le(s) dernier(s) film(s) que vous avez vu

Confiteor a écrit:Üç maymun (Les trois singes) de Nuri Bilge Ceylan (2008).

Je l'avais vu au ciné à sa sortie. Ça m'a autant brassé de le revoir. Ceylan est un grand cinéaste et les acteurs sont bouleversants.

+1 pour Ceylan

bien envie de voir et revoir certains de ses films

isadora a écrit:Showing up.  de Kelly Reichardt.

des gens sont partis au milieu de la séance...

mon amie artiste que j'avais invitée n'a pas aimé.

et pourtant, ce film est sublime.

je mesure combien il faut de courage pour affronter la réalité brute, sans artifice, de la création. ses contraintes matérielles.

Le monde ne vit plus qu'à travers les écrans et quand l'écran nous sert du réalisme, ça ne nous plaît pas.

la lucidité a un prix. je suis l'empêcheuse de rêver en rond.

du coup, ça donne envie de le voir

curieux que je n'en ai même pas entendu parler, ce titre de film ne me dit rien

mais je vais m'arranger pour le voir

commencé à voir le récent "Babylon" avec Margot Robbie
j'ai laissé tomber avant la fin, ce qui est rare
donc pas vu jusqu'au bout

Le cinquième élément VF.
Le cinquièle élément VO.
Le cinquième élément VF.
Le cinquième élément VF.

Le orange à l'honneur

Le cinquième élément VONST.

— Monsieur Zorg veut vous parler
— Monsieur qui ?
Jean-Baptiste. Emmanuel. Zorg.

Attention c’est pas pour les gosses ou les midinettes.

Le film iranien The WasteTown de Ahmad Bahrami est bien flippant mais c’est une superbe réussite plastique. Certes, la narration est pauvre mais va à l’essentiel et se dispense de tout pathos ou anecdote inutile.

Bermani, une femme sort de prison. Elle a été accusé d’avoir tué son mari mais relâchée faute de preuves après … dix ans de procès à l’iranienne. Elle part rencontrer le frère de son défunt mari afin qu’il l’aide à retrouver son fils. Il est né en prison et on lui a pris à l’âge de deux ans durant son incarcération.

Unité de lieu : une immense casse automobile dont vous pouvez imaginer la désolation en Iran.
Y vivent trois hommes dans l’extrême pauvreté, rustres, sales et sortis de l’humanité.

Le film est tourné en N&B en format 4/3. Les lumières sont travaillées avec une habileté qui fait percevoir physiquement le vent glacial et le sinistre des lieux.
(Une réserve sur quelques plans qui le sont parfois un peu trop)

Seulement 4 personnages en dehors de trois seconds rôles passant durant quelques minutes. Pas de figurant.
J’allais oublier, une chienne allaitante famélique erre autant que l’héroïne.

Peu d’action bien entendu, et encore le plus souvent est-elle suggérée. Très peu de dialogues ou de gros plans sur les visages, inutile. Quelques attitudes corporelles suffisent à tout dire.

Le rythme ultra lent nécessite des nerfs solides. Ils sont récompensés.
La justesse de cadrages, la quête des textures très art contemporain du XXème, l’organisation géométrique millimétrique des plans évitent l’ennui. Il suffit de se laisser aller à regarder, en silence. La bande son est aussi minimaliste que l’ensemble du film.
C’est hélas ce qu’a trop souvent oublié le cinéma occidental qui noie sous le verbiage quand bien même il a si peu à dire !
Ce film plonge dans une méditation esthétique mélancolique, les âmes sont mises à nu par un jeu d’acteur très sobre d’une froide efficacité.
Tous sont d’une rare justesse. Jamais de pathos, plus une fatalité qui brise. Ils pressentent qu’ils ne s’en remettront pas. Ce n’est pas tant de la résignation, plutôt l’acceptation d’un réel sur lequel on sait ne pas avoir de prise.

