Choses diverses et variées que vous voulez partager !
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Before-And-After Pics Reveal What War Did To The Largest City In Syria
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Quand Ellen nous présente le stylo Bic pour "Elle".
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ma compagne travaille dans une petite librairie de quartier, c'est souvent très calme et silencieux. Son patron il y a quelques année a eu un grave AVC et aussi un gros problème aortique. Il a une valve artificielle au coeur. Résultat quand c'est très calme dans la librairie, on entends le clip clap de la valve cardiaque. Et lui même, le patron, l'entend aussi la nuit quand il s'endort. C'est assez flippant je trouve. Ce gas quand il est éveillé entend littéralement la pièce mécanique qui le maintient en vie faire son tic tac...
Palatinus- Messages : 2193
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Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.novaplanet.com/novamag/61437/la-science-de-l-ecriture-rap-en-une-video
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://www.novaplanet.com/novamag/61587/l-hyper-realite-l-enfer-de-notre-futur
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Podcasts
Cet été, Christophe André propose sur l’antenne de France Culture une introduction simple et ludique à la méditation en pleine conscience. Chaque jour, trois minutes de méditation guidée, pour respirer, se concentrer et lâcher prise.
Prendre conscience de son état intérieur, écouter la rumeur du monde, contempler la nature… Trois minutes en apesanteur, avec soi-même.
Christophe André
Psychiatre spécialiste des troubles anxieux et dépressifs, Christophe André commence à s’intéresser à la méditation à la fin des années 1990, en tant que médecin et en tant que pratiquant. Il se forme à l’enseignement de la pleine conscience et il est l’un des premiers à la proposer à ses patients dans le cadre de protocoles thérapeutiques, dès 2004, dans le Service Hospitalo-Universitaire de l’hôpital Ste-Anne à Paris. Il est l’auteur de nombreux best-sellers dont Méditer jour après jour.
http://www.franceculture.fr/emissions/trois-minutes-mediter
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
merci, je vais méditer la dessus ;-)
savoir se dégager du monde peut être utile en effet , les techniques chamanes sont en train de m'intéresser aussi mais ces derniers utilisaient souvent des drogues, mais je ne suis pas pour ces voies là
peut on atteindre une pleine conscience sans aide artificielle ? je ne sais pas
pas mal de gens se sont perdus sur ces chemins là
le vrai chamane n'a pas besoin d'artifice mais d'une longue pratique de méditation,
la méditation de pleine conscience , c'est en quelque sorte "faire son petit chamane"
ça me va
savoir se dégager du monde peut être utile en effet , les techniques chamanes sont en train de m'intéresser aussi mais ces derniers utilisaient souvent des drogues, mais je ne suis pas pour ces voies là
peut on atteindre une pleine conscience sans aide artificielle ? je ne sais pas
pas mal de gens se sont perdus sur ces chemins là
le vrai chamane n'a pas besoin d'artifice mais d'une longue pratique de méditation,
la méditation de pleine conscience , c'est en quelque sorte "faire son petit chamane"
ça me va
Invité- Invité
Ptérodactyle- Messages : 1125
Date d'inscription : 22/04/2015
Age : 43
Localisation : une contrée lointaine
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ce matin, j'étais pas bien réveillé.
J'ai posé laborieusement mes fesses dans le tram, essayant de brancher ma musique les yeux a moitiés ouverts, les mains malhabiles et le souvenir du "5h17" affiché sur mon réveil, la première fois où j'ai ouvert les yeux.
3ème essais pour glisser la prise jack dans le trou approprié, et là, mon voisin de droite me tend son portefeuille - mais pourquoi fait il ca?
Il me demande mon titre de transport - mais pourquoi fait il ca?
Quelques excessives secondes se passent dans un léger moment de flottement, mon cerveau se décide alors à faire un lien.
Non, ce n'était pas un portefeuille que mes yeux avaient vus, mais "un badge en cuir".
Non, ce n'était pas un voisin normal.
Mais.. un... contrôleur en civil planqué parmi les voyageurs.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le coquin!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Je lui tends machinalement mon badge d'abonnement, dans le mode robot qui ne m'avait pas quitté depuis le franchissement de la porte de mon studio.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le relou!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Il semble vérifier que tout est en ordre, je commence à me projeter dans la 4eme tentative de branchage de mes écouteurs.
- Vous réglez comment?
- Hein?
Interruption de la projection du délicat branchage d'écouteur.
- Ba oui, vous n'avez pas validé votre abonnement en rentrant dans le tram.
Mon cerveau fait alors une nouvelle connexion - haaaaaa ouiiiiii.... j'ai oublié un truc!
Re connexion - c'est quoi le problème? c'est un abonnement mensuel, mes fesses sont posées depuis 45 secondes sur un siège, il est 7h45, j'ai pas l'air réveillé - ou-lààààà, enchainement de 5 idées consécutives - performance!
- 5€.
- J'essaie de formuler une forme de protestation.
- 5€.
- Je tends 10€.
- Vous auriez pas de la monnaie?
- Non mais vous rigolez ou quoi? J'ai le plus profond respect pour votre boulot, mais là c'est un piège, une embuscade votre histoire. Mettez des amendes a ceux qu'on pas de titre ou d'abonnement! C'est quoi vot' délire là???
- Juste 1 €?
- Débrouillez vous je vais pas vous faciliter la vie là! Et puis j'vais m'assoir plus loin parce que ça pue grave votre histoire, c'est du racket organisé, de l'abus total!
Et voila comment, après avoir, toute ma vie, payé mes titres de transports, mes amendes avec le sourire quand j'en avais pas, j'ai laché 5€ à un putkjµµ££¨£¨de nazi. Et je suis resté calme et poli.
Et finalement, voici comment mon cerveau à réussi a faire sa 8ème connexion, en associant contrôleur à nazi pour m’être concentré sur mes écouteurs plutôt que sur la validation nécessaire d'un abonnement mensuel.
[ Il y a visiblement, des choses dans ce monde qui me donnent envie de le changer ]
A quand l'amende parce que ma chemise est pas repassée et que c'est insultant pour ceux qui se donne la peine de le faire?
Enfin, rien n'atteindra mon bonheur et ma joie, blasé 8 min dans ma journée, c'est pas un drame.
9ème connexion
J'ai posé laborieusement mes fesses dans le tram, essayant de brancher ma musique les yeux a moitiés ouverts, les mains malhabiles et le souvenir du "5h17" affiché sur mon réveil, la première fois où j'ai ouvert les yeux.
3ème essais pour glisser la prise jack dans le trou approprié, et là, mon voisin de droite me tend son portefeuille - mais pourquoi fait il ca?
Il me demande mon titre de transport - mais pourquoi fait il ca?
Quelques excessives secondes se passent dans un léger moment de flottement, mon cerveau se décide alors à faire un lien.
Non, ce n'était pas un portefeuille que mes yeux avaient vus, mais "un badge en cuir".
Non, ce n'était pas un voisin normal.
Mais.. un... contrôleur en civil planqué parmi les voyageurs.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le coquin!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Je lui tends machinalement mon badge d'abonnement, dans le mode robot qui ne m'avait pas quitté depuis le franchissement de la porte de mon studio.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le relou!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Il semble vérifier que tout est en ordre, je commence à me projeter dans la 4eme tentative de branchage de mes écouteurs.
- Vous réglez comment?
- Hein?
Interruption de la projection du délicat branchage d'écouteur.
- Ba oui, vous n'avez pas validé votre abonnement en rentrant dans le tram.
Mon cerveau fait alors une nouvelle connexion - haaaaaa ouiiiiii.... j'ai oublié un truc!
