Vers la fin du malheur
3 participants
Forum ZEBRAS CROSSING :: Zèbrement vous :: Vie de zèbre :: Psychologie, difficultés, addictions, travail sur soi
Page 1 sur 1
Vers la fin du malheur
"J’écoute les bruits de la ville
Et prisonnier sans horizon
Je ne vois rien qu’un ciel hostile
Et les murs nus de ma prison"
Avez-vous déjà connu une telle solitude que vous vous retrouvez avec un sentiment tout à fait croyable que vous êtes seuls au monde ? Avez-vous ressenti ceci tellement de fois et pendant si longtemps que vous avez fini par vous en convaincre ? Est-ce que le fond de votre cœur ne voit plus, depuis trop longtemps, la lumière du regard d'autrui ?
La solitude.. En parler c'est déjà se sentir un peu moins seul..
Ce soir, pour la première fois depuis longtemps j'ai réussi à m'ouvrir un peu à autrui sur ce qui me tenait à cœur. Malheureusement, ce n'était pas autre chose que mes propres malaises mais ils ont été assez gentils pour me soutenir et me faire voir un peu de lumière, de cette chaleur humaine qui me manque tant. Puisque la peur de l'autre ne surpasse plus, pour l'instant, son besoin, je me permets ce modeste post, en guide de remerciements. J'espère aller suffisamment mieux, petit à petit, pour échanger plus concrètement avec vous sur ce forum.
Et prisonnier sans horizon
Je ne vois rien qu’un ciel hostile
Et les murs nus de ma prison"
Avez-vous déjà connu une telle solitude que vous vous retrouvez avec un sentiment tout à fait croyable que vous êtes seuls au monde ? Avez-vous ressenti ceci tellement de fois et pendant si longtemps que vous avez fini par vous en convaincre ? Est-ce que le fond de votre cœur ne voit plus, depuis trop longtemps, la lumière du regard d'autrui ?
La solitude.. En parler c'est déjà se sentir un peu moins seul..
Ce soir, pour la première fois depuis longtemps j'ai réussi à m'ouvrir un peu à autrui sur ce qui me tenait à cœur. Malheureusement, ce n'était pas autre chose que mes propres malaises mais ils ont été assez gentils pour me soutenir et me faire voir un peu de lumière, de cette chaleur humaine qui me manque tant. Puisque la peur de l'autre ne surpasse plus, pour l'instant, son besoin, je me permets ce modeste post, en guide de remerciements. J'espère aller suffisamment mieux, petit à petit, pour échanger plus concrètement avec vous sur ce forum.
Dernière édition par Folken le Mer 25 Jan 2017 - 16:30, édité 1 fois
Folken- Messages : 29
Date d'inscription : 15/10/2013
Re: Vers la fin du malheur
Folken a écrit:
Avez-vous déjà connu une telle solitude que vous vous retrouvez avec un sentiment tout à fait croyable que vous êtes seuls au monde ? Avez-vous ressenti ceci tellement de fois et pendant si longtemps que vous avez fini par vous en convaincre ? Est-ce que le fond de votre cœur ne voit plus, depuis trop longtemps, la lumière du regard d'autrui ?
Et que faire lorsque celle si deviens insipide et se métamorphose en sentiment d'indifférence et de vide?
Endless- Messages : 102
Date d'inscription : 03/10/2016
Age : 28
Localisation : Canada
Re: Vers la fin du malheur
On se protège de cet extérieur et on se refuse à notre humanité.
(s'il l'on veut donner un nom à cet état: schizoïdie)
Comme dit plus haut c'est une prison intérieure...que ferait un oiseau s'il ne pouvait déployer ses ailes et être lui?
Se résigner devant la peur qu'inspire l'autre, et aussi devant celle qui nous sépare de notre vrai soi, nous mène vers une existence qui nous semble plus facile à vivre.
Mais sommes nous alors en vie?
Cet amour de la vie, en soi, le (re)découvrir, par soi, pour soi, puis un jour on peut même arriver à l'étendre aux autres...tout les autres, ce n'est pas aimer la personnalité des hommes, c'est aimer au delà de la personnalité (bon il y a aussi des hommes pas humains!)
Le domaine du possible se limite à la projection mentale que l'on se fait de la réalité, et essayer de voir autrement ce possible (moins le mental, plus le coeur) fait partie du processus, la conscience devient ainsi vaste et limpide, avec un effacement des idées, émotions...négatifs.
Artisan de son malheur, comme de son bonheur.
(s'il l'on veut donner un nom à cet état: schizoïdie)
Comme dit plus haut c'est une prison intérieure...que ferait un oiseau s'il ne pouvait déployer ses ailes et être lui?
Se résigner devant la peur qu'inspire l'autre, et aussi devant celle qui nous sépare de notre vrai soi, nous mène vers une existence qui nous semble plus facile à vivre.
Mais sommes nous alors en vie?
Cet amour de la vie, en soi, le (re)découvrir, par soi, pour soi, puis un jour on peut même arriver à l'étendre aux autres...tout les autres, ce n'est pas aimer la personnalité des hommes, c'est aimer au delà de la personnalité (bon il y a aussi des hommes pas humains!)
Le domaine du possible se limite à la projection mentale que l'on se fait de la réalité, et essayer de voir autrement ce possible (moins le mental, plus le coeur) fait partie du processus, la conscience devient ainsi vaste et limpide, avec un effacement des idées, émotions...négatifs.
Artisan de son malheur, comme de son bonheur.
jolindien- Messages : 1602
Date d'inscription : 05/07/2015
Sujets similaires
» Vers, vous avez dit vers ? [Clermont-ferrand]
» Sommes nous invariablement voués au malheur ?
» Un Arkange se présente
» Des vers (dévers)
» Et vers Montpellier ...
» Sommes nous invariablement voués au malheur ?
» Un Arkange se présente
» Des vers (dévers)
» Et vers Montpellier ...
Forum ZEBRAS CROSSING :: Zèbrement vous :: Vie de zèbre :: Psychologie, difficultés, addictions, travail sur soi
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum