J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
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J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
...j'ai des facilités, disons.
Par contre, travailer dans le domaine de la traduction me cause une indicible souffrance. Dans mon expérience, cela donne surtout un statut d'intellectuel précaire et les conditions de travail (super speed, avec nuits blanches à la clé) sont insupportables. La traduction demande du temps, surtout pour une perfectionniste.
En fait une traduction n'est jaais parfaite, et doit être révisée de temps en temps. Le travail réel est sans aucune proportion avec la rémunération. C'est un des premiers métiers que j'ai exercés, et l'un des plus frustrants.
Je ne traduis plus que pour moi-même, et pour le plaisir de partager avec qq âmes sensibles. Mais pas trop souvent. Ca titille un nerf trop douloureux.
Par contre, travailer dans le domaine de la traduction me cause une indicible souffrance. Dans mon expérience, cela donne surtout un statut d'intellectuel précaire et les conditions de travail (super speed, avec nuits blanches à la clé) sont insupportables. La traduction demande du temps, surtout pour une perfectionniste.
En fait une traduction n'est jaais parfaite, et doit être révisée de temps en temps. Le travail réel est sans aucune proportion avec la rémunération. C'est un des premiers métiers que j'ai exercés, et l'un des plus frustrants.
Je ne traduis plus que pour moi-même, et pour le plaisir de partager avec qq âmes sensibles. Mais pas trop souvent. Ca titille un nerf trop douloureux.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Hello Beautymist,
Je ne comprends pas bien le lien entre le titre de ton post et son contenu.
J'aimerais bien comprendre comment tu attrapes de nouvelles langues.
Et lesquelles ?
Et jusqu'où ? (quel niveau, je veux dire).
Chaque rencontre avec une langue nouvelle est une telle aventure...
Je ne comprends pas bien le lien entre le titre de ton post et son contenu.
J'aimerais bien comprendre comment tu attrapes de nouvelles langues.
Et lesquelles ?
Et jusqu'où ? (quel niveau, je veux dire).
Chaque rencontre avec une langue nouvelle est une telle aventure...
- Sinon, j'ai une autre vision de la traduction :
- Je ne me suis jamais vue comme une intellectuelle précaire.
Quant à la traduction "jamais parfaite" (il y a aussi celui de langue source réputée "intraduisible") c'est pour moi un mythe contre lequel je me bats depuis des années.
Parler de "LA traduction parfaite" n'a pas de sens.
Il peut selon moi y avoir "DES" traductions, toutes parfaites, d'un même texte.
L'essentiel est que la mission soit remplie (que la traduction "fonctionne", touche sa cible et produise sur le lecteur l'effet recherché).
Des traductions parfaites, pour moi, ce sont des traductions cohérentes.
Si une traduction reste à parfaire, c'est que le traducteur n'a pas assez bossé.
Alors oui, ça prend du temps et oui, cela demande des compétences.
Le problème vient d'ailleurs.
Tout le monde croit qu'à partir du moment où l'on maîtrise une langue, on est capable de traduire.
Rien n'est moins vrai.
J'ai connu d'excellents germanistes qui n'ont jamais eu le sens de la traduction.
Par ailleurs un traducteur même chevronné n'est pas capable de tout traduire.
Pardonne-moi d'être un peu cash.
Tu touches, en effet, un nerf douloureux... celui du traducteur miséreux, à l'image du poète maudit.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Merci Bérénice de ton retour.
Il y a en effet de nombreux mythes concernant les langues et l'art de la traduction.
Disons que j'aime les langues étrangères, c'est un plaisir de les apprendre, et de découvrir une civilisation en même temps qu'une langue.
Par contre, la vie m'a obligée à faire de la traduction un métier avec un statut précaire. Et ça a été une grande souffrance. J'étais très jeune (à peine 18 ans), dans la dèche, sans formation préalable, et en effet, je confirme : ce n'est pas parce qu'il m'est facile de comprendre et de parler une nouvelle langue que la traduction, qui est souvent un exercice écrit, m'est aisé ou agréable. Surtout si c'est mal payé et que je dois faire des nuits blanches pour rendre ma copie.
Il s'agissait en fait d'adaptation et non de traduction au sens littéraire du terme. Je faisais du sous-titrage pour des films documentaires, et me retrouvait cataloguée "littéraire" devant faire un travil solitaire dans un milieu où l'image et le travail d'équipe est valorisé.
