1. Où Kweri raconte sa vie, et tourne en rond

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Message par Kweri Dim 30 Oct 2016 - 18:29

Salut à toutes et tous,

Je me suis inscris sur ce forum en quête d'un endroit où échanger et m'exprimer auprès de personnes neuroatypiques, même si je ne suis pas encore certain de ma situation. Je suis dans une recherche identitaire qui dure depuis deux ans avec des prises de conscience successives de ne pas être dans les normes, ou plus exactement que tout le monde n'était pas comme moi. Jusque là j'avais l'illusion un peu narcissique que ce qui était vrai pour moi l'était pour autrui, et lorsque j'ai pris du recul à ce niveau, il m'est apparu que j'étais atypique à de nombreux égards et que je m'étais censuré toute ma vie.
J'ai entreprit une transition de genre suite à ces constats, ne me reconnaissant pas dans le féminin qui m'avait été attribué à la naissance. Mais j'ai aussi soulevé d'autres questions sur mon fonctionnement mental, en particulier après qu'une amie à moi soit diagnostiquée Asperger. Je ne connaissais pas ce syndrome et j'ai été marqué par la ressemblance que j'y trouvais avec mon propre cas, et l'explication qu'il donnerait à beaucoup de mes décalages. J'ai laissé l'idée glisser longtemps, tout en complétant ma documentation sur ce qui pourrait s'appliquer à moi, à savoir la trinité Asperger-troubles de l'attention-surdouance. Non que je pensais avoir les trois, mais ils se recoupent sur de nombreux points et je me disais que si ce n'était pas l'un ce serait l'autre.


Il est certain que je me sens en échec dans ma vie aujourd'hui, mais c'est plus par incertitude et incapacité à faire des choix, distinguer une voie qui me permette de m'épanouir, que par tendances dépressives. Je suis entre deux eaux, faisant toujours des efforts pour me maintenir à flot mais en surplace. J'ai mis la priorité à savoir qui je suis, et je ne peux pas passer à autre chose tant que je n'obtiens pas une réponse satisfaisante à ce niveau, même si c'est autant un chemin à faire dans ma tête que des éléments qui peuvent venir de l'extérieur. Je me remets sans doute trop régulièrement en question pour mon propre bien, mais j'aimerais trouver des bases, un fondement dont je sois certain, qui me convainque et sonne juste pour moi.

Dans un creux de vague, j'ai consulté une psy spécialisée dans les troubles de l'apprentissage et de l'attention, pour lui parler de mes difficultés à m'organiser, à travailler, à fonctionner au quotidien, que je mettais sur le compte d'éventuels troubles de l'attention. Après un entretien assez long (1h30 au moins), elle m'a proposé de faire des tests pour y voir plus clair. Assez stupidement, je suis allé au test dans un état de grande fatigue, sans vraiment être dans un esprit performatif puisque je pensais qu'il s'agissait d'un test destiné à mettre en valeur d'éventuels troubles de l'attention, et la fatigue a tendance à faire ressortir mes failles à ce niveau. C'est en réalisant le test que je me suis douté qu'il s'agissait sans doute d'un test de QI utilisé comme intrument diagnostic.
J'ai obtenu un test que je trouve assez difficile à interpréter, à 129, hétérogène, avec par exemple un pic à 143 pour la compréhension verbale et un raisonnement perceptif à 112. Les résultats sont cohérents avec les difficultés que j'éprouve en réalité, j'ai des faiblesses pour tout ce qui passe par le visuel et une coordination motrice assez médiocre, et j'ai toujours été talentueux au niveau littéraire.
Le bilan insiste (à raison) sur le manque de confiance en moi, rappelle que j'ai de très bonnes capacités intellectuelles et suppose des possibilités supérieures aux résultats du bilan, parlant de précocité sous jacente et de fonctionnement à haut potentiel partiellement exploité. Mais c'est un soupçon et non un diagnostic.

