Survivre aux matins indociles. (espoir, travail seul remède) quand se battre?
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Survivre aux matins indociles. (espoir, travail seul remède) quand se battre?
Si au moins je savais la raison cette punaise placardée à mon front,
Où gît la sècheresse d'une plaie coagulée d'une bannière de peur sans horizon...
J'entends mon corps où saillissent des décès en seuls choix; la cave sourde brûle à mes poumons.
Et les rictus tracent un plan sans repos jusqu'à mes dents, à mes dents râpant le vide d'un aboiement qui ne veut pas pleurer.
Les nuits s'allongent dans un souffle coupé, la sécheresse au palais comme le vide de mes amours sans oraisons;
Hey attends! elle me désire, elle aussi! pourtant j'ai creusé la mort qui empreinte mes artères de regrets sans oxygène dans une ultime punition.
Des regrets plein les cales, je tangue sans un mot sur l'océan; mes os sentent encore l'odeur de la chair...
Encore ce matin un jour muet se distille, je n'ai plus la force, il pleut de façon incessante dehors... juste l'espoir: mourir oui, mais dans une lumière sans cauchemar, vif espoir!
Il me semble atteindre un virage dont je n'en sors jamais, combien de temps ici encore et où irais-je sans ma viande? les questions sont des lames d'une l'absence totale, le grésillement des fatigues sans grappin, amène sans bruit l'abîme à mes yeux...
Calme je me veux; il est des schèmes comme des trames, des tramways sur des rails imaginaires, poussent mon âme à croire enfin au quai d'une gare.
Je ne sais plus de ne plus en pouvoir
Où gît la sècheresse d'une plaie coagulée d'une bannière de peur sans horizon...
J'entends mon corps où saillissent des décès en seuls choix; la cave sourde brûle à mes poumons.
Et les rictus tracent un plan sans repos jusqu'à mes dents, à mes dents râpant le vide d'un aboiement qui ne veut pas pleurer.
Les nuits s'allongent dans un souffle coupé, la sécheresse au palais comme le vide de mes amours sans oraisons;
Hey attends! elle me désire, elle aussi! pourtant j'ai creusé la mort qui empreinte mes artères de regrets sans oxygène dans une ultime punition.
Des regrets plein les cales, je tangue sans un mot sur l'océan; mes os sentent encore l'odeur de la chair...
Encore ce matin un jour muet se distille, je n'ai plus la force, il pleut de façon incessante dehors... juste l'espoir: mourir oui, mais dans une lumière sans cauchemar, vif espoir!
Il me semble atteindre un virage dont je n'en sors jamais, combien de temps ici encore et où irais-je sans ma viande? les questions sont des lames d'une l'absence totale, le grésillement des fatigues sans grappin, amène sans bruit l'abîme à mes yeux...
Calme je me veux; il est des schèmes comme des trames, des tramways sur des rails imaginaires, poussent mon âme à croire enfin au quai d'une gare.
Je ne sais plus de ne plus en pouvoir
oyans- Messages : 2733
Date d'inscription : 13/04/2014
Age : 50
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