’art-plastique, l’art mou, j’m’en fous. C’est nul, ce n’est pas intéressant. J’aime mon projet, ça me stimule le cadre imposé, mais je ne veux pas le rendre, c’est à moi, ce n’est pas pour eux. Eux surement ils n’aimeront pas. J’m’en fous, j’aime bien moi. Je trouve ça créatif, pas eux ; ils ne sont pas créatifs, sinon ils n’enseigneraient pas, ils créeraient. Ouais, voilà, ils sont bons à rien, alors pourquoi leur montrer, attendre leur jugement, puisqu’ils sont nuls ? Faut bien que quelqu’un juge. Non, l’art n’a pas de juge, ce n’est pas à juger, c’est uniquement pour les trous du cul bons à rien qu’à faire ce qu’ils veulent, comme moi. Je suis un trou du cul qui glande sur son lit et son lit est pourrit par les poils de chiens et les rats du grenier. Ou souris, peut-être. J’aime les souris, j’aime l’art, j’aime mon art, et le lard aussi. Je veux, je ne veux pas. Je ne veux pas que l’on m’aime pour ce que je ne suis pas. Je ne veux pas que l’on me prenne pour ce que je suis. Faudrait savoir ! Je n’en sais rien, j e sais tout, mais ce n’est pas vrai. Je ne sais rien du tout. Je sais, c’est con, mais c’est tout ce que je suis capable de penser, d’imaginer pour l’instant. Je n’imagine que ma vie. ! Mais je suis gentille, j’ai bonne conscience, enfin pas toujours, disons que l’on m’aime, que je fais le bien autour de moi parce que j’ai toujours une raison d’agir. J’agis, au moins. Et si j’agissais dans la vie, elle n’aurait pas le même goût que les rêves. Je veux voir en 3D, je veux voir au-delà de moi, sans arrêt, tout le temps. Je veux que la vie soit l’expression d’un rêve, son cadre, son angle de vue. Mais que ce soit la réalité. J’aime la vraie fausse imagination. J’ai envie d’imaginer comme ça pour l’éternité, sans repasser les scènes vingt fois, arriver à passer à autre chose, d’une case à une autre comme une BD, sans relire cent fois la case d’avant. Pourquoi j’explique ça ? J’en sais rien, pas besoin. Au cas où quelqu’un lise ça. Qui voudrait lire ça ? Comment le serait-il qu’il existe ? Pis d’abord, pourquoi ils voudraient ? C’est nul, c’est torchon, c’est brouillon, c’est moi. Mais je trouve ça cool au fond. J’aime bien ce que j’écris, mais ce n’est pas de la prose. J’aime la prose, même si je ne comprends pas tout. J’ai envie de tout comprendre de la poésie, de tout comprendre tout court, j’ai l’impression que tout le monde comprend sauf moi quand il s’agit de mots alignés les uns après les autres. Je suis bien nulle en communication, effectivement. J’ai encore besoin d’écrire ? Ça s’arrêtera quand ? Je peux arrêter mais j’ai la flemme. Oui ! J’ai la flemme d’arrêter d’écrire ! Ben dis donc, j’ai vraiment la flemme de tout, c’est dingue. C’est un mouvement, une position, c’est instinctif, c’est répétitif, tout ce que j’aime, c’est lancé, ça veux plus s’arrêter. Je ne bouge plus que les doigts, alors du coup, ça fait comme une transe. Je n’ai pas envie d’arrêter sinon je vais devoir bouger, et je n’aime pas ça. Mais j’ai mal au petit doigt. Pourtant c’est le seul que je n’utilise presque pas. Je n’aime pas avoir le corps crispé, mais c’est tout le temps. J’en ai marre de rêver, mais j’aime ça. J’en ai marre d’aimer ça. J’aimerais être une salope, un méchant tueur psychopathe asocial, une mégère qui fait ce qu’elle veux, une mère gentille et douce, une femme attentionnée, une star de cinoche qui ne joue pas la comédie et qui ne joue pas dans des films, je veux la belle vie, être embourgeoisée, je veux être pauvre et aimer passionnément, je veux tout et rien à la fois, je veux être moi et les autres, je veux des autres, je ne veux pas du vrai moi. J’ai envie des autres, je les envies. J’ai faillis arrêter d’écrire. Oh, j’ai compris quelque chose, enfin, je crois. J’envie les autres. J' "en