Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
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Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Vous aussi vous avez des mécanismes inconscients qui vous font échouer a lorsque vous pourriez réussir?
Vous avez une super idée, un raisonnement béton, mais vous allez foirer bien comme il faut l'étape la plus simple ce qui vous fait échouer. Comme si la réussite voua était interdite, comme si vous aviez peur de trop briller?
Vous avez une super idée, un raisonnement béton, mais vous allez foirer bien comme il faut l'étape la plus simple ce qui vous fait échouer. Comme si la réussite voua était interdite, comme si vous aviez peur de trop briller?
berimbau- Messages : 181
Date d'inscription : 24/04/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Moi tu vois, je suis pire que toi, parce que d’abord je "réussis", et seulement après je sabote jusqu'à la démolition.
Comme quoi, mon but n'est pas celui de réaliser, mais seulement de me prouver que je j'en suis capable, et comme je l'ai dit dans un autre message : "je suis un touche-à-tout qui oublie souvent que le but de toucher est finalement celui de saisir, et finalement de s'approprier de ce qu'on touche".
Reste qu’après des années de psychanalyse, j'ai compris que cette façon de faire n'est pas due qu'à ma douance, mais surtout à mon enfance et au rapport délétère que j'avais avec mon père, qui me détestait (et il ne perdait pas une occasion pour me le faire savoir).
Je ne connais pas ton histoire... Mais je te conseille de chercher aussi de ce côté la de la "force", parfois bien obscure.
Comme quoi, mon but n'est pas celui de réaliser, mais seulement de me prouver que je j'en suis capable, et comme je l'ai dit dans un autre message : "je suis un touche-à-tout qui oublie souvent que le but de toucher est finalement celui de saisir, et finalement de s'approprier de ce qu'on touche".
Reste qu’après des années de psychanalyse, j'ai compris que cette façon de faire n'est pas due qu'à ma douance, mais surtout à mon enfance et au rapport délétère que j'avais avec mon père, qui me détestait (et il ne perdait pas une occasion pour me le faire savoir).
Je ne connais pas ton histoire... Mais je te conseille de chercher aussi de ce côté la de la "force", parfois bien obscure.
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
oui.
je n'arrive pas à maintenir la cadence. comme QubiK, ça démarre, ça monte, j'arrive au point où ça pourrait exploser, et là j'arrête tout, je suis contente que ça marche, c'est flatteur pour l'ego, cool je peux retourner dans ma grotte.
je ne répond pas aux mails pendant des mois, etc, je fais de l'autosabottage semi conscient (c'est là que le côté histoire perso joue) à un degré qui frise (en fait, s'explose dans) le ridicule.
c'est aussi en partie dû à un manque de discipline et à une incapacité à maintenir une dynamique sur de très longues périodes, parce que c'est chiant, le marketing c'est chiant, faire sa pub c'est chiant, parler aux gens c'est chiant. Je suis trop timide pour aller porter le truc plus loin de manière agressive même si je sais exactement ce qu'il faudrait faire.
Après faut apprendre à se faire violence hein!!! (là poussée de motive surprenante! Mais bon ... c'est bien fluctuant tout ça). La vraie intelligence (ok ça veut rien dire) c'est comprendre pourquoi on fait ça et mettre en place des mécanismes pour passer outre. Tout un programme.
je n'arrive pas à maintenir la cadence. comme QubiK, ça démarre, ça monte, j'arrive au point où ça pourrait exploser, et là j'arrête tout, je suis contente que ça marche, c'est flatteur pour l'ego, cool je peux retourner dans ma grotte.
je ne répond pas aux mails pendant des mois, etc, je fais de l'autosabottage semi conscient (c'est là que le côté histoire perso joue) à un degré qui frise (en fait, s'explose dans) le ridicule.
c'est aussi en partie dû à un manque de discipline et à une incapacité à maintenir une dynamique sur de très longues périodes, parce que c'est chiant, le marketing c'est chiant, faire sa pub c'est chiant, parler aux gens c'est chiant. Je suis trop timide pour aller porter le truc plus loin de manière agressive même si je sais exactement ce qu'il faudrait faire.
Après faut apprendre à se faire violence hein!!! (là poussée de motive surprenante! Mais bon ... c'est bien fluctuant tout ça). La vraie intelligence (ok ça veut rien dire) c'est comprendre pourquoi on fait ça et mettre en place des mécanismes pour passer outre. Tout un programme.
