c'est pas fait pour moi,peut être pas pour vous.

Bonjours,

ici il est question d'une réflexion que je me suis fait depuis....je ne saurais plus dire^^

Il y'a ce fameux principe de pédagogie, la scolarité,l'apprentissage,tant de choses qui me paraissent si loin.
Disons que ma scolarité n'a jamais était extraordinaire,que je n'ai jamais aimé ça,mais vraiment jamais aimé,et ce qui pouvait sembler être un caprice de sale môme est en faite devenue ensuite une forme de mode de vie involontaire? ouais..

Aujourd’hui j'ai 24 ans, et je me rend compte que toute forme d’école, quelle soit la classique, l'artistique,n'importe qu'elle forme de dogme d’apprentissage ne m'inspire aucunement,j'ai arrêté les étude assez vite officieusement, et officiellement je me suis barré sans diplôme, génial,et comme vous le savez je me suis pas retrouver ici par hasard, alors je me demandai si certains d'entre vous ont des témoignages ou des expérience a partager, qui ressemblerait au miennes, même différente, votre rapport a l'enseignement, ou même au pédagogue, je me rend compte qu’énormément de gens que j'admire un peu, ont tous une sorte de référant,quelqu'un qui un jour leur a transmis et les a pousser a leur réussite, je n'ai jamais rencontré cette personne, aucun prof ne m'a inspiré,n'y un autre genre de personne d'ailleurs.

J'ignore si c'est moi qui par je ne sais qu'elle détour psychotique n'accepte que d'apprendre par moi même ou si c'est autre chose,enfin voila le débat et ouvert,vos avis sur ma situation,vos témoignages !

https://www.youtube.com/watch?v=gRpMvtMRG44

vous savez ça risque de me rester dans la tête.

c'est exprès, c'est exprès, c'est exprès exprès exprès (cf. La sorcière du placard à balais)

ça aurait était thématique "adieu mr le professeur. "

quel beau métier professeur !

Pour ma réponse, je m'appuie sur le degré de rejet de l'école que tu exprimes, si tu as été plus léger dans ta description que dans la réalité, ce n'est pas nécessaire de lire ce post : il t'agressera. Or mon but n'est pas de t'agresser, mais de t'apporter un point de vue sur l'école et les examens.

Tu ne décris pas l'école et les cours comme une souffrance importante (telle qu'elle a été vécue par certains ici) mais comme quelque chose de désagréable, que tu n'as jamais aimée.
Ce que tu dis sur l'école est partagée par beaucoup de personnes : celles qui vont à l'école et aiment ça ne sont pas si nombreuses, même si la plupart s'y plient parce qu'on leur a dit qu'il le faut et qu'elles l'acceptent. En ce qui me concerne, je n'ai jamais aimé l'école.

Tu confonds l'école et les examens.
- Les examens sont contraignants : ils imposent leur contenu et leur forme. Mais ils ne durent pas longtemps, et si tu trouves des solutions pour apprendre seul le contenu et la forme (la forme est aussi importante que le contenu), rien ne t'empêche de passer des examens en candidat libre. Ne pas avoir trouvé sa place à l'école ne justifie en rien n'avoir aucun diplôme lorsqu'on est une personne intelligente.
- L'école ou les cours sont beaucoup plus contraignants : ils imposent de passer un temps long à faire des choses qu'on n'a pas envie de faire, d'une manière qu'on n'aime pas. Cela demande d'accepter l'altérité des autres personnes, les autres élèves qui n'ont pas les mêmes besoins en apprentissages et les professeurs qui font des choix pédagogiques d'équilibristes entre ce qu'ils perçoivent de l'ensemble des élèves, ce qu'un programme éventuel leur impose (par exemple le contenu d'un examen) et leur capacité à faire passer ce contenu. Face à toutes ces personnes si différentes de nous et qui font partie de la classe, il est habituel de ne pas être satisfait. En se questionnant sur ce qui ne convient pas, lorsqu'on est adulte on peut :
- si c'est le contenu du cours, changer de domaine d'apprentissage ou faire avec si on a un examen en vue
- si la méthode empêche de progresser, changer de professeur ou compléter avec un travail personnel
- si la méthode permet de progresser mais pas aussi bien, aussi vite qu'on le souhaiterait, "faire avec".
Accepter de suivre des cours, c'est choisir celles et ceux avec qui on peut "faire avec" dans leurs imperfections, et trouver un espace commun d'où on tire un certain bénéfice (par exemple apprendre le nécessaire pour avoir un examen).

