Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
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zétoile
Ardel
djidje
Hel
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Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Bonjour à tous,
Voilà un exercice terriblement difficile quand on ne sait pas qui on est et par où commencer pour essayer de se définir. Mais inspiré par vos témoignages, par la bienveillance des lecteurs, et aussi par le fait que cet espace totalement libre ne sanctionne pas le nombre de caractère….Je me jette à l’eau
Étant ce moment dans le plus creux du creux de la vague je suis incapable d’utiliser mon irréprochable lucidité habituelle pour me présenter, et peut-être que pour éviter de ne vous dire que des banalités et vous livrer ce qui s’apparenterait à un CV ; il vaut mieux que je vous présente le pourquoi du comment je suis arrivée ici.
Début juillet l’émission de radio « ça va pas la tête » sur France Inter a diffusé une émission titrée : « Au secours je suis trop intelligent » Les invités étaient JSF, Béatrice Millêtre et un autre psychiatre dont j’ai oublié le nom. Je n’écoutais pas cette émission, mais dans la journée j’ai reçu de nombreux messages d’amis « Tiens, écoute ça on dirait toi !! « « Trop drôle on parle de toi à la radio » etc etc…
À la vu du titre, et ayant autre chose en tête cet été, je n’ai pas pris la peine de l’écouter. C’est seulement en septembre, quand ma tentative de reconversion pour essayer d’avoir un avenir s’est avérée un véritable supplice que j’ai décidé d’écouter le podcast.
Émission brouillon et pas très organisée, donc assez intéressante, mais quand même…
J’ai fait la rencontre auditive de Béatrice Millêtre ! Que j’ai trouvé (attention c’est ridicule d’avoir ces impressions sans même rencontrer la personne) patiente, attentive, sincère et vraie. Beaucoup moins revendicatrice et « commerciale » que JSF (dont j’admire le travail par ailleurs).
Suite à cela est venu le moment de lecture. J’ai choisi le livre de BM : « Petit guide à l’usage des gens intelligents qui ne se trouve pas très doués » ; je ne me voyais pas lire celui de JSF sur les adultes surdoués, ça me paraissait un peu « prétentieux ».
Et là…comment dire, j’ai atteins un état de désespoir mélangé à un nouvel espoir, un état étrange où j’explosais en sanglot et ceux presque à chaque nouvelle page.
J’ai toujours dit que j’aimerai remplir un questionnaire et qu’à la fin on me dise : « voilà qui vous êtes ». Lire le livre de BM me faisait un peu cet effet, comme si son livre était la restitution des conclusions de ce teste !
Le livre est court et bien écrit, on en fait qu’une bouchée.
Puis quelques jours plus tard, le hasard à voulu qu’un ami, me parle du livre de JSF. Je me suis dit alors que je pouvais peut-être oser le lire.
Et là…moi qui croyais être tombé au plus bas j’ai encore dégringolé de plusieurs mètres dans un abysse profond où je ne sais plus rien, je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ce en quoi je peux croire etc. C’était tellement tellement troublant de se lire comme ça sur du papier, qu’on se dit « est-ce que j’y crois parce que je le lis ? Est-ce que j’ai ces idées en tête parce qu’elles sont écrites noires sur blancs ou parce que je les avais avant, en moi ? » La lecture a été terriblement éprouvante, physiquement, émotionnellement, je ne savais pas que j’avais si peu d’inhibition pour pleurer autant en public (impossible d’arrêter ma lecture, je lisais pendant mes pauses, mes pauses déjeuners, dans le métro etc) .
Tout ceci arrive à un moment de ma vie où tout est compliqué, travail / amour / logement / famille / amitié… je n’ai plus la force de m’adapter, tout va mal, tout me désespère, et pour la première fois je n’ai pas de plan B voir C ou D . Véritable girouette qui rebondis depuis 10 ans, je n’ai plus la force et pire que tout je n’ai plus d’idées.
J’ai trouvé ce forum alors que j’étais motivée par une envie de rencontre « en vrai » avec d’autres, d’autres pas tout à fait comme les autres. Et puis je vous ai lu, avec intérêt et plaisir, mais je n’arriverai pas à franchir le cap des rencontres en chaire et en os, je n’y arriverai pas car je ne me sens pas légitime ! Alors la moindre des choses que je pouvais faire était de me présenter, ne pas rester dans un cet état proche du voyeurisme, où je me nourri de toutes vos expériences et vos témoignages, sans y participer. Mais c’est dur, c’est très dur, parce que je me sens interdite !
La peur du résultat d’un test de QI a été de nombreuse fois évoquée, comme beaucoup je suis dans le besoin d’avoir des réponses, des réponses inébranlables mais je suis paralysée par le « et si ce n’est pas ça non plus ». C’est mon frère qu’on a toujours « suspecté » dans la famille, mon frère qui a cette intuition mathématique fulgurante, moi j’étais, je suis « l’originale » celle qui ne fait jamais rien comme les autres, la littéraire avec un problème de dysorthographie, vous apprécierez l’ironie ! Quoi qu’il en soit j’essaie d’arrêter de me défiler et j’ai rendez-vous à la fin du mois avec une psychologue. Peut-être suis-je simplement une neuro-droitière, peut-être suis-je zebrée, peut-être les deux où rien du tout, mais il faudra bien que je trouve.
Voilà un exercice terriblement difficile quand on ne sait pas qui on est et par où commencer pour essayer de se définir. Mais inspiré par vos témoignages, par la bienveillance des lecteurs, et aussi par le fait que cet espace totalement libre ne sanctionne pas le nombre de caractère….Je me jette à l’eau
Étant ce moment dans le plus creux du creux de la vague je suis incapable d’utiliser mon irréprochable lucidité habituelle pour me présenter, et peut-être que pour éviter de ne vous dire que des banalités et vous livrer ce qui s’apparenterait à un CV ; il vaut mieux que je vous présente le pourquoi du comment je suis arrivée ici.
Début juillet l’émission de radio « ça va pas la tête » sur France Inter a diffusé une émission titrée : « Au secours je suis trop intelligent » Les invités étaient JSF, Béatrice Millêtre et un autre psychiatre dont j’ai oublié le nom. Je n’écoutais pas cette émission, mais dans la journée j’ai reçu de nombreux messages d’amis « Tiens, écoute ça on dirait toi !! « « Trop drôle on parle de toi à la radio » etc etc…
À la vu du titre, et ayant autre chose en tête cet été, je n’ai pas pris la peine de l’écouter. C’est seulement en septembre, quand ma tentative de reconversion pour essayer d’avoir un avenir s’est avérée un véritable supplice que j’ai décidé d’écouter le podcast.
Émission brouillon et pas très organisée, donc assez intéressante, mais quand même…
J’ai fait la rencontre auditive de Béatrice Millêtre ! Que j’ai trouvé (attention c’est ridicule d’avoir ces impressions sans même rencontrer la personne) patiente, attentive, sincère et vraie. Beaucoup moins revendicatrice et « commerciale » que JSF (dont j’admire le travail par ailleurs).
Suite à cela est venu le moment de lecture. J’ai choisi le livre de BM : « Petit guide à l’usage des gens intelligents qui ne se trouve pas très doués » ; je ne me voyais pas lire celui de JSF sur les adultes surdoués, ça me paraissait un peu « prétentieux ».
Et là…comment dire, j’ai atteins un état de désespoir mélangé à un nouvel espoir, un état étrange où j’explosais en sanglot et ceux presque à chaque nouvelle page.
J’ai toujours dit que j’aimerai remplir un questionnaire et qu’à la fin on me dise : « voilà qui vous êtes ». Lire le livre de BM me faisait un peu cet effet, comme si son livre était la restitution des conclusions de ce teste !
Le livre est court et bien écrit, on en fait qu’une bouchée.
Puis quelques jours plus tard, le hasard à voulu qu’un ami, me parle du livre de JSF. Je me suis dit alors que je pouvais peut-être oser le lire.
Et là…moi qui croyais être tombé au plus bas j’ai encore dégringolé de plusieurs mètres dans un abysse profond où je ne sais plus rien, je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ce en quoi je peux croire etc. C’était tellement tellement troublant de se lire comme ça sur du papier, qu’on se dit « est-ce que j’y crois parce que je le lis ? Est-ce que j’ai ces idées en tête parce qu’elles sont écrites noires sur blancs ou parce que je les avais avant, en moi ? » La lecture a été terriblement éprouvante, physiquement, émotionnellement, je ne savais pas que j’avais si peu d’inhibition pour pleurer autant en public (impossible d’arrêter ma lecture, je lisais pendant mes pauses, mes pauses déjeuners, dans le métro etc) .
Tout ceci arrive à un moment de ma vie où tout est compliqué, travail / amour / logement / famille / amitié… je n’ai plus la force de m’adapter, tout va mal, tout me désespère, et pour la première fois je n’ai pas de plan B voir C ou D . Véritable girouette qui rebondis depuis 10 ans, je n’ai plus la force et pire que tout je n’ai plus d’idées.
J’ai trouvé ce forum alors que j’étais motivée par une envie de rencontre « en vrai » avec d’autres, d’autres pas tout à fait comme les autres. Et puis je vous ai lu, avec intérêt et plaisir, mais je n’arriverai pas à franchir le cap des rencontres en chaire et en os, je n’y arriverai pas car je ne me sens pas légitime ! Alors la moindre des choses que je pouvais faire était de me présenter, ne pas rester dans un cet état proche du voyeurisme, où je me nourri de toutes vos expériences et vos témoignages, sans y participer. Mais c’est dur, c’est très dur, parce que je me sens interdite !
