De terribles difficultés avec mon entourage

J'essaie de m'exprimer de façon claire, mais aucun de mon entourage ne me répond de manière satisfaisante quant à mes propres volontés auxquelles j'ai bien du mal à accéder, notamment je voudrais que des choses simples pas plus et rien de moins; obtenir mon passeport et partir du lieu où je vis car il ya une drôle d'ambiance étant donné qu'ils savent à peu près tous que je souffre d'une pathologie psychique complexe que les traitements sont lourds et difficilement supportables de plus, du fait mes comportements un peu en décalages à cause d'être sédaté. Là je suis en voyage pour peu de temps, par la suite je dois rentrer dans ce petit village où je ne m'y sens pas au top, tout cela sans ami(e)s, personne de disponible à m'aider à avancer en ce quoi je désire, c'est à dire quitter la France, chose que ne réfutait en rien mon premier psychiatre, il en advint à ce que je découvre que finalement d'autres malades est cette opportunité d'enfin vivre un peu mieux qu'ici, en effet vous vous en doutez,le revenu des handicapés frise l'indécence, souvent je serais au rouge, à découvert. seulement et malheureusement le décès de mon père me donna un plus qui fond au soleil graduellement, car je ne peux pas travailler, certes ma mère me soutient un peu et je ne ressens que de l'amertume d'être sous la coupe du matriarcat qui sachant son pouvoir, usurpe parfois les droits fondamentaux de l'individu, pas par méchanceté, mais bon c'est ainsi...
tous sont aristotéliciens et prônent sa souveraineté scientifique et c'est très bien, font leur job pour le bon fonctionnement sociétal font des enfants, font de l'échangisme, regardent la télé, lisent aussi des livres c'est vrai... c'est parfait, parfait.
Je trouve la société fantastique, ces choses qu'on invente, pas le coussin péteur, mais le bras qui bouge pour un enfant à qui il en manquait un, cela coupe le souffle, on resterait des heures devant la télé à regarder ce bras qui bougent... d'ailleurs entre autre, hier, j'étais sur Paris et les gens vraiment magnifiques, mais l'endroit de la capital laissait envisager à mon esprit un pathétique, tout allait très vite, en fait que de la circulation... peu de gens flânaient et semblaient comme emportés sans but, ni finitude, c'était en fait un peu triste...
Comme je ne produis plus d'art mas seule façon d'exister, ma vie est devenu un calvaire, mon frère ne m'aide en rien et je pense que l'inconnu lui fait un peu peur, alors il garde ses distances ayant peur de la spontanéité de mes réactions qui sont souvent suggérés par cette même appréhension et ma mère privilégie de me voir malade mourant et solitaire (sous contrôle en quelque sorte, que d'être dans la tentative d'être heureux.
Je n'ai jamais été aussi malheureux que depuis que je suis en AUVERGNE! JAMAIS!! je pense pas m'en sortir cette fois-ci par manque d'aide de ma mère plus particulièrement ainsi que du système social, qui est face à mes demandes dans l'omerta. du coup je perds courage et ma santé, tandis qu'eux sont au chaud chez-eux à rire et s'amuser, sans même soupçonner à quel point j'ai besoin d'évacuer de france pays bien trop cher pour un handicapé esseulé, je comptais sur la gouvernance de gauche en place pour me faciliter d'obtenir du concret et rien, pas un signe digne du social, on dirait qu'il se désintéresse des soucis peuple finalement.

L'un de mes plus grands problèmes est de ma part à l'évidence, non pas un refus mais c'est indéniablement dans ma nature que d'être justement naturel et psychologiquement c'est difficilement assimilable pour un psychologue que de saisir ce en quoi je suis dans l'impossibilité de me soumettre, car en effet n'ayant absolument rien e ne peux que me soumettre, mais je ne suis pas épictète non plus...
ça ne veut pas dire meilleur ou pire, ça je m'en fous, ce que je veux c'est améliorer mon état de santé, délaissé pendant un an par la psychiatre du cmp où je me rendais habituellement, là je pense être plus serviable, je pense qu'un bon psychologue choisirait le dialogue intelligent plutôt qu'une épreuve de force qui n'aboutirait pas.

A savoir au passage la poésie, les arts majeurs sont au même titre que les sciences, je vous amènerais donc à lire la poétique d'Aristote et d'envisager en quoi cet aphorisme nietzschéen est par la même occasion l'ignorance crasse d'un philologue dénué de subtilité.
dans le genre "les artistes sont plus malins que les scientifiques qui ne sont que des sots."
je ne désespère pas qu'à mon retour je retrouve enfin quelques bonnes volontés, tant au niveau social, qu'au gouvernement prêt à épauler ma demande favorablement.

OK. Envoie la sauce.

zelle a écrit:OK. Envoie la sauce.

Salut zelle, pourquoi? je ne veux qu'un endroit sans perturbation c'est tout...

ah, non . Envoi la sauce, cela voulait dire que j'attendais tes posts suivants. Désolée.

J

zelle a écrit:ah, non . Envoi la sauce, cela voulait dire que j'attendais tes posts suivants. Désolée.

J

j'en ai produit deux, l'un sur qu'est-ce qui me pousse à vivre mon célibat et l'autre sur la représentation actuelle de la poésie , science au-dessus des autres, tant au-dessus qu'elle rejoint la métaphysique, comme la philosophie a été rejetée par la métaphysique, la philosophie n'étant plus que l'amalgame passe-partout des différentes croyances, assujetties à ce qui est de l'ordre du comment mieux vivre dans le monde, reportant l'institutionnalisation des religions dont l’étymologie est incertaine et la traduction de la définition inexacte à un concept formel déduisant l'introduction à toutes pensées conscientes Zelle:D bises