Travellings interminables. Le premier plusieurs minutes derrière un grillage, une femme marche dans un terrain vague sous le vent et le froid. On est glacé.
De nombreux panoramiques par rotation de la caméra se terminant par un long plan fixe. Certains sont récurrents, seule la lumière change.
Ils ramènent à l’enfermement inéluctable des personnages qui ne peuvent échapper à la condition dans lequel ils sont englués. Pour marquer les ruptures, Bermani se drape à trois reprises dans le même linceul digne des meilleures sculptures de la Renaissance italienne.

Marrant la question du « consentement » est abordée sous un tout autre angle que celui de la presse féminine occidentale.
Elle ne rigole pas Bermani, vraiment pas … Et jusqu’au bout montre une détermination froide et calme, comme apaisée dans le drame, celle d’un désespoir qui porte plutôt que d’anéantir.

Putain le touche pipi du cinéma français est pitoyable à côté.
Moi je dis, osez aller le voir, vous n’en sortirez pas indemne et n’est-ce pas ce qu’on recherche ?

Terminator 2. Bleu et light

Sang et or de Jafar Panahi (طلای سرخ).

Toute la folie de la société iranienne bien sûr.
Mais pour autant un exposé très émouvant des douleurs et des grandeurs humaines universelles : amitié - solitude - échec - amour - espoirs - déceptions - générosité - etc.

La construction est particulièrement originale. La chute sert d'introduction au film. Se déroulent ensuite une série de scénettes, sans chronologie précise. Elles pourraient être en elles-mêmes des courts métrages. Elles ne sont pas résolues, laissant au spectateur le soin d'en choisir la fin. L'intériorité des personnages s'y exprime à mi-voix. Une sorte d'humour lugubre, proche de l'absurde, colore la narration.
C'est déroutant, mais très prenant.

Hossain Emadeddin l'acteur principal est d'une justesse à toute épreuve.

Je gagne du temps ... et pas besoin de baratin pour ce chef d’œuvre intemporel :
La mort aux trousses d'Alfred Hitchcock

Il ressort en version restaurée et final cut. Divine surprise de l'été.
J'ai hâte d'être ce soir !

La voie royale.










,
mais














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Oh putain ! Je sors, quelle claque ...

Terminator 3. Sans fin du monde l'humain s'ennuie

Confiteor a écrit:Je gagne du temps ... et pas besoin de baratin pour ce chef d’œuvre intemporel :
La mort aux trousses d'Alfred Hitchcock

Il ressort en version restaurée et final cut. Divine surprise de l'été.
J'ai hâte d'être ce soir !

+1 du coup, j'envisage de sortir de ma grotte pour l'événement

quant au cinéma iranien, j'ai vu "Hit the Road" (Titre original : Jaddeh Khaki) de Panah Panahi, un quasi homonyme de ce Panahi dont tu évoques les films plus haut, d'une façon ("froide efficacité") qui donne envie de se précipiter toutes affaires cessantes pour les voir

merci @Confiteor pour ces suggestions

Johnny English, le retour, VF. Étude des micro-expressions
Johnny English contre-attaque, VO. Costume bleu clair
Johnny English, VO. Ce Malkovich quel Sauvage

Citizen Kane

En version restaurée. C'est tellement trop à tous sujets ! Construction, cadrages, lumières, jeu d'acteurs (pour la plupart débutants), force des personnages. Quelle classe !
Pfff ! J'enchaîne les chefs d'oeuvre.

Et puis tiens, je dévoile un secret : Kane, c'est tout moi ...

Barbie.

Toutes mes excuses, vraiment.

Mais qui aime ce grand bébé de Welles à l'écran qu'est-ce qu'i joue mal

Opossum a écrit:Barbie.