vie" les autres. Cool, j’ai compris quelque chose. Mais, si j’"en vie" les autres, c’est négatif, dont on va dire que je ne les envies pas, voilà. Hop, on fait semblant. Si ça se trouve, je ne les envie pas. Comme je ne comprends rien à mon cerveau, à moi, aux autres, à tout, que je ne suis même pas sur que ce que je dis à un sens, que si ça se trouve ça a un sens, qu’on me dira que c’est profond alors que c’est même pas voulu ; y a de la profondeur dans la stupidité, dans le néant. Je suis profondément stupide, ça me déride, ça me fait rire. J’ai des choses à dire, dis donc ! J’arrête, ça me saoule. Pourquoi je ne suis pas un fabuleux auteur ? Je suis feignante, je suis nulle, je ne sais rien faire, je suis impatiente, je n’ai pas de style. C’est quoi un style ? La façon dont on écrit, dont on construit un texte (ça se construit ? Réellement ? Faut faire des cases et tout ? Au-delà des règles de grammaire, d’ortho, de conjugaison et tout, il faut un cadre ? Mon orthophoniste dit que oui, mais ça veut dire qu’il faut le faire ? Que sinon on arrive à rien ? Alors un cadre, c’est inné, enfin, sa construction ? Faut construire un cadre pour construire un texte ? Faut passer son temps à construire, pour que d’autres nous démolissent ? Putain, je préfère ne pas me cadrer, au moins, la démolition est propre. J’ai envie de me cadrer les nerfs, de les enfermer à double tours et de décadrer les autres, leur refaire le portrait. Vas te faire foutre, le cadre, t’es pas droit !
Marley, pisser, pitié, je n’ai pas envie, tu veux faire pipi, mais moi me lever, ça me saoule."
Oui, mon chien m'a déconcentré à la fin parce qu'il voulait que je le sorte, donc j'ai du arrêter
C'est un grand n'importe quoi sans sens, heureusement que j'arrive à retrouver un peu de raison à côté dans mes autres écrits. Quoi que...
Oui, je m'éclate dans ma déprime
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Pour moi, ça risque d'être difficile, à moins de changer de sexe! Mais c'est le but recherché, en effet.
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Ils sont pas tous pédés. A ce qu'on m'en a dit.Diatribe a écrit:Pour moi, ça risque d'être difficile, à moins de changer de sexe! Mais c'est le but recherché, en effet.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Stauk a écrit:Ils sont pas tous pédés. A ce qu'on m'en a dit.Diatribe a écrit:Pour moi, ça risque d'être difficile, à moins de changer de sexe! Mais c'est le but recherché, en effet.
Qu'ouïs-je? ^^ "un mec bien zen" --> un mec mais je suis une fille --> donc ça va être difficile pour moi, vu que je ne suis pas un mec, d'être "un mec bien zen" --> à moins que je change de sexe.
C'était une blague en faite, il y a eu un petit problème de compréhension... Du coup je n'ai pas compris le rapport entre le fait qu'"ils soient pas pas tous des pédés" et ce que j'avais déduis. Mais c'est pas grave
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Diatribe a écrit:
Qu'ouïs-je? ^^ "un mec bien zen" --> un mec mais je suis une fille --> donc ça va être difficile pour moi, vu que je ne suis pas un mec, d'être "un mec bien zen" --> à moins que je change de sexe.
un mec bien zen --> ils n'aiment que les autres mecs --> donc ça (quoi donc ?) va être difficile pour moi, vu que je ne suis pas un mec, d'être avec "un mec bien zen" --> à moins que je change de sexe.
Détail, détail.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Oh! Je vois. Pourquoi est-ce qu'ils n'aiment que les autres mecs, ces bunsen? C'est parce qu'ils ont la cheminée droite?
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Chui pas dans leurs confidences moi !Diatribe a écrit:Oh! Je vois. Pourquoi est-ce qu'ils n'aiment que les autres mecs, ces bunsen? C'est parce qu'ils ont la cheminée droite?
