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Re: Je t'aime
Mon post de 23 h 16
est ambigu.
Je devais être fatigué.
@ Lorelei
En fait, Lorelei n'a pas pu comprendre.
Je m'en excuse auprès d'elle, SI elle me lit.
J'ai totalement aimé ton texte, L'or & l'ail,
en particulier les derniers
6 + 4
étonnamment clairs malgré leur poésie.
Je crois que j'ai raison de te considérer comme majeure.
@ grey
Toi, en revanche, tu es obscure,
malgré la clarté apparente de tes lignes.
Vous êtes 2 peintres
qui montrez votre réalité selon 2 modes très différents,
mais tout aussi passionnantes.
Nota. Vous êtes rares. Il existe peu de personnes sur ce site
qui rôdent
et servent nectar et ambroisie.
Olympiennes.
@ izo et camée
ne couvez aucun oeuf (si minuscule soit-il) de jalousie
ah ! la jalousie ! pourriture tellement humaine !
vous êtes admirables et faites partie, au même titre que L & G,
du cercle de mes préférences.
Tiens : c'est bizarre... 4 femmes...
NON je ne suis pas l'avatar d'Harvey Weinstein !
Pirouette. Cacahuète.
if
est ambigu.
Je devais être fatigué.
@ Lorelei
En fait, Lorelei n'a pas pu comprendre.
Je m'en excuse auprès d'elle, SI elle me lit.
J'ai totalement aimé ton texte, L'or & l'ail,
en particulier les derniers
6 + 4
étonnamment clairs malgré leur poésie.
Je crois que j'ai raison de te considérer comme majeure.
@ grey
Toi, en revanche, tu es obscure,
malgré la clarté apparente de tes lignes.
Vous êtes 2 peintres
qui montrez votre réalité selon 2 modes très différents,
mais tout aussi passionnantes.
Nota. Vous êtes rares. Il existe peu de personnes sur ce site
qui rôdent
et servent nectar et ambroisie.
Olympiennes.
@ izo et camée
ne couvez aucun oeuf (si minuscule soit-il) de jalousie
ah ! la jalousie ! pourriture tellement humaine !
vous êtes admirables et faites partie, au même titre que L & G,
du cercle de mes préférences.
Tiens : c'est bizarre... 4 femmes...
NON je ne suis pas l'avatar d'Harvey Weinstein !
Pirouette. Cacahuète.
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Re: Je t'aime
Titre ridicule ? Non... Tout au plus bizarre, voire incongru que de parler d'amour là où même l'intelligence peine à se définir.
Nous n'irons plus au bois.
Le cerisier est mort. Les lauriers aussi. Le jasmin aussi. Tout a gelé.
Mais peu importe, je m'installe dans mes quartiers d'été.
Hier, j'étais chez vous. Enfin chez nous. Dans cet endroit où nous avions imaginé...
Ça y est, l'ami, je vous le dis : telle l'acrobate, j'ai fait le grand saut.
Elle m'a dit qu'elle n'a rien vu venir : "Je garderai de toi tes sourires"
Oui, garde donc le souvenir de mes sourires. Je n'en ai plus beaucoup à offrir.
Nous n'irons plus au bois.
Le cerisier est mort. Les lauriers aussi. Le jasmin aussi. Tout a gelé.
Mais peu importe, je m'installe dans mes quartiers d'été.
Hier, j'étais chez vous. Enfin chez nous. Dans cet endroit où nous avions imaginé...
Ça y est, l'ami, je vous le dis : telle l'acrobate, j'ai fait le grand saut.
Elle m'a dit qu'elle n'a rien vu venir : "Je garderai de toi tes sourires"
Oui, garde donc le souvenir de mes sourires. Je n'en ai plus beaucoup à offrir.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
L'intelligence qui se définit se borne
Or se borner est une petite mort
L'amour se pare et parade
nue et habillée, parfois de mots
alouette alouette
l'amour est à plumer
toute une vie suffit à cela.
Or se borner est une petite mort
L'amour se pare et parade
nue et habillée, parfois de mots
alouette alouette
l'amour est à plumer
toute une vie suffit à cela.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
De la borne + à la borne -, le courant peut passer. Si la résistance n'est pas infinie.izo a écrit:L'intelligence qui se définit se borne
Or se borner est une petite mort
"Hortense, c'est pas fini de raconter n'importe quoi ? T'es pas poète pour deux sous, laisse ça aux gens sérieux."
Ok...
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Aller un peu d'amour en sachet dans ma tisane
Merci !
Merci !
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 104
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Je t'aime
En vrac, je préfère en vrac !
