Histoire de créer
+19
CakeCitron
Bilobo
Tennessee
Pola
Bretonne
Arius
Yul
Chacal a louf
LhaleeTreize
Stauk
A Deluxe Artisan
Carla de Miltraize VI
Diatribe
Chat Bleu
Manubaliste
Weigela
Sneglia
guyom zigre doUx
Sol œil
23 participants
Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Discussions libres :: Jeux d'écriture, jeux de mots, vocabulaire
Page 2 sur 5
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte.
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille emotionnel
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille emotionnel
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets
- Spoiler:
- Au bout de quelques paragraphes, le texte pourrait peut-être être clos pour former une entité unique et lisible (on sait qu'au delà d'une certaine longueur, personne ne lira plus l'ensemble avant d'ajouter sa patte), et un nouveau serait alors commencé ?
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
- Spoiler:
- Oui on va faire sa dans une page je pense et écrire une nouvelle histoire
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancolique, antipathique, et ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancolique, antipathique, et ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin,
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin,
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant ...
Diatribe- Messages : 1055
Date d'inscription : 30/08/2012
Localisation : Entre mon espace-tempes.
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes soulliers ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes soulliers ...
Manubaliste- Messages : 74
Date d'inscription : 24/03/2015
Localisation : Très précisément ici.
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeau humide
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeau humide
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos coeurs ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos coeurs ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos coeurs ont déjà oublié
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos coeurs ont déjà oublié
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu...
Invité- Invité
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et ...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives ...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente à attendre que ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente à attendre que ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler...
LhaleeTreize- Messages : 987
Date d'inscription : 10/10/2014
Age : 36
Localisation : Dans mes chaussures en général.
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous
Chacal a louf- Messages : 39
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyions les sombres
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyions les sombres
Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 31
Localisation : au gré des vents
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Sujets similaires
» Suis-je un zèbre ? Mon histoire.. Partageons nôtre histoire, nos questions et nos doutes..
» EVOLUTION ET VISUALISATION...
» de file en file , les histoire se filent . comme anansi je vais tisser mon histoire
» Z'ai braillé toute la journée et hier aussi...
» Vous en faites quoi de votre douance?
» EVOLUTION ET VISUALISATION...
» de file en file , les histoire se filent . comme anansi je vais tisser mon histoire
» Z'ai braillé toute la journée et hier aussi...
» Vous en faites quoi de votre douance?
Forum ZEBRAS CROSSING :: Prairie :: Discussions libres :: Jeux d'écriture, jeux de mots, vocabulaire
Page 2 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum