Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
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bodhi
Yoda300
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Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Je suis...
(pense/crois/espère être...? A tort ou à raison?)
Une papuche (à rayures? pois? motifs? Mmh... Nope, à pédales, ouaip, sûrement ça, une bourrique à pédales)
Une banane transgénique
Une méduse échevelée
Une tartine de chèvre chaud nappée de miel de châtaignier
Une feuille de brick
Un peu insane sur les bords (d'une piscine?) mais pas que, et pas qu'un peu
Une énigme? Et pourtant il serait easy poney de lire en ma personne comme en un livre ouvert. Sauf que, pas de miroir à portée. Imaginez-vous tenter de regarder sous votre menton sans cet objet (Oui nan mais c'est pour le principe, l'objectivité, tout ça toussa). On a l'air idiot avec ce goitre, non? Bref, tout ce tissu d'absurdité dans l'unique et dérisoire désir de justifier cette incompréhension du moi-même zarduby que je me coltine chaque jour passant
J'aime...
Les jeux de mots (surtout les pourris qui ne font rire que moi, ou presque, puis les blagues du même acabit)
La zik parce que comme diraient les affreux "la Muse'Ikh, c'est la vie"
Le nawack ou ces trucs bizarres qui me donnent l'illusoire sensation de ne pas l'être tant que cela.
Le grabouillage, oui enfin pas dans le cadre des études, hélas ce serait beaucoup trop simple...
Les longues et réconfortantes discussions avec des personnes de confiance, ces instants où il est possible de réduire quasiment à néant le filtre omniprésent qui censure les pensées pour les rendre compréhensibles pour autrui, pouah, la libertation! Ce serait presque une raison suffisante pour tenter de continuer à survivre jusqu'à ces éclats de vie éparses qui parsèment la Croix Latée
J'apprécie nettement moins...
Beaucoup trop de choses qui émanent de moi, m'enfin, c'est un coup classique par ici, non?
La souffrance quasi constante, mais surtout latente, qui t'y coll'à la pow
Les obligations quelles qu'elles soient (DAARRH! Vade retro satanas)
Ne plus pouvoir me délecter de cette divine boisson, que dis-je, de ce nectar qu'est le café sans me retrouver de la sorte à déblatérer de drôles de trucs sur le net parce que me retrouvant en incapacité de me livrer à Morphée de manière décente
L'impossibilité de mettre l'esprit en mode pause (même pas pour aller au pipi-room, ça craint du boudin...)
Over kill? Gloire aux êtres laconiques.
Pourquoi?
Si vous êtes arrivés au bout... Ben, juste merci d'avoir consacré quelques secondes à ces inepties, certains diraient que Dieu vous le rendra, j'espère quant à moi ne pas vous avoir fait fuir, voire pire, ennuyés.
Force et robustesse mes braves.
(pense/crois/espère être...? A tort ou à raison?)
Une papuche (à rayures? pois? motifs? Mmh... Nope, à pédales, ouaip, sûrement ça, une bourrique à pédales)
Une banane transgénique
Une méduse échevelée
Une tartine de chèvre chaud nappée de miel de châtaignier
Une feuille de brick
Un peu insane sur les bords (d'une piscine?) mais pas que, et pas qu'un peu
Une énigme? Et pourtant il serait easy poney de lire en ma personne comme en un livre ouvert. Sauf que, pas de miroir à portée. Imaginez-vous tenter de regarder sous votre menton sans cet objet (Oui nan mais c'est pour le principe, l'objectivité, tout ça toussa). On a l'air idiot avec ce goitre, non? Bref, tout ce tissu d'absurdité dans l'unique et dérisoire désir de justifier cette incompréhension du moi-même zarduby que je me coltine chaque jour passant
J'aime...
Les jeux de mots (surtout les pourris qui ne font rire que moi, ou presque, puis les blagues du même acabit)
La zik parce que comme diraient les affreux "la Muse'Ikh, c'est la vie"
Le nawack ou ces trucs bizarres qui me donnent l'illusoire sensation de ne pas l'être tant que cela.
Le grabouillage, oui enfin pas dans le cadre des études, hélas ce serait beaucoup trop simple...
Les longues et réconfortantes discussions avec des personnes de confiance, ces instants où il est possible de réduire quasiment à néant le filtre omniprésent qui censure les pensées pour les rendre compréhensibles pour autrui, pouah, la libertation! Ce serait presque une raison suffisante pour tenter de continuer à survivre jusqu'à ces éclats de vie éparses qui parsèment la Croix Latée
J'apprécie nettement moins...
Beaucoup trop de choses qui émanent de moi, m'enfin, c'est un coup classique par ici, non?
La souffrance quasi constante, mais surtout latente, qui t'y coll'à la pow
Les obligations quelles qu'elles soient (DAARRH! Vade retro satanas)
Ne plus pouvoir me délecter de cette divine boisson, que dis-je, de ce nectar qu'est le café sans me retrouver de la sorte à déblatérer de drôles de trucs sur le net parce que me retrouvant en incapacité de me livrer à Morphée de manière décente
L'impossibilité de mettre l'esprit en mode pause (même pas pour aller au pipi-room, ça craint du boudin...)
Over kill? Gloire aux êtres laconiques.
Pourquoi?
Si vous êtes arrivés au bout... Ben, juste merci d'avoir consacré quelques secondes à ces inepties, certains diraient que Dieu vous le rendra, j'espère quant à moi ne pas vous avoir fait fuir, voire pire, ennuyés.
Force et robustesse mes braves.
Dernière édition par Shlorkhan le Ven 27 Jan 2017 - 9:55, édité 1 fois
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
En fait, m'inscrire ici, c'est comme me créer un personnage, en renforcer un; c'est comme développer cette part étrange en moi que j'ai trop longtemps inhibée par peur du rejet. Je cherche, outre des réponses, de nouvelles pistes de réflexion, de nouvelles questions (autres que celles qui me turlupinent habituellement, quoi). Bref, laissons la magie opérer.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Je n'ai pas l'habitude de voir ce genre de texte - (c'est un compliment) - Un pas vide.
Invité- Invité
Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Merci pour cette bienveillance Greysome, je l'aurais sûrement pris en tant que tel
Shlorkhan- Messages : 171
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Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Scribiture totaumatique ou l'art du nawak.
Brouillons les pistes - de ski -, pas de psychanalyse pour ce soir; pas de pleine lune non plus, rien qu'une petite grimace. Plantureuse vitalité que celle d'un petit camé d'Léon, méninges en vrille, pensées tronquées, erronées, cramées, un peu de curry bien corsé par-ci par-là. Quoi de plus délectable qu'un peu d'outre-tombe en nos cieux dégringolants?
Sourcilleuse goutte d'eau amère qui perle par delà d'inutiles maux scintillants. Mot à maux, mis bout à bout de ficelle, celle que l'on aime à dénouer au fil de vaines paroles expressément tues pour le bien commun. N'allez surtout pas faire de vagues, gardez-vous de toute démonstration d'une quelconque sensibilité, dentaire assurément; les pubs, frivolités peu condescendantes n'en feraient qu'une bouchée. D'une foulée terrassée telle de petites figues évanescentes. Eve, ânesse, en te morfondant au chocolat, qu'espères-tu obtenir outre de trépidantes mansardes auréolées d'opprobres? Folie que cette lubie souterraine, sostra-pas-mienne.
Comme un Tostaky l'on a pris les délicats œufs de lampe; d'une fadence dénaturée, d'un amer ténébreux, il devient un peu trop facile de se laisser attirer par un grille-pain, démoniaque instrument dissonant, violente mise à nu qu'entrer en pareil burn-mind. Démence aux mensurations gargantuesques, qu'est-ce donc que toute cette mascarade? Marmelade de quartiers d'introspection, chair pulpeuse et pourtant pourrissante dont l'aspect semble apporter une appétance cordiale à qui souhaiterait d'aventure s'en délecter. Poison. Poisson, petite sole aux innombrables arêtes. Charpie, il faut tout broyer, tout noyer sous un épais nappage de bonne conduite, tout dissimuler sous d'hermétiques masques. Mascarade. Mascara de vélin, charbon pétrifiant, cachons cette misère aux yeux du monde, dissimulons ce que nul ne devrait avoir à supplanter de crocs écarlates.
Combat déserté, terres arides délaissées pour de plus somptueuses parures aux mille broderies de dorure. Songeries absurdement impures qu'il faut bannir de ces lourdes armures, derniers remparts envers les furieux murmures d'une corneille veillant au grain. De sel, de sable, de folie. Grinçants préambules que ceux d'une existence à demi-mots tue par les fredonnements opaques de quelques chacals d'acier qui de leur fastueuse et brûlante morsure mènent un instant à l'oubli du spectre. Spectaculaire vésicule binaire, choix fastidieux, fatidique, relégué à cette double effigie à la logique implacable. Pas de détour possible, une issue parmi deux, composer avec, s'adapter, s'y conformer, s'aliéner.
Il faudrait ne compter que sur soi pour ne pas avoir à lire en autrui.
Brouillons les pistes - de ski -, pas de psychanalyse pour ce soir; pas de pleine lune non plus, rien qu'une petite grimace. Plantureuse vitalité que celle d'un petit camé d'Léon, méninges en vrille, pensées tronquées, erronées, cramées, un peu de curry bien corsé par-ci par-là. Quoi de plus délectable qu'un peu d'outre-tombe en nos cieux dégringolants?
Sourcilleuse goutte d'eau amère qui perle par delà d'inutiles maux scintillants. Mot à maux, mis bout à bout de ficelle, celle que l'on aime à dénouer au fil de vaines paroles expressément tues pour le bien commun. N'allez surtout pas faire de vagues, gardez-vous de toute démonstration d'une quelconque sensibilité, dentaire assurément; les pubs, frivolités peu condescendantes n'en feraient qu'une bouchée. D'une foulée terrassée telle de petites figues évanescentes. Eve, ânesse, en te morfondant au chocolat, qu'espères-tu obtenir outre de trépidantes mansardes auréolées d'opprobres? Folie que cette lubie souterraine, sostra-pas-mienne.
Comme un Tostaky l'on a pris les délicats œufs de lampe; d'une fadence dénaturée, d'un amer ténébreux, il devient un peu trop facile de se laisser attirer par un grille-pain, démoniaque instrument dissonant, violente mise à nu qu'entrer en pareil burn-mind. Démence aux mensurations gargantuesques, qu'est-ce donc que toute cette mascarade? Marmelade de quartiers d'introspection, chair pulpeuse et pourtant pourrissante dont l'aspect semble apporter une appétance cordiale à qui souhaiterait d'aventure s'en délecter. Poison. Poisson, petite sole aux innombrables arêtes. Charpie, il faut tout broyer, tout noyer sous un épais nappage de bonne conduite, tout dissimuler sous d'hermétiques masques. Mascarade. Mascara de vélin, charbon pétrifiant, cachons cette misère aux yeux du monde, dissimulons ce que nul ne devrait avoir à supplanter de crocs écarlates.