Mais pour ça, il ne faut pas avoir perdu la boule (à thé)
Mais pour ça, il ne faut pas avoir perdu la boule (à thé)
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Cross-topic athée !Hortense a écrit:En vrac, je préfère en vrac !
Mais pour ça, il ne faut pas avoir perdu la boule (à thé)
korosion- Messages : 87
Date d'inscription : 16/03/2018
Re: Je t'aime
Non, la définition n'enferme pas. Elle dessine les desseins. Elle envole le chemin.
Oui, l'amour est borné, borné à être.. envers et contre tous. Malgré tout, malgré tous.
Oui, l'amour est borné, borné à être.. envers et contre tous. Malgré tout, malgré tous.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Hortense a écrit:De la borne + à la borne -, le courant peut passer. Si la résistance n'est pas infinie.izo a écrit:L'intelligence qui se définit se borne
Or se borner est une petite mort
Ben voilà !
Invité- Invité
Re: Je t'aime
A comme abrutis
M comme merde
O comme obscène
U comme urticaire
R comme rebelle
M comme merde
O comme obscène
U comme urticaire
R comme rebelle
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Résistance infinie. Impédance nulle.craquotte a écrit:A comme abrutis
M comme merde
O comme obscène
U comme urticaire
R comme rebelle
Invité- Invité
Re: Je t'aime
T'es qui, craquotte ?
(Pour poétiser
puis merder -je me retiens- sur le mot amour.)
(je mourais d'envie de rebondir, et puis je me suis dit : non : c'est trop premier degré.)
J'aime ton apparition. Avis perso, que je partage.
Elle provoque. D'emblée. Mmmm, c'est bon ça.
Bon qu'une rebelle obscène dise leur merde aux abrutis et leur file de l'urticaire....
En même temps que la définition puisse dessiner des envols.
Que l'amour, même borné, sache pulvériser les bornes
malgré tout.
Voilà du neuf, sur ce fil.
Concrétiseras-tu, ami(e) inconnu(e) ?
Persévéreras-tu ?
izo est là
la bienveillante,
non, pas comme celles qu'invoque Jonathan Littell,
oh que non
if
(Pour poétiser
puis merder -je me retiens- sur le mot amour.)
(je mourais d'envie de rebondir, et puis je me suis dit : non : c'est trop premier degré.)
J'aime ton apparition. Avis perso, que je partage.
Elle provoque. D'emblée. Mmmm, c'est bon ça.
Bon qu'une rebelle obscène dise leur merde aux abrutis et leur file de l'urticaire....
En même temps que la définition puisse dessiner des envols.
Que l'amour, même borné, sache pulvériser les bornes
malgré tout.
Voilà du neuf, sur ce fil.
Concrétiseras-tu, ami(e) inconnu(e) ?
Persévéreras-tu ?
izo est là
la bienveillante,
non, pas comme celles qu'invoque Jonathan Littell,
oh que non
if
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Ben voilà !
Des tomates d'Islande !
(pas savoureuses, mais écologiques.)
Donc : tu te fanes.
Il est vrai qu'il est sage de se rétracter en terre lorsque la sécheresse menace .
(parole du sud.)
Tu sais, craquotte,
si je réagis, c'est que je me suis promis que tant que durerait ifness
je ferai vivre ce fil.
Tu es là, tu insuffles une énergie nouvelle, et je me réjouis.
Rayures timides... 16 posts... même pas allé voir ton profil....
Mais bienvenue !
Ici Lorelei a dit en personne (et Lorelei n'est pas n'importe qui)
que le fil était le meilleur de ce site
poétiquement parlant.
Tu assumes ?
Des tomates d'Islande !
(pas savoureuses, mais écologiques.)
Donc : tu te fanes.
Il est vrai qu'il est sage de se rétracter en terre lorsque la sécheresse menace .
(parole du sud.)
Tu sais, craquotte,
si je réagis, c'est que je me suis promis que tant que durerait ifness
je ferai vivre ce fil.
Tu es là, tu insuffles une énergie nouvelle, et je me réjouis.
Rayures timides... 16 posts... même pas allé voir ton profil....
Mais bienvenue !
Ici Lorelei a dit en personne (et Lorelei n'est pas n'importe qui)
que le fil était le meilleur de ce site
poétiquement parlant.
Tu assumes ?
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Ouah.
C'est de toi ?
Ben c'est la nouvelle Grey, alors.
Ta ligne est un parfum de poésie.
A suivre.
(Tant il est exact que le monde m'ignore.)
C'est de toi ?
