Qui suis je dans cette société ?
5 participants
Page 1 sur 1
Qui suis je dans cette société ?
Bonjour,
Ce que je vais aborder est la raison pour laquelle je suis revenu sur le forum.
Bon j'ai du mal avec les gens depuis toujours et j'en souffre.
Je suis du genre très introverti il me faut beaucoup de temps seul.. Mais il me faut des contacts humains. Je suis très sensible aussi et c'est le point crucial a retenir car tout ce que je pense est amplifié par cette sensibilité.
Petit et ado, j'étais déjà curieux de tout, j'adorais apprendre et je pensais naïvement que le monde était fait pour que tout le monde partage et se donne la main. Toute la violence n'était pour moi qu'une fiction télévisée.
Et puis j'ai découvert la réalité. Ma manière de voir et penser les choses si nobles soient elles n'était pas celle des autres. Que ce que je que je voyais a la télévision était réel, que les stéréotypes de personnage parodiaient de vrais comportement. Dans une vision aussi idyllique que la mienne voir qu un autre est vaniteux ou superficielle me rendait triste.
Et puis comme tout gamin premier de la classe introverti et mal dans ma peau j'étais une cible de moqueries, humiliations... Je ne savais pas pourquoi, je ne comprenais pas encore le modèle sociologique dominant dominé qui régissait les comportements humains. Vous savez ce qu'on ressent dans ces moments, une honte intense un rejet de soi et des envies suicidaires.
Ajoutez a ca un père extrêmement angoissé qui te bloque encore plus... Enfin c'est un bon père mais je me reconnais dans sa personnalité désormais.
Au fur et a mesure que je suis devenu adulte, je me suis rendu compte que fondamentalement je ne savais a rien a la société ou du moins que je ne suis rien.
c'est ça qui me fait souffrir. Il n'y a plus aucun humanisme, les gens sont soit usés, idiots et ou mauvais.
Il n y a plus aucun sens du respect, on vient t'aborder pour demander un renseignement sans bonjour ni au revoir. On te complexifie la vie avec des procédures administratives. Le gouvernement vend des couleuvres pour se faire réélire, les gens crachent leur haine d'autrui et leur racisme sur internet pour un rien. Les médias nous rendent le monde sombre et morose et les gens se croient jugent et critiques de tout.
La superficialité, le consumérisme a outrance, la vulgarité, le mensonge et la violence règne. J'ai trouvé un boulot pour survivre et je ne sais si je pourrai réaliser tous mes rêves un jour.
Je me sens seul dans une existence qui m est imposé. Je suis agacé des gens qui ne prêtent pas attention, le joggeur qui traverse sans regarder et qui se met dans tes roues, de la voiture qui te depasse en te frolant... Tu ouvres tes yeux dans un monde commercial, tu vois les gens déambuler comme des zombies, qui sont dans leur monde, ne font attention a rien et ne s excusent même pas. Il y a aussi ceux qui bloquent le passage, le forcent même s il n y a pas moyen, hurlent dans les téléphones et insultent les vendeurs.
Ca me fatigue de me faire agresser tous les jours par ces comportements, de me faire attaquer violemment sans raison dans le train, de ressentir la peine de tous ces gens tristes et aigris qui font un sale boulot pour survivre.
plus personne ne se parle. Tout le monde s évite et se déroule sur internet. Je ne sais pas quelle est ma place dans cette société maltraitée par le terrorisme, par l'intolérance et l'ignorance.
Je suis fatigué d'entendre mes collègues se mêler de ma vie sous prétexte qu on se connait. J'en ai marre du commerçant qui te tire la gueule, de la surmediatisation de la médiocrité et de la normopensance.
Personne n'ose dire que les choses. J'ai fait une mauvaise première répétition avec des musiciens et je ressens un malaise. On voudrait me dire "t'as pas été bon on doute de tes capacités on te verra la prochaine" mais personne ne prend le courage de te le dire, tu le devines et tu prends les devants pour partir.
