Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
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Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Deuxième volet de la saga du Seluikidi et du Seluikidoifèr
J'espère que ce ne sera pas une trilogie !
Pile ou face (ou "coin flip", pour les gamblers anglicistes)
Nous sommes arrivés en avance.
Cela va faire vingt minutes que nous attendons, la monitrice, un autre ancien recalé (ou à nouveau stressé, je ne connais pas le terme en vigueur) et votre serviteur. Je fais passer le temps et le stress en observant les piafs qui s'échangent les branches en sifflotant, pendant que les deux autres susmentionnés, discutaillent à six sur un banc. (A deux en fait, vous l'aurez compris)
Les autres arrivent au compte goutte, une première voiture aux taux et colles, puis une autre.
Celle de la première (oui, il faut suivre, aviez-vous saisi que "celle" faisait référence à la monitrice de la première voiture arrivée après nous ? Et qu'il ne s'agissait pas que de la fin du mot crécelle ? Non ? C'est désormais chose faite) vient rencontrer la notre.
Elles n'ont pas le temps de finir de s'échanger microbes et désolations par et pour leurs états grippaux respectifs que les deux examinateurs arrivent.
Synchros, ponctuels, des papelards sous les bras.
L'autre, je ne l'ai jamais vu.
Lui, je le reconnais aussitôt, même coupe de cheveux, même allure, même démarche, même haie dans les orties et ... même lunettes...
Le Seluikidi de l'autre fois.
Les deux monitrices nous abandonnent pour en faire de même auprès d'eux.
Bonjour, sourires, bises microbiennes.
Alors ?
Pile ou face ?
Pile
L'autre part avec l'autre, et lui avec elle.
J'aurais de nouveau droit à sa face.
Ils vont s'enfermer dans la voiture quelques longues secondes.
Et puis j'entends mon nom.
Un fait nouveau qui fait de l'effet
J'entre dans l'habitacle, et, à peine ai-je le temps de m'installer et de finir la syllabe "jour" de "bonjour", que, je vous le donne en mille (mais faudra me le rendre un de ces quatre) il ôte (serait-il passé par ZC ?) ses lunettes.
Pire ! Il me regarde ! Avec ses yeux !
Pire ! Il me sourit ! Avec sa bouche !
(Pire ! Car : "hé !") Et avec ça ? Un café, l'addition.
Pas le temps et pas la possibilité de changer de caleçon.
Tant pis, j'improvise, je lui rend les deux, regard et sourire. Et en fait de même à l'évidence : il a l'air sympathique le bougre !
Il me demande, en souriant, si je veux de nouveau entendre les règles du jeu. Vous imaginez bien à quoi j'ai songé à cet instant. Voulant voir s'il osera, je réponds par l'affirmative.
Mais il s'entête à les énoncer comme la dernière fois. Ok.
Il décide toutefois que je jouerai la partie avec un an et dix capes.
Il nous demande s'il peut mettre la clim. Elle, malade, répond que oui, moi, poli comme un Seluikidoifèr, consens, mais pense tout de même à voix haute que le seul à en ressortir grandi, c'est ce bon vieux postier gaulois du ch'nord, le facteur Rix de Calais.
J'en vaux désormais deux.
Et comme disait le célèbre rugbyman Monk Hiki : "Essai parti !"
Nous quittons le point A.
Y'a du mieux
Parcours quasiment sans fôte.
J'enchaîne les fameux "à gauche" "à droite" sans sourciller, serein.
Les stops bien marqués, les prios à droites bien maîtrisées, tout bien je vous dis !
Jusqu'à un coup classique, un "à gauche" de trop.
Moi, maladroit pour le coup, je le prends à revers. Contrôles rétros, clignotant, et je tourne ... à droite. (Mhz, si tu lis ça, à ce moment là j'ai pensé à toi signification de ONU ? ^^)
Pensant que j'ai voulu jouer les p'tis malins (alors que je connais même pas tous les accords) il décide de se venger.
- "On va s'arrêter à côté de la voiture rouge et faire un créneau en marche arrière." qu'il me dit.