Toutes mes excuses, vraiment.

nobody's perfect, tu es pardonné

Gerta Gerwig, j'ai détesté d'emblée, même dans ses films considérés comme "indie" et "artsy" comme "Frances Ha" - alors hors de question que j'aille voir cette daube sur une poupée plastique. Et j'aime pô Ryan Gosling. Bref, que le Grinch sorte de mon corps, je suis possdée !

en résumé, si j'amais je sors e ma grotte, j'aimerais voir :
Showing up. de Kelly Reichardt.
et un ou deux films anatoliens déprimants de Ceylan

épicétou

(et sinon Confiteor, mégalo comme d'hab)

Je vois dans le succès du film Barbie outre la réf des joujoux adorés aussi une façon de dire "je n'suis pas parfaite mais c'est pas grave". Néanmoins je n'y suis pas allé (pour l'instant)

En eaux très troubles. En vrai c'était bien
Anastasia. Résultat net de Chanel en 2022 4,6 milliards de dollars (Wp)
Hypnotic. J'croyais qu'c'était nautique mais en fait c'était notic

Hier Reality de Tina Satter
Ce n'est pas un très grand film, mais il est très original dans sa conception et l'actrice est d'une grande justesse dans l'expression de ses émotions.
Fondé sur une histoire réelle glaçante de 1997, les dialogues sont intégralement issus de l'interrogatoire du FBI qui ont été déclassifiés. Le film se déroule quasi en temps réel puisque l'action originelle dure 5 heures, un huis-clos oppressant dans une unité de lieu : la maison de l'héroïne.

Encore une bonne raison de détester les USA !

Blade Runner en final cut version restaurée.
Vu à sa sortie en 1982

Énorme claque visuelle, musique de Vangelis très à propos.
Cependant très en dessous du livre dont il est issu. Le bouquin est bien plus profond et aborde de manière sophistiquée des thèmes qui ne devraient pas quitter nos esprit : la perspective d'une mort jugée trop précoce - l'amour est-il une illusion fabriquée par notre cerveau - sait-on vraiment qui nous sommes - l'IA aura-t-elle un jour des sentiments et une conscience d'être (écrit en ... 1968 !) - si oui quelle sera sa relation aux humains.

Me donne très envie de relire Do androïds dream of electric sheeps du plus grand auteur de SF de tous les temps Ph K Dick.
Les ignorants qui ne savent pas ce qu'il ratent auront le bon goût de lire sa bio ici avant de courir à la librairie.
Le plus incontournable de ses livres est de mon point de vue Substance Mort (A Scanner Darkly) dont a été tiré un film qui lui est assez fidèle par un procédé très rarement mis en oeuvre la rotoscopie (voir ici)

Tant que je ne serai pas banni pour harcèlement je continuerai à faire votre culture, il en reste si peu ici.

Si tu n'as pas lu "Confession d'un barjo" de K Dick... ben lis le
(son roman le plus terre à terre, mais aussi le plus drôle... si on aime l'humour très acide bien sûr ^^)

Ah et puis j'oubliais, revu l'incontournable Uzak de Ceylan.

La culpabilité face à notre absence de compassion pour les êtres médiocres. il se sauvent parfois par des gestes insignifiants dont on n'est soi-même pas capable.
Je tease la scène finale: c'est Yusuf le médiocre qui saura abréger la vie de la souris afin de lui éviter une mort atroce.
On aime à tout jamais même après s'être séparés. On n'oublie jamais une histoire d'amour même tragique.
On est toujours seul.

Seulement pour les spectateurs ayant les nerfs solides, parfois 10 min sans dialogue et promis juré, il ne se passe rien.
Déconseillé aux dépressifs.

Acide est le mot qui convient !
Non j'y cours ...

Onoda - 10 000 nuits dans la jungle de Arthur Harari (encore visible sur Arte)

Tiré d'une histoire vraie.
Un soldat Japonais ne sait pas que la guerre est finie et traîne avec quelques potes dans la jungle d'une île en attendant les Amerloks qui évidement (!) ne viennent jamais.
Il sera retrouvé vivant, dernier survivant du groupe, en 1974 et acceptera de se rendre (authentique et totalement improbable).

Une analyse époustouflante de la paranoïa partagée par un groupe qui se conforte dans son délire et qui tisse
des liens de fraternité d'une profondeur étourdissante face à une menace qui n'existe pas.
La lecture métaphorique ne laisse pas indifférent.

Anecdotique mais parfait pour chiler une soirée Racket de John Mackenzie (sur Arte).

