Dieu divin, ô sensibilise-moi à l'odeur du bacon grillé pour pister les cerveaux qui cogitent.

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Message par Svmplǝx-ABC123 Mer 21 Oct 2015 - 23:50

Cette présentation est scellée parce qu'elle contracte la malédiction de l'excessif conformisme passif. "Sois stupide et la mésentente découlera chimériquement de tes gestes" n'est plus une mesure que j'affectionne approximativement. La citation suivante en dira plus long à mon égard qu'une pareille présentation longue de cent pages.

« She had always been alone. She had grown into silence with a forced dignity, rebellion hiding behind white gowns, hands pressed together in search of self-enlightenment. And in the quiet, she observed the world. She witnessed history in waves of a detached chaos, not only as a spectator, but as an unwilling instrument of hostility. And even this overwhelming connection to the masses who passed her by, there was no companionship, no reciprocation of feeling. Forever in conversation with herself, a relationship with her mind was not what she had hoped for. Yet, even now,  after chasing dreams of a shared life, an absolute spiritual connection, she was left in perpetual self-reflection. It was not his fragmented desertion which had shaken her, it was the sensation of everlasting silence, spreading across tired memories into visions of the future. »

— Celestial Dynasty





Spoiler:


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Message par  Jeu 22 Oct 2015 - 11:30

Te me fais penser à numéro 6, version jeune et femme.
Je t'indique son fil: https://www.zebrascrossing.net/t21416-je-ne-suis-pas-un-hqi-je-suis-un-homme-libre
Faut que tu lui envoies des photos de toi en bas résilles.



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Message par Svmplǝx-ABC123 Jeu 22 Oct 2015 - 17:31

Edit: Cf. premier post.


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Message par  Jeu 22 Oct 2015 - 19:12

Oulàlàlàlà, j'ai rien bité.
Mon bacon est trop gras et flasque pour te suivre.
Je te lirai un peu plus discrètement.

Je pars en vacances, bon week end.

Et bienvenue Svmplǝx. flower

edit: purée, l'angoisse existentielle d'un coup silent



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Message par Yul Jeu 22 Oct 2015 - 20:57

Bienvenue Smile
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Message par  Ven 23 Oct 2015 - 16:00

Finalement, j'ai fait mon interprétation du truc.

surexploité:


J o i e
silence:


C o l è r e
vacarme:


T r i s t e s s e
silence:


D é g o u t
vacarme:


P e u r
silence:


É m e r v e i l l e m e n t
...:



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Message par W Ven 23 Oct 2015 - 16:27

Je ne viens pas tamponné,
tel que spécifié,
je ne viens pas, tout court,
laissant la naturelle sélection sociale t'agrémenter de messages d'êtres appréciant et recherchant l'échange,
qualités que ma sinistrose empêche autant qu'elle ne permet, sans même évoquer l'espérance de qualités offrant une assidue réception.

W

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Message par  Ven 23 Oct 2015 - 18:10

@kwagga-banni:



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Message par Svmplǝx-ABC123 Sam 24 Oct 2015 - 15:57

@Silent

    Phase une

Hmm. Bacon.

Spoiler:

Merci Silent ! sunny

PS: C'est normal, disons qu'associer de la purée et du bacon est sûrement assez insolite pour être stressant.


    Interphase

« Les coureurs sont dûment alignés, le regard sanguinairement agrippé à quelque point infiniment lointain droit devant eux. Quelle brassée d'hormones mes amis, quelle vigueur musculaire ! Des jambes palpitent, d'autres sont plantées dans le sol comme des obélisques. Toutes grésillent de ces décharges invisibles au nom desquelles vocifère le public en une clameur commune, qui retourne certainement toute la ville à des lieues à la ronde comme un ouragan déchaîné. Et c'est PARTI, mesdames et messieurs ! S. frappe la balle d'un revers qui l'envoie frôler le filet, et c'est un amorti de la poitrine majestueux, et... il ramasse ses clubs, ses balles, et se dirige vers la plage et l'eau azur. Les danseuses couvertes de feuilles de palmier s'agitent gracieusement, compressées dans leur costume de plastique comme des pieds dans des sabots. On ne doute pas qu'elles sont impatientes d'aller s'en fumer une au break de midi. S. pose sa lingette de plage. Il s'étire. Prêt... PLONGEZ ! Le voilà déjà dans le peloton de tête propulsé par de la nage papillon, devant les bonnets du pays d'Irlande et celui d'Écosse, et... »