On ? Parce que tu crois que cette fois-ci je vais te laisser toucher le volant et les pédales ? Jamais !
Clignotants, contrôles.
Comment je te l'enfile proprette la charrette !
Pas besoin de m'y reprendre à deux fois ! Il aurait dû dire crénal !
Point mort, frein à main.
Voyant que j'ai effectué la manoeuvre sans encombre, il me demande de vérifier qu'on a bien l'exemplaire du constat.
Je suis certain de ne pas avoir frotté et y a personne dans la tire de devant, au pire, on s'arrache, non ?
Puis je me souviens que les questions inutiles pour revenir au point A font partie du jeu.
Je dégaine la pochette à l'assurance, l'ouvre et (accords d'orgue, lumière céleste, chérubins voletants, Hallelujah !) tombe nez à nez avec un papier sur lequel je déchiffre rapidement le mot magique (pas cuila, un autre) "constat". Il était là ! Premier de la pile ! Pile sous mes yeux ! Je le sors fièrement (je ne commence même pas à le lire !!) et il me dit de le ranger, qu'on va maintenant vérifier que le réservoir d'essence est bien fermé.
Ce que je trouve logique, puisque l'on vient de retrouver le constat.
Rouge Paire passe et manque, la banque l'emporte, porte-avion coulé.
J'enlève machinalement la clé de contact et me retrouve devant le réservoir.
Anticipant ce que je m'apprête à faire il repose sa question (sympathique je vous dis !)
- "C'est bien serré ?"
Moi, faisant mine que je n'allais, en fait, pas du tout introduire la clé pour dévisser le bouchon, je vérifie de ma main vide et acquiesce.
Il me demande ensuite d'énoncer les deux vérifications à effectuer lorsque l'on fait le plein. Et là, panne sèche. Je tente désespérément un
- "Faut pas se tromper de carburant !"
Il sourit. J'avoue ne pas savoir.
Il répond pour moi. Couper le moteur, et vérifier que le réservoir ne déborde pas...
Moi, la clé de contact à la main, je lui fait remarquer que dans le département dans lequel nous nous trouvons, ce métier pourtant désuet sur le territoire en forme de guitariste (oui, depuis gamin je trouve que la France ressemble à un guitariste, mais paraît que je suis pas le seul et que certains reconnaissent une botte là où se trouve l'Italie), ici, il existe encore ! Nous avons des pompistes ! (comment ça mauvaise foi ?)
Il sourit de plus belle et s'en retourne, Alain t'es rieur.
Le retour se fait sans encombres. Je parviens à regagner le point A.
Une rencontre apaisante
Tandis que je feuillette du moustachu allemand pour me changer les idées, deux autres personnes arrivent, et elle vient s'asseoir gracieusement à côté de moi.
C'est nous qui sommes maintenant à six sur le banc. Elle, une petite trentaine (et encore !), brune, douce, aimable, engage la conversation.
Lui reste à l'écart.
On s'échange quelques lignes directrices de nos histoires récentes.
Je tente lourdement de la faire sourire pour la détendre avant son examen. Et ne parviens plus à me replonger dans les pensées pour esprit libre du philosophe poète.
Je suis resté noyé dans ses yeux.
Je reconnais la voiture tatouée dans laquelle j'ai pu m'entraîner à ce jeu si amusant et je l'abandonne à regret, non sans un dernier mot poli pour elle : "Merde"
Laisse Poire
Si je m'en réfère aux règles que je m'étais établi (comme dirait le bricoleur) ET que je considère que :
- tourner une fois à droite au lieu d'à gauche
- ne pas être capable d'énoncer des évidences (mauvaise foi bis)
ne sont pas des règles critiques, je suis en mesure d'espérer un deuxième truc dur et rose.
Peut-être que mercredi, date estimée de réception du courrier, j'aurais le choix d'être piéton.
J'espère que ce ne sera pas une trilogie !
Pile ou face (ou "coin flip", pour les gamblers anglicistes)
Nous sommes arrivés en avance.
