Quand les sabots résonnent trop fort...
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Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonjour,
Tout d'abord, merci de m'avoir donné l'opportunité de lire des témoignages et de pouvoir fréquenter la communauté... je me pose beaucoup de questions, mais est-ce que ce n'est pas le problème majeur de tous les zèbres ?
En fait, j'étais venue me renseigner pour ma fille à la base, et au final, je suis là pour nous deux.
Zèbre, je pense l'être depuis l'adolescence.
Un jour, j'ai passé des tests en ligne à la MENSA. A l'époque, quand vous dépassiez un certain score en ligne, on vous invitait, avec votre fratrie complète, à passer gratuitement le test d'adhésion au club... Bon le test se tenait un dimanche matin, il y avait une grosse soirée au Cherry Moon le samedi soir... on est arrivés déchirés au test de QI. Il faut 120 pour être accepté à la MENSA, dans l'état, j'ai fait 116... juste pas surdouée, du coup !
Pendant des années, on a cru que j'étais cyclothymique : j'ai des sautes d'humeur engendrées par deux choses majoritairement : l'ennui et la panique.
Quand je vous dis sautes d'humeur, je devrais dire : états maniaco-dépressifs légers : dépression très forte entrecoupée de périodes d'euphorie ...
Et puis, le travail, c'est compliqué pour moi, j'ai enchaîné tellement d'employeurs que je suis considérée comme profil atypique par les recruteurs : instable, avec une relation conflictuelle au management, je me lasse en général au bout d'un an et dans ces cas là, je perds pied.
Mes échecs professionnels m'ont tous menés à un changement radical de vie : je quitte tout quand je quitte un job, parce que ça me perturbe au point de me faire perdre pied.
Je suis donc traitée depuis plus de vingt ans pour des burn-out et de la dépression chronique.
Faut dire que dans ces cas-là, ça devient compliqué de faire confiance aux psychologues... hum.
Mon dernier changement radical date d'il y a trois ans : divorce, démission, déménagement... nouveau job qui me permet non pas de me développer intellectuellement mais de m'aménager un équilibre sympa entre le taf et la famille : horaires adaptés à ma situation, beaucoup de congés, pas mal de responsabilités, et un boss qui me fait subir un harcèlement moral insupportable pour moi : modification de mes horaires sans me consulter, instructions contradictoires ou incomplètes, refus de m'accorder les aménagements promis pour gérer la garde de ma fille.... bref, j'ai mal choisi mon orientation, et au lieu de partir comme je l'aurais normalement fait, j'ai continué à m'accrocher...
Résultat deux ans plus tard, je me fais virer (violemment je suis en conflit juridique avec mon employeur) et je sombre dans une forme de dépression que je n'ai jusque là jamais connu : aphasie, apathie, je ne suis plus capable de rien et je ne ressens plus grand chose sauf la tristesse ou l'euphorie. Et les troubles du sommeil sont devenus tels que je ne suis plus en mesure de discerner quel jour on est... les minutes passent comme des heures, mais les heures filent comme des secondes...
J'arrive pas à chercher un autre boulot : j'ai peur de me planter à nouveau et je sais que je me relèverai pas si c'est le cas.
Du coup, bhé je réfléchis beaucoup, trop, je pars en vrille, j'arrive plus à gérer mes émotions.
On m'envoie consulter.
Je choisis une neuropsy, parce que j'ai essayé tout le reste et que ça n'a donné aucun résultat : je sais de quoi je souffre, simplement je n'arrive pas à en faire quelque chose, à comprendre comment mon humeur s'articule autour de mes choix... et pourquoi, surtout, pourquoi malgré mon intelligence, je n'arrive pas à passer au-dessus.
Ma psy utilise l'hypnose et l'EMDR, et ça donne de bons résultats sur ma gestion de mes émotions. Et c'est à peu près tout, je m'enfonce de plus en plus profondément dans un je-m-en-foutisme général. Comme l'aurait dit ma grand-mère : je me laisse aller.
On évoque alors la possibilité de passer à la psychiatrie : ma psy flippe un peu, jusque là j'avais l'odeur de la dépression, la voix de la dépression, mais j'avais pas l'air dépressive : voici que c'est fait. Je me suis présentée dans des vêtements que je portais depuis 3 jours, sans m'être lavée, coiffée ou avoir pris la peine de me brosser les dents. Inutile de vous dire que ce n'est pas dans mes habitudes.
Alors elle prend le temps de me faire passer les test de Hamilton et Beck, et puis celui de Rorschach.
Non seulement je suis en dépression sévère selon les deux premiers, mais le troisième la met sur une piste qui l'interpelle depuis un petit temps : et si ma dépression venait d'une mauvaise gestion d'un profil HP ?
Elle a entendu les sabots, et elle a pensé Zèbre, pas cheval. Elle a transmis mon dossier à un psychiatre spécialisé dans les traumatisés graves et les personnalités HP, qui m'a (sans même me voir) posé deux rendez-vous pour la semaine prochaine et la suivante : un pour un bilan intellectuel, un pour un bilan psychiatrique.
D'après ma psy, je dispose d'un esprit assez particulier. Très paradoxal. En gros je suis tout et son contraire.
Et puis, si je suis HP, il y a de grandes chances que ma fille le soit.
Là j'ai pas attendu la psy. Un enfant qui a deux ans et demie regarde les petites boules rouges sur les arbres et te dit : maman c'est toxique... !
Une enfant de cinq ans qui t'explique comment fonctionne une bétonneuse, et quand tu lui demandes comment elle sait, te répond : je le sais c'est tout, je le vois dans mon cerveau. Une enfant de cinq ans qui te prends dans les bras quand elle te sent triste et te dit : ça va aller maman, tu es la meilleure, moi je t'aime plus fort que ça... ! Et qui a 5 ans est capable de te faire des liens de cause à effet pour justifier une mauvaise action (elle veut faire pipi dans le bain, je dis non. Elle me dit Maman les sirènes aiment pas l'eau. Je réponds bhé, elles vivent dans l'eau, dorment dans l'eau, font pipi dans l'eau... Alors elle se marre et me dit : je suis une sirène, moi aussi je fais pipi dans l'eau... dont acte...) J'ai pas de doutes quant à son intelligence, à elle ! Mais on va la tester après moi (je veux d'abord voir à quel point c'est stressant ou non).
Oulààà, je me rends compte que je vous ai raconté ma vie, ou presque... et que ça n'a pas grand queue ni tête... c'est un peu désordonné dans la mienne (de tête) là, ça doit expliquer cela.
Alors, pourquoi je suis ici : parce que j'ai besoin de parler, de lire des expériences différentes ou proches de la mienne... parce que depuis que cette histoire de HP est venue sur le tapis, mon cerveau tourne à plein régime et je me nourris de lectures sur le sujet... en pleurant, souvent, parce que je me dis que si on avait pris ça au sérieux plus tôt... si mon père n'avait pas toujours pensé que j'étais une chieuse impertinente extrasociale... si mes psys avant avaient effleuré la possibilité d'un HP... peut-être que le mal être que je ressens serait moindre, ...