Ma sensibilité me torture. Je pourrai selon la logique adapter ma vision en plus optimiste mais ça m'angoisse et me tue. Des pensées très négatives m'envahissent et je lutte pour pas le fait consumer et rester intègre. Je souffre.
Quelle place j'ai en tant que jeune être dans une société hypocrite, lâche, égoïste, violente, vulgaire, liberticide, corrompue et mensongère?
Je me heurte a un mur. Mes idéaux d enfance sont toujours les mêmes. Se livrer a l autre sans jugement et partager. S'affranchir tous du regard extérieur.
hélas c'est une utopie. Même si j'ai une formidable petite amie, un super pote et une bonne famille, au fond je me sens seul et triste. Je suis effrayé de rencontrer des gens j'ai peur d'être déçu ou humilié. J'espère pouvoir rencontrer des gens comme moi ici. J'ai déjà essayé zc et j'ai été très déçu avec le comportement de certains irl.
Mais je ne juge pas je suis bloqué pour me relancer.
quoiqu'il en soit je me sens très seul. Je suis triste.
Ce que je vais aborder est la raison pour laquelle je suis revenu sur le forum.
Bon j'ai du mal avec les gens depuis toujours et j'en souffre.
Je suis du genre très introverti il me faut beaucoup de temps seul.. Mais il me faut des contacts humains. Je suis très sensible aussi et c'est le point crucial a retenir car tout ce que je pense est amplifié par cette sensibilité.
Petit et ado, j'étais déjà curieux de tout, j'adorais apprendre et je pensais naïvement que le monde était fait pour que tout le monde partage et se donne la main. Toute la violence n'était pour moi qu'une fiction télévisée.
Et puis j'ai découvert la réalité. Ma manière de voir et penser les choses si nobles soient elles n'était pas celle des autres. Que ce que je que je voyais a la télévision était réel, que les stéréotypes de personnage parodiaient de vrais comportement. Dans une vision aussi idyllique que la mienne voir qu un autre est vaniteux ou superficielle me rendait triste.
Et puis comme tout gamin premier de la classe introverti et mal dans ma peau j'étais une cible de moqueries, humiliations... Je ne savais pas pourquoi, je ne comprenais pas encore le modèle sociologique dominant dominé qui régissait les comportements humains. Vous savez ce qu'on ressent dans ces moments, une honte intense un rejet de soi et des envies suicidaires.
Ajoutez a ca un père extrêmement angoissé qui te bloque encore plus... Enfin c'est un bon père mais je me reconnais dans sa personnalité désormais.
Au fur et a mesure que je suis devenu adulte, je me suis rendu compte que fondamentalement je ne savais a rien a la société ou du moins que je ne suis rien.
c'est ça qui me fait souffrir. Il n'y a plus aucun humanisme, les gens sont soit usés, idiots et ou mauvais.
Il n y a plus aucun sens du respect, on vient t'aborder pour demander un renseignement sans bonjour ni au revoir. On te complexifie la vie avec des procédures administratives. Le gouvernement vend des couleuvres pour se faire réélire, les gens crachent leur haine d'autrui et leur racisme sur internet pour un rien. Les médias nous rendent le monde sombre et morose et les gens se croient jugent et critiques de tout.
La superficialité, le consumérisme a outrance, la vulgarité, le mensonge et la violence règne. J'ai trouvé un boulot pour survivre et je ne sais si je pourrai réaliser tous mes rêves un jour.
Je me sens seul dans une existence qui m est imposé. Je suis agacé des gens qui ne prêtent pas attention, le joggeur qui traverse sans regarder et qui se met dans tes roues, de la voiture qui te depasse en te frolant... Tu ouvres tes yeux dans un monde commercial, tu vois les gens déambuler comme des zombies, qui sont dans leur monde, ne font attention a rien et ne s excusent même pas. Il y a aussi ceux qui bloquent le passage, le forcent même s il n y a pas moyen, hurlent dans les téléphones et insultent les vendeurs.