La peur du résultat d’un test de QI a été de nombreuse fois évoquée, comme beaucoup je suis dans le besoin d’avoir des réponses, des réponses inébranlables mais je suis paralysée par le « et si ce n’est pas ça non plus ». C’est mon frère qu’on a toujours « suspecté » dans la famille, mon frère qui a cette intuition mathématique fulgurante, moi j’étais, je suis « l’originale » celle qui ne fait jamais rien comme les autres, la littéraire avec un problème de dysorthographie, vous apprécierez l’ironie ! Quoi qu’il en soit j’essaie d’arrêter de me défiler et j’ai rendez-vous à la fin du mois avec une psychologue. Peut-être suis-je simplement une neuro-droitière, peut-être suis-je zebrée, peut-être les deux où rien du tout, mais il faudra bien que je trouve.
Dernière édition par Hel le Dim 29 Nov 2015 - 14:30, édité 2 fois
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
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Dernière édition par djidje le Mar 9 Aoû 2016 - 11:43, édité 1 fois
djidje- Messages : 329
Date d'inscription : 28/04/2010
Age : 52
Localisation : Lyon
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Bienvenue, Hel !
J'espère que tu choisiras un pseudo un peu plus gai une fois sortie de ton enfer glacée, parce que là, bon, tu m'excuseras, mais Hel ... brrrrrr. Chais pas, moi. Frigg, Freyja ... yen a quand même qui ont pas une gueule de demi-zombi !
C'était le moment "J'ai lu Everworld quand j'étais petit, et Hel y était vraiment méchante". Bon.
L'important : il n'y a aucune "légitimité" qui compte, ici. Tu y es légitime si tu t'y sens bien, si ça t'intéresse. Si un jour tu veux nous rencontrer, ou juste rencontrer certains d'entre nous dont tu as apprécié les écrits ou avec qui tu as conversé sur le chat ou via MP(beaucoup de "ou" dans cette phrase), tout le monde sera ravi, et personne ne te demandera un papier à l'entrée du bar
L'intelligence mathématique, c'est chouette, mais ce n'est pas l'intelligence tout court. Tu ne réussiras peut-être pas le test de la même manière que ton frère, mais il n'y a aucune raison que tu le réussisses "moins bien" Bon courage pour ton rdv !
A très bientôt !
J'espère que tu choisiras un pseudo un peu plus gai une fois sortie de ton enfer glacée, parce que là, bon, tu m'excuseras, mais Hel ... brrrrrr. Chais pas, moi. Frigg, Freyja ... yen a quand même qui ont pas une gueule de demi-zombi !
C'était le moment "J'ai lu Everworld quand j'étais petit, et Hel y était vraiment méchante". Bon.
L'important : il n'y a aucune "légitimité" qui compte, ici. Tu y es légitime si tu t'y sens bien, si ça t'intéresse. Si un jour tu veux nous rencontrer, ou juste rencontrer certains d'entre nous dont tu as apprécié les écrits ou avec qui tu as conversé sur le chat ou via MP(beaucoup de "ou" dans cette phrase), tout le monde sera ravi, et personne ne te demandera un papier à l'entrée du bar
L'intelligence mathématique, c'est chouette, mais ce n'est pas l'intelligence tout court. Tu ne réussiras peut-être pas le test de la même manière que ton frère, mais il n'y a aucune raison que tu le réussisses "moins bien" Bon courage pour ton rdv !
A très bientôt !
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Merci @djidje..c'est exactement ça...il me faut avant tout mon Plan JE! J'aime bcp!
et @ardel...je ne pourrai pas changer mon pseudo..petit (très petit) jeu de mot avec mon vrai prénom...je l'aime trop
et de toute façon brune aux yeux noirs...distante et tjs déconnectée...j'ai souvent été obligée d'être la méchante sorcière (ben oui une gentille princesse a forcément les cheveux blonds comme les blés et les yeux bleus comme l'azure)
et @ardel...je ne pourrai pas changer mon pseudo..petit (très petit) jeu de mot avec mon vrai prénom...je l'aime trop
et de toute façon brune aux yeux noirs...distante et tjs déconnectée...j'ai souvent été obligée d'être la méchante sorcière (ben oui une gentille princesse a forcément les cheveux blonds comme les blés et les yeux bleus comme l'azure)
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
A nouveau, soit la bienvenue!
स्वागत
Et pour éloigner un instant les mauvaises pensées: Aaja Nachle (voir ma signature)
स्वागत
Et pour éloigner un instant les mauvaises pensées: Aaja Nachle (voir ma signature)
Invité- Invité
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Bienvenue Hel,
Je n'ai pas l'habitude d'accueillir les nouveaux, Circé aime la tranquillité d'Eéa. Mais je devais rebondir sur ce que disait Ardel. Si on sort de la lecture classique , Hel n'est pas fondamentalement mauvaise, elle est juste et implacable, intransigeante, comme doit l'être la mort en somme.
Je n'ai pas l'habitude d'accueillir les nouveaux, Circé aime la tranquillité d'Eéa. Mais je devais rebondir sur ce que disait Ardel. Si on sort de la lecture classique , Hel n'est pas fondamentalement mauvaise, elle est juste et implacable, intransigeante, comme doit l'être la mort en somme.
