Inhibition latente et sommeil
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Inhibition latente et sommeil
Bonsoir à tous,
J'ai enfin le livre de JSF ("TIPEH?") !
A la page 32, elle parle de l'inhibition latente.
A la lecture de ce chapitre me sont venus à l'esprit plein d'anecdotes de nuits pourries. (ma Présentation).
Je n'ai jamais pu m'endormir dans les conditions répétées suivantes:
tic tac d'une horloge
ronflements
train
avion
Oh punaise ça fait du bien de comprendre tout ça ! Surtout que depuis que je suis en couple, ma femme me réveille toutes les nuits en bougeant. Ca va *BEAUCOUP* mieux depuis qu'on a des sommiers séparés mais souvent je me dis que je serais mieux dans un lit tout seul.
Une fois, pour récupérer, je m'étais mis dans le salon mais le tic tac de l'horloge me dérangeait sans cesse.
Bref un vrai casse tête pour dormir depuis tout petit.
Maintenant je sais ce qu'il me faut: un environnement dénoué de quelconque stimulation.
Une fois, j'ai dormi 15h d'affilé (j'étais dans un état de fatigue incompréhensible). La solution? Noir total, boules quiès, seul à la maison.
C'était MA-GIQUE ! ("tu m'étonnes ")
Merci de m'avoir lu et si vous voulez partager sur le même thème, sentez vous libre
J'ai enfin le livre de JSF ("TIPEH?") !
A la page 32, elle parle de l'inhibition latente.
A la lecture de ce chapitre me sont venus à l'esprit plein d'anecdotes de nuits pourries. (ma Présentation).
Je n'ai jamais pu m'endormir dans les conditions répétées suivantes:
tic tac d'une horloge
ronflements
train
avion
Oh punaise ça fait du bien de comprendre tout ça ! Surtout que depuis que je suis en couple, ma femme me réveille toutes les nuits en bougeant. Ca va *BEAUCOUP* mieux depuis qu'on a des sommiers séparés mais souvent je me dis que je serais mieux dans un lit tout seul.
Une fois, pour récupérer, je m'étais mis dans le salon mais le tic tac de l'horloge me dérangeait sans cesse.
Bref un vrai casse tête pour dormir depuis tout petit.
Maintenant je sais ce qu'il me faut: un environnement dénoué de quelconque stimulation.
Une fois, j'ai dormi 15h d'affilé (j'étais dans un état de fatigue incompréhensible). La solution? Noir total, boules quiès, seul à la maison.
C'était MA-GIQUE ! ("tu m'étonnes ")
Merci de m'avoir lu et si vous voulez partager sur le même thème, sentez vous libre
FleX- Messages : 65
Date d'inscription : 26/11/2015
Age : 38
Re: Inhibition latente et sommeil
Pareil que toi... avant !
Je n'ai jamais réussi à dormir comme certains hors d'un lit. En avion, en voiture, en bus, en train... c'était une horreur : j'ai toujours somnolé un peu mais jamais dormi plus de deux heures. Jamais pu non plus m'endormir assis avec la tête dans mes bras croisés sur la table...
Tic tac d'une horloge : idem ! Le moindre bruit me réveillait, et m'endormir dans un environnement même légèrement "bruissant" était une gageure ! Rien de génétique : ma frangine peut faire ses 10 ou 12 heures d'affilée dans une fosse à orchestre ou dans le clocher d'une église alsacienne carillonnant tous les quart d'heure !
Les ronflements... ! Combien de nuits j'ai passé à maudire les ronfleurs dans des auberges de jeunesse ici ou là, ou plus récemment dans les dortoirs sur la route de Saint-Jacques de Compostelle ?
Tu as de la chance de supporter les boules quiès, moi je n'ai jamais réussi à dormir avec quoi que ce soit dans les oreilles !
Pendant des années (une petite quarantaine, quoi !) j'ai été incapables de m'endormir moins de 30, 40, 50, 60 (?) minutes après avoir éteint la lumière, n'arrêtant pas de ressasser, de penser, d'imaginer... Aujourd'hui je me couche, je m'endors dans les 5 minutes. Je n'ai pas eu une franche discussion avec le marchand de sable depuis belle lurette !
Et je ne parle pas de mes parasomnies (réveil avec atonie musculaire et illusions hypnopompiques/hypnagogiques...) car je ne sais pas si c'est lié, mais ce qui est sûr c'est que quand ça arrive un quart d'heure après s'être endormi et qu'on s'est réveillé avec l'impression qu'on était en train d'étouffer et qu'on allait mourir ou éclater littéralement de l'intérieur, ben on ne se rendort tout simplement pas pendant une ou deux heures...
Mais tout ça... c'était avant !
Aujourd'hui, ça va beaucoup mieux. Je peux dormir même si les volets ne sont pas fermés, je peux oublier le bruit de la pendule, je peux dormir parfois plus de 4 heures d'affilée sans me réveiller...
Comment j'ai fait ? Ben j'ai évité de mettre ça sur le compte de la surdouance en me disant que je ne pouvais rien y faire. Et le livre de JSF que j'ai lu et loué moi aussi comme beaucoup d'autres au début (jusqu'à courir dans son cabinet pour passer les tests, je n'imaginais même pas le faire autre part !), a fini par devenir une simple borne sur mon chemin.