Re connexion - c'est quoi le problème? c'est un abonnement mensuel, mes fesses sont posées depuis 45 secondes sur un siège, il est 7h45, j'ai pas l'air réveillé - ou-lààààà, enchainement de 5 idées consécutives - performance!
- 5€.
- J'essaie de formuler une forme de protestation.
- 5€.
- Je tends 10€.
- Vous auriez pas de la monnaie?
- Non mais vous rigolez ou quoi? J'ai le plus profond respect pour votre boulot, mais là c'est un piège, une embuscade votre histoire. Mettez des amendes a ceux qu'on pas de titre ou d'abonnement! C'est quoi vot' délire là???
- Juste 1 €?
- Débrouillez vous je vais pas vous faciliter la vie là! Et puis j'vais m'assoir plus loin parce que ça pue grave votre histoire, c'est du racket organisé, de l'abus total!
Et voila comment, après avoir, toute ma vie, payé mes titres de transports, mes amendes avec le sourire quand j'en avais pas, j'ai laché 5€ à un putkjµµ££¨£¨de nazi. Et je suis resté calme et poli.
Et finalement, voici comment mon cerveau à réussi a faire sa 8ème connexion, en associant contrôleur à nazi pour m’être concentré sur mes écouteurs plutôt que sur la validation nécessaire d'un abonnement mensuel.
[ Il y a visiblement, des choses dans ce monde qui me donnent envie de le changer ]
A quand l'amende parce que ma chemise est pas repassée et que c'est insultant pour ceux qui se donne la peine de le faire?
Enfin, rien n'atteindra mon bonheur et ma joie, blasé 8 min dans ma journée, c'est pas un drame.
9ème connexion
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Je te recommande la technique d'jeun's éprouvée et approuvée sur les lignes du TER Nord Pas de Calais.
Le d'jeun's : "J'ai oublié ms'ieu le contrôleur". "Non, j'ai pas d'argent sur moi, ni de chèque, ni de CB". "Non, j'ai pas de pièces d'identité sur moi".
Ensuite : donner une fausse adresse pour le PV. Prendre le papier inutile du PV.
Enfin : descendre à destination et passer à autre chose, l'esprit serein...
Le d'jeun's : "J'ai oublié ms'ieu le contrôleur". "Non, j'ai pas d'argent sur moi, ni de chèque, ni de CB". "Non, j'ai pas de pièces d'identité sur moi".
Ensuite : donner une fausse adresse pour le PV. Prendre le papier inutile du PV.
Enfin : descendre à destination et passer à autre chose, l'esprit serein...
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Merci pour le conseil... mais.... ca serait mentir
Et pour 5 euros en plus
Et pour 5 euros en plus
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ajoutée le 13 juin 2016
Céline Joyce Douay est co-auteur du livre My Paris Story, créatrice de richesses intérieures et extérieures, pour les coachs et les dirigeants ainsi que guide spécialisée dans la « Lecture d’âme » pour aider tout individu, en France comme à l’étranger, à trouver sa mission de vie. Depuis son violent réveil en 2012 par l'Univers, elle décide de reprendre son pouvoir, accueillir son potentiel unique et se mettre au service des autres afin d’aider à la « Transition Planétaire ». Elle synchronise l’Ego, avec la mission et les messages de l’âme, qui lui réalise les actions dans la matière. Cela permet un parfait alignement de l’individu et une prise de conscience de l'influence de la loi d’attraction sur sa vie. Les résultats sont visibles dans le concret, de nombreux clients en témoignent.
Guidée depuis son enfance, elle a reçu de nombreux signes toute sa vie, rêves prémonitoires, flashs, en 2001 l’appel du Mount Shasta en Californie, puis à partir de 2008 de très fortes synchronicités telle que la rencontre de sa cousine devant la Pyramide de Khéops en Egypte, une multiplication de coïncidences à Londres, des rencontres surprenantes à Los Angeles qui l'ont guidé sur son chemin spirituel. Elle réussit à réactiver son potentiel énergétique en parcourant plus de 40 pays, en passant par des lieux à vibrations très élevées comme le Machu Picchu, le Mont Sinaï, les Chutes du Niagara, et beaucoup d’autres…. Ses capacités extra-sensorielles ne cessent de se développer et elle découvre également une faculté à guérir les gens, communiquer avec des gens dans le coma, faire du remote viewing, lire des photos de personnes, etc.
Dotée d’une grande volonté et accompagnée de sa force et de sa foi, Céline contribue à faire en sorte que les êtres de lumière que l'on peut appeler - coachs, thérapeutes, accompagnateurs, dirigeants de société ou autres - reprennent possession de leur plein pouvoir afin qu’ils participent, à leur tour et à leur manière, à la transformation de ce monde vers un épanouissement total de l’être humain et ainsi sauver des vies.
De 1999 à 2012, entre l’obtention de son Master II en Business International & Marketing ainsi que son expérience professionnelle en tant que Directrice des Ventes Europe dans le E-commerce, elle rapporte des millions à son employeur, manage avec brio des équipes constituées de nationalités et cultures différentes dont elle fait grandir notamment le potentiel. En 2013, s'appuyant sur son vécu, en alliant ses connaissances et ses expériences à son génie "spirituel", elle décide de créer sa société dans le Coaching Intuitif et Business Mentoring à l’international.
Sa mission est d'éveiller les Acteurs de Lumière à devenir des spécialistes aguerris et justes, d’aider un large public, par conséquent de créer un impact positif et puissant au niveau planétaire. Elle accompagne ces co-créateurs et les amène à incarner avec fierté leur mission de vie et à concrétiser leurs rêves dans la matière grâce aux fruits récoltés de leur mérite.
A très vite,
Céline Joyce Douay
Comment gagner 300 euros ? Faîtes un test en direct. Je vais attendre un peu, comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu.... je vais faire ma basique et aller voir l'age de glace au ciné... pardon.. (Je ne suis pas testée, je partage juste... mais je réponds de plus en plus à la question : euh pourquoi je ne vais toujours pas le dire... euh t'es surdoué ? alors tu parles aux gens dans le coma... !!! quand il n'y a plus il y a encore et apparemment ça n'est pas fini, victime de la mode ? telle est ton nom de code ? barres ?)
Céline Joyce Douay est co-auteur du livre My Paris Story, créatrice de richesses intérieures et extérieures, pour les coachs et les dirigeants ainsi que guide spécialisée dans la « Lecture d’âme » pour aider tout individu, en France comme à l’étranger, à trouver sa mission de vie. Depuis son violent réveil en 2012 par l'Univers, elle décide de reprendre son pouvoir, accueillir son potentiel unique et se mettre au service des autres afin d’aider à la « Transition Planétaire ». Elle synchronise l’Ego, avec la mission et les messages de l’âme, qui lui réalise les actions dans la matière. Cela permet un parfait alignement de l’individu et une prise de conscience de l'influence de la loi d’attraction sur sa vie. Les résultats sont visibles dans le concret, de nombreux clients en témoignent.
Guidée depuis son enfance, elle a reçu de nombreux signes toute sa vie, rêves prémonitoires, flashs, en 2001 l’appel du Mount Shasta en Californie, puis à partir de 2008 de très fortes synchronicités telle que la rencontre de sa cousine devant la Pyramide de Khéops en Egypte, une multiplication de coïncidences à Londres, des rencontres surprenantes à Los Angeles qui l'ont guidé sur son chemin spirituel. Elle réussit à réactiver son potentiel énergétique en parcourant plus de 40 pays, en passant par des lieux à vibrations très élevées comme le Machu Picchu, le Mont Sinaï, les Chutes du Niagara, et beaucoup d’autres…. Ses capacités extra-sensorielles ne cessent de se développer et elle découvre également une faculté à guérir les gens, communiquer avec des gens dans le coma, faire du remote viewing, lire des photos de personnes, etc.