Ou pas.
Bref j'en suis là, dans un ouragan (assez familier d'ailleurs) de questions sans réponses, d'attentes, de craintes, ...et il faut que je canalise ça
Merci de m'accueillir parmi vous.
Et au plaisir d'échanger autour des sujet variés qui m'occupent (et vous aussi à ce que j'ai vu)...
Ah, et aussi, je suis artiste, j'écris (j'ai été publiée à compte d'éditeur), je peins, je crée pas mal dans les phases UP. Rien à voir, mais j'ai vu qu'il y avait quelques confrères ^^ dans le coin !
Voilà.
Tout d'abord, merci de m'avoir donné l'opportunité de lire des témoignages et de pouvoir fréquenter la communauté... je me pose beaucoup de questions, mais est-ce que ce n'est pas le problème majeur de tous les zèbres ?
En fait, j'étais venue me renseigner pour ma fille à la base, et au final, je suis là pour nous deux.
Zèbre, je pense l'être depuis l'adolescence.
Un jour, j'ai passé des tests en ligne à la MENSA. A l'époque, quand vous dépassiez un certain score en ligne, on vous invitait, avec votre fratrie complète, à passer gratuitement le test d'adhésion au club... Bon le test se tenait un dimanche matin, il y avait une grosse soirée au Cherry Moon le samedi soir... on est arrivés déchirés au test de QI. Il faut 120 pour être accepté à la MENSA, dans l'état, j'ai fait 116... juste pas surdouée, du coup !
Pendant des années, on a cru que j'étais cyclothymique : j'ai des sautes d'humeur engendrées par deux choses majoritairement : l'ennui et la panique.
Quand je vous dis sautes d'humeur, je devrais dire : états maniaco-dépressifs légers : dépression très forte entrecoupée de périodes d'euphorie ...
Et puis, le travail, c'est compliqué pour moi, j'ai enchaîné tellement d'employeurs que je suis considérée comme profil atypique par les recruteurs : instable, avec une relation conflictuelle au management, je me lasse en général au bout d'un an et dans ces cas là, je perds pied.
Mes échecs professionnels m'ont tous menés à un changement radical de vie : je quitte tout quand je quitte un job, parce que ça me perturbe au point de me faire perdre pied.
Je suis donc traitée depuis plus de vingt ans pour des burn-out et de la dépression chronique.
Faut dire que dans ces cas-là, ça devient compliqué de faire confiance aux psychologues... hum.
Mon dernier changement radical date d'il y a trois ans : divorce, démission, déménagement... nouveau job qui me permet non pas de me développer intellectuellement mais de m'aménager un équilibre sympa entre le taf et la famille : horaires adaptés à ma situation, beaucoup de congés, pas mal de responsabilités, et un boss qui me fait subir un harcèlement moral insupportable pour moi : modification de mes horaires sans me consulter, instructions contradictoires ou incomplètes, refus de m'accorder les aménagements promis pour gérer la garde de ma fille.... bref, j'ai mal choisi mon orientation, et au lieu de partir comme je l'aurais normalement fait, j'ai continué à m'accrocher...
Résultat deux ans plus tard, je me fais virer (violemment je suis en conflit juridique avec mon employeur) et je sombre dans une forme de dépression que je n'ai jusque là jamais connu : aphasie, apathie, je ne suis plus capable de rien et je ne ressens plus grand chose sauf la tristesse ou l'euphorie. Et les troubles du sommeil sont devenus tels que je ne suis plus en mesure de discerner quel jour on est... les minutes passent comme des heures, mais les heures filent comme des secondes...
J'arrive pas à chercher un autre boulot : j'ai peur de me planter à nouveau et je sais que je me relèverai pas si c'est le cas.
Du coup, bhé je réfléchis beaucoup, trop, je pars en vrille, j'arrive plus à gérer mes émotions.
On m'envoie consulter.
Je choisis une neuropsy, parce que j'ai essayé tout le reste et que ça n'a donné aucun résultat : je sais de quoi je souffre, simplement je n'arrive pas à en faire quelque chose, à comprendre comment mon humeur s'articule autour de mes choix... et pourquoi, surtout, pourquoi malgré mon intelligence, je n'arrive pas à passer au-dessus.
Ma psy utilise l'hypnose et l'EMDR, et ça donne de bons résultats sur ma gestion de mes émotions. Et c'est à peu près tout, je m'enfonce de plus en plus profondément dans un je-m-en-foutisme général. Comme l'aurait dit ma grand-mère : je me laisse aller.
On évoque alors la possibilité de passer à la psychiatrie : ma psy flippe un peu, jusque là j'avais l'odeur de la dépression, la voix de la dépression, mais j'avais pas l'air dépressive : voici que c'est fait. Je me suis présentée dans des vêtements que je portais depuis 3 jours, sans m'être lavée, coiffée ou avoir pris la peine de me brosser les dents. Inutile de vous dire que ce n'est pas dans mes habitudes.
Alors elle prend le temps de me faire passer les test de Hamilton et Beck, et puis celui de Rorschach.
Non seulement je suis en dépression sévère selon les deux premiers, mais le troisième la met sur une piste qui l'interpelle depuis un petit temps : et si ma dépression venait d'une mauvaise gestion d'un profil HP ?
Elle a entendu les sabots, et elle a pensé Zèbre, pas cheval. Elle a transmis mon dossier à un psychiatre spécialisé dans les traumatisés graves et les personnalités HP, qui m'a (sans même me voir) posé deux rendez-vous pour la semaine prochaine et la suivante : un pour un bilan intellectuel, un pour un bilan psychiatrique.
D'après ma psy, je dispose d'un esprit assez particulier. Très paradoxal. En gros je suis tout et son contraire.
Et puis, si je suis HP, il y a de grandes chances que ma fille le soit.
Là j'ai pas attendu la psy. Un enfant qui a deux ans et demie regarde les petites boules rouges sur les arbres et te dit : maman c'est toxique... !
Une enfant de cinq ans qui t'explique comment fonctionne une bétonneuse, et quand tu lui demandes comment elle sait, te répond : je le sais c'est tout, je le vois dans mon cerveau. Une enfant de cinq ans qui te prends dans les bras quand elle te sent triste et te dit : ça va aller maman, tu es la meilleure, moi je t'aime plus fort que ça... ! Et qui a 5 ans est capable de te faire des liens de cause à effet pour justifier une mauvaise action (elle veut faire pipi dans le bain, je dis non. Elle me dit Maman les sirènes aiment pas l'eau. Je réponds bhé, elles vivent dans l'eau, dorment dans l'eau, font pipi dans l'eau... Alors elle se marre et me dit : je suis une sirène, moi aussi je fais pipi dans l'eau... dont acte...) J'ai pas de doutes quant à son intelligence, à elle ! Mais on va la tester après moi (je veux d'abord voir à quel point c'est stressant ou non).
Oulààà, je me rends compte que je vous ai raconté ma vie, ou presque... et que ça n'a pas grand queue ni tête... c'est un peu désordonné dans la mienne (de tête) là, ça doit expliquer cela.