Combat déserté, terres arides délaissées pour de plus somptueuses parures aux mille broderies de dorure. Songeries absurdement impures qu'il faut bannir de ces lourdes armures, derniers remparts envers les furieux murmures d'une corneille veillant au grain. De sel, de sable, de folie. Grinçants préambules que ceux d'une existence à demi-mots tue par les fredonnements opaques de quelques chacals d'acier qui de leur fastueuse et brûlante morsure mènent un instant à l'oubli du spectre. Spectaculaire vésicule binaire, choix fastidieux, fatidique, relégué à cette double effigie à la logique implacable. Pas de détour possible, une issue parmi deux, composer avec, s'adapter, s'y conformer, s'aliéner.
Il faudrait ne compter que sur soi pour ne pas avoir à lire en autrui.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Rendez-vous le 12 Février 2092 à 5:50
- Spoiler:
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Je cherche...
Un je ne sais quoi qui me tenterai de vivre un peu plus, plutôt que cette exaspérante manie de survivre envers et contre moi
Un sens à ce chaos, ou comprendre et intégrer le non sens sans vertige
A suivre cette petite voix ténue des tréfonds d'une âme en peine, d'un esprit qui peine à se sortir de lui-même
L'ataraxie. Le bonheur comme absence de malheur? L'arrêt de ces passions, de ces pulsions déstructurantes, destructrices, de ces déboires d'infortuné sadique
La petite lueur vacillante cachée en chacun, voire peut-être (si non plus) celle censée résider en moi
Une raison de ne pas tout foutre en l'air, de ne pas envoyer valser mémé par-delà les ronciers épineux qui semblent la clouer au sol
Comment assumer ce que je crois être, arrêter d'inhiber the dark side of the moon, après tout, ce c'est qu'une question de relativité des points de vue...? Le zarduby comme éclairante pensée, le différent (-férent-) comme pas si opposable que cela, le paradoxal comme genèse d'une nouvelle compréhension
Des mots, des signifiants, de quoi exprimer tout et rien, mais le faire bien, de manière à en tirer... du soulagement? des réponses? de l'espoir? de la foi? Bref
A arrêter ce leitmotive de l'à quoi bon? Rien ne mène plus nulle part
Un je ne sais quoi qui me tenterai de vivre un peu plus, plutôt que cette exaspérante manie de survivre envers et contre moi
Un sens à ce chaos, ou comprendre et intégrer le non sens sans vertige
A suivre cette petite voix ténue des tréfonds d'une âme en peine, d'un esprit qui peine à se sortir de lui-même
L'ataraxie. Le bonheur comme absence de malheur? L'arrêt de ces passions, de ces pulsions déstructurantes, destructrices, de ces déboires d'infortuné sadique
La petite lueur vacillante cachée en chacun, voire peut-être (si non plus) celle censée résider en moi
Une raison de ne pas tout foutre en l'air, de ne pas envoyer valser mémé par-delà les ronciers épineux qui semblent la clouer au sol
Comment assumer ce que je crois être, arrêter d'inhiber the dark side of the moon, après tout, ce c'est qu'une question de relativité des points de vue...? Le zarduby comme éclairante pensée, le différent (-férent-) comme pas si opposable que cela, le paradoxal comme genèse d'une nouvelle compréhension
Des mots, des signifiants, de quoi exprimer tout et rien, mais le faire bien, de manière à en tirer... du soulagement? des réponses? de l'espoir? de la foi? Bref
A arrêter ce leitmotive de l'à quoi bon? Rien ne mène plus nulle part
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Ouh le désespoir
Ch'ais pu bien (pubien?) ce que je fais. Pas de substances illicites au sens matériel, peut-être un peu trop de laisser aller. Pas de lâcher prise, hélas. Oulà, cerveau qui part en vrille, alerte névrose?
Zèbre ou pas zèbre? Enfin, non. Ce n'est pas la question qui me brûle là tout de suite. Zinzin ou pas zinzin? Nan m'enfin du genre vraiment insane, j'veux dire. S'faire interner? Pourquoi, d'ailleurs? Pis ça changerait quoi, au fond (ou en surface)?
Se noyer dans l'incompréhension, heurter de plein fouet ses limites sans pour autant prendre réellement conscience de leur existence
Faut composer avec
J'me sens comme un poulpe piégé par ses propres tentacules, ch'ais pas bien m'en servir, si bien que l'entrave en devient pesante
Pis ce mal de crâne nul, là. Bien fait pour toi, tu n'avais qu'à pas passer autant de temps devant l'écran, tu cherches aussi
Ouaip, j'cherchais kek'chose, mais ch'ais pas bien quoi (purée mais je ne sais vraiment rien ce soir!). Passer le temps? Oublier qu'il file entre mes pattes (que dis-je, mes ventouses) sans que je n'y puisse rien faire?
Ouille, sorry pour ce tissu d'absurdités... Je n'ose demander de l'aide, et pourtant, plus je croise mon reflet plus je ne peux que constater les ravages qui s'opèrent dans ma tête de nœuds. Moi qui croyais en avoir fini avec cette phase d'autodestruction, il semblerait qu'il faille conclure à un nouveau déplorable fourvoiement de ma part
Faudrait sûrement que j'arrête de m'exprimer par ce genres d'écrits semi-énigmatiques; même s'ils ont un certain sens pour moi, je ne sais pas ce qu'il en est pour vous. Vous avez sûrement fui. Vous avez d'ailleurs sûrement grandement raison. Sage décision.
Assurément, sûrement, certainement... des mots que j'emploie à outrance, à tort et travers; et pourtant, je n'ai qu'une seule certitude. Celle de n'en avoir aucune autre.
Toujours des pavés. Lassant, non? Que de vulgaires ramassis de mots juxtaposés. Des trucs laconiques. Du nawak. De la connerie à l'état pur. Pis une bonne grosse dose d'auto-lacération mentale... Finalement ça me représente plutôt bien. Moi ou mon personnage? Qu'importe, je ne parviens plus à distinguer l'un et l'autre; le masque est prépondérant.
J'en reviens donc au point de départ; Qui suis-je? QUE SUIS-JE?
Je suis...
[Suite au prochain opus, ou quand j'aurais trouvé d'autres inepties à déblatérer sur la toile].
Force et robustesse mes braves.
Ch'ais pu bien (pubien?) ce que je fais. Pas de substances illicites au sens matériel, peut-être un peu trop de laisser aller. Pas de lâcher prise, hélas. Oulà, cerveau qui part en vrille, alerte névrose?
Zèbre ou pas zèbre? Enfin, non. Ce n'est pas la question qui me brûle là tout de suite. Zinzin ou pas zinzin? Nan m'enfin du genre vraiment insane, j'veux dire. S'faire interner? Pourquoi, d'ailleurs? Pis ça changerait quoi, au fond (ou en surface)?
Se noyer dans l'incompréhension, heurter de plein fouet ses limites sans pour autant prendre réellement conscience de leur existence
Faut composer avec
J'me sens comme un poulpe piégé par ses propres tentacules, ch'ais pas bien m'en servir, si bien que l'entrave en devient pesante
Pis ce mal de crâne nul, là. Bien fait pour toi, tu n'avais qu'à pas passer autant de temps devant l'écran, tu cherches aussi
Ouaip, j'cherchais kek'chose, mais ch'ais pas bien quoi (purée mais je ne sais vraiment rien ce soir!). Passer le temps? Oublier qu'il file entre mes pattes (que dis-je, mes ventouses) sans que je n'y puisse rien faire?
Ouille, sorry pour ce tissu d'absurdités... Je n'ose demander de l'aide, et pourtant, plus je croise mon reflet plus je ne peux que constater les ravages qui s'opèrent dans ma tête de nœuds. Moi qui croyais en avoir fini avec cette phase d'autodestruction, il semblerait qu'il faille conclure à un nouveau déplorable fourvoiement de ma part
Faudrait sûrement que j'arrête de m'exprimer par ce genres d'écrits semi-énigmatiques; même s'ils ont un certain sens pour moi, je ne sais pas ce qu'il en est pour vous. Vous avez sûrement fui. Vous avez d'ailleurs sûrement grandement raison. Sage décision.
Assurément, sûrement, certainement... des mots que j'emploie à outrance, à tort et travers; et pourtant, je n'ai qu'une seule certitude. Celle de n'en avoir aucune autre.
Toujours des pavés. Lassant, non? Que de vulgaires ramassis de mots juxtaposés. Des trucs laconiques. Du nawak. De la connerie à l'état pur. Pis une bonne grosse dose d'auto-lacération mentale... Finalement ça me représente plutôt bien. Moi ou mon personnage? Qu'importe, je ne parviens plus à distinguer l'un et l'autre; le masque est prépondérant.
J'en reviens donc au point de départ; Qui suis-je? QUE SUIS-JE?
Je suis...
[Suite au prochain opus, ou quand j'aurais trouvé d'autres inepties à déblatérer sur la toile].
Force et robustesse mes braves.
Shlorkhan- Messages : 171
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 27
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Je suis...
Un caribou perché dans d'étranges airs de casseroles dissonantes
Un p'tit Beurre à demi-recraché par d'odieuses tourterelles funambules
Une pomme de terre - oh purée - au combien hachée menu
Un nain perfide en quête de richesse d'âme
Une sauterelle quasi sans tête, dont les méninges décapées, décapitées, sillonnent lentement de bien âpres tourments
Un cake sans olive, sans farine, sans œufs, gluten free, puis sans cake aussi
Un enfant apeuré qui se cachalot tandis que Salam Androgyne
Sous la tutelle d'une folie certaine, et pourtant salvatrice, libératrice, aliénante, outrepassant ses devoirs scolaires? INSANE
Un arrosoir flétri, pétri de déraison, d'ecchymoses sanguinolentes
Un ani-pas-malin vautré dans la glaise dont on ne pourrait plus qu'observer l'impotence fatidique
Une poignée de phalanges dans la trogne d'un abysse démesuré aux senteurs d'hérésie commune
Un calamar régi par l'encre d'une vie bien peu trépidante
J'étais...
