Amour, Elfes, Vie et Eternité… Insomnies, vrac de mes pensées... et sensations du moment. Episode 4
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Amour, Elfes, Vie et Eternité… Insomnies, vrac de mes pensées... et sensations du moment. Episode 4
Il est 08h00, je sors prendre le bus. Temps clair, frais. Il ne pleut pas. Dommage, ça m’aurait arrangé, un prétexte à cette humidité sur mon visage. Tant pis, je dirai que c’est le froid si ça se remarque.
La nuit a été courte. Crétin ! Encore cette fichue perception du temps. La nuit a eu sa durée légale, ce sont mes heures de sommeil qui ont été courtes. Raccourcies par ce post pris à la volée à 4h du mat’. Dragon touché en plein vol.
Même pas eu le temps de lui trouver un surnom affectif, jusqu’à cette nuit. Elle aura été mon Etoile Filante, attirée dans mon champ d’attraction pendant 4 mois, le temps de quelques orbites, puis repartie dans son voyage vers un ailleurs à sa mesure : effet ‘fronde gravitationnelle’. Rien d’un ‘bon vent’ désinvolte.
La rencontre ? Une coïncidence ? Certainement autant de probabilité que celle qui a donné naissance à la première cellule vivante. L’amour est cette chose vivante qui nous supporte, que peu touche réellement du doigt. Je les regarde tous dans le bus, les yeux rivés sur leur smartphone, la tête perdue à leur liste de courses du soir. Combien se sont levés ce matin avec suffisamment d’amour au fond du cœur pour tenir la journée ? Moi, j’en ai, malgré tout, je continue à avancer.
Je n’attends pas de nouvelles de mon Etoile ; j’aimerais quand même savoir si un jour, elle a trouvé ce qu’elle cherche, comme j’aimerais lui faire savoir que je vais bien… J’avais trouvé quelque chose que je ne cherchais pas ; je ne cherchais pas parce que je n’imaginais même pas que ça pouvait exister, et encore moins qu’elle me voit…
Très tôt dans ma vie, j’ai compris le distinguo entre Eternel et Immortel.
Les Immortels sont condamnés à une espèce d’infini couloir de la mort fait de perpétuelles et insatisfaisantes répétitions, condamnés à user les plaisirs de la vie jusqu’à ce que tout ne soit plus que souffrance; aucun espoir.
La notion d’Eternité, je ne l’ai comprise qu’avec les Elfes, qu’ils viennent de chez Tolkien ou repris par ailleurs. Plusieurs thèmes légendaires insistent sur le fait qu’ils sont nés d’un amour infini d’une divinité. Plus prosaïquement, ils naissent et ils meurent, soit de mort brutale, les accidents de la vie, soit de fin de vie choisie. Entre les deux, un temps choisi fait d’instants privilégiés, travaillés, cultivés, sublimés. L’Amour, à mon sens, suit un cycle de vie semblable. Mais j’ai encore du mal à argumenter et étayer ma sensation. Mes amours sont multiples, cumulatifs et permanents ; je l’ai déjà présenté précédemment. Peut-être un effet collatéral de mon hyper-mnésie, rendu supportable par une bonne dose d’humilité et de compassion, sans prétention.
J’ai eu la chance de quitter mon trou à la campagne pour venir à la grande ville, avoir plus de chance de trouver des personnes avec qui je puisse communiquer. Ça avance, je m’intègre, mais c’est lent, vraiment très lent ; mais je ne suis disponible qu’à 50%. J’aurais aimé avoir une amie avec qui pouvoir partager tout ça, surtout en ce moment. Quelques contacts, encore frais, jeunes, fragiles, trop fragiles… Une en particulier, avec laquelle j’aimerais emprunter certains chemins, tout en sachant que je m’en interdis d’autres. Je n’en sais pas encore assez sur ses valeurs, son passif, ses espoirs, ses attentes…
La nuit a été courte. Crétin ! Encore cette fichue perception du temps. La nuit a eu sa durée légale, ce sont mes heures de sommeil qui ont été courtes. Raccourcies par ce post pris à la volée à 4h du mat’. Dragon touché en plein vol.
Même pas eu le temps de lui trouver un surnom affectif, jusqu’à cette nuit. Elle aura été mon Etoile Filante, attirée dans mon champ d’attraction pendant 4 mois, le temps de quelques orbites, puis repartie dans son voyage vers un ailleurs à sa mesure : effet ‘fronde gravitationnelle’. Rien d’un ‘bon vent’ désinvolte.
La rencontre ? Une coïncidence ? Certainement autant de probabilité que celle qui a donné naissance à la première cellule vivante. L’amour est cette chose vivante qui nous supporte, que peu touche réellement du doigt. Je les regarde tous dans le bus, les yeux rivés sur leur smartphone, la tête perdue à leur liste de courses du soir. Combien se sont levés ce matin avec suffisamment d’amour au fond du cœur pour tenir la journée ? Moi, j’en ai, malgré tout, je continue à avancer.
Je n’attends pas de nouvelles de mon Etoile ; j’aimerais quand même savoir si un jour, elle a trouvé ce qu’elle cherche, comme j’aimerais lui faire savoir que je vais bien… J’avais trouvé quelque chose que je ne cherchais pas ; je ne cherchais pas parce que je n’imaginais même pas que ça pouvait exister, et encore moins qu’elle me voit…
Très tôt dans ma vie, j’ai compris le distinguo entre Eternel et Immortel.
Les Immortels sont condamnés à une espèce d’infini couloir de la mort fait de perpétuelles et insatisfaisantes répétitions, condamnés à user les plaisirs de la vie jusqu’à ce que tout ne soit plus que souffrance; aucun espoir.
La notion d’Eternité, je ne l’ai comprise qu’avec les Elfes, qu’ils viennent de chez Tolkien ou repris par ailleurs. Plusieurs thèmes légendaires insistent sur le fait qu’ils sont nés d’un amour infini d’une divinité. Plus prosaïquement, ils naissent et ils meurent, soit de mort brutale, les accidents de la vie, soit de fin de vie choisie. Entre les deux, un temps choisi fait d’instants privilégiés, travaillés, cultivés, sublimés. L’Amour, à mon sens, suit un cycle de vie semblable. Mais j’ai encore du mal à argumenter et étayer ma sensation. Mes amours sont multiples, cumulatifs et permanents ; je l’ai déjà présenté précédemment. Peut-être un effet collatéral de mon hyper-mnésie, rendu supportable par une bonne dose d’humilité et de compassion, sans prétention.
J’ai eu la chance de quitter mon trou à la campagne pour venir à la grande ville, avoir plus de chance de trouver des personnes avec qui je puisse communiquer. Ça avance, je m’intègre, mais c’est lent, vraiment très lent ; mais je ne suis disponible qu’à 50%. J’aurais aimé avoir une amie avec qui pouvoir partager tout ça, surtout en ce moment. Quelques contacts, encore frais, jeunes, fragiles, trop fragiles… Une en particulier, avec laquelle j’aimerais emprunter certains chemins, tout en sachant que je m’en interdis d’autres. Je n’en sais pas encore assez sur ses valeurs, son passif, ses espoirs, ses attentes…
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