Impression d'être au bord d'un gouffre
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Impression d'être au bord d'un gouffre
Bonjour à tous,
J'écris ici après une absence assez longue (mais je vais tenter d'être plus assidue sur le forum) pour parler d'un sentiment qui m'habite depuis quelques années déjà sans que je ne sois arrivée à le verbaliser jusque là.
En fait, et ça fait comme dit longtemps que ça dure, sans doute depuis le lycée, je me sens comme sur un fil ou au bord d'une falaise, en équilibre, avec la sensation d'arriver à encaisser les choses (le stress, la fatigue, la famille etc) mais qu'à chaque fois ça me fait vaciller et sur le point de tomber, mais je tiens le coup.
J'ai cette sensation aussi qu'un jour j'aurais le coup de grâce et que je tomberai dans le vide.
J'ai l'impression que j'aurais besoin de vivre des mois dans le noir complet et le silence, sans bouger, boire, manger, ni voir personne pour être reposée complètement et ne plus être à bout de souffle.
En même temps je pense que je ne sais pas vraiment me reposer, mon esprit fonctionne toujours à 300 à l'heure et je veux faire plein de chose (entre ce que je dois faire ; boulot course, repas, ménage) et ce que je veux faire (être meilleure dans mon job, écrire des romans, avoir un rythme de vie assez sain), ce que j'aime faire mais n'ai pas le temps de faire (jouer aux jeux vidéos, lire davantage...)
Je ne sais pas si d'autres ici ont déjà expérimenté ce sentiment. Avez-vous pu le déjouer ? Êtes-vous finalement "tombés" ?
J'écris ici après une absence assez longue (mais je vais tenter d'être plus assidue sur le forum) pour parler d'un sentiment qui m'habite depuis quelques années déjà sans que je ne sois arrivée à le verbaliser jusque là.
En fait, et ça fait comme dit longtemps que ça dure, sans doute depuis le lycée, je me sens comme sur un fil ou au bord d'une falaise, en équilibre, avec la sensation d'arriver à encaisser les choses (le stress, la fatigue, la famille etc) mais qu'à chaque fois ça me fait vaciller et sur le point de tomber, mais je tiens le coup.
J'ai cette sensation aussi qu'un jour j'aurais le coup de grâce et que je tomberai dans le vide.
J'ai l'impression que j'aurais besoin de vivre des mois dans le noir complet et le silence, sans bouger, boire, manger, ni voir personne pour être reposée complètement et ne plus être à bout de souffle.
En même temps je pense que je ne sais pas vraiment me reposer, mon esprit fonctionne toujours à 300 à l'heure et je veux faire plein de chose (entre ce que je dois faire ; boulot course, repas, ménage) et ce que je veux faire (être meilleure dans mon job, écrire des romans, avoir un rythme de vie assez sain), ce que j'aime faire mais n'ai pas le temps de faire (jouer aux jeux vidéos, lire davantage...)
Je ne sais pas si d'autres ici ont déjà expérimenté ce sentiment. Avez-vous pu le déjouer ? Êtes-vous finalement "tombés" ?
Lyla- Messages : 57
Date d'inscription : 07/10/2017
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Bonjour Lyla ,
oui l'impression d'être au bord du gouffre et de finir par tomber un jour..j'ai connu ça , je ne peux pas te dire comment je l'ai déjoué et si j'y suis arrivée définitivement d'ailleurs.
Je ne suis pas tombée c'est la bonne nouvelle.
Je pense et je me trompe peut-être que dans mon cas c'est simplement prendre du recul..faire ce que je peux et vivre un jour après l'autre ..mais je n'y arrive pas tout le temps , être dans le présent c'est vraiment difficile mais ça aide.
Je perds pied seulement quand j'ai des relations qui me bousculent et je peux être sur le fil et il faut du temps pour que je m'en remette mais je n'ai plus envie de ça.
Je crois que simplement vieillir m'aide beaucoup dans le sens du temps et de la vie qui passe et qui m'apaise malgré moi.
Ca ne répond pas peut-être à ta question mais j'ai toujours du mal à identifier les cheminements intérieurs qui m'ont amené à aujourd'hui.
oui l'impression d'être au bord du gouffre et de finir par tomber un jour..j'ai connu ça , je ne peux pas te dire comment je l'ai déjoué et si j'y suis arrivée définitivement d'ailleurs.
Je ne suis pas tombée c'est la bonne nouvelle.
Je pense et je me trompe peut-être que dans mon cas c'est simplement prendre du recul..faire ce que je peux et vivre un jour après l'autre ..mais je n'y arrive pas tout le temps , être dans le présent c'est vraiment difficile mais ça aide.
Je perds pied seulement quand j'ai des relations qui me bousculent et je peux être sur le fil et il faut du temps pour que je m'en remette mais je n'ai plus envie de ça.