Mise en scène assurée par Old Spice™️:


    Phase 2

Super explicite !

Mi-spoil, note banale:

Je sens que je vais finir par demander à tout va de représenter des émotions comme ça. Et ça y est. Je l'ai fait; un edit trône maintenant sur ma présentation. Un projet de banalisation humaine et de mise en lumière (les deux à la fois) s'empare de mon esprit depuis quelques temps déjà, et peut-être qu'il naîtra bien que sans doute plus tard... Je me dis que certaines sociétés sont du genre à garder une petite serviette pour se tamponner le coin de la lèvre lorsqu'un inconnu s'assied sur un siège trop près du leur, dans un transport en commun. Ou à penser d'autres sociétés primitives, comme Jean penserait Eudes primitif parce qu'il n'est pas Jean. Mais Jean-Eudes. Alors j'envisage un projet journalistique, un peu similaire à celui de Brandon Stanton et "Humans of New York: stories", pour la petite explication.

(Brandon Stanton)


Silent a écrit:Finalement, j'ai fait mon interprétation du truc.

Surexploité, bis :

Je ne saurais dire quoi de l'homme qui dévisage avec des lances bleu sans âge, de la voix qui sautille sur des flaques de glace ou de la floraison arborescente du tableau de parole m'a maintenue scotchée à la vidéo.



  • C'est l'histoire d'un corps, inextricablement petit et limité dans ses moyens, qui se déplaçait au gré des courants dans une mêlasse d'événements qui le transcendaient. Il ressentait de tout, de toutes les pressions sur sa chaire vivement ouverte par des pores que le corps ne contrôlait pas, quelle que soit l'avancée de son existence. Humain un jour, humain toujours.

    D'un courant des profondeurs ou des surfaces à un autre, sans repères clairs sur le sens du monde et de son corps dans le monde, il devint au fil des âges conscient de son bâtissement à l'image du monde. Celui-ci avait modelé le corps, fait ses formes, construit ce qui permit ensuite à la masse flottante de se sentir elle-même et de sentir l'univers grâce à une essence un peu distincte, ni totalement corps, ni totalement esprit, qui voletait d'une lueur de présence à une autre.

    Cette sagesse perdue, dans le creux des cocons de carbone et de suie, dans celui des hoquets de terreur ou de cris, mais aussi parmi les chants de joie fluette et de bonheurs profonds, dormait comme l'ours en hiver. Le corps avait tout oublié de son passé. Il ne savait que la mesure des cocons.

    Un mètre par-ci tenait un sentiment petit, une longueur par-là encerclait un sentiment grand. Ils étaient bien forcés d'admettre, parfois, que la mesure était elle aussi limitée et certains en déduisirent secrètement que le sentiment était une valeur, sachant que la valeur n'est pas mesurable. Des enclos à bannissement des sentiments haïs existaient, et perduraient encore quoique de moins en moins, et l'émoi désagréable était fauché dès son apparition par des corps somnambules à l'air de zombies. Outragés par l'innée limitation de leurs gestes, ils frappaient à mort les sentiments damnés; déjà limités, ils n'allaient pas encore en plus se sentir agressés.