Ben c'est la nouvelle Grey, alors.
Ta ligne est un parfum de poésie.
A suivre.
(Tant il est exact que le monde m'ignore.)
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Aucune.
Si ce n'est quelqu'un, elles auront parfumé autres choses, mais elles auront toujours fait profiter de leurs parfums alentours.
Si ce n'est quelqu'un, elles auront parfumé autres choses, mais elles auront toujours fait profiter de leurs parfums alentours.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Ouaip.
J'aime pas trop les pensées inspirées par d'autres.
Je les flaire à tout coup.
Pas terrible, pour le coup, Grey.
Eluard est un grand poète, mais c'est pas mon pote.
@ camée
Tu as bien raison.
Sauf à entrer dans la dialectique de Malherbe.
Ou du Petit Prince.
J'aime bien : "prendre soin de sa rose".
Mais je suis un sentimental romantique dégénéré.
J'aime pas trop les pensées inspirées par d'autres.
Je les flaire à tout coup.
Pas terrible, pour le coup, Grey.
Eluard est un grand poète, mais c'est pas mon pote.
@ camée
Tu as bien raison.
Sauf à entrer dans la dialectique de Malherbe.
Ou du Petit Prince.
J'aime bien : "prendre soin de sa rose".
Mais je suis un sentimental romantique dégénéré.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Fleurer et flairer. L'un, sans rien dire de plus, sent bon ; l'autre, sans rien dire de moins, sent presque mauvais.
Il existe tant de roses qui n'embaument jamais rien ni personne. Elles décorent tout au plus.
Par contre la centifolia ou la damascena sont si généreuses de leur odeur parfumée qu'en flacons elles ont été emprisonnées. Odeur malheureusement si coûteuse que même le lingot d'or fait pâle figure dans sa froideur dorée.
4 à 6 tonnes de pétales pour un litre de leur essence...
Il existe tant de roses qui n'embaument jamais rien ni personne. Elles décorent tout au plus.
Par contre la centifolia ou la damascena sont si généreuses de leur odeur parfumée qu'en flacons elles ont été emprisonnées. Odeur malheureusement si coûteuse que même le lingot d'or fait pâle figure dans sa froideur dorée.
4 à 6 tonnes de pétales pour un litre de leur essence...
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Commercialisation d'essences.
Commercialisation des sens.
Senteurs ambiguës.
J'aime "pâle figure dans sa froideur dorée".
A te lire, craquotte.
Commercialisation des sens.
Senteurs ambiguës.
J'aime "pâle figure dans sa froideur dorée".
A te lire, craquotte.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Étrange cet Aimer qui dit mais n'est jamais.
Cirque ubuesque des amours humaines
Clownesque cinéma de l'amour humain.
Il est là, il vous tend la main, like a hobo.
Il est là, il vous tend la main comme un clodo.
Absurdes prétentieux vous le prenez pour Dieu
Absurdes et prétentieux vous le croyez aux cieux
Étrange que cet Aimer vous ne le voyiez jamais
Cirque ubuesque des amours humaines
Clownesque cinéma de l'amour humain.
Il est là, il vous tend la main, like a hobo.
Il est là, il vous tend la main comme un clodo.
Absurdes prétentieux vous le prenez pour Dieu
Absurdes et prétentieux vous le croyez aux cieux
Étrange que cet Aimer vous ne le voyiez jamais
Invité- Invité
Re: Je t'aime
So long
@ Camée mon amour
qui pousse chaque mois
et se hérisse quand
@ Camée mon amour
qui pousse chaque mois
et se hérisse quand
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Y'en a qui ont du pot :
Craquotte est déjà "invité".
Comme je ne hante pas trop le site, j'ignore pourquoi.
Par ailleurs je ne crois pas connaître Craquotte sous un autre nom.
Au secours ! Ubu !
Craquotte est déjà "invité".
Comme je ne hante pas trop le site, j'ignore pourquoi.
Par ailleurs je ne crois pas connaître Craquotte sous un autre nom.
Au secours ! Ubu !
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Bon, ch'sais qui est Craquotte.
Elle aime les croquettes,
picore et caquette.
Ouh ! La coquette !
WK, très beau. J'ai rien compris, mais c'est très beau.
Admirables mystères de la poésie.
Elle aime les croquettes,
picore et caquette.
Ouh ! La coquette !
WK, très beau. J'ai rien compris, mais c'est très beau.
Admirables mystères de la poésie.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Il est mon air que je respire et que je me donne
il est ma mer où je ne cesse de me recommencer
il est mon obole en cette terre assoiffée de grandeur
il est mon U dans lequel je m'incurve confiante
Il est mon R dans lequel on se roule ravis.