Je crois que simplement vieillir m'aide beaucoup dans le sens du temps et de la vie qui passe et qui m'apaise malgré moi.
Ca ne répond pas peut-être à ta question mais j'ai toujours du mal à identifier les cheminements intérieurs qui m'ont amené à aujourd'hui.
Dernière édition par BIPER le Dim 23 Sep 2018 - 20:58, édité 1 fois
Invité- Invité
Au bord du gouffre, parfois je m'en sors
Bonjour à tous,
Je me sens parfois en mode chaos émotionnel. C'est souvent dû à mon chéri. Je suis une zèbre « Mixte ».
Je passe de « hypersensible émotionnel » à « méga pragmatique, rationnelle coupée du monde » en un claquement de doigts. C’est comme si j’oscillais entre hyperattachement et détachement total. Les épreuves de ma vie n‘ont pas facilité les choses. Ce système de défense me pousse parfois loin dans l’isolement et en même temps je ressens tellement d’amour pour tout ce qui m’entoure. J’ai l’impression de tout voir dans sa version la plus sublime et je sais que c’est réel. Je vois le potentiel et la beauté de chacun. J’aime… Profondément… c’est tout.
Je souffre lorsque je me rends compte que les autres ne voient pas tout ça… et je souffre encore plus lorsque je me rends compte que j’aime les autres bien plus qu’ils sont capables de s’aimer… et de m’aimer. Je n’arrive pas à accéder à l’amour des autres quand ils m’en donnent. J’ai cette sensation d’être dans un aquarium et je suis séparée du monde, des autres par une vitre. Je ne peux que voir les autres, discuter avec eux mais on ne peut pas se toucher…
Je ne peux pas les toucher putain !!!
La sidération : je crois que c’est la sensation qui me traverse le plus souvent en société. Je suis paralysée, stupéfaite, profondément et instantanément étonnée, effrayée et terrorisée en même temps lorsque l’on est violent avec moi en mots, paroles, attitude. Je ne comprends pas la violence des autres. Pourtant il m’arrive de l’être parfois quand je n’en peux plus.
Mon chéri est complètement du coté rationnel. Il est possible qu’il soit zèbre mais complètement HPI si c’est le cas). Parfois il devient froid, physiquement, dans son attitude. Il se ferme complètement. Un peu comme moi je pense. Pas évident de le dire, je ne me suis pas encore vue faire.
Enfin bon… tout ça pour dire que cet isolement face au monde ajouté à l’incompréhensions de la violence des autres et de moi-même, crée en moi de grosses crises d’angoisses. Ayant énormément travaillé sur moi et accompagnant de nombreux zèbres, j’ai fini par trouver comment gérer ces états passagers (car oui, ce n’est que ça). Malgré l’énormité de leurs effets, ce ne sont que des états qui passent au bout d’un moment plus ou moins long.
Il y a 7 ans j’ai acheté mon cheval. Il m’a été d’un grand secours. Je le montais tous les jours. La pression à l’intérieur de moi était régulièrement relâchée dans la nature, durant nos grands galops en forêts et nos parcours d’obstacles. Mais un jour, ça n’a plus suffit. Je me suis alors sentie perdue… comme une camée à qui la cocaïne ne lui suffit plus. J’ai alors baissé mon rythme s’exercice physique pour me tourner vers la spiritualité, le bien que e pouvais faire à mon corps à travers le yoga, la concentration avec les bolas. Bref j’ai cherché, j’ai expérimenté…
J’ai fini par trouver une réponse : courir.
Moi qui détestais ça… oui mais je n’ai plus vraiment de difficulté depuis que je cours, seule ou avec mon chien et mon cheval. On part parfois tous les 3 en footing. J’apprends à m’écouter. La dernière fois j’étais totalement seule et c’était juste
Je me sens parfois en mode chaos émotionnel. C'est souvent dû à mon chéri. Je suis une zèbre « Mixte ».
Je passe de « hypersensible émotionnel » à « méga pragmatique, rationnelle coupée du monde » en un claquement de doigts. C’est comme si j’oscillais entre hyperattachement et détachement total. Les épreuves de ma vie n‘ont pas facilité les choses. Ce système de défense me pousse parfois loin dans l’isolement et en même temps je ressens tellement d’amour pour tout ce qui m’entoure. J’ai l’impression de tout voir dans sa version la plus sublime et je sais que c’est réel. Je vois le potentiel et la beauté de chacun. J’aime… Profondément… c’est tout.
Je souffre lorsque je me rends compte que les autres ne voient pas tout ça… et je souffre encore plus lorsque je me rends compte que j’aime les autres bien plus qu’ils sont capables de s’aimer… et de m’aimer. Je n’arrive pas à accéder à l’amour des autres quand ils m’en donnent. J’ai cette sensation d’être dans un aquarium et je suis séparée du monde, des autres par une vitre. Je ne peux que voir les autres, discuter avec eux mais on ne peut pas se toucher…
Je ne peux pas les toucher putain !!!