Il recommande des méthodes de travail qui utilisent plus mes points forts, ce qui suscite de grandes interrogations chez moi car je suis graphiste ; or les exercices manuels, tâches sur papier ou de manipulation d'objets sont celles où j'ai le plus de difficultés attentionnelles, sans parler de mon absence de mémoire visuelle, et mes efforts moins actifs concernant les données graphiques. J'ai choisi les études d'art en sachant que je n'étais pas doué en la matière, mais je me questionne maintenant sur ce choix car il me suscite peut-être plus de souffrance que d'épanouissement. Je lutte pour faire des choses qui ne sont pas dans ma nature, et je passe à côté de ce pour quoi je suis doué. Voilà mon sentiment actuel, et le test n'est que le révélateur de quelque chose de vrai : j'ai d'ailleurs réalisé par la suite que j'avais des traits dyspraxiques, et un travail d’orthoptie m'a permis d'améliorer ma perception visuelle.

Outre ces problèmes de carrière, je ne suis pas pleinement satisfait par ces réponses. J'ai eu un effet de soulagement après le test parce que ça m'a fait du bien qu'on me dise que j'étais intelligent, que j'avais du talent et des capacités dans certaines choses, et j'ai pu le constater immédiatement en reprenant des études de langue en japonais. C'est incroyablement soulageant pour moi car l'apprentissage me semble logique, facile, coulant de source, c'est un travail qui donne des résultats facilement quantifiables, tandis que dans le visuel je peine en terrain inconnu malgré des années de lutte, un niveau professionnel mais de la lenteur, des efforts laborieux, un trait jamais maîtrisé et une difficulté à voir, appréhender ce que je fais... Je me suis aussi dit que mes soucis d'attention venaient peut-être du visuel spécifiquement, sur lequel j'ai du mal à me concentrer, alors que dans un domaine littéraire j'ai de grandes capacités de concentration. J'avais perdu cela de vue depuis le temps que je n'avais pas exploité ces autres capacités.

Et puis l'autisme revient toujours dans mes suppositions par un moyen ou un autre, et ce malgré l'opposition généralisée que je rencontre dans mon entourage lorsque j'ose formuler cette hypothèse. C'est quelque chose que je ressens comme vrai à un niveau intuitif, mais les seuls qui semblent me prendre au sérieux sont les personnes Asperger que je connais. Même pour moi c'est un sujet délicat car beaucoup d'aspects de ma personnalité que je vis comme des défauts voir des handicaps y sont liés : ma difficulté à me percevoir, à me repérer dans le temps, à m'organiser (tout en ayant une dépendance aux plannings, listes et autres systèmes de motivation), à être à l'heure, ma lenteur, l'incapacité à faire deux choses en même temps - surtout si l'une est une tache sociale - la fatigue sociale qui me saute de plus en plus aux yeux, une certaine maladresse aggravée par la présence des autres... J'ai longtemps haï l'enfant associal que j'étais et dont l'autisme me parait évident, qui ne comprenait pas les règles sociales, avait la phobie des groupes, des passions ciblées et un attachement prononcé aux règles. Je pense que ce qui me séduit le plus dans cette hypothèse, c'est qu'elle va dans le sens de mon sentiment d'altérité, très profond.
J'ai revu un ami qui a fait un cheminement très similaire au mien et présente lui aussi des traits autistiques, étant dans des démarches diagnostiques à ce niveau : cela m'a fait l'effet d'un miroir, quand j'ai réalisé ma sensibilité au bruit, à la foule, la fatigue qui se manifeste dans la façon de parler de manière de plus en plus évidente... Depuis je me rend compte à quel point je suis mieux quand je respecte mon besoin de solitude (j'ai d'ordinaire une vie sociale très importante, ce qui explique peut-être qu'il ne me reste plus beaucoup d'énergie pour travailler), que je reconnais mes limites, et que je m'instaure des routines. Jusqu'à présent j'ai toujours essayé de réussir comme les autres, de correspondre à un modèle de vie plutôt que de chercher ce qui me fait moins souffrir... Admettre que sur certains points je dois voir mes ambitions à la baisse est difficile.

Dernier épisode, je suis en train de lire le fameux "Trop intelligent pour être heureux ? L'adulte surdoué" de Jeanne Siaud-Facchin, dans lequel je ne me retrouve absolument pas. Je le trouve intéressant parce qu'il caractérise à la perfection ma petite amie, ce qui me permet d'avoir un point de repère. J'ai pu cocher consciencieusement chacun des points du chapitre qui présente ce que c'est qu'être surdoué la concernant, c'est amusant. Pour ma part, je suis presque l'opposé de ce modèle, puisque très doué pour exprimer par les mots (même si je ressens pour ma part une certaine confusion à l'oral et dans ma pensée, apparemment mes interlocuteurs ne le perçoivent pas), mais dépourvu de capacités de visualisation et très faible en pensée non verbale. Je sollicite très peu ma mémoire au sens classique, car je peine à avoir des souvenirs autrement que sous forme verbale. Je n'ai pas une pensée arborescente au même sens que ma copine chez qui ce fourmillement dans toutes les directions est palpable. Et je ne suis pas hypersensible, je vois très bien son émotivité à fleur de peau et il est donc facile de m'en distinguer. J'ai plutôt l'impression d'être inhibé ou décalé dans la façon dont je ressens les émotions. Même si mes propres recherches n'avaient jamais été en faveur de la surdouance, j'ai ressenti une pointe de trahison vu que c'est dans ce sens que le bilan de la psy allait, et j'avais un léger espoir de pouvoir m'y reconnaître au moins partiellement. Serais-je un "BB", un brillant bosseur ? Apparemment pour elle une personne au QI élevé qui n'a pas une pensée qualitativement différente rentre dans cette catégorie ?

Je continue à soupçonner dans mon cas un profil atypique, peut-être Asperger compensé par mon QI relativement élevé... A côté, ma copine appuyée par son papa psy m'encourage à plus chercher côté psychologique, lui pense que je ne peux pas être Asperger vu la façon dont je parle... on voit qu'il ne m'a pas vu crevé... Il est évident que j'ai des soucis de confiance en moi, des phases de déprime, que ma relation avec mes parents m'a influencé et pas toujours pour le mieux, mais je ne pense pas que ce soit responsable de ma personnalité sur ces points ; ça a toujours été, et on m'a par exemple reproché ma lenteur dès mon plus jeune âge, mon asociabilité s'est manifestée dès la maternelle... Je me suis refermé, senti incompris, rejeté et pas soutenu, oui ; mais justement par manque de soutien concernant ma différence. J'ai grandi enfant unique avec des parents d'une différence d'âge importante, une famille où j'avais peu de place en dehors du noyau parental. J'ai fait de l'orthophonie, et j'ai vu un psy au milieu de la primaire, qui n'a rien trouvé de mieux que de me dire que c'était peut-être de ma faute si je n'avais pas d'amis, et d'encourager mes parents à me pousser à faire plus d'efforts et à me mettre dans des situations sociales. Le résultat, c'est que j'ai dû me débrouiller pour survivre à l'hostilité de mes pairs, que j'ai développé un caractère d'adaptation aux autres au prix de mon bien-être, et que j'ai renoncé à demander de l'aide. La psychologie c'est bien, mais si je peux mettre un tas de trucs sur le dos de mes parents, je ne crois pas qu'ils aient fait de moi un petit singe savant, et ne pas avoir de frères et soeurs n'est pas une raison suffisante pour être incapable de sociabiliser avec les gens de son âge, si ? Je n'avais pas spécialement d'intérêt pour les autres à cette époque. Mais comme j'ai une mémoire peu précise j'ai du mal à m'affirmer avec certitude.

Prendre conscience de mes limites me semble presque vital, mais ma copine ne perçoit pas la quantité d'efforts que je fournis déjà ; ayant pour sa part dû faire énormément d'efforts pour changer, canaliser ses pensées, ses émotions, elle craint que je me cherche des excuses pour me replier sur moi et ne pas être à la hauteur des exigences sociales de base. J'ai du mal à faire comprendre que j'ai le sentiment que la majeure partie de ma personnalité est déjà une construction faite pour m'adapter aux autres et à la société et que j'aimerais bien être un peu moi. J'ai cru pendant des années que j'étais vide, et je continue à avoir du mal à renoncer à la perfection qui est l'égale du néant. Admettre mes défauts et mes failles, travailler avec, les combler ou les contourner demande déjà de les reconnaître.
Mais oui, actuellement je ressens le besoin d'être neuroatypique, parce que c'est ce que je ressens, parce que cela donne sens à mon histoire, et que sans cela je n'arrive pas à me comprendre.