Nobody, ou bien tout comme, quelque chose dont il n'est pas nécessaire de tergiverser
Un bout d'tissu perdu aux confins d'un monde fait de plumes et de coton, un doudou égaré entre sommier et matelas, un vilain petit canard, une paire de fesses coincées entre deux chaises
Navrante cacophonie désarticulée
Un caribou perché dans d'étranges airs de casseroles dissonantes
Un p'tit Beurre à demi-recraché par d'odieuses tourterelles funambules
Une pomme de terre - oh purée - au combien hachée menu
Un nain perfide en quête de richesse d'âme
Une sauterelle quasi sans tête, dont les méninges décapées, décapitées, sillonnent lentement de bien âpres tourments
Un cake sans olive, sans farine, sans œufs, gluten free, puis sans cake aussi
Un enfant apeuré qui se cachalot tandis que Salam Androgyne
Sous la tutelle d'une folie certaine, et pourtant salvatrice, libératrice, aliénante, outrepassant ses devoirs scolaires? INSANE
Un arrosoir flétri, pétri de déraison, d'ecchymoses sanguinolentes
Un ani-pas-malin vautré dans la glaise dont on ne pourrait plus qu'observer l'impotence fatidique
Une poignée de phalanges dans la trogne d'un abysse démesuré aux senteurs d'hérésie commune
Un calamar régi par l'encre d'une vie bien peu trépidante
J'étais...
Nobody, ou bien tout comme, quelque chose dont il n'est pas nécessaire de tergiverser
Un bout d'tissu perdu aux confins d'un monde fait de plumes et de coton, un doudou égaré entre sommier et matelas, un vilain petit canard, une paire de fesses coincées entre deux chaises
- Histoire de nains:
- " Retour à la ligne, pas d'alinéa parce que la flemme, et pis c'la n'sert à rien, du moins pas grand chose alors bon, à quoi bon se décarcasser; après tout, nous ne sommes pas Ducros. Et puis cela ne change strictement rien, finalement.
Blahblahblah j'écris nawack, NAWACK, comme d'habitudeuh... Leuleuleu. Bon alors euh là je mets un pouce bleu parce que la machine à écrire m'enjaille encore plus que de regarder des vidéos sur me Nain-Ternette (euh nan: Terre-Nette. Un peu comme la Raie-Nette, enfin non, pas vraiment en fin de compte... Sorry pour ce tissu d'absurdités).
Il faudrait peut-être que nous songeâtionnions à nous faire soigner un jour, cela semblerait constituer une option, mmh, salutaire.
Je pars trop loin? Ouaip, si tu l'dis. Hum, certes oui, mais il faudrait, mon cher, développer davantage votre point de vue, somme toutes intéressant, et l'étayer d'arguments appropriés.
Donc, revenons à nos moutons, ou plutôt à nos amis les nains, devrais-je préciser (non pas qu'un nain ne puisse avoir de lisses frivolités capillaires assurément). Nous avons donc le Nain Terre-Nette, mais aussi tout un tas de frères à lui: le Nain Porte-Nawack, oui parce qu'il adore en porter par dessus sa tête - de pioche -; le Nain Djardin, pas tout à fait Djiatruc mais presque (notamment, est ici mis en cause sont aberrante démystification de la religion, par conséquent son rapport à celle-ci); le Nain Perméable, parce que ces bottes ont une fâcheuse tendance à prendre la flotte (d'où son surnom Floutch), ce qui était, est et demeure assez peu commode pour lui qui aimerait (et souhaiterait même de tout son petit cœur) garder au sec ses petits petons calleux, et ce en toutes circonstances (qu'elles se présentent comme aggravantes ou non)... Très embêtant, donc. Bref, il existe une foulitude d'ordre multiplionnaire de ces êtres.
Mais, il sont, à leur plus grand regret, méconnus des Petites Gens, et par conséquent lâchement méprisés par ces dernières qui usent de tous les pires quolibets pour les qualifier; et pourtant, ce phénomène de méconnaissance résulterait en majeure partie d'une absence de relations commerciales entre ces deux peuples. Il va de soi que si tous deux échangeaient leurs denrée respectives, leur entente ne pourrait qu'être plus aimablement cordiale. En effet, tous deux partagent une même passion pour les richesses. Loin de vouloir se les approprier, ils n'aspirent l'un comme l'autre qu'à pouvoir les échanger de manière synergique contre des richesses nouvelles afin de s'enrichir, non pas en quantité d'objets possédés à un instant T, mais plutôt en quantités de sortes de ces objets découverts et appréciés via ce moyen culturel que pourrait être le commerce. Economie de la connaissance? Vaste question. Ou pas, d'ailleurs."
Navrante cacophonie désarticulée
Dernière édition par Shlorkhan le Lun 24 Juil 2017 - 20:47, édité 1 fois
Shlorkhan- Messages : 171
Date d'inscription : 16/11/2016
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
FUCK YOU
AND FUCK ME
GOD FUCKING DAMMIT
AND FUCK ME
GOD FUCKING DAMMIT
Invité- Invité
Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
En dehors de ça ton fil est sympa + ton pseudo est sympa + essaie de lire Maximilien Heller dont voici un extrait
Tolcantor a écrit:Ne croyez pas, cependant, que j'aie de la haine pour l'humanité... Mon Dieu, non ! Mais je trouve les hommes inutiles.
https://i.servimg.com/u/f37/19/58/91/73/20170210.jpg
Invité- Invité
Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Tolcantor a écrit:FUCK YOU
AND FUCK ME
GOD FUCKING DAMMIT
Douce violence
Pile poil à l'image de ce fil
Thanks for all, pour l'idée de lecture notamment
Shlorkhan- Messages : 171
Date d'inscription : 16/11/2016
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Qu'est-ce qu'un chapeau de paille?
Un quasi sourire, comme deux faces d'une même pièce qui cohabiteraient à grand renfort de chaos sur une seule.
- Z'allez voir c'est nul mais j'trouve qu'ça vaut un quasi sourire:
- Un casse-croûte pour cheval
Ou zèbre, en l'occurrence.
Un quasi sourire, comme deux faces d'une même pièce qui cohabiteraient à grand renfort de chaos sur une seule.
Shlorkhan- Messages : 171
Date d'inscription : 16/11/2016
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Clepsydre évidée d'un cervidé aux yeux bridés.
Comme...
Un blob-fish misanthrope qui aurait avalé son whiskey de traviole
Un bachibouzouk trop cuit dont les viscères répandues au sol n'attireraient pas même un charognard
Un poulpe qui aurait le QI d'une huître dégénérescente, récemment interné pour cause de dérangement des bonnes consciences de la poiscaille alentours
Une panthère flamande lessivée.
Le linge qui, parce qu'il accompagnait cette chère collègue rose pas tellement équilibrée là-haut, se retrouve métamorphosé en torchon à jambon, délaissé de ceux qui se disent normaux par racisme colorimétrique
Une boussole qui aurait perdu le Nord, qui ne ferait pas assez de sudokus, qui serait trop à l'Ouest. Jamais où il faut quand il le faut. Inutile, donc. Utile par son inutilité?
Une craspouille des familles qu'aurait foutu ses doigts dans la prise du salon. Putain, fait chié, y'a pu la télé quoi
Un nain facteur, toujours à la Poste à l'heure. Du moins suffisamment peu en retard sur l'heure pour être en avance sur le retard
Un nain facteur, postier, posteur, composteur de billets, poinçonneur aux Lilas jusqu'au dernier p'tit trou - ma foi pas des moindre -
Une pucelle prostituée qui se croirait supérieure à ces putes de vierges du bas d'la rue
Un rail de coke tel l'exutoire exaltant d'un instant de répit encéphallique, bitume monocorde d'un promontoire factice aux allures de Punk insoumis
Deux pantoufles de vair condamnées à ne jamais faire que se croiser, s'effleurer au rythme d'une course effrénée, réfrénée par le temps. "Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues/ Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or!"
Un pruneau ramolli du bulbe sans arachide
Un blédard arachibutyrophobe accro aux cacahuètes
Comme...
Un blob-fish misanthrope qui aurait avalé son whiskey de traviole
Un bachibouzouk trop cuit dont les viscères répandues au sol n'attireraient pas même un charognard
Un poulpe qui aurait le QI d'une huître dégénérescente, récemment interné pour cause de dérangement des bonnes consciences de la poiscaille alentours
Une panthère flamande lessivée.
Le linge qui, parce qu'il accompagnait cette chère collègue rose pas tellement équilibrée là-haut, se retrouve métamorphosé en torchon à jambon, délaissé de ceux qui se disent normaux par racisme colorimétrique
Une boussole qui aurait perdu le Nord, qui ne ferait pas assez de sudokus, qui serait trop à l'Ouest. Jamais où il faut quand il le faut. Inutile, donc. Utile par son inutilité?
Une craspouille des familles qu'aurait foutu ses doigts dans la prise du salon. Putain, fait chié, y'a pu la télé quoi
Un nain facteur, toujours à la Poste à l'heure. Du moins suffisamment peu en retard sur l'heure pour être en avance sur le retard
Un nain facteur, postier, posteur, composteur de billets, poinçonneur aux Lilas jusqu'au dernier p'tit trou - ma foi pas des moindre -
Une pucelle prostituée qui se croirait supérieure à ces putes de vierges du bas d'la rue
Un rail de coke tel l'exutoire exaltant d'un instant de répit encéphallique, bitume monocorde d'un promontoire factice aux allures de Punk insoumis
Deux pantoufles de vair condamnées à ne jamais faire que se croiser, s'effleurer au rythme d'une course effrénée, réfrénée par le temps. "Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues/ Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or!"
Un pruneau ramolli du bulbe sans arachide
Un blédard arachibutyrophobe accro aux cacahuètes
- Spoiler: Attention ithyphallophobes s'abstenir:
- Comme...
Ma bite
La chatte à Doudou
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
plusquellecjc a écrit:bienvenue
Merci ^^
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Cucurbitàchier
Las. Las de lui-même, Alain se sent perdu. Il n'a plus envie de rien, semble s'affaisser sous le poids de ses propres écueils. Ne se supportant plus, il se casserait bien la tronche; son ultime désir semble être de se fracasser la tête contre le premier mur venu (pas top pour ce pauvre mur qu'à rien d'mandé à personne). Quel enfoiré c't'Alain. A défaut, l'emmerde l'acier 'vec son adiposité déraisonnée.
Et pis l'a mauvaise haleine
Et pis l'a la haine
Et pis l'a la poisse
Et pis c't'un gros con, un abruti fini
Et pis c't'un putain d'branleur, un branquignole de mes deux qui sait rien foutre de ses dix doigts. Deux mains gauche et droitier, ça aide pas. Mais purée arrêtez de lui trouver des excuses, quoi!