Dotée d’une grande volonté et accompagnée de sa force et de sa foi, Céline contribue à faire en sorte que les êtres de lumière que l'on peut appeler - coachs, thérapeutes, accompagnateurs, dirigeants de société ou autres - reprennent possession de leur plein pouvoir afin qu’ils participent, à leur tour et à leur manière, à la transformation de ce monde vers un épanouissement total de l’être humain et ainsi sauver des vies.
De 1999 à 2012, entre l’obtention de son Master II en Business International & Marketing ainsi que son expérience professionnelle en tant que Directrice des Ventes Europe dans le E-commerce, elle rapporte des millions à son employeur, manage avec brio des équipes constituées de nationalités et cultures différentes dont elle fait grandir notamment le potentiel. En 2013, s'appuyant sur son vécu, en alliant ses connaissances et ses expériences à son génie "spirituel", elle décide de créer sa société dans le Coaching Intuitif et Business Mentoring à l’international.
Sa mission est d'éveiller les Acteurs de Lumière à devenir des spécialistes aguerris et justes, d’aider un large public, par conséquent de créer un impact positif et puissant au niveau planétaire. Elle accompagne ces co-créateurs et les amène à incarner avec fierté leur mission de vie et à concrétiser leurs rêves dans la matière grâce aux fruits récoltés de leur mérite.
A très vite,
Céline Joyce Douay
Comment gagner 300 euros ? Faîtes un test en direct. Je vais attendre un peu, comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu.... je vais faire ma basique et aller voir l'age de glace au ciné... pardon.. (Je ne suis pas testée, je partage juste... mais je réponds de plus en plus à la question : euh pourquoi je ne vais toujours pas le dire... euh t'es surdoué ? alors tu parles aux gens dans le coma... !!! quand il n'y a plus il y a encore et apparemment ça n'est pas fini, victime de la mode ? telle est ton nom de code ? barres ?)
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
suivez moi et par ici la monnaie je suis passé par le mont shasta
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
zebulonlezebre a écrit:suivez moi et par ici la monnaie je suis passé par le mont shasta
"comme je suis pas encore passée par le Mont Pickachu...""
mdrrrr
ces temps ci des tas de gens courent après des pokemon
http://www.7sur7.be/7s7/fr/4133/Multimedia/article/detail/2794437/2016/07/13/La-chasse-aux-Pokemon-n-est-pas-sans-risque.dhtml
je me demande parfois si les gens ont encore un cerveau
en fait j'ai un qi de 100 et les autres régressent mdrrr
En tous les cas, je sais désormais qu'il y en a ici où je peux poster ceci j'ai toujours préféré infuser avec des tiers, des tiers neutres, des tiers pas neutres, ou des tiers temps, des thières c'est le thière time On le sait pas mais le nombre d'heures que j'ai gagné en venant poster un truc ici dont je ne sais quoi penser, au lieu de me retourner le cerveau à me demander quoi en pensant mais il faut pas le répéter à ce forum, après il va se croire surdoué et avoir les chevilles qui gonflent autant laisser le sachez gonfler, sachez le c'est mieux pour le thé
Y'a concept, après sans les culottes, après les avec culots à tête d'ampoules, un collectif dans "sans QI" mais comment vont ils faire ? mais faire quoi ? touiller sans QIères. le sucre il reste au fond ? ou alors il y a une fourchette ? pour couper les équerres ou les écarts au couteau ? pour sortir du brouillard ?
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
- Pharaon:
"Vingt mille lieues sous les mers" ?- Chapitre XVII :
Nous étions enfin arrivés à la lisière de cette forêt, sans doute l’une des plus belles de l’immense domaine du capitaine Nemo. Il la considérait comme étant sienne, et s’attribuait sur elle les mêmes droits qu’avaient les premiers hommes aux premiers jours du monde. D’ailleurs, qui lui eût disputé la possession de cette propriété sous-marine ? Quel autre pionnier plus hardi serait venu, la hache à la main, en défricher les sombres taillis ?
Cette forêt se composait de grandes plantes arborescentes, et, dès que nous eûmes pénétré sous ses vastes arceaux. mes regards furent tout d’abord frappés d’une singulière disposition de leurs ramures - disposition que je n’avais pas encore observée jusqu’alors.
Aucune des herbes qui tapissaient le sol, aucune des branches qui hérissaient les arbrisseaux, ne rampait, ni ne se courbait, ni ne s’étendait dans un plan horizontal. Toutes montaient vers la surface de l’Océan. Pas de filaments, pas de rubans, si minces qu’ils fussent, qui ne se tinssent droit comme des tiges de fer. Les fucus et les lianes se développaient suivant une ligne rigide et perpendiculaire, commandée par la densité de l’élément qui les avait produits. Immobiles, d’ailleurs, lorsque je les écartais de la main, ces plantes reprenaient aussitôt leur position première. C’était ici le règne de la verticalité.
Bientôt, je m’habituai à cette disposition bizarre, ainsi qu’à l’obscurité relative qui nous enveloppait. Le sol de la forêt était semé de blocs aigus, difficiles à éviter. La flore sous-marine m’y parut être assez complète, plus riche même qu’elle ne l’eût été sous les zones arctiques ou tropicales, où ses produits sont moins nombreux. Mais, pendant quelques minutes, je confondis involontairement les règnes entre eux, prenant des zoophytes pour des hydrophytes, des animaux pour des plantes. Et qui ne s’y fût pas trompé ? La faune et la flore se touchent de si près dans ce monde sous-marin !
J’observai que toutes ces productions du règne végétal ne tenaient au sol que par un empâtement superficiel. Dépourvues de racines, indifférentes au corps solide, sable, coquillage, test ou galet, qui les supporte, elles ne lui demandent qu’un point d’appui, non la vitalité. Ces plantes ne procèdent que d’elles-mêmes, et le principe de leur existence est dans cette eau qui les soutient, qui les nourrit. La plupart, au lieu de feuilles, poussaient des lamelles de formes capricieuses, circonscrites dans une gamme restreinte de couleurs, qui ne comprenait que le rose, le carmin, le vert, l’olivâtre, le fauve et le brun. Je revis là, mais non plus desséchées comme les échantillons du Nautilus, des padines-paons, déployées en éventails qui semblaient solliciter la brise, des céramies écarlates, des laminaires allongeant leurs jeunes pousses comestibles, des néréocystées filiformes et fluxueuses, qui s’épanouissaient à une hauteur de quinze mètres, des bouquets s’acétabules, dont les tiges grandissent par le sommet, et nombre d’autres plantes pélagiennes, toutes dépourvues de fleurs. « Curieuse anomalie, bizarre élément, a dit un spirituel naturaliste, où le règne animal fleurit, et où le règne végétal ne fleurit pas ! »
Entre ces divers arbrisseaux, grands comme les arbres des zones tempérées, et sous leur ombre humide, se massaient de véritables buissons à fleurs vivantes, des haies de zoophytes, sur lesquels s’épanouissaient des méandrines zébrées de sillons tortueux, des cariophylles jaunâtres à tentacules diaphanes, des touffes gazonnantes de zoanthaires, et pour compléter l’illusion -, les poissons-mouches volaient de branches en branches, comme un essaim de colibris, tandis que de jaunes lépisacanthes, à la mâchoire hérissée, aux écailles aiguës, des dactyloptères et des monocentres, se levaient sous nos pas, semblables à une troupe de bécassines.
Vers une heure, le capitaine Nemo donna le signal de la halte. J’en fus assez satisfait pour mon compte, et nous nous étendîmes sous un berceau d’alariées, dont les longues lanières amincies se dressaient comme des flèches.
