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Re: Présentation
Un des plus grands violoniste, Joshua Bell, du monde se fait ignorer en jouant sur un Stradivarius de 1713.
Le matin du 12 Janvier 2007, le Washington Post réalisa une expérience inédite dans le hall d'une station de métro à Washington.
A la station l'Enfant Plaza, un violoniste installé en haut de l'escalator s'apprêtait à jouer six morceaux de musique classique pendant 43 minutes.
Personne ne le savait, mais cet homme qui pouvait aisément passer pour un musicien de rue était en réalité Joshua Bell, un violoniste virtuose parmi les plus brillants au monde, sur le point de jouer six pièces classiques parmi les plus élégantes qui aient jamais été écrites, sur un Stradivarius Gibson fabriqué en 1713, d'une valeur de 3,5 millions de dollars.
Combien de personnes se rendant à leur travail dans ce matin froid de janvier allaient s'arrêter et remarquer le talent du maestro Joshua Bell ?
A la veille de l'expérience, différents experts furent consultés pour répondre à cette question. Et dans le pire des scénarios, misant sur l'excellence de Joshua Bell, Leonard Slatkin, directeur du National Symphony Orchestra, prédit qu'au moins 75 personnes devraient s'arrêter. Dans le pire des scénarios, le musicien devait récolter au moins 150 $ de la part des passants en récompense de son talent.
Le jour dit, Joshua Bell a joué trois quarts d'heure. Sur les 1087 personnes qui sont passées, seules 7 s'arrêteront quelques instants. Il recevra 32 dollars - dont 20 dollars laissés par l'unique personne l'ayant reconnu.
Les rédacteurs de cette expérience concluent ainsi : "Dans un environnement ordinaire, à une heure inappropriée, sommes-nous capables de percevoir la beauté, de nous arrêter pour l'apprécier, de reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?"
Mais quelque chose d'encore plus stupéfiant s'est passé ce matin là.
Rien ne permet de distinguer les personnes qui se sont arrêtées pour écouter Joshua Bell ou celles qui ont donné de l’argent, de celles qui sont passées sans le voir. Pas de modèle démographique type : hommes ou femmes, jeunes ou vieux, blancs, noirs ou asiatiques, toutes les catégories sont représentées. Seule une catégorie s’est faite remarquer en s’arrêtant de façon systématique : ce sont les enfants.
Dès qu’un enfant passait, il cherchait à s’arrêter pour écouter la musique. Et aussitôt son parent le tirait par la main pour avancer.
Les enfants ont un don incroyable par rapport aux adultes : ils ont le pouvoir de s’émerveiller. Et je pense que ce que cette expérience démontre, c'est qu'avec le temps, en devenant adulte, nous perdons cette capacité à nous émerveiller.
Au coeur du Washington fédéral, un vendredi tôt le matin, la très grande majorité des gens qui sont passés devant Joshua Bell devait être composée de personnes bien éduquées. Ils étaient certainement diplômés de brillantes écoles américaines, et devaient avoir sans doute des titres impressionnants sur leur carte de visite : conseillers, consultants, facilitateurs, gourous, experts, ...
Mais personne au cours de ses études n'avait été préparé à croiser un talent au coin de la rue. Aucun pour imaginer qu'un génie puisse être vêtu d'un jean, d'un T-shirt à manche longue et d'une casquette de baseball.
Notre principal défi n'est pas d'avoir du talent. Nous en avons tous, personne n'en est dépourvu.
En revanche, notre défi est bien d'arriver à marqueter ce talent, à raconter l'histoire qui fera notre succès. Et nos échecs, quoique nous soyons parfois enclin à croire le contraire, sont plus souvent ceux d'une histoire mal racontée que ceux d'une personne douée à rien.
Trois jours avant cette expérience, Joshua Bell jouait sur la scène de l'opéra de Boston, dans une salle bondée, où le siège coûtait 100 $. Ce jour là, il avait choisi de raconter la bonne histoire.