Et pis c't'un menteur
Et pis c't'une feignasse de premier ordre
Et pis sait pas lire, ni écrire, c't'un anal-pha-bête
Et pis d'maïs - nan ta gueule --'
CRASPOUILLE de ta race
Alain Posteur. Bien tranquille dans son auto. Biographiquement, il ne saurait quoi dire de quiconque, sale EGOISTE qu'il est, y'en a qu'pour sa pomme.
You will die, burnt at the stake.
Las. Las de lui-même, Alain se sent perdu. Il n'a plus envie de rien, semble s'affaisser sous le poids de ses propres écueils. Ne se supportant plus, il se casserait bien la tronche; son ultime désir semble être de se fracasser la tête contre le premier mur venu (pas top pour ce pauvre mur qu'à rien d'mandé à personne). Quel enfoiré c't'Alain. A défaut, l'emmerde l'acier 'vec son adiposité déraisonnée.
Et pis l'a mauvaise haleine
Et pis l'a la haine
Et pis l'a la poisse
Et pis c't'un gros con, un abruti fini
Et pis c't'un putain d'branleur, un branquignole de mes deux qui sait rien foutre de ses dix doigts. Deux mains gauche et droitier, ça aide pas. Mais purée arrêtez de lui trouver des excuses, quoi!
Et pis c't'un menteur
Et pis c't'une feignasse de premier ordre
Et pis sait pas lire, ni écrire, c't'un anal-pha-bête
Et pis d'maïs - nan ta gueule --'
CRASPOUILLE de ta race
Alain Posteur. Bien tranquille dans son auto. Biographiquement, il ne saurait quoi dire de quiconque, sale EGOISTE qu'il est, y'en a qu'pour sa pomme.
- Spoiler:
- L'a pu qu'à s'pendre. L'emmerd'ra pu personne. Bon débarras. Ah non hé ho! T'as cru qu'tu pouvais t'ouvrir les veines comme ça là, foutre ton sang partout, nan mais ça va pas? Et pis c'est qui qui - sûrement pas gif, NAN TA GUEULE! - va encore nettoyer derrière toi gros Degolas? Screw you.
You will die, burnt at the stake.
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Lasse ombre ose y thé
Mmff, tiens tiens, on s'auto-réduirait bien à l'état de légume... non?
As...
Dark Link
Victor Zsasz
The Lich King
Blob Fish Mooney la borgne
La vie squeuse qui t'y coule entre les doigts, ta pov conscience éprise de ton côté sombre qui déchante, le cancer qui t'y laboure l'esprit à mesure que tu tentes de l'cerner pour l'éradiquer.
On fait comme on peut, 'vec les moyens du bord. Quel bord, d'abord?
Mmff, tiens tiens, on s'auto-réduirait bien à l'état de légume... non?
- Hou les vilains maux:
- Damn it.
Fuck this SSSSSHHHHIIIIIIII blablablah.
Asshole
Hyperbole d'un queutard à longues dents.
Want to SCCCREAM
I SCREAM not ice cream. Yerk, c'est dégueu, archi sucré sa race. Du sorbet, et encore, c'est limite si le brocoli ne serait pas infesté d'ananas.
Lost in your own fucked head. It sucks.
Zèbre, non. Des rayures? Ouaip. Un nombre certain. Un certain nombre. D'aucuns certifieraient qu'une femme possédant des vergeture serait comme une tigresse affublée de rayure. Bullshit.
Rayures plus ou moins à demi issues d'une volonté certaine, quoique pas toujours. Faut croire qu'la brûlure de l'acier est plus supportable que la morsure d'une vie qui fuit. Le zèbre est taillé pour la course. Pas capable de rattraper la vie, à quoi bon?
Ingnoration la plus totale. Ouai m'enfin c'tait fatal. Qu'est-ce t'as cru morue? L'eusses-tu cru, poil au cul. Turlu'tutu de princesse de mes c. RAAHHH putain!
As...
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La vie squeuse qui t'y coule entre les doigts, ta pov conscience éprise de ton côté sombre qui déchante, le cancer qui t'y laboure l'esprit à mesure que tu tentes de l'cerner pour l'éradiquer.
On fait comme on peut, 'vec les moyens du bord. Quel bord, d'abord?
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
La part aux dieux
La parodie de l'odieux parti, le départ des yeux dans les non-yeux et la fuite du regard toujours en retard
Mentir, tromper, trahir, démentir, détromper, toujours trahir
Et encore des mots pour faire comprendre mais personne ne pourra comprendre n'est-ce pas, ce que tout lecteur doté d'une intelligence non nulle aura compris, la nullité c'est ce que j'écris, du rien à l'échelle cosmique n'est-ce pas, du rien sans conséquence n'est-ce pas, de l'entropie en trop pis tant pis n'est-ce pas.
C'est faux. Les mots ont un sens, la vie a un sens, les actes ont un sens, blesser c'est blesser et ses blés sont si blonds... La nausée me dégoûte, c'est de la masturbation intellectuelle éjaculée par les narines. Ne croire en rien c'est encore croire. Ne donner de l'importance à rien c'est en donner à l'importance. Refuser la réalité c'est lui en reconnaître une.
La terre est fâchée, le feu est volé, et dit à l'eau "maintenant bon courage pour m'attraper", mais Prométhée bientôt pleure et les flammes sacrées ploient sous le poids de sa douleur ; son doux leurre, la connaissance, se déploit sur l'humanité, et l'âge du coeur de pierre commence.
L'âpre lépreux dit "oh mon vieux, je ne ferai pas de jeunes os" en jaillassant des eaux femelles d'une descendante de Moïse, conscient qu'il est déjà dans la mouise. Naître c'est traître.
J'me tire.
La parodie de l'odieux parti, le départ des yeux dans les non-yeux et la fuite du regard toujours en retard
Mentir, tromper, trahir, démentir, détromper, toujours trahir
Et encore des mots pour faire comprendre mais personne ne pourra comprendre n'est-ce pas, ce que tout lecteur doté d'une intelligence non nulle aura compris, la nullité c'est ce que j'écris, du rien à l'échelle cosmique n'est-ce pas, du rien sans conséquence n'est-ce pas, de l'entropie en trop pis tant pis n'est-ce pas.
C'est faux. Les mots ont un sens, la vie a un sens, les actes ont un sens, blesser c'est blesser et ses blés sont si blonds... La nausée me dégoûte, c'est de la masturbation intellectuelle éjaculée par les narines. Ne croire en rien c'est encore croire. Ne donner de l'importance à rien c'est en donner à l'importance. Refuser la réalité c'est lui en reconnaître une.
La terre est fâchée, le feu est volé, et dit à l'eau "maintenant bon courage pour m'attraper", mais Prométhée bientôt pleure et les flammes sacrées ploient sous le poids de sa douleur ; son doux leurre, la connaissance, se déploit sur l'humanité, et l'âge du coeur de pierre commence.
L'âpre lépreux dit "oh mon vieux, je ne ferai pas de jeunes os" en jaillassant des eaux femelles d'une descendante de Moïse, conscient qu'il est déjà dans la mouise. Naître c'est traître.
J'me tire.
Invité- Invité
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Caribou malotru
Carnassier défoncé au pois chiche
Haricot beurre cramé au fond d'une poêle ankylosée
Myriapode illuminé vautré dans la glaise
Suricate déplumé, accroché par les cervicales au porte-manteau
Bande de fous malades
Dodelinant de la tête, du bas des reins, des fesses et du derrièreuh...
Petits deutérostomiens innocents
Mâchicoulis qui t'y mâche du coulis, mais purée c'est complètement con. Ouaip mais c'est rigolo alors ta gueule, laisse nous apprécier ce qui peut ne pas l'être.
Tel un cnidaire échoué, seul, pris dans un naufrage parce que trop près du bord, trop loin de ses congénères. Il a perdu ses ailes, celles tant idéalisées qu'il n'a jamais su posséder. Les ailes d'une liberté illusoire, d'un but futile et irréel.
Bah, tu ne sais plus ce que tu racontes, tu fais des vagues, brasses du vent devant eux pour garder un semblant de face; exprimer ce genre d'absurdités ne mène à rien d'autre que l'émancipation du chaos, il s'évade du joug de la censure de bonne conduite, quitte la tutelle de la bienséance, part ainsi se balader où bon lui semble. Mais qu'est-ce que ce chaos? Est-ce une entité profonde et réelle qui lutte pour exister? N'est-ce qu'une folle idée générée par un être perdu qui, se cherchant partout des excuses à tout, part à la dérive.
Marre, à bout, deux ficelles, une corde plutôt si vous n'y voyez pas d'objection. Quel honneur. Douce rancœur d'un kiwi qui au zéphyr s'étiole, se pelotonne et se cantonne au maigre interstice d'un climat tempéré. Cuit à point nommé, raidit comme une feuille de brick sèche, rat mollissant au bas de la chaîne télévisée à visée d'abrutissement errant.
Car, hiboux enflammés ou non, il va bien falloir prendre un peu d'élan pour suivre, poursuivre cette mascarade. Impotente carriole, statue de sucre figée dans cette fragilité soupirante, quel avenir pour ce bout d'églantier cher, chair qui ne l'est qu'à elle-même? Les maquereaux édentés n'aspirent qu'à se repaître de sardines écervelées par cette jeunesse qui leur échappe. A quoi bon se cramponner, c'est une histoire à dormir debout, à se prendre des crampes au nez à force de se manger des murs en pleine face.
Carnassier défoncé au pois chiche
Haricot beurre cramé au fond d'une poêle ankylosée
Myriapode illuminé vautré dans la glaise
Suricate déplumé, accroché par les cervicales au porte-manteau
Bande de fous malades
Dodelinant de la tête, du bas des reins, des fesses et du derrièreuh...
Petits deutérostomiens innocents
Mâchicoulis qui t'y mâche du coulis, mais purée c'est complètement con. Ouaip mais c'est rigolo alors ta gueule, laisse nous apprécier ce qui peut ne pas l'être.
- Damn':
- Ne serait-ce donc qu'une connasse d'élitiste de merde? Incapable de se mettre à niveau avec autrui, condamnée à se croire différente, enfermée à tort dans une solitude simulée. M'enfin, grognasse! T'es humaine, comme eux, ne l'oublie pas. Tu ne vaux pas mieux, pas moins; et puis qu'est-ce que cela signifierait "mieux"? Tu ne fais vraiment pas d'effort, ça craint - du boudin - si encore tu ne faisais pas tant de manières, on aurait peut-être moins de peine à te supporter.
Voilà, on y revient, c'est toi qui te crois insupportable, les autres n'en savent rien, ils ne te connaissent même pas! Tu les snobes.
Tel un cnidaire échoué, seul, pris dans un naufrage parce que trop près du bord, trop loin de ses congénères. Il a perdu ses ailes, celles tant idéalisées qu'il n'a jamais su posséder. Les ailes d'une liberté illusoire, d'un but futile et irréel.
Bah, tu ne sais plus ce que tu racontes, tu fais des vagues, brasses du vent devant eux pour garder un semblant de face; exprimer ce genre d'absurdités ne mène à rien d'autre que l'émancipation du chaos, il s'évade du joug de la censure de bonne conduite, quitte la tutelle de la bienséance, part ainsi se balader où bon lui semble. Mais qu'est-ce que ce chaos? Est-ce une entité profonde et réelle qui lutte pour exister? N'est-ce qu'une folle idée générée par un être perdu qui, se cherchant partout des excuses à tout, part à la dérive.
Marre, à bout, deux ficelles, une corde plutôt si vous n'y voyez pas d'objection. Quel honneur. Douce rancœur d'un kiwi qui au zéphyr s'étiole, se pelotonne et se cantonne au maigre interstice d'un climat tempéré. Cuit à point nommé, raidit comme une feuille de brick sèche, rat mollissant au bas de la chaîne télévisée à visée d'abrutissement errant.
Car, hiboux enflammés ou non, il va bien falloir prendre un peu d'élan pour suivre, poursuivre cette mascarade. Impotente carriole, statue de sucre figée dans cette fragilité soupirante, quel avenir pour ce bout d'églantier cher, chair qui ne l'est qu'à elle-même? Les maquereaux édentés n'aspirent qu'à se repaître de sardines écervelées par cette jeunesse qui leur échappe. A quoi bon se cramponner, c'est une histoire à dormir debout, à se prendre des crampes au nez à force de se manger des murs en pleine face.
Dernière édition par Shlorkhan le Mer 22 Fév 2017 - 15:25, édité 1 fois
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Je hais...
(enfin, je crois)
Etre en colère parce que c'est chiant à réprimer
Qu'on me prenne pour une poire, qu'on ait raison sur ce point que je dissimule - occulte - tant bien que mal
La musique qui saute parce que le Hun Terre-pas-nette est un salaud
Perdre mon sang-froid pour si peu, passer pour une craspouille de premier ordre
Ce cursus à la noix
N'avoir pas le choix, ne me le guère laisser
Penser que la vie est moche parce qu'au fond ce n'est pas censé être le cas, sans quoi, pourquoi serions-nous autant à rester plantés là?
Ne pas comprendre le pourquoi du comment des choses (fuck la psychanalyse, mieux vaut la PNL) - mais plus encore ceux qui ne daignent pas t'expliquer le pourquoi, qui l'occultent volontairement (putain de rétention obscurantiste)
Ne pas assouvir cette soif de savoir, ou ne pas en prendre le temps
La souffrance latente - on ne pourrait pas avoir mal un bon coup puis n'en plus parler? - ce truc qui sommeille à demi mais qui toujours se trouve être là
Etre de mauvaise humeur comme cela, pester contre tout et rien - plus tout que rien, d'ailleurs
Oublier
Me rappeler de ce que, paradoxalement, j'aimerais zapper
Cette personnalité caméléon. Je ne sais pas ce que je suis - mais en même temps ça m'évite d'avoir à l'assumer par rapport à moi-même - ni ce que j'ai envie de faire
N'avoir envie de rien
La susceptibilité
L'insensibilité
La méchanceté gratuite
La connerie non assumée
Me rendre compte qu'il serait plus simple de dire ce que je ne déteste pas
Me perdre dans mes pensées alors que je parle, m'arrêter, puis me perdre encore plus en recherchant désespérément le fil qui s'est barré du chas de l'aiguille dans une botte de foin. Que l'on interrompe mon discours - alors qu'enfin la décision de l'oral me vient à l'esprit - qui n'est jamais bien clair de base, puis que l'on insiste pour que je finisse ma phrase. Bordel. Monde de merde
Exprimer un quelconque ressenti, laisser transparaître des trucs qui compromettent ma couverture de poisse caille clown
Phoque.
J'm'en tamponne le coquillard / bats les boobs - la queue - les gonades / Rien à carrer / Screw that.
(enfin, je crois)
Etre en colère parce que c'est chiant à réprimer
Qu'on me prenne pour une poire, qu'on ait raison sur ce point que je dissimule - occulte - tant bien que mal
La musique qui saute parce que le Hun Terre-pas-nette est un salaud
Perdre mon sang-froid pour si peu, passer pour une craspouille de premier ordre
Ce cursus à la noix
N'avoir pas le choix, ne me le guère laisser
Penser que la vie est moche parce qu'au fond ce n'est pas censé être le cas, sans quoi, pourquoi serions-nous autant à rester plantés là?
Ne pas comprendre le pourquoi du comment des choses (fuck la psychanalyse, mieux vaut la PNL) - mais plus encore ceux qui ne daignent pas t'expliquer le pourquoi, qui l'occultent volontairement (putain de rétention obscurantiste)
Ne pas assouvir cette soif de savoir, ou ne pas en prendre le temps
La souffrance latente - on ne pourrait pas avoir mal un bon coup puis n'en plus parler? - ce truc qui sommeille à demi mais qui toujours se trouve être là
Etre de mauvaise humeur comme cela, pester contre tout et rien - plus tout que rien, d'ailleurs
Oublier
Me rappeler de ce que, paradoxalement, j'aimerais zapper
Cette personnalité caméléon. Je ne sais pas ce que je suis - mais en même temps ça m'évite d'avoir à l'assumer par rapport à moi-même - ni ce que j'ai envie de faire
N'avoir envie de rien
La susceptibilité
L'insensibilité
La méchanceté gratuite
La connerie non assumée
Me rendre compte qu'il serait plus simple de dire ce que je ne déteste pas
Me perdre dans mes pensées alors que je parle, m'arrêter, puis me perdre encore plus en recherchant désespérément le fil qui s'est barré du chas de l'aiguille dans une botte de foin. Que l'on interrompe mon discours - alors qu'enfin la décision de l'oral me vient à l'esprit - qui n'est jamais bien clair de base, puis que l'on insiste pour que je finisse ma phrase. Bordel. Monde de merde
Exprimer un quelconque ressenti, laisser transparaître des trucs qui compromettent ma couverture de poisse caille clown
Phoque.
J'm'en tamponne le coquillard / bats les boobs - la queue - les gonades / Rien à carrer / Screw that.
- Hope to leave. Won't stay here more long time.:
- En vrai, c'est nul, mais je ne m'imagine pas tellement passer 20 ans. Genre comme s'il y avait un précipice qui ne désemplit jamais de cette opaque brume. Croyance limitante. Si je passe le cap - et même là cette perspective m'emplit de perplexité - ben que faire? Aucune projection au-delà, finalement. Vide inter-sidéral. J'pourrais me contenter de survivre jusque là puis d'aviser ensuite. Ah, on me souffle dans l'oreillette que c'est déjà ce que je fais. Quand on se rend compte de ce que cela donne, effectivement on peut s'interroger sur la viabilité d'une telle démarche. Bof, ce n'est pas comme si cela faisait une miniscropique demi décennie que cela dure. Chacun son échelle de temps - de vécu.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Salut Shlorkhan,
Je vois que çà bande de la singularité ici !
Est-ce que tu connais / apprécie la poésie de Juarroz ? (il y en a un autre même page, un peu au dessus)
Je vois que çà bande de la singularité ici !
Est-ce que tu connais / apprécie la poésie de Juarroz ? (il y en a un autre même page, un peu au dessus)
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Hello soto²,
Bof quelques inepties qu'il me faut sortir de la tête
Je ne connaissais pas mais j'ai été voir, il est vrai que c'est sympathique. Merci du partage!
Bof quelques inepties qu'il me faut sortir de la tête
Je ne connaissais pas mais j'ai été voir, il est vrai que c'est sympathique. Merci du partage!
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
T'as raison, un jour un horticulteur m'a dit "c'est sur le fumier qu'on fait pousser les plus belles fleurs".
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
soto² a écrit:T'as raison, un jour un horticulteur m'a dit "c'est sur le fumier qu'on fait pousser les plus belles fleurs".
Certes, mais si ce fumier est saturé en azote, fer et autres, seules y pousseront des orties. C'est mieux que rien, mais c'est moins 'esthétique' si l'on se réfère à ce qui est communément apprécié et considéré comme beau par une majorité. Cela dit, les orties réguleraient cette surconcentration d'éléments, il y aurait donc moyen d'obtenir des fleurs avec un peu de travail et de patience.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Shlorkhan a écrit:il y aurait donc moyen d'obtenir des fleurs avec un peu de travail et de patience
Ah çà, c'est ce que me dit tout le temps ma grand-mère, qui sait préparer une soupe d'ortie à nulle autre pareille, très riche en vitamines C. Et toi, tu aimes la soupe d'ortie ?
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
soto² a écrit:
Et toi, tu aimes la soupe d'ortie ?
Je n'en ai jamais goûté, une chose à ajouter à la liste des choses à faire avant le grand saut final. Primo, se mettre en quête d'une recette sur le net, deuxio trouver des orties...
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
En tout cas, fait gaffe que tes orties soient pas trop parasités. Quoi que peut-être que çà rajoute des nutriments intéressants...?! Les gros boeufs urinent parfois dessus, alors pense à les désinfecter, par exemple en les faisant bouillir...
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Yes, après je pense savoir où en trouver d'à peu près saines
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Prends les bio si possible, après fait toi confiance, comme j'ai confiance en... moi !
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Bah, au fond rien n'est vraiment bio... enfin (pas confiance en ce que font les autres avec la terre - lessivage, dispersion par le vent...) Bref
La question est, as-tu confiance en toi? Tu as quatre heures.
La question est, as-tu confiance en toi? Tu as quatre heures.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Ma parole, mais c'est un ultime atome ! (dit-il)
Bon aller, bisous tout doux mon petit oisillon, prends soin du nid
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soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Foutu pour foutu, autant tenter autre chose...? Ou rien, tant pis
Au fond je n'ai perdu que parce que j'en ai décidé ainsi, c'est complètement idiot. Tant pis.
Bah, ça m'apprendra à vouloir compter sur d'autres truites. Pas tellement fiables ces bébêtes.
À rebrousse-poil, je me tire à tire d'aile de ce guêpier en lequel je me suis engluée. Quelle tache cette coccinelle.
J'divague - vague - complet.
Du lessivage...
// Des ions NO3-
// Du potassium, du calcium et autres Ium - Opium salvateur? Menteur
// De l'énergie, plus de tirant d'eau, pas de quoi moudre du grain
// De la moindre parcelle de courage.
Plus de rage au cœur
Même plus la foi d'écrire quoi que ce soit d'un peu construit, pas envie de réfléchir, plus envie de parler. Mais pas envie de me taire non plus, plus envie de me terrer encore sous la couette pendant des jours. Mais que ce soit ici ou ailleurs après tout...
Eloge enfumé d'une coquille d'acier; du tranchant de l'huître contre une pincée d'épi, d'air. Me lasserai donc jamais de pareilles censures, de pareilles tonsures. Epilepsie contendante, contentement d'une superficialité dépravante; détails futiles que ces formalités insensées. Pas le cœur à la cessation de ces douces morsures ardentes, ce froid qui de sa langue frivole effleure la fièvre extérieure, la happe pour l'entraîner en de sombres terres illusoires de l'oubli.
Et le myocarde s'emballe, douce adrénaline, sauve qui bat à tout rompre pour fuir un danger presque maîtrisé. La vie? La vie comme réaction à la mort, pas de l'une sans l'autre et contraposément. Réciproque d'une dualité quasi exclusive, sans compromis, sans non-dit, rien de caché, il suffit de jouer le jeu.
You loose.
La magie des langues aiguisées, des lames sucrées, des peaux fruitées.
J'f'rais mieux d'aller m'coucher au lieu d'écrire d'la merde...
- Connaissez-vous le jeu?:
- You loose.
Au fond je n'ai perdu que parce que j'en ai décidé ainsi, c'est complètement idiot. Tant pis.
Bah, ça m'apprendra à vouloir compter sur d'autres truites. Pas tellement fiables ces bébêtes.
À rebrousse-poil, je me tire à tire d'aile de ce guêpier en lequel je me suis engluée. Quelle tache cette coccinelle.
J'divague - vague - complet.
Du lessivage...
// Des ions NO3-
// Du potassium, du calcium et autres Ium - Opium salvateur? Menteur
// De l'énergie, plus de tirant d'eau, pas de quoi moudre du grain
// De la moindre parcelle de courage.
Plus de rage au cœur
Même plus la foi d'écrire quoi que ce soit d'un peu construit, pas envie de réfléchir, plus envie de parler. Mais pas envie de me taire non plus, plus envie de me terrer encore sous la couette pendant des jours. Mais que ce soit ici ou ailleurs après tout...
Eloge enfumé d'une coquille d'acier; du tranchant de l'huître contre une pincée d'épi, d'air. Me lasserai donc jamais de pareilles censures, de pareilles tonsures. Epilepsie contendante, contentement d'une superficialité dépravante; détails futiles que ces formalités insensées. Pas le cœur à la cessation de ces douces morsures ardentes, ce froid qui de sa langue frivole effleure la fièvre extérieure, la happe pour l'entraîner en de sombres terres illusoires de l'oubli.
Et le myocarde s'emballe, douce adrénaline, sauve qui bat à tout rompre pour fuir un danger presque maîtrisé. La vie? La vie comme réaction à la mort, pas de l'une sans l'autre et contraposément. Réciproque d'une dualité quasi exclusive, sans compromis, sans non-dit, rien de caché, il suffit de jouer le jeu.
You loose.
- Spoiler:
- Faudrait peut-être arrêter de broyer du noir, c'est crade et de surcroît méga raciste.
Rho mais ta gueule.
La magie des langues aiguisées, des lames sucrées, des peaux fruitées.
J'f'rais mieux d'aller m'coucher au lieu d'écrire d'la merde...
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
"La plus belle composition de mots que puisse imaginer mon cerveau" disait Stig Dagerman. Il avait pas tort, dans son testament, repris par les têtes raides. Des têtes plus raides que la sienne, lui c'était sa pente qu'était raide. Il a chu aurait dit Devos s'il avait développé sa plume noire. Bliss or Skyfall, Muse ou Morte Adèle, la chute perpétuelle du classicisme onirique. En bon requiem, pomme pomme pomme, un dessert Ludwig ? Fais vibrer ta pomme d'Adam quand tu prends un air grave, à moins que tu cherches la pomme d'happy à la Pharell Williams...
Logorrhée ou diarrhée, mêlant coliques et borborygmes, le vrai dernier soupir de l'humain, pas le fantasmé, pas le râle romantique du souffle ultime. Non non, le vrai. Le sphincter qui se relâche tandis que le sphinx se terre pour pas que la famille du mourant se retourne pour lui poser une énième fois cette question "Why the fuck ?". Douglas Adams a certainement eu un excellent insight dans son H2G2... en lettres de feu, d'une plume divine, "Veuillez nous excuser pour ce désagrément."
Une partie de mot mot motus qui se solde par le tirage de la boule noire de trop, et le jingle "oooh, oh oh oh oh !". Serais-ce un rire sarcastique ?
Et pendant qu'on s'agace chacun dans nos coins, ivres d'une solitude claustrophobique, les bourgeons se hissent sur les cimes, explosent en pétales comme au 14 juillet, libèrent en volutes un pollen thurifère au gré du vent que nous fout Dieu en réponse à nos prières. Elles se marrent, même la pensée dans le pot sur le balcon d'Huguette. Elle se marre de celle qui vit par procuration devant son poste de télévision. Le pigeon aussi se marre. "Miaou." se marre le matou, se pourléchant allègrement les babines à chaque aurore.
La pensée dans le pot. Et la mienne outside de box. Eclatée, elle est à fleur de pot, haha.
Alors on joute ! On fait danser nos doigts sur le clavier, ou valser le clavier par la fenêtre s'il le faut, on frappe sa tête quelques fois contre un mur du son qui n'a pas d'oreille, on compte les vies qui nous restent sur les doigts d'une main : une... dammit ! Jalousie envers le félin pour l'autre, ah non pour lui-même, il se pourlèche c'est vrai. Lui il a 9 vies, il s'en fout.
Un jeu sans continue, une mort subite avec pour joker la procréation, et pour temps mort la récréation. Divertissement, diversement tissé de mensonge déversés dans mes songes.
C'est comme une boîte de chocolat quand on s'appelle Forrest, forêt noire ça tombe bien j'adore. Mais quand on a une turbine dans le carafe plutôt que dans les jambes ?
Si réincarnation y'a, c'est celle d'un ongle de pied. Métatarse mes couilles.
Allez, finissons guillerets tel le badin que je suis.
Une homélie aux vibratos cristallins, quartz qui vibre du tac au tac pour la pierre, le fil et le métier à tisser, amène-moi un chas se pourléchant filandreusement.
Et la trame d'un espace-temps, sacré tesseract impalpable, ineffable, inconcevable, qui persévère dans sa révolution, ses volitions versatiles, vas-y tourne, change de bord encore, anime la matière au sang si bleu, de l'air, de l'air ! Mais que ferions-nous sans ce doux bleu, sens double...
Logorrhée ou diarrhée, mêlant coliques et borborygmes, le vrai dernier soupir de l'humain, pas le fantasmé, pas le râle romantique du souffle ultime. Non non, le vrai. Le sphincter qui se relâche tandis que le sphinx se terre pour pas que la famille du mourant se retourne pour lui poser une énième fois cette question "Why the fuck ?". Douglas Adams a certainement eu un excellent insight dans son H2G2... en lettres de feu, d'une plume divine, "Veuillez nous excuser pour ce désagrément."
Une partie de mot mot motus qui se solde par le tirage de la boule noire de trop, et le jingle "oooh, oh oh oh oh !". Serais-ce un rire sarcastique ?
Et pendant qu'on s'agace chacun dans nos coins, ivres d'une solitude claustrophobique, les bourgeons se hissent sur les cimes, explosent en pétales comme au 14 juillet, libèrent en volutes un pollen thurifère au gré du vent que nous fout Dieu en réponse à nos prières. Elles se marrent, même la pensée dans le pot sur le balcon d'Huguette. Elle se marre de celle qui vit par procuration devant son poste de télévision. Le pigeon aussi se marre. "Miaou." se marre le matou, se pourléchant allègrement les babines à chaque aurore.
La pensée dans le pot. Et la mienne outside de box. Eclatée, elle est à fleur de pot, haha.
Alors on joute ! On fait danser nos doigts sur le clavier, ou valser le clavier par la fenêtre s'il le faut, on frappe sa tête quelques fois contre un mur du son qui n'a pas d'oreille, on compte les vies qui nous restent sur les doigts d'une main : une... dammit ! Jalousie envers le félin pour l'autre, ah non pour lui-même, il se pourlèche c'est vrai. Lui il a 9 vies, il s'en fout.
Un jeu sans continue, une mort subite avec pour joker la procréation, et pour temps mort la récréation. Divertissement, diversement tissé de mensonge déversés dans mes songes.
C'est comme une boîte de chocolat quand on s'appelle Forrest, forêt noire ça tombe bien j'adore. Mais quand on a une turbine dans le carafe plutôt que dans les jambes ?
Si réincarnation y'a, c'est celle d'un ongle de pied. Métatarse mes couilles.
Allez, finissons guillerets tel le badin que je suis.
Une homélie aux vibratos cristallins, quartz qui vibre du tac au tac pour la pierre, le fil et le métier à tisser, amène-moi un chas se pourléchant filandreusement.
Et la trame d'un espace-temps, sacré tesseract impalpable, ineffable, inconcevable, qui persévère dans sa révolution, ses volitions versatiles, vas-y tourne, change de bord encore, anime la matière au sang si bleu, de l'air, de l'air ! Mais que ferions-nous sans ce doux bleu, sens double...
- Allez:
JeanMath- Messages : 661
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
fame
I'm gonna live for ever
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
High
I feel it coming together,
People will see me and cry
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Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Noires ailes, noires nouvelles.
Laissons planer le doute quant à la couleur des plumes de cet ange qui s'écroule.
L'ultime rêverie était à se dégager un peu de temps à encombrer par le vide. Un vide reposant? Douce utopie. Le comble de la crédulité, innommable. It takes the biscuit. Là voilà presque levée la pression, là voici presque ôtée l'apesanteur. Et c'est l'attirance des cieux sans fond qui y fait écho. Vide de plein, plein de vide et vice vers sa propre personne.
Mensonges protecteurs de songes. Puissent-ils apporter force et robustesse, vaillance et réconfort. Paix à ton âme douce créature.
La gratuité, oui m'enfin si tu savais ce qu'il en coûte.. Pardonnerez-vous cependant cette lâche trahison?
Et paf! Ca fait des Chocapic.
Bref-fouillages, babillages séniles d'une enfant débile.