Cet instant de repos me parut délicieux. Il ne nous manquait que le charme de la conversation. Mais impossible de parler, impossible de répondre. J’approchai seulement ma grosse tête de cuivre de la tête de Conseil. Je vis les yeux de ce brave garçon briller de contentement, et en signe de satisfaction. il s’agita dans sa carapace de l’air le plus comique du monde.
Après quatre heures de cette promenade, je fus très étonné de ne pas ressentir un violent besoin de manger. A quoi tenait cette disposition de l’estomac, je ne saurais le dire. Mais, en revanche, j’éprouvais une insurmontable envie de dormir, ainsi qu’il arrive à tous les plongeurs. Aussi mes yeux se fermèrent-ils bientôt derrière leur épaisse vitre, et je tombai dans une invincible somnolence, que le mouvement de la marche avait seul pu combattre jusqu’alors. Le capitaine Nemo et son robuste compagnon, étendus dans ce limpide cristal, nous donnaient l’exemple du sommeil.
Combien de temps restai-je ainsi plongé dans cet assoupissement, je ne pus l’évaluer ; mais lorsque je me réveillai, il me sembla que le soleil s’abaissait vers l’horizon. Le capitaine Nemo s’était déjà relevé, et je commençais à me détirer les membres, quand une apparition inattendue me remit brusquement sur les pieds.
A quelques pas, une monstrueuse araignée de mer, haute d’un mètre, me regardait de ses yeux louches, prête à s’élancer sur moi. Quoique mon habit de scaphandre fût assez épais pour me défendre contre les morsures de cet animal, je ne pus retenir un mouvement d’horreur. Conseil et le matelot du Nautilus s’éveillèrent en ce moment. Le capitaine Nemo montra à son compagnon le hideux crustacé, qu’un coup de crosse abattit aussitôt, et je vis les horribles pattes du monstre se tordre dans des convulsions terribles.
Cette rencontre me fit penser que d’autres animaux, plus redoutables, devaient hanter ces fonds obscurs, et que mon scaphandre ne me protégerait pas contre leurs attaques. Je n’y avais pas songé jusqu’alors, et je résolus de me tenir sur mes gardes. Je supposais, d’ailleurs, que cette halte marquait le terme de notre promenade ; mais je me trompais, et, au lieu de retourner au Nautilus, le capitaine Nemo continua son audacieuse excursion.
Le sol se déprimait toujours, et sa pente, s’accusant davantage, nous conduisit à de plus grandes profondeurs. Il devait être à peu près trois heures, quand nous atteignîmes une étroite vallée, creusée entre de hautes parois à pic, et située par cent cinquante mètres de fond. Grâce à la perfection de nos appareils, nous dépassions ainsi de quatre-vingt-dix mètres la limite que la nature semblait avoir imposée jusqu’ici aux excursions sous-marines de l’homme.
Je dis cent cinquante mètres, bien qu’aucun instrument ne me permît d’évaluer cette distance. Mais je savais que, même dans les mers les plus limpides, les rayons solaires ne pouvaient pénétrer plus avant. Or, précisément, l’obscurité devint profonde. Aucun objet n’était visible à dix pas. Je marchais donc en tâtonnant, quand je vis briller subitement une lumière blanche assez vive. Le capitaine Nemo venait de mettre son appareil électrique en activité. Son compagnon l’imita. Conseil et moi nous suivîmes leur exemple. J’établis, en tournant une vis, la communication entre la bobine et le serpentin de verre, et la mer, éclairée par nos quatre lanternes, s’illumina dans un rayon de vingt-cinq mètres.
Le capitaine Nemo continua de s’enfoncer dans les obscures profondeurs de la forêt dont les arbrisseaux se raréfiaient de plus en plus. J’observai que la vie végétale disparaissait plus vite que la vie animale. Les plantes pélagiennes abandonnaient déjà le sol devenu aride, qu’un nombre prodigieux d’animaux, zoophytes, articulés, mollusques et poissons y pullulaient encore.
Tout en marchant, je pensais que la lumière de nos appareils Ruhmkorff devait nécessairement attirer quelques habitants de ces sombres couches. Mais s’ils nous approchèrent, ils se tinrent du moins à une distance regrettable pour des chasseurs. Plusieurs fois, je vis le capitaine Nemo s’arrêter et mettre son fusil en joue ; puis, après quelques instants d’observation, il se relevait et reprenait sa marche.
Enfin, vers quatre heures environ, cette merveilleuse excursion s’acheva. Un mur de rochers superbes et d’une masse imposante se dressa devant nous, entassement de blocs gigantesques, énorme falaise de granit, creusée de grottes obscures, mais qui ne présentait aucune rampe praticable. C’étaient les accores de l’île Crespo. C’était la terre.
Le capitaine Nemo s’arrêta soudain. Un geste de lui nous fit faire halte, et si désireux que je fusse de franchir cette muraille, je dus m’arrêter. Ici finissaient les domaines du capitaine Nemo. Il ne voulait pas les dépasser. Au-delà, c’était cette portion du globe qu’il ne devait plus fouler du pied.
Le retour commença. Le capitaine Nemo avait repris la tête de sa petite troupe, se dirigeant toujours sans hésiter. Je crus voir que nous ne suivions pas le même chemin pour revenir au Nautilus. Cette nouvelle route, très raide, et par conséquent très pénible, nous rapprocha rapidement de la surface de la mer. Cependant, ce retour dans les couches supérieures ne fut pas tellement subit que la décompression se fit trop rapidement, ce qui aurait pu amener dans notre organisme des désordres graves, et déterminer ces lésions internes si fatales aux plongeurs. Très promptement, la lumière reparut et grandit, et, le soleil étant déjà bas sur l’horizon, la réfraction borda de nouveau les divers objets d’un anneau spectral.
A dix mètres de profondeur, nous marchions au milieu d’un essaim de petits poissons de toute espèce, plus nombreux que les oiseaux dans l’air, plus agiles aussi, mais aucun gibier aquatique, digne d’un coup de fusil. ne s’était encore offert à nos regards.
En ce moment, je vis l’arme du capitaine, vivement épaulée, suivre entre les buissons un objet mobile. Le coup partit, j’entendis un faible sifflement, et un animal retomba foudroyé à quelques pas.
C’était une magnifique loutre de mer, une enhydre, le seul quadrupède qui soit exclusivement marin. Cette loutre, longue d’un mètre cinquante centimètres, devait avoir un très grand prix. Sa peau, d’un brun marron en dessus, et argentée en dessous, faisait une de ces admirables fourrures si recherchées sur les marchés russes et chinois ; la finesse et le lustre de son poil lui assuraient une valeur minimum de deux mille francs. J’admirai fort ce curieux mammifère à la tête arrondie et ornée d’oreilles courtes, aux yeux ronds, aux moustaches blanches et semblables à celles du chat, aux pieds palmés et unguiculés, à la queue touffue. Ce précieux carnassier, chassé et traqué par les pêcheurs, devient extrêmement rare, et il s’est principalement réfugié dans les portions boréales du Pacifique, où vraisemblablement son espèce ne tardera pas à s’éteindre.
Le compagnon du capitaine Nemo vint prendre la bête, la chargea sur son épaule, et l’on se remit en route.
Pendant une heure, une plaine de sable se déroula devant nos pas. Elle remontait souvent à moins de deux mètres de la surface des eaux. Je voyais alors notre image, nettement reflétée, se dessiner en sens inverse, et, au-dessus de nous, apparaissait une troupe identique. reproduisant nos mouvements et nos gestes, de tout point semblable, en un mot, à cela près qu’elle marchait la tête en bas et les pieds en l’air.