Tout s'est considérablement calmé depuis que j'ai commencé à prendre soin de moi il y a deux ans, et ce de façon "naturelle" : depuis que je vis plus relax, plus calmement, depuis que j'ai changé mon alimentation, commencé un gros travail psy/mental sur moi... Bref, la douance n'est pas une fatalité ! Certes, tous mes problèmes étaient certainement amplifiés, mais leur cause n'est pas là. Elle est ailleurs, elle est comme pour tout le monde dans mon histoire personnelle, dans mes blessures qui m'ont contracté le corps et l'esprit...
Voilà pour mon témoignage. A bon entendeur, salut !
Bonne chance pour ton "combat" .
Je n'ai jamais réussi à dormir comme certains hors d'un lit. En avion, en voiture, en bus, en train... c'était une horreur : j'ai toujours somnolé un peu mais jamais dormi plus de deux heures. Jamais pu non plus m'endormir assis avec la tête dans mes bras croisés sur la table...
Tic tac d'une horloge : idem ! Le moindre bruit me réveillait, et m'endormir dans un environnement même légèrement "bruissant" était une gageure ! Rien de génétique : ma frangine peut faire ses 10 ou 12 heures d'affilée dans une fosse à orchestre ou dans le clocher d'une église alsacienne carillonnant tous les quart d'heure !
Les ronflements... ! Combien de nuits j'ai passé à maudire les ronfleurs dans des auberges de jeunesse ici ou là, ou plus récemment dans les dortoirs sur la route de Saint-Jacques de Compostelle ?
Tu as de la chance de supporter les boules quiès, moi je n'ai jamais réussi à dormir avec quoi que ce soit dans les oreilles !
Pendant des années (une petite quarantaine, quoi !) j'ai été incapables de m'endormir moins de 30, 40, 50, 60 (?) minutes après avoir éteint la lumière, n'arrêtant pas de ressasser, de penser, d'imaginer... Aujourd'hui je me couche, je m'endors dans les 5 minutes. Je n'ai pas eu une franche discussion avec le marchand de sable depuis belle lurette !
Et je ne parle pas de mes parasomnies (réveil avec atonie musculaire et illusions hypnopompiques/hypnagogiques...) car je ne sais pas si c'est lié, mais ce qui est sûr c'est que quand ça arrive un quart d'heure après s'être endormi et qu'on s'est réveillé avec l'impression qu'on était en train d'étouffer et qu'on allait mourir ou éclater littéralement de l'intérieur, ben on ne se rendort tout simplement pas pendant une ou deux heures...
Mais tout ça... c'était avant !
Aujourd'hui, ça va beaucoup mieux. Je peux dormir même si les volets ne sont pas fermés, je peux oublier le bruit de la pendule, je peux dormir parfois plus de 4 heures d'affilée sans me réveiller...
Comment j'ai fait ? Ben j'ai évité de mettre ça sur le compte de la surdouance en me disant que je ne pouvais rien y faire. Et le livre de JSF que j'ai lu et loué moi aussi comme beaucoup d'autres au début (jusqu'à courir dans son cabinet pour passer les tests, je n'imaginais même pas le faire autre part !), a fini par devenir une simple borne sur mon chemin.
Tout s'est considérablement calmé depuis que j'ai commencé à prendre soin de moi il y a deux ans, et ce de façon "naturelle" : depuis que je vis plus relax, plus calmement, depuis que j'ai changé mon alimentation, commencé un gros travail psy/mental sur moi... Bref, la douance n'est pas une fatalité ! Certes, tous mes problèmes étaient certainement amplifiés, mais leur cause n'est pas là. Elle est ailleurs, elle est comme pour tout le monde dans mon histoire personnelle, dans mes blessures qui m'ont contracté le corps et l'esprit...
Voilà pour mon témoignage. A bon entendeur, salut !
Bonne chance pour ton "combat" .
Invité- Invité
Re: Inhibition latente et sommeil
Pour ma part, quand je suis fatigué, je dors, quelles que soient les conditions. J'ai dormi la lumière allumée, étendu comme je pouvais sur un canapé, la radio qui continuait de débiter ses émissions (même si cela avait des répercussions sur mes rêves), ou un réveil-matin de type tapageur à mon chevet, qui produisait un fort tic-tac.
Mais c'est aussi parce que, dans la journée, je ne me sens jamais assez présent, sinon le soir; et encore, il me faut des stimulants. Je mets toute la journée à me réveiller.
Pourtant il est vrai que pendant des années j'ai dormi avec des billes de verre dans les oreilles (c'est plus économiques que les boules Quiès), parce que je me mettais au lit très tôt et que je ne supportais pas le bruit de mes voisins du dessus. Ça, c'est pénible, quand on cherche à s'endormir, parce que ce n'est pas régulier. D'un coup, ça parle; et puis : boum, boum, boum ! ça marche vite chez soi, en tapant; quel comportement primaire !
Mais c'est aussi parce que, dans la journée, je ne me sens jamais assez présent, sinon le soir; et encore, il me faut des stimulants. Je mets toute la journée à me réveiller.
Pourtant il est vrai que pendant des années j'ai dormi avec des billes de verre dans les oreilles (c'est plus économiques que les boules Quiès), parce que je me mettais au lit très tôt et que je ne supportais pas le bruit de mes voisins du dessus. Ça, c'est pénible, quand on cherche à s'endormir, parce que ce n'est pas régulier. D'un coup, ça parle; et puis : boum, boum, boum ! ça marche vite chez soi, en tapant; quel comportement primaire !
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
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