Drôle de sensation intérieur

Hello,

Voilà quelques semaines que je ressens une drôle de sensation. Au début, je me suis rapidement dit à moi même que c'étais la fatigue de l'année et puis après la béatitude des vacances et de retour aux affaires c'est toujours là voir même pire....

Je n'est pas l'impression d'être présent dans ma vie de tout les jours. Je n'est pas l'impression d'être là. Je plane grave comme pour me protéger.

Comme si les gens n'avaient pas besoin de moi comme si j'étais à l'écart et que je regarde ma vie tout en vivant presque autre chose dans le même temps...

je vois tout ce petit monde s'affairer dans tout les sens et moi je plane

Ou la !!! bizarre tout ça...

Au boulot, je veux bien mais avec les miens ???

Pour ceux qui ont déjà malheureusement pris du PROZAC, c'est un peu la même sensation.

Pas de choc psy en ce moment tout va relativement bien. Changement de projet pro histoire de rester en fonction intellectuelle.

Mais cela est une habitude avec moi, c'est même cool à vrai dire....

Si vous avez déjà vécu la même chose, je veux bien un feetback.

Ca me fais un peu flipper cette histoire.

See you

Perso, j'ai déjà ressenti cela à deux ou trois reprises, il y a une dizaine d'années.
D'après moi, il s'agissait d'un problème d'ancrage.

Je pense que tu connais le concept. Sinon, je veux bien développer.
Plusieurs pistes pour retrouver un meilleur ancrage : pratiquer la danse africaine, prendre une nourriture plus adaptée, marcher pieds nus sur la terre ou le sable, éviter de faire des trucs trop abstraits ou trop planants. Bref, revenir les pieds sur terre.
Prendre des fleurs de Bach m'avait bien aidé également.

Oui, je vois ce que tu veux dire.

Problème d'ancrage cela ne m'étonnerai pas vraiment de moi.

Je prends des fleurs de bach pour le stress et le dodo.

Quelle fleurs de bach me conseil tu ?

SB.ABcube a écrit:Je n'est pas l'impression d'être présent dans ma vie de tout les jours. Je n'est pas l'impression d'être là. Je plane grave comme pour me protéger.

Un peu comme si tu te voyais à la troisième personne ?

J'aurais du mal à t'aider cependant, je suis dans une situation globalement inversée.

SB.ABcube a écrit: Quelle fleurs de bach me conseil tu ?

Je te réponds en mp

Déréalisation / Dépersonnalisation.

Très certainement psychologique.

Ça m'est arrivé souvent en période de stress intense (ton changement ^pro peut avoir des répercussions importantes). Ou alors dans mes moments de trop grande réflexion intellectuelle / introspection.
Il faut sortir, bouger, reprendre contact avec le concret.

Ça passe... essaye d'ignorer la sensation.

Bon courage

Fifrelin a écrit:Déréalisation / Dépersonnalisation.

+1

Alaintuitif a écrit:Plusieurs pistes pour retrouver un meilleur ancrage : pratiquer la danse africaine, prendre une nourriture plus adaptée, marcher pieds nus sur la terre ou le sable, éviter de faire des trucs trop abstraits ou trop planants. Bref, revenir les pieds sur terre.

+1

L'idée c'est de réinitialiser tes sens, y compris ta proprioception, pour réintégrer ton corps et ta réalité.

Hello la compagnie,

Plus j'avance dans le temps et l'année pire c'est. Je plane "grave" et limite je suis plus là à certain moment.

J'ai bien du mal à l'avouer mais c'est un peu comme si je me dédoublai et que mon double vivait autre chose que moi.

Du genre le numéro 1 encaisse et le numéro 2 vie....

Ca sens la crise d'identité à plein nez cette histoire.

Je sais pas comment repartir sur une base acceptable et je ne veux pas accepter.....

Je viens de me découvrir zèbre depuis quelques mois et je viens de comprendre que je suis quelqu'un d'atypique certes mais de pas bête.