Autre effet à noter. C’était le passage de nuages épais qui se formaient et s’évanouissaient rapidement ; mais en réfléchissant, je compris que ces prétendus nuages n’étaient dus qu’à l’épaisseur variable des longues lames de fond, et j’apercevais même les « moutons » écumeux que leur crête brisée multipliait sur les eaux. Il n’était pas jusqu’à l’ombre des grands oiseaux qui passaient sur nos têtes, dont je ne surprisse le rapide effleurement à la surface de la mer.
En cette occasion, je fus témoin de l’un des plus beaux coups de fusil qui ait jamais fait tressaillir les fibres d’un chasseur. Un grand oiseau, à large envergure, très nettement visible, s’approchait en planant. Le compagnon du capitaine Nemo le mit en joue et le tira, lorsqu’il fut à quelques mètres seulement au-dessus des flots. L’animal tomba foudroyé, et sa chute l’entraîna jusqu’à la portée de l’adroit chasseur qui s’en empara. C’était un albatros de la plus belle espèce, admirable spécimen des oiseaux pélagiens.
Notre marche n’avait pas été interrompue par cet incident. Pendant deux heures, nous suivîmes tantôt des plaines sableuses, tantôt des prairies de varechs, fort pénibles à traverser. Franchement, je n’en pouvais plus, quand j’aperçus une vague lueur qui rompait, à un demi mille, l’obscurité des eaux. C’était le fanal du Nautilus. Avant vingt minutes, nous devions être à bord, et là, je respirerais à l’aise, car il me semblait que mon réservoir ne fournissait plus qu’un air très pauvre en oxygène. Mais je comptais sans une rencontre qui retarda quelque peu notre arrivée.
J’étais resté d’une vingtaine de pas en arrière, lorsque je vis le capitaine Nemo revenir brusquement vers moi. De sa main vigoureuse, il me courba à terre, tandis que son compagnon en faisait autant de Conseil. Tout d’abord, je ne sus trop que penser de cette brusque attaque, mais je me rassurai en observant que le capitaine se couchait près de moi et demeurait immobile.
J’étais donc étendu sur le sol, et précisément à l’abri d’un buisson de varechs, quand, relevant la tête, j’aperçus d’énormes masses passer bruyamment en jetant des lueurs phosphorescentes.
Mon sang se glaça dans mes veines ! J’avais reconnu les formidables squales qui nous menaçaient. C’était un couple de tintoréas, requins terribles, à la queue énorme, au regard terne et vitreux, qui distillent une matière phosphorescente par des trous percés autour de leur museau. Monstrueuses mouches à feu, qui broient un homme tout entier dans leurs mâchoires de fer ! Je ne sais si Conseil s’occupait à les classer, mais pour mon compte, j’observais leur ventre argenté, leur gueule formidable, hérissée de dents, à un point de vue peu scientifique, et plutôt en victime qu’en naturaliste.
Très heureusement, ces voraces animaux y voient mal. Ils passèrent sans nous apercevoir, nous effleurant de leurs nageoires brunâtres, et nous échappâmes, comme par miracle, à ce danger plus grand, à coup sûr, que la rencontre d’un tigre en pleine forêt.
Une demi-heure après, guidés par la traînée électrique, nous atteignions le Nautilus. La porte extérieure était restée ouverte, et le capitaine Nemo la referma, dès que nous fûmes rentrés dans la première cellule. Puis, il pressa un bouton. J’entendis manoeuvrer les pompes au dedans du navire, je sentis l’eau baisser autour de moi et, en quelques instants, la cellule fut entièrement vidée. La porte intérieure s’ouvrit alors, et nous passâmes dans le vestiaire.
Là, nos habits de scaphandre furent retirés, non sans peine, et, très harassé, tombant d’inanition et de sommeil, je regagnai ma chambre, tout émerveillé de cette surprenante excursion au fond des mers.
source
Un mini robot raie vivant avec de l’or, du silicone et du cœur de rat
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Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Le grand cinéaste iranien Abbas Kiarostami est décédé le 4 juillet à l'âge de 76 ans. Pour lui rendre hommage, ARTE diffuse "Le goût de la cerise", le film qui obtint la Palme d'or à Cannes en 1997 et lui offrit la reconnaissance internationale. À Téhéran, un homme paisible, monsieur Badii, veut mettre fin à ses jours... Une réflexion sur la liberté, à la fois improvisée et magistralement mise en scène.
Téhéran, l'après-midi d'un jour férié. M. Badii sillonne un quartier en construction au volant de son 4x4. Il aborde des hommes et leur propose de faire pour lui un travail inhabituel mais bien rémunéré. Certains, après avoir hésité, acceptent de le suivre jusqu'à un trou. M. Badii leur confie alors qu'il veut mourir. Le principe est simple : il leur suffit de l'appeler deux fois par son nom, de lui tendre la main s'il répond, sinon de l'ensevelir sur place. Tour à tour, un jeune militaire, un séminariste et un vieux taxidermiste tentent de convaincre M. Badii qu'il est dans l'erreur et que sa révolte est blasphématoire…
Conte à mourir debout
Quel est le propos du "Goût de la cerise" ? Est-ce une parabole sur le goût de la vie ? Une réflexion sur l'envie parfois dévorante d'en finir ? Un poème stoïcien à la manière du texte d'Omar Khayyam mis en exergue au film "Oh ! que de temps où nous ne serons plus, et où le monde sera encore ! Il ne restera de nous ni renommée, ni trace" ? Un peu tout cela à la fois. L'essentiel du film se passe en voiture. Le mystérieux M. Badii instaure un incroyable face à face avec ceux qu'il aborde. Comme si l'on n'avait jamais autant besoin d'autrui qu'au moment où on voudrait s'en passer. Le paisible suicidaire oblige les hommes à discuter, à répondre à ses questions indiscrètes, à lui faire la conversation. C'est par ces dialogues que, peu à peu, le film se construit. En effet, Le goût de la cerise a été réalisé sans scénario. "J'ai tourné en vidéo les séquences de M. Badii, explique Kiarostami. J'étais au volant de la voiture et j'improvisais les dialogues. (…) L'acteur principal, je l'ai trouvé dans la rue, au volant d'une voiture. En fait, je l'ai très peu dirigé, il s'est contenté d'être lui-même. C'est un architecte, un homme très réservé. (…) Le jeune soldat est un étudiant que j'ai fait habiller en treillis. Il résistait un peu parce qu'il croyait qu'on voulait l'enrôler par surprise. Il me demandait : 'Mais qu'est-ce que vous voulez faire de moi ?', et tout ça est entré dans le film parce qu'il n'avait pas compris que la caméra tournait. Le séminariste joue son propre rôle. Quant au vieux taxidermiste, c'est un homme humble qui était venu en curieux sur le tournage…" Malgré le feu croisé des questions, les motivations de M. Badii demeurent un mystère. Les hommes interrogés restent aussi opaques que leur tourmenteur. Autant de trous noirs, de cases vides, d'énigmes irrésolues. Mais l'essentiel n'est peut-être pas tant dans ce qu'ils sont que dans ce qu'ils deviennent à la faveur du rapport humain induit par l'étrange contrat proposé par M. Badii.