Ceci est une petite déclinaison, menue, minuscule
il est ma mer où je ne cesse de me recommencer
il est mon obole en cette terre assoiffée de grandeur
il est mon U dans lequel je m'incurve confiante
Il est mon R dans lequel on se roule ravis.
Ceci est une petite déclinaison, menue, minuscule
Invité- Invité
Re: Je t'aime
ifness a écrit:Bon, ch'sais qui est Craquotte.
Elle aime les croquettes,
picore et caquette.
Ouh ! La coquette !
David crockett ?
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Trop forte, izo.
Comment as-tu deviné ?
Ton obole, ta déclinaison , sont très douces au coeur.
Elles sont à ton image.
Comment as-tu deviné ?
Ton obole, ta déclinaison , sont très douces au coeur.
Elles sont à ton image.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
J'aime bien, le trolley.
C'est comme un tramway sans rails,
avec un petit air de nostalgie.
(Circulaient encore de vieux trolleys qui décrochaient souvent, du temps de ma jeunesse.)
C'est comme un tramway sans rails,
avec un petit air de nostalgie.
(Circulaient encore de vieux trolleys qui décrochaient souvent, du temps de ma jeunesse.)
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
WinstonKing a écrit:
Merci merci, c'est un mix de dadaïsme et du style de nobokov, j'avais envie de particper sans troller. Ah ah
Nobokov, Nobody, Nobody's Perfect Nicolaï ou Vladimir ou bien Vélimir ? O King le très haut
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Je vais revenir.
Parce que
je t'aime.
Donc mon fil est validé.
Parce que
je t'aime.
Donc mon fil est validé.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
oui oui,
reviens reviens
là ici ici là
délaisse le las
prends le lac
abandonne le nord
et les banquises
Viens exposer au soleil
dans ses entrelacs
et tisser
là ici ici là
harmonieusement
des petites charmantes
et amarantes
toiles d'amour
reviens reviens
là ici ici là
délaisse le las
prends le lac
abandonne le nord
et les banquises
Viens exposer au soleil
dans ses entrelacs
et tisser
là ici ici là
harmonieusement
des petites charmantes
et amarantes
toiles d'amour
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Je vois qu'il n'est pas besoin de ma présence
pour signer de jolis vers d'amour...
tu me flattes, izo
en usant de tes
belles facilités
le lac
vers le sud
tiens tiens
je consulte mon atlas
nous en reparlerons
j'ai simplement
en voyageant
entendu les chants
entêtants
tant en soleils qu'en nuits
nocturnes aux violoncelles
de rossignols furtifs
oh si discrets hélas
en les terres garrigues
en les craies torturées
par les mille torrents
entre deux vignes.
j'ai aussi rencontré
une belle, à minuit,
au sommet idéal
nommé Forca Real.
Ce ne sont pas
chaudes appâts
de ces attentes vaines
pleines d'illusions vivaces. Non.
C'est vie,
ainsi je te rejoins, izo,
tu sais vie
ainsi que les oiseaux.
(On en revient au chant
des rossignols, dans la nuit magique
des garrigues.)
pour signer de jolis vers d'amour...
tu me flattes, izo
en usant de tes
belles facilités
le lac
vers le sud
tiens tiens
je consulte mon atlas
nous en reparlerons
j'ai simplement
en voyageant
entendu les chants
entêtants
tant en soleils qu'en nuits
nocturnes aux violoncelles
de rossignols furtifs
oh si discrets hélas
en les terres garrigues
en les craies torturées
par les mille torrents
entre deux vignes.
j'ai aussi rencontré
une belle, à minuit,
au sommet idéal
nommé Forca Real.
Ce ne sont pas
chaudes appâts
de ces attentes vaines
pleines d'illusions vivaces. Non.
C'est vie,
ainsi je te rejoins, izo,
tu sais vie
ainsi que les oiseaux.
(On en revient au chant
des rossignols, dans la nuit magique
des garrigues.)
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Tranquille et puissant, le sage sur son rocher médite à quelques voyages vers le Nord. Il songe, il défléchit à sa vie. Il se délecte de la puissance de l'univers à travers les champs terrestres, ceux des oiseaux, ceux du magnétisme, ceux de l'amour, et, quelques chenceuses fois, des trois à la fois.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
De suite, je reconnais ce bruit caractéristique du bord de mer ou des lacs,
Ce bruit des drapeaux animés par le vent, le contre-poids tapant le mât,
L'acier et le tissu venant troubler la musique des fines vagues du lac.