Invité- Invité
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
बहुत शुक्रिया Mily! J'adore ce film et sinon..pour répondre à ton autre question...je regarde de tout... nord/ sud / est / ouest...j'ai même vu un film de Kungfu assamais une fois Mainstream..film indé..j'aime tout le cinéma indien
Merci Circé pour ton intervention! Qui me fait aimer ce pseudo encore d'avantage car "juste et implacable, intransigeante" sont des mots qui me correspondent bien... même si je ne suis pas la mort
Merci Circé pour ton intervention! Qui me fait aimer ce pseudo encore d'avantage car "juste et implacable, intransigeante" sont des mots qui me correspondent bien... même si je ne suis pas la mort
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Et voilà.... J'ai eu ma première consultation avec un psy spécialisé, apparemment ça ne fait pas de doute je suis..différente... évidemment une seule séance (même longue ...2H) ne suffira pas à comprendre l'ensemble du problème!
Je dois dire que j'avais souvent lu ici que ça ne se passait pas forcement comme ça, mais je pensais vraiment ressentir un grand soulagement, je pensais vraiment que la caution de cette Autre, ce praticien respecté et qui fait autorité, allait me faire repartir de là avec l'esprit apaisé.
Mais j'en suis ressorti vidée, épuisée, perdue, et surtout toujours aussi incapable d'envisager l'avenir.
Savoir et accepter de fonctionner autrement, semble encore un peu au dessus de mes forces pour le moment.
Je suis hors sujet (mais je suis certaine ici que le hors sujet n'a pas la même valeur qu'ailleurs, alors me permet). Tout ça pour dire que ce mauvais moment à passer est d'autant plus difficile parce qu'il faut lui ajouter une grosse peine de coeur! C'est tellement difficile pour moi de nouer des liens avec les autres, alors des liens amoureux...on en parle pas, et une fois que le lien existe, c'est toujours terriblement douloureux de devoir le couper!
Mais revenons en au fait : j'ai une question pour vous en général, et une autres pour ceux qui se découvrent tardivement...
1 - est-ce que vous en parlez autour de vous? des amis? comment régissent-ils? Je sens que j'ai besoin d'en parler à 1 ou 2 personnes autour de moi, mais je n'y arrive pas..j'ai fait une tentative en minimisant et en montrant le livre de JSF et j'ai eu une réaction gênée, mon amie était embarrassée je pense qu'elle se disait "Mais elle est folle celle là pour qui elle se prend" j'ai détendu un peu l'atmosphère en disant que j'étais surtout une neurodroitière! C'est mieux passé, Et pourtant...j'ai cru que cette personne pourrait comprendre!!!
2 - les adultes qui font cette démarche "seul" en parlez-vous à vos parents?
J'ai toujours nourri un grand sentiment de rencoeur envers ma mère qui n'avait pas le temps de venir voir la maitresse qui voulait que je saute une classe! Et ensuite je leur en ai bcp voulu de ne pas avoir l'héritage culturel nécessaire à me faire vraiment évoluer!
Je ressens le besoin d'en parler avec eux...mais j'ai peur qu'on ne se comprenne pas et je me lance dans une série de reproche que je garde en moi depuis bien trop longtemps!
Pourquoi m'ont il laissé dormir en classe? m'absenter autant? être distraite? pourquoi acceptaient-ils que je sois différente, sans se poser de questions? pourquoi acceptaient-ils que je fasse les mauvais choix, juste parce que c'était les miens, et que selon eux, c'est ce qui compte!? Pourquoi ont-il autant fermer les yeux alors que mon frère, comme je l'ai déjà dit est sans aucun doute bien zebré! Il est totalement désocialisé aujourd'hui en vie en marge...bref je en comprends pas qu'ils aient choisi de ne rien faire!
Si l'un d'entre vous veux partager son expérience de "mise au courant" des parents ahahaha! à 32 ans ça semble bien ridicule, mais bon...
Je dois dire que j'avais souvent lu ici que ça ne se passait pas forcement comme ça, mais je pensais vraiment ressentir un grand soulagement, je pensais vraiment que la caution de cette Autre, ce praticien respecté et qui fait autorité, allait me faire repartir de là avec l'esprit apaisé.
Mais j'en suis ressorti vidée, épuisée, perdue, et surtout toujours aussi incapable d'envisager l'avenir.
Savoir et accepter de fonctionner autrement, semble encore un peu au dessus de mes forces pour le moment.
Je suis hors sujet (mais je suis certaine ici que le hors sujet n'a pas la même valeur qu'ailleurs, alors me permet). Tout ça pour dire que ce mauvais moment à passer est d'autant plus difficile parce qu'il faut lui ajouter une grosse peine de coeur! C'est tellement difficile pour moi de nouer des liens avec les autres, alors des liens amoureux...on en parle pas, et une fois que le lien existe, c'est toujours terriblement douloureux de devoir le couper!