En fait, je ne voudrais pas généraliser à partir de mon expérience professionnelle malheureuse sur la traduction et les traducteurs en général. Je pense aussi qu'un mauvais relationnel (je ne me suis pas bien entendue avec mes patrons, des cinéastes qui m'ont souvent regardée de haut, me parlaient mal, me mettaient une pression insupportable, etc... sous-estimaient la charge de travail... et avaient parfois le culot de soi-disant "oublier" de mettre mon nom au générique du film, une crasse que j'ai du mal à pardonner) a laissé un souvenir amer de cette période.
J'ai eu par la suite des relations de travail plus fluides. Et j'ai remarqué que lorsque je me sentais appréciée à un niveau personnel, le professionnel coulait de source. Le travail me semblait facile, et comme par hasard, je n'avais pas à courir après la paie.
Tout ça pour dire que je suis très admirative du travail des traducteurs de textes littéraires - je sais ce que ça représente comme effort. Grande lectrice, je leur dois beaucoup de bonheur, même si je lis aussi en VO.
Et quand je dis que j'attrape, je veux dire que j'ai l'ouie fine (hyperacousie), de sorte qu'en sortant d'un film étranger vu en VO sous-titrée, je suis capable de dire quelques mots simples, voire quelques phrases et expressions usuelles.
Il y a en effet de nombreux mythes concernant les langues et l'art de la traduction.
Disons que j'aime les langues étrangères, c'est un plaisir de les apprendre, et de découvrir une civilisation en même temps qu'une langue.
Par contre, la vie m'a obligée à faire de la traduction un métier avec un statut précaire. Et ça a été une grande souffrance. J'étais très jeune (à peine 18 ans), dans la dèche, sans formation préalable, et en effet, je confirme : ce n'est pas parce qu'il m'est facile de comprendre et de parler une nouvelle langue que la traduction, qui est souvent un exercice écrit, m'est aisé ou agréable. Surtout si c'est mal payé et que je dois faire des nuits blanches pour rendre ma copie.
Il s'agissait en fait d'adaptation et non de traduction au sens littéraire du terme. Je faisais du sous-titrage pour des films documentaires, et me retrouvait cataloguée "littéraire" devant faire un travil solitaire dans un milieu où l'image et le travail d'équipe est valorisé.
En fait, je ne voudrais pas généraliser à partir de mon expérience professionnelle malheureuse sur la traduction et les traducteurs en général. Je pense aussi qu'un mauvais relationnel (je ne me suis pas bien entendue avec mes patrons, des cinéastes qui m'ont souvent regardée de haut, me parlaient mal, me mettaient une pression insupportable, etc... sous-estimaient la charge de travail... et avaient parfois le culot de soi-disant "oublier" de mettre mon nom au générique du film, une crasse que j'ai du mal à pardonner) a laissé un souvenir amer de cette période.
J'ai eu par la suite des relations de travail plus fluides. Et j'ai remarqué que lorsque je me sentais appréciée à un niveau personnel, le professionnel coulait de source. Le travail me semblait facile, et comme par hasard, je n'avais pas à courir après la paie.
Tout ça pour dire que je suis très admirative du travail des traducteurs de textes littéraires - je sais ce que ça représente comme effort. Grande lectrice, je leur dois beaucoup de bonheur, même si je lis aussi en VO.
Et quand je dis que j'attrape, je veux dire que j'ai l'ouie fine (hyperacousie), de sorte qu'en sortant d'un film étranger vu en VO sous-titrée, je suis capable de dire quelques mots simples, voire quelques phrases et expressions usuelles.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Je suis sans doute plus en train d'évoquer la dichotomie plaisir/souffrance (au travail et ailleurs...), qui sont le lot de beaucoup de zèbres, que de discuter dela traduction.
Je me sens en effet poète maudit dans pas mal de domaines... De n'être toujours pas confirmée de façon officielle dans mon hypothèse d'être un zèbre est source de douleur encore aujourd'hui. Et ce n'est pas faute d'avoir tenté le coup auprès de différents psy.
J'espère... J'attends... et la frustration n'est pas toujours facile à gérer.