Le matin du 12 Janvier 2007, le Washington Post réalisa une expérience inédite dans le hall d'une station de métro à Washington.
A la station l'Enfant Plaza, un violoniste installé en haut de l'escalator s'apprêtait à jouer six morceaux de musique classique pendant 43 minutes.
Personne ne le savait, mais cet homme qui pouvait aisément passer pour un musicien de rue était en réalité Joshua Bell, un violoniste virtuose parmi les plus brillants au monde, sur le point de jouer six pièces classiques parmi les plus élégantes qui aient jamais été écrites, sur un Stradivarius Gibson fabriqué en 1713, d'une valeur de 3,5 millions de dollars.
Combien de personnes se rendant à leur travail dans ce matin froid de janvier allaient s'arrêter et remarquer le talent du maestro Joshua Bell ?
A la veille de l'expérience, différents experts furent consultés pour répondre à cette question. Et dans le pire des scénarios, misant sur l'excellence de Joshua Bell, Leonard Slatkin, directeur du National Symphony Orchestra, prédit qu'au moins 75 personnes devraient s'arrêter. Dans le pire des scénarios, le musicien devait récolter au moins 150 $ de la part des passants en récompense de son talent.
Le jour dit, Joshua Bell a joué trois quarts d'heure. Sur les 1087 personnes qui sont passées, seules 7 s'arrêteront quelques instants. Il recevra 32 dollars - dont 20 dollars laissés par l'unique personne l'ayant reconnu.
Les rédacteurs de cette expérience concluent ainsi : "Dans un environnement ordinaire, à une heure inappropriée, sommes-nous capables de percevoir la beauté, de nous arrêter pour l'apprécier, de reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?"
Mais quelque chose d'encore plus stupéfiant s'est passé ce matin là.
Rien ne permet de distinguer les personnes qui se sont arrêtées pour écouter Joshua Bell ou celles qui ont donné de l’argent, de celles qui sont passées sans le voir. Pas de modèle démographique type : hommes ou femmes, jeunes ou vieux, blancs, noirs ou asiatiques, toutes les catégories sont représentées. Seule une catégorie s’est faite remarquer en s’arrêtant de façon systématique : ce sont les enfants.
Dès qu’un enfant passait, il cherchait à s’arrêter pour écouter la musique. Et aussitôt son parent le tirait par la main pour avancer.
Les enfants ont un don incroyable par rapport aux adultes : ils ont le pouvoir de s’émerveiller. Et je pense que ce que cette expérience démontre, c'est qu'avec le temps, en devenant adulte, nous perdons cette capacité à nous émerveiller.
Au coeur du Washington fédéral, un vendredi tôt le matin, la très grande majorité des gens qui sont passés devant Joshua Bell devait être composée de personnes bien éduquées. Ils étaient certainement diplômés de brillantes écoles américaines, et devaient avoir sans doute des titres impressionnants sur leur carte de visite : conseillers, consultants, facilitateurs, gourous, experts, ...
Mais personne au cours de ses études n'avait été préparé à croiser un talent au coin de la rue. Aucun pour imaginer qu'un génie puisse être vêtu d'un jean, d'un T-shirt à manche longue et d'une casquette de baseball.
Notre principal défi n'est pas d'avoir du talent. Nous en avons tous, personne n'en est dépourvu.
En revanche, notre défi est bien d'arriver à marqueter ce talent, à raconter l'histoire qui fera notre succès. Et nos échecs, quoique nous soyons parfois enclin à croire le contraire, sont plus souvent ceux d'une histoire mal racontée que ceux d'une personne douée à rien.
Trois jours avant cette expérience, Joshua Bell jouait sur la scène de l'opéra de Boston, dans une salle bondée, où le siège coûtait 100 $. Ce jour là, il avait choisi de raconter la bonne histoire.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Re: Présentation
Serge Gainsbourg - Un violon un jambon.