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Ah, mince. Bon. Eh bien s'il y a des mecs bien zen qui passent par ici, voudriez-vous dire si votre cheminée à un rapport avec vos préférences sexuelles?
J'en reviens pas de dire autant de conneries en une journée.
J'en reviens pas de dire autant de conneries en une journée.
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
comme promis "puce" (j'aime bien donner des surnoms), je vais lire le petit article, mais tout d'abord j'entretiens mon cancer. Je file juste te donner des poutoux pour dire que je n'ai pas oublier. Et Pourrais tu remettre le fil de ta discussion, pour te trouver une occupation ici?
Je suis HS donc encore plus feignasse , j'ai pris les vasodilatateurs un peu plus tôt histoire de passer une nuit correcte
Je suis HS donc encore plus feignasse , j'ai pris les vasodilatateurs un peu plus tôt histoire de passer une nuit correcte
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Diatribe a écrit:voudriez-vous dire si votre cheminée à un rapport avec vos préférences sexuelles?
Hypothèse une
Hypothèse deux
Hypothèse trois
Hypothèse deux
Hypothèse trois
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Bon Stauk te fait rire, je me demande si je devrais alourdir le fil. Il est positif. Mais, bon je suppose que tu veux un chti retour du texte?
Voili, j'ai lu ta tornade d'émotions (et c'est bon que puisse les déposer). Pourquoi un cadre que les autres devraient te donner? Et pourquoi pas un cadre bubble-gum, élastique que tu pourrais créer une fois que tu connaitra tes propres limites, tes envies, que les émotions ne soient plus tsunami douloureux mais qu'elles soient des émotions qui permettent de te ressentir, te sentir?
Je te dis ça parce que c'est ce que je tente de faire, ce n'est pas toujours le top, je ne vis pas un paradis éthéré, mais je vis... Je suis aussi obligée de me contraindre, mes mains essayent d'aller aussi vite que ce qui me tourne en tête mais pas possible (regarde mon ortho et dans un sens on s'en fout, c'est nous
Mais, on doit aussi faire avec le monde qui nous entoure, je me laisserais parfois plus allez, ne pas gérer les trucs administratifs, les corvées ménagères (ce que je fais pour le moment d'ailleurs). Toutefois, j'ai peur, j'ai peur d'être comme ce monsieur d'une soixantaine, sentant l’éther, qui à force de rupture de liens c'est retrouver dans la déréliction la plus totale (il était ingénieur et pianiste de talent), c'est lui qui m'a fait créer une base de donnée pour le centre d'accueil de jour pour SDF (le deuxième mi-temps avec les enfants placés par le juge).
Leurs fils de vie c'est tellement cassé au fil du temps qu'il était quasiment impossible de savoir qui ils étaient, d'où ils venaient, en perte d'identité. C'est là, où j'ai appris que les plus petits pas étaient en fait des pas de géants. Ma plus belle réussite, une dame la cinquantaine qui ne s'était plus lavé depuis 5 ans pour ce protéger du monde extérieur, pour que les autres fuient tellement il ne pouvait pas la sentir.
Au bout de quelques mois, j'ai pu lui donner une douche, tout en douceur la peau s'abime extrêmement fort dans ces conditions. Elle c'est mise à nu au propre et au figuré pour moi, elle m'a fait confiance et à la fin elle m'a sourit et m'a dit: "merci, pour une fois je sent que je peux sentir bon".
Les petits pas peuvent être des pas de géant. Petit à petit, en vivant toute les émotions, en déposant, en frappant sur un sac de farine à le déchirer s'il le faut mais en ne te faisant plus mal.
Petite histoire, je t'en raconterai une autre demain si tu veux, raconte m'en une autre si tu veux. J'espère que tu pourra un peu mieux dormir cette nuit... Je sent que pour moi le sommeil vient (prendre les vasodilatateurs plus tôt étaient une bonne idée) des poutoux
Voili, j'ai lu ta tornade d'émotions (et c'est bon que puisse les déposer). Pourquoi un cadre que les autres devraient te donner? Et pourquoi pas un cadre bubble-gum, élastique que tu pourrais créer une fois que tu connaitra tes propres limites, tes envies, que les émotions ne soient plus tsunami douloureux mais qu'elles soient des émotions qui permettent de te ressentir, te sentir?
