Les chroniques d'un schizophrène en recherche de guérison: livre I juin/juillet 2016

Les chroniques d'un schizophrène en recherche de guérison: livre I juin/juillet 2016

dimanche 29 mai 2016

Prologue


J'avais plein d'idée lorsque j'ai voulu commencer la chronique, mais au moment d'écrire plus rien, un trous béant dans mon cerveau. Le trac peu être. Commençons peu être par quelque spécificité de mon écriture et ensuite par poser le contexte actuelle de mon histoire.

Ben oui qu'on est schizophrène, il arrive qu'on saute quelque mots ou qu'on les remplace par d'autre, que des lettres vienne s'ajouter à des mots. Qu'on est un peu plus maladroit et qu'au clavier des erreur de frappe survienne assez régulièrement. Bien sur ces symptômes ne sont pas induit que par de la schizophrénie et ne pas les avoir ne veux pas dire que vous ne l' êtes forcement pas.

Les premier symptômes commencére a l' âge de 15 ans, aujourd' huis j' en ai 25. Apres un savant calcul vous devinerait que cela fait 10 an que sa a commencée. Les premier symptômes était surtout dépressif, et qu'elle dépression que c'était. Difficulté à se concentrer, manque de motivation profonde, désintérêt pour des activité que l'on aimait jusque-là.
Je me rappelais que sur certain écrit je mettais des majuscule en plein milieu de phrase, je commencée a ruminer et a pensée toute la journée. Des idées et pensées bizarre m'envahissait l'esprit, des émotions forte et qui ne perdurais pas dans la longueur. Du genre je me fâche contre quelqu'un et la seconde d' après je ne lui en veut plus. Je mettais mis à croire a des croyances mystique et métaphysique tout droit sortit de mon imaginaire, et ce n'est que depuis peu que je n'y croit plus. L'anxiété m'inhiber et me rendait encore plus dépressif.

J'avais remarqué que j' avait des problèmes psychologique mais pas jusque là. Je n' était jamais allez consulter un psychiatre ou un psychologue jusqu' à mes 21 ans, je pensais que sa finirait par passez et je pensais que c'était juste une dépression. A vrais dire après un certain moment , ce temps m'étant difficile à évaluer je ne pouvais plus agir pour ma personne. J'agissais comme un véritable automate et j'avais l'impression d'avoir perdu le contrôle de mon corps. Le diagnostic de  schizophrène n'a été posée que durant le mois d'octobre de cette année académique, durant mon hospitalisation en état de crise totale. J' étais passez dans un autre monde, la réalité s'était mêlée à l'imaginaire, j'en était hors réalité. J'ai commencée à retombée dans la réalité après que l'on m'est injecté pour la première fois du xeplion. Ils ont decidé de le faire et de m'attaché dans le lit d'hopital apres que j'ai menacée l'infirmière avec un couteau a beurre, alors qu'elle effectuait sa ronde de nuits. Lorsqu'elle avait regardée par  la fenêtre de la porte j'ai prit peur et je me suis mis a lui attribuer des faculté surnaturelle, c'est la buée de sa respiration sur la vitre qui ma fait cette effet. Difficile d'expliquer comment on peut en arriver la.

Enfin bref, depuis janvier dernier je me suis inscrit a l' hôpital de jour et j'y entreprend des activité 3 fois par semaine, 7heures et 30 minute par jour avec des long moment de pause. Et depuis quelque mois sa s'améliore je me sent moins dépressif  et commence a parler et rigoler avec autrui.

Chapitre 2

mardi 14 juin 2016
19:21

Bon voila , cette semaine crise aigue avec hallucination et très forte angoisse notamment parce que je n'avait plus rien pris comme médoc depuis février. Et bien sur sans en avertir mon psychiatre, ce qui est une mauvaise idée , j'ai due me rendre a l'hopital et on ma donné des comprimé a la place de l'injection habituelle. Je pensais pouvoir gerer sans medicament surtout qu'il donne des effet indésirable, qu'on peut evité grâce a d'autre comprimé. Mais ma mentalité a ce moment la était de ne surtout pas prendre de medoc alors que les medicament doivent permettre a la personne malade de suivre une psychotherapie. Je me demande si je vais ou non reprendre un psychologue, mes tentative de guérison avec un psychologue se sont montrés infructueuse.

un jour juste avant ma crise, j'ai essayé de prendre mon tapis de priere et j'ai sentit de la repulsion. j'ai essayé de comprendre pourquoi, et j'ai fini par me ressentir indigne de prier suivis d'un sentiment d'injustice. Et quelque jours auparavant je m'était rendu chez mon père, j'avait eu une petite hallucination auditive avant que je comprenne qu'elle est due a un ressentit d'exigence envers la réalité. Cette exigence n'admettez pas la réalité et en avait rien à foutre d' elle, elle voulait obtenir ce dont elle exigé un point c'est tout. Elle exigé quelque chose qui dans l'immédiat était impossible.

Avant ma deuxième crise j'essayé d'évité dans mes pensée les pensée négative, d'éviter ce que j'appelé les faux sentiment bien que ceux si au final n'existe pas. Et de ne pas écouter mes voix dans ma tête je me contenter de faire sa, alors qu'a l'heure actuelle j'entreprend un travail sur moi. j'essaye d'accepter la vie comme elle est, de ne pas entrer dans un déréalisme sur une situation, ne pas vouloir quelque chose de parfait qui n'existe d'ailleurs pas.

Chapitre 3

samedi 18 juin 2016
15:39

Je ne sais pas vraiment ou j'en suis, difficile de le dire. Les médicaments commence à faire effet, je ne voit que très peu des personne avec des yeux reptilien et en train de communiqué avec des signe entre eux. Ou de les trouvez étrange ou en encore horrible. Enfin quand je dis horrible c'est leur trait et leurs ombres sur leur visage qui me donne cette sensation la, difficile d'expliquer tout sa. Pour l'instant j'ai très dur a m'évaluer a dire si je me sent mieux ou moins bien, je sais que je me sent pas dépressif et sa c'est un gros truc de gagner comparé a avant.

Comment progresser dans cette situation la, je ne serait le dire, je cherche encore. Je me dit que peu être j'aurais des déclick un par un.

j'ai reussis a ressentir que j'en voulait a ma famille pour le passé et une injustice profonde pour ma vie. Je pense que c'est cela qui cree ma crise en plus d'autres blessure, mais ces sentiments ci font que je pars en crise. Sa reste a appronfondir pour me guerir, je pense que c'est une base interessante pour debuter une psychoterapie. Au final j'aurais peu etre une psychologue a mon hopital de jour. Je me fait aussi tout un tas de scene dans ma tete qui part en bagarre indefiniment, dont je ne voit jamais la fin . Et dont je ne trouve de solution bizaremment jai decouvert que je liais sa a j'aime sa et qui c'est ensuite transformer en j'aime pas sa. j'essaye d'exprimer sa du mieux que je peux, mais difficile.

C'est dernier jour je suis un peu en bagarre avec mes sœurs, ma mere m'aide bien a supporter tout sa. Elle me conseille et calme aussi mes sœur dans leur jugement.

Salut!
Tu écris??? Tu devrais écrire un roman sur tes expériences.
En plus tu écris bien, et clair…
Ça aidera d'autres personnes…Tu devras prendre toujours tes médicaments, ce n'est pas grave en soi… Heureusement...

merci pour tes compliments , mais mon but n'est pas d'ecrire un livre. Mais si des gens ici trouve des solution pour le meme type de probleme alors ce sera vraiment formidable meme une seul personne.