Écoute-moi toi qui t'crois seul au monde
Tout seul abandonné
Faut trois fois rien pour entrer dans la ronde
De tous les mal-aimés
Suspends un violon un jambon à ta porte
Et tu verras rappliquer les copains
Tous tes soucis que le diable les emporte
Jusqu'à demain
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
" Les dégoûtés partis, il reste les dégoûtants "
« S'attaquer au Code du travail parce que le chômage augmente est à peu près aussi stupide que de vouloir supprimer le Code de la route quand il y a des accidents. »
Mélenchon
« S'attaquer au Code du travail parce que le chômage augmente est à peu près aussi stupide que de vouloir supprimer le Code de la route quand il y a des accidents. »
Mélenchon
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Une petite dédicace aux gens chouettes du forum, dont les propos ou témoignage ont pu me toucher.
Alexis HK. Je Reviendrai.
Quand j'aurais traversé tous les horizons
Voyagé sur des terres si loin de ma maison
Vu les plages infinies et les vagues à l'âme de l'errance
Je reviendrai, auprès des amis et des rires
Des racines et des souvenirs
Alexis HK. Je Reviendrai.
Quand j'aurais traversé tous les horizons
Voyagé sur des terres si loin de ma maison
Vu les plages infinies et les vagues à l'âme de l'errance
Je reviendrai, auprès des amis et des rires
Des racines et des souvenirs
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Un groupe que j'apprécie pour sa liberté de ton :
Les fatals picards,
Ma baraque aux bahamas
Les fatals picards,
Ma baraque aux bahamas
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Les mêmes avec la chansons des supporters
Et pour les chasseurs
Et pour les chasseurs
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Il est terrible Mélenchon...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Présentation
Lol.
Je ne voterais pas pour lui je pense, mais j'adore l'écouter parler. C'est de loin mon tribun préféré.
Je ne voterais pas pour lui je pense, mais j'adore l'écouter parler. C'est de loin mon tribun préféré.
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Présentation
Fata Morgana a écrit:Lol.
Je ne voterais pas pour lui je pense, mais j'adore l'écouter parler. C'est de loin mon tribun préféré.
Pareil, il a le sens de la petite phrase. Mais je ne le sens pas franc du collier....
Dernière édition par Gabriel le Sam 6 Fév 2016 - 11:12, édité 1 fois
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Un bon tribun bien nanti.
Si il n'est pas franc du collier, c'est qu'il tire trop sur la laisse.
Si il n'est pas franc du collier, c'est qu'il tire trop sur la laisse.
Invité- Invité
Re: Présentation
Tu veux dire Franc-maçon du collier...
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Présentation
http://www.igor.morski.pl/
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Suite à la condamnation de deux salariés de Good Year Amiens à neuf mois de prison ferme pour séquestration de deux cadres dirigeants. Guillaume Meurice a voulu donner la parole au président du MEDEF dans le département de la Somme, Jean-Claude Oleksy.
https://www.facebook.com/franceinter/videos/944628182238969/
https://www.facebook.com/franceinter/videos/944628182238969/
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Salut Gabriel. Je connais ton goût pour les produits traditionnels de qualité, et j'ai cru comprendre que tu aimais particulièrement les espadrilles en cuir
En revanche ce modèle est fabriqué en Espagne ...
En revanche ce modèle est fabriqué en Espagne ...
Invité- Invité
Re: Présentation
Mily a écrit:Salut Gabriel. Je connais ton goût pour les produits traditionnels de qualité, et j'ai cru comprendre que tu aimais particulièrement les espadrilles en cuir
En revanche ce modèle est fabriqué en Espagne ...
Bon, tant que ce n'est pas au Bangladesh, tu gagnes un point !
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Ah, les femmes... François, tu es un vrai féministe !
2012 Ministère des Droits des femmes
2014 Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
2016 Ministère de la famille, de l'enfance et des droits des femmes.
A quand vrai ministère du travail, de la famille et de la patrie ?