Maintenant que ce questionnement qui m'amène ici est mis à plat, qui suis-je ?

Je suis un garçon de 27 ans, en plein parcours de transition, vivant sur Lyon, assez original je pense ? Vu mon parcours de vie je me perçois plus comme ayant 22-23 ans que 27, et j'ai l'apparence d'une personne de 16 ans... Je vis grâce au RSA, l'aide ponctuelle de mes parents et le travail de graphiste freelance que je réalise dans une semi légalité en attendant d'avoir assez de revenus pour acquérir un statut officiel. Je suis du genre à me lancer sur quinze fronts en même temps alors que je n'arrive à assurer que quelques projets à la fois, mais j'ai énormément de mal à dire non ou à rester sur une idée et à la réaliser sans culpabiliser/penser à tout ce que je ne fais pas.

J'ai un grand sens de la justice, idéaliste et plutôt optimiste. J'accorde beaucoup d'importance aux autres et à leur respect, et j'aime rencontrer de nouvelles personnes même si j'ai du mal à me conformer aux normes des relations : je me retrouve souvent dans la situation où je manifeste trop d'intérêt et de familiarité pendant un moment, mais où je n'ai ensuite plus le temps et l'énergie de fréquenter la personne qui risque de se sentir délaissée. Disons qu'ayant déjà un entourage amical très riche et étendu, j'ai tendance à être aussi paumé dans la gestion de ces relations que dans le reste... Very Happy

Je me remets trop en question, me scrute de trop près et ne suis pas assez dans l'action : j'ai un mal fou à faire des choix, prendre des décisions.
Je dessine et je peins sur ordinateur, je travaille essentiellement pour le jeu vidéo, et j'aimerais faire de la BD. J'ai toujours voulu écrire et mettre en image mes propres histoires mais je n'ai jamais pleinement passé le pas. Ayant fait beaucoup d'efforts pour apprendre à dessiner, j'ai finalement laissé de côté ce qui me motivais à la base à savoir la fiction, le scénario et l'écriture.

Je pratique le jeu de rôle sous diverses formes, et bien que je ne sois pas spécialement manuel ni sportif j'aimerais bien l'être ! Je participe ainsi à une compagnie médiévale où j'apprends le combat à l'épée pour faire du spectacle, et j'aimerais aussi y apprendre à pratiquer divers artisanats, mais je n'ai pas le temps pour tout à la fois...

J'adore la fiction sous toutes ses formes, étudier la psychologie des personnages, et les façons de faire passer du sens par une narration. J'aime bien à ce titre le phénomène de fandoms sur le net et la façon dont une communauté crée du contenu autour d'une oeuvre, explorant à fond les thématiques ou les personnages dans leurs différentes variantes possibles.

J'aime voyager et j'ai réalisé des reportages amateurs pendant mon adolescence ; c'est quelque chose qui me manque et que j'aimerais retrouver sous une forme ou une autre. Actuellement j'ai repris des études de japonais en auditeur libre, et j'aimerais tôt ou tard repartir au Japon ; il y a maintenant huit ans, j'avais promis aux amis que je m'étais fait là bas que j'y reviendrais. Je pensais finir mes études et chercher du travail là-bas, et même si j'ai pris du retard je n'arrive pas à me détacher de cette idée par amour pour ce pays. Au delà de cela, j'aimerais bien avoir une vie plus nomade, voir le monde et travailler dans différents pays.

Je déteste avoir l'image de quelqu'un de trop sérieux ou intello même si c'est parfois le cas, même si je peux radoter sur les mêmes problématiques pendant des semaines, même si je suis distrait et que souvent je ne réagis pas comme je le devrais je reste susceptible à ce niveau. J'aime bien avoir de longues conversations sur des sujets qui me passionnent, mais j'ai souvent du mal à mener un débat même si j'aime cela ; beaucoup de conversations me semblent être parallèles et pas un échange, chacun disant sa pensée sans rebondir sur celle de l'autre ; et moi même je voudrais être meilleur à ce jeu là.