La bannière bleue aux étoiles surmonte celui de ta patrie. Triste symbole.
Quelques lumières enchanteresses, dansent plus loin, nous les rejoignons, elles qui nous ouvrent les bras,
Perdus parmi les odeurs qui nous laissent imaginer les délices de ces échoppes, nous déambulons,
Dans ces petites rues étroites, fleuries, où la Dolce Vita a déposé son doux voile,
Elle a froid, il est temps de céder à ces saveurs qui nous supplient,
Elle, elle ne me regarde pas d'un œil étincelant de désir, nos mains ne s'effleurent pas.
Elle, elle aime les femmes. Tout autant que j'aime les hommes.
Mais notre amitié, délicieuse, se fait pernicieuse ce soir, et laisse libre cours à l'imagination des passants,
Dépeint des sentiments qui ne sauraient pourtant exister.
Sous les arcades, les saveurs de nos plats nous réchauffent, le cœur.
Les canards du lac viennent jusqu'à nos pieds, attraper nos miettes de désespoir, narguant le vide de nos vies
Qu'il est dur de recevoir tant de chaleur, sur nos cœurs de glace,
Qu'il est dur de goûter cette douceur parfumée de basilic, sur nos lèvres sèches de baisers,
Qu'il est amer de percevoir les regards de ce couple, âgé, qui perçoit nos conversations,
Et ô combien mesure avec compassion les chemins pentus que nous devons gravir pour vivre nos sentiments.
La douceur de leurs mots, leur salut lorsque plus tard ils s'évanouissaient dans la nuit, étaient-ils annonciateurs?
Soudain, plus un mot, pétrifié, j'ai vu un rêve se refléter dans la vitre, deux jeunes et bels hommes,
Ils marchaient sagement le long du lac, avec pudeur, retenu. Oh non, ils ne se tenaient pas la main, non!
Pourtant, l'on voyait la douceur, et l'amour qui unissait leurs deux âmes.
Je ne saurais dire si c'était de la jalousie, de l'envie, de la joie que j'éprouvais.
Plus tard, alors que nous quittions notre table, ses canards moqueurs, nous nous perdîmes sur la route.
Alors nous les croisâmes à nouveau, marchant, comme flottant sur les pavés, ils étaient tranquilles, il se dévoraient des yeux.
Nous, nous nous empêtrions dans ce plan de circulation illisible, le moteur rutilant.
Ironie, contraste, Dieu que j'ai détesté la vie à cet instant!
Fallait-il vraiment qu'elle m'offre cette comparaison?
Fallait-il vraiment qu'elle pousse la parabole, la métaphore?
Moi, au volant de cette mécanique rutilante, noire, pollution de mes sentiments, nouées dans ces rues froides et sombres,
Et eux, portés par la brise, marchant sur le chemin de l'amour, brûlant déjà de l'étreinte à venir.
Alors c'est comme si Dante m'avait murmuré Chi asperttar puote, viene a cio che vuole*
Point d'amertume, point de haine, ni de jalousie.
C'est finalement le coeur béni, l'esprit au repos, le coeur en émoi que nous reprirent notre route noueuse,
Heureux d'avoir vu la vie, l'amour, même si ses anges ne venaient pas pour nous ce soir.
C'est peut-être cela la magie de la péninsule, l'amour de cette "botte", qui n'est pas faite de cuir,
Mais de douceur, de musique, de saveurs, d’odes éternels à l'amour, d'opéras, de passions adolescentes,
Tes flots à l'ombre des montagnes raisonneront toujours Côme un doux baiser, Côme une caresse...
Italia, tu sei la dolcezza della mia vita
- Bellagio
*Qui peut patienter, finira par arriver.
Ce bruit des drapeaux animés par le vent, le contre-poids tapant le mât,
L'acier et le tissu venant troubler la musique des fines vagues du lac.
La bannière bleue aux étoiles surmonte celui de ta patrie. Triste symbole.
Quelques lumières enchanteresses, dansent plus loin, nous les rejoignons, elles qui nous ouvrent les bras,
Perdus parmi les odeurs qui nous laissent imaginer les délices de ces échoppes, nous déambulons,
Dans ces petites rues étroites, fleuries, où la Dolce Vita a déposé son doux voile,
Elle a froid, il est temps de céder à ces saveurs qui nous supplient,
Elle, elle ne me regarde pas d'un œil étincelant de désir, nos mains ne s'effleurent pas.
Elle, elle aime les femmes. Tout autant que j'aime les hommes.