Téhéran, l'après-midi d'un jour férié. M. Badii sillonne un quartier en construction au volant de son 4x4. Il aborde des hommes et leur propose de faire pour lui un travail inhabituel mais bien rémunéré. Certains, après avoir hésité, acceptent de le suivre jusqu'à un trou. M. Badii leur confie alors qu'il veut mourir. Le principe est simple : il leur suffit de l'appeler deux fois par son nom, de lui tendre la main s'il répond, sinon de l'ensevelir sur place. Tour à tour, un jeune militaire, un séminariste et un vieux taxidermiste tentent de convaincre M. Badii qu'il est dans l'erreur et que sa révolte est blasphématoire…
Conte à mourir debout
Quel est le propos du "Goût de la cerise" ? Est-ce une parabole sur le goût de la vie ? Une réflexion sur l'envie parfois dévorante d'en finir ? Un poème stoïcien à la manière du texte d'Omar Khayyam mis en exergue au film "Oh ! que de temps où nous ne serons plus, et où le monde sera encore ! Il ne restera de nous ni renommée, ni trace" ? Un peu tout cela à la fois. L'essentiel du film se passe en voiture. Le mystérieux M. Badii instaure un incroyable face à face avec ceux qu'il aborde. Comme si l'on n'avait jamais autant besoin d'autrui qu'au moment où on voudrait s'en passer. Le paisible suicidaire oblige les hommes à discuter, à répondre à ses questions indiscrètes, à lui faire la conversation. C'est par ces dialogues que, peu à peu, le film se construit. En effet, Le goût de la cerise a été réalisé sans scénario. "J'ai tourné en vidéo les séquences de M. Badii, explique Kiarostami. J'étais au volant de la voiture et j'improvisais les dialogues. (…) L'acteur principal, je l'ai trouvé dans la rue, au volant d'une voiture. En fait, je l'ai très peu dirigé, il s'est contenté d'être lui-même. C'est un architecte, un homme très réservé. (…) Le jeune soldat est un étudiant que j'ai fait habiller en treillis. Il résistait un peu parce qu'il croyait qu'on voulait l'enrôler par surprise. Il me demandait : 'Mais qu'est-ce que vous voulez faire de moi ?', et tout ça est entré dans le film parce qu'il n'avait pas compris que la caméra tournait. Le séminariste joue son propre rôle. Quant au vieux taxidermiste, c'est un homme humble qui était venu en curieux sur le tournage…" Malgré le feu croisé des questions, les motivations de M. Badii demeurent un mystère. Les hommes interrogés restent aussi opaques que leur tourmenteur. Autant de trous noirs, de cases vides, d'énigmes irrésolues. Mais l'essentiel n'est peut-être pas tant dans ce qu'ils sont que dans ce qu'ils deviennent à la faveur du rapport humain induit par l'étrange contrat proposé par M. Badii.
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Ca a l'air très intéressant comme concept. Et hop ! Dans mes vidéos à regarder !!
Merci Carla...
(Au fait, d'humeur insomniaque ? Ou lève-tôt ? )
Merci Carla...
(Au fait, d'humeur insomniaque ? Ou lève-tôt ? )
JehanGriffon- Messages : 905
Date d'inscription : 11/05/2015
Age : 52
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
A 13h45, une ancienne élève, Hind, s'élancera pour le Maroc aux J.O. en kayak !
Et son entraineur est un pote.
Très fier !
Allez Hind !!!
Et son entraineur est un pote.
Très fier !
Allez Hind !!!
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Putain !… C'est pas le bon lien ! J'ai raté la course, je suis deg !!!!
JCVD- Messages : 6627
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 106
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Les jours féries soyons légers.
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
La notion de solitude et un drôle de jeu de tarot...
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Revz a écrit:Ce matin, j'étais pas bien réveillé.
J'ai posé laborieusement mes fesses dans le tram, essayant de brancher ma musique les yeux a moitiés ouverts, les mains malhabiles et le souvenir du "5h17" affiché sur mon réveil, la première fois où j'ai ouvert les yeux.
3ème essais pour glisser la prise jack dans le trou approprié, et là, mon voisin de droite me tend son portefeuille - mais pourquoi fait il ca?
Il me demande mon titre de transport - mais pourquoi fait il ca?
Quelques excessives secondes se passent dans un léger moment de flottement, mon cerveau se décide alors à faire un lien.
Non, ce n'était pas un portefeuille que mes yeux avaient vus, mais "un badge en cuir".
Non, ce n'était pas un voisin normal.
Mais.. un... contrôleur en civil planqué parmi les voyageurs.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le coquin!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Je lui tends machinalement mon badge d'abonnement, dans le mode robot qui ne m'avait pas quitté depuis le franchissement de la porte de mon studio.
Même pas eut l'idée de me dire "ho le relou!" tant mon cerveau était resté sur mon oreiller.
Il semble vérifier que tout est en ordre, je commence à me projeter dans la 4eme tentative de branchage de mes écouteurs.
- Vous réglez comment?
- Hein?
Interruption de la projection du délicat branchage d'écouteur.
- Ba oui, vous n'avez pas validé votre abonnement en rentrant dans le tram.
Mon cerveau fait alors une nouvelle connexion - haaaaaa ouiiiiii.... j'ai oublié un truc!
Re connexion - c'est quoi le problème? c'est un abonnement mensuel, mes fesses sont posées depuis 45 secondes sur un siège, il est 7h45, j'ai pas l'air réveillé - ou-lààààà, enchainement de 5 idées consécutives - performance!
- 5€.
- J'essaie de formuler une forme de protestation.
- 5€.
- Je tends 10€.
- Vous auriez pas de la monnaie?
- Non mais vous rigolez ou quoi? J'ai le plus profond respect pour votre boulot, mais là c'est un piège, une embuscade votre histoire. Mettez des amendes a ceux qu'on pas de titre ou d'abonnement! C'est quoi vot' délire là???
- Juste 1 €?
- Débrouillez vous je vais pas vous faciliter la vie là! Et puis j'vais m'assoir plus loin parce que ça pue grave votre histoire, c'est du racket organisé, de l'abus total!
Et voila comment, après avoir, toute ma vie, payé mes titres de transports, mes amendes avec le sourire quand j'en avais pas, j'ai laché 5€ à un putkjµµ££¨£¨de nazi. Et je suis resté calme et poli.
Et finalement, voici comment mon cerveau à réussi a faire sa 8ème connexion, en associant contrôleur à nazi pour m’être concentré sur mes écouteurs plutôt que sur la validation nécessaire d'un abonnement mensuel.
[ Il y a visiblement, des choses dans ce monde qui me donnent envie de le changer ]
A quand l'amende parce que ma chemise est pas repassée et que c'est insultant pour ceux qui se donne la peine de le faire?
Enfin, rien n'atteindra mon bonheur et ma joie, blasé 8 min dans ma journée, c'est pas un drame.
9ème connexion
Il faudrait une application sur le téléphone pour se connecter à son cerveau resté sur l'oreiller
offset- Messages : 7540
Date d'inscription : 11/11/2013
Localisation : virtuelle
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Les codes sociaux ou comment se retrouver avec une culotte de cheval alors qu'on avait demandé un jean... J'adore les mélanges de style et de genre, mon coté aristo . Bon dimanche
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
- Spoiler:
Ajoutée le 24 juin 2016
Ce qui, de loin, peut sembler effrayant ne l'est pas forcément quand on s'en rapproche. Nous avons peur de ce que nous sommes conditionnés à craindre : les gens derrière les masques, les endroits inconnus et sombres." Ainsi commence Darknet, l'autre réseau, documentaire signé Yuval Orr. En la matière, le jeune réalisateur américano-israélien est servi – on le voit convoyé nuitamment à l'arrière d'un taxi berlinois par deux militants cryptoanarchistes masqués, en direction du mystérieux conteneur qui leur sert de refuge.
