Je respire où tu palpites.
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Sun Simiao
Ours de la MAZ
Miss aux yeux arc-en-ciel
Lilasha
Poupipou
9 participants
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Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Je t'envie un peu cette lettre.., ou plutôt je te remercie pour ce présent!
J'ai les yeux collés par l'écume ce matin, et je me répète ce "poupipou" en chantant comme Dewey et ça fait du bien..
Bienvenue!
J'ai les yeux collés par l'écume ce matin, et je me répète ce "poupipou" en chantant comme Dewey et ça fait du bien..
Bienvenue!
Lilasha- Messages : 31
Date d'inscription : 15/05/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Mile mercis !
Heureuse Lilasha de t'avoir apporté la Dewey-Therapy ♥
Heureuse Lilasha de t'avoir apporté la Dewey-Therapy ♥
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Quel plaisir de lire une présentation telle que la tienne, où le soin des mots fait honneur à nos petits yeux curieux...on croirait presque voir la plume au bout de tes doigts et sentir l'odeur du papier et de l'encre.
Il y a un peu de moi aussi dans ce que tu décris là.
Bienvenue sur le forum, que ta route y soit douce.
Il y a un peu de moi aussi dans ce que tu décris là.
Bienvenue sur le forum, que ta route y soit douce.
Miss aux yeux arc-en-ciel- Messages : 1496
Date d'inscription : 21/04/2016
Age : 105
Localisation : Rêves enchantés
Re: Je respire où tu palpites.
Tu as mis Victor Hugo en avatar : c'est un génie que tu affectionnes particulièrement ?
Plutôt ses romans ou ses poèmes ?
Plutôt ses romans ou ses poèmes ?
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
Miss aux yeux arc-en-ciel, je te remercie pour ton message, et pour le poème que tu m'as offert !
Je suis ravie d'avoir pu t'apporter toutes ces sensations
Cacendre, c'est un de mes auteurs "à la folie" - et j'avoue préférer sa poésie, j'aime la poésie. Et toi?
Au fait,
« (...) Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur, la vieillesse
Fera ternir votre beauté.»
Tu dois connaître !
Je suis ravie d'avoir pu t'apporter toutes ces sensations
Cacendre, c'est un de mes auteurs "à la folie" - et j'avoue préférer sa poésie, j'aime la poésie. Et toi?
Au fait,
« (...) Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur, la vieillesse
Fera ternir votre beauté.»
Tu dois connaître !
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Bienvenue. Présentation très belle et très touchante dans laquelle je me reconnais totalement. Ce n'est jamais simple de se sentir différent et le chemin vers l'acceptation de soi est long. Dans tous les cas, bonne chance à toi.
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
A cassandre "mignonne allons voir si la rose" ( Ronsard).
Yep.
Oui j'aime la poesie : l'écrire et la lire.
Je lisais avant hier de Musset
Yep.
Oui j'aime la poesie : l'écrire et la lire.
Je lisais avant hier de Musset
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
Merci Bidgistress, dans quoi te reconnais-tu ?
C'est long, oui. C'est dur également de refaire son éducation psychique et sa philosophie de vie.
Généralement, nous sommes souvent bercés par la mélancolie (c'est mon cas, je la trouve belle et inspirante, et elle en a inspiré déjà tant. Elle a constitué malgré moi ma vision de l'amour déchu) mais il y a une vraie pensée négative qui s'émane de la vie des personnes qui pensent, voient, comprennent et réfléchissent d'une autre manière... Parce qu'il y a les autres, qui s'adaptent à notre société... il y en a d'autres qui essaient tant bien que mal de s'adapter, ceux qui y arrivent bel et bien, et il y a les autres.
Cacendre, as-tu des auteurs fétiches ?
Très bon choix pour de Musset !
C'est long, oui. C'est dur également de refaire son éducation psychique et sa philosophie de vie.