Mais notre amitié, délicieuse, se fait pernicieuse ce soir, et laisse libre cours à l'imagination des passants,
Dépeint des sentiments qui ne sauraient pourtant exister.
Sous les arcades, les saveurs de nos plats nous réchauffent, le cœur.
Les canards du lac viennent jusqu'à nos pieds, attraper nos miettes de désespoir, narguant le vide de nos vies
Qu'il est dur de recevoir tant de chaleur, sur nos cœurs de glace,
Qu'il est dur de goûter cette douceur parfumée de basilic, sur nos lèvres sèches de baisers,
Qu'il est amer de percevoir les regards de ce couple, âgé, qui perçoit nos conversations,
Et ô combien mesure avec compassion les chemins pentus que nous devons gravir pour vivre nos sentiments.
La douceur de leurs mots, leur salut lorsque plus tard ils s'évanouissaient dans la nuit, étaient-ils annonciateurs?
Soudain, plus un mot, pétrifié, j'ai vu un rêve se refléter dans la vitre, deux jeunes et bels hommes,
Ils marchaient sagement le long du lac, avec pudeur, retenu. Oh non, ils ne se tenaient pas la main, non!
Pourtant, l'on voyait la douceur, et l'amour qui unissait leurs deux âmes.
Je ne saurais dire si c'était de la jalousie, de l'envie, de la joie que j'éprouvais.
Plus tard, alors que nous quittions notre table, ses canards moqueurs, nous nous perdîmes sur la route.
Alors nous les croisâmes à nouveau, marchant, comme flottant sur les pavés, ils étaient tranquilles, il se dévoraient des yeux.
Nous, nous nous empêtrions dans ce plan de circulation illisible, le moteur rutilant.
Ironie, contraste, Dieu que j'ai détesté la vie à cet instant!
Fallait-il vraiment qu'elle m'offre cette comparaison?
Fallait-il vraiment qu'elle pousse la parabole, la métaphore?
Moi, au volant de cette mécanique rutilante, noire, pollution de mes sentiments, nouées dans ces rues froides et sombres,
Et eux, portés par la brise, marchant sur le chemin de l'amour, brûlant déjà de l'étreinte à venir.
Alors c'est comme si Dante m'avait murmuré Chi asperttar puote, viene a cio che vuole*
Point d'amertume, point de haine, ni de jalousie.
C'est finalement le coeur béni, l'esprit au repos, le coeur en émoi que nous reprirent notre route noueuse,
Heureux d'avoir vu la vie, l'amour, même si ses anges ne venaient pas pour nous ce soir.
C'est peut-être cela la magie de la péninsule, l'amour de cette "botte", qui n'est pas faite de cuir,
Mais de douceur, de musique, de saveurs, d’odes éternels à l'amour, d'opéras, de passions adolescentes,
Tes flots à l'ombre des montagnes raisonneront toujours Côme un doux baiser, Côme une caresse...
Italia, tu sei la dolcezza della mia vita
- Bellagio
*Qui peut patienter, finira par arriver.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Tu as raison, je pense, Grey.
"Tranquille et puissant le sage"...
Bah, ce n'est pas moi. Le "sage" ! Ha ha !
Mais la suite, oui, je m'y reconnais.
Oui, c'est bien ainsi que je vis.
Va falloir que j'écrive ça quelque part, moi.
J'ai pas de secrétaire attitrée.
Pythagore a laissé quelque trace, merdre, Ubu !
Peu, certes : quelques lignes.
Mais on cite encore son nom !
Vivre.
V'ivre.
c'est quoi, au juste ?
En ce pauvre fil provisoire de Zc
j'écris ton nom : pauvreté.
"Tranquille et puissant le sage"...
Bah, ce n'est pas moi. Le "sage" ! Ha ha !
Mais la suite, oui, je m'y reconnais.
Oui, c'est bien ainsi que je vis.
Va falloir que j'écrive ça quelque part, moi.
J'ai pas de secrétaire attitrée.
Pythagore a laissé quelque trace, merdre, Ubu !
Peu, certes : quelques lignes.
Mais on cite encore son nom !
Vivre.
V'ivre.
c'est quoi, au juste ?
En ce pauvre fil provisoire de Zc
j'écris ton nom : pauvreté.
ifness- Messages : 3028
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Re: Je t'aime
Scuse, j'avais pas lu,
coïncidence,
davidab'.
J'aime énormément ton texte.
En tant que lecteur critique j'y apporterais quelques aménagements
mais l'essentiel est excellent.
Et le fond
si profond.
Il ne s'agit jamais que d'amour, n'est-ce pas ?