Je te dis ça parce que c'est ce que je tente de faire, ce n'est pas toujours le top, je ne vis pas un paradis éthéré, mais je vis... Je suis aussi obligée de me contraindre, mes mains essayent d'aller aussi vite que ce qui me tourne en tête mais pas possible (regarde mon ortho et dans un sens on s'en fout, c'est nous
Mais, on doit aussi faire avec le monde qui nous entoure, je me laisserais parfois plus allez, ne pas gérer les trucs administratifs, les corvées ménagères (ce que je fais pour le moment d'ailleurs). Toutefois, j'ai peur, j'ai peur d'être comme ce monsieur d'une soixantaine, sentant l’éther, qui à force de rupture de liens c'est retrouver dans la déréliction la plus totale (il était ingénieur et pianiste de talent), c'est lui qui m'a fait créer une base de donnée pour le centre d'accueil de jour pour SDF (le deuxième mi-temps avec les enfants placés par le juge).
Leurs fils de vie c'est tellement cassé au fil du temps qu'il était quasiment impossible de savoir qui ils étaient, d'où ils venaient, en perte d'identité. C'est là, où j'ai appris que les plus petits pas étaient en fait des pas de géants. Ma plus belle réussite, une dame la cinquantaine qui ne s'était plus lavé depuis 5 ans pour ce protéger du monde extérieur, pour que les autres fuient tellement il ne pouvait pas la sentir.
Au bout de quelques mois, j'ai pu lui donner une douche, tout en douceur la peau s'abime extrêmement fort dans ces conditions. Elle c'est mise à nu au propre et au figuré pour moi, elle m'a fait confiance et à la fin elle m'a sourit et m'a dit: "merci, pour une fois je sent que je peux sentir bon".
Les petits pas peuvent être des pas de géant. Petit à petit, en vivant toute les émotions, en déposant, en frappant sur un sac de farine à le déchirer s'il le faut mais en ne te faisant plus mal.
Petite histoire, je t'en raconterai une autre demain si tu veux, raconte m'en une autre si tu veux. J'espère que tu pourra un peu mieux dormir cette nuit... Je sent que pour moi le sommeil vient (prendre les vasodilatateurs plus tôt étaient une bonne idée) des poutoux
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Petite BD chrono-rapido
https://i.servimg.com/u/f19/18/65/60/53/bd_dia10.jpg
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Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
L’épicanthus ou pli épicanthique est un repli vertical de la peau qui s’étend de la paupière supérieure au bord du nez. Il est à l’origine des yeux bridés, une caractéristique physique présente notamment chez les personnes d’origine asiatique.
Les yeux bridés seraient issus de l'adaptation du corps humain au climat, des ancêtres de Sibérie orientale dont le pli protégeait l'œil de la forte réverbération du soleil sur la neige et sur la banquise, ainsi que le puissant blizzard soufflant alors sur ces plaines
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Stauk: Merci du partage Je dois avoir des origines lointaines alors
(Et puis, yeux bleus/peau blanche, faut se protéger du climat, mais ça, c'est autre chose )
(Et puis, yeux bleus/peau blanche, faut se protéger du climat, mais ça, c'est autre chose )
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Si tu as les yeux en amande bleux, ça doit être quand même pas mal du tout
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Oni: C'était un texte écrit à l'arrache, je ne sais pas si il faut vraiment y accorder de l'importance dans tous les propos. C'est un peu tout et son contraire, car quand je me relis, je me dis "mais tu ne penses pas ça nunuche! Tu vois bien que l'évidence n'est pas cela, que la vraie raison est ceci..." Parce que du coup, je suis d'accord sur le fait de me créer mon propre cadre Le jour où j'ai écris cela, je venais d'avoir une grande discussion sur le "cadre" avec mon orthophoniste et ça m'avait un peu dépité. Mais finalement j'y ai réfléchis et j'ai mieux compris le système de "cadre".
J'ai beaucoup aimée cette petite histoire avec la dame. C'est très touchant. Ca parait peut, mais c'est très symbolique en effet.