Alors, pourquoi je suis ici : parce que j'ai besoin de parler, de lire des expériences différentes ou proches de la mienne... parce que depuis que cette histoire de HP est venue sur le tapis, mon cerveau tourne à plein régime et je me nourris de lectures sur le sujet... en pleurant, souvent, parce que je me dis que si on avait pris ça au sérieux plus tôt... si mon père n'avait pas toujours pensé que j'étais une chieuse impertinente extrasociale... si mes psys avant avaient effleuré la possibilité d'un HP... peut-être que le mal être que je ressens serait moindre, ...
Ou pas.
Bref j'en suis là, dans un ouragan (assez familier d'ailleurs) de questions sans réponses, d'attentes, de craintes, ...et il faut que je canalise ça
Merci de m'accueillir parmi vous.
Et au plaisir d'échanger autour des sujet variés qui m'occupent (et vous aussi à ce que j'ai vu)...
Ah, et aussi, je suis artiste, j'écris (j'ai été publiée à compte d'éditeur), je peins, je crée pas mal dans les phases UP. Rien à voir, mais j'ai vu qu'il y avait quelques confrères ^^ dans le coin !
Voilà.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonjour,
Et merci pour votre accueil !!!
(non, ça c'est du sarcasme... je peux pas m'empêcher...)
Sinon dans une heure j'ai mon bilan neuropsy (test de personnalité et bilan intellectuel).
Globalement, tout le monde s'en fout un peu, mais moi ça me perturbe fortement depuis une semaine, presque.
Voilà...
Allez, Estelle, courage, ça va aller, c'est pas la fin du monde de te faire "juger" sur ton intellect (qui est un peu le seul truc fiable dans ma vie sorti de ma fille), et de risquer d'entendre que t'es con comme un balais... ça va aller... !
Ah, merci... ça fait du bien !
Bonne journée...
Bon... ce post est très cynique, certainement, moi aussi...
Et merci pour votre accueil !!!
(non, ça c'est du sarcasme... je peux pas m'empêcher...)
Sinon dans une heure j'ai mon bilan neuropsy (test de personnalité et bilan intellectuel).
Globalement, tout le monde s'en fout un peu, mais moi ça me perturbe fortement depuis une semaine, presque.
Voilà...
Allez, Estelle, courage, ça va aller, c'est pas la fin du monde de te faire "juger" sur ton intellect (qui est un peu le seul truc fiable dans ma vie sorti de ma fille), et de risquer d'entendre que t'es con comme un balais... ça va aller... !
Ah, merci... ça fait du bien !
Bonne journée...
Bon... ce post est très cynique, certainement, moi aussi...
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
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Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 15:49, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bienvenue Estelle2L,
Tu as bien fait de faire remonter le post, je ne t'avais pas vue, mais, désolée, je suis toujours à côté de la plaque.
Bon, je vois que tu en as gros sur la patate en ce moment.
https://www.youtube.com/watch?v=sxZTqXfx28U
Tu diras comment ça s'est passé.
A bientôt.
Tu as bien fait de faire remonter le post, je ne t'avais pas vue, mais, désolée, je suis toujours à côté de la plaque.
Bon, je vois que tu en as gros sur la patate en ce moment.
https://www.youtube.com/watch?v=sxZTqXfx28U
Tu diras comment ça s'est passé.
A bientôt.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonjour et bienvenue
11h18, j'imagine le stress dans lequel tu te trouves.
Mon "jemenfoutisme" m'a épargné le stress, et tout les autres sentiments d'ailleurs, et ce, depuis plusieurs années.
J'espère que ce test t'aideras à aller mieux, à envisager les choses sous un autre angle.
11h18, j'imagine le stress dans lequel tu te trouves.
Mon "jemenfoutisme" m'a épargné le stress, et tout les autres sentiments d'ailleurs, et ce, depuis plusieurs années.
J'espère que ce test t'aideras à aller mieux, à envisager les choses sous un autre angle.
Peyko- Messages : 31
Date d'inscription : 10/05/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonjour ortolan, Hortense et Peyko et merci pour vos encouragements, que j'ai encore pu lire avant le test...
Je reviens à l'instant... perturbée, encore plus...
J'ai donc passé le Weschler WAIS-IV
Je pense avoir totalement foiré le test des cubes et celui des formes à rassembler par 3 images (j'ai du mal à visualiser, je choisis en général "à l'instinct") parce que j'ai mis beauuuucoup de temps à comprendre le principe (règle de trois), le stress aidant.
Les tests de compréhension verbale, définition, classement, tout ce qui est un peu plus littéraire, j'ai l'impression que je me suis bien débrouillée.
Les chiffres (les suites) m'ont étonnées... j'ai bien réussi d'après moi, alors que c'était ce qui me stressait le plus.
Quant aux tests de rapidité, je ne crois pas (sauf pour le rébus, j'ai une bonne mémoire photographique, une fois le code intégré ça roule tout seul) avoir été super efficace.
Bref, j'ai globalement trouvé que ce test était assez facile, dans le sens où les questions sont parfois tellement évidentes que j'ai butté : je me demandais si c'était vraiment ce qui était demandé ou si manquais une constante quelque part.
J'aurais les résultats dans le courant de la semaine prochaine, mais je ne me fais pas de grandes illusions : j'étais dans un état de stress assez proche de l'Ohio et j'ai du revenir sur mes réponses un nombre assez impressionnant de fois. D'ailleurs, la neuropsy a pris des libertés avec la durée du test, j'ai mis un peu plus de temps que la normale... notamment parce que je lui ai demandé (pendant le test des suites à retenir) d'arrêter de me prévenir quand elle augmentait de palier, parce que ça me coupait l'élan.
Bien entendu, elle était obligée de le faire, je pense donc que ça a nuit à mes performances globales : trop d'instructions, les questions trop élargies qui donnent lieu à mile réponses...
Bref, je pense que sur les questions plus ouvertes j'ai été pas mal, sur le reste, je suis restée, comme à mon habitude en porte à faux avec l'énoncé...
Sob...
Bon bhé maintenant, je vais attendre, et la patience n'étant pas mon fort, partir en vrille ce faisant...
Je comprends pas qu'il n'existe pas encore (à l'aire du numérique) de solution plus rapide et efficace pour définir l'intelligence.
Allez, j'attends alors !
Je reviens à l'instant... perturbée, encore plus...
J'ai donc passé le Weschler WAIS-IV
Je pense avoir totalement foiré le test des cubes et celui des formes à rassembler par 3 images (j'ai du mal à visualiser, je choisis en général "à l'instinct") parce que j'ai mis beauuuucoup de temps à comprendre le principe (règle de trois), le stress aidant.
Les tests de compréhension verbale, définition, classement, tout ce qui est un peu plus littéraire, j'ai l'impression que je me suis bien débrouillée.
Les chiffres (les suites) m'ont étonnées... j'ai bien réussi d'après moi, alors que c'était ce qui me stressait le plus.