La sidération : je crois que c’est la sensation qui me traverse le plus souvent en société. Je suis paralysée, stupéfaite, profondément et instantanément étonnée, effrayée et terrorisée en même temps lorsque l’on est violent avec moi en mots, paroles, attitude. Je ne comprends pas la violence des autres. Pourtant il m’arrive de l’être parfois quand je n’en peux plus.
Mon chéri est complètement du coté rationnel. Il est possible qu’il soit zèbre mais complètement HPI si c’est le cas). Parfois il devient froid, physiquement, dans son attitude. Il se ferme complètement. Un peu comme moi je pense. Pas évident de le dire, je ne me suis pas encore vue faire.
Enfin bon… tout ça pour dire que cet isolement face au monde ajouté à l’incompréhensions de la violence des autres et de moi-même, crée en moi de grosses crises d’angoisses. Ayant énormément travaillé sur moi et accompagnant de nombreux zèbres, j’ai fini par trouver comment gérer ces états passagers (car oui, ce n’est que ça). Malgré l’énormité de leurs effets, ce ne sont que des états qui passent au bout d’un moment plus ou moins long.
Il y a 7 ans j’ai acheté mon cheval. Il m’a été d’un grand secours. Je le montais tous les jours. La pression à l’intérieur de moi était régulièrement relâchée dans la nature, durant nos grands galops en forêts et nos parcours d’obstacles. Mais un jour, ça n’a plus suffit. Je me suis alors sentie perdue… comme une camée à qui la cocaïne ne lui suffit plus. J’ai alors baissé mon rythme s’exercice physique pour me tourner vers la spiritualité, le bien que e pouvais faire à mon corps à travers le yoga, la concentration avec les bolas. Bref j’ai cherché, j’ai expérimenté…
J’ai fini par trouver une réponse : courir.
Moi qui détestais ça… oui mais je n’ai plus vraiment de difficulté depuis que je cours, seule ou avec mon chien et mon cheval. On part parfois tous les 3 en footing. J’apprends à m’écouter. La dernière fois j’étais totalement seule et c’était juste
TouteDouce- Messages : 13
Date d'inscription : 08/09/2018
Age : 38
Localisation : Cotes d'armor, Bretagne
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Bonjour,
Est-ce cela qui vous pèse : fr.wikipedia.org/wiki/Charge_mentale_ménagère ?
Je ne peux pas donner de conseil sur la gestion du stress, car il m'a fait tomber.
Est-ce cela qui vous pèse : fr.wikipedia.org/wiki/Charge_mentale_ménagère ?
Je ne peux pas donner de conseil sur la gestion du stress, car il m'a fait tomber.
Invité- Invité
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Oui je pense que de nombreux zèbres et zébrettes passent ou ont déjà passé par des moment terribles de détresse, d'angoisse profonde, avec l'impression d'être dans un gouffre duquel on semble ne jamais pouvoir sortir.
J'ai moi-même connu ce sentiment plusieurs fois au cours de ma vie et cela a été particulièrement pénible à vivre.
Mais rassure-toi on peut petit à petit s'en sortir et adopter une meilleure vision de la vie, une vision plus optimiste et plus juste de la vie.
Les zèbres sont souvent des personnes très bien mais encore trop de zèbres ne parviennent pas à reconnaitre leur vraie valeur et leur immense potentiel.
Pourquoi ne pas consulter un (ou une) thérapeute bienveillant (e) qui saura t'aider dans ton cheminement vers ta liberté d'être?
Un conseil: choisi avec soin quelqu'un avec qui tu ressens une réelle connexion, une véritable bienveillance. Tu dois pouvoir le sentir dès la première séance.
Il vaut mieux selon moi choisir un psychothérapeute plutôt qu'un psychiatre car le zèbre a besoin de communiquer et d'être guidé dans la thérapie et pas seulement d'avoir quelqu'un qui ne fait que l'écouter. De plus, tous les psychothérapeutes ne se valent pas et malheureusement beaucoup ne connaissent pas le fonctionnement spécifique de la zébritude.
Personnellement je suis en thérapie depuis 2 ans et je dois dire que je progresse à vitesse grand V surtout depuis que j'ai été diagnostiqué zèbre. Je m'accepte de mieux en mieux dans la richesse de ma zébritude
J'espère que ma contribution permettra à d'autres zèbres de voir enfin la lumière au bout du tunnel
J'ai moi-même connu ce sentiment plusieurs fois au cours de ma vie et cela a été particulièrement pénible à vivre.