J'espère que tu passes une bonne nuit aussi et que les vasodilatateurs, enfin, leur source, n'est pas trop difficile à supporter. C'est drôle, je me dis "la pauvre, ça doit être dur" alors que ça fait 5 jours que j'enchaine les crises de névralgie et que j'en ai une en ce moment. Ce n'est pas comparable, mais c'est drôle ce détachement qu'on peut avoir face à sa propre douleur lorsqu'il s'agit de penser à celle des autres.
Demain, je posterais surement une autre petite BD, surement sur la névralgie. Je crois que j'ai besoin de m'exprimer sur cela aussi, parce qu'il est souvent difficile de décrire ce que je ressens à ce moment là (bon, il y a le portrait de la femme avec la moitié de visage souffrant, mais c'est encore autre chose, c'est plus concentré sur la douleur en elle-même que les aspects de la névralgie).
J'ai beaucoup aimée cette petite histoire avec la dame. C'est très touchant. Ca parait peut, mais c'est très symbolique en effet.
J'espère que tu passes une bonne nuit aussi et que les vasodilatateurs, enfin, leur source, n'est pas trop difficile à supporter. C'est drôle, je me dis "la pauvre, ça doit être dur" alors que ça fait 5 jours que j'enchaine les crises de névralgie et que j'en ai une en ce moment. Ce n'est pas comparable, mais c'est drôle ce détachement qu'on peut avoir face à sa propre douleur lorsqu'il s'agit de penser à celle des autres.
Demain, je posterais surement une autre petite BD, surement sur la névralgie. Je crois que j'ai besoin de m'exprimer sur cela aussi, parce qu'il est souvent difficile de décrire ce que je ressens à ce moment là (bon, il y a le portrait de la femme avec la moitié de visage souffrant, mais c'est encore autre chose, c'est plus concentré sur la douleur en elle-même que les aspects de la névralgie).
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Envie de voir la BD Encore en train de penser aux autres avant toi C'est sur que ça doit être infernal, soigne toi au mieux
Des poutoux
Des poutoux
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Tiens j'ai retrouvé ça que j'avais écris en 2009 pour un peu sortir le bazard, comme tu le fais avec tes BD
Douleurs
Douleurs qui pulsent aux tréfonds de soi aliénant à la fois le corps et l'esprit.
Nous projetant aux fonds de l'abîmes créant des chaines.
Douleurs qui obnubilent, qui ensorcellent
Nous restons à vivre au gré de ses battements d'ailes.
Douleurs physiques qui affaiblis au delà de l'anéantissement
Pourtant il faudrait briser nos chaînes, reprendre son envol.
Douleurs qui me fait perdre mon âme
STTTTOOOOOOOOOOOP
Je veux me retrouver et non plus me désincarner
Bon ce n'est pas de la super prose, mais ça m'avait aider un chouille de le mettre sur papier. Énormes câlins et bon we
Douleurs
Douleurs qui pulsent aux tréfonds de soi aliénant à la fois le corps et l'esprit.
Nous projetant aux fonds de l'abîmes créant des chaines.
Douleurs qui obnubilent, qui ensorcellent
Nous restons à vivre au gré de ses battements d'ailes.
Douleurs physiques qui affaiblis au delà de l'anéantissement
Pourtant il faudrait briser nos chaînes, reprendre son envol.
Douleurs qui me fait perdre mon âme
STTTTOOOOOOOOOOOP
Je veux me retrouver et non plus me désincarner
Bon ce n'est pas de la super prose, mais ça m'avait aider un chouille de le mettre sur papier. Énormes câlins et bon we
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
https://vimeo.com/19140477
Parce que tu es une des premières qui m'a accueillie, qui m'a fait rire, pour ta douceur. Parce que tu crée toujours, que tu es fatiguée aussi. Tu reste pour moi, une héroïne, j'envie ton courage et ta force.
Parce que tu es une des premières qui m'a accueillie, qui m'a fait rire, pour ta douceur. Parce que tu crée toujours, que tu es fatiguée aussi. Tu reste pour moi, une héroïne, j'envie ton courage et ta force.