Mais revenons en au fait : j'ai une question pour vous en général, et une autres pour ceux qui se découvrent tardivement...
1 - est-ce que vous en parlez autour de vous? des amis? comment régissent-ils? Je sens que j'ai besoin d'en parler à 1 ou 2 personnes autour de moi, mais je n'y arrive pas..j'ai fait une tentative en minimisant et en montrant le livre de JSF et j'ai eu une réaction gênée, mon amie était embarrassée je pense qu'elle se disait "Mais elle est folle celle là pour qui elle se prend" j'ai détendu un peu l'atmosphère en disant que j'étais surtout une neurodroitière! C'est mieux passé, Et pourtant...j'ai cru que cette personne pourrait comprendre!!!
2 - les adultes qui font cette démarche "seul" en parlez-vous à vos parents?
J'ai toujours nourri un grand sentiment de rencoeur envers ma mère qui n'avait pas le temps de venir voir la maitresse qui voulait que je saute une classe! Et ensuite je leur en ai bcp voulu de ne pas avoir l'héritage culturel nécessaire à me faire vraiment évoluer!
Je ressens le besoin d'en parler avec eux...mais j'ai peur qu'on ne se comprenne pas et je me lance dans une série de reproche que je garde en moi depuis bien trop longtemps!
Pourquoi m'ont il laissé dormir en classe? m'absenter autant? être distraite? pourquoi acceptaient-ils que je sois différente, sans se poser de questions? pourquoi acceptaient-ils que je fasse les mauvais choix, juste parce que c'était les miens, et que selon eux, c'est ce qui compte!? Pourquoi ont-il autant fermer les yeux alors que mon frère, comme je l'ai déjà dit est sans aucun doute bien zebré! Il est totalement désocialisé aujourd'hui en vie en marge...bref je en comprends pas qu'ils aient choisi de ne rien faire!
Si l'un d'entre vous veux partager son expérience de "mise au courant" des parents ahahaha! à 32 ans ça semble bien ridicule, mais bon...
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Bienvenue Hel , j'espère qu'une personne du forum pourra répondre à tes attentes
zétoile- Messages : 8
Date d'inscription : 21/03/2015
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Tient, je ne suis pas le seul à me poser ce genre de questions ? ^^ Bienvenu, j'espère que tu trouveras tes réponses vite.
Pour participer à tes deux questions :
1 - Quand j'en ai parlé à un cousin il m'a répondu "oui, et je suis la reine d'Angleterre"... donc j'ai abandonné l'idée d'en parler à ma famille. Mon meilleur ami a été un peu plus sympa, en ne questionnant que le test, il n'était pas sûr que ce serait la bonne chose pour moi... j'en ai parlé à personne d'autre, sauf à... mon père.
2 - Je ne rentre pas dans les gens à qui tu poses cette question, mais pour apporter ma pierre à l'édifice... quand j'en ai parlé à mon père il a dit "ah ba je suis content pour toi" et est passé à autre chose comme si de rien n'était. J'avais besoin de lui dire, c'était important pour moi... mais il n'est pas vraiment le mec le plus sympa du monde ou le père qui se soucie le plus de ses enfants donc... sa réaction n'a pas été celle que j'aurai espéré. M'enfin, si c'est important pour toi, peut-être devrai-tu en parler, c'est mon point de vue en tout cas, pour ce que ça vaut..
Pour participer à tes deux questions :
1 - Quand j'en ai parlé à un cousin il m'a répondu "oui, et je suis la reine d'Angleterre"... donc j'ai abandonné l'idée d'en parler à ma famille. Mon meilleur ami a été un peu plus sympa, en ne questionnant que le test, il n'était pas sûr que ce serait la bonne chose pour moi... j'en ai parlé à personne d'autre, sauf à... mon père.
2 - Je ne rentre pas dans les gens à qui tu poses cette question, mais pour apporter ma pierre à l'édifice... quand j'en ai parlé à mon père il a dit "ah ba je suis content pour toi" et est passé à autre chose comme si de rien n'était. J'avais besoin de lui dire, c'était important pour moi... mais il n'est pas vraiment le mec le plus sympa du monde ou le père qui se soucie le plus de ses enfants donc... sa réaction n'a pas été celle que j'aurai espéré. M'enfin, si c'est important pour toi, peut-être devrai-tu en parler, c'est mon point de vue en tout cas, pour ce que ça vaut..
Vincenz'- Messages : 11411
Date d'inscription : 31/10/2012
Age : 30
Localisation : Pau
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Bonsoir Hel,
Encore bienvenue
Je partageais clairement ce sentiment de "je suis peut-être une imposteure... je vais aller à une IRL, ils vont s'en apercevoir et me dire 'non mais, qu'est-ce tu fais là?! Tu peux pas être des nôtres, t'as vu comment t'es bête!!!" Hahaha
Evidemment rien de tout cela s'est passé, même si mon sentiment était présent.