(Nous en sommes au même point, mon compagnon.)
Ta dernière ligne est superbe.
Je parlais de toi à *
(En bien, rassure-toi !)
Je suis comblé.
Je t'embrasse, ami.
if
coïncidence,
davidab'.
J'aime énormément ton texte.
En tant que lecteur critique j'y apporterais quelques aménagements
mais l'essentiel est excellent.
Et le fond
si profond.
Il ne s'agit jamais que d'amour, n'est-ce pas ?
(Nous en sommes au même point, mon compagnon.)
Ta dernière ligne est superbe.
Je parlais de toi à *
(En bien, rassure-toi !)
Je suis comblé.
Je t'embrasse, ami.
if
ifness- Messages : 3028
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Re: Je t'aime
Je te lis ifness, et j'ai le sourire. Je te remercie pour ton message. Tu le sais, j'écris à l'instant, tentant tant bien que mal de retenir mes émotions pour les coucher d'une manière lisible. Laissant glisser l'imperfection de la pénombre à la lumière de mes textes. Que ta sagesse s'exprime, soit l'artisan qui comble mes manques! N'hésite pas à apporter des manipulations à mes mots. Pourvu qu'elles n'y expriment que plus d'amour!
Car ce que j'écris je l'ai vécu. Et oui il ne s'agit que d'amour, toujours.
Mais qui est * ? Est-ce cette étoile qui partage mon prénom et qui guide les hommes depuis voilà es saisons?
Ton affection me va au cœur. La route nous mènera à bon port compagnon! J'en suis sûr.
Car ce que j'écris je l'ai vécu. Et oui il ne s'agit que d'amour, toujours.
Mais qui est * ? Est-ce cette étoile qui partage mon prénom et qui guide les hommes depuis voilà es saisons?
Ton affection me va au cœur. La route nous mènera à bon port compagnon! J'en suis sûr.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Difficile de te répondre ex abrupto, davidab'.
Oui, je suis un brin critique, y compris de mes propres textes. En priorité, oserai-je.
Nous sommes sur un fil d'amour.
Donc il s'agit d'amour.
Ce que j'écris, je l'ai aussi vécu, sous une forme ou une autre.
Hétéro ou homo, l'amour est soleil et ténèbres.
Il est douceur et violence.
Je ne pense pas (en philosophe) que l'amour soit une "valeur".
Il EST.
Il est puissance de vie, il nous porte, il est ce que nous sommes.
* est une femme que je ne saurais dévoiler ici.
Je ne pense pas qu'elle est celle que tu imagines.
Merci pour ta dernière ligne.
Tu as l'art de terminer tes discours, compagnon.
A bientôt.
Oui, je suis un brin critique, y compris de mes propres textes. En priorité, oserai-je.
Nous sommes sur un fil d'amour.
Donc il s'agit d'amour.
Ce que j'écris, je l'ai aussi vécu, sous une forme ou une autre.
Hétéro ou homo, l'amour est soleil et ténèbres.
Il est douceur et violence.
Je ne pense pas (en philosophe) que l'amour soit une "valeur".
Il EST.
Il est puissance de vie, il nous porte, il est ce que nous sommes.
* est une femme que je ne saurais dévoiler ici.
Je ne pense pas qu'elle est celle que tu imagines.
Merci pour ta dernière ligne.
Tu as l'art de terminer tes discours, compagnon.
A bientôt.
ifness- Messages : 3028
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Re: Je t'aime
Ceci posé, il ne me déplairait pas de revoir Castres. Un jour....
if
if
ifness- Messages : 3028
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Re: Je t'aime
@
vers le nord
il en est que cela fait rêver
il est des oies de Nils Holgerssonn
il en est des rêves de Scandinavie
Scandinavie : le mot m'a toujours paru curieux
on y scande on y vit
c'est bizarre
un pays réputé froid qui fait fuir les sudistes
tant mieux
(quoique le rêve assumé des suédois soit l'Espagne !)
Chants des oiseaux. Champs magnétiques. Chants des sirènes.
Homère avait tout bon,
sauf en ses conclusions.
vers le nord
il en est que cela fait rêver
il est des oies de Nils Holgerssonn
il en est des rêves de Scandinavie
Scandinavie : le mot m'a toujours paru curieux
on y scande on y vit
c'est bizarre
un pays réputé froid qui fait fuir les sudistes
tant mieux
(quoique le rêve assumé des suédois soit l'Espagne !)
Chants des oiseaux. Champs magnétiques. Chants des sirènes.