Oni- Messages : 232
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je ne comprenais pas le sens d'"héroïne", mais la vidéo lui donne tout son sens
C'est très touchant; à la fois le court-métrage et ton message, Oni. Cela me met du baume au coeur, me donne envie de rencontrer du monde, tiens!
Tu es une chouette fille, vraiment
Je suis motivée à faire d'autres bédés, plus positives que celles que je viens de faire (et que je posterais surement dans la soirée), j'ai envie d'un peu d'optimisme pour changer!
Merci!
J'aime bien ton poème, le "stop" de la fin m'a bien fait rire!
C'est très touchant; à la fois le court-métrage et ton message, Oni. Cela me met du baume au coeur, me donne envie de rencontrer du monde, tiens!
Tu es une chouette fille, vraiment
Je suis motivée à faire d'autres bédés, plus positives que celles que je viens de faire (et que je posterais surement dans la soirée), j'ai envie d'un peu d'optimisme pour changer!
Merci!
J'aime bien ton poème, le "stop" de la fin m'a bien fait rire!
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Il fume trop le monsieur ?Oni a écrit:https://vimeo.com/19140477
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
C'est vrai que la voix est surprenante. C'est peut-être pour focaliser d'ouïe sur lui?
Diatribe- Messages : 1055
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Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Voilà les petites bds que j'ai fais dans la soirée... La deuxième est moins triste ^^'
https://i.servimg.com/u/f19/18/65/60/53/nyvral10.jpg
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Diatribe- Messages : 1055
Date d'inscription : 30/08/2012
Localisation : Entre mon espace-tempes.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Il a du prendre une surdose de ce cocktail là plutôt: "dopamine,sérotonine,ocytocine, estrogène et progestérone".
Il parait que ce n'est pas bon à prendre trop souvent, on vit dans un monde de nounours, on met des images de chats sans vraiment savoir pourquoi.
Et il faut surtout, surtout pas le dire trop fort, il y a un cadre même pour les hors cadre. Tu risque d'être souvent hors sujet. Un peu de temps en temps, histoire de pas heurter c'est bon.
Merdum, j'ai encore divagué, ou comme tu le dit Stauk, il a peut-être aussi un peu trop fumé
Diatribe, je comprends un peu mieux comment tu vis la névralgie avec la première BD et la deuxième m'a fait bien rire
Des poutoux
NB: J'ai énormément de mal avec les compliments, alors que les critiques je n'hésite pas à allez les chercher, merci puce de te sentir un chouille optimiste, ça me fait du bien aussi que tu apprécie mon côté bien, ça me fait chaud au cœur... Par contre maintenant j'ai la chanson "juste quelqu'un de bien" en tête
Bientôt, pour toi la rencontre IRL protège toi aussi un peu ou prend la patte du tigre, suit l'odeur de la truite ou du chou. Enfin, de tout ceux qui seront là pour te protéger et te tendre la main, ou tu pourra un peu te lover des poutoux. Aujourd'hui c Hammam hmmmmmmmmmmm
Il parait que ce n'est pas bon à prendre trop souvent, on vit dans un monde de nounours, on met des images de chats sans vraiment savoir pourquoi.
Et il faut surtout, surtout pas le dire trop fort, il y a un cadre même pour les hors cadre. Tu risque d'être souvent hors sujet. Un peu de temps en temps, histoire de pas heurter c'est bon.
Merdum, j'ai encore divagué, ou comme tu le dit Stauk, il a peut-être aussi un peu trop fumé
Diatribe, je comprends un peu mieux comment tu vis la névralgie avec la première BD et la deuxième m'a fait bien rire
Des poutoux
NB: J'ai énormément de mal avec les compliments, alors que les critiques je n'hésite pas à allez les chercher, merci puce de te sentir un chouille optimiste, ça me fait du bien aussi que tu apprécie mon côté bien, ça me fait chaud au cœur... Par contre maintenant j'ai la chanson "juste quelqu'un de bien" en tête
Bientôt, pour toi la rencontre IRL protège toi aussi un peu ou prend la patte du tigre, suit l'odeur de la truite ou du chou. Enfin, de tout ceux qui seront là pour te protéger et te tendre la main, ou tu pourra un peu te lover des poutoux. Aujourd'hui c Hammam hmmmmmmmmmmm
Dernière édition par Oni le Dim 26 Avr 2015 - 10:05, édité 1 fois (Raison : juste parce que j'avais oublié de dire merci à Diatribe)
Oni- Messages : 232
Date d'inscription : 09/04/2015
Age : 47
Localisation : dans mon chêne écoutant le bruit du vent
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Merci Oni, même tu as du mal avec les compliments... Tu es chouette!