Mais rassure-toi on peut petit à petit s'en sortir et adopter une meilleure vision de la vie, une vision plus optimiste et plus juste de la vie.
Les zèbres sont souvent des personnes très bien mais encore trop de zèbres ne parviennent pas à reconnaitre leur vraie valeur et leur immense potentiel.
Pourquoi ne pas consulter un (ou une) thérapeute bienveillant (e) qui saura t'aider dans ton cheminement vers ta liberté d'être?
Un conseil: choisi avec soin quelqu'un avec qui tu ressens une réelle connexion, une véritable bienveillance. Tu dois pouvoir le sentir dès la première séance.
Il vaut mieux selon moi choisir un psychothérapeute plutôt qu'un psychiatre car le zèbre a besoin de communiquer et d'être guidé dans la thérapie et pas seulement d'avoir quelqu'un qui ne fait que l'écouter. De plus, tous les psychothérapeutes ne se valent pas et malheureusement beaucoup ne connaissent pas le fonctionnement spécifique de la zébritude.
Personnellement je suis en thérapie depuis 2 ans et je dois dire que je progresse à vitesse grand V surtout depuis que j'ai été diagnostiqué zèbre. Je m'accepte de mieux en mieux dans la richesse de ma zébritude
J'espère que ma contribution permettra à d'autres zèbres de voir enfin la lumière au bout du tunnel
HPX- Messages : 16
Date d'inscription : 22/09/2018
Localisation : Villeurbanne
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Lyla a écrit:
En même temps je pense que je ne sais pas vraiment me reposer, mon esprit fonctionne toujours à 300 à l'heure et je veux faire plein de chose (entre ce que je dois faire ; boulot course, repas, ménage) et ce que je veux faire (être meilleure dans mon job, écrire des romans, avoir un rythme de vie assez sain), ce que j'aime faire mais n'ai pas le temps de faire (jouer aux jeux vidéos, lire davantage...)
Je ne sais pas si d'autres ici ont déjà expérimenté ce sentiment. Avez-vous pu le déjouer ? Êtes-vous finalement "tombés" ?
Bonjour Lyla,
Ce que tu décris n'est pas spécifique aux HP, c'est malheureusement le quotidien de toutes les mères de famille un tant soit peu consciencieuses qui travaillent et s'implique aussi dans leur profession... Plus de temps pour soi, faire toujours tout du mieux possible, des années de renoncements entre obligations professionnelles, tâches ménagères, gestion du quotidien (cette fameuse charge mentale)... et un jour la dépression d'épuisement, le burn out que personne n'a vu venir...
En prendre conscience et déjà un grand pas, parce quand on a la tête dans le guidon on ne s'autorise plus de pause. Redéfinir ses priorités est une première étape indispensable, car malheureusement le temps n'est pas extensible et personne ne peut tout faire...
Lotophage- Messages : 1815
Date d'inscription : 03/09/2018
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Merci pour vos retours, je pense en effet que c'est pas spécifique aux HP, mais pour le coup c'est peut-être plus fréquent, intense, je ne sais pas.
En fait, je me sens un peu perdue ces derniers temps aussi ^^
En fait, je me sens un peu perdue ces derniers temps aussi ^^
Lyla- Messages : 57
Date d'inscription : 07/10/2017
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Lotophage a écrit:
Bonjour Lyla,
Ce que tu décris n'est pas spécifique aux HP, c'est malheureusement le quotidien de toutes les mères de famille un tant soit peu consciencieuses qui travaillent et s'implique aussi dans leur profession... Plus de temps pour soi, faire toujours tout du mieux possible, des années de renoncements entre obligations professionnelles, tâches ménagères, gestion du quotidien (cette fameuse charge mentale)... et un jour la dépression d'épuisement, le burn out que personne n'a vu venir...
En prendre conscience et déjà un grand pas, parce quand on a la tête dans le guidon on ne s'autorise plus de pause. Redéfinir ses priorités est une première étape indispensable, car malheureusement le temps n'est pas extensible et personne ne peut tout faire...
En plus du fait que je ne ressens aucun appel de la nature, c'est une des raisons pour lesquelles je ne veux pas avoir d'enfant (pour l'instant, l'avenir me reserve peut-être des surprises).
TouteDouce- Messages : 13
Date d'inscription : 08/09/2018
Age : 38
Localisation : Cotes d'armor, Bretagne
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
TouteDouce a écrit:
En plus du fait que je ne ressens aucun appel de la nature, c'est une des raisons pour lesquelles je ne veux pas avoir d'enfant (pour l'instant, l'avenir me reserve peut-être des surprises).