Weird, insane, wicked. Or just weak?
Don't want you here
Don't want you near
'cause I think you're fucking weird
Des plaquettes séchées entre les cuticules, un vieux pourpre vieilli en fût de chaînes au goût amer, de cette astringence d'une ancienne folie remise à la saveur d'un jour ou l'autre il faudra bien arrêter de s'assécher ainsi cette langue si singulièrement liée. Capillotraction, ou comment s'arracher par poignée ces appendices filamenteux, lamentable friction synaptique d'outre chute. L'ange choit et l'autre tombe, mais What? Fuck it.
Get out
'cause I don't know what you're thinking about
Something says leave
Just leave
'cause I don't like you looking at me
I don't want you here
I don't want you near
'cause your face just gives me the fear
Disappear
Before your voice it brings me to tears
Frémissante trépidance, fébrile décadence. Dansons, je le veux. Allons, vous dormez, c'est idiot, debout mollasson!
Si tu veux tu peux sortir jouer, il y a du soleil, il faut en profiter!
Pourtant sitôt la cithare fredonnant après quelques verres, d'une estafilade s'étreignit bras ouverts à toute joie, farandole de motifs, signifiants gravés à même l'épi. D'airs maudits qu'il nous faille susurrer avec grandiloquence, vous n'en tiendrez aucun pour responsables de pareils outrages à l'intégrité corporelle de ces païens. Esta fila devant moi, telle l'autruche fuyant quelque reproche qu'il eût pu lui être fait.
Stop now before it's too late
Nothing lasts forever
That's the way it's gotta be
There's a great black wave in the middle of the sea
For me
Mischiefs managed.
Laissons planer le doute quant à la couleur des plumes de cet ange qui s'écroule.
L'ultime rêverie était à se dégager un peu de temps à encombrer par le vide. Un vide reposant? Douce utopie. Le comble de la crédulité, innommable. It takes the biscuit. Là voilà presque levée la pression, là voici presque ôtée l'apesanteur. Et c'est l'attirance des cieux sans fond qui y fait écho. Vide de plein, plein de vide et vice vers sa propre personne.
Mensonges protecteurs de songes. Puissent-ils apporter force et robustesse, vaillance et réconfort. Paix à ton âme douce créature.
La gratuité, oui m'enfin si tu savais ce qu'il en coûte.. Pardonnerez-vous cependant cette lâche trahison?
Et paf! Ca fait des Chocapic.
Bref-fouillages, babillages séniles d'une enfant débile.
Weird, insane, wicked. Or just weak?
Don't want you here
Don't want you near
'cause I think you're fucking weird
- Holidays?:
- J'y ai cru. C'est idiot, j'aurais dû m'en douter, quelle andouille. C'est le retour du vide. Comme une vertigineuse descente aux enfers, juste une de plus, au fond ce n'est pas grand chose. Repos nonchalant qui vire à la torture ménagère, qui se solde par l'ankylose du quotidien, petit journal du train-train d'une vie trop incommode.
Des plaquettes séchées entre les cuticules, un vieux pourpre vieilli en fût de chaînes au goût amer, de cette astringence d'une ancienne folie remise à la saveur d'un jour ou l'autre il faudra bien arrêter de s'assécher ainsi cette langue si singulièrement liée. Capillotraction, ou comment s'arracher par poignée ces appendices filamenteux, lamentable friction synaptique d'outre chute. L'ange choit et l'autre tombe, mais What? Fuck it.
Get out
'cause I don't know what you're thinking about
Something says leave
Just leave
'cause I don't like you looking at me
I don't want you here
I don't want you near
'cause your face just gives me the fear
Disappear
Before your voice it brings me to tears
Frémissante trépidance, fébrile décadence. Dansons, je le veux. Allons, vous dormez, c'est idiot, debout mollasson!
Si tu veux tu peux sortir jouer, il y a du soleil, il faut en profiter!
- Spoiler:
Pourtant sitôt la cithare fredonnant après quelques verres, d'une estafilade s'étreignit bras ouverts à toute joie, farandole de motifs, signifiants gravés à même l'épi. D'airs maudits qu'il nous faille susurrer avec grandiloquence, vous n'en tiendrez aucun pour responsables de pareils outrages à l'intégrité corporelle de ces païens. Esta fila devant moi, telle l'autruche fuyant quelque reproche qu'il eût pu lui être fait.
Stop now before it's too late
Nothing lasts forever
That's the way it's gotta be
There's a great black wave in the middle of the sea
For me
Mischiefs managed.
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Scènes de manager d'antan (la hase bine).
- inside:
- out:
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Déblablatérons quelques jobarderies insalubres. Jobardises maladroites.
La douance fantasmée plus à tort qu'à travers une quelconque réalité. Filtre de l'espoir factice, oiseau trompeur se foutant allègrement de ta tronche. Pas de verbe, jamais; pas d'action, on se repose sur d'innocents lauriers à peine tangibles, on se pose comme ça entre deux chaises. L'essai est à la prise de recul, trop de filtres, philtres d'un semblant d'aisance, une fausse prise à laquelle il serait tentant de s'accrocher. L'énergie du désespoir faiblit, mais l'espérance qui s'en dégage n'a rien de réel aux yeux des corbeaux. Quelques effluves de pestilence et on en reparle sans cesse, on remue le couteau dans la plaie; on tourne et on retourne, écorche, casse et ré-ouvre sans cesse les même croûtes..
Par pitié, pas de la franchise exacerbée d'une lame de rasoir, laissez donc à disposition quelques plus traîtres fils, l'envie est à se délecter de quelque semi-surprise, d'une innocence simulée, du fake, encore et toujours. Inexorable et pourtant aléatoire. Aller, à toi revient la responsabilité d'énièmes fourberies rhétoriques dont tu affubles à tout va la moindre suspicion de quelque trouble occulte. Protège donc l'indicible, dissimule-donc l'incompréhensible; tu ne risques pas d'être un jour entendu pour ce que tu as à partager de plus édifiant d'obscurité malsaine.
Soyons donc comme la dentelle, soyeuse, de quelque fraude-téton emmêlée avec le joyau qui surmonte ce dernier; comme la couche de gaze infiltrée au sein de la plaie à protéger initialement. Un coup sec, t'inquiète, ça passe crème. Ouais m'enfin le but était de préserver le squame, quoi. On crache sur la fin première, on se recycle dans l'impensable, on se terre dans l'insignifiance.
Mais bref, un peu de sérieux?
Futilité que le sérieux, dans tous les cas nul ne pourra se targuer d'en sortir vivant, autant s'amuser un peu. En l'occurrence, faire semblant d'écrire quelque chose de sérieux me divertit. J'en profite.
Doute, doute, doute, cher toi. Tu n'avais guère manqué.
C'est à se sentir comme une enfant, débile, ne connaissant rien à la vie. Je m'évertue à essayer d'aligner ces quelques mots pour témoigner des maux qui me tourmentent en ces instants. Il me semble que cela n'ait sur le ressenti aucun effet qui ne puisse se montrer bénéfique à cette âme en charpie. L'illusion d'avoir une place par ici s'est fait la malle, elle s'en est allée, dissipée en quelques lignes et voilà en remplacement quelques impressions d'usurpation.
Il faut se rendre à l'évidence. Quelle prétention que d'avoir pu croire un instant qu'il pu en être autrement.
Quelques jeux affables sur les mots ne révèlent en rien la qualité d'une plume, a fortiori l'agilité d'un esprit. Son avilissement sinon?
Mais je n'ai pas envie de parler de moi; je n'en ai jamais eu envie. Je n'écris que par nécessité absolue d'exprimer ce quelque chose dévorant d'une manière ou d'une autre.
À nouveau, l'envie poignante de hurler - de se jeter corps et âme à l'encontre de quelque surface solide - se présente. La voici qui, telle une fleur, se pointe et frappe à la porte de mes entrailles. C'est viscéral, il me faut expulser cet acide qui me corrode.
Un jour, - je saurai lacer mes chaussures et compter deux par deux, nan - je finirai aussi couturée de zébrures factices que Victor Zsasz...
De cette médiocrité qui est à vomir je ne veux plus. Je n'arrive à me résoudre à l'accepter, je me terre dans un songe, dans un mensonge; je rêve. Je rêve d'arriver un jour à briller à mes propres yeux, j'aimerais goûter à la plénitude, à la satisfaction d'être soi-même et de l'être bien; mais après tout, bien c'est tout et rien, ça n'a nullement de sens. Idiote. Vile crapule, craspouille d'ordre primaire. Petite chose molle et fade, tu ne possède pas même le gluant répugnant d'une huître et pourtant tu es d'un rébarbatif innommable.
Cela paraîtrait pourtant si simple, presque accessible. Mais c'est cela oui, vas-y berce-toi davantage d'illusions.. Sur quelle planète vis-tu donc?
La douance fantasmée plus à tort qu'à travers une quelconque réalité. Filtre de l'espoir factice, oiseau trompeur se foutant allègrement de ta tronche. Pas de verbe, jamais; pas d'action, on se repose sur d'innocents lauriers à peine tangibles, on se pose comme ça entre deux chaises. L'essai est à la prise de recul, trop de filtres, philtres d'un semblant d'aisance, une fausse prise à laquelle il serait tentant de s'accrocher. L'énergie du désespoir faiblit, mais l'espérance qui s'en dégage n'a rien de réel aux yeux des corbeaux. Quelques effluves de pestilence et on en reparle sans cesse, on remue le couteau dans la plaie; on tourne et on retourne, écorche, casse et ré-ouvre sans cesse les même croûtes..
Par pitié, pas de la franchise exacerbée d'une lame de rasoir, laissez donc à disposition quelques plus traîtres fils, l'envie est à se délecter de quelque semi-surprise, d'une innocence simulée, du fake, encore et toujours. Inexorable et pourtant aléatoire. Aller, à toi revient la responsabilité d'énièmes fourberies rhétoriques dont tu affubles à tout va la moindre suspicion de quelque trouble occulte. Protège donc l'indicible, dissimule-donc l'incompréhensible; tu ne risques pas d'être un jour entendu pour ce que tu as à partager de plus édifiant d'obscurité malsaine.
Soyons donc comme la dentelle, soyeuse, de quelque fraude-téton emmêlée avec le joyau qui surmonte ce dernier; comme la couche de gaze infiltrée au sein de la plaie à protéger initialement. Un coup sec, t'inquiète, ça passe crème. Ouais m'enfin le but était de préserver le squame, quoi. On crache sur la fin première, on se recycle dans l'impensable, on se terre dans l'insignifiance.
Mais bref, un peu de sérieux?