Inutile de dire que de manière subconsciente je scrutais ce qui ce passait pour voir si je faisais partie du club ou pas...
J'ai un historique avec les tests assez désastreux: j'ai pris moi-même l'initiative étant jeune adulte et puis plus récemment.
A chaque fois je suis tombée sur des "professionnels" peu sérieux... pour faire bref, je ne connais toujours pas mon "score" alors que je souhaite vraiment avoir qlquechose de concret sous les yeux.
Entre ma 1ère tentative et aujourd'hui, j'ai mis ce sujet de côté en continuant ma vie comme si de rien était - ou presque!
Le sentiment de décalage et de solitude sont assez familiers
Sauf lorsque je recontrais un HP: j'ai fait un scan dans mes connaissances/amitiés passées - "ah ouais, lui/elle l'était sûrement aussi, OBLIGE!!!" )
J'ai consulté une psychologue spécialiste du sujet, elle-même HP (je suis moi-même diplomée de psychologie): en fin de séance, elle dit "j'ai peu de doutes à votre sujet, continuez votre démarche pour être testée correctement".
Elle n'a fait que confirmer un sentiment qui grandissait depuis que j'ai rencontré d'autres semblabes et ai commencé à me renseigner sérieusement sur ce thème (pas de crises de larmes pour ma part mais plutôt de bouche bée - comment cette personne, que je ne connais pas, peut raconter qlquechose que j'ai moi-même vécu, de manière si détaillée, comme si elle lisait dans mes pensées, dans mon passé??? sidérant)
Aussi anodine que l'affirmation de la psy pouvait paraître, elle a tout de même représenté pour moi la première confirmation officielle.
Soulagement... je suis légèrement plus âgée que toi et je ne pensais pas découvrir qlquechose de cette portée à mon sujet à ce "grand" âge!
En ce concerne tes questions:
1. J'évite d'en parler au 1er venu: j'ai tout de suite senti que se dire "surdoué" (terme le plus diffus) provoque chez l'autre un sacré malaise. Si t'es surdouée, cela veut dire que suis une nullité alors! Aouch
Néanmoins, je ne me fais pas violence pour coller aux attentes des autres et masquer systématiquement ma façon d'être.
J'ai le droit d'exister comme je suis, je ne fais de mal à personne!
Aujourd'hui encore on m'a dit "vous êtes Italienne?" Ouaip! "vous parlez super bien Français!"
Et là je me suis dit "je suis HP mon pote, cherche pas à comprendre"
Cela peut sonner très prétentieux, mais je pense que c'est juste un facteur (sûrement pas le seul) qui contribue à ma grande maîtrise du FR (cela me mets encore assez mal à l'aise de reconnaitre mes compétences).
Alors je me limite à raconter un peu mon parcours: j'ai été à l'école là, j'ai habité par ici, j'ai étudié par là... et puis je fais un grand sourire.
Pas la peine de générer un malaise, une gêne chez l'autre (et ça peut-être bien pire) et dévoir gérer les conséquences (commentaires, réactions... agressivité). J'ai trouvé un espace et des personnes avec qui en parler librement, les autres pas la peine de les inquiéter.
2. Tu sembles avoir pas mal de rancoeur vis-à-vis de ta mère. Mon conseil: libère-toi de cela le plus vite possible car tu es la seule à être rongée, consumée par cela. Chacun fait comme il peut psychologiquement, pour le meilleur et pour le pire.
Concentre-toi plutôt sur toi, sur ce que tu peux faire pour te sentir mieux, pour comprendre, pour avancer dans la direction que tu choisiras. Ton frère par contre pourrait bénéficier de cette "information" sur lui-même.
Sinon je suis d'avis que tu n'as pas à en parler à tes parents... si tu en ressens le besoin, fais-le; prépare-toi juste à une réaction désagréable. Cela se passera peut-être bien, le cas échéant tu ne seras pas trop surprise et secouée.
Voilà voilà, bon courage!!!
Encore bienvenue
Je partageais clairement ce sentiment de "je suis peut-être une imposteure... je vais aller à une IRL, ils vont s'en apercevoir et me dire 'non mais, qu'est-ce tu fais là?! Tu peux pas être des nôtres, t'as vu comment t'es bête!!!" Hahaha
Evidemment rien de tout cela s'est passé, même si mon sentiment était présent.
Inutile de dire que de manière subconsciente je scrutais ce qui ce passait pour voir si je faisais partie du club ou pas...
J'ai un historique avec les tests assez désastreux: j'ai pris moi-même l'initiative étant jeune adulte et puis plus récemment.
A chaque fois je suis tombée sur des "professionnels" peu sérieux... pour faire bref, je ne connais toujours pas mon "score" alors que je souhaite vraiment avoir qlquechose de concret sous les yeux.
Entre ma 1ère tentative et aujourd'hui, j'ai mis ce sujet de côté en continuant ma vie comme si de rien était - ou presque!