Quant aux tests de rapidité, je ne crois pas (sauf pour le rébus, j'ai une bonne mémoire photographique, une fois le code intégré ça roule tout seul) avoir été super efficace.
Bref, j'ai globalement trouvé que ce test était assez facile, dans le sens où les questions sont parfois tellement évidentes que j'ai butté : je me demandais si c'était vraiment ce qui était demandé ou si manquais une constante quelque part.
J'aurais les résultats dans le courant de la semaine prochaine, mais je ne me fais pas de grandes illusions : j'étais dans un état de stress assez proche de l'Ohio et j'ai du revenir sur mes réponses un nombre assez impressionnant de fois. D'ailleurs, la neuropsy a pris des libertés avec la durée du test, j'ai mis un peu plus de temps que la normale... notamment parce que je lui ai demandé (pendant le test des suites à retenir) d'arrêter de me prévenir quand elle augmentait de palier, parce que ça me coupait l'élan.
Bien entendu, elle était obligée de le faire, je pense donc que ça a nuit à mes performances globales : trop d'instructions, les questions trop élargies qui donnent lieu à mile réponses...
Bref, je pense que sur les questions plus ouvertes j'ai été pas mal, sur le reste, je suis restée, comme à mon habitude en porte à faux avec l'énoncé...
Sob...
Bon bhé maintenant, je vais attendre, et la patience n'étant pas mon fort, partir en vrille ce faisant...
Je comprends pas qu'il n'existe pas encore (à l'aire du numérique) de solution plus rapide et efficace pour définir l'intelligence.
Allez, j'attends alors !
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
En tout cas tu as réussi le premier pas, le plus difficile, celui de passer ce fameux test ! Alors bravo à toi!
Après, oui la patience avant les résultat..! Faut te trouver une ou des activités qui t'envahissent bien la tête pour penser à autre chose ! De toute façon, maintenant c'est fait, ce n'est plus entre tes mains donc laisse aller !
Je sais..! Plus facile à dire qu'à faire..! Bon courage!
Après, oui la patience avant les résultat..! Faut te trouver une ou des activités qui t'envahissent bien la tête pour penser à autre chose ! De toute façon, maintenant c'est fait, ce n'est plus entre tes mains donc laisse aller !
Je sais..! Plus facile à dire qu'à faire..! Bon courage!
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Dans mon cas, c'était 1 mois d'attente, autant te dire que c'était long ^^
Personnellement, j'étais apparemment très bon sur les premières et dernières questions. En somme là où on pouvait foncer à l'instinc, et là où il fallait réfléchir. Mais le moment où l'instinc ne suffit pas, mais où la vraie réflexion n'est pas nécessaire, j'étais un peu largué.
En tout cas, bon courage, en espérant que ça t'apportera ce qu'il faut !
Personnellement, j'étais apparemment très bon sur les premières et dernières questions. En somme là où on pouvait foncer à l'instinc, et là où il fallait réfléchir. Mais le moment où l'instinc ne suffit pas, mais où la vraie réflexion n'est pas nécessaire, j'étais un peu largué.
En tout cas, bon courage, en espérant que ça t'apportera ce qu'il faut !
Peyko- Messages : 31
Date d'inscription : 10/05/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bon, ça, c'est fait. Le mieux est d'essayer de ne pas trop y penser.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
ah mais j'aimerais ne pas trop y penser...
C'est le drame de ma vis "ne pas trop y penser" je sais pas faire
Mais je me soigne... ou j'essaie !
C'est le drame de ma vis "ne pas trop y penser" je sais pas faire
Mais je me soigne... ou j'essaie !
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
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Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 15:49, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonjour,
Merci pour la vidéo
Je voulais aussi en profiter pour remercier Mama M ici, puisque mon nombre de messages en forum ne me permet pas d'interagir par MP...
Bon, hier j'ai eu une séance psy assez intéressante, et déstabilisante.
J'angoissais terriblement, comme je vous l'ai dit, donc ma psy(chologue) a pris le temps avec moi de passer en revue les différents troubles qu'elle entrevoyait possibles chez moi. Dans l'optique de me préparer un peu à mon bilan psychiatrique et test de la personnalité prévus la semaine prochaine...
En fait, j'ai une peur panique d'être une sociopathe (ou psychopathe). C'est stupide, je suis une hyper empathe, ça n'a aucun sens logique... mais mon frère (qui est la personne la plus proche de moi) a toujours souligné mes tendances à la "folie".
J'ai des raisonnements assez uniques dans mon genre : je peux pleurer 6h devant un cadavre de chat, et ne rien ressentir du tout devant des charniers (en photo hein les deux). L'être humain me touche très peu.
Donc ma psy, cette charmante demoiselle, m'explique que psychopathe c'est génétique. Je négocie, elle m'arrête : NON ESTELLE : un psychopathe, on lui montre des vidéos de sa famille se faire massacrer, tout en mesurant les constantes corporelles (transpiration, rythme cardiaque, ...) le psychopathe, il ne réagit pas. Du tout. Bon, du coup ça me rassure un peu.
Et elle m'explique que les troubles sont classés selon ce qui est troublé : personnalité, comportement, humeur.
Et elle m'ajoute que selon elle moi j'ai des troubles de l'humeur et du comportement.
Les TAC (troubles compulsifs de l'alimentation), l'histrionisme, la cyclothymie ce sont ce genre de troubles.
Et nous voilà partis sur la mauvaise prise en charge depuis l'enfance de ces troubles.
Et elle souligne : et peut-être que c'est toi-même qui a induit cette mauvaise prise en charge.
Et en y réfléchissant...
Je suis quelqu'un qui porte en permanence un masque (on effectue un travail là dessus mais en gros je ne sors jamais de chez moi, c'est l'histrion en moi qui se confronte aux gens, qui me permet d'avoir ce qu'on appelle un vernis social acceptable et de fonctionner plus ou moins en société) et ce masque me permet de préserver ma vraie personnalité. C'est un mécanisme de défense suite à un traumatisme pendant l'enfance... et à chaque nouveau traumatisme, bhé, je rajoute une couche au masque.
Bref, ce masque donc, a camouflé mes faiblesses, mais aussi mes forces.
Entendez qu'en société, je suis la fille qui parle fort, rit de tout, boit trop et finit par adopter des comportements à risque (moins depuis la naissance de ma mini-Chacha) et qui va rentrer chez elle après en assumant pas du tout du tout ce qu'elle a fait.
Mon frère dit que je suis une girouette, que j'adapte mon comportement à mon interlocuteur, en fonction de ce que je pense qu'il/elle attend de moi. Ce qui est idiot, si c'était le cas, j'aurais des interactions parfaites avec les gens et loin s'en faut !
Cependant y a de ça dans le complexe d'histrion : devoir me mettre en scène ...
Et puis la bipolarité, ce serait pas juste un TDAH exacerbé ?
Et Noémie (ma psy) de continuer : en fait, mon seul trouble de la personnalité est que je n'en ai pas.
De personnalité s'entend.
Je suis ce que l'on voit de moi, je renvoie un reflet qui ne me correspond que très rarement... au point d'avoir pratiquement inhibé cette dernière.
Noémie est persuadée que c'est ce qui provoque la dépression bipolaire sévère mais d'après elle temporaire.
Ça et le fait que j'ai toujours avancé en croyant avoir certains troubles proches d'autres troubles et en entraînant d'autres encore...
Si bien qu'aujourd'hui je suis reconnue invalidée par mes troubles mentaux : on va me mettre sous certificat médical et commencer un traitement, dès qu'on aura ciblé exactement de quoi je souffre. On parle d'un an d'arrêt au moins.
Et on a pas évoqué du tout l'internement : l'option sera envisagée si le reste échoue.
Personnellement je pense qu'on finira par y venir uniquement si je perds le contrôle. Et je suis pas quelqu'un qui perd le contrôle (dit la folle hahaha)...
Donc, du coup, je pense aux étiquettes, à la manière dont on les colle, et à la tronche qu'on fait quand on salive pour une confiture de fraises et qu'on se retrouve avec une gelée de mures.
Je me sens comme ça là.
Comme une pot de gelée de mures devant un aficionado de fraises.
Et je me demande ce qu'il avait fumé le pey qui m'a collé mes étiquettes. J'ai une tronche de fraise, sérieux? Hum...
Bon ceci étant dit, je suis pas en train de sombrer ou de mourir.
Je dis simplement que la folie, c'est relatif.
Moi les gens me pensent folle depuis mes 2 ou 3 ans. A l'époque, quand j'ai commencé à lire, on a dit que je mentais : que j'avais appris par coeur les histoires que ma maman me racontait. Puis, quand on a vu vers 4-5 ans que j'étais capable de fracturer un doigt par souci de justice, on m'a cataloguée : Estelle, elle a un grain.
Et ce grain, je le traîne depuis comme un pote que je ne pige pas.
Et tous les comportements merdiques que j'ai pu avoir ont toujours été justifiés par ce grain aux yeux de ceux qui m'observent.
Jamais personne ne m'a dit : euh... non mais en fait t'es normale, hein.
Bien qu'en vrai, je m'en foute d'être normale.
J'aimerai juste pouvoir fonctionner normalement : dormir, manger (sainement), aller bosser et garder un taf assez longtemps pour que ça compte, pouvoir être amie avec les autres parents d'élèves, fréquenter un mec - assez longtemps et sainement pour que ça compte - et en ce moment, j'aimerai juste pouvoir me lever le matin en ayant l'impression de progresser.
Parce que là, j'ai juste l'impression de stagner depuis 40 ans... dont apparemment 37 de dépression... alors qu'en fait je suis peut-être juste hyperactive et HP... allez quoi... et on va pas me dire que c'est si compliqué que ça de diagnostiquer un ou plusieurs troubles... aujourd'hui, alors que même dans Esprits criminels on te reconnait un sociopathe à la couleur de son slip...
ça m'énerve, faut que j'arrête parce que je commence à sentir monter des bouffées de chaleur là...
Je vous avais dit que je partais en vrille hein ?
Bon et je vous avais prévenus que j'avais besoin de parler hein...?
Non parce que si ici aussi j'ai l'air folle, dites-le !
(non mais faites pas gaffe, je suis dans une phase hypomaniaque...)
Et merci encore pour vos gentilles réponses, votre bienveillance... ça fait du bien.
Merci pour la vidéo
Je voulais aussi en profiter pour remercier Mama M ici, puisque mon nombre de messages en forum ne me permet pas d'interagir par MP...
Bon, hier j'ai eu une séance psy assez intéressante, et déstabilisante.
J'angoissais terriblement, comme je vous l'ai dit, donc ma psy(chologue) a pris le temps avec moi de passer en revue les différents troubles qu'elle entrevoyait possibles chez moi. Dans l'optique de me préparer un peu à mon bilan psychiatrique et test de la personnalité prévus la semaine prochaine...
En fait, j'ai une peur panique d'être une sociopathe (ou psychopathe). C'est stupide, je suis une hyper empathe, ça n'a aucun sens logique... mais mon frère (qui est la personne la plus proche de moi) a toujours souligné mes tendances à la "folie".
J'ai des raisonnements assez uniques dans mon genre : je peux pleurer 6h devant un cadavre de chat, et ne rien ressentir du tout devant des charniers (en photo hein les deux). L'être humain me touche très peu.
Donc ma psy, cette charmante demoiselle, m'explique que psychopathe c'est génétique. Je négocie, elle m'arrête : NON ESTELLE : un psychopathe, on lui montre des vidéos de sa famille se faire massacrer, tout en mesurant les constantes corporelles (transpiration, rythme cardiaque, ...) le psychopathe, il ne réagit pas. Du tout. Bon, du coup ça me rassure un peu.
Et elle m'explique que les troubles sont classés selon ce qui est troublé : personnalité, comportement, humeur.
Et elle m'ajoute que selon elle moi j'ai des troubles de l'humeur et du comportement.
Les TAC (troubles compulsifs de l'alimentation), l'histrionisme, la cyclothymie ce sont ce genre de troubles.
Et nous voilà partis sur la mauvaise prise en charge depuis l'enfance de ces troubles.
Et elle souligne : et peut-être que c'est toi-même qui a induit cette mauvaise prise en charge.
Et en y réfléchissant...
Je suis quelqu'un qui porte en permanence un masque (on effectue un travail là dessus mais en gros je ne sors jamais de chez moi, c'est l'histrion en moi qui se confronte aux gens, qui me permet d'avoir ce qu'on appelle un vernis social acceptable et de fonctionner plus ou moins en société) et ce masque me permet de préserver ma vraie personnalité. C'est un mécanisme de défense suite à un traumatisme pendant l'enfance... et à chaque nouveau traumatisme, bhé, je rajoute une couche au masque.
Bref, ce masque donc, a camouflé mes faiblesses, mais aussi mes forces.
Entendez qu'en société, je suis la fille qui parle fort, rit de tout, boit trop et finit par adopter des comportements à risque (moins depuis la naissance de ma mini-Chacha) et qui va rentrer chez elle après en assumant pas du tout du tout ce qu'elle a fait.
Mon frère dit que je suis une girouette, que j'adapte mon comportement à mon interlocuteur, en fonction de ce que je pense qu'il/elle attend de moi. Ce qui est idiot, si c'était le cas, j'aurais des interactions parfaites avec les gens et loin s'en faut !
Cependant y a de ça dans le complexe d'histrion : devoir me mettre en scène ...
Et puis la bipolarité, ce serait pas juste un TDAH exacerbé ?
Et Noémie (ma psy) de continuer : en fait, mon seul trouble de la personnalité est que je n'en ai pas.
De personnalité s'entend.
Je suis ce que l'on voit de moi, je renvoie un reflet qui ne me correspond que très rarement... au point d'avoir pratiquement inhibé cette dernière.
Noémie est persuadée que c'est ce qui provoque la dépression bipolaire sévère mais d'après elle temporaire.
Ça et le fait que j'ai toujours avancé en croyant avoir certains troubles proches d'autres troubles et en entraînant d'autres encore...
Si bien qu'aujourd'hui je suis reconnue invalidée par mes troubles mentaux : on va me mettre sous certificat médical et commencer un traitement, dès qu'on aura ciblé exactement de quoi je souffre. On parle d'un an d'arrêt au moins.
Et on a pas évoqué du tout l'internement : l'option sera envisagée si le reste échoue.
Personnellement je pense qu'on finira par y venir uniquement si je perds le contrôle. Et je suis pas quelqu'un qui perd le contrôle (dit la folle hahaha)...
Donc, du coup, je pense aux étiquettes, à la manière dont on les colle, et à la tronche qu'on fait quand on salive pour une confiture de fraises et qu'on se retrouve avec une gelée de mures.
Je me sens comme ça là.
Comme une pot de gelée de mures devant un aficionado de fraises.
Et je me demande ce qu'il avait fumé le pey qui m'a collé mes étiquettes. J'ai une tronche de fraise, sérieux? Hum...
Bon ceci étant dit, je suis pas en train de sombrer ou de mourir.
Je dis simplement que la folie, c'est relatif.
Moi les gens me pensent folle depuis mes 2 ou 3 ans. A l'époque, quand j'ai commencé à lire, on a dit que je mentais : que j'avais appris par coeur les histoires que ma maman me racontait. Puis, quand on a vu vers 4-5 ans que j'étais capable de fracturer un doigt par souci de justice, on m'a cataloguée : Estelle, elle a un grain.
Et ce grain, je le traîne depuis comme un pote que je ne pige pas.
Et tous les comportements merdiques que j'ai pu avoir ont toujours été justifiés par ce grain aux yeux de ceux qui m'observent.
Jamais personne ne m'a dit : euh... non mais en fait t'es normale, hein.
Bien qu'en vrai, je m'en foute d'être normale.
J'aimerai juste pouvoir fonctionner normalement : dormir, manger (sainement), aller bosser et garder un taf assez longtemps pour que ça compte, pouvoir être amie avec les autres parents d'élèves, fréquenter un mec - assez longtemps et sainement pour que ça compte - et en ce moment, j'aimerai juste pouvoir me lever le matin en ayant l'impression de progresser.
Parce que là, j'ai juste l'impression de stagner depuis 40 ans... dont apparemment 37 de dépression... alors qu'en fait je suis peut-être juste hyperactive et HP... allez quoi... et on va pas me dire que c'est si compliqué que ça de diagnostiquer un ou plusieurs troubles... aujourd'hui, alors que même dans Esprits criminels on te reconnait un sociopathe à la couleur de son slip...
ça m'énerve, faut que j'arrête parce que je commence à sentir monter des bouffées de chaleur là...
Je vous avais dit que je partais en vrille hein ?
Bon et je vous avais prévenus que j'avais besoin de parler hein...?
Non parce que si ici aussi j'ai l'air folle, dites-le !
(non mais faites pas gaffe, je suis dans une phase hypomaniaque...)
Et merci encore pour vos gentilles réponses, votre bienveillance... ça fait du bien.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Tu as l'air d'avoir trouver une psy bienveillante et à l'écoute déjà !
C'est une chance pour toi, moi je cherche encore...mais j'ai du mal à faire confiance alors…
Je me suis pas mal reconnue dans ton post… traitée de folle depuis longtemps aussi…
Mais bon, j'apprends à vivre avec et à aimer ma part de folie…
Tu parles néanmoins d'internement possible..?
Penses-tu que ce te serais nécessaire, vraiment ?...Si tu es bien accompagnée par ta psy…
Je dis ça parce que mon frère s'est fait interné 3 fois ces dernières années et...comment dire...pas sûre qu'il ait été bien pris en charge…
En tout cas bon courage à toi dans ta redécouverte de toi-même, en espérant que l'apaisement suivra.
C'est une chance pour toi, moi je cherche encore...mais j'ai du mal à faire confiance alors…
Je me suis pas mal reconnue dans ton post… traitée de folle depuis longtemps aussi…
Mais bon, j'apprends à vivre avec et à aimer ma part de folie…
Tu parles néanmoins d'internement possible..?
Penses-tu que ce te serais nécessaire, vraiment ?...Si tu es bien accompagnée par ta psy…
Je dis ça parce que mon frère s'est fait interné 3 fois ces dernières années et...comment dire...pas sûre qu'il ait été bien pris en charge…
En tout cas bon courage à toi dans ta redécouverte de toi-même, en espérant que l'apaisement suivra.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
caméléonneandco a écrit:Tu as l'air d'avoir trouver une psy bienveillante et à l'écoute déjà !
Je te souhaite d'en trouver une.
Moi j'avais des critères (comme tu peux le lire plus haut) parce que la psy je fais depuis des années, et j'avais jamais trouvé psy à mon pied
Là, elle est géniale parce qu'elle est elle-même très empathique et très très intelligente aussi.
Si tu es un peu comme moi, essaie les psys et neuropsy spécialisés dans les profils atypiques (grands traumatisés et HP), leur approche est bienveillante, puisque leur premier job est de trouver ton mal-être et de t'aider réellement rapidement à gérer ça toi-même.
Tu as tenté l'EMDR déjà ?
Mais bon, j'apprends à vivre avec et à aimer ma part de folie…
Chez moi c'est un peu l'inverse. J'aimais et je chérissais ma part de folie comme une part de moi. Et puis un jour, cette part de folie a commencé à me faire peur. Vraiment. Je suis automutilatrice, j'ai des TACs assez violents (je m'alimente peu, j'ai été hospitalisée pour anorexie à 12 ans et j'ai tendance à mettre 2 plombes à manger parce que je fais des tas cohérents avec mon manger... hum... imagine moi devant un couscous en train de compter les grains de semoule, tu auras une idée du TAC...)
Tu parles néanmoins d'internement possible..?
Penses-tu que ce te serais nécessaire, vraiment ?...Si tu es bien accompagnée par ta psy…
Je dis ça parce que mon frère s'est fait interné 3 fois ces dernières années et...comment dire...pas sûre qu'il ait été bien pris en charge…
J'ai une fille de 5 ans.
J'ai peur dans mes phases d'abattement, de devenir un jour dangereuse au point de lui faire du mal.
Ce n'est jamais arrivé, je n'ai jamais eu l'impression que ça pourrait arriver, mais ... je pense que la seule chose qui me ferait envisager l'internement, c'est cette notion de dangerosité par rapport à ma fille. Et je parle pas de mal physique hein, on s'entend bien... j'ai peur de détruire sa psyché. De lui donner un exemple instable à suivre et d'induire ou en tout cas, de lui transmettre mes névroses.
Et si je dois m'isoler un mois pour qu'à la sortie j'y voie plus clair, je pense que ça peut m'aider, oui. Mais pas là. J'en suis pas là. Mais j'aime avoir l'impression de garder le contrôle (et donc avant qu'il ne m'échappe)... un internement est un break, un vrai.
Je suis désolée pour ton frère, si j'envisage sérieusement d'y passer, j'essaierai de me renseigner au mieux avant... il souffre de quoi ton frère (si je peux demander?) ?
Merci en tout cas pour ta bienveillance et tes encouragements, je te souhaite pareil !
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Oui...une fois...j'ai arrêté en plein milieu de la séance :Tu as tenté l'EMDR déjà ?
j'avais envie de gifler le psy, qui m'horripilais, surtout une phrase qu'il répétais et qui ne m'allait pas.
Quand je lui en ai fait part, il a perdu patience et balancé que je n'y mettais vraiment pas du mien !
Mais bon je crois que je suis tombé sur LE champion des psy !
que je n'ai plus jamais revu, tu t'en doutes bien !
De mon côté, anorexie, mais pas aussi violent que toi, et plus ou moins sous contrôle à ce jour...j'ai des TACs assez violents
J'ai 2 enfants, que j'élève seule...et oui c'est également ma plus grande peur...J'ai une fille de 5 ans.
J'ai peur dans mes phases d'abattement, de devenir un jour dangereuse au point de lui faire du mal.
Bonne question ! diagnostiqué d'abord bipolaire, puis borderline, etc...il souffre de quoi ton frère (si je peux demander?) ?
suite à une dépression...
En réalité un HPI/HPE traumatisé par une vie difficile, en errance depuis un moment...
En tout cas, courage, et garde confiance en toi ! Par rapport à ta fille, tu te poses des questions, tu t'informes, et cherche des solutions : tu n'es donc pas un danger pour elle, tu fais ce que tout parent responsable fait.
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bonsoir Estelle2L,
Ton témoignage me touche vraiment, jusqu'ici c'est la première fois que je lis ce que je pourrais presque écrire (même si en vrai j'écris peu ou pas complètement... je n'ose pas, j'ai la flemme.. bref), j'y lis beaucoup de point commun à mon propre fonctionnement et à mon statut.
Bonne patience pour tes résultats (oui, je sais c'est étrange comme non-expression mais c'est ce que je te souhaite).
Je vais suivre tes découvertes
Ton témoignage me touche vraiment, jusqu'ici c'est la première fois que je lis ce que je pourrais presque écrire (même si en vrai j'écris peu ou pas complètement... je n'ose pas, j'ai la flemme.. bref), j'y lis beaucoup de point commun à mon propre fonctionnement et à mon statut.
Bonne patience pour tes résultats (oui, je sais c'est étrange comme non-expression mais c'est ce que je te souhaite).
Je vais suivre tes découvertes
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 15:50, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
caméléonneandco a écrit:
Oui...une fois...j'ai arrêté en plein milieu de la séance :
j'avais envie de gifler le psy, qui m'horripilais, surtout une phrase qu'il répétais et qui ne m'allait pas.
Quand je lui en ai fait part, il a perdu patience et balancé que je n'y mettais vraiment pas du mien !
Mais bon je crois que je suis tombé sur LE champion des psy !
que je n'ai plus jamais revu, tu t'en doutes bien !
Ah ouais, champion du monde des gros c**s surtout !
Ne perds pas espoir, j'avais testé en 2015 sans succès... je pense qu'il faut vraiment tomber sur la bonne personne pour t'accompagner, courage moi ça m'a pris 22 ans...
De mon côté, anorexie, mais pas aussi violent que toi, et plus ou moins sous contrôle à ce jour...
Chez amusant, on est pas mal à mal manger
J'ai 2 enfants, que j'élève seule...et oui c'est également ma plus grande peur...
Merci. ça fait du bien de ne pas se sentir seul là...
Bonne question ! diagnostiqué d'abord bipolaire, puis borderline, etc...
suite à une dépression...
En réalité un HPI/HPE traumatisé par une vie difficile, en errance depuis un moment...
Ouais tu vois, c'est exactement ça que je crains pour moi...
En tout cas, courage, et garde confiance en toi ! Par rapport à ta fille, tu te poses des questions, tu t'informes, et cherche des solutions : tu n'es donc pas un danger pour elle, tu fais ce que tout parent responsable fait.
Merci beaucoup. On essaie !
Courage à toi aussi !
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
gingerbreadman a écrit:Bonsoir Estelle2L,
Ton témoignage me touche vraiment, jusqu'ici c'est la première fois que je lis ce que je pourrais presque écrire (même si en vrai j'écris peu ou pas complètement... je n'ose pas, j'ai la flemme.. bref), j'y lis beaucoup de point commun à mon propre fonctionnement et à mon statut.
Bonne patience pour tes résultats (oui, je sais c'est étrange comme non-expression mais c'est ce que je te souhaite).
Je vais suivre tes découvertes
Bonjour Gingerbreadman, avec plaisir, ce sujet est aussi là pour ça...
J'attends les résultats avec tellement d'impatience que ça devient compliqué... hahaha... mais je m'occupe en attendant, ici entre autres
T'en es où de tes démarches ?
(oui je pousse la flemme )
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
ortolan Ouf dis !
Merci à chaque fois pour le sourire grâce à tes vidéos, ça aussi c'est important !
Merci à chaque fois pour le sourire grâce à tes vidéos, ça aussi c'est important !
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 15:50, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Ah bon...
Le smiley geek me fait penser à Tahiti Bob
Le smiley geek me fait penser à Tahiti Bob
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
.
Dernière édition par ortolan le Mer 13 Nov 2019 - 15:51, édité 1 fois
ortolan- Messages : 13579
Date d'inscription : 31/07/2016
Localisation : 404 Not Found
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
La solution c'est les sensations fortes... Saut en parachute obligatoire !
MaxdeR- Messages : 23
Date d'inscription : 18/05/2018
Age : 25
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
-
Dernière édition par gingerbreadman le Mar 29 Mai 2018 - 0:16, édité 2 fois (Raison : erreur de quote)
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Ah flûte j’peux Pas le parachute...
Sauter dans des flaques d’eau ça compte ?
Sauter dans des flaques d’eau ça compte ?
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Tant que la sensation est au rendez-vous !
Arf c'est dommage sinon tu as les super turbines en intérieur pour expérimenter une chute à 200km/h
Arf c'est dommage sinon tu as les super turbines en intérieur pour expérimenter une chute à 200km/h
MaxdeR- Messages : 23
Date d'inscription : 18/05/2018
Age : 25
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
gingerbreadman a écrit:
C'était il y a bientôt 3 ans, ça a mis de la lumière sur mon passé, ça a amélioré le regard que j'avais sur moi (bien que parfois, je me dis que ça vaut bien la peine d'avoir du potentiel, vu ce que j'en fais)... mais ça ne change pas le fonctionnement.
Eh oui...
Y a pas de solutions miracles... on va pas fonctionner différemment parce qu'on peut poser des mots sur le potentiel...
et puis forcément, c'est pas parce qu'on sait conduire qu'on le fait. Le potentiel perdu ou mal utilisé, c'est souvent le cas, chez pas mal de HP... c'est parce qu'on colle pas top top dans le moule hein. Perso, moi pour briller il faut des conditions préalables assez pointues hein, professionnellement ça m'est arrivé qu'une fois en 22 employeurs (sur 16 années de taf).
Aussi, j'ai tenté l'hypnose et aujourd'hui je fais de l'EMDR depuis quelques mois, c'est pas miraculeux sur moi (je suis hyper-carapacée ^^)
Marrant, moi c'est justement à cause de la carapace que ça fonctionne sur moi.
Y a rien de miraculeux.
Juste de la prise de conscience d'une altération de mes souvenirs.
Bon, après je suis suivie pour des polytraumatismes (deuils en série, maltraitance, abus, divorce et burn-out...) donc non seulement j'ai une carapace en béton, mais je suis arrivée à un stade où affronter mes émotions est insoutenable.
C'est comme si pleurer ou rire aux éclats me déchirait en deux...
Donc l'EMDR me permet aussi de refaire le point avec mes émotions.
En gros, j'ai tellement été dans des paradoxes émotionnels que je ne reconnais plus les sensations comme telles. J'en arrive à une forme d'apathie émotionnelle... c'est ce qui m'a poussé à reconsulter en fait, si j'y pense bien : les couleurs pastels.
Je suis une synesthésique... (je visualise les choses en fonction de codes couleurs : lettres, chiffres, notes de musique...je pense que Baudelaire ou Apollinaire chéplu, aussi avec les lettres) et mes couleurs sont généralement flamboyantes, à tel point que parfois j'ai mal aux yeux, mes rétines "impriment" de l'intérieur. Bref. Depuis deux ans là, mes couleurs sont pastel.
C'est perturbant... et ça s'éclaircit de plus en plus.
L'EMDR me permet de reprendre contact avec les flamboyants. Et du coup je relativise parfois aussi les pastels... on croit parfois avoir éprouvé ça et ça, parce que l'environnement, la famille, les amis vous rappellent que vous étiez triste ou heureuse... et en fait vous ressentiez totalement autre chose... Bref.
Je suis sortie de ma zone de confort comme on dit (j'ai quand même bien galéré), merci
Well done !
De nada, avec plaisir, j'aime échanger, ça me fait un bien fou (c'est terriblement égoïste comme démarche à la base, et super assumé) de trouver des parallèles et des similitudes et de pouvoir en parler en étant comprise...
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
MaxdeR a écrit:Tant que la sensation est au rendez-vous !
Arf c'est dommage sinon tu as les super turbines en intérieur pour expérimenter une chute à 200km/h
Hmmm le truc c'est que j'ai une plaque de métal dans les lombaires, ce qui m'empêche de faire du parachute, c'est le choc à l'ouverture du parachute sur la colonne... et bien entendu l'atterrissage, le vol et la chute en soi ne devraient pas poser de soucis, je suppose que les turbines peuvent être une option envisageable, yapuka trouver ça dans ma région...
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Bienvenue Estelle2L,
si j'ai bien suivi t'es en attente des résultats de ton test... quels qu'ils soient, quand tu te décris on retrouve des caractéristiques zèbres et tu devrais donc trouver des pistes dans le forum...
Courage d'ici le verdict... et pour le chemin qui suivra !
y'a-t-il des synesthésiques non HP ?
si j'ai bien suivi t'es en attente des résultats de ton test... quels qu'ils soient, quand tu te décris on retrouve des caractéristiques zèbres et tu devrais donc trouver des pistes dans le forum...
Courage d'ici le verdict... et pour le chemin qui suivra !
y'a-t-il des synesthésiques non HP ?
Midinette- Messages : 55
Date d'inscription : 11/03/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Midinette a écrit:Bienvenue Estelle2L,
si j'ai bien suivi t'es en attente des résultats de ton test... quels qu'ils soient, quand tu te décris on retrouve des caractéristiques zèbres et tu devrais donc trouver des pistes dans le forum...
Courage d'ici le verdict... et pour le chemin qui suivra !
y'a-t-il des synesthésiques non HP ?
Aucun lien d’apres mes recherches.
C’est rare je pense qu’on Frôle les 2,5% de la population mondiale mais c’est pas non plus scientifiquement inattaquable donc... il semblerait que ce soit génétique pour la plupart des synesthésies (graphique, musicale, ...) et environnemental pour le poétique ... mais à nouveau j’ai pas d’autres sources que les recherches originelles qui sont à prendre au conditionnel sur plusieurs points...
Merci sinon
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
la seule personne synesthésique que je connaisse est proche du THQI...
et sinon David Tammet qui décrit cela dans "Born on a blue day" lui est Asperger.
et sinon David Tammet qui décrit cela dans "Born on a blue day" lui est Asperger.
Midinette- Messages : 55
Date d'inscription : 11/03/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Je t'en dirai plus quand j'aurais les résultats de tous mes tests...
(demain, j'espère pour le BI... fingers crossed)
(demain, j'espère pour le BI... fingers crossed)
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Alors alors ????
toutes mes pensées positives, j'espère que la restitution s'est bien passée...
toutes mes pensées positives, j'espère que la restitution s'est bien passée...
Midinette- Messages : 55
Date d'inscription : 11/03/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
22.05.201822.05.2018
Aaaaaaaaaaah
J’ai eu un sms pour m’informer que mes résultats me seront livrés le 6 juin
Bon demain le psychiatre pour les tests de personnalité, ça va m’occuper Le temps que ça macère
Aaaaaaaaaaah
J’ai eu un sms pour m’informer que mes résultats me seront livrés le 6 juin
Bon demain le psychiatre pour les tests de personnalité, ça va m’occuper Le temps que ça macère
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Râlant !
Courage, la machine est en marche...
Essaie de mettre les cogitations de côté (je sais, plus facile à dire qu'à faire) pour passer le test de demain...
tu es en chemin vers une meilleure connaissance de toi même, c'est pour un mieux !!!
Courage, la machine est en marche...
Essaie de mettre les cogitations de côté (je sais, plus facile à dire qu'à faire) pour passer le test de demain...
tu es en chemin vers une meilleure connaissance de toi même, c'est pour un mieux !!!
Midinette- Messages : 55
Date d'inscription : 11/03/2018
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
Oui...
Je suis tombée sur un autre sujet pas loin, qui parlait de volonté de normalisation... l’auteur du forum regrettait entre autre la tendance à larmoyer des zèbres vs les tigres... enfin personnellement j’en suis là et la cogitation accompagne la volonté de comprendre... de mieux me connaître oui, certainement
Je suis tombée sur un autre sujet pas loin, qui parlait de volonté de normalisation... l’auteur du forum regrettait entre autre la tendance à larmoyer des zèbres vs les tigres... enfin personnellement j’en suis là et la cogitation accompagne la volonté de comprendre... de mieux me connaître oui, certainement
Invité- Invité
Re: Quand les sabots résonnent trop fort...
J'suis un peu longue à l'écriture - Estelle2L est partie
Invité- Invité
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