2012 Ministère des Droits des femmes
2014 Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
2016 Ministère de la famille, de l'enfance et des droits des femmes.
A quand vrai ministère du travail, de la famille et de la patrie ?
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
'C.Z.- Messages : 2910
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Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Princesse Déconne a écrit:
Cela m'est destiné. Une leçon d'humilité en quelque sorte.
Vous autres êtes exceptionnel(les), bien sûr !
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Carrément bien ce dessin, après on se demande pourquoi ce monde ne tourne pas rond, là on a la réponse.
Invité- Invité
Re: Présentation
J'm'incruste doucement...
'C.Z.- Messages : 2910
Date d'inscription : 16/02/2015
Age : 43
Localisation : Côte d'Azur (de la Bretonie)
Re: Présentation
Princesse Déconne a écrit:J'm'incruste doucement...
Hum, Maif-Mgen-camif peut-être ? Je peux t'aider !
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
8 signes que vous avez un mauvais patron
http://www.technogenie.com/fr/blogue/8-signes-que-vous-avez-un-mauvais-patron/
1. Votre patron veut être votre ami à tout prix
Le mauvais patron confond popularité et respect. Or, s’il est facile de se faire aimer quand on est le patron, se faire respecter est une tout autre paire de manches. Pour ce faire, il faut être en mesure d’instaurer la discipline lorsque c’est nécessaire, ce que bon nombre de partons ont de la difficulté à faire.
2. Votre patron est incapable de déléguer
Pour être capable de déléguer, il faut savoir faire confiance. Et pour plusieurs patrons, c’est carrément au-dessus de leur force. En déléguant, le mauvais patron se sent marginalisé, voire remplaçable, ce qui lui est insupportable.
3. Votre patron est un micro gestionnaire
Dans le même sens, le mauvais patron est si contrôlant qu’il ne vous laisse aucune latitude. Si vous devez lui faire un compte-rendu pour chacun des clients que vous rencontrez ou pour chacun des courriels que vous recevez, vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
4. Votre patron emploie le « je » plutôt que le « nous »
Le mauvais patron aime que les projecteurs soient constamment braqués sur lui. Pour y arriver, il n’hésite pas à garder ses subordonnés dans l'ombre en s’octroyant, par exemple, le crédit des bonnes idées de ces derniers.
5. Votre patron n’admet jamais ses torts
Voilà déjà quelques années que vous occupez votre poste et vous n’avez jamais vu votre patron endosser une seule de ses erreurs? C’est très mauvais signe. En admettant ses erreurs, le bon patron envoie le message à ses subordonnés qu’il est préférable de prendre des risques et de se tromper plutôt que de simplement s’en tenir aux recettes gagnantes sans innover.
6. Votre patron pointe toujours les autres du doigt
Un bon patron distribue les récompenses en public et les blâmes en privé. Si en plus de ne jamais admettre ses torts, le vôtre est prompt à trouver un bouc émissaire chaque fois que les choses tournent mal, la situation est pire encore puisque tôt ou tard, le blâme – probablement injustifié – tombera sur vous.
7. Votre patron est constamment en mode panique
Un bon patron doit démontrer qu’il est en contrôle de la situation et qu’il est capable de faire face aux imprévus. Si la moindre baisse de prix effectuée par le concurrent suffit à lui faire perdre les pédales, le stress de ses employés ne peut que s’accroître à long terme.
8. Votre patron ment
Le patron devant servir de modèle, l’une de ses principales qualités est d’être digne de confiance. Or, pour les mauvais patrons, il est souvent préférable de mentir plutôt que de perdre la face. Et comme il est impossible d’établir une relation de confiance avec un patron qui vous ment constamment, la meilleure solution est souvent de faire vos bagages et d’aller voir si l’herbe est plus verte chez le voisin.