AnCatDubh- Messages : 49
Date d'inscription : 03/04/2018
Localisation : Lille
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je suis assez douée pour l'auto-sabotage aussi, j'avoue. Mais je me soigne.
Faire le contraire de ce que mon intuition me dicte, je l'ai fait plusieurs fois et m'en suis mordue les doigts alors maintenant, j'arrête ça.
Faire le contraire de ce que mon intuition me dicte, je l'ai fait plusieurs fois et m'en suis mordue les doigts alors maintenant, j'arrête ça.
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
QubiK a écrit:
Comme quoi, mon but n'est pas celui de réaliser, mais seulement de me prouver que je j'en suis capable, et comme je l'ai dit dans un autre message : "je suis un touche-à-tout qui oublie souvent que le but de toucher est finalement celui de saisir, et finalement de s'approprier de ce qu'on touche".
Je crois qu'il y a un peu de ça.
Je sais que je sais faire = je suis content.
Mais je n'ai pas réussi = je n'ai pas à "affronter" la réussite
Il y a un côté zappeur aussi. Pas le temps de savourer la victoire que l'on est déjà dans un autre combat.
J'avais lu quelque chose d'intéressant sur la peur de l'échec. A première vue on se dit: peur de l'échec = perfectionnisme ou immobilisme (si je fais pas, je ne peux pas échouer).
Mais il y a aussi la peur de l'échec qui conduit à l'autosabotage, on maîtrise ainsi son échec et en le maîtrisant on n'est donc plus totalement dans l'échec.
Il y a une autre cause à laquelle je pense et qui à priori concerne un bon nombre de zèbres.
Je parle plus haut d'affronter la réussite.
Pour bon nombre de caméléons, la réussite est quelque chose que l'on a toujours fuis car l'objectif est de se fondre dans la masse. Nous avons souvent le potentiel pour réussir mais nous sabotons nos propres victoires.
Une fois que l'on se découvre HP, on se dit qu'on devrait maintenant assumer notre potentiel et réussir. Mais comment gérer le regard des autres lorsque l'on a toujours voulu se faire passer pour quelqu'un de lambda?
berimbau- Messages : 181
Date d'inscription : 24/04/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
je sabote également beaucoup, je ne m'en rendais pas compte avant, maintenant beaucoup plus : je me dis que c'est une bonne chose pour éviter de saboter à nouveau!
quand je suis dans cet état de sabotage, j'ai une sorte de sentiment d'invincibilité comme si les conséquences ne pouvaient pas m'atteindre.
Or, elles m'atteignent; ma vie professionnelle en a beaucoup pâti, encore aujourd'hui.
Mais que vais-je faire de moi!
quand je suis dans cet état de sabotage, j'ai une sorte de sentiment d'invincibilité comme si les conséquences ne pouvaient pas m'atteindre.
Or, elles m'atteignent; ma vie professionnelle en a beaucoup pâti, encore aujourd'hui.
Mais que vais-je faire de moi!
pollymaggoo- Messages : 25
Date d'inscription : 27/03/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
berimbau a écrit:QubiK a écrit:
Comme quoi, mon but n'est pas celui de réaliser, mais seulement de me prouver que je j'en suis capable, et comme je l'ai dit dans un autre message : "je suis un touche-à-tout qui oublie souvent que le but de toucher est finalement celui de saisir, et finalement de s'approprier de ce qu'on touche".
Je crois qu'il y a un peu de ça.
Je sais que je sais faire = je suis content.
Mais je n'ai pas réussi = je n'ai pas à "affronter" la réussite
Il y a un côté zappeur aussi. Pas le temps de savourer la victoire que l'on est déjà dans un autre combat.
J'avais lu quelque chose d'intéressant sur la peur de l'échec. A première vue on se dit: peur de l'échec = perfectionnisme ou immobilisme (si je fais pas, je ne peux pas échouer).
Mais il y a aussi la peur de l'échec qui conduit à l'autosabotage, on maîtrise ainsi son échec et en le maîtrisant on n'est donc plus totalement dans l'échec.
Il y a une autre cause à laquelle je pense et qui à priori concerne un bon nombre de zèbres.
Je parle plus haut d'affronter la réussite.
Pour bon nombre de caméléons, la réussite est quelque chose que l'on a toujours fuis car l'objectif est de se fondre dans la masse. Nous avons souvent le potentiel pour réussir mais nous sabotons nos propres victoires.
Une fois que l'on se découvre HP, on se dit qu'on devrait maintenant assumer notre potentiel et réussir. Mais comment gérer le regard des autres lorsque l'on a toujours voulu se faire passer pour quelqu'un de lambda?