Je me sens en effet poète maudit dans pas mal de domaines... De n'être toujours pas confirmée de façon officielle dans mon hypothèse d'être un zèbre est source de douleur encore aujourd'hui. Et ce n'est pas faute d'avoir tenté le coup auprès de différents psy.
J'espère... J'attends... et la frustration n'est pas toujours facile à gérer.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Merci à toi d'avoir pris le temps de préciser et de reformuler.
Tes propos sonnent plus "justes".
Il n'est pas de traduction, pragmatique ou artistique, qui ne soit peu ou prou une adaptation
Je ne conçois pas la chose autrement.
Et c'est bien là que résident les compétences des traducteurs.
Sinon, tout le monde pourrait s'y coller.
So nach dem Motto "un bon dico et hop" !
Le sous-titrage est un exercice de très haut vol.
La traduction est un métier d'expérience. La "rentabilité" vient avec le temps qu'il faut à une plume pour s'aiguiser et filer là où le traducteur a décider d'aller.
Tu ne dis pas si tu avais été formée un minimum.
Ça c'est drôle !
Rien n'est plus amusant, en voyage, que de replacer le tout dans une conversation avec des locuteurs natifs pour créer des contacts.
J'adore !
Je ressens, à te lire, un énorme besoin de reconnaissance.
Peut-être devrais-tu fouiller dans la section Zébritude - Psys et adresses de...
Courage pour tout !
Tes propos sonnent plus "justes".
Il n'est pas de traduction, pragmatique ou artistique, qui ne soit peu ou prou une adaptation
Je ne conçois pas la chose autrement.
Et c'est bien là que résident les compétences des traducteurs.
Sinon, tout le monde pourrait s'y coller.
So nach dem Motto "un bon dico et hop" !
Le sous-titrage est un exercice de très haut vol.
La traduction est un métier d'expérience. La "rentabilité" vient avec le temps qu'il faut à une plume pour s'aiguiser et filer là où le traducteur a décider d'aller.
Tu ne dis pas si tu avais été formée un minimum.
Beautymist a écrit:Et quand je dis que j'attrape, je veux dire que j'ai l’ouïe fine (hyperacousie), de sorte qu'en sortant d'un film étranger vu en VO sous-titrée, je suis capable de dire quelques mots simples, voire quelques phrases et expressions usuelles.
Ça c'est drôle !
Rien n'est plus amusant, en voyage, que de replacer le tout dans une conversation avec des locuteurs natifs pour créer des contacts.
J'adore !
Je ressens, à te lire, un énorme besoin de reconnaissance.
Peut-être devrais-tu fouiller dans la section Zébritude - Psys et adresses de...
Courage pour tout !
Dernière édition par Bérénice le Mar 15 Mar 2016 - 18:07, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Bérénice : touché (comme disent les Anglo-Saxons) par rapport au besoin de reconnaissance !
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Beautymist a écrit:Bérénice : touché (comme disent les Anglo-Saxons) par rapport au besoin de reconnaissance !
Ne reste plus qu'à ne pas couler !
Courage pour tout !
Peut-être trouveras-tu ici quelques pistes éclairées.
Prends bien soin de toi.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Oui, j'essaie de trouver l'équilibre entre la vie de tous les jours (avec ses joies et ses peines) et le virtuel.
J'ai du soutien... en fait, ça me met un peu mal à l'aise, l'attitude de la psy trop familière, comme si elle voulait être ma copine. C'est moi qui ai dû la recadrer un peu, genre me mettre en mode "froideur affective" comme ont écrit certains psychiatres - oui, j'ai eu le culot de demander une copie de mon dossier après hospitalisation, je voulais quand même savoir ce que ces zigotos pensent et écrivent de moi. C'est une info utile, pas toujours pertinente, mais bon...
Certains médecins finissent enfin par reconnaître que j'ai subi des maltraitances bien réelles et qu'au lieu d'avoir eu de l'écoute bienveillante et du temps, j'ai été surmédicalisée. Prendre soin de moi ? Je sais faire.
Mais un certain nombre de toxiques (les auteurs des maltraitances) ont tout détruit en quelques heures il y a 3 ans... et je ramasse encore les morceaux.
Je viens de retrouver un appart à peu près décent il y a 3 mois à peine... Vide... tout à remeubler. Pour se reconstruire, malgré tout.