    C'est alors que montèrent des clameurs, de-ci, de-là, dont on ne sait pas bien la provenance et que d'aucuns disent encore aujourd'hui, l'oeil malicieux, que c'étaient les sentiments eux-mêmes qui les originèrent. Il fut parfois entendu, dans ces clameurs suppliantes, que les sentiments étaient des messagers, des coursiers, et que l'on réagissait naturellement à leur couleur propre; bleu, vert, jaune, orange, violet, et j'en passe, par des réactions physiques. Il fut également dit que, par la force de ces violences prématurées, les enclos dans lesquels furent autrefois convoyés les sentiments, comme des bêtes à abattre ou des peuples à génocider, et maintenant vidés, demeurent croulants sous des montagnes de lettres et de missives perdues que les toges colorées occultaient.

    Il n'est de plus vain dessein que de cloitrer des messagers, autant que de s'entraîner à ne plus percevoir les couleurs. Chez les plus chanceux, des tableaux de taches de peinture ornent les sols de l'être sur des tapis de lettres égarées. Chez les plus malchanceux, des gouffres percent un sol châtié par la douleur, comme un corps souffrirait d'un rat piégé sous cloche mise à feu, qui se verrait contraint de creuser la chair pour fuir les flammes.



•••

Lagaffe, et le dégoût qu'il suscite souvent auprès des personnages de la BD. C'est ce que j'ai vu en premier avant de voir le reste. À croire que l'activité qui s'oppose bien involontairement à la bureaucratie alimente autant d'émotions qu'une bouse de vache. La bureaucratie suscite le sentiment du propre, du plaisant, et de l'attrait viscéral ? Les gens auraient-ils peur d'être contaminés par le reste comme par la saleté et les microbes, que véhiculent en théorie les choses rebutantes ? Ce qui expliquerait par exemple la répulsion que peuvent éprouver d'aucuns qui ne cautionnent pas certains systèmes dits régulateurs d'une société. Cela dit, est-ce une contamination virale, ou un rejet de la partie d'eux-mêmes qui veut aussi vivre l'expérience d'une certaine liberté d'être soi que ça suggère ? Questionnement spontané du jour, bonjour.

La peur et ce tonnerre, sans parler de la pluie et de sa manière de pénétrer par la force nos sens en les monopolisant, c'est une façon glument intéressante de représenter la chose d'une façon aussi indirecte que percutante... !  rendeer

Quant à l'émerveillement, et Björk, ça peut être synonyme, quoi.
      Je suis justement en train d'apprendre à me faufiler dans les tranchées, sous le vol des projectiles, pour conserver mon imagination avec intégrité. L'âge adulte, selon certains, c'est le renoncement aux caractéristiques avec lesquelles on est né, comme si elles appartenaient nécessairement au royaume du non-mûr. C'est il me semble surtout l'extension métamorphosée d'une période, et la responsabilité enfin pleine d'assumer ce que l'on est, en étant alors le capitaine des changements à entreprendre pour vivre en accord avec soi-même et le monde simultanément. L'imagination ne fait pas de mal, et y concourt, d'autant plus qu'elle est l'ingrédient des esprits ayant fait avancer la société d'une manière ou d'une autre. Pensée spontanée du jour, bonjour.
Ô capitaine mon capitaine:

      Bref, et j'adore cette chanson !
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Message par Svmplǝx-ABC123 Sam 24 Oct 2015 - 16:22

@Kwagga

Kwagga a écrit:Je ne viens pas tamponné, tel que spécifié, (...)


Quelle adroite manière de parler sans parler. On dirait une courbe verbale.

Courbe verbale:


La sélection sociale naturelle, c'est un terme que j'employais très cyniquement pour témoigner du dilemme de "l'exprimant". C'est l'autocondamnation involontaire de quelques uns qui font le choix d'écrire d'une manière qui risque d'être vue comme trop abondante par la majorité des gens, et par laquelle manière lesdits gens, qui pour une raison ou pour une autre n'ont pas d'affinités avec les longs textes en dehors des livres, se défont immédiatement de la lecture.

Ce n'est pas un terme péjoratif non plus, malgré le cynisme dont je peux faire preuve ; juste la représentation de ce sentiment parfois aigre-doux d'avoir encouru la distance sociale par le fait d'avoir courageusement ou du moins décidément été soi-même.