Ca me fatigue de me faire agresser tous les jours par ces comportements, de me faire attaquer violemment sans raison dans le train, de ressentir la peine de tous ces gens tristes et aigris qui font un sale boulot pour survivre.
plus personne ne se parle. Tout le monde s évite et se déroule sur internet. Je ne sais pas quelle est ma place dans cette société maltraitée par le terrorisme, par l'intolérance et l'ignorance.
Je suis fatigué d'entendre mes collègues se mêler de ma vie sous prétexte qu on se connait. J'en ai marre du commerçant qui te tire la gueule, de la surmediatisation de la médiocrité et de la normopensance.
Personne n'ose dire que les choses. J'ai fait une mauvaise première répétition avec des musiciens et je ressens un malaise. On voudrait me dire "t'as pas été bon on doute de tes capacités on te verra la prochaine" mais personne ne prend le courage de te le dire, tu le devines et tu prends les devants pour partir.
Ma sensibilité me torture. Je pourrai selon la logique adapter ma vision en plus optimiste mais ça m'angoisse et me tue. Des pensées très négatives m'envahissent et je lutte pour pas le fait consumer et rester intègre. Je souffre.
Quelle place j'ai en tant que jeune être dans une société hypocrite, lâche, égoïste, violente, vulgaire, liberticide, corrompue et mensongère?
Je me heurte a un mur. Mes idéaux d enfance sont toujours les mêmes. Se livrer a l autre sans jugement et partager. S'affranchir tous du regard extérieur.
hélas c'est une utopie. Même si j'ai une formidable petite amie, un super pote et une bonne famille, au fond je me sens seul et triste. Je suis effrayé de rencontrer des gens j'ai peur d'être déçu ou humilié. J'espère pouvoir rencontrer des gens comme moi ici. J'ai déjà essayé zc et j'ai été très déçu avec le comportement de certains irl.
Mais je ne juge pas je suis bloqué pour me relancer.
quoiqu'il en soit je me sens très seul. Je suis triste.
Arizona782- Messages : 2493
Date d'inscription : 17/11/2013
Age : 32
Localisation : Demande à la NSA
Re: Qui suis je dans cette société ?
Salut F (tu te désignes par cette lettre dans ta dernière prés', je l'utilise donc).
Je comprends bien ta tristesse, ta désillusion; j'ai été ce premier de la classe introverti qui était ostracisé par les autres, j'en ai fait des cauchemars et ai eu des envies suicidaires. Ma défense face à ça reste mon sens très particulier de l'humour, une distanciation indispensable de cette violence qui m'agresse en continu.
J'ai aussi une compagne formidable et, si je ne peux pas réaliser "en grand" mes rêves d'enfance, je me dis que si j'arrive à apporter de la joie et du bonheur aux auxquels je tiens, j'aurai accompli quelque chose de bien, de bon socialement.
Tiens bon mon ami et n'oublie pas que c'est en Arizona que se trouve Phoenix, l'oiseau qui renaît de ses cendres.
Je comprends bien ta tristesse, ta désillusion; j'ai été ce premier de la classe introverti qui était ostracisé par les autres, j'en ai fait des cauchemars et ai eu des envies suicidaires. Ma défense face à ça reste mon sens très particulier de l'humour, une distanciation indispensable de cette violence qui m'agresse en continu.
J'ai aussi une compagne formidable et, si je ne peux pas réaliser "en grand" mes rêves d'enfance, je me dis que si j'arrive à apporter de la joie et du bonheur aux auxquels je tiens, j'aurai accompli quelque chose de bien, de bon socialement.
Tiens bon mon ami et n'oublie pas que c'est en Arizona que se trouve Phoenix, l'oiseau qui renaît de ses cendres.
Joe Dalton- Messages : 22222
Date d'inscription : 23/09/2013
Age : 53
Localisation : J'entre en ...Gard
Re: Qui suis je dans cette société ?