Cela va faire vingt minutes que nous attendons, la monitrice, un autre ancien recalé (ou à nouveau stressé, je ne connais pas le terme en vigueur) et votre serviteur. Je fais passer le temps et le stress en observant les piafs qui s'échangent les branches en sifflotant, pendant que les deux autres susmentionnés, discutaillent à six sur un banc. (A deux en fait, vous l'aurez compris)
Les autres arrivent au compte goutte, une première voiture aux taux et colles, puis une autre.
Celle de la première (oui, il faut suivre, aviez-vous saisi que "celle" faisait référence à la monitrice de la première voiture arrivée après nous ? Et qu'il ne s'agissait pas que de la fin du mot crécelle ? Non ? C'est désormais chose faite) vient rencontrer la notre.
Elles n'ont pas le temps de finir de s'échanger microbes et désolations par et pour leurs états grippaux respectifs que les deux examinateurs arrivent.
Synchros, ponctuels, des papelards sous les bras.
L'autre, je ne l'ai jamais vu.
Lui, je le reconnais aussitôt, même coupe de cheveux, même allure, même démarche, même haie dans les orties et ... même lunettes...
Le Seluikidi de l'autre fois.
Les deux monitrices nous abandonnent pour en faire de même auprès d'eux.
Bonjour, sourires, bises microbiennes.
Alors ?
Pile ou face ?
Pile
L'autre part avec l'autre, et lui avec elle.
J'aurais de nouveau droit à sa face.
Ils vont s'enfermer dans la voiture quelques longues secondes.
Et puis j'entends mon nom.
Un fait nouveau qui fait de l'effet
J'entre dans l'habitacle, et, à peine ai-je le temps de m'installer et de finir la syllabe "jour" de "bonjour", que, je vous le donne en mille (mais faudra me le rendre un de ces quatre) il ôte (serait-il passé par ZC ?) ses lunettes.
Pire ! Il me regarde ! Avec ses yeux !
Pire ! Il me sourit ! Avec sa bouche !
(Pire ! Car : "hé !") Et avec ça ? Un café, l'addition.
Pas le temps et pas la possibilité de changer de caleçon.
Tant pis, j'improvise, je lui rend les deux, regard et sourire. Et en fait de même à l'évidence : il a l'air sympathique le bougre !
Il me demande, en souriant, si je veux de nouveau entendre les règles du jeu. Vous imaginez bien à quoi j'ai songé à cet instant. Voulant voir s'il osera, je réponds par l'affirmative.
Mais il s'entête à les énoncer comme la dernière fois. Ok.
Il décide toutefois que je jouerai la partie avec un an et dix capes.
Il nous demande s'il peut mettre la clim. Elle, malade, répond que oui, moi, poli comme un Seluikidoifèr, consens, mais pense tout de même à voix haute que le seul à en ressortir grandi, c'est ce bon vieux postier gaulois du ch'nord, le facteur Rix de Calais.
J'en vaux désormais deux.
Et comme disait le célèbre rugbyman Monk Hiki : "Essai parti !"
Nous quittons le point A.
Y'a du mieux
Parcours quasiment sans fôte.
J'enchaîne les fameux "à gauche" "à droite" sans sourciller, serein.
Les stops bien marqués, les prios à droites bien maîtrisées, tout bien je vous dis !
Jusqu'à un coup classique, un "à gauche" de trop.
Moi, maladroit pour le coup, je le prends à revers. Contrôles rétros, clignotant, et je tourne ... à droite. (Mhz, si tu lis ça, à ce moment là j'ai pensé à toi signification de ONU ? ^^)
Pensant que j'ai voulu jouer les p'tis malins (alors que je connais même pas tous les accords) il décide de se venger.
- "On va s'arrêter à côté de la voiture rouge et faire un créneau en marche arrière." qu'il me dit.
On ? Parce que tu crois que cette fois-ci je vais te laisser toucher le volant et les pédales ? Jamais !
Clignotants, contrôles.
Comment je te l'enfile proprette la charrette !
Pas besoin de m'y reprendre à deux fois ! Il aurait dû dire crénal !