---
J'ai un bon 7/8 ! A part le 1, le mien cumule les 7 suivants...
http://www.technogenie.com/fr/blogue/8-signes-que-vous-avez-un-mauvais-patron/
1. Votre patron veut être votre ami à tout prix
Le mauvais patron confond popularité et respect. Or, s’il est facile de se faire aimer quand on est le patron, se faire respecter est une tout autre paire de manches. Pour ce faire, il faut être en mesure d’instaurer la discipline lorsque c’est nécessaire, ce que bon nombre de partons ont de la difficulté à faire.
2. Votre patron est incapable de déléguer
Pour être capable de déléguer, il faut savoir faire confiance. Et pour plusieurs patrons, c’est carrément au-dessus de leur force. En déléguant, le mauvais patron se sent marginalisé, voire remplaçable, ce qui lui est insupportable.
3. Votre patron est un micro gestionnaire
Dans le même sens, le mauvais patron est si contrôlant qu’il ne vous laisse aucune latitude. Si vous devez lui faire un compte-rendu pour chacun des clients que vous rencontrez ou pour chacun des courriels que vous recevez, vous n’êtes pas sorti de l’auberge.
4. Votre patron emploie le « je » plutôt que le « nous »
Le mauvais patron aime que les projecteurs soient constamment braqués sur lui. Pour y arriver, il n’hésite pas à garder ses subordonnés dans l'ombre en s’octroyant, par exemple, le crédit des bonnes idées de ces derniers.
5. Votre patron n’admet jamais ses torts
Voilà déjà quelques années que vous occupez votre poste et vous n’avez jamais vu votre patron endosser une seule de ses erreurs? C’est très mauvais signe. En admettant ses erreurs, le bon patron envoie le message à ses subordonnés qu’il est préférable de prendre des risques et de se tromper plutôt que de simplement s’en tenir aux recettes gagnantes sans innover.
6. Votre patron pointe toujours les autres du doigt
Un bon patron distribue les récompenses en public et les blâmes en privé. Si en plus de ne jamais admettre ses torts, le vôtre est prompt à trouver un bouc émissaire chaque fois que les choses tournent mal, la situation est pire encore puisque tôt ou tard, le blâme – probablement injustifié – tombera sur vous.
7. Votre patron est constamment en mode panique
Un bon patron doit démontrer qu’il est en contrôle de la situation et qu’il est capable de faire face aux imprévus. Si la moindre baisse de prix effectuée par le concurrent suffit à lui faire perdre les pédales, le stress de ses employés ne peut que s’accroître à long terme.
8. Votre patron ment
Le patron devant servir de modèle, l’une de ses principales qualités est d’être digne de confiance. Or, pour les mauvais patrons, il est souvent préférable de mentir plutôt que de perdre la face. Et comme il est impossible d’établir une relation de confiance avec un patron qui vous ment constamment, la meilleure solution est souvent de faire vos bagages et d’aller voir si l’herbe est plus verte chez le voisin.
---
J'ai un bon 7/8 ! A part le 1, le mien cumule les 7 suivants...
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Bonsoir Gabriel,
Je passe rapidement sur ton fil pour te saluer. J'ai été très touché par ta présentation et même si je n'ai rien de spécial à te dire dans l'instant, je ressens beaucoup de sympathie pour toi et tenais à te le dire
Je passe rapidement sur ton fil pour te saluer. J'ai été très touché par ta présentation et même si je n'ai rien de spécial à te dire dans l'instant, je ressens beaucoup de sympathie pour toi et tenais à te le dire
Ixtlander- Messages : 82
Date d'inscription : 24/02/2016
Age : 55
Re: Présentation
Bonsoir et merci pour ton message et de ta sympathie, Ixtlander.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Fais pas ton Caliméro.