Un polar à l'ancienne étourdissant dans lequel la femme du mafieux joue un rôle bien plus important que les apparences ne le laisse penser.
(Ne pas se laisser dérouter par la confusion du début, tout finit par s'éclaircir)

Putain mais y'a que moi qui regarde des films ?

Ben non, mais j'ai trop honte.

Allez Confit ! (et les autres)

Moi je quand je regarde un truc je le dis c’est les autres qui participent pas

Kasaba le premier film de Ceylan (1997) est enfin sorti en salle.
Il annonce clairement ce que sera son cinéma à qui je voue une immense admiration.

Filmé en noir et blanc, avec une grande économie de moyens, on perçoit déjà la quête des cadrages justes et d’une esthétique léchée emplie de symboles. En particulier, les nombreux gros plans sur les visages bouleversent, on se sent envahi de tendresse pour le personnage. On aimerait le prendre dans nos bras. L’Orient est pudique et chacun sait qu’il ne doit jamais espérer un tel réconfort.

Beaucoup plus de dialogues que dans la suite de sa carrière. J’aimerais pouvoir lire le script tant c’est dense, jamais frontal ou intrusif, toujours suggéré. C’est le propre de cette culture.
Quelques maladresses de montage rendent le propos parfois un peu flou.
Les enfants jouent admirablement, ils sont d’un naturel stupéfiant.

Dans les années 70 d’un pauvre village d’Anatolie, une famille, toutes générations confondues, devise le soir au coin du feu au bord des champs. À mots couverts chacun tente de se comprendre en laissant s’exprimer son dialogue intérieur et de se faire comprendre sans chercher à se justifier. Les passés envahissants s’entremêlent. Comme toujours chez Ceylan pas de rancœur ni de colère. S’expose le poids d’un passé, celui qui vous a fait, qu’on n’a pas choisi et dont on subit avec résignation les conséquences, le résultat.

C’est d’une douce tristesse qui relate dans le calme absolu l’acceptation profonde de ses blessures, de ses défaillances, de ses espoirs déçus. Et une absence d’espoir assumée avec laquelle on arrive à vivre sans en être dévasté. Chacun sait qu’il ne sera jamais compris, qu’il reste seul avec ses dépits et ses douleurs. Il en parle avec une totale distance, sans un brin de pathos. De ce point de vue, c’est une leçon de vie.
On retrouvera cette thématique majeure dans la suite de l’oeuvre de Ceylan.

Comme souvent dans les premiers films, on sent les tripes de Ceylan, et, même si le film est par certains aspects inabouti, il transmet une émotion très profonde qui bouleverse. Pas l’ombre d’un jugement, un regard si empathique sur les personnages que je ne peux m’empêcher d’envisager des éléments autobiographiques. Personne n’est coupable, le poids de l’Histoire a écrasé certains, le poids de leur propre histoire les autres. Les enfants apportent une touche de légèreté par leur cruauté, mais on ne doute pas qu’ils n’échapperont pas à ce qui les attend, que se construisent dès à présent les chaînes dont ils ne se libèreront jamais vraiment.

Mérite vraiment d’être vu, mais ne vous attendez pas à un moment réjouissant.

Dans ma vie d’errance sur la planète, c’est cette acceptation totale du réel que j’ai admiré dans mes rencontres. C’est si peu occidental et j’aimerais approcher cette sagesse.

Je sors un poil bouleversé et pas moins enseigné.

Le Père Noël est une ordure. Dérision du jouet déballé dans l'ascenseur

anatomie d'une chute. Justine Triet. palme d'or Cannes 2023.

pour les juristes, de quoi faire lever les sourcils, soupirer, et même rire sous cape en filant des coups de coude à son voisin devant les inepties scénaristiques relatives au procès et son déroulement (Cour de Cass assurée !)