Cette histoire d'être bête ou pas m'a toujours posé question limite une obsession alors maintenant que c'est prouvé que je ne suis une "bête et pas de nez" c'est pas forcément facile. Je me sens encore plus comme un poisson hors de son bocal....

Alors maintenant que je lis ma vie à la lumière de ce nouveau paradigme. Je me pose énormément de question sachant que je ne me sentais déjà pas forcément très bien dans ma vie pro.

Le fait d'être zèbre implique chez moi plein d'antinomie interrogative par exemple:

Je suis désespérément nul en orthographe. je dois produire un réel effort anxiogène d'ailleurs.
Les maths, c'est pas mon truc
Je suis méga bon en sciences malgré les maths
Je suis méga bon en sciences humaine (la théorie hein!!)
Etc...

Alors que faire ??? C PAS moi LA !!!!

Mon univers se matérialise entre le technique et l'intellectuel pur.

J'ai déjà raté le coche sur ma douance à la fin du lycée et je ne veux pas recommencer 20 ans après.

Mes profs de lycées voulaient me mettre en prépa et moi non. Je m'accordais une bêtitude bien trop grande donc BTS alternance.

Je crois que c'est un peu ce que j'appelle ma période "algue". On se laisse flotter, pris par nos questionnements intérieurs, sans que rien dans la vie nous atteigne.

Ça peut être juste une posture confortable quand on ne veut pas affronter un problème important. Si c'est juste ça, c'est un souci. C'est une fuite.
Mais ça peut être aussi un moyen de faire le point, surtout si on a tendance à nier ses besoins. (Vu qu'on ne peut pas échapper aux besoins des autres, on se met en retrait.)

Je dirais que c'est une phase de "veille" pour faire une "mise à jour".

SB.ABcube a écrit:Ca sens la crise d'identité à plein nez cette histoire.

Je suis d'accord avec toi, là. (après, on n'a peut être pas le même fonctionnement hein).
Il y a peut être un gros truc dans ta vie, tellement gros que tu ne le vois pas, et qui mérite ton attention. Le plus dur est de trouver quoi.
Ou peut être même que tu le sais déjà intuitivement, mais que tu as classé hâtivement.

En quoi cette sensation est-elle réellement problématique ?

Cette expérience est-elle intéressante, enrichissante ?

Quelle type de réalité te semble moins présente ?

Un autre type de réalité / d'autres ressentis et perceptions apparaissent-ils ?

En ce qui me concerne, cela arrive assez souvent (une ou deux fois par an qui peuvent durer quelques semaines/mois).
C'est pénible quand c'est trop long mais sinon c'est ce que j'appelle ma période de friche.
J'ai remarque que quand cet état prend fin, je suis beaucoup plus "ancré", beaucoup plus performant.
Mais le décryptage complet des processus d'entrée et de sortie me sont inconnus.

Sincèrement, je crois que je sais pourquoi.

Je sens que je perds mon temps dans mon job qui est un superbe métier (enseignant) mais je tourne grave en rond.

Pour ceux qui vont me dire mais tu as les vacances (un cauchemar éveillé) tu as du temps (oui aucun rythme) tu peux faire ceux que tu veux dans tes cours (en théorie oui mais trop d'innovation...)

Malgré de nombreuses missions annexes (formation, recrutement, coordinateur, etc...)

Bref j'ai fait le tour de la question.

Je me rends compte que c'est monstrueux de penser comme cela de quoi je me plaint après tout....

J'ai tout pour être heureux....

Pour ceux qui vont me dire mais tu as les vacances (un cauchemar éveillé) tu as du temps (oui aucun rythme) tu peux faire ceux que tu veux dans tes cours (en théorie oui mais trop d'innovation...)

Ouais, ben tout pareil!...

(sauf que moi j'ai la chance de pas avoir le concours, je me barre quand je veux, sans regret, vu le salaire ^^)

et en plus j'ai que des 6ièmes cette année, du coup je vais m'emmerder grave.

