Réflexion sur "le contact" en tant que stimuli négatif
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Réflexion sur "le contact" en tant que stimuli négatif
Sentiment d’agression, inconfort, gêne, peur. Pour certaine personnes, le contact peut-être à l’origine de ressenti négatifs. Pourtant, le contact est aussi une des bases de l’équilibre de l’Homme.
La plupart des gens dans cette situation expriment d’ailleurs un manque ; un besoin à l’opposé.
Hormis origines particulières liées à des traumatismes bien précis (Oui mais l’inconscient n’est-il pas entre autre modelé au rythme des traumatismes ? hors sujet, 0/20), à monhumble et impartial avis, le problème ne résulte pas du contact humain en lui-même mais en son sens. L’Homme est un être social et le contact est un mode de communication parmi d’autres. Expression de sentiments positifs ou négatifs, d’émotions, rapport de dominance, d'appartenance, moyen d’appuyer un message, de lui donner un sens, etc.
Si le « message » transmit par le contact est un message sensitif, il peut toutefois être rationalisé au maximum.
Mais comment faire lorsque le message est ressenti sans être compris ? Le mélange entre sentiment et rationnel rend la chose compliquée dans un très court lapse de temps hors, le contact invite souvent à une réaction rapide.
Parmi les modes de défenses possibles sont la catégorisation en agression de ces actions (stimuli négatif). A l’opposé, certaines personnes ne peuvent s’en passer. Si ces derniers peuvent avoir quelques difficultés d’ordre social, les personnes refusant le contact sont de loin ceux qui ont le plus à perdre, le contact etant un besoin primaire (Dans la pyramide de Maslow, on est bien loin de la machine à laver multifonction)
Dans le cadre d’un manque, si on souhaite changer la situation, je ne considère qu’une double approche est nécessaire :
- Développer le rationnel : Apprendre les codes et implications du contact dans le cadre de lecture de sciences sociales (outil de persuasion en société par exemple) et biologique (mécanisme de réponse biomécanique à un frottement peau contre peau). Je sais, je suis un grand romantique.
- Développer « l’irrationnel »( ?) : Favoriser progressivement le contact avec des personnes proches / de confiances pour réapprendre intuitivement le gout/plaisir du contact en réduisant les distances « de sécurités »
A noter que si « l’intime » est inclue, ce n’est qu’une part du sujet… et paradoxalement, pas forcément la plus compliquée, l’autre étant connu et familier (Sauf exception / L'amour, c'est un sport. Surtout s'il y en a un des deux qui veut pas – Coluche / pour les personnes sont concernées, merci de prendre cela sur le thème de l’humour noir).
Chacun peut adapter la part des deux axes de developpement selon son mode de fonctionnement mais on n'avance jamais loin avec une seul des deux approches et c'est l'équilibre à terme qui apporte les meilleurs résultats.
Addenda :
- « Toucher des yeux » ; « au contact du regard » … le sujet peut être élargie dans une certaine mesure au regard.
- Les « ? » signalent des questions rhétoriques plus que des tentatives d’échanges réelles. J'ai formulé ma pensée, c'était là mon but premier.
La plupart des gens dans cette situation expriment d’ailleurs un manque ; un besoin à l’opposé.
Hormis origines particulières liées à des traumatismes bien précis (Oui mais l’inconscient n’est-il pas entre autre modelé au rythme des traumatismes ? hors sujet, 0/20), à mon
Si le « message » transmit par le contact est un message sensitif, il peut toutefois être rationalisé au maximum.
Mais comment faire lorsque le message est ressenti sans être compris ? Le mélange entre sentiment et rationnel rend la chose compliquée dans un très court lapse de temps hors, le contact invite souvent à une réaction rapide.
Parmi les modes de défenses possibles sont la catégorisation en agression de ces actions (stimuli négatif). A l’opposé, certaines personnes ne peuvent s’en passer. Si ces derniers peuvent avoir quelques difficultés d’ordre social, les personnes refusant le contact sont de loin ceux qui ont le plus à perdre, le contact etant un besoin primaire (Dans la pyramide de Maslow, on est bien loin de la machine à laver multifonction)
Dans le cadre d’un manque, si on souhaite changer la situation, je ne considère qu’une double approche est nécessaire :
- Développer le rationnel : Apprendre les codes et implications du contact dans le cadre de lecture de sciences sociales (outil de persuasion en société par exemple) et biologique (mécanisme de réponse biomécanique à un frottement peau contre peau). Je sais, je suis un grand romantique.