Au fil de ses pérégrinations et de ses rencontres, de Tel Aviv à Prague, le documentariste tente d'approcher et de comprendre cet "Internet caché", anonyme et chiffré, que l'on réduit souvent au seul réseau Tor (l'outil d'anonymisation le plus populaire). Et qui a donné matière, ces dernières années, à nombre de reportages anxiogènes. C'est d'ailleurs de ce côté-là – celui des trafics en tout genre, de la drogue aux images pédopornographiques, dont le "Darknet" est par ailleurs loin d'avoir le monopole – que commence son propos. Avant de s'orienter vers les usages de ces technologies par les cyberdissidents traqués par les régimes autoritaires, puis de convoquer quelques images d'Edward Snowden, le lanceur d'alerte qui a révélé il y a trois ans l'ampleur de la surveillance pratiquée par la NSA et ses alliées.
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
le vrai darknet ne dépend pas des tuyaux sinon c'est juste des brols de gamins
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
zebulonlezebre a écrit:le vrai darknet ne dépend pas des tuyaux sinon c'est juste des brols de gamins
Le vrai et le faux, je me dis toujours qu'un vrai peut autant savoir qu'un faux où trouver l'info ? sur le faux ou le vrai ?
En fait seul le fait de faire du jogging semble n'avoir jamais été égalé, le vrai et le faux continuent d'en faire en fait.
En quelle langue ? - Spoiler:
- brol
[ltr]Français[size=10][modifier]
Étymologie[modifier]
Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.[/ltr][/size]- De l'allemand brodeln (bouillonner) ou Brodem (buée, vapeur)
- ou du néerlandais broddelen, fréquentatif de brodden (bricoler sans soins en faisant des brodden ou brokken = morceaux, "de la casse", dommages,..)
- ou de l'anglais brawl (bagarre, rixe), du désordre et de la casse résultant d'une bagarre
[ltr]Nom commun[modifier]
[/ltr][th]Singulier[/th][th]Pluriel[/th] brol brols \bʁɔl\
[ltr]
brol \bʁɔl\ masculin[/ltr]
[list="margin-top: 0.3em; margin-right: 0px; margin-left: 3.2em; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-image: none;"]
[*](Belgique) Désordre.- Il y a un brol monstre dans sa chambre.
- — T’avais quoi d’autre, dans ce sac ? s’inquiète Alphonse.
— Du brol. — (Nadine Monfils, La Vie d’un serial killer, ch. 2, Belfond, 2011)
[*](Belgique) Objet sans valeur.
[/list] - De l'allemand brodeln (bouillonner) ou Brodem (buée, vapeur)
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
certes le vrai le faux
comprenons que l'internet fonctionne sur le lien physique (cables) ou non physiques (par exemple wifi ou sat) de plusieurs pc et donc disques durs et os ensemble
l'internet officiel utilise ces moyens et des protocoles de communication précis, communément admis
le dark web fait exactement la même chose, mais utilise d'autres protocoles mais pas toujours des os ou des disques durs différents
sous cet angle certains pensant que l'anonymat est garanti sur le darkweb (le faux) sont crédules et souvent des gamins n'ayant pas fait l'effort de lire et se documenter sur ces protocoles et sur les réseaux
certes il est surement nettement plus complexe de briser ces protocoles mais il 'nest pas impossible de les écouter
surtout quand on sait le monopole technologique sur qui fabrique et pose les tuyaux, ou les sats, bref il est physiquement possible de dévier ou d'écouter ce qui passe dans les tuyaux et les outils de décryptage sont puissants et nombreux et à defaut de tracage
le "vrai darknet" est donc indépendant des fournisseurs de cablerie, certains hackeurs ont pigé cela assez vite avec des vpn privés et autres systèmes plus miniaturisés de nos jours et protocoles sécurisés
pour cela il faut un groupe et des connaissances précises, ferment de ce que pourrait être un jour une vraie cyberrésistance
malheureusement des tas de hackeurs noirs et autres connaissent aussi , idem pour les militaires, il peut donc y avoir surenchère
l'idée est alors de pouvoir tracer un réseau "non connecté" au monde mais mondial en quelque sorte quand même
je ne sais si on suit.; bref ce qui est intéressant est finalement le matériel, l'idéal est de le construire soi même et de programmer ses propres protocoles
pas donné à la masse bien évidemment, et toujours piratable aussi à la fin
donc j'aime bien les utopistes, mais les vrais utopistes sont d'abord des pragmatiques qui ont une connaissance approfondie de comment cela fonctionne
snowden et d'autres ont expliqué l'ampleur des controle et encore on n'en sait qu'une infime partie
c'est de bonen guerre si c'est pour combattre les méchants, c'est un peu plus complexe si c'est pour faire de nous des esclaves d'un système politique corrompu et/ou d'un consumérisme imposé
vrai et faux sont donc en effet très relatif à l'angle de vue
reste quand même un principe de base, l'internet a besoin d'énergie pour fonctionner, certains systèmes sont autonomes, d'autres pas, certains sont connectés au monde , d'autres pas
et certains sensibles ne devraient pas l'être, la vraie cyberwar cherche les failles
mais finalement la solution la plus radicale et de couper les tuyaux, qu'ils soient physiques ou virtuels
je n'arrive pas à comprendre pourquoi on ne le fait pas pour l'ei qui continue de "communiquer" sa merde au monde, on devrait aussi remonter les guignols pour leur injecter l'anthrax directementd ans les veine et les filmer en train de crever
//mm? je m'égare.. le virtuel n'est jamais qu'une émanation du réel, sauf robot il ya toujours quelqu'un derrière un clavier qu'il soit physique ou virtuel lui aussi
on est loin loin du sinclair spectrum 16k de mon enfance
quelle époque ! j'aurais connu les débuts de la conquète spatiale et de l'informatique , pour finir par voir l'emergence d'une dictature mondiale
ou pas ?
comprenons que l'internet fonctionne sur le lien physique (cables) ou non physiques (par exemple wifi ou sat) de plusieurs pc et donc disques durs et os ensemble
l'internet officiel utilise ces moyens et des protocoles de communication précis, communément admis
le dark web fait exactement la même chose, mais utilise d'autres protocoles mais pas toujours des os ou des disques durs différents
sous cet angle certains pensant que l'anonymat est garanti sur le darkweb (le faux) sont crédules et souvent des gamins n'ayant pas fait l'effort de lire et se documenter sur ces protocoles et sur les réseaux
certes il est surement nettement plus complexe de briser ces protocoles mais il 'nest pas impossible de les écouter
surtout quand on sait le monopole technologique sur qui fabrique et pose les tuyaux, ou les sats, bref il est physiquement possible de dévier ou d'écouter ce qui passe dans les tuyaux et les outils de décryptage sont puissants et nombreux et à defaut de tracage
le "vrai darknet" est donc indépendant des fournisseurs de cablerie, certains hackeurs ont pigé cela assez vite avec des vpn privés et autres systèmes plus miniaturisés de nos jours et protocoles sécurisés
pour cela il faut un groupe et des connaissances précises, ferment de ce que pourrait être un jour une vraie cyberrésistance
malheureusement des tas de hackeurs noirs et autres connaissent aussi , idem pour les militaires, il peut donc y avoir surenchère
l'idée est alors de pouvoir tracer un réseau "non connecté" au monde mais mondial en quelque sorte quand même
je ne sais si on suit.; bref ce qui est intéressant est finalement le matériel, l'idéal est de le construire soi même et de programmer ses propres protocoles
pas donné à la masse bien évidemment, et toujours piratable aussi à la fin
donc j'aime bien les utopistes, mais les vrais utopistes sont d'abord des pragmatiques qui ont une connaissance approfondie de comment cela fonctionne
snowden et d'autres ont expliqué l'ampleur des controle et encore on n'en sait qu'une infime partie
c'est de bonen guerre si c'est pour combattre les méchants, c'est un peu plus complexe si c'est pour faire de nous des esclaves d'un système politique corrompu et/ou d'un consumérisme imposé
vrai et faux sont donc en effet très relatif à l'angle de vue
reste quand même un principe de base, l'internet a besoin d'énergie pour fonctionner, certains systèmes sont autonomes, d'autres pas, certains sont connectés au monde , d'autres pas
et certains sensibles ne devraient pas l'être, la vraie cyberwar cherche les failles
mais finalement la solution la plus radicale et de couper les tuyaux, qu'ils soient physiques ou virtuels
je n'arrive pas à comprendre pourquoi on ne le fait pas pour l'ei qui continue de "communiquer" sa merde au monde, on devrait aussi remonter les guignols pour leur injecter l'anthrax directementd ans les veine et les filmer en train de crever
//mm? je m'égare.. le virtuel n'est jamais qu'une émanation du réel, sauf robot il ya toujours quelqu'un derrière un clavier qu'il soit physique ou virtuel lui aussi
on est loin loin du sinclair spectrum 16k de mon enfance
quelle époque ! j'aurais connu les débuts de la conquète spatiale et de l'informatique , pour finir par voir l'emergence d'une dictature mondiale
ou pas ?