Donc voilà, culpabilise pas, franchement. T'as pas un métier de rêve.

Par contre, tu as de la chance de pouvoir travailler et manger tous les jours, comme une bonne partie des français...

et tu as du temps pour te recycler

Sans avoir le couteau sous la gorge...

SB.ABcube, je trouve également que ce que tu décris ressemble à de la dépersonnalisation / déréalisation, et je suis d'accord avec les conseils, pour la faire passer, de privilégier les activités physiques, tout ce qui aide a sentir son corps et à être dans l'action plus que dans la réflexion.

J'ajouterais aussi que ce phénomène peut être à prendre comme un signal de fatigue ou de stress qui incite à faire attention, lever le pied, etc.

Comme cela ressemble beaucoup à ce que l'on ressent lorsqu'on est en décalage horaire, dans une pays étranger, après un long voyage, on peut aussi faire l'hypothèse que cet état est effectivement lié à ta "crise d'identité" : tu es en train de faire une remise en question brusque de ta perception de toi, et aussi, en conséquence, de la non adéquation de ton emploi à tes aspirations. Perte de repères et boussole qui s'affole sont plus que logiques !

SB.ABcube a écrit:Je me rends compte que c'est monstrueux de penser comme cela de quoi je me plaint après tout....

J'ai tout pour être heureux...

Pas d'accord : en ce moment, tu n'as visiblement pas un travail qui te rende heureux, et tout le monde à le droit de rechercher ce qui lui convient le plus, ce qui est le mieux pour lui dans la vie.

Hello,

Oui, il y a un souci et de taille.

J'adore mon job mais il faut bien comprendre qu'a l'époque du début de la vie de "grand", il fallait bien avoir un job et que mon job de rêve fut une énorme déception.

Avec le recul, je pense avoir fait un "burn out" en moins de 1 an. Alors quand tu parles du métier qui t'a fait tenir le coup qui était la lueur d'espoir depuis l'âge de 6 ans et bien peut être que j'ai sous estimé la chose à l'époque.

Mais je préfère largement mon métier d'enseignant sauf qu'une fois que tu es enseignant tu es enseignant et point barre.....L'évolution c'est fini...Il est la le problème.

Je suis quelqu'un qui n'est pas matérialiste mais qui marche à l'évolution et sans perspective et bien cela devient très compliqué surtout quand tu as fait le tour du dit job.

J'ai fait tellement d'activités en plus de mon métier de prof. Tout ce qui était possible même des fois à la limite du responsable.

Alors maintenant que j'ai faits le tour des autres activités.....Que l'évolution y a pas....

Je ne veux pas de poste de chef ou manager cela demande beaucoup d'heures de présence bureau la non vie quoi!!!! (pour moi)

L'autre solution, c'est l'agreg mais là c'est un autre problème qui se profil ma capacité à me sentir capable DE....

J'ai plus que conscience qu'il faut que je bouge et plutôt vite à mon sens.

Pourquoi ? Je suis en Lycée pro et en section pro c'est pas super viable.

Tout les ans depuis le début de ma carrière et bien une petite pression et là "si vous remplissez pas la section et bien ...." et quand tu sais que je suis pas dans l'enseignement public et que en gros sauf coup de bol tu te retrouves sans job et bien cela fait peur....

Moi, j'appelle cela un cdd a perpète et cela me semble pas très sécuritaire.

Vous rajoutez la découverte de ma douance testée et tout le tremblement....

Vous avez un zèbre qui se pose énormément de question et qui se sens bloqué et perdu d'où le flottement.

Mon mal être et d'autant plus grand que j'ai découvert ma capacité à être ou faire à peut prés tout ce que je veux.

Alors...... Un psy non!!!!! en trouver un bon c'est quasi impossible. Un coach déjà en cours....

Prendre ma vie en main et avancer... surement mais ou ? dans quel sens ?