Le sentiment de décalage et de solitude sont assez familiers
Sauf lorsque je recontrais un HP: j'ai fait un scan dans mes connaissances/amitiés passées - "ah ouais, lui/elle l'était sûrement aussi, OBLIGE!!!" )
J'ai consulté une psychologue spécialiste du sujet, elle-même HP (je suis moi-même diplomée de psychologie): en fin de séance, elle dit "j'ai peu de doutes à votre sujet, continuez votre démarche pour être testée correctement".
Elle n'a fait que confirmer un sentiment qui grandissait depuis que j'ai rencontré d'autres semblabes et ai commencé à me renseigner sérieusement sur ce thème (pas de crises de larmes pour ma part mais plutôt de bouche bée - comment cette personne, que je ne connais pas, peut raconter qlquechose que j'ai moi-même vécu, de manière si détaillée, comme si elle lisait dans mes pensées, dans mon passé??? sidérant)
Aussi anodine que l'affirmation de la psy pouvait paraître, elle a tout de même représenté pour moi la première confirmation officielle.
Soulagement... je suis légèrement plus âgée que toi et je ne pensais pas découvrir qlquechose de cette portée à mon sujet à ce "grand" âge!
En ce concerne tes questions:
1. J'évite d'en parler au 1er venu: j'ai tout de suite senti que se dire "surdoué" (terme le plus diffus) provoque chez l'autre un sacré malaise. Si t'es surdouée, cela veut dire que suis une nullité alors! Aouch
Néanmoins, je ne me fais pas violence pour coller aux attentes des autres et masquer systématiquement ma façon d'être.
J'ai le droit d'exister comme je suis, je ne fais de mal à personne!
Aujourd'hui encore on m'a dit "vous êtes Italienne?" Ouaip! "vous parlez super bien Français!"
Et là je me suis dit "je suis HP mon pote, cherche pas à comprendre"
Cela peut sonner très prétentieux, mais je pense que c'est juste un facteur (sûrement pas le seul) qui contribue à ma grande maîtrise du FR (cela me mets encore assez mal à l'aise de reconnaitre mes compétences).
Alors je me limite à raconter un peu mon parcours: j'ai été à l'école là, j'ai habité par ici, j'ai étudié par là... et puis je fais un grand sourire.
Pas la peine de générer un malaise, une gêne chez l'autre (et ça peut-être bien pire) et dévoir gérer les conséquences (commentaires, réactions... agressivité). J'ai trouvé un espace et des personnes avec qui en parler librement, les autres pas la peine de les inquiéter.
2. Tu sembles avoir pas mal de rancoeur vis-à-vis de ta mère. Mon conseil: libère-toi de cela le plus vite possible car tu es la seule à être rongée, consumée par cela. Chacun fait comme il peut psychologiquement, pour le meilleur et pour le pire.
Concentre-toi plutôt sur toi, sur ce que tu peux faire pour te sentir mieux, pour comprendre, pour avancer dans la direction que tu choisiras. Ton frère par contre pourrait bénéficier de cette "information" sur lui-même.
Sinon je suis d'avis que tu n'as pas à en parler à tes parents... si tu en ressens le besoin, fais-le; prépare-toi juste à une réaction désagréable. Cela se passera peut-être bien, le cas échéant tu ne seras pas trop surprise et secouée.
Voilà voilà, bon courage!!!
ADR- Messages : 953
Date d'inscription : 17/06/2015
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
*
Dernière édition par Red Moon le Jeu 31 Déc 2015 - 23:55, édité 1 fois
Red Moon- Messages : 78
Date d'inscription : 24/09/2015
Age : 52
Localisation : Proche de la Terre, mais loin du Monde
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Pour le fait de le dire ou pas, tu peux aller voir ici: https://www.zebrascrossing.net/t17097-faire-son-coming-out-de-zebre
Personnellement, je n'en parle pas ou juste à mes amis zébrés qui me comprennent. J'explique plutôt la raison de mes difficultés (au travail ou en privé: je suis émotive, j'ai les pensées qui partent dans tous les sens donc je ne vais pas droit au but...).
Mais plus je comprends mon fonctionnement, mieux je vis ce décalage constant avec le monde.
Personnellement, je n'en parle pas ou juste à mes amis zébrés qui me comprennent. J'explique plutôt la raison de mes difficultés (au travail ou en privé: je suis émotive, j'ai les pensées qui partent dans tous les sens donc je ne vais pas droit au but...).
Mais plus je comprends mon fonctionnement, mieux je vis ce décalage constant avec le monde.
Invité- Invité
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Tiens Tiens...étrange..ma réponse à disparue....si jamais (comme j'ai la mauvaise manie d'avoir bcp d'onglets ouverts sur des conversations différentes) , donc si jamais elle se retrouve sous le mauvais fil..je m'en excuse!