Généralement, nous sommes souvent bercés par la mélancolie (c'est mon cas, je la trouve belle et inspirante, et elle en a inspiré déjà tant. Elle a constitué malgré moi ma vision de l'amour déchu) mais il y a une vraie pensée négative qui s'émane de la vie des personnes qui pensent, voient, comprennent et réfléchissent d'une autre manière... Parce qu'il y a les autres, qui s'adaptent à notre société... il y en a d'autres qui essaient tant bien que mal de s'adapter, ceux qui y arrivent bel et bien, et il y a les autres.
Cacendre, as-tu des auteurs fétiches ?
Très bon choix pour de Musset !
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Fétiches, ils sont nombreux à me procurer un plaisir intense : Hugo Bien sur, Rimbaud, verlaine, flaubert, par son lyrisme, beaudelaire toutes les belles plumes finalement.
Consolation à M. Du Périer sur la mort de sa fille
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle,
Et les tristes discours
Que te met en l'esprit l'amitié paternelle
L'augmenteront toujours
Le malheur de ta fille au tombeau descendue
Par un commun trépas,
Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue
Ne se retrouve pas ?
Je sais de quels appas son enfance était pleine,
Et n'ai pas entrepris,
Injurieux ami, de soulager ta peine
Avecque son mépris.
Mais elle était du monde, où les plus belles choses
Ont le pire destin ;
Et rose elle a vécu ce que vivent les roses,
L'espace d'un matin.
Puis quand ainsi serait, que selon ta prière,
Elle aurait obtenu
D'avoir en cheveux blancs terminé sa carrière,
Qu'en fût-il advenu?
Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste
Elle eût eu plus d'accueil ?
Ou qu'elle eût moins senti la poussière funeste
Et les vers du cercueil ?
Non, non, mon du Périer, aussitôt que la Parque
Ote l'âme du corps,
L'âge s'évanouit au deçà de la barque,
Et ne suit point les morts...
La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ;
On a beau la prier,
La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles,
Et nous laisse crier.
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre,
Est sujet à ses lois ;
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend point nos rois.
De murmurer contre elle, et perdre patience,
Il est mal à propos ;
Vouloir ce que Dieu veut, est la seule science
Qui nous met en repos.
Consolation à M. Du Périer sur la mort de sa fille
Ta douleur, du Périer, sera donc éternelle,
Et les tristes discours
Que te met en l'esprit l'amitié paternelle
L'augmenteront toujours
Le malheur de ta fille au tombeau descendue
Par un commun trépas,
Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue
Ne se retrouve pas ?
Je sais de quels appas son enfance était pleine,
Et n'ai pas entrepris,
Injurieux ami, de soulager ta peine
Avecque son mépris.
Mais elle était du monde, où les plus belles choses
Ont le pire destin ;
Et rose elle a vécu ce que vivent les roses,
L'espace d'un matin.
Puis quand ainsi serait, que selon ta prière,
Elle aurait obtenu
D'avoir en cheveux blancs terminé sa carrière,
Qu'en fût-il advenu?
Penses-tu que, plus vieille, en la maison céleste
Elle eût eu plus d'accueil ?
Ou qu'elle eût moins senti la poussière funeste
Et les vers du cercueil ?
Non, non, mon du Périer, aussitôt que la Parque
Ote l'âme du corps,
L'âge s'évanouit au deçà de la barque,
Et ne suit point les morts...
La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ;
On a beau la prier,
La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles,
Et nous laisse crier.
Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre,
Est sujet à ses lois ;
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend point nos rois.
De murmurer contre elle, et perdre patience,
Il est mal à propos ;
Vouloir ce que Dieu veut, est la seule science
Qui nous met en repos.
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
Voici l'une des plus jolies poesies de V Hugo, pour moi
Victor HUGO (1802-1885)
Recueil : Les contemplations
Elle avait pris ce pli ...
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
Et c'était un esprit avant d'être une femme.
Son regard reflétait la clarté de son âme.
Elle me consultait sur tout à tous moments.
Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants
Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
Tout près, quelques amis causant au coin du feu !
J'appelais cette vie être content de peu !
Et dire qu'elle est morte! Hélas! que Dieu m'assiste !
Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ;
J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux
Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.[/b]
Victor HUGO (1802-1885)
Recueil : Les contemplations
Elle avait pris ce pli ...
Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
De venir dans ma chambre un peu chaque matin;
Je l'attendais ainsi qu'un rayon qu'on espère;
Elle entrait, et disait: Bonjour, mon petit père ;
Prenait ma plume, ouvrait mes livres, s'asseyait
Sur mon lit, dérangeait mes papiers, et riait,
Puis soudain s'en allait comme un oiseau qui passe.
Alors, je reprenais, la tête un peu moins lasse,
Mon oeuvre interrompue, et, tout en écrivant,
Parmi mes manuscrits je rencontrais souvent
Quelque arabesque folle et qu'elle avait tracée,
Et mainte page blanche entre ses mains froissée
Où, je ne sais comment, venaient mes plus doux vers.
Elle aimait Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts,
Et c'était un esprit avant d'être une femme.
Son regard reflétait la clarté de son âme.
Elle me consultait sur tout à tous moments.
Oh! que de soirs d'hiver radieux et charmants
Passés à raisonner langue, histoire et grammaire,
Mes quatre enfants groupés sur mes genoux, leur mère
Tout près, quelques amis causant au coin du feu !
J'appelais cette vie être content de peu !
Et dire qu'elle est morte! Hélas! que Dieu m'assiste !
Je n'étais jamais gai quand je la sentais triste ;
J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux
Si j'avais, en partant, vu quelque ombre en ses yeux.[/b]
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
Merci, c'est vrai que les poèmes que tu as partagés, sont merveilleux. Débordent d'émotions.
J'ai mes fétiches notamment, «Je respire où tu palpites» d'Hugo, et le célèbre «Demain, dès l'aube»
J'ai mes fétiches notamment, «Je respire où tu palpites» d'Hugo, et le célèbre «Demain, dès l'aube»
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Quelle élégante présentation !
A chaque mot, des images. En y passant quelques heures j'ai l'impression que je pourrais commenter chaque phrase par des photos, celles que j'emprunte à la réalité, dont je connais le sens sans pour autant le comprendre, sans pour autant le traduire.
Des gens croisés à Aix, à Marseille, à Paris, des morceaux de monuments qui jouxtant des panoramiques immersifs, des fleurs qui s'épanouissent, une fourmi.
Tu écris le violoncelle. Je suis venu à lui par cette musique et cet instrument. Voilà une "folie" à la mode espagnole par Jordi Savall :
Bienvenue et bonnes suites à toi.
A chaque mot, des images. En y passant quelques heures j'ai l'impression que je pourrais commenter chaque phrase par des photos, celles que j'emprunte à la réalité, dont je connais le sens sans pour autant le comprendre, sans pour autant le traduire.
Des gens croisés à Aix, à Marseille, à Paris, des morceaux de monuments qui jouxtant des panoramiques immersifs, des fleurs qui s'épanouissent, une fourmi.
Tu écris le violoncelle. Je suis venu à lui par cette musique et cet instrument. Voilà une "folie" à la mode espagnole par Jordi Savall :
Bienvenue et bonnes suites à toi.
Re: Je respire où tu palpites.
Pou-pou-pidou !
Bienvenue ! Très touchante présentation
Sun Simiao- Messages : 735
Date d'inscription : 04/08/2016
Localisation : ici
Re: Je respire où tu palpites.
Poupipou a écrit:Merci Bidgistress, dans quoi te reconnais-tu ?
Je me reconnais plus particulièrement dans ce passage :
"Forte et fragile. Sociable et asocial. Joie-de-vivre et mélancolie. Bienveillante et blessante. Fidèle et fuyante. Naïve et farouche. Méfiante et confiante. Impassible et hypersensible. Apathique et empathique. Armée et désarmée. Calme et impulsive. Douce et abrupte. "
C'est comme si tu venais de me décrire. Toute en contradictions. Je pense être une contradiction à moi toute seule.
Je te souhaite sincèrement de trouver ton bonheur sur ce forum ou de faire de charmantes rencontres si tu participes aux irl.
Invité- Invité
Re: Je respire où tu palpites.
D'habitude au mots je préfère les idées mais là, il me faut reconnaitre que tu pointe mon ennemi.
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Je respire où tu palpites.
@ Ours de la MAZ → Merci pour le compliment !
C'est excellent de pouvoir visualiser des images lorsque tu parcoures mes phrases ! J'écris à partir de souvenirs et de sensations, bien souvent.
Merci beaucoup pour le partage de cette pièce musicale, c'est superbe !
@ Merci Sun Simiao A s'y méprendre - Je suis Dewey, bien loin de notre Monroe !
@ Bidgistress, c'est parce que nous voulons être tout, sans être personne.
L’éclectisme... Que veux-tu !
Merci pour tes doux mots, ils me vont droit au coeur
@ Fab. Fabrice, wooow, ça alors ;-) si j'ai pu te toucher, c'est merveilleux
C'est excellent de pouvoir visualiser des images lorsque tu parcoures mes phrases ! J'écris à partir de souvenirs et de sensations, bien souvent.
Merci beaucoup pour le partage de cette pièce musicale, c'est superbe !
@ Merci Sun Simiao A s'y méprendre - Je suis Dewey, bien loin de notre Monroe !
@ Bidgistress, c'est parce que nous voulons être tout, sans être personne.
L’éclectisme... Que veux-tu !
Merci pour tes doux mots, ils me vont droit au coeur
@ Fab. Fabrice, wooow, ça alors ;-) si j'ai pu te toucher, c'est merveilleux
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Bienvenue sur le forum Poupipou.
Merci pour cette très belle présentation que tu nous as offerte.
Puisses-tu trouver par ici des petites choses t'aidant dans la voie de la (re)connaissance de soi.
Merci pour cette très belle présentation que tu nous as offerte.
Puisses-tu trouver par ici des petites choses t'aidant dans la voie de la (re)connaissance de soi.
Nicoco- Messages : 4321
Date d'inscription : 16/09/2009
Age : 60
Localisation : Paris
Re: Je respire où tu palpites.
Bravo pour cette présentation, je me dis que je devrais revoir la mienne.
Bienvenu
Bienvenu
Gorbac- Messages : 6
Date d'inscription : 19/09/2017
Age : 43
Localisation : Morlaix
Re: Je respire où tu palpites.
Merci Nicoco et Gorbac
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Bonjour, fan de tieutieu. Une image de champs pour toi. Y avait plus de papillons, mais vont revenir.
Re: Je respire où tu palpites.
.
Dernière édition par Poupipou le Sam 25 Jan 2020 - 19:58, édité 1 fois
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Belle compositiion sur l'absence, trop belle pour être supportable, aurais tu des textes qui t'offrent un avenir, si ne c'est paisible, du moins légérement souriant ou ensolleilé ?
A défaut, un écrit rapplelant les raisons qui font de l'amour un amant déchu... afin d'équilibrer les sentiments vécus
A défaut, un écrit rapplelant les raisons qui font de l'amour un amant déchu... afin d'équilibrer les sentiments vécus
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
Re: Je respire où tu palpites.
Les textes ensoleillés, lorsque je suis morose, n'arrivent à se glisser dans mon coeur...
Poupipou- Messages : 59
Date d'inscription : 15/09/2017
Re: Je respire où tu palpites.
Puis-je te proposer de procèder alors de l'inverse, écrit non ce que la morosité te procure comme ressenti mais la raison, les causes qui t'amménent à la morosité. Quelle(s) décision(s), quell's) raison(s) à l'absence ? Comment s'est envolée l'histoire, comment ce choix ?
Fab. Fabrice- Messages : 1328
Date d'inscription : 13/06/2015
Age : 55
Localisation : Entre Moules-Frites et Huitres-Melon
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