à voir donc pour l'intrigue, le jeu des acteurs (sauf les magistrats et avocats qui n'arrivent pas à la cheville d'un Dupont Moretti en terme de théâtralité crédible ou d'un Olivier Gourmet dans le rôle de Dupont Moretti dans "une intime conviction")

et surtout à voir pour l'anatomie d'un couple, les ressorts d'une jalousie d'auteurs de romans quasi autobiographiques, la jalousie d'un homme envers sa femme HPI ? car oui, elle est redoutablement intelligente et la "sublime" relation mère fils qui fait chavirer le cœur. 

quant à la fin, qui ne tranche pas, elle donne, selon moi, visuellement une clé en faveur d'une des deux hypothèses.

cela étant dit, non, ce n'est pas du niveau d'une palme d'or. (Parasite  )

Dune (Denis Villeneuve, 2021) : ce préquel tant attendu à "Isabelle a les yeux bleus" nous apprend qu'on peut faire pousser un navet en plein désert

Avatar 2 (James Cameron) : le même que le premier, en encore plus chiant (c'était donc possible ?!!!). Seul twist notable : Gargamel est désormais un Schtroumpf comme les autres... tout fout l'camp

Take me. Tel est pris de ne pas être pris
Agent Stone. Gal Gadot a de belles jambes non conventionnelles, retouchées sur Wonder Woman, cela décomplexera les fans
Equalizer 3. À part la facture conventionnelle, les scènes d'action très elleptiques montrent un suivi de la loi du chaos : une scène d'action est une non-information, à force, un sujet très épuisé, le reste prend donc de l'importance, si maladroit soit-il

Shining en français

Donne la babatte

Mystère à Venise. Très belle terrasse sur les toits, chant de fillette qui vient de l'arrière gauche, bizarre que ce procédé très efficace ne soit pas plus utilisé, en tout cas dans les films d'épouvante que j'ai vus, générique paginé et non défilant, un huis-clos c'est toujours mieux qu'un sept-clos

Spoiler:

J'ai vu Docteur Strange, ptêt bien le dernier, où il a des problèmes de multivers. Il est pas mal. C'est un peu un film d'horreur. C'est pas passionnant non plus, mais voilà, pour une superproduction, ce n'est pas un film débile : ça se tient pas mal : c'est divertissant (j'ai un peu décroché, mais voili).

Batman, celui qui dure 3 heures avec le vampire que les ados bavent dessus. Il est bien. C'est surprenant. Le Batman en question est aussi vif que s'il carburait au lexomil, sauf quand il distribue des pains et des brioches, là, il se bouge les miches (lol (pains, brioches, miches...)). Film sérieux, triste, sombre... Batman fait clairement une dépression. Je dis ça, je ne suis pas docteur.

J'ai vu la série "C'est qui Erin Carter". À la fin, on sait qui c'est. Non, je plaisante, je ne vous parle pas de la fin. La série, c'est du quelque part entre Dexter et homeland et Desparate Housewives. Beaucoup d'humour. Une intrigue qui avance vite. Tant mieux. C'est du genre exaltant, même si par la même occasion le réalisme passe total à la trappe. Il y a une inversion des rôles par rapport aux stéréotypes habituels. En gros, cette série n'a rien de nouveau si on échange ce qui a été échangé : le mari donne sa culotte à sa femme et la femme donne son slip au mari. Ils peuvent le laver entre deux s'ils le souhaitent. Je veux dire que ça ne me parait pas déconnant que la femme du couple soit la plus téméraire (à la John Wick), ça existe parfaitement : que la femme puisse être plus téméraire dans un couple (pas que quelqu'un soit comme John Wick dans la vraie vie, et qu'il n'est pas lui-même vu que vous avez compris).

Je regarde la série "the middle". Super série sur des gens plus ou moins handicapés. Très réaliste par certains aspects. À la fois tendre, et sans pitié, sans détour, parfois même un peu trash, mais toujours avec un ton gentil et une morale : elle est toujours un peu la même : ils n'abandonnent pas : la fille et le gamin (Brick) tentent toujours des choses malgré les revers, et font des petits progrès.

J'ai vu le dernier John Wick. Si vous avez compris le scénario du 2 et du 3, vous êtes en bonne voie pour comprendre celui du 4. Je crois en vous. Bon film. Distribution de dragées qui tire (lol) un peu en longueur. Mais c'est beau.