Idem, je ne m'en sors déjà pas en étant célibataire et sans enfant, j'imagine pas ce que ce serait en couple avec un enfant ^^(c'est une raison parmi d'autres de pas en avoir)
Lyla- Messages : 57
Date d'inscription : 07/10/2017
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Lyla a écrit:TouteDouce a écrit:
En plus du fait que je ne ressens aucun appel de la nature, c'est une des raisons pour lesquelles je ne veux pas avoir d'enfant (pour l'instant, l'avenir me reserve peut-être des surprises).
Idem, je ne m'en sors déjà pas en étant célibataire et sans enfant, j'imagine pas ce que ce serait en couple avec un enfant ^^(c'est une raison parmi d'autres de pas en avoir)
En effet, avec des enfants + un travail, c'est encore plus ... compliqué
- Spoiler:
- Lotophage a trois enfants....
Lotophage- Messages : 1815
Date d'inscription : 03/09/2018
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Bonjour à tous,
Vos échanges au sujet des enfants m'interpellent... et si on regardait de l'autre côté du miroir! je m'explique : et si un enfant permettait de reculer du bord du goufre?
Certes, c'est beaucoup de temps et d'énergie, surtout de tout cumuler, boulot, enfants, maison, amis, mari, etc.... qui finit souvent par un burnout.
Sauf que personnellement, mes enfants sont tout pour moi. Ils sont un moteur qui m'a permis d'avancer dans les moments les plus durs, tout simplement parce que leur amour est inconditionnel, et qu'ils ont besoin de moi comme j'ai besoin d'eux.
On peut remplacer un boulot, un mari, des amis, et vivre sans même... mais c'est autre chose avec ses enfants. Et ils sont une bonne raison de ne pas tomber dans le goufre! (même si j'avoue que des fois ils nous y poussent... )
Vos échanges au sujet des enfants m'interpellent... et si on regardait de l'autre côté du miroir! je m'explique : et si un enfant permettait de reculer du bord du goufre?
Certes, c'est beaucoup de temps et d'énergie, surtout de tout cumuler, boulot, enfants, maison, amis, mari, etc.... qui finit souvent par un burnout.
Sauf que personnellement, mes enfants sont tout pour moi. Ils sont un moteur qui m'a permis d'avancer dans les moments les plus durs, tout simplement parce que leur amour est inconditionnel, et qu'ils ont besoin de moi comme j'ai besoin d'eux.
On peut remplacer un boulot, un mari, des amis, et vivre sans même... mais c'est autre chose avec ses enfants. Et ils sont une bonne raison de ne pas tomber dans le goufre! (même si j'avoue que des fois ils nous y poussent... )
Aomamé- Messages : 21
Date d'inscription : 11/09/2018
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
En fait pour les enfants, il y a d'autres raisons qui me poussent à ne pas en vouloir, déjà je me pense trop jeune et instable sur le plan émotionnel et je ne pense pas pouvoir leur donner une vie heureuse et saine (sur le plan psychologique en particulier)
D'autre part il y a un background familial aussi (j'imagine que c'est un cliché d'avoir peur de reproduire les erreurs de mes parents) et une histoire de famille un peu lourde à portée (elle l'est pour moi)
J'aurais aussi peur de lui apporter plus de blessures que de bonheur en fin de compte...
En fait c'est plus pour l'enfant que je me dis que ce serait pas une bonne idée ^^
Mais c'est sûr que ça peut aussi donner le moral, je conçois bien la beauté du côté famille, plus jeune je me disais que je voulais plein d'enfant, mais plus je vieillis et moins j'en ai envie...
D'autre part il y a un background familial aussi (j'imagine que c'est un cliché d'avoir peur de reproduire les erreurs de mes parents) et une histoire de famille un peu lourde à portée (elle l'est pour moi)
J'aurais aussi peur de lui apporter plus de blessures que de bonheur en fin de compte...
En fait c'est plus pour l'enfant que je me dis que ce serait pas une bonne idée ^^
Mais c'est sûr que ça peut aussi donner le moral, je conçois bien la beauté du côté famille, plus jeune je me disais que je voulais plein d'enfant, mais plus je vieillis et moins j'en ai envie...
Lyla- Messages : 57
Date d'inscription : 07/10/2017
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Bonsoir à tous,
Je comprends que certaines personnes aient envie de nous parler de "l'autre coté du miroir", du bonheur qu'apporte un enfant. Je pense être consciente de tout celà.
J'ai une expérience qui va peut-être en ébourifer plus d'un... déjà je suis cavalière. Et dans le monde des cavaliers il y a une sorte de secret qui n'en est pas un. C'est comme quelque chose que tout le monde sait mais on en parle qu'entre nous parce que personne ne peut comprendre sans l'avoir vécu : Quand on a un cheval on a l'impression d'avoir un enfant.