- Développer « l’irrationnel »( ?) : Favoriser progressivement le contact avec des personnes proches / de confiances pour réapprendre intuitivement le gout/plaisir du contact en réduisant les distances « de sécurités »
A noter que si « l’intime » est inclue, ce n’est qu’une part du sujet… et paradoxalement, pas forcément la plus compliquée, l’autre étant connu et familier (Sauf exception / L'amour, c'est un sport. Surtout s'il y en a un des deux qui veut pas – Coluche / pour les personnes sont concernées, merci de prendre cela sur le thème de l’humour noir).
Chacun peut adapter la part des deux axes de developpement selon son mode de fonctionnement mais on n'avance jamais loin avec une seul des deux approches et c'est l'équilibre à terme qui apporte les meilleurs résultats.
Addenda :
- « Toucher des yeux » ; « au contact du regard » … le sujet peut être élargie dans une certaine mesure au regard.
- Les « ? » signalent des questions rhétoriques plus que des tentatives d’échanges réelles. J'ai formulé ma pensée, c'était là mon but premier.
M.Dupont- Messages : 29
Date d'inscription : 16/08/2016
Age : 37
Localisation : La Plaine
Re: Réflexion sur "le contact" en tant que stimuli négatif
Est tu asperger?
Octavius Nera- Messages : 20
Date d'inscription : 13/07/2015
Age : 27
Localisation : Paris
Re: Réflexion sur "le contact" en tant que stimuli négatif
M.Dupont a écrit:à monhumble et impartialavis, le problème ne résulte pas du contact humain en lui-même mais en son sens
Enfin ! Je trouve enfin quelqu'un qui aborde le sujet sous cet angle !
Je suis amplement d'accord sur ce point. Le soucis, n'est pas tellement le contact en lui même. Quand on prend les transports en commun en plein Paris, surtout aux heures de pointe, on est forcément ne serait-ce que frôler par un ou une inconnue. Ce n'est certes pas très agréable, mais ça ne provoque pas (du moins pour ma part) de réaction spéciale.
Or si, par exemple, en pleine conversation décontractée avec une personne, celle-ci me saisit par l'avant-bras, une réaction sera à prévoir. Après tout dépend de la personne en face. La réaction ne sera pas la même avec une personne connue depuis quelques semaines qu'avec un membre de la famille (dans le premier cas, un simple "raidissement"; dans le second, un regard noir et/ou un mouvement de retrait du bras).
Dans le cas des transports, le contact physique n'a pas réellement de sens (personne ne parle, personne ne se regarde…). Dans le second cas, il a visiblement un sens puisque la personne s'adresse à nous. Seulement, ce sens, il faut le saisir… et ce n'est pas toujours évident !
Tu m'ôtes les mots de la bouche !Mais comment faire lorsque le message est ressenti sans être compris ? Le mélange entre sentiment et rationnel rend la chose compliquée dans un très court lapse de temps hors, le contact invite souvent à une réaction rapide.
C'est amusant parce que, tes deux approches, je les appellerais plutôt comme ça: La première "développer le théorique", et la seconde "développer la pratique" . Cependant je suis tout à fait d'accord avec le contenu.
Cognitia- Messages : 26
Date d'inscription : 05/09/2016
Age : 28
Localisation : Paris
Re: Réflexion sur "le contact" en tant que stimuli négatif
C'est amusant parce que, tes deux approches, je les appellerais plutôt comme ça: La première "développer le théorique", et la seconde "développer la pratique" . Cependant je suis tout à fait d'accord avec le contenu.
Effectivement, c'est plus clair avec ces termes là. Je retiendrais, merci.
M.Dupont- Messages : 29
Date d'inscription : 16/08/2016
Age : 37
Localisation : La Plaine
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