Vieux réflexe, j'ai remis internet avant que d'acheter un frigo ou même un lit... Bien sûr, on pourrait dire que j'ai de drôles de priorités, dit comme ça... En fait, les possessions matérielles de base, ça se retrouve, ça se récupère, voire... se rachète sur internet. Mais le lien, même virtuel, c'est ce qui me manque le plus. J'ai dans l'idée de rejoindre un club ou un cercle... sport ? lecture ? enfin n'importe, mais une activité agréable qui me permettra de ne pas trop me sentir en décalage dans une situation de "salut, je suis la nouvelle".
Ah oui, il n'y a pas qu'une psy dans ma vie. Il y a aussi une super prof de chant, avec qui on se comprend à demi-mots, ce qui n'est déjà pas si mal.
J'ai du soutien... en fait, ça me met un peu mal à l'aise, l'attitude de la psy trop familière, comme si elle voulait être ma copine. C'est moi qui ai dû la recadrer un peu, genre me mettre en mode "froideur affective" comme ont écrit certains psychiatres - oui, j'ai eu le culot de demander une copie de mon dossier après hospitalisation, je voulais quand même savoir ce que ces zigotos pensent et écrivent de moi. C'est une info utile, pas toujours pertinente, mais bon...
Certains médecins finissent enfin par reconnaître que j'ai subi des maltraitances bien réelles et qu'au lieu d'avoir eu de l'écoute bienveillante et du temps, j'ai été surmédicalisée. Prendre soin de moi ? Je sais faire.
Mais un certain nombre de toxiques (les auteurs des maltraitances) ont tout détruit en quelques heures il y a 3 ans... et je ramasse encore les morceaux.
Je viens de retrouver un appart à peu près décent il y a 3 mois à peine... Vide... tout à remeubler. Pour se reconstruire, malgré tout.
Vieux réflexe, j'ai remis internet avant que d'acheter un frigo ou même un lit... Bien sûr, on pourrait dire que j'ai de drôles de priorités, dit comme ça... En fait, les possessions matérielles de base, ça se retrouve, ça se récupère, voire... se rachète sur internet. Mais le lien, même virtuel, c'est ce qui me manque le plus. J'ai dans l'idée de rejoindre un club ou un cercle... sport ? lecture ? enfin n'importe, mais une activité agréable qui me permettra de ne pas trop me sentir en décalage dans une situation de "salut, je suis la nouvelle".
Ah oui, il n'y a pas qu'une psy dans ma vie. Il y a aussi une super prof de chant, avec qui on se comprend à demi-mots, ce qui n'est déjà pas si mal.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
Beautymist a écrit:Vieux réflexe, j'ai remis internet avant que d'acheter un frigo ou même un lit... Bien sûr, on pourrait dire que j'ai de drôles de priorités, dit comme ça...
Comment ça, on pourrait dire ?
M'enfin qui pourrait dire ?
Tu as fait un choix.
C'est ton choix et il est parfait pour toi.
Personne n'a quoi que ce soit à dire.
Vive les profs de chant !
Continue à construire et à t'affirmer comme tu sais déjà très bien le faire.
Je t'embrasse.
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
"on" pourrait dire... ben : les voisins, le qu'en dira-t--on, les jaloux, les toxiques.... qui ne manquent pas et dont je me moque bien.
Sauf qu'il faut bien se conformer un minimum à une société de normo-pensants et ne pas trop se fâcher avec le voisinage... je parle d'expérience... surtout quand on se retrouve à vivre dans un tout petit village. Un zèbre comme moi n'y passe pas inaperçu. Et j'ai subi par le passé des agressions bien réelles qui provent qu'on ne vit pas au pays de sbisounours, qu'il y a beaucup de haine et de jalousie, si on n'apprend pas à se protéger.
Je recherche l'équilibre entre ce me convient, et une société qui cherche à tout prix à nous (nous tous humains, zèbres ou pas) apprauvrir avec des normes.
Etant dans une situation matérielle délicate, je suis bien obligée pour l'instant de faire bonne figure et de sourire à certains de mes ennemis (dans un village, il est inévitable d'avoir à se recroiser...). C'est de la pure hypocrisie, je déteste, c'est mentir et porter un masque social, mais il s'agit de survie.