Ce n'est pas moi qui l'ai pondu mais bien des dizaines de mères que j'ai rencontrées qui sont devenues propriétaires de leur cheval et toutes m'ont dit à un moment ou à un autre que "leur cheval leur apportaient parfois plus que leurs enfants". Bien sûr, ces mots sont sortis teintés de culpabilité et de honte. Le rapport n'est pourtant pas le même à part cette sensations de faire corps avec l'autre. Peut-être comme quand on est enceinte. Je ne sais pas je n'ai pas vécu tout ça. Je ne fais que rapporter.
(On ne parle pas de personnes qui utilisent leur cheval comme un outil, on est bien d'accord.)
Quand j'ai eu mon cheval, j'ai vécu cette sensations très particulière de faire corps, de symbiose physique et émotionnelle, de guider, de transmettre et de recevoir un enseignement incroyable et un amour doux et inconditionnel, que ma vie était transformée. Pour mon cas, ça fait 8 ans que ça dur.
J'ai l'impression d'être mère. Et déjà ça me prend du temps et de l'argent. 2h/jours, 500€/mois, des soucis avec le véto, la pension (c'est comme trouver la bonne école lol !), les copains qui se bagarent, les autres "mères" qui comèrent, les profs qui critique notre éducation...
J'ai failli perdre mon cheval il y a 3 ans. Quelle galère, quel tord boyaux...
J'espère que mon discours ne vous choquera pas.
Dans tous les cas, j'ai la certitude depuis que j'ai 5 ans que je n'aurais pas d'enfant. Je ne le sens pas. Ca ne m'attire pas. J'ai beau avoir 32 ans et une pression de mon entourage et de mes médecins sur moi, rien ne vient.
Aujourd'hui, si j'avais un enfant ça serait pour avoir la paix et que tous cessent de m'oppresser.
J'ai eu la fille d'une amie dans mes bras, à 2 mois. J'ai tenu quelques bébés dans mes bras, c'est la seule qui m'a fait ressentir quelque chose. Elle m'a appaisée. Peut-être une semblable ?
Peut-être ai-je peur d'avoir un enfant qui n'est pas comme moi et qui ne peut pas me comprendre et que je ne peux pas comprendre. Peut-être ne suis-je pas avec le bon partenaire de vie et de jeu ?
Je ne comprends pas pourquoi les gens ont besoin de réagir quand je dis que je ne veux pas d'enfant pour l'instant.
Ce n'est qu'une information temporaire à un instant T.
Oui, je ne fais pas les choses comme les autre. C'est vrai.
Je sens vraiment que j'ai autre chose à apporter sur terre. Quelque chose de moins terrestre peut-être, de plus évanescent ou de plus conceptuel.
Je vous aime. Pour l'instant ça me suffit de vous aimer.
Je comprends que certaines personnes aient envie de nous parler de "l'autre coté du miroir", du bonheur qu'apporte un enfant. Je pense être consciente de tout celà.
J'ai une expérience qui va peut-être en ébourifer plus d'un... déjà je suis cavalière. Et dans le monde des cavaliers il y a une sorte de secret qui n'en est pas un. C'est comme quelque chose que tout le monde sait mais on en parle qu'entre nous parce que personne ne peut comprendre sans l'avoir vécu : Quand on a un cheval on a l'impression d'avoir un enfant.
Ce n'est pas moi qui l'ai pondu mais bien des dizaines de mères que j'ai rencontrées qui sont devenues propriétaires de leur cheval et toutes m'ont dit à un moment ou à un autre que "leur cheval leur apportaient parfois plus que leurs enfants". Bien sûr, ces mots sont sortis teintés de culpabilité et de honte. Le rapport n'est pourtant pas le même à part cette sensations de faire corps avec l'autre. Peut-être comme quand on est enceinte. Je ne sais pas je n'ai pas vécu tout ça. Je ne fais que rapporter.
(On ne parle pas de personnes qui utilisent leur cheval comme un outil, on est bien d'accord.)
Quand j'ai eu mon cheval, j'ai vécu cette sensations très particulière de faire corps, de symbiose physique et émotionnelle, de guider, de transmettre et de recevoir un enseignement incroyable et un amour doux et inconditionnel, que ma vie était transformée. Pour mon cas, ça fait 8 ans que ça dur.
J'ai l'impression d'être mère. Et déjà ça me prend du temps et de l'argent. 2h/jours, 500€/mois, des soucis avec le véto, la pension (c'est comme trouver la bonne école lol !), les copains qui se bagarent, les autres "mères" qui comèrent, les profs qui critique notre éducation...
J'ai failli perdre mon cheval il y a 3 ans. Quelle galère, quel tord boyaux...
J'espère que mon discours ne vous choquera pas.
Dans tous les cas, j'ai la certitude depuis que j'ai 5 ans que je n'aurais pas d'enfant. Je ne le sens pas. Ca ne m'attire pas. J'ai beau avoir 32 ans et une pression de mon entourage et de mes médecins sur moi, rien ne vient.