Sur un autre fil il était question des personnes de QI inférieur à 80. La place d'un individu dans notre société (qu'on accepte ou non cette situation) passe par le travail. Ces personnes déjà en difficulté de gestion de leur quotidien n'ont pas et n'auront jamais d'autre perspective d'emploi que des postes ne demandant aucune qualification (qui se raréfient). En te présentant sur le marché du travail sans diplôme, tu te retrouveras à leur faire concurrence. Je trouve que c'est injuste, c'est leur manquer de respect et les exclure de la société alors qu'il est possible de faire autrement.

Passer des examens c'est s'ouvrir les portes d'emplois qualifiés : tu es HQI, tu en as la capacité (à moins que tu ais d'autres difficultés que simplement "ne pas aimer" ), ne penses-tu pas que tu en as la responsabilité ?

"ne penses-tu pas que tu en as la responsabilité ?"

Tout d'abord, oui j'aborde le sujet d'une manière un peu plus légère que la réalité,oui forcement,et pour répondre a ta dernière interrogation: Non, je ne pense pas du tout en avoir la responsabilité, parce que ça sous entend aussi qu'un HQI doit faire un boulot de HQI, et la je ne suis pas d'accord, je ne dit pas que c'est ce que tu as dit, mais ça peut le sous entendre.Mais je ne suis pas intéressé par les postes haut placé dans un certain sens, ce n'est mème pas la peur de responsabilité,juste que ce n'est pas ce que j'aime ^^

Et je ne me sens pas agresser,et oui je n'ai fait que témoigner d'une manière assez légère.
Je ne suis pas spécialement du genre a me plaindre , mème si ça pourrait y ressembler,d'ailleurs je ne demande pas d'aide.j'expose mon point de vue, et demande avec une authentique curiosité l'avis des autres sur la question .

Enfin je te remercie pour ta longue réponse.
Et si ça vous intéresse, je suis plutôt confiant pour l'avenir, j'ai des tas de projet,je n'aime pas le mot projet d'ailleurs. mais j'ai de l'espoir =)

Moi exactement pareil. Très fort en classe jusqu'en cinquième ! Dégringolade et rigolade après. Lycée en échec, des que j'ai remonté la pente, j'ai tout lâche et j'ai voulu faire le grand saut dans la folie l'inconnu !
La rue, la rue, la rue !
( mes parents travail a l'étranger, j'ai vécu tout le lycée en total autonomie)
Au début c'était ouf pour moi. Mais vers 20ans la réalité m'a rattraper un peu. Assez en tout cas mdr !
Faut croire en ses projets c'est le maître conseil.
La chance se provoque par la volonté (" souhaite quelque chose et dieu te le donnera")
En réalité c'est juste nos propre pouvoir psychique.
Ni bac ni que dal mdr. J'ai un terrain ( comme par hasard ) parfaitement propice au projet que je veux expérimenté !
Si sa marche a cette petite échelle ( école primaire ) : ouille ouille ouille comment j'vais tout niker !! Ouille ouille ouille le pactole hallal mdrrr !

[quote="JimiClaquette."]"ne penses-tu pas que tu en as la responsabilité ?"
Non, je ne pense pas du tout en avoir la responsabilité, parce que ça sous entend aussi qu'un HQI doit faire un boulot de HQI, et la je ne suis pas d'accord, je ne dit pas que c'est ce que tu as dit, mais ça peut le sous entendre.Mais je ne suis pas intéressé par les postes haut placé dans un certain sens, ce n'est mème pas la peur de responsabilité,juste que ce n'est pas ce que j'aime ^^

Je serais bien en mal de dire ce qu'est un boulot de HQI.
Lorsque je te parle école et études, ce n'est pas pour obtenir un poste "haut placé", l'investissement intellectuel dans une profession ne dépend pas de son prestige, du nombre de personnes sous ses ordres ou des revenus qu'elle génère. Par contre il dépend le plus souvent du temps passé à apprendre. Un exemple : les grands chercheurs en France sont généralement peu rémunérés, ils sont le plus souvent inconnus, mais le travail qu'ils font est essentiel.

Un HQI ne "doit" pas faire un travail de HQI, il doit faire de son mieux, comme tout le monde. C'est à chacun de déterminer quel est son mieux, et de ne pas laisser le temps, la négligence décider à sa place.