Voila souvent ce que me renvoie mon n+1 (n+1, c'est le code RH pour les nains encadrants ?) quand je tente de parler avec lui. Oh, il est sympathique Lenain. Il a un petit côté Carlos, sans les frisettes ni la barbe. C'est le roi des pots de service et il peut longuement palabrer sur les vertus de tel whisky japonais et de l'intérêt de la tourbe pour relever le goût des whikies des îles d'Islay. Le gars sympa en fait, toujours prêt à payer son coup. Malheureusement, pour lui et pour moi, il est chef. Et mes attentes dans ce type de scénario relationnel contraint sont claires : je n'ai pas besoin d'un pote qui m'explique pourquoi il vaut mieux prendre un vélo hollandais à la place d'un demi course Gitane, mais de quelqu'un qui sait décider, d'une part, et dans l'intérêt du service public, d'autre part. Au lieu de ça, le roi Ubu dispense ses véhicules de services, bureaux, personnels, aménagement d'horaire, téléphones portables, selon un principe fameux : le fait du prince. Et le fait du prince, ce n'est pas la fête pour toute la présipauté.
Alors, ok patron, je ne fais pas mon Caliméro, mais toi, fais ton boulot. Si tu veux pouvoir m'appeler sur un portable, tu te les bouges pour m'en obtenir un de service. Bouge les pas trop quand même, parce qu'en fait, je n'en veux pas. Quand tu penses à m'appeler, assieds toi, keep calm, bois ton putain de whisky Kurde, et pense à quelqu'un d'autre. Par exemple à celui à qui tu as octroyé un téléphone de service. De toute façon, mon téléphone perso il a tendance à perdre le réseau et à vider sa batterie quand il voit un numéro professionnel. Je ne sais pas d'où cela lui vient. Ça doit être son côté Caliméro je suppose.
On travaille avec de l'humain
T'as raison patron. Je travaille avec de l'humain. Toi aussi. Et si l'humain en question me chie dans les bottes, ce serait à moi de m'écraser ? Tu la tire d'où celle là patron ? Et je peux te chier dans les Méphisto patron ? Ah oui, il ne faut pas non plus embêter GrandMachin, parce que l'autre soir, il est venu boire un coup dans ton bureau et tu l'as senti fragile. C'est bien patron de s’intéresser à la fragilité de tes courtisans. Cela leur donne espoir, et renforce leur latitude à pourrir ceux qui ne viennent pas courtiser, mais simplement bosser. Comment patron ? Je dois faire un petit effort parce que machin est fragile ? Ok boss. Mais ma fragilité à moi, on la respecte quand ? Ah oui, c'est mon côté Caliméro que je dois travailler. A bon coup de claque dans la gueule. Je dois dire merci après ?
Voila souvent ce que me renvoie mon n+1 (n+1, c'est le code RH pour les nains encadrants ?) quand je tente de parler avec lui. Oh, il est sympathique Lenain. Il a un petit côté Carlos, sans les frisettes ni la barbe. C'est le roi des pots de service et il peut longuement palabrer sur les vertus de tel whisky japonais et de l'intérêt de la tourbe pour relever le goût des whikies des îles d'Islay. Le gars sympa en fait, toujours prêt à payer son coup. Malheureusement, pour lui et pour moi, il est chef. Et mes attentes dans ce type de scénario relationnel contraint sont claires : je n'ai pas besoin d'un pote qui m'explique pourquoi il vaut mieux prendre un vélo hollandais à la place d'un demi course Gitane, mais de quelqu'un qui sait décider, d'une part, et dans l'intérêt du service public, d'autre part. Au lieu de ça, le roi Ubu dispense ses véhicules de services, bureaux, personnels, aménagement d'horaire, téléphones portables, selon un principe fameux : le fait du prince. Et le fait du prince, ce n'est pas la fête pour toute la présipauté.
Alors, ok patron, je ne fais pas mon Caliméro, mais toi, fais ton boulot. Si tu veux pouvoir m'appeler sur un portable, tu te les bouges pour m'en obtenir un de service. Bouge les pas trop quand même, parce qu'en fait, je n'en veux pas. Quand tu penses à m'appeler, assieds toi, keep calm, bois ton putain de whisky Kurde, et pense à quelqu'un d'autre. Par exemple à celui à qui tu as octroyé un téléphone de service. De toute façon, mon téléphone perso il a tendance à perdre le réseau et à vider sa batterie quand il voit un numéro professionnel. Je ne sais pas d'où cela lui vient. Ça doit être son côté Caliméro je suppose.