Aujourd'hui, si j'avais un enfant ça serait pour avoir la paix et que tous cessent de m'oppresser.
J'ai eu la fille d'une amie dans mes bras, à 2 mois. J'ai tenu quelques bébés dans mes bras, c'est la seule qui m'a fait ressentir quelque chose. Elle m'a appaisée. Peut-être une semblable ?
Peut-être ai-je peur d'avoir un enfant qui n'est pas comme moi et qui ne peut pas me comprendre et que je ne peux pas comprendre. Peut-être ne suis-je pas avec le bon partenaire de vie et de jeu ?
Je ne comprends pas pourquoi les gens ont besoin de réagir quand je dis que je ne veux pas d'enfant pour l'instant.
Ce n'est qu'une information temporaire à un instant T.
Oui, je ne fais pas les choses comme les autre. C'est vrai.
Je sens vraiment que j'ai autre chose à apporter sur terre. Quelque chose de moins terrestre peut-être, de plus évanescent ou de plus conceptuel.
Je vous aime. Pour l'instant ça me suffit de vous aimer.
TouteDouce- Messages : 13
Date d'inscription : 08/09/2018
Age : 38
Localisation : Cotes d'armor, Bretagne
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Moi je rêve d'être seul à un endroit et juste dormir et manger. J'ai eu presque l'occasion de le faire récemment. Trois jour entier à dormir écouter la télévision et manger. WOW. Mais à la dernière journée, bien-sûr je n'avais pas fait de sieste, après 2 jour on en vient à bout, et d'un coup l'anxiété me gagne mais fois 1000 . Aucune idée pourquoi, un mélange de culpabilité je voyais déjà le retour au travail du lendemain et la montagne de contrat qui m'attendait, il était tout juste 10h du matin. Et bien finalement la seule chose qui a réussit à me calmer (sa à durée plusieurs heures avant de mit résigner) j'ai fait du ménage , plein plein de ménage
Geeroo- Messages : 1
Date d'inscription : 05/10/2018
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Avec les progrès de la science et la libération des mœurs bientôt n'importe quelle femme pourra accoucher d'un cheval. C'est pas beau le progrès ?
Fata Morgana- Messages : 20818
Date d'inscription : 09/02/2011
Age : 67
Localisation : Un pied hors de la tombe
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Fata Morgana a écrit:Avec les progrès de la science et la libération des mœurs bientôt n'importe quelle femme pourra accoucher d'un cheval. C'est pas beau le progrès ?
c'est pas sérieux ?
Invité- Invité
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
mais non
(ça m'a fait ma matinée, à moi ^^)
Je suis cavalière, j'ai 4 chevaux, 8 chats, pas d'enfant. Mais j'aimerais bien en avoir qd même si l'occasion se présentait.
Ce que j'ai surtout vu, autour de moi, ce sont des femmes qui lâchaient le poney dès que le moutard arrivait.
C'est le truc qui m'angoisse le plus : ne plus être polyvalente, et perdre mes passions en devenant maman. Mais bon, ça ne m'empêchera pas de pondre si je peux le faire.
Ce qu'un animal apporte et ce qu'un enfant apporte, ça n'a pas grand chose en commun (sinon les emmerdes lol). ya pas un mieux que l'autre, c'est juste pas comparable.
J'en reviens à Lyla. Ce que tu racontes je le vois régulièrement ici, et j'ai des difficultés similaires.
Moi c'était pas le sentiment d'être au bord du gouffre, mais la sensation de n'arriver à rien (et le découragement qui va avec).
Mes petits trucs (qui ne t'aideront probablement pas, mais on, sait on jamais), qui m'améliorent la vie, même si c'est très loin d'être parfait :
- bon, déjà, j'ai fait une thérapie, ça m'a un peu aidée à gérer mes émotions, me comprendre, et me trouver. Je me sens 'achement mieux depuis.
- quand ça tourne trop vite dans les négatifs, ma solution, c'est marcher. Je me mets à chialer un coup, la tension chute et ça va mieux ensuite. Maintenant, réussir à me caler des heures régulières de marche dans mon emploi du temps est un vrai défi ^^
- j'ai mille projets, mille envies, moi aussi je voudrais créer la chuna parfaite 2.0. Donc des heures à lire, chercher, comprendre, apprendre.... en vain.
Alors j'ai lâché certaines choses, pour me focaliser sur le plus important. Le tout après avoir fait un méga mind mappy de tout ce qui m'intéresse et que je veux faire. J'ai lancé les projets essentiels, et du coup, je n'ai plus beaucoup de temps pour les autres. Si au début ce fut dur (genre une nouvelle passion par semaine), finalement, les projets aboutissent doucement, et du coup je me sens mieux. Je réussis, alors je continue mon chemin plus paisiblement.