Grâce au chant et à bien d'autres belles choses, mon âme vit encore... Je vibre !
Je cherche à retrouver l'harmonie corps/âme/esprit. Pour l'instant, des conditions adverses, des accidents de vie, une série de chocs font qu'il y a division et conflit. Y compris entre mon mental et mon émotionnel.
Mais peut-être que les douleurs physiques, les crises émotionnelles intenses, ce n'est que le faux self qui se craquèle ? Ce serait alors une bonne chose. dmmage que ça fasse si mal.
La discussion sur le faux self dans ce forum me confirme dans mes hypothèses et m'enlève le doute, qui est une véritable torture mentale.
Les forums c'est bien, mais je rêve de pouvoir rencontrer d'autres zèbres, en vrai. Il se peut que ces rencontres aient déjà eu lieu dans ma vie, mais que les personnes ne se soient pas identifiées comme "zèbres".
A suivre...
Sauf qu'il faut bien se conformer un minimum à une société de normo-pensants et ne pas trop se fâcher avec le voisinage... je parle d'expérience... surtout quand on se retrouve à vivre dans un tout petit village. Un zèbre comme moi n'y passe pas inaperçu. Et j'ai subi par le passé des agressions bien réelles qui provent qu'on ne vit pas au pays de sbisounours, qu'il y a beaucup de haine et de jalousie, si on n'apprend pas à se protéger.
Je recherche l'équilibre entre ce me convient, et une société qui cherche à tout prix à nous (nous tous humains, zèbres ou pas) apprauvrir avec des normes.
Etant dans une situation matérielle délicate, je suis bien obligée pour l'instant de faire bonne figure et de sourire à certains de mes ennemis (dans un village, il est inévitable d'avoir à se recroiser...). C'est de la pure hypocrisie, je déteste, c'est mentir et porter un masque social, mais il s'agit de survie.
Grâce au chant et à bien d'autres belles choses, mon âme vit encore... Je vibre !
Je cherche à retrouver l'harmonie corps/âme/esprit. Pour l'instant, des conditions adverses, des accidents de vie, une série de chocs font qu'il y a division et conflit. Y compris entre mon mental et mon émotionnel.
Mais peut-être que les douleurs physiques, les crises émotionnelles intenses, ce n'est que le faux self qui se craquèle ? Ce serait alors une bonne chose. dmmage que ça fasse si mal.
La discussion sur le faux self dans ce forum me confirme dans mes hypothèses et m'enlève le doute, qui est une véritable torture mentale.
Les forums c'est bien, mais je rêve de pouvoir rencontrer d'autres zèbres, en vrai. Il se peut que ces rencontres aient déjà eu lieu dans ma vie, mais que les personnes ne se soient pas identifiées comme "zèbres".
A suivre...
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
That is SO me: https://youtu.be/ReHdQsB5rI8
Invité- Invité
Re: J'attrape une nouvelle langue comme on attrape un rhume.
C'est drôle je suis venue voir dans la section la langue étrangère pour voir si effectivement, les facilités en langue étaient communes. ..
Je ne dirais pas que j'attrape les langues comme un rhume. ..plutôt comme une éponge, aux contacts, ça va assez vite à l'étranger. Et je chope involontairement les expressions des autres au bout d'un moment. ..même celle dont je ne voulais pas lol.
Entourée de savoyarde pendant mes études après m'être beaucoup moquée de ce "y" qui remplace les le/la (il faut que j'y recopie, il faut que j'y fasse...bref un naufrage grammatical), et beh il m'arrive toujours de parler comme ça.
Mais bien sûr, le vrai plaisir c'est à l'étranger et en Allemagne particuliement
Je ne dirais pas que j'attrape les langues comme un rhume. ..plutôt comme une éponge, aux contacts, ça va assez vite à l'étranger. Et je chope involontairement les expressions des autres au bout d'un moment. ..même celle dont je ne voulais pas lol.
Entourée de savoyarde pendant mes études après m'être beaucoup moquée de ce "y" qui remplace les le/la (il faut que j'y recopie, il faut que j'y fasse...bref un naufrage grammatical), et beh il m'arrive toujours de parler comme ça.
Mais bien sûr, le vrai plaisir c'est à l'étranger et en Allemagne particuliement
Céleste25- Messages : 29
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