Accepter et supporter ? Je vais finir en sale état.

Je suis déjà tellement fatigué dans petite tête.

Devenir bon en ortho-giraphe? j'ai déjà essayé....

Analyse de mes besoins en fonction de la réalité et c'est l'agreg qui ressort....

C'est un peu comme si j'attendai moi "le mal " un prince charmant qui viendra le sauver sur son beau cheval blanc et m'emporter vers le pays des solutions....

Alors comment prendre le chemin qui pourra arrêter ce questionnement ???? et sans cheval

Merci pour réflexions pertinentes cela me fais avancer entre zèbres on se comprend mieux, je pense

C'est marrant, besoins similaires, et questionnements similaires vu que situation similaire (sauf que je suis dans le privé et que je suis vacataire, donc je saute pareil si jamais à chaque rentrée)
Et besoin permanent de pouvoir évoluer, créer des projets, avancer...

Mais je le vis plutôt bien.... Je suis suivie par un psy ... Et ça fait 5 ans que je cogite là dessus (depuis que j'ai quitté la recherche ce que je regrette un peu qd meme)

Avec l'agrégation tu n'auras pas plus d'évolution possible je pense qu'actuellement. Tu vas t'occuper le temps de bosser pour l'avoir, et ensuite ?
Ceci dit, je dis pas de pas la passer, au contraire, hein. Meilleur salaire, sécurité de l'emploi... Tu auras moins d'heures aussi... (15)

Te reste les projets à côté. Tu dis avoir fait le tour. Sur sur ?

En créant une association, par ex, dans ton domaine de prédilection (moi c'est les chevaux), Ya toujours moyen d'évoluer, monter de nouveaux projets...

Enfin bref, j'ai pas de solution miracle.
Par contre j'ai des chevaux (et avec eux tu peux éternellement évoluer ça c'est cool )

Courage à toi!

SB.ABcube a écrit:Alors maintenant que j'ai faits le tour des autres activités.....Que l'évolution y a pas....

Je ne veux pas de poste de chef ou manager cela demande beaucoup d'heures de présence bureau la non vie quoi!!!! (pour moi)

Du coup, quand tu parles d'évolution, tu veux parler de quoi ? Ce serait quoi l'évolution qui te plairait ?
J'avais d'abord cru que tu excluais la progression dans la hiérarchie, au profit de la variété / du changement d'activité, mais je ne suis pas sûre vu que tu dis que multiplier les activités ne t'a pas convenu non plus.

SB.ABcube a écrit:Analyse de mes besoins en fonction de la réalité et c'est l'agreg qui ressort....

Et dans le "en fonction de la réalité", ça donne quoi ? Quelles aspirations ? Quels types d'activités dont tu sais qu'elle a un effet positif sur toi ?

SB.ABcube a écrit:C'est un peu comme si j'attendai moi "le mal " un prince charmant qui viendra le sauver sur son beau cheval blanc et m'emporter vers le pays des solutions....

https://www.zebrascrossing.net/t402-ici-postez-les-choses-qui-vous-ont-aide-vos-solutions (mais pas relu donc pas sûre de l'intérêt du contenu, et je vois qu'aucun ajout depuis 2014...)

Et bien :

Evo hiérarchique: Non car trop chronophage et souvent du conflit. Je n'aime pas faire à la place des autres quand c'est dernier ne veulent plus ou pas.....

A vrai dire, j'ai tellement voulu que je m'en suis dégouté

Ma réalité perso est que je ne supporte plus de bosser le samedi, pendant les vacances, les rendez vous social ou bal des faux culs, etc.

Bref pratiquement zéro contraintes sociale. Quelle belle utopie

Travail d'équipe, c'est très compliqué entre sa va pas assez vite et je me cogne contre le sur motivé du coin qui sait tout ou presque....sans réellement savoir d'ailleurs.

Les activités positive sur mon moi à moi:

Faire des projets qui booste avec un vrai sens des vrais solutions et pas un groupe de crabe.