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Déc 2017 - 23:19, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Qui suis je dans cette société ?
Moi aussi j'ai passé ma jeunesse, ma sensibilité en bandoulière.
Je ressens aussi fortement ce rejet du consommateur lambda, du faux self extérieur, du "Paraitre" surtout. Des mots choisis des vendeurs, qui te sourient pour mieux vendre leurs babioles. Beaucoup de mensonges, d'égarements. De trucs surfaits.
Eurk !
Il faut absolument avoir un point de ressourcement. Et ça, ce sont tes proches qui vont te l'apporter.
Il n'y a qu'eux qui te connaissent vraiment et donc ils sont vrais avec toi. Quand je me sentais seule, je pensais à mes amis ou à mes parents. C'est la base solide sur laquelle tu dois t'ancrer. Ton nid.
Par contre, je pense que dans tout ce que tu dis, y a un truc important qu'il va falloir creuser. Ta prestation musicale.
Pendant longtemps à mon taf, je me suis agonie de mots doux à chaque connerie que je faisais et ma journée, voire ma semaine en pâtissait. Je suis nulle, conne, tout ça... Bref.
Et moi, toute en sincérité, j'allais raconter ça à mes collègues. Je m'auto-humiliais. Du coup, ils me regardaient en échec, et me renvoyaient une idée de "minable". Jusqu'au jour où je me suis rendue compte qu'ils faisaient des bourdes du même genre que les miennes, mais qu'ils n'en causaient pas.
Juste ça.
Tu n'as peut être pas fait une bonne prestation, mais les autres sont peut être en train de se dire la même chose.
Avant de t'accuser, et de t'exclure, essaie de voir l'ensemble de ce qui n'a pas marché. Peut être que tu n'as pas pu faire mieux pour d'autres raisons. Essaie de creuser là dessus.
Avant de s'auto-enfoncer bêtement, il y a peut être d'autres choses à comprendre.
J'édite pour caser la citation piquée sur le fil de chuna ^^
"Le problème n'est pas le problème"
Je ressens aussi fortement ce rejet du consommateur lambda, du faux self extérieur, du "Paraitre" surtout. Des mots choisis des vendeurs, qui te sourient pour mieux vendre leurs babioles. Beaucoup de mensonges, d'égarements. De trucs surfaits.
Eurk !
Il faut absolument avoir un point de ressourcement. Et ça, ce sont tes proches qui vont te l'apporter.
Il n'y a qu'eux qui te connaissent vraiment et donc ils sont vrais avec toi. Quand je me sentais seule, je pensais à mes amis ou à mes parents. C'est la base solide sur laquelle tu dois t'ancrer. Ton nid.
Par contre, je pense que dans tout ce que tu dis, y a un truc important qu'il va falloir creuser. Ta prestation musicale.
Pendant longtemps à mon taf, je me suis agonie de mots doux à chaque connerie que je faisais et ma journée, voire ma semaine en pâtissait. Je suis nulle, conne, tout ça... Bref.
Et moi, toute en sincérité, j'allais raconter ça à mes collègues. Je m'auto-humiliais. Du coup, ils me regardaient en échec, et me renvoyaient une idée de "minable". Jusqu'au jour où je me suis rendue compte qu'ils faisaient des bourdes du même genre que les miennes, mais qu'ils n'en causaient pas.
Juste ça.
Tu n'as peut être pas fait une bonne prestation, mais les autres sont peut être en train de se dire la même chose.
Avant de t'accuser, et de t'exclure, essaie de voir l'ensemble de ce qui n'a pas marché. Peut être que tu n'as pas pu faire mieux pour d'autres raisons. Essaie de creuser là dessus.
Avant de s'auto-enfoncer bêtement, il y a peut être d'autres choses à comprendre.
J'édite pour caser la citation piquée sur le fil de chuna ^^
"Le problème n'est pas le problème"
Bimbang- Messages : 6445
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 44
Re: Qui suis je dans cette société ?