On travaille avec de l'humain
T'as raison patron. Je travaille avec de l'humain. Toi aussi. Et si l'humain en question me chie dans les bottes, ce serait à moi de m'écraser ? Tu la tire d'où celle là patron ? Et je peux te chier dans les Méphisto patron ? Ah oui, il ne faut pas non plus embêter GrandMachin, parce que l'autre soir, il est venu boire un coup dans ton bureau et tu l'as senti fragile. C'est bien patron de s’intéresser à la fragilité de tes courtisans. Cela leur donne espoir, et renforce leur latitude à pourrir ceux qui ne viennent pas courtiser, mais simplement bosser. Comment patron ? Je dois faire un petit effort parce que machin est fragile ? Ok boss. Mais ma fragilité à moi, on la respecte quand ? Ah oui, c'est mon côté Caliméro que je dois travailler. A bon coup de claque dans la gueule. Je dois dire merci après ?
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Les miens sont bien aussi !
Moi : " Vous savez que vous payez des gens à rien foutre !? "
Eux sourire gêné : " Oui, mais on a pas le choix ! "
Moi : " Si il y a un poste qui se libère, je suis preneur ! "
Réponse, sourire gêné.
Je crois qu'ils sont payés à rien foutre !
Moi : " Vous savez que vous payez des gens à rien foutre !? "
Eux sourire gêné : " Oui, mais on a pas le choix ! "
Moi : " Si il y a un poste qui se libère, je suis preneur ! "
Réponse, sourire gêné.
Je crois qu'ils sont payés à rien foutre !
Invité- Invité
Re: Présentation
Suce ces p'tits Bleus ! a écrit:Les miens sont bien aussi !
Moi : " Vous savez que vous payez des gens à rien foutre !? "
Eux sourire gêné : " Oui, mais on a pas le choix ! "
Moi : " Si il y a un poste qui se libère, je suis preneur ! "
Réponse, sourire gêné.
Je crois qu'ils sont payés à rien foutre !
Houlala !
Sur ce scénario, ayant déjà la tête sur le billot, la hache tombe directement sur les cervicales !
Petit Schtroumpf, grand pouvoir.
Remarque, de temps à autre, je demande combien il y a d'emplois fictifs dans le service. Des gens qui viennent pour autre chose que le boulot. Ça fait son petit effet quand même.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
J'ai appris par un pédiatre que la vessie est le dernier muscle qu'un enfant contrôle et que de fait, il était absurde de lui demander 'd'être propre' tant qu'il ne savait pas marcher.
Le Don qui Chante- Messages : 2018
Date d'inscription : 05/01/2016
Re: Présentation
Un petit Schopi, sans doudou,
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Hum... à réfléchir à Huis Clos tout ça.
(désolée pour la mauvaise blague)
(désolée pour la mauvaise blague)
Lou-pita- Messages : 83
Date d'inscription : 17/02/2016
Age : 30
Localisation : Genève
Re: Présentation
J'ai cliqué sur un point d'interrogation, j'ai atterri ici, il parait qu'il y a des gens à insulter
Où ça des romains ?
Où ça des romains ?
Invité- Invité
Re: Présentation
Mily a écrit:J'ai cliqué sur un point d'interrogation, j'ai atterri ici, il parait qu'il y a des gens à insulter
Où ça des romains ?
Lache-toi Mily !
Je pensais rameuter de l'enseignante saignant, pas de l'officier de marine. Bon, pour calmer l'armée :
C'est beau !
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
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Localisation : 59
Re: Présentation
Gabriel a écrit:Mily a écrit:J'ai cliqué sur un point d'interrogation, j'ai atterri ici, il parait qu'il y a des gens à insulter
Où ça des romains ?
Lache-toi Mily !