Je peux être idiot et j'aime faire des choses juste pour m'amuser, même si je reste très inhibé, influencé par des années de peur du regard des autres et du ridicule ; mais du coup j'adore défier cela et agir de façon plus ou moins aléatoire. J'ai envie de rattraper toute l'enfance où je me suis censuré, ou peut être que je ne savais pas faire. En tout cas j'aime rire et j'aime les choses gratuites, la nature, la beauté banale de l'existence, les grands enfants.

J'aime apprendre et être stimulé intellectuellement et je me rend compte que je me suis éloigné de cette voie avec mes études très manuelles et visuelles, je n'ai pas encore trouvé le pont idéal qui me satisfera d'un point de vue créatif. J'aime lire mais je ne trouve plus le temps, d'ailleurs je ne prend plus de temps pour consommer de la culture en général et c'est dommage parce que c'est un carburant essentiel pour moi, que ce soit films, jeux, séries, bd ou romans. J'ai le sentiment de vivre à un rythme qui n'est pas le mien, par souci de productivité et d'image sociale, de devoir envers mes parents, la société...

Je suis sensible aux questions féministes et de justice sociale en général, directement concerné à de nombreux égards, et ça n'est pas nouveau. J'aime aussi les animaux, l'écologie et j'ai failli prendre une voie totalement différente, j'aurais voulu être ethologue, trouver un moyen de faire du naturalisme professionnellement.

Je me reconnais sous diverses perspectives comme pansexuel et homosexuel/flexible, quoi que j'aime aussi bien l'étiquette bisexuel. Je me retrouve aussi plus dans le polyamour, même si ce n'est pas évident de trouver comment le vivre avec des partenaires monogames. Et histoire de finir avec les étiquettes (que je trouve quand même bien pratiques pour m'y retrouver, elles m'ont énormément aidé à trouver ce que je souhaitais au lieu de faire "par défaut" et d'être mal à l'aise), je suis quelque part sur le spectre asexuel, mon attirance étant souvent soit absente, soit moindre, soit différente qualitativement (plus kinky que sexuelle).

Je vais stopper là ce roman par le pan relationnel en ajoutant que j'ai un chat, une copine qui vit dans une ville voisine et un copain qui vit loin et est en prépa et que je vois donc peu. Mon père est âgé et je m'inquiète beaucoup de sa santé, je suis dans une phase où j'ai besoin de voler de mes propres ailes comme on dit mais je dois en même temps me préoccuper de lui par peur de le perdre. Ma mère a un compagnon en Roumanie et est dans une phase très difficile après qu'il ait fait un AVC il y a six mois, je suis là aussi plutôt dans une position de soutien vis à vis d'elle malgré mon propre manque d'avancée dans ma vie. J'ai comme je l'ai déjà dit un entourage amical très riche et d'un grand soutien, même si j'angoisse parfois de ne pas assurer à ce côté là ~
Actuellement, tout en subissant les remous de mes interrogations sur le fonctionnement de mon mental, je dois gagner de l'argent pour financer la fin de ma transition, et j'essaye de m'ouvrir à une dynamique nouvelle via la fac de Japonais.

Je remercie la patience de ceux qui m'auront lu même en survol, et j'espère trouver sur ce forum une communauté bienveillante et des échanges fructueux !

Kweri

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Message par Gasta Lun 31 Oct 2016 - 23:01

Bienvenue kweri Very Happy
Merci pour cette longue présentation.
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Message par Yoda300 Lun 31 Oct 2016 - 23:19

J'ai tout lu ... bienvenue !
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Message par Invité Mar 1 Nov 2016 - 0:43

Bienvenue sur ZC Smile
Présentation longue mais très intéressante (j'ai du faire une recherche pour "kinky", je ne connaissais pas le concept, en tout cas sous ce terme, j'ai appris quelque chose)

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Message par Darth Lord Tiger Kalthu Mar 1 Nov 2016 - 13:52

Bienvenue à toi, bon courage pour dépatouiller tout ça et en espérant que le forum apportera des pistes Smile !

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