Je ne disais rien de transcendant de toute façon!! Juste merci pour vos réponses...merci @Bleuenn pour le lien, je vais allé m'épancher de ce côté là sur la question!
Je ne disais rien de transcendant de toute façon!! Juste merci pour vos réponses...merci @Bleuenn pour le lien, je vais allé m'épancher de ce côté là sur la question!
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Si ça t'arrive, petite astuce, clic sur ton pseudo, sur un de tes messages, puis va dans l'onglet statistiques. Là-bas, tu peux accéder à tous les sujets que tu as ouvert, tous les sujets sur lesquels tu as posté puis tous les messages que tu as postés, enfin presque (y a un nombre de pages maximums, 12, soit 240 messages, au-delà tu ne vois que les 240 derniers). Comme ça, si tu as posté au mauvais endroit tu peux le remarquer ^^
Vincenz'- Messages : 11411
Date d'inscription : 31/10/2012
Age : 30
Localisation : Pau
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Effectivement!!!! Ça à l'air très très sympa!...
et comme je partage ton sentiment a propos de Salman Khan...mais bon..il fini tjs par tirer son épingle du jeu malgré tout!!!
Et je te confirme la sortie de Bajirao Mastani en France!!!! Mais il doit sortir aussi de ton côté de l'Atlantique non??
- j'adore ce genre de phrases grandiloquentes!:
- कभी कभी एसा लगता है की तुम कोई और हो
et comme je partage ton sentiment a propos de Salman Khan...mais bon..il fini tjs par tirer son épingle du jeu malgré tout!!!
Et je te confirme la sortie de Bajirao Mastani en France!!!! Mais il doit sortir aussi de ton côté de l'Atlantique non??
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Aouch, j'apprend phonétiquement (je sais c'est pas bien), ça m'a demandé un peu de boulot pour transcrire le devanagari. Je suis carrément rouillée
Je reconnais "khabi khabi esa lagata hai (a-ki?) tum koi aura ho" ?
Quelquefois on dirait que tu es quelqu'un d'autre ?
Merci pour l'exercice, je me rends compte qu'il faut vraiment que je bosse ( avec le lagata hai ki j'étais partie sur une histoire d'oreilles )
Oui mais comme je suis de passage en France en Janvier :p
Et je ne connais pas de cinémas hindi dans mon état, il faut aller jusqu'à New York. L'Angleterre me manque pour cela, les gros films indiens passaient dans les mêmes salles que les films occidentaux presque partout.
Je reconnais "khabi khabi esa lagata hai (a-ki?) tum koi aura ho" ?
Quelquefois on dirait que tu es quelqu'un d'autre ?
Merci pour l'exercice, je me rends compte qu'il faut vraiment que je bosse ( avec le lagata hai ki j'étais partie sur une histoire d'oreilles )
Et je te confirme la sortie de Bajirao Mastani en France!!!!
Oui mais comme je suis de passage en France en Janvier :p
Et je ne connais pas de cinémas hindi dans mon état, il faut aller jusqu'à New York. L'Angleterre me manque pour cela, les gros films indiens passaient dans les mêmes salles que les films occidentaux presque partout.
Invité- Invité
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Mily a écrit:Oui mais comme je suis de passage en France en Janvier :p
J'espère qu'il tiendra en salle jusque là!!!!!!
Oui Londres est magique pour ça! Paris...c'est pas encore ça! Les cinémas qui passent des films indiens ne sont pas super!
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
@hel : Et si être neuro-droitiers n'était qu'une partie de ce qui compose les zèbres? Je suis entrain de le livre dont tu parles écrit par Béatrice Millêtre et je pense que cela est clair. Tout les neuro-droitiers ne sont pas des zèbres mais une grande proportion l'est. Comme quoi la parole de vérité donner a la science n'en est pas une. Et c'est bien cela le problème aucune certitudes.
euriri- Messages : 72
Date d'inscription : 09/12/2015
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
...# "entrain de lire" "cela est le problème car nous n'avons aucune certitudes malgrès ce que peut penser l'Humain en règle générale."
euriri- Messages : 72
Date d'inscription : 09/12/2015
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
Oui je suis bien d'accord avec toi, c'est pour ça que je me demande si je suis neuro-droitière, zèbre, les deux, où rien de tout cela
BM ne parle jamais de HQI dans son livre! C'est ce flou que j'ai apprécié d'ailleurs, parce qu'il me permettait d'oser me reconnaître! Et c'est un livre de grande vulgarisation! Une première étape!
BM ne parle jamais de HQI dans son livre! C'est ce flou que j'ai apprécié d'ailleurs, parce qu'il me permettait d'oser me reconnaître! Et c'est un livre de grande vulgarisation! Une première étape!
Hel- Messages : 22
Date d'inscription : 19/10/2015
Localisation : Paris
Re: Dans l'enfer du "Qui suis-je?"
J'ai la même sensibilité que toi à propose de ce livre. Je le trouve enfaite "reposant"
euriri- Messages : 72
Date d'inscription : 09/12/2015
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