Je pensais rameuter de l'enseignante saignant, pas de l'officier de marine. Bon, pour calmer l'armée :
C'est beau !
Je vois que les hostilités peuvent se prolonger. On dirait un logo pour le mouvement Bleu Marine, un groupuscule très apprécié chez les profs.
Si ça ne t'embête pas de me répondre, j'aimerais bien avoir ton avis sur un comportement fréquent chez certains profs qui ne laisse de me surprendre.
Le fil de Kalthu sur les barres des supermarchés évoquent un sentiment partagé : le souci du regard des autres. Tout le monde est plus ou moins frappé par ce phénomène. J'en connais même qui se soucient des gens qui pourraient s'impatienter derrière eux aux barrières de péage, c'est pour te dire.
Sauf les profs.
Faire chier toute une file d'attente en posant pour la dixième fois la question d'une réduction E.N. pour l'entrée du musée.
Demander pour la vingtième fois à un professionnel s'il maintient sa version des faits.
S"étonner de devoir payer, s'offusquer de devoir être polis, bref, n'avoir aucune pudeur sociale, être totalement indifférents au fait qu'on puisse les regarder comme des crevures ou qu'ils emmerdent tout le monde. J'ai l'impression que ça glisse sur eux comme s'ils avaient enduit leur dignité avec du Téflon, à chaque fois ça m'intrigue.
Ils sont réellement totalement indifférents à l'avis de quiconque n'est pas un prof ? La dignité n'est pas incluse dans le package ? Ils s'estiment tellement supérieurs qu'ils laissent aux manants le droit de les juger ?
C'est pour ça que je leur ai fréquemment posé la question : « vous savez que la plupart des gens vous méprisent ? ». Normalement, ils auraient du me tuer sur le champ. Mais non. Les réactions sont plutôt faibles, souvent pour eux ce n'est qu'une des nombreuses contraintes dont ils sont victimes. Les plus lucides en souffrent.
Je me permets cette question car c'est une observation faite par de très nombreuses professions. En médecine, on appelle ça le syndrome MGEN. Je ne connais aucune autre profession où ce phénomène est observable. Imperméables à ce que pensent ou ressentent toutes les autres personnes.
C'est un peu de la provoc', certes, mais c'est une véritable interrogation.
Numero6- Messages : 6843
Date d'inscription : 15/12/2012
Age : 64
Re: Présentation
Dans la rubrique « it's my life » , je viens enfin de trouver l'origine du goût immonde qui reste sans la bouche après le passage chez le dentiste. C'est du clou de girofle. Vala, Vala. Je ne sors pas parce que je suis chez moi, mais c'est tout comme.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Présentation
Désolé Numero6, je n'avais pas vu ton message sur l'E.N. Atarax sûrement.
Je n'ai pas vraiment de réponse à ton interrogation. Pour moi, les enseignants sont dans une logique de cooptation telle que tout ce qui n'est pas E. N. finit par leur être étranger. Ce qui induit un comportement autre dans le quotidien. Mais ce n'est qu'une approximation. Après, je me demande si être systématiquement dans la position du « sachant », sans contradicteur possible, ne crée pas un rapport aux autres particulier.
Sinon, c'est très drôle cette notion de syndrome MGEN, mutuelle à laquelle j'adhère encore pour son passeisme confortable (pas de teletransmission des arrêts maladies, j'adore).
Je n'ai pas vraiment de réponse à ton interrogation. Pour moi, les enseignants sont dans une logique de cooptation telle que tout ce qui n'est pas E. N. finit par leur être étranger. Ce qui induit un comportement autre dans le quotidien. Mais ce n'est qu'une approximation. Après, je me demande si être systématiquement dans la position du « sachant », sans contradicteur possible, ne crée pas un rapport aux autres particulier.
Sinon, c'est très drôle cette notion de syndrome MGEN, mutuelle à laquelle j'adhère encore pour son passeisme confortable (pas de teletransmission des arrêts maladies, j'adore).
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
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