Arizona782 a écrit:
Quelle place j'ai en tant que jeune être dans une société hypocrite, lâche, égoïste, violente, vulgaire, liberticide, corrompue et mensongère?
Je pense que pas mal ici se reconnaitront dans tes propos
Je veux pas te déprimer, mais il y a pas mal de chances que dans 15 ans, tu te pose cette même question, juste en remplaçant "jeune" par "adulte". Puis dans 50 ans, par "vieux".
Ca c'est la mauvaise nouvelle. La bonne, c'est qu'il y a toute sorte de moyen de prendre du recul face à ça. Moi ce qui me "sauve", c'est de cultiver l'humour. Pas celui à la Bigard (quoique des fois... ).
Plutôt comme Desproges, dont l'expression "l'humour est la politesse du désespoir" (et l'ensemble de l'oeuvre...) m'a été d'une grande aide. Ca peut sembler paradoxale de "demander" à une personne en souffrance de s'ouvrir à l'humour, comme instrument de survie. N'empêche qu'apprendre à rire de tout - et de soi, en premier ! - donne une sacrée force...
Invité- Invité
Re: Qui suis je dans cette société ?
Arizona782 a écrit: Au fur et a mesure que je suis devenu adulte, je me suis rendu compte que fondamentalement je ne savais a rien a la société ou du moins que je ne suis rien..
Bonjour Ari zona,
J'ai lu ton témoignage avec attention et j'ai relevé cette "coquille" de ta part que j'interprète comme un lapsus.
En effet, je considère davantage que ta gène, ton désagrément, voire ta souffrance au contact de la société tient au regard que tu poses sur celle-ci. Ce regard est dur. Pas forcément faux mais assez négatif finalement.
Dans un premier temps, ça m'a fait penser au film de Coline Serreau, "Tout est permis" dont tu trouveras ci-dessous la bande annonce :
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=225413.html
Pourquoi ?
Eh bien parce que finalement, on voit plus facilement la paille dans l'oeil du voisin que la poutre qui est dans le sien.
Autrement, dit, il convient à un moment d'accepter que soi-même, nous sommes individualistes, imparfaits et peu attentifs aux autres.
(regarde bien, tu vas trouver plein d'exemples, j'en suis sûr !)
Une fois que tu auras admis que les autres, c'est toi, alors tu vas pouvoir commencer à t'accepter, surtout si tu prends un peu de hauteur, un peu de distance par rapport à ta pôvre pôvre petite réalité d'être humain.
Cette distance, tu pourras l'obtenir en menant une quête de sens, en poursuivant un cheminement spirituel.
Seul celui-ci te permettra de comprendre combien nous sommes essentiellement et aveuglément à l'écoute de nos besoins premier, à la recherche éperdue de notre bonheur. Tu saisiras aussi que nous ne sommes pas (que) ces êtres primitifs qui renvoient parfois l'image de ne pas voir plus loin que le bout de leur nez. Ce que nous sommes sur le plan terrestre n'est qu'un plan, ce n'est là que les limites données à notre incarnation.
Je te laisse découvrir que nous sommes PLUS que cela.
Bon cheminement.
Alaintuitif- Messages : 1159
Date d'inscription : 24/05/2016
Age : 57
Localisation : Bordeaux Cestas
Sujets similaires
» Une place dans cette société ?
» Comment vivre dans cette societe... Prisonnier du systeme...
» Zébrée ou pas...? Toujours est-il que je suis là à gambader dans cette savane...
» Je ne suis pas zèbre, pas tigre, pas dans les écarts-types du milieu. Je suis juste moi.
» Me voici parmi vous
» Comment vivre dans cette societe... Prisonnier du systeme...
» Zébrée ou pas...? Toujours est-il que je suis là à gambader dans cette savane...
» Je ne suis pas zèbre, pas tigre, pas dans les écarts-types du milieu. Je suis juste moi.
» Me voici parmi vous
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum