C'est en réduisant sa capacité à MP qu'on poste n'importe quoi.

J'ai toujours pensé que les mythes antiques étaient des réadaptations de mythes préhistoriques. On ne sait pas depuis combien de millénaires les humains racontent des histoires, le soir à la télé veillée

C'est crédible. Après, recyclage dans la Bible et compagnie. Rien ne se perd, tout se transforme ^^

Je ne peux pas mépper donc je poste nawak

Tu te trompes, ce fil est celui pour moins poster de MP, celui pour pouvoir en poster plus est celui-ci :

https://www.zebrascrossing.net/t31972p400-c-est-en-postant-n-importe-quoi-qu-on-augmente-sa-capacite-de-mp

Si tu veux, c'est ton interprétation, ou ton choix de penser que je me trompe, moi je pense que ton titre n'exprime pas que ton fil est là pour moins poster de mp, mais pour illustrer que si l'on poste moins de mp, on en est réduit à fatalement poster n'importe quoi (par défaut ?), par exemple ici-même, et comme je suis en l'incapacité immédiate de mépper, je tombe par la force des choses dans la catégorie extrême de qui en poste moins, et donc je puis être enclin à poster n'importe quoi, et donc je t'ai entendu, ou j'ai entendu mon acception de ta proposition, et suis venu faire de la sorte.

Tout cela est fort beau, mais il n'en reste pas moins un biais dans ton raisonnement. Le titre appelle à la relation de cause conséquence. Mais la cause t'es inaccessible. Si tu n'as pas la capacité de MP, tu ne peux, par la force des choses, pas la réduire, celle-ci n'existant à l'état quantitatif que de façon binaire et que tu es déjà à son seuil minimum. La conséquence en devient dès lors indisponible, elle n'existe que grâce à une autre condition.

Il faudrait donc ouvrir un nouveau fil intitulé :
C'est parce qu'on n'a pas la capacité de MP qu'on poste n'importe quoi.

À noter toutefois que l'objet que l'objet du présent fil est surtout de souligner le côté absurde de l'original. La capacité à MP étant binaire, comme indiqué précédemment (on l'a (1) ou on ne l'a pas (0)), on ne peut pas l'augmenter ou la réduire progressivement comme le suggéreraient ces titres fallacieux, on ne peut que la débloquer ou la bloquer (avec l'aide motivée de la modération pour ce dernier cas). Selon cette observation, la nouvelle proposition de titre (voir ci-dessus) serait de nouveau la plus adéquate.

Tout cela est fort pointilleux, mais il n'en demeure pas moins que chaque raisonnement, qui plus est dès lors qu'il s'affranchit de considération "scientifique", tel le tien et le mien, les miens je dirais (si tenté que c'en soient, et non pas de simples exercices gratuits et notablement fumistes impropres à être attentivement lus et pris pour arguments de controverse) sont fort teintés de biais, et que nous sommes, humains, de travers, que je sache la réduction peut fort bien en effet apparaître comme la diminution d'une propriété, la réduction d'une capacité comme la diminution de telle capacité, mais ce peut être également la réduction volontaire d'une capacité que l'on muselle, auquel cas l'on réduit volontairement sa capacité à se servir d'une capacité, par ailleurs pour en revenir à mon cas personnel je pourrais avoir joui de ladite capacité et l'avoir réduite (véritablement, et non par le truchement d'une volonté surpuissante qui maîtriserait vers le bas une capacité encore existante sur le papier), en décidant de l'ôter purement et simplement (par le truchement d'une volonté surpuissante un peu moins puissante que la précédente et qui pourra s'extraire du doute relatif à sa surpuissance en faisant en sorte que la capacité que l'autre jugulait par un mental exceptionnel soit devenue réduite, amoindrie, au point d'être nulle). Car j'en viens dès lors, par la terminaison de la parenthèse précédente, à ce que l'on peut indubitablement considérer comme la pierre d'achoppement de nos deux mentalités qui paraissent incompatibles sur le plan de l'entente élémentaire, à savoir que je ne sais fonctionner en binaire et qu'une réduction peut aboutir au néant, et qu'alors un observateur peu au fait ne pourra imaginer que cette réduction a bel et bien eu lieu, et plus encore que la réduction pourrait avoir eu lieu à partir d'un potentiel état où la réduction n'aurait pas eu lieu, et pour aller plus loin une capacité nulle est selon mon entendement romanesque des choses forcément réduite, quand bien même elle n'est pas, car il est réducteur de ne songer qu'aux possibilités duales d'une seule entité, une capacité nulle est forcément réduite à l'aune d'une tierce capacité non nulle, et encore nous n'avons pas parlé d'oxydation.

Trop long pour être intéressant.

Désolé, j'ai pensé que comme certaines personnes, y compris moi parfois, souvent, pas toujours, tu aimais les préliminaires. Pour te complaire je te donnerai le grand secret, tu peux t'affranchir de cette longueur qui te rebutes, en allant à l'essentiel, il est facile à reconnaître, je l'ai mis en exergue à l'aide du point final.

Il va sans dire pourtant que je n'écrivais point pour nos pommes, mais pour les poires qui liraient.

N'aie crainte, je n'ai que la faculté de concentration d'un poisson rouge. Les longs paragraphes m'ennuient vite. D'autant que souvent certains s'y écoutent seulement raisonner et la musique qui en sort n'est pas très juste.

Le dernier point donne toujours le match, c'est bien vu, il faut seulement voir s'il est dedans ou dehors.

Pourquoi les membres de ZC ont-ils l'esprit d'escalier ?

Spoiler:

Je ne vois pas le rapport, ne pas avoir les facultés au moment voulu me semble une gêne, un sentiment de désavantage (admettons, quoique), mais qui peut assez aisément se dissiper dès lors qu'il n'est pas obligatoire de répondre ici dans l'immédiateté, et que les plus enclins à flageller leur manque de cohérence spontané ont tous loisirs s'ils le désirent de peaufiner la sonorité percutante de leur réponse, donc je ne veux admettre cet esprit d'escalier en ce forum,

d'autre part, et là je saute une ligne pour présenter de moins longs paragraphes, une censure en dérangement, réduite, nulle (voir infra), joue par son défaut plutôt à catalyser les témérités de discours et de répliques, et par là la nature cinglante que regrettent les personnes qui se morfondent de n'avoir pas su en colorer leur répartie inexistante.

Il n'y avait pas de rapport, je ne savais pas où la placer, c'est tout. Ça m'est venu trop tard.

Que peut-on faire de la répartie, si on est pas équitables ?

Et que peut-on dire de celles qui ragotent plus qu'elles ne radotent ?
Devraient-elles partir ? Quand seront-ce les commères, ces quittables ?

Je n'ai pas dit qu'il n'y avait pas de rapport entre la blague et le charabia non esthétique de nos joutes fourbues précédentes, mais pas de rapport entre l'énoncé de la blague et sa réponse tonitruante , hors le jeu de mots qui m'a laissé longuement perplexe avant que je surmonte ma répartie défaillante en laissant croître des considérations nullardes vaguement bricolées pour tenter de présenter une volée de revers espérant se déguiser en ace.

Si l'on est pas équitable, on peut réduire sa répartie à la capacité que l'on juge nécessairement suffisante pour ne pas vexer l'interlocuteur et ne pas passer pour cuistre hautain, et garder le reste par devers soi en s'enorgueillant en catimini de notre fatuité cachée.


Et que peut-on dire de qui féminise par fait exprès les auteurs des ragots ?
Devraient-ils partir autant que le devraient les prétendues peu ragoûteuses ?
Ou untel vient-il ce-faisant démontrer qu'il ne s'exempte pas d'une nature vulgaire et donc commune, les exonérant de leur caractéristique vile et rappelant tandis qu'il les pointe qu'il n'agit point différemment ?
Car si commères, compères, et toutes et tous quitte et quittables.

C'est un problème de connotation, et un effet collatéral du patriarcat. Compère est positif quand commère est négatif.

Des commères :

Des compères :

Comme on peut l'observer à travers cet exemple criant, seul le deuxième duo fait rire. Le premier lui se contente d'être affligeant. On pourrait toujours me rétorquer que les Chevaliers du fiel, puisqu'ils ne sont pas drôles non plus, sont un contrexemple de cette démonstration, puisqu'on peut difficilement les qualifier de commères plutôt que de compères. Ce à quoi je répondrai, d'une sentence irrévocable marquant tout mon désintérêt de la question bien plus que mon manque d'argument recevable : "Certes..."

Salut à tous.

Je n'ai rien à dire sur le sujet.

Mais il fallait que je l'écrevisse.

Les premières sont des hommes, alors je passerai sous silence l'exemple à point nommé des chevaliers du fiel qui ne sont pas drôles, sans doute juste un peu moins que les deux autres dont les noms m'échappent présentement, que je vais compléter lorsque j'aurais fait le vide en moi-même à la recherche du pan mémoriel détritique qui les aurait enregistrés, je le vois poindre à l'horizon ça y est presque, c'était pourtant assez simple ça commençait pareil comme quoi, Chevalier et Laspallès, donc deux exemples désormais, d'aucuns diront, certes d'autres ne seront pas tout à fait d'accord, voire pas le moins, trouvant au second duo certain mérite, peu importe c'est moi qui écris et juge, ce pour dire donc que malgré les lamentables exemples chevaleresques, nous noterons avec indicible désagrément, une nostalgie existentielle, que les affligeantes commères sont masculines, comme s'il fallait que des nuls virils sans talent se griment en femmes, rétives à l'humour puisque ne sachant, pouvant oserait-on dire, s'adonner comme démontré plus haut, qu'à la radoterie au mieux et au ragot au pire, quoiqu'elles y excellent, si l'on peut prétendre se vanter de brio dans ce genre lamentable, et que les nullards qui ne savent pas s'exempter de produire nullité en public savent néanmoins ne pouvoir alors se prétendre virils et camouflent leur tronche de gibet sous les oripeaux les plus atrocement rances du beau sexe qui ne l'est pas, alors qu'enfin, que demande-ton au beau sexe, même si cela nous morfond de saudade et de l'incommunicabilité de l'être, sinon de l'être bel et bien, et de se taire, ou de ne parler qu'entre soi.

Je sens irrévocablement que je me suis en plein dedans commis avec ce post, j'escompte juste qu'il apparaîtra suffisamment indigeste pour qu'on ne le lise pas et que je pourrai continuer à augmenter significativement ma capacité de mépper, quoique elle soit déjà, et n'a donc pas à être augmentée, sauf à convaincre mon bon vouloir de surmonter une timidité qui pourrait m'empêcher de sonner à la porte d'inconnus, ou de répondre à d'aimables ou moins sympathiques intrus, sans que je sois obligé de passer sous les fourches hidalgodines du misogyne honteux, d'autant plus que je ne sais plus mon sexe.

Pourquoi aller bavarder, alors qu'on perd ?

Miam, des écrevisses !

Hortense a écrit:Pourquoi aller bavarder, alors qu'on perd ?

Parce qu'on a rien d'autre à foot.

"Si tu n'as rien à dire, tu peux toujours citer un proverbe chinois".
Proverbe Chinois.

"Le problème avec les citations sur Internet, c'est qu'on a du mal à savoir si elles sont véridiques".
Isaac Newton

Je peux mépper mais je ne veux pas de cette capacité donc c'est comme si je l'avais réduite à néant donc je veux et peux poster nawak.

@ Fift: on n'est pas sûr qu'il le pensait vraiment parce qu'il a dit ça juste après avoir reçu une pomme sur la tête. Ceci dit, c'eut pu être pire, il eut pu se trouver sous un cocotier.

Il aurait pu aussi se trouver sous un arbre à friteuse et se prendre des pommes frites et l'huile sur la tête.

Heurrrreusement, Isaac n'était pas belge, une fois !

Je peux d'autant plus poster nawak que je sais faire des phrases que je sais qu'elles rebuteront encore plus qui pourrait les lire que moi qui les pond et donc qu'il y ait de grandes chances qu'on ne me lise pas ou pas bien et d'ailleurs j'escompte qu'on ne peut les lire bien d'autant que les lire mal n'y changerait pas grand chose puisqu'elles ne prétendent rien d'autre qu'être un nawak rébarbatif des fois je me commets comme utiliser deux nawaks ça peut attirer l'œil et d'un coup qui ne voulait pas lire ou aura déjà sauté au post suivant ou s'apprêtait à le faire aura l'œil retenu, maintenant ça fait deux yeux, et quand on dit deux yeux il n'y a pas de troisième œil c'est une particularité touchante de cette langue, un jour j'inventerai des pluriel indélicats qui n'existent pas tiens, et retenu ce laps de temps il pourrait être tenté de lire ce qu'il y avait entre les deux nawaks, mais comme ensuite j'ai rajouté des lignes avec entre autres, je mets un s à autre, des nawaks au pluriel, forcément, cela deviendra vraiment trop contraignant, même pour le malheureux qui s'était dit allons je vais faire un petit effort, donc à la fin il n'y aura que moi qui aura lu ce que j'ai écrit, quoique pas vraiment lu mais tout du moins accompagné cependant que j'écris, et j'aurais tout aise d'écrire un peu n'importe quoi, ou même carrément beaucoup, et pendant ce temps là j'entraverai sérieusement ma potentialité capable et encore non entachée de réalisation fondée à aller taquiner le goujon ou la goujonnette par mp et par là-même de m'assujettir de cette astreinte ridicule à écrire vraiment sans sens, quand qui sait à juste quelques clics mon meilleur ami ou la femme qui pensera que je suis l'homme de son cœur attend sans le savoir, je ne savais plus mon sexe mais je viens de le retrouver en direct.

Oui mais Isaac Roche aux branches ...

Je me demande s'il s'était pris une pomme d'amour dans les cheveux, il aurait pas inventé plutôt la tondeuse électrique que découvert la loi de gravitation.

Quiconque se sera endormi un jour en mâchant un chouinegaume me comprendra.

@ Pandi Panda: et sinon, t'as essayé les proverbes chinois ?

@ Fift: c'est pas Darwin non plus (ils ne bossaient pas dans la même branche).

@ Hécate: il s'en foutait, il portait des perruques.

Non je n'ai pas essayé les proverbes de l'empire du milieu car déjà je suis un peu contre le milieu on est tous de côté de travers de contraires et je n'aime pas cette idée de milieu même si on pourrait dire que c'est une sorte de compromis des tendances d'ailleurs je n'aime pas les compromis et je n'aime pas la sagesse et ceux qui prétendent la détenir et je n'aime pas les maximes et sentences surtout lorsqu'elles s'affirment je ne tolère à peu près que les miennes qui sont brinquebalantes et que j'infirme tout le temps et je n'aime pas essayer comme s'il fallait tâter de ci et de ça pour trouver ce que je n'aurais pas tu m'excuseras c'est sorti d'un seul coup d'un seul ça m'a vachement énervé cette histoire de proverbes chinois j'ai pas mis de virgules c'est pas demain la veille qu'ils me commanderont à la baguette.

Cela étant,
vous souhaitant le bonjour omis,
l'un d'entre vous pourrait-il m'indiquer un fil de moindre notoriété où je pourrais complaisamment écrire sans craindre et d'être lu et d'y lire les interventions de vos homologues, sans que je prétende être offusqué de vos, leurs jeux de mots, ou de leur pérégrinations mentales affichées en idées, concepts, arguments (je ne vous associe pas car vous semblez un peu à l'abri de ces prétentions, ou semblez portés à être tout du moins enclins à réfréner un peu leurs tentatives d'expression), mais je suis tout de même assez sujet à la sujétion inconfortable à un malaise misanthrope dès lors que me parviennent les avis et ce qui se veut plaisanteries de ce qui m'apparaît populace en tant que la somme brouillée et rébarbative d'avis divers d'individualités finalement similaires.
J'ai tenté le format word et plus avant la feuille de papier balafrée du stylo, mais je préfère quand c'est tout en couleurs sur un beau site comme ici, je ne suis pas encore assez prétentieux pour créer un blog, et pas assez modeste pour écrire ou vraiment personne ne lirait, quand bien même je n'ai tellement rien à dire, alors je pourrais tout à fait comprendre que vous m'envoyâtes chier, je vais bien me faire foutre tout seul plus souvent qu'à mon tour, je saurais alors que je ne méritais pas d'être admis en ce site, et que j'ai bien fait d'y montrer ma fastidieuse et pénible propension à être moi avant que d'aller ennuyer quiconque via le MP.
Avec mes remerciements anticipés, ma pleine considération, etc.

Si tu ne veux pas être lu, tu peux essayer les fils de critique de la modération.

Merci de m'avoir lu,
j'entends sous ta petite phrasounette une critique de ce qui est critiqué dans ces fils de critique de la modération,
certes je pourrais y aller voir et même écrire, mais tout de même je ne me sens fondé d'aucune critique, positive ou négative,
alors ce serait un peu malhonnête, et je m'en sentirais mal.

Il n'y a pas de critique puisque je dis n'importe quoi ici. Donc il peut y avoir une critique, mais elle n'existe pas pour autant.

Susceptible, Pandi panda ? Protège-toi si tu te sens agressé, n'oublie pas que tu es en voie de disparition.

N'importe quoi, je ne suis pas susceptible, essaye pas de m'énerver, ça marchera pas, ou ça m'énerverait que ça marche,
et m'agresse pas en disant que je me sens agressé, ça m'agresse alors que je suis un panda tout doux qui mange que du bambou, jamais d'œufs moi,
je suis vegan et bouddhiste en sus, si tu continues de froisser mon pacifisme je serais obligé de m'immoler.

M'immoler ? A la mimolette alors, ça ferait une bonne raclette.

Non ça ferait rien de bien, la mimolette ça n'a pas de goût, d'ailleurs de Gaulle devait n'être pas si français pour oser dire c'était son frometon préféré.

S'il en avait eues, il aurait préféré la midurette, d'ailleurs

Hurette ? c'est qui ? La soeurette de Ben-Hur ?

Peut-être se contentait-il de vît à gras.

Hurette c'est une petite tête de cochon, ou encore une putainette teutonne.

http://chibird.com

Mayflower, p'tit pimousse !

c est trop cool les vieilles peintures vu qu'avant on pouvait pas prendre de photos il reste que ça
merci à eux

Si je désire nulle eau d'Europe,
C'est la flache noire et froide où
vers un crépuscule embaumé
un enfant plein de tristesse lâche
un bateau frêle comme un papillon de mai

Monsieur et madame Motus ont un fils, comment s'appelle-t-il ?

The answer:

Abaris a écrit:Monsieur et madame Motus ont un fils, comment s'appelle-t-il ?

The answer:

Je l'ai dit en chantonnant, j'ai ri alors merci !