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
'emergence
Quel est le point de non retour? L'alimentation, la connaissance, l'information, la communication, la santé, ...la personnalité des gens même, tout ces domaines sont plus ou moins sous contrôle (pognon, idéologie...).
Il reste bien son for intérieur pour ne pas être sous contrôle, il est doux de s'y ébattre, mais le lien avec l'extérieur est dur à maintenir.
Couper les tuyaux, oui, pouvoir l'accepter aussi, et agir.
jolindien- Messages : 1602
Date d'inscription : 05/07/2015
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://cognivence.scicog.fr/#top
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
- Spoiler:
Ajoutée le 25 janv. 2016
Les neurosciences sont les études scientifiques du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire jusqu'au niveau des organes, comme le cerveau, voire de l'organisme tout entier.
Les neurosciences sont constituées de deux sous-catégories: la première appartient aux sciences et particulièrement à la biologie, la chimie, les mathématiques et la bio-informatique, c'est la neurobiologie, et la seconde catégorie est la cognition qui est plus proche de la psychologie voire de la neuropsychologie (qui est une spécialité en sciences sociales), il s'agit de deux formations différentes et de deux approches différentes. Cela ne signifie pas qu'il y ait une hiérarchie entre les deux catégories ou une dichotomie : les deux types de recherches communiquent d'ailleurs et leur communication est indispensable, l'arsenal conceptuel et méthodologique des neurosciences (qui renferme les deux catégories) va de pair avec une diversité d'approches dans l'étude des aspects moléculaires, cellulaires, développementaux, neuroanatomiques, neurophysiologiques, cognitifs, génétiques, évolutionnaires, computationnels ou neurologiques du système nerveux.
Dans les grands médias, les neurosciences sont souvent présentées sous l'angle des neurosciences cognitives, tout particulièrement les travaux utilisant l'imagerie cérébrale, bien qu'il s'agisse là d'une sous-partie du champ que constituent les neurosciences. Certaines applications des neurosciences cognitives sont possibles en management et en économie.
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Extrait dans entretien entre Mermet (controversé, au passage) et Besançenot sur ce qu'Orwell qualifiait de novlangue dans 1984.
Ex :plan social -> plan de sauvegarde de l'emploi. Ou la guerre, c'est la paix.
9 minutes de réflexion sur le pouvoir de la langue.
Ex :
9 minutes de réflexion sur le pouvoir de la langue.
Gabriel- Messages : 2311
Date d'inscription : 10/12/2015
Age : 52
Localisation : 59
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
Il y a toujours un moyen de remonter vers le haut et si tu t'ennuies imagines des bras à la Vénus de Milo, c'est simple, non ?
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
http://positivr.fr/brachoua-permaculture-maroc-developpement-durable/
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
- Jean-Yves Lafesse Officiel:
- Jean-Yves Lafesse - Officiel 16 juillet, 15:54Putain de camion, putain d’état, putain de folie...Les prisons françaises sont surpeuplées et il n’y a plus de psychiatres ou si peu...
De plus en plus de SDF, de cassos, livrés à eux-mêmes, dans la rue, sans soin psy...
Comme il n’y a plus de place depuis des années dans les HP, des dizaines de milliers de gens gravement atteints...avec des pathologies mentales différentes, à des degrés très, très élevés, en « liberté », sans traitement.Sans oublier celles et ceux qui à certains niveaux identiques vivent en famille, y faisant régner la terreur, qui se termine souvent en drame familial.On nous parle de Daech. Daech est un monstre gourmand qui récupère ces malades pour étancher sa soif de sang, de revanche et de mort.Aujourd’hui, Daech peut revendiquer tout crime et tout carnage commis par un sociopathe dans la rue, chez un couple de policiers, dans la cour d’une entreprise.L’état réagit à sa manière : « Nous allons renforcer nos actions en Syrie et en Irak. Nous allons continuer à frapper ceux qui nous attaquent dans leur repaire".
Comment faire pour que l’état se rende enfin compte qu’il y a un nombre effarant de malades mentaux potentiellement dangereux comme ces sociopathes en liberté, alors qu’ils devraient être soignés en institution.
Qu’à force de couper dans les postes destinés à ces soins précis, de sabrer des milliers de lits, de réduire à peau de chagrin les budgets qui devraient y être affectés, au lieu de les augmenter en urgence, on approvisionne Daech !
Demandez aux policiers, gendarmes, pompiers, professionnels de la santé, enfants, familles, voisins, ce qu’ils vivent de la part de ces personnes capables d’attaques aussi violentes qu’imprévisibles que Daech peut revendiquer en toute sérénité.
Alors l’on entend notre premier ministre répéter à loisir que notre société change d’époque et que nous devons, à commencer par nos jeunes, nous habituer à vivre avec le terrorisme.
Monsieur le premier ministre, il est inadmissible de demander à toutes nos générations, meurtries par la mutation du capitalisme, la révolution informatique et la razzia faite par 1% de la population mondiale sur toutes les richesses de notre planète, de nous demander en plus, de nous habituer à vivre avec le terrorisme.
Inadmissible !
Les gens ordinaires, monsieur le premier ministre, ne disposent pas de garde rapprochée, de voiture blindée.
Voici pourquoi il nous est difficile de nous habituer au terrorisme. Vous comprenez ?
Deuxièmement, ce que vous appelez « terrorisme » est une cascade d’actes brutaux, monstrueux, sanguinaires, effectués par des malades.
Ce sont tous des malades et vous le savez.
Qui n’ont pas la place dans notre société.
Ou plutôt si, ils ont leur place, dans des institutions qu’il vous appartient de créer de toute urgence, avec les professionnels de la psychiatrie. Là où une camisole chimique couplée à un accompagnement psychiatrique permettra d’éviter qu’ils se retrouvent avec une hache face à leurs enfants, au volant d’un camion fou assassin, etc.
Redonnez les moyens à nos toubibs, nos infirmières, nos psychiatres, d’évaluer le degré d’insertion ou pas des malades et ce, le plus tôt possible.
Créations d’institutions dédiées.
Mise en commun des données Santé Psy-Social, etc.
Tant que l’état ne mettra pas le curseur là où ça fait mal, Daech aura de beaux jours devant lui et nous, le linceul.
Ça fait des années que le foulard reste le sujet d’une polémique en France.
Et les œillères, on en parle ?
Invité- Invité
Re: Choses diverses et variées que vous voulez partager !
ooo irooooo ooo iroooo ooo ironie de nos choixxxxxx
Invité- Invité
Kass- Messages : 6955
Date d'inscription : 26/03/2014
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