Avoir une action concrète et ne pas être soumis à une hiérarchie qui par nature prend des décisions et je n'aime pas les décisions.

Faire ce que je veux quand je veux (je suis quelqu'un de très et trop responsable)

Donner l'impression que je ne fais pas grand chose alors que sa pulse bien.(être cool et zen en toute liberté sans jugement)

Maitriser mon temps de travail et avoir un vrai temps de vie autour du travail bien défini et pas fluctuant.

Avoir un vrai rythme de travail et pas en pointillé (chaud, froid, chaud, froid et puis froid aller chaud) je trouve cela destructeur.

Des exigences de bébé gâté en fait.

Des aspirations, je n'en ai plus vraiment. J'ai tellement été déçu par beaucoup de choses et de gens.

Ou si cela devrait être une seule, ce serai de vivre tranquille..... et ne plus imaginer des stratégie pour être ou ne pas être.....évoluer

Dans la réalité, je fais pratiquement ce que je veux avec quelques contraintes social.

Mais je veux que l'on m'oubli que l'on ne fasse plus croire des choses qui ne sont pas ou ne seront jamais.

Je ne veux que l'on me fasse sentir que mon travail n'est pas assez poussé alors que c'est au top au niveau du bilan de fin d'année avec le temps que j'ai. (boulot annexe)

Je ne veux plus entrer en compet avec des collègues

En résumé, je ne veux pas grand chose sauf être tranquille vivre à mon vrai rythme et faire des choses intéressantes.

Et du nouveau, du nouveau et du nouveau, un feux d'artifice.

Pendant des années, je suis passé pour un hyper extraverti alors que je suis introverti. Donc souffrance et sur adaptation...

Je suis un intp d'après les tests de personnalité.

Tout ceci est donc de l'impossible dans notre société.

Je sais que la solution à mes pensées n'existe pas. Je sais que tout est compromis.

Je sais beaucoup de chose et je sais qu'au final je ne sais rien

*sort sa boule de cristal et prend une grande inspiration en fermant les yeux*

Je te vois.. je te vois... organiser des manifestations culturelles !

Je rigole hein. Je joue à "l'intuitive" en ce moment, et bizarrement je m'étonne
Pardon pour la digression. Hm.

Ce n'est pas trop confortable ce que tu décris SB.ABcube. Il y a des écoles un peu différentes, as tu pensé à t'orienter vers là ?

Là il semble que tu es au bout d'un cycle, il me semble que tu es un peu coincé et que tu vas devoir réfléchir à tout cela. Je veux dire réfléchir/agir. L'année va être bien longue on dirait.

Arrives-tu à te projeter sur autre chose ?
J'ai pas mal avancé en postant ici.

Bon la chance d'être zèbre est bien là.

Le changement rapide d'humeur et la résilience.

A part me retrousser les manches (comme d'hab) et me créer ma vie il n'y a pas grand chose à faire.

Une grande force de mon parcours, c'est que je viens de tout en bas comme on peut le dire. J'ai toujours avancer pour avoir ma vie.

Donc un peu de courage et de discernement et en avant.

Le premier objectif faire en sorte que les points en creux et les baisses de morale se lisse le plus possible.

Ensuite accepter de faire le tri dans mes activités. J'ai besoin de temps pour me préparer....au concours.

Jusqu'à la prochaine crise et puis si je plane j'espère que ma tour de contrôle me guidera....

Bon et bien ça plane toujours autant....

Je m'aperçois que ma différence et bien plus problématique que ce que j'imaginai....

La plus part des personnes avec qui je bosse me déchiffre plus qu'elles me comprennent et c'est pas très bon puisque le retour non verbal et forcément bizarre ce qui provoque une mauvaise analyse de la situation de ma part et donc un stress.

Je pense qu'il me reste une certaine dose de travail à faire pour intégrer la chose...

Un chemin s'arrête et un autre se découvre. J'ai tellement peur de faire les mauvais choix