Le chou et la truite, ça sent fort, normalement je devrais les repérer rapidement
Sinon, autre petite BD, après avoir songée au fait que la vie c'est de la merde:
https://i.servimg.com/u/f19/18/65/60/53/la_vie11.jpg
Le chou et la truite, ça sent fort, normalement je devrais les repérer rapidement
Sinon, autre petite BD, après avoir songée au fait que la vie c'est de la merde:
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Diatribe- Messages : 1055
Date d'inscription : 30/08/2012
Localisation : Entre mon espace-tempes.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Merci, tu pense que je ressemble un peu à Yul? Oui, tu ne devrais pas avoir trop de soucis.
Oui, parfois elle ressemble à ça et parfois pas... En espérant que le pas soit là majoritairement
Je te fais des bisous puce. Prends soin de toi
Oui, parfois elle ressemble à ça et parfois pas... En espérant que le pas soit là majoritairement
Je te fais des bisous puce. Prends soin de toi
Oni- Messages : 232
Date d'inscription : 09/04/2015
Age : 47
Localisation : dans mon chêne écoutant le bruit du vent
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Je viens de lire pour la première fois ton fil de présentation...
C'est très intense...
Je voulais te dire que j'ai beaucoup apprécié de faire ta connaissance au Breizh Deiz.
Je n'ai pas eu l'occasion de beaucoup échanger avec toi mais suffisamment tout de même pour voir tes qualités humaines.
J'espère que tu as apprécié ton week-end breton.
Je t'embrasse.
C'est très intense...
Je voulais te dire que j'ai beaucoup apprécié de faire ta connaissance au Breizh Deiz.
Je n'ai pas eu l'occasion de beaucoup échanger avec toi mais suffisamment tout de même pour voir tes qualités humaines.
J'espère que tu as apprécié ton week-end breton.
Je t'embrasse.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
Merci Gasta, c'est très gentil
J'ai énormément appréciée cette irl, même si le retour à la réalité fut difficile, j'ai appris que je pouvais le faire et même en profiter! Cela m'a redonné de la confiance pour l'avenir, c'était un grand bol d'air frais, cet échappatoire aux soucis.
Je t'embrasse aussi, et merci !
J'ai énormément appréciée cette irl, même si le retour à la réalité fut difficile, j'ai appris que je pouvais le faire et même en profiter! Cela m'a redonné de la confiance pour l'avenir, c'était un grand bol d'air frais, cet échappatoire aux soucis.
Je t'embrasse aussi, et merci !
Diatribe- Messages : 1055
Date d'inscription : 30/08/2012
Localisation : Entre mon espace-tempes.
Re: Présentation de (mais sans) Diatribe
ça me fait plaisir de lire cela
Quand je fais le bilan de ce week-end, le plus positif pour moi c'est d'avoir constaté le bien-être, le plaisir que tous ont eu pendant ce week-end en particulier des personnes qui peuvent avoir des difficultés par ailleurs.
Voir tel ou tel parler sans cesse, sourire, rire, plaisanter, danser, chanter.... être bien simplement...
Je profite de ton fil pour remercier ceux qui sur ZC font quelque chose au quotidien dans l'intérêt de chacun et de tous.
Quand je fais le bilan de ce week-end, le plus positif pour moi c'est d'avoir constaté le bien-être, le plaisir que tous ont eu pendant ce week-end en particulier des personnes qui peuvent avoir des difficultés par ailleurs.
Voir tel ou tel parler sans cesse, sourire, rire, plaisanter, danser, chanter.... être bien simplement...
Je profite de ton fil pour remercier ceux qui sur ZC font quelque chose au quotidien dans l'intérêt de chacun et de tous.
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