Peut être que pour ça, avoir tout noté clairement, ça aide, à ne pas se perdre, à tenir le cap. Admettre que les choses se passent sur le long terme parfois.
Se mettre des objectifs réalistes. Essentiel!
Noter ces objectifs.
Moi j'ai un agenda type bullet journal, et je note tout dedans, ce que je dois faire et ce que j'ai fait. ça aide à relativiser, et surtout ne pas se surcharger.
- là, depuis cette année, je me suis fixée une chose qui me parait essentielle : une matinée de repos, sans contrainte (chez moi, c'est m'occuper de mes bêtes, et entretenir la maison, c'est pour mon plaisir, puisque j'aime mes animaux, mais c'est chronophage tout de même). Je peux aller balader à cheval, passer une heure à regarder les piafs, prendre mon appareil photo, qu'importe. On verra si ça m'aide.
Ces solutions, c'est nous même qui nous les créons en allant piocher chez les autres (ou pas), mais le tout est d'identifier les soucis de manière assez précise pour pouvoir agir dessus.
(ça m'a fait ma matinée, à moi ^^)
Je suis cavalière, j'ai 4 chevaux, 8 chats, pas d'enfant. Mais j'aimerais bien en avoir qd même si l'occasion se présentait.
Ce que j'ai surtout vu, autour de moi, ce sont des femmes qui lâchaient le poney dès que le moutard arrivait.
C'est le truc qui m'angoisse le plus : ne plus être polyvalente, et perdre mes passions en devenant maman. Mais bon, ça ne m'empêchera pas de pondre si je peux le faire.
Ce qu'un animal apporte et ce qu'un enfant apporte, ça n'a pas grand chose en commun (sinon les emmerdes lol). ya pas un mieux que l'autre, c'est juste pas comparable.
J'en reviens à Lyla. Ce que tu racontes je le vois régulièrement ici, et j'ai des difficultés similaires.
Moi c'était pas le sentiment d'être au bord du gouffre, mais la sensation de n'arriver à rien (et le découragement qui va avec).
Mes petits trucs (qui ne t'aideront probablement pas, mais on, sait on jamais), qui m'améliorent la vie, même si c'est très loin d'être parfait :
- bon, déjà, j'ai fait une thérapie, ça m'a un peu aidée à gérer mes émotions, me comprendre, et me trouver. Je me sens 'achement mieux depuis.
- quand ça tourne trop vite dans les négatifs, ma solution, c'est marcher. Je me mets à chialer un coup, la tension chute et ça va mieux ensuite. Maintenant, réussir à me caler des heures régulières de marche dans mon emploi du temps est un vrai défi ^^
- j'ai mille projets, mille envies, moi aussi je voudrais créer la chuna parfaite 2.0. Donc des heures à lire, chercher, comprendre, apprendre.... en vain.
Alors j'ai lâché certaines choses, pour me focaliser sur le plus important. Le tout après avoir fait un méga mind mappy de tout ce qui m'intéresse et que je veux faire. J'ai lancé les projets essentiels, et du coup, je n'ai plus beaucoup de temps pour les autres. Si au début ce fut dur (genre une nouvelle passion par semaine), finalement, les projets aboutissent doucement, et du coup je me sens mieux. Je réussis, alors je continue mon chemin plus paisiblement.
Peut être que pour ça, avoir tout noté clairement, ça aide, à ne pas se perdre, à tenir le cap. Admettre que les choses se passent sur le long terme parfois.
Se mettre des objectifs réalistes. Essentiel!
Noter ces objectifs.
Moi j'ai un agenda type bullet journal, et je note tout dedans, ce que je dois faire et ce que j'ai fait. ça aide à relativiser, et surtout ne pas se surcharger.
- là, depuis cette année, je me suis fixée une chose qui me parait essentielle : une matinée de repos, sans contrainte (chez moi, c'est m'occuper de mes bêtes, et entretenir la maison, c'est pour mon plaisir, puisque j'aime mes animaux, mais c'est chronophage tout de même). Je peux aller balader à cheval, passer une heure à regarder les piafs, prendre mon appareil photo, qu'importe. On verra si ça m'aide.
Ces solutions, c'est nous même qui nous les créons en allant piocher chez les autres (ou pas), mais le tout est d'identifier les soucis de manière assez précise pour pouvoir agir dessus.
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
Chuna ??? otes moi d'un doute ..quand je dis c'est pas sérieux je parle du propos pas du contenu en soi ...bien entendu que même la science ne fera pas accoucher une femme d'un cheval je le sais hein
Invité- Invité
Re: Impression d'être au bord d'un gouffre
non, c'est la réflexion de Fata qui m'a fait rire ^^
Chuna- Messages : 22222
Date d'inscription : 31/12/2014
Age : 43
Localisation : Landes
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