C'est aussi à différencier du manque de synthèse, et ça se témoigne par exemple par le sentiment suivant: "Oh, zut alors, j'ai déjà tellement réduit. Oh, et chaque élément met en lumière quelque chose de spécifique. Allons bon, allons-y, et on verra plus tard si je serai enterré dans un petit coin du cimetière mal entretenu et employé pour la commodité des chiens errants, ou à côté des miens marbrés." C'est le Syndrome de la "Croix de bois, Croix de marbre. Si je mens sur mon identité je vais au paradis".
   Mais, tout ça, c'était avant que les spoilers n'existent. Hommage à toutes les croix de bois. C'est encore un tantinet cynique, il faut que j'aille consulter.

•••

Quant à l'espérance, la fais-tu mienne ? Je suis condamnée à être curieuse de tous, et n'ai en conséquence de quoi pas d'attentes ou d'espérances simultanées ou qui chevaucheraient cette condition parfois rude. Cette présentation décrit uniquement les ingrédients, mais pas la tablée.

•••

Et j'ai cherché dans mon glossaire des conditions humaines sinistrose et y ai dégoté ce qui va suivre. Peut-être est-il complètement dépassé ou amalgamant...


  • Sinistrose, n.f.
    Phénomène de possession d'un être humain par des hérissons mythiques, chevaleresques pour d'aucuns, démoniaques pour d'autres, auxquels on ne croit qu'après expérience. Entourant un esprit baudruche d'une herse circulaire naturelle, ils préviennent le contact proportionnellement à la sensibilité du ballon à l'air. La plupart des ballons susceptibles d'être possédés se gonflent à chaque brise comme les vagues se gonflent à chaque courant, et il devient plus requis encore que jamais de prévenir l'affluence d'intrus lors de ces moments de lien avec la météo. La herse étant finie, inerte, doit néanmoins se desserrer quand le ballon gonfle, et l'espacement ainsi créé pourrait contrecarrer le rôle des hérissons mythiques, qui est donc de conjurer le sort de l'éclatement par le contact. Celui-ci requérant que deux individus se rapprochent, et donc qu'un souffle bien plus furieux que celui d'une brise aléatoire ne fasse fureur, c'est pourquoi les piques du hérisson sont en général extensibles alors que son ventre doux et chaud est élastique.


Alors, tes chaussettes, pourquoi des motifs sinistrés ?
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Message par Svmplǝx-ABC123 Sam 24 Oct 2015 - 16:25

Yul a écrit:Bienvenue Smile

M e r c i, Yul ! (dégradé chaleureux)

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Message par  Sam 24 Oct 2015 - 23:37

Björk - it's oh so quiet:



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Message par Svmplǝx-ABC123 Dim 25 Oct 2015 - 10:09

Tu as fait dans le narcissisme ? Alors là je ne te suis plus... A. Par des messages subliminaux, B. c'est cette tendance zèbre à s'autoanalyser excessivement et trouver le pou tandis que ce n'est qu'un flocon de neige, C. hum, D. autre ? Je sens poindre l'ironie mais je ne sais pas l'originer... (smiley aléatoire)
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Message par  Dim 25 Oct 2015 - 11:00

Beh... so quiet=silent ralentis=si lent. Dans l'émerveillement, c'est plutôt narcissique.
Nan mais pas grave, manquerait plus que mes conneries transparaissent - ce serait flippant.
Le véritable problème étant que je ne savais pas quoi répondre après ton dernier post, mais je me sentais le devoir de dire quelque chose.

Bon, sinon, qu'est-ce qu'il te faut réformer pour reformer tes personnalités en "toi"?
Svmplǝx-ABC123 a écrit:Personnalités, reformez-vous en « moi ». J'insiste.



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Message par #Stone-electron# Dim 25 Oct 2015 - 12:06

Bêêêêê

toutes les êêêêêmotions:
p'lêêêêêne, ma p'lêêêêêne:

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