Futilité que le sérieux, dans tous les cas nul ne pourra se targuer d'en sortir vivant, autant s'amuser un peu. En l'occurrence, faire semblant d'écrire quelque chose de sérieux me divertit. J'en profite.
Doute, doute, doute, cher toi. Tu n'avais guère manqué.
C'est à se sentir comme une enfant, débile, ne connaissant rien à la vie. Je m'évertue à essayer d'aligner ces quelques mots pour témoigner des maux qui me tourmentent en ces instants. Il me semble que cela n'ait sur le ressenti aucun effet qui ne puisse se montrer bénéfique à cette âme en charpie. L'illusion d'avoir une place par ici s'est fait la malle, elle s'en est allée, dissipée en quelques lignes et voilà en remplacement quelques impressions d'usurpation.
Il faut se rendre à l'évidence. Quelle prétention que d'avoir pu croire un instant qu'il pu en être autrement.
Quelques jeux affables sur les mots ne révèlent en rien la qualité d'une plume, a fortiori l'agilité d'un esprit. Son avilissement sinon?
Mais je n'ai pas envie de parler de moi; je n'en ai jamais eu envie. Je n'écris que par nécessité absolue d'exprimer ce quelque chose dévorant d'une manière ou d'une autre.
À nouveau, l'envie poignante de hurler - de se jeter corps et âme à l'encontre de quelque surface solide - se présente. La voici qui, telle une fleur, se pointe et frappe à la porte de mes entrailles. C'est viscéral, il me faut expulser cet acide qui me corrode.
Un jour, - je saurai lacer mes chaussures et compter deux par deux, nan - je finirai aussi couturée de zébrures factices que Victor Zsasz...
De cette médiocrité qui est à vomir je ne veux plus. Je n'arrive à me résoudre à l'accepter, je me terre dans un songe, dans un mensonge; je rêve. Je rêve d'arriver un jour à briller à mes propres yeux, j'aimerais goûter à la plénitude, à la satisfaction d'être soi-même et de l'être bien; mais après tout, bien c'est tout et rien, ça n'a nullement de sens. Idiote. Vile crapule, craspouille d'ordre primaire. Petite chose molle et fade, tu ne possède pas même le gluant répugnant d'une huître et pourtant tu es d'un rébarbatif innommable.
Cela paraîtrait pourtant si simple, presque accessible. Mais c'est cela oui, vas-y berce-toi davantage d'illusions.. Sur quelle planète vis-tu donc?
Shlorkhan- Messages : 171
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Lokyloc- Messages : 136
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
@Lokyloc: Merci, j'ai écouté l'album du coup, vraiment chouette
@soto²: Ton poste a disparu, comment se fait-ce? :choquéedéçue:
@soto²: Ton poste a disparu, comment se fait-ce? :choquéedéçue:
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Contente que çà t'es plu, moi aussi je l'ai bien kiffé celui-là. Je veux pas abuser non plus, mais je t'en propose deux autres de la même période et surtout, dans la même veine :
- Spoiler:
- Spoiler:
Lokyloc- Messages : 136
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Il suffit de demander ma belle. C’était juste une coquetterie pour me faire désirer.
- Ode à une soupçonnée:
- Cristal noir de la douance tu es le fumier de ta servante. Qu'importe les maux que tu jette à la face des chiens, les nourrir n'est que ce à quoi tu parviens. La lune est dans ton caniveau et hagard de ta douleur, tu vomis son cerceau qui pourtant illumine la nuit de ton cœur. J’attendais bien mieux de l'aventure des rois qu'une lascive pantois devant sa majesté les mouches. Reprends ton bâton ma méduse et relève ta fouille au lieu d'y patauger dans la souille comme une vulgaire pique-nidouille. Buvons nos coupe à la lie et abondons de victuailles, nous fêterons ensemble les épousailles des amants interdits. La ripaille se fait tendre lorsque le don de soi te nourrit et que l'oriflamme de la volaille est foulé sans un cri. Voles ou soit mots dits, mais par pitié ma sœur, soit le avec panache et sans mépris. Rejoignons le combat et que ton digne geste soit une chanson, sur laquelle danserons les futurs, les générations. Et je prie pour que des oripeaux de la tristesse jaillisse aveuglée et ivre du point du jour, à l'aurore boréale, une majestueuse tigresse d'amour.
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
@Lokyloc: Yes, c'est ma foi bien sympathique!
- Virgin Prunes, rythmé à souhait, la faute sûrement à ce petit riff de ... basse? Bref, entraînant, il faut l'avouer même - surtout - après plusieurs écoutes.
- X Mal Deutschland: Un peu plus oppressant mais paradoxalement cela semble calmer un peu le bouillonnement incessant des idées (moins de relief... enfin, je me comprends)
Ainsi, merci une fois de plus! ^^
@soto²: Ah super, merci! De quel crime/méfait/acte de petite vertu suis-je soupçonnée?
Peut-être trouverais-je dans un de mes rares éclairs de lucidité l'inspiration pour faire écho à cette ode.
- Virgin Prunes, rythmé à souhait, la faute sûrement à ce petit riff de ... basse? Bref, entraînant, il faut l'avouer même - surtout - après plusieurs écoutes.
- X Mal Deutschland: Un peu plus oppressant mais paradoxalement cela semble calmer un peu le bouillonnement incessant des idées (moins de relief... enfin, je me comprends)
Ainsi, merci une fois de plus! ^^
@soto²: Ah super, merci! De quel crime/méfait/acte de petite vertu suis-je soupçonnée?
Peut-être trouverais-je dans un de mes rares éclairs de lucidité l'inspiration pour faire écho à cette ode.
- Spoiler:
- Hehe, l'espoir fait vivre ^^'
Shlorkhan- Messages : 171
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
De quel crime/méfait/acte de petite vertu suis-je soupçonnée?
"Il n'y a que deux conduites dans la vie: ou on la rêve, ou on l'accomplit." - Eloge d'une soupçonnée (1988) de René Char.
A toute saigneuse...
soto²- Messages : 2760
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Re: Damn it... Insan'itude attitude ou la folie sans rayures?
Shlorkhanik blown mind
Un p'tit bout de temps que je n'avais éparpillé de cette cervelle brouillée par ici. Puis écrire quoi, d'abord? Dans quel but? En ai-je seulement l'envie, le courage, l'inspiration?
Je me sens...
Dos au mur, forcée à prendre incessamment tout un tas de décisions craspouilles. J'ai trop procrastiné, as usual
Vide et trop pleine à la fois. Sur quel pied danser? Quelles chaussures mettre? Rester pieds-nus ou opter pour de futiles nu-pieds?
Mi-chèvre mi-miel. J'ai les neurones presque autant grillés que ma tartine de ce matin. Immangeable, au passage, indigeste. Nous sommes ce que nous mangeons..?
Intellectuellement éteinte
Moralement inconsciente
Sistrophanée de la pomme de terre
Troublouillée
Comme un écrabouillable oublié au fond du pochon/sac/sachet/cabas (d'où venez-vous?)
Au moins aussi ratatinée qu'une tête de rat sous les crocs de Brit
Presque aussi à plat qu'un concurrent de Duracell dans leur com de mes deux
Prête à flancher, susceptible de m'écrouler sous peu, pour peu, pour tout ou rien, les deux sinon
Oppressée par toutes ses fausses règles de bienséance dont on nous assomme à tout bout de champ, de mine, de blé, de petit épeautre, de quinoa, de boulgour, de betteraves de Bref.
Revigorée, ravigotée par le henné; doigts carottes, auburnitude, brins de Soleil formant un écrin autour de cette bouille pâlotte, un peu de vie pour contrer la mort qui s'installe peu à peu. On fait comme on peut pour la sentir circuler un peu dans nos veines. À défaut, reste à l'en faire couler sur le plancher.. Drôle d'idée
Etrangère
Décalée sans pour autant rejetée
À la masse, complètement, indubitablement. Je vogue en d'autres mers que celles fréquentées par mes proches. Je me demanderais presque s'il serait un jour possible de les rencontrer au détour d'un banc de sable
Je crois...
Que la fatigue (physique cette fois) me guette (celle intellectuelle n'est plus à démontrer)
Qu'il est l'heure de céder au sommeil
Que survivre va être dur mais nécessaire si je veux pouvoir espérer vivre un jour (après tout, pourquoi pas?)
Que le dernier album de Depeche Mode me plaît bien
Force, honneur, robustesse et baies de Goji
Un p'tit bout de temps que je n'avais éparpillé de cette cervelle brouillée par ici. Puis écrire quoi, d'abord? Dans quel but? En ai-je seulement l'envie, le courage, l'inspiration?
Je me sens...
Dos au mur, forcée à prendre incessamment tout un tas de décisions craspouilles. J'ai trop procrastiné, as usual
Vide et trop pleine à la fois. Sur quel pied danser? Quelles chaussures mettre? Rester pieds-nus ou opter pour de futiles nu-pieds?
Mi-chèvre mi-miel. J'ai les neurones presque autant grillés que ma tartine de ce matin. Immangeable, au passage, indigeste. Nous sommes ce que nous mangeons..?
Intellectuellement éteinte
Moralement inconsciente
Sistrophanée de la pomme de terre
Troublouillée
Comme un écrabouillable oublié au fond du pochon/sac/sachet/cabas (d'où venez-vous?)
Au moins aussi ratatinée qu'une tête de rat sous les crocs de Brit
Presque aussi à plat qu'un concurrent de Duracell dans leur com de mes deux
Prête à flancher, susceptible de m'écrouler sous peu, pour peu, pour tout ou rien, les deux sinon
Oppressée par toutes ses fausses règles de bienséance dont on nous assomme à tout bout de champ, de mine, de blé, de petit épeautre, de quinoa, de boulgour, de betteraves de Bref.
Revigorée, ravigotée par le henné; doigts carottes, auburnitude, brins de Soleil formant un écrin autour de cette bouille pâlotte, un peu de vie pour contrer la mort qui s'installe peu à peu. On fait comme on peut pour la sentir circuler un peu dans nos veines. À défaut, reste à l'en faire couler sur le plancher.. Drôle d'idée
Etrangère
Décalée sans pour autant rejetée
À la masse, complètement, indubitablement. Je vogue en d'autres mers que celles fréquentées par mes proches. Je me demanderais presque s'il serait un jour possible de les rencontrer au détour d'un banc de sable
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Que la fatigue (physique cette fois) me guette (celle intellectuelle n'est plus à démontrer)
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Force, honneur, robustesse et baies de Goji
- Spirit:
Shlorkhan- Messages : 171
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 27
Localisation : Là-bas
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