Tu as bien raison !
Du reste mon fiston ado qui à reçu récemment sont tampon HP est en plein dans sa phase "immobilisme", et il va certainement rater son Bac. Alors que le deuxième est bien parti pour réaliser sans trop d’efforts ce qu'il désire : devenir astrophysicien et implanter la première base martienne (il m'a déjà promis un ticket aller-retour)...
Problème : leur père vis mentalement sur Venus depuis des innombrables années... et espère secrètement qu'il pourra égarer son ticket de retour. Ce n'est pas normal pour un père... n'est pas ?
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je souscris également très largement à ce que tu as écrit berimbau, en particulier sur le rapports particuliers à l'échec.
Je me demande parfois si mes sabordages n'ont pas également pour fonction de tester les réactions des autres (ceux qui vous ont potentiellement mis sur un piédestal).
Je me demande parfois si mes sabordages n'ont pas également pour fonction de tester les réactions des autres (ceux qui vous ont potentiellement mis sur un piédestal).
Tsigalko- Messages : 93
Date d'inscription : 03/05/2018
Age : 38
Localisation : A l'Ouest
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Tsigalko a écrit:Je souscris également très largement à ce que tu as écrit berimbau, en particulier sur le rapports particuliers à l'échec.
Je me demande parfois si mes sabordages n'ont pas également pour fonction de tester les réactions des autres (ceux qui vous ont potentiellement mis sur un piédestal).
Moi j'ai compris (par le constat, et j'ai mis du temps) qu'il faut que je me sabote pour finalement pouvoir redécoller. Je dirais même me ré-motiver. Comme si le sens de la vie se réduisait à l’incessante et cyclique reconquête d'une paix et d'un équilibre qui par nature, dans mes convictions les plus inavouables, ne pourrait être qu'éphémère...
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Qu'est-ce qui est "normal" pour un père ? J'en ai vu de tant de sortes que je ne saurais le dire...QubiK a écrit:
Problème : leur père vis mentalement sur Venus depuis des innombrables années... et espère secrètement qu'il pourra égarer son ticket de retour. Ce n'est pas normal pour un père... n'est pas ?
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je sabote aussi beaucoup, après avoir été au point de réussir. Mais a priori cela n'a pas grand rapport avec mon enfance. C'est plutôt une question d'atavisme, si j'en crois le fait que, dans ma famille, des deux côtés – notamment chez les hommes – c'est assez attesté.
Pieyre- Messages : 20908
Date d'inscription : 17/03/2012
Localisation : Quartier Latin
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
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Dernière édition par guizm0e le Mer 6 Juin 2018 - 21:24, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je vous ai lui, tant d'interprétations à cet auto-sabotage. Il y a chez moi, comme chez Qubik, le désir de tomber au fond du trou pour n'avoir plus d'autre choix que de remonter. C'est étrange tout de même, une façon de tromper l'ennui? de se lancer des défis? Y'a mieux à faire...La peur de l'échec, donc on se met dans une situation qui ne pouvait pas réussir pour ne pas se regarder comme la personne responsable d'un échec? La peur de la réussite et tout l'investissement que ça implique?
Le goût de tout recommencer et d'apprendre de nouvelles choses certainement. Dès que je maîtrise, je m'ennuie.
A creuser, car j'aimerais bien arrêter ça, c'est épuisant aussi à la longue...
Le goût de tout recommencer et d'apprendre de nouvelles choses certainement. Dès que je maîtrise, je m'ennuie.
A creuser, car j'aimerais bien arrêter ça, c'est épuisant aussi à la longue...
Miss aux yeux arc-en-ciel- Messages : 1496
Date d'inscription : 21/04/2016
Age : 105
Localisation : Rêves enchantés
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Bonjour à tous, j'arrive tout juste, et suis aussi plutôt du côté du grand sabordage. Par peur de réussir parfois, certainement, en tous cas dans le domaine pro ; mais peut être aussi dans d'autres cas à cause d'une forme d'arrogance, (ou maltraitance? à voir..) à me fixer des objectifs démesurés ; et ne réaliser qu'en cours de route l'absurde montagne impossible à gravir... pas vous?
Goujon bleu- Messages : 4
Date d'inscription : 02/06/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Chez moi, il y a une grande difficulté à estimer le temps et l'énergie que peut me prendre une tâche, et, par conséquent, une surcharge assez rapide.
Et pour certaines tâches, j'ai besoin d'être inspirée, sinon, je n'avance pas. Le temps de réalisation de la tâche est donc très variable, selon les circonstances.
Et pour certaines tâches, j'ai besoin d'être inspirée, sinon, je n'avance pas. Le temps de réalisation de la tâche est donc très variable, selon les circonstances.
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Miss aux yeux arc-en-ciel a écrit:Je vous ai lui, tant d'interprétations à cet auto-sabotage. Il y a chez moi, comme chez Qubik, le désir de tomber au fond du trou pour n'avoir plus d'autre choix que de remonter. C'est étrange tout de même, une façon de tromper l'ennui? de se lancer des défis? Y'a mieux à faire...La peur de l'échec, donc on se met dans une situation qui ne pouvait pas réussir pour ne pas se regarder comme la personne responsable d'un échec? La peur de la réussite et tout l'investissement que ça implique?
Le goût de tout recommencer et d'apprendre de nouvelles choses certainement. Dès que je maîtrise, je m'ennuie.
A creuser, car j'aimerais bien arrêter ça, c'est épuisant aussi à la longue...
Bon je me sens moins seul !
Quant à l'échec, que j'ai vu revenir dans vos interventions, vous me faites tous réfléchir.
En effet je suis incapable de supporter l'échec. Donc peut-être que cette propension à frôler la catastrophe n'est qu'une façon de le défier et de le maîtriser, car en général j'arrive à m'en sortir assez brillamment, et j'ai aussi acquis l'expérience nécessaire à ne pas (ou plus) verser dans l'irréparable.
Reste qu'éviter l'échec n'équivaut pas à jouir de la réussite, car cette dernière n'est atteignable que bien au delà des ces zones de danger, alors que moi, je fais de tout pour déambuler das les zones "obscures".
Ma technique de base passe souvent par la procrastination. Par exemple, je suis ce samedi devant l'ordinateur pour finir un boulot, alors que comme vous pouvez le constater, je passe du temps ici à raconter des conneries. Donc : je renonce à des possibles loisirs extérieurs sans pour autant terminer ce que j'ai à faire. La situation (et je le sais déjà car c'est un scénario immuable) va se débloquer plus tard, car finalement dans la panique et en général en pleine nuit, j'arriverais à faire ce boulot qui prends normalement dix heures en une seule heure. Chose qui me permets finalement de croire que je suis particulièrement doué et "brillant", alors que c'est plutôt nul et non dénoué de déni.
Je me pose aussi la question sur le temps réellement perdu lors d'une procrastination. Car en effet, durant ces moments de fuite vers l'ailleurs, l'idée du travail à accomplir m’obsède, et comme je suis un créatif, c'est probablement cette obsession qui me permets de réaliser en une heure la tache qui en prends dix, car fondamentalement, j'ai inconsciemment cogité mes idées pendant les neuf heures qui ont précédé le début réel (et le plus souvent désespéré) de mon entrée en action.
Enfin, ça pourrait être une explication, soit : une technique pour me sentir "brillant" alors que je ne suis qu'un pauv' con... ça serait triste certes, même digne de me faire virer de ce forum, mais au fond nous sommes capables de tout pour flatter notre inavouable vanité. Donc c'est malheureusement assez plausible.
Mais bon, cette attitude est aussi complexe qu'inextricable, car j'ai toujours vécu sur une lame de rasoir, et je crois que finalement vivre en paix me fait peur. Peur de perdre les surprises du bonheur si je renonce aux certitudes de mes malheurs. Alors plonger dans la merde devient un moyen de jouir encore plus de ces instants de beauté heureuse. Sans plonger jusqu'à cou, sinon je risque de me noyer. Et j'ai été tellement proche de la noyade en jeunesse, qu'avec l'age j'ai appris à me protéger, à me ligoter comme Ulysse sur son bateau pour pouvoir encore jouir du chant de mes sirènes.
Voilà pour mon délicieux moment de procrastination en mode autoflagellation suicido-mythologique...
En tous cas "Miss..", et comme tu le dis, ça commence à me fatiguer aussi...
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
échouer c'est cool
c'est un truc de héros romantique
c'est un truc de héros romantique
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Mais pas grec Ulysse il est pas cool de toutes façons il laisse sa femme poireauter pendant 20 ans à faire de la broderie.
Goujon bleu- Messages : 4
Date d'inscription : 02/06/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
et Oedipe le nique ta mère flamboyant ?
sisi, ça marche même chez les moussakas
sisi, ça marche même chez les moussakas
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Et avec toute cette procrastination, je n'ai pas encore rempli ma déclaration d'impôts ! Et vous ?
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je voyais le romantisme façon Spleen triste... Vu comme ça même cette déclaration devient romantique
Goujon bleu- Messages : 4
Date d'inscription : 02/06/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Le spleen, c'est triste.
L'avantage avec la déclaration d'impôts, c'est que mon percepteur ne risque pas de m'envoyer sur les roses.
L'avantage avec la déclaration d'impôts, c'est que mon percepteur ne risque pas de m'envoyer sur les roses.
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Moi la déclaration c'est fait ! par mon comptable....
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Ah oui, mais si tu délègues, tu triches.
Bon, j'avoue, je n'ai pas grand chose à faire, c'est déjà pré-rempli, il manque quelques lignes. J'ai juste tellement peur de me tromper que je reporte.
Procrastination, quand tu nous tiens...
Bon, j'avoue, je n'ai pas grand chose à faire, c'est déjà pré-rempli, il manque quelques lignes. J'ai juste tellement peur de me tromper que je reporte.
Procrastination, quand tu nous tiens...
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Je me demandais si, à trop se saboter, on n'était encore capable de réussir si on le voulait ?...
Si je suis consciente de mes auto-sabotages, mais me retrouve dans une situation où, là, je ne veux pas échouer...parviendrais-je à déjouer les automatismes de l'auto-sabotage ?...Seule ?...
Si je suis consciente de mes auto-sabotages, mais me retrouve dans une situation où, là, je ne veux pas échouer...parviendrais-je à déjouer les automatismes de l'auto-sabotage ?...Seule ?...
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
C'est une bonne question. Faut travailler sur la confiance en toi et chasser tes peurs.
Invité- Invité
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Bonjour Antinéa,
Vraie question, j'essaye moi même de me battre contre depuis que j'en ai réellement pris conscience il y a un an, pas facile facile, mais j'espère à terme faisable dans des situations raisonnables (j'entends des objectifs atteignables par nous autres mortels)...
Mais pourquoi seule?
Je trouve tout à fait personnellement que de pouvoir échanger avec quelqu'un d'extérieur, a priori thérapeute, en tous cas peu impliqué dans ma vie personnelle (typiquement mon ostéo, le pauvre mais bon aussi psychothérapeute en l'occurrence) m'aide beaucoup à relativiser, et à séquencer les choses en petits bouts accessibles. Ya pas de petites victoires
Bon courage et de la réussite à toi, ne te mets pas trop la pression tout de même, il paraît que l'on apprend que dans l'échec
Vraie question, j'essaye moi même de me battre contre depuis que j'en ai réellement pris conscience il y a un an, pas facile facile, mais j'espère à terme faisable dans des situations raisonnables (j'entends des objectifs atteignables par nous autres mortels)...
Mais pourquoi seule?
Je trouve tout à fait personnellement que de pouvoir échanger avec quelqu'un d'extérieur, a priori thérapeute, en tous cas peu impliqué dans ma vie personnelle (typiquement mon ostéo, le pauvre mais bon aussi psychothérapeute en l'occurrence) m'aide beaucoup à relativiser, et à séquencer les choses en petits bouts accessibles. Ya pas de petites victoires
Bon courage et de la réussite à toi, ne te mets pas trop la pression tout de même, il paraît que l'on apprend que dans l'échec
Goujon bleu- Messages : 4
Date d'inscription : 02/06/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
Antinéa a écrit:Je me demandais si, à trop se saboter, on n'était encore capable de réussir si on le voulait ?...
Si je suis consciente de mes auto-sabotages, mais me retrouve dans une situation où, là, je ne veux pas échouer...parviendrais-je à déjouer les automatismes de l'auto-sabotage ?...Seule ?...
L'auto-sabotage mets à l'épreuve nos plus performants instincts de survie. Donc, je ne doute pas que tu va y arriver, c'est le jeu !
Après, je ne nie pas que c'est un jeu un tantinet dangereux et à la longue contreproductif (et j'en sais quelque chose).
QubiK- Messages : 264
Date d'inscription : 15/05/2016
Localisation : Fondu dans le réseau
Alice LH- Messages : 8
Date d'inscription : 09/06/2018
Re: Autosabotage au travail: comment échouer là où on pourrait réussir
https://www.tryangle.fr/thierry-theolier-la-lose-magnifique-vous-tend-les-bras
Marla Singer- Messages : 162
Date d'inscription : 08/05/2018
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