Point mort, frein à main.
Voyant que j'ai effectué la manoeuvre sans encombre, il me demande de vérifier qu'on a bien l'exemplaire du constat.
Je suis certain de ne pas avoir frotté et y a personne dans la tire de devant, au pire, on s'arrache, non ?
Puis je me souviens que les questions inutiles pour revenir au point A font partie du jeu.
Je dégaine la pochette à l'assurance, l'ouvre et (accords d'orgue, lumière céleste, chérubins voletants, Hallelujah !) tombe nez à nez avec un papier sur lequel je déchiffre rapidement le mot magique (pas cuila, un autre) "constat". Il était là ! Premier de la pile ! Pile sous mes yeux ! Je le sors fièrement (je ne commence même pas à le lire !!) et il me dit de le ranger, qu'on va maintenant vérifier que le réservoir d'essence est bien fermé.
Ce que je trouve logique, puisque l'on vient de retrouver le constat.
Rouge Paire passe et manque, la banque l'emporte, porte-avion coulé.
J'enlève machinalement la clé de contact et me retrouve devant le réservoir.
Anticipant ce que je m'apprête à faire il repose sa question (sympathique je vous dis !)
- "C'est bien serré ?"
Moi, faisant mine que je n'allais, en fait, pas du tout introduire la clé pour dévisser le bouchon, je vérifie de ma main vide et acquiesce.
Il me demande ensuite d'énoncer les deux vérifications à effectuer lorsque l'on fait le plein. Et là, panne sèche. Je tente désespérément un
- "Faut pas se tromper de carburant !"
Il sourit. J'avoue ne pas savoir.
Il répond pour moi. Couper le moteur, et vérifier que le réservoir ne déborde pas...
Moi, la clé de contact à la main, je lui fait remarquer que dans le département dans lequel nous nous trouvons, ce métier pourtant désuet sur le territoire en forme de guitariste (oui, depuis gamin je trouve que la France ressemble à un guitariste, mais paraît que je suis pas le seul et que certains reconnaissent une botte là où se trouve l'Italie), ici, il existe encore ! Nous avons des pompistes ! (comment ça mauvaise foi ?)
Il sourit de plus belle et s'en retourne, Alain t'es rieur.
Le retour se fait sans encombres. Je parviens à regagner le point A.
Une rencontre apaisante
Tandis que je feuillette du moustachu allemand pour me changer les idées, deux autres personnes arrivent, et elle vient s'asseoir gracieusement à côté de moi.
C'est nous qui sommes maintenant à six sur le banc. Elle, une petite trentaine (et encore !), brune, douce, aimable, engage la conversation.
Lui reste à l'écart.
On s'échange quelques lignes directrices de nos histoires récentes.
Je tente lourdement de la faire sourire pour la détendre avant son examen. Et ne parviens plus à me replonger dans les pensées pour esprit libre du philosophe poète.
Je suis resté noyé dans ses yeux.
Je reconnais la voiture tatouée dans laquelle j'ai pu m'entraîner à ce jeu si amusant et je l'abandonne à regret, non sans un dernier mot poli pour elle : "Merde"
Laisse Poire
Si je m'en réfère aux règles que je m'étais établi (comme dirait le bricoleur) ET que je considère que :
- tourner une fois à droite au lieu d'à gauche
- ne pas être capable d'énoncer des évidences (mauvaise foi bis)
ne sont pas des règles critiques, je suis en mesure d'espérer un deuxième truc dur et rose.
Peut-être que mercredi, date estimée de réception du courrier, j'aurais le choix d'être piéton.
FunkyKyu- Messages : 1111
Date d'inscription : 23/04/2011
Localisation : Sur un caillou flottant
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
FunkyKyu a écrit: depuis gamin je trouve que la France ressemble à un guitariste.
Bon sang mais c'est bien sûr!!
Mégalopin- Messages : 4729
Date d'inscription : 05/11/2010
Localisation : Fils de Butte
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Merci Mégalopin d'avoir up le sujet que je n'avais pas vu ni lu,
Merci Funky pour ton humour toujours aussi bon !!
(Et encore braval pour ton permis )
Merci Funky pour ton humour toujours aussi bon !!
(Et encore braval pour ton permis )
Tof- Messages : 2038
Date d'inscription : 11/04/2011
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Moi non plus j'l'avais pas lu cet épisode...merci au uppeurs et surtout merci à toi Funky de nous faire partager tes aventures avec tant d'aisance à nous faire sourire...et puis félicitations à nouveau!!! car la suite on la connait.... (la suite couleur rose, pas la suite de ta noyade dans le bleu de ses yeux...)
Manou- Messages : 1894
Date d'inscription : 01/05/2010
Age : 56
Localisation : Pas loin de Paname
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
ce suspens!!!!!
mon coeur c'est arreté 3 fois (au bas mot)
j'etais avec toi, je tenais le levier de vitesses d'une main moite, je me suis noyée moi zaussi dans ces bozieux traqués.........................
chouette plume(et là je ne rigole pas!)
bravo pour ce permis nom d'une pomme, c'est justice (vrai de vrai!)
mon coeur c'est arreté 3 fois (au bas mot)
j'etais avec toi, je tenais le levier de vitesses d'une main moite, je me suis noyée moi zaussi dans ces bozieux traqués.........................
chouette plume(et là je ne rigole pas!)
bravo pour ce permis nom d'une pomme, c'est justice (vrai de vrai!)
ZABLE- Messages : 135
Date d'inscription : 16/06/2011
Age : 56
Localisation : paris
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Mégalopin a écrit:FunkyKyu a écrit: depuis gamin je trouve que la France ressemble à un guitariste.
Bon sang mais c'est bien sûr!!
Rassure moi ! Toi aussi tu le vois le guitariste, non ? Merci d'avoir uppé en tout cas j'ai pu faire sourire Manou
Merci à nouveau (pardon, à nouval, et puis non tiens ! Merci Merci à nouveau ! Et toc Tof !)Manou a écrit:
félicitations à nouveau!!! car la suite on la connait.... (la suite couleur rose, pas la suite de ta noyade dans le bleu de ses yeux...)
L'autre suite est peut-être à écrire Elle envisageait aussi d'aller faire un tour dans le sud. Qui sait... (sait le facteur)
ZABLE a écrit:
chouette plume(et là je ne rigole pas!)
bravo pour ce permis nom d'une pomme, c'est justice (vrai de vrai!)
Merci aussi, oh si !
Tof a écrit:
(Et encore braval pour ton permis )
Bon, d'accord, merci à nouval
FunkyKyu- Messages : 1111
Date d'inscription : 23/04/2011
Localisation : Sur un caillou flottant
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Mère scie; mère scie à nouval.Merci à nouveau (pardon, à nouval, et puis non tiens ! Merci Merci à nouveau ! Et toc Tof !)
Mère scie, mais re-scie à nouval
*Tof est incapable de ne pas répondre à "Et toc Tof !"
J'avoue, on peut dire "Mers, cimes, mères, à nous ! Veaux, haies, toques, tof !"
(J'ai appris avec plaisir il y a quelques nuits que "tof" veut dire super en bruxellois)
((Je réalise que si je me présente à Bruxelles je vais passer pour un prétentieux))
"Merci à nous veaux" passait à la base, par contre !
Enfin bref,
voila
ctrl c ctrl v, tout ça pour ça ?
Tof- Messages : 2038
Date d'inscription : 11/04/2011
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Tof a écrit:*Tof est incapable de ne pas répondre à "Et toc Tof !"
mode test/on:
Et toc, Tof!
mode test/off
Mégalopin- Messages : 4729
Date d'inscription : 05/11/2010
Localisation : Fils de Butte
Tof- Messages : 2038
Date d'inscription : 11/04/2011
Re: Ses yeux étaient d'un bleu ... mais d'un bleu !
Tof a écrit:*Tof répond.
C'est pratique
Mégalopin- Messages : 4729
Date d'inscription : 05/11/2010
Localisation : Fils de Butte
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