J'ai vu ce sketch aussi. Et j'ai ri :

vidéo:

Il était une fois... un crime. Le besoin cathartique du japon est effrayant
Le cinquième élément. Dire que le mal reviendra dans 5000 ans
Un métier sérieux. On a tué la vie en la rendant sérieuse

Série dérivée de l'"univers" de John Wick... elle vaut de la poubelle.

La probabilité statistique de l'amour au premier regard. L'amour c'est pas mal franchement j'l'ai connu une fois j'ai bien aimé
Apprentis parents. Les occidentaux sont parfois pathétiques dans leur cruel besoin de se rendre utiles
The losers. Chris Evans blond
The creator. Maladroit comme la vie

Lock out. Franchement j'ai pris mon pied
Légion, l'armée des anges. Dieu est toujours invisible, cette crainte de Dieu c'est fou
Last dance ! Esthétique du corps de François Berléand
The Passenger. Le loser héroïque
The Gray Man. Un peu plus clair que men in black donc
Je suis une légende. À part le titre c'est bien
The Craft - Les nouvelles sorcières. D'où l'usage du collectif
Les complices. N'hésitez pas à utiliser n'importe quel prétexte pour devenir meilleur, enfin moins méchant
Last Action Hero. Avec un méchant rouquin très british

Pas compris grand chose pourtant j’ai regardé avec attention, en une fois, sans distractions (je suis assez fier de moi)

Navetteur a écrit:J'ai vu Docteur Strange, ptêt bien le dernier, où il a des problèmes de multivers. Il est pas mal. C'est un peu un film d'horreur. C'est pas passionnant non plus, mais voilà, pour une superproduction, ce n'est pas un film débile : ça se tient pas mal : c'est divertissant (j'ai un peu décroché, mais voili).
[...]

Je trouve intéressant dans ce film le questionnement à quoi sert de sauver le monde si l'on est malheureux en amour

J’ai regardé plusieurs films, certains que je ne veux pas citer, et le dernier Matrix que j’ai beaucoup aimé, on m’a dit que c’était nul et surtout de ne pas le regarder si j’avais aimé les autres mais je ne comprends vraiment pas ces avis.
En plus j’avais pas fait attention mais y a pleins de trucs semi chrétiens trinity, zion, et on peut faire pleins d’associations aussi. Puis le titre c’est résurrection aussi.
Aussi c’est cool que maintenant les machines c’est pas forcément toutes des méchantes. Trop cool. Aussi pleins d’autres trucs cools. Les apôtres je les aimes beaucoup, la petite asiatique super et tous les autres de très bons acteurs je trouve. Merci

Dans l’ordre de chronologique, les 4 derniers sont :

Barbie - contente de n’avoir pas raqué une place de cinoche… ça se laisse regarder, un dimanche après-midi pluvieux. Il y a deux trois scènes qui m’ont fait rire. Petite je jouais à Barbiche donc c’est un univers que je connais. J’ai maté ça avec mon ado…

Le règne animal - contente d’avoir raqué deux places de cinoche !! Belle distribution et conte philosophique à mon sens. Chacun va y trouver sa transformation, son idée voire son idéal. C’est un film que j’ai trouvé émouvant avec de beaux personnages.

Un monstro viene a verme (titre français : Quelques minutes après minuit). Tombée dessus un peu par hasard et pas déçue du tout du voyage. L’histoire d’un petit garçon qui s’échappe dans son imagination afin de fuir une dure réalité… Vous allez le dire « déjà vu/fait » et vous aurez raison mais… ça reste un très beau film avec notamment Sigourney Weaver.

Second tour - de et avec Albert Dupontel. Vu en avant première avec Albert him self. Impossible d’être critique vu mon niveau de fan attitude : courez y !! Son va et vient entre burlesque et sérieux, ses questionnements de tout un chacun, Cécile de France&Nicolas Marié au top ! Bon bref je vous le redis : courez y parce que ALBERT PRÉSIDENT !!

To the bone. Ça me fait exactement pareil quand j'essaye de lire un livre, j'arrive pas à avaler

Fight Club !



Naturellement c'est un vieux film mais je ne l'avais pas encore vu !

J’ai beaucoup aimé ce film