Homère avait tout bon,
sauf en ses conclusions.
ifness- Messages : 3028
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Re: Je t'aime
Je vais rester toute la journée à rêvasser et me rouler dans mes draps qui ont gardés son odeur... Aaahlala
Invité- Invité
Re: Je t'aime
L'odeur du chat ?
De sa fourrure blonde ou brune
Sort un parfum si doux
Qu'un jour j'en fus embaumé
Pour l'avoir caressé une fois, rien qu'une.
(Baudelaire)
De sa fourrure blonde ou brune
Sort un parfum si doux
Qu'un jour j'en fus embaumé
Pour l'avoir caressé une fois, rien qu'une.
(Baudelaire)
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
-Mon Charles B.
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,
Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !
-Mon Charles B.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Chat-perlipopette !
Mais oui je le reconnais bien, c'est celui-là même !
Le fauve au regard électrique, celui qui roule de ses deux billes d'opale sur moi avec tant de douceur que je me retrouve, trop faible face aux caresses, le visage plongé dans sa fourrure..
Journée totalement improductive
Mais oui je le reconnais bien, c'est celui-là même !
Le fauve au regard électrique, celui qui roule de ses deux billes d'opale sur moi avec tant de douceur que je me retrouve, trop faible face aux caresses, le visage plongé dans sa fourrure..
Journée totalement improductive
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Ouaip, c'est bien ça.
Je fus très amoureux de Jane, étant jeune.
Elle ne m'a pas déçu, ensuite. Une grande.
On pouvait en douter, du temps de Gainsbourg/Pygmalion.
Mais il savait bien choisir, ce vieux salaud.
(je dis ça avec un max d'affection.)
Et Cat Power, c'est plutôt bien.
Nous sommes d'accord, psy.
Je fus très amoureux de Jane, étant jeune.
Elle ne m'a pas déçu, ensuite. Une grande.
On pouvait en douter, du temps de Gainsbourg/Pygmalion.
Mais il savait bien choisir, ce vieux salaud.
(je dis ça avec un max d'affection.)
Et Cat Power, c'est plutôt bien.
Nous sommes d'accord, psy.
ifness- Messages : 3028
Date d'inscription : 04/07/2016
Age : 101
Localisation : Plus nulle part, désormais
Re: Je t'aime
Apollinaire, ne reprend surtout pas ton inspiration... Tu perdrai ce que tu n'as pas en toi... Ce qui fait que je t'aime tant, ce qui fait que tu existes en mon temps.
Invité- Invité
Re: Je t'aime
Où as-tu vu Apollinaire, toi ?
Y'a pas d'Apollinaire qui traîne par ici ? Si ?
Ici si. Voir élections égyptiennes.
On s'éloigne lentement des Ptolémées.
Je reprends néanmoins mon inspiration, sinon je vais mourir, quoi.
Et mon expiration.
Et mon inspiration.
Et......
Perdre ce que je n'ai pas en moi : tiens, un nouveau concept.
On voit par là qu'on a changé de sexe...euh...de siècle...
enfin de sexe aussi, why not ? ça ne me déplairait pas.
Mais là n'est pas le propos. Où est-il, d'ailleurs ?
Je me perds. Je viens d'écrire un long texte ardu, alors.
Ouahh ! 0h15 ! M'étonne pas. Chuis creuvé.
Tu refuses Apollinaire, toi ?
Moi aussi (ou moi non plus).
Inspirer. Expirer. Inspirer. Expirer.
La vie. La mort. La vie. La mort.
Je tapote donc je vis.
Youpi.(s) (pour la rime riche).
Y'a pas d'Apollinaire qui traîne par ici ? Si ?
Ici si. Voir élections égyptiennes.
On s'éloigne lentement des Ptolémées.
Je reprends néanmoins mon inspiration, sinon je vais mourir, quoi.
Et mon expiration.
Et mon inspiration.
Et......
Perdre ce que je n'ai pas en moi : tiens, un nouveau concept.
On voit par là qu'on a changé de sexe...euh...de siècle...
enfin de sexe aussi, why not ? ça ne me déplairait pas.
Mais là n'est pas le propos. Où est-il, d'ailleurs ?
Je me perds. Je viens d'écrire un long texte ardu, alors.
Ouahh ! 0h15 ! M'étonne pas. Chuis creuvé.
Tu refuses Apollinaire, toi ?
Moi aussi (ou moi non plus).
Inspirer. Expirer. Inspirer. Expirer.
La vie. La mort. La vie. La mort.
Je tapote donc je vis.
Youpi.(s) (pour